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Le réseau sans fil

Le réseau sans fil

par David Chernicoff - Mis en ligne le 24/03/2004

La mise en oeuvre est difficile mais le jeu en vaut la chandelle

Chaque fois que je m'exprime sur les produits 802.11, je suis inondé de messages email déplorant que les divers appareils 802.11 ne tiennent pas les promesses inscrites sur la boîte ou déçus par leurs médiocres performances...S'il est une chose que j'ai apprise pendant mes 20 années d'informatique, c'est qu'aucun produit n'est à  la hauteur de son battage médiatique. Les produits réseau sans fil ne font pas exception. On peut même dire que, par rapport aux déclarations fracassantes des fournisseurs, ces produits ont été pires que les autres. Chaque fois que je m'exprime sur les produits 802.11, je suis inondé de messages email déplorant que les divers appareils 802.11 ne tiennent pas les promesses inscrites sur la boîte ou déçus par leurs médiocres performances.
En dépit de tout cela, il y a de bonnes raisons d'introduire le réseau sans fil dans l'entreprise. J'aime amener mon portable dans des réunions et accéder ainsi à  toutes les ressources du réseau. L'existence d'une connexion sans fil pendant des réunions est fort utile : planification, partage d'informations et impression de documents sur une imprimante locale.
Le coeur du problème est le suivant : les fournisseurs de 802.11 n'ont pas été capables de gérer les attentes des utilisateurs. Les doléances les plus courantes sont que la gamme et la vitesse de ces produits sont en deçà  des assertions des fournisseurs.

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OutlookSoft Everest 4.0

OutlookSoft Everest 4.0

OutlookSoft Corporation, éditeur de logiciels de gestion des performances et des planifications destinés aux plates-formes Microsoft, lance OutlookSoft Everest 4.0, version enrichie de la solution de BPM (gestion de la performance) unifiée et accessible via le web.

Everest 4.0 permet aux entreprises de gérer leur stratégie en temps réel, en liant leurs objectifs aux objectifs de performance personnels de tous les décideurs - et pas uniquement d'un cercle restreint de dirigeants.

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Programmer avec PHP sur l’iSeries

Programmer avec PHP sur l’iSeries

par Tim Massaro et Davis Larson - Mis en ligne le 21/01/2004

Avec ce code PHP open-source, réalisez rapidement votre projet Web

HYPERTEXT PREPROCESSOR LANGUAGE (PHP) est un puissant langage script côté serveur, pour la création de pages Web. Langage script signifie que PHP n'a pas besoin de compilation, façon Perl ou Rexx. Comme PHP est un langage côté serveur, on peut l'inclure directement dans HTML, et il est reconnu et traité par un serveur Web... HYPERTEXT PREPROCESSOR LANGUAGE (PHP) est un puissant langage script côté serveur, pour la création de pages Web. Langage script signifie que PHP n'a pas besoin de compilation, façon Perl ou Rexx. Comme PHP est un langage côté serveur, on peut l'inclure directement dans HTML, et il est reconnu et traité par un serveur Web.
Le premier P dans PHP est un vestige du sigle original de Personalized Home Page, terme forgé par le créateur de PHP, Rasmus Lerdorf, quand il utilisa pour la première fois un ensemble de scripts Perl pour superviser l'accès à  son CV en ligne. Depuis lors, PHP est devenu le modèle facultatif le plus répandu configuré sur les serveurs Web (voir http://www.netcraft. com/s_survey et http://www.securityspace. com/s_survey/data/man.20024/ apachemods.html).
Ici, nous présentons le langage PHP et nous vous montrons pas à  pas comment configurer PHP pour accéder à  DB2 UDB à  partir de votre serveur Apache Web. Ensuite, nous fournissons des exemples montrant comment les sites iSeries peuvent utiliser PHP pour créer des pages Web dynamiques d'après des bases de données DB2 UDB iSeries nouvelles ou existantes.

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Idl-data et  FDP-TRACKING

Idl-data et FDP-TRACKING

Idl-data présente la solution FDP-TRACKING, solution d'édition pour AS/400 iSeries. 

Il est possible de savoir qui a imprimé, quand, quoi (quelles éditions, combien de pages) et surtout à quel coût.

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News iSeries – Semaine 13 – 2004

News iSeries – Semaine 13 – 2004

Toutes les actualités du 22 au 28 Mars 2004

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Plongez au coeur de « BizTalk Server 2004 » avec ce White Paper exclusif de Chappell & Associates !

Plongez au coeur de « BizTalk Server 2004 » avec ce White Paper exclusif de Chappell & Associates !

"Comprendre BizTalk Server 2004" est un White Paper en Français signé de David CHAPPELL de Chappell & Associates, San Francisco, Californie. Son tout dernier ouvrage de référence, Understanding .NET, a été publié par Addison-Wesley en 2002. Découvrez maintenant ce White Paper !

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Les dangers du développement en processus fermé

Les dangers du développement en processus fermé

par Mark Smith - Mis en ligne le 10/03/2004

Microsoft a besoin d'incorporer rapidement dans ses produits la remontée des informations du monde réel

Que fait Microsoft des réactions reçues des clients ? Microsoft incorpore-t-elle la sagesse et l'expérience collectives de ses clients dans ses futurs produits ? Si oui, comment ?L'un des aspects les plus intrigants de Linux et du processus de développement open-source est l'évidente possibilité d'intégrer dans le produit le fruit de l'expérience du monde réel. Si vous créez un nouveau code qui améliore sensiblement le produit opensource, il est bon de pouvoir l'intégrer dans le produit de base. C'est ainsi que les produits open-source combinent potentiellement les bonnes idées et la sagesse partagée de tous les utilisateurs et développeurs.
A l'inverse, Microsoft reçoit des réactions sur ses produits mais modifie ces derniers dans un processus fermé. Comme le processus de développement de produits de Microsoft n'est pas ouvert, je m'inerroge : Que fait Microsoft des réactions reçues des clients ? Microsoft incorpore-t-elle la sagesse et l'expérience collectives de ses clients dans ses futurs produits ? Si oui, comment ?
Souvent les premiers utilisateurs d'un produit découvrent ses défauts et préparent le terrain pour les améliorations. C'est ainsi que Microsoft sollicite les réactions par l'intermédiaire de son JDP (Joint Development Program) chez certains de ses plus gros clients et premiers adeptes. MCS (Microsoft Consulting Services) aide les sociétés JDP à  mettre en oeuvre les versions bêta du logiciel Microsoft, à  la fois pour aider à  tester le nouveau code et pour voir s'il fonctionne dans des environnements concrets à  grande échelle.
Malheureusement, ces découvertes ne se retrouvent pas dans l'OS aussi vite qu'il le faudrait. Microsoft corrige les bogues et propose rapidement les correctifs. Mais les enseignements de l'utilisation concrète ne sont intégrés dans le produit qu'à  la prochaine grande release - parfois 3 ans ou plus après leur découverte. Certes, ces enseignements font l'objet de white papers sur le site Web de Microsoft, mais pourquoi ne pas incorporer cette science collective dans les wizards de configuration ?

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Superviser votre environnement SQL Server

Superviser votre environnement SQL Server

par Mark Solomon - Mis en ligne le 18/02/2004

Une solution rudimentaire pour superviser votre environnement SQL Server

Il existe de nombreux outils sympas pour vous aider à  superviser votre environnement SQL Server. Mais tous, aussi efficaces soient-ils, coûtent cher. Superviser le logiciel d'un seul SQL Server peut coûter des milliers de dollars...Il existe de nombreux outils sympas pour vous aider à  superviser votre environnement SQL Server. Mais tous, aussi efficaces soient-ils, coûtent cher. Superviser le logiciel d'un seul SQL Server peut coûter des milliers de dollars. Et les outils de supervision sont souvent accompagnés d'agents qu'il faut installer sur votre SQL Server et qui peuvent consommer de 3 à  5 % de la puissance du traitement du serveur. En outre, de nombreux outils offrent des possibilités bien supérieures à  vos besoins. Dans l'hôpital pour enfants où je travaille, notre groupe DBA gère huit SQL Server et plus de 250 bases de données. Dans notre cas, où l'information sur les patients est consultée en permanence (24 x 7 x 365), il nous faut une méthode commune pour accéder aux informations sur l'état de santé de notre environnement SQL Server à  partir de n'importe quel point du réseau. Ironiquement, la méthode que nous avons jugée la plus utile pour extraire les données de performances courantes et historiques n'est pas un package de supervision coûteux, mais provient des outils qui sont présents dans SQL Server, Windows .NET Server et Microsoft Office XP. Par exemple, sur mon ordinateur de bureau, j'ai ajouté un canal actif qui est relié au site Web SQL Server de l'hôpital. La technologie Microsoft Active Channel est intégrée à  Internet Explorer (IE) pour « canaliser » les données du navigateur vers le desktop d'un client sans intervention de l'utilisateur. Active Channel s'intègre à  un desktop Windows actif afin que l'on puisse visualiser des pages Web comme des arrières plans de desktop ou des économiseurs d'écran, par exemple. Ainsi, si j'ai un desktop actif, je peux utiliser notre site Web comme mon économiseur d'écran. Quand j'arrive au bureau le matin, je peux examiner les résultats des sauvegardes de bases de données, lire des messages provenant des opérations DBCC (Database Consistency Checker) de la dernière nuit, voir quelles bases de données croissent le plus vite, et examiner divers graphiques de performances sur le Web - et ce avant même de me connecter.
Voyons comment vous pouvez appliquer la solution de notre groupe DBA pour visualiser les données de performances SQL Server courantes et historiques au moyen d'un graphique sur une page Web, comme le montre la figure 1. Voyons d'abord comment vous pouvez superviser votre environnement en journalisant les données System Monitor de Win.NET Server dans SQL Server. Ensuite, je vous montrerai comment nous présentons les données dans une page Web dynamique en utilisant les pages d'accès aux données de Microsoft Access. Pour appliquer les techniques que je décris dans cet article, vous avez besoin de SQL Server 2000, Office XP avec Access installé, un serveur Web IIS 5.0 ou 4.0, Win.NET Server ou Windows XP et IE 4.01 ou ultérieur. Il vous faut aussi un domaine AD (Active Directory) ou Windows NT 4.0 afin de pouvoir utiliser les comptes utilisateur de domaine pour des connexions de confiance ou l'authentification Windows. Pour des raisons de simplicité, tous les ordinateurs client que vous utilisez doivent aussi faire partie du domaine.
Avant de pouvoir visualiser vos données de performances SQL Server, vous devez d'abord créer dans Win.NET Server les journaux de comptage de System Monitor qui collectent les données de performances, puis les envoyer à  un SQL Server sur votre réseau. Si vous n'avez pas Win.NET Server (j'ai utilisé Release Candidate 1 - RC1), vous pouvez utiliser XP pour couvrir les étapes System Monitor de cet article. Win.NET Server et XP peuvent stocker les données System Monitor dans un format unique sur SQL Server. Toutefois, Windows 2000 et NT ne peuvent stocker des données de performances que dans un fichier. Win2K utilise System Monitor pour journaliser les données dans un fichier binaire ou texte, et NT utilise Performance Monitor pour journaliser les données dans un fichier binaire. Plus loin, je décris brièvement le format que nous utilisons et vou

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Intégrer RPG et Java avec JNI

Intégrer RPG et Java avec JNI

par Gary Guthrie et Brian Farrar - Mis en ligne le 21/01/2004

Cette série traite de l'intégration de Java dans vos applications RPG - voici comment préparer votre environnement

Le plus souvent, les applications iSeries ne sont constituées que de programmes RPG et de routines CL. Mais Java s'y faufile de plus en plus. N'en déplaise aux inconditionnels du RPG, Java lui dame le pion pour certaines fonctions...

Le plus souvent, les applications iSeries ne sont constituées que de programmes RPG et de routines CL. Mais Java s'y faufile de plus en plus. N'en déplaise aux inconditionnels du RPG, Java lui dame le pion pour certaines fonctions.

Si vous vous demandez en quoi Java est préférable pour une application iSeries, prenez le cas d'une application dotée d'une interface navigateur vers des processus RPG d'arrière plan. Pour une telle interface, Java convient plus naturellement que RPG. Autre exemple : Java possède déjà  de robustes routines socket ; alors pourquoi écrire des serveurs et des clients socket basés sur RPG ? En vérité, vos applications devraient simplement fournir une interface entre RPG et les routines socket Java.
La force des applications qui utilisent le couple RPG/Java ne réside pas dans la supériorité supposée de l'un des langages par rapport à  l'autre, mais à  la manière dont les applications intègrent les deux. Quand vous intègrerez RPG et Java, vous devrez choisir entre plusieurs possibilités quant aux techniques à  utiliser pour les divers aspects des applications. Par exemple, comment devriez-vous invoquer Java à  partir de RPG ? Devriez-vous accéder aux données en utilisant JDBC (Java Database Connectivity), des routines de Toolbox for Java d'IBM, ou des routines d'I/O natives ?
Dans cette série sur l'intégration RPG/Java, vous vous mettrez dans la peau d'un développeur RPG et d'un développeur Java, dont aucun n'est familiarisé avec le domaine de l'autre avant de travailler ensemble sur un projet. Nous montrerons aux développeurs comment instaurer et utiliser un environnement Java sur l'iSeries. Les développeurs RPG apprendront à  écrire des programmes RPG qui utilisent JNI (Java Native Interface) pour invoquer les programmes Java et interagir avec eux. De même, nous montrerons aux développeurs Java comment utiliser JNI pour communiquer avec les procédures des programmes de service RPG.
Avant de parler de JNI, nous nous assurerons que vous êtes prêt pour Java. Nous passons donc en revue le logiciel nécessaire, nous préparons un environnement pour Java, et nous compilons et exécutons le programme Java.

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News iSeries – Semaine 47 – 2003

News iSeries – Semaine 47 – 2003

Actualités du 17 au 21 Novembre 2003

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Actualités Windows NT / 2000 – Semaine 13 – 2004

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Toutes les Actualités du 22 au 28 Mars 2004

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Actualités Windows NT / 2000 – Semaine 10 – 2004

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Remote Storage Service

Remote Storage Service

par Jerry Cochran - Mis en ligne le 10/03/2004

Ce que RSS peut vous apporter

Si vous travaillez dans les technologies de l'information (IT) depuis un certain temps, vous savez que la promesse de HSM (Hierchical Storage Management) a précédé la plate-forme Windows. HSM permet d'élaguer les données du stockage total...Récemment encore, je ne m'intéressais pas beaucoup au Microsoft RSS (Remote Storage Service). Mais de plus en plus de sociétés songent à  déployer leurs serveurs et applications Windows sur des SAN (Storage Area Networks) de grande capacité et autres environnements « storage utility » ; et comme les données applicatives sont toujours plus volumineuses, les administrateurs Windows ne peuvent plus se permettre d'ignorer RSS. Examinons-le donc de plus près et voyons ce qu'il peut faire pour votre entreprise.

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7 étapes pour le cryptage SSL

7 étapes pour le cryptage SSL

par Gary Zaika - Mis en ligne le 21/01/2004

Instaurez le cryptage automatique dans un environnement SQL Server 2000 en cluster

Dans SQL Server 2000, Microsoft a introduit de nouvelles fonctions pour apporter toujours plus à  ses clients en matière de sécurité des données. A cet égard, il existe une fonction peu comprise : le support automatique du trafic de réseau crypté par SSL ( Secure Sockets Layer) entre les clients et le serveur.

Dans SQL Server 2000, Microsoft a introduit de nouvelles fonctions pour apporter toujours plus à  ses clients en matière de sécurité des données. A cet égard, il existe une fonction peu comprise : le support automatique du trafic de réseau crypté par SSL ( Secure Sockets Layer) entre les clients et le serveur. Certes, le cryptage ralentit légèrement la performance parce qu'il demande des actions supplémentaires des deux côtés de la connexion réseau. Mais, pour les utilisateurs soucieux de sécuriser leurs communications en réseau, les avantages du cryptage l'emportent largement sur ce léger ralentissement. Le cryptage est particulièrement utile quand les clients se connectent au SQL Server par Internet et que les données empruntent des réseaux publics.
Le cryptage SSL est devenu un standard : c'est celui que la plupart des entreprises utilisent pour leurs applications Internet et e-commerce. Il existe deux niveaux de cryptage SSL, 40 bits et 128 bits, qui offrent différents types de protection. SQL Server 2000 gère les deux niveaux de cryptage. Pour faire fonctionner le cryptage SSL, vous devez obtenir une clé (ou certificat) valide auprès d'une CA (Certificate Authority) de confiance ou trusted. Après avoir installé le certificat sur un système qui utilise SQL Server 2000, vous pouvez configurer SQL Server pour qu'il impose le cryptage entre les clients et le serveur. Windows 2000 est livré avec son propre CA utilisable pour des applications intranet. La plupart des sociétés utilisent des CA tierce partie pour les applications Internet. (Pour plus d'informations sur les CA, voir l'encadré « Principes de base du CA », ci-après).
Le cryptage SSL est différent du cryptage Multiprotocol Net-Library que l'on trouve dans les releases SQL Server antérieures à  SQL Server 2000. Le cryptage SSL supporte toutes les bibliothèques et protocoles de réseau, y compris les types les plus répandus : TCP/IP et Name Pipes (pour des installations en cluster, seules ces deux bibliothèques de réseau sont disponibles). Vous pouvez aussi utiliser le cryptage SSL pour des instances multiples de SQL Server, alors que le cryptage Multiprotocol Net-Library qui utilise l'API de cryptage Windows RPC, ne reconnaît que l'instance par défaut de SQL Server 2000. Le client ou le serveur (mais pas les deux) peut demander le cryptage SSL. Le cryptage demandé par le client précise que toutes les communications allant de ce client à  tous les serveurs connectés seront cryptées. Le cryptage demandé par le serveur stipule que toutes les connexions entrant dans le serveur seront cryptées puis décryptées sur celui-ci.
Il est plus difficile de configurer le cryptage pour des instructions en cluster que pour un serveur autonome. Beaucoup de sources expliquent comment installer le cryptage SSL sur une seule boîte, mais il est plus difficile de trouver des informations sur l'installation du cryptage SSL dans un environnement en cluster. Malheureusement, SQL Server Books Online (BOL) ne renseigne pas beaucoup sur la manière de configurer le cryptage SSL et ne fait qu'effleurer les exigences de configuration pour un environnement en cluster. Il faut aussi chercher à  l'extérieur de BOL pour obtenir des informations sur la manière d'installer les certificats d'authentification appropriés. Mais, avec des instructions claires, la mise en place du cryptage SSL s'effectue sans mal. Voyons en détail comment installer le cryptage SSL dans un environnement en cluster pour une société fictive appelée IDM.

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Faciliter les appels de programme à  partir de java

Faciliter les appels de programme à  partir de java

L’excellente interface de PCML simplifie la conversion de paramètres lors de l’appel de programmes iSeries à partir de JavaLa plupart des développeurs iSeries qui s’intéressent à Java n’envisagent pas de remplacer leurs applications RPG par Java : ils songent plutôt à intégrer Java dans leur outil de développement. Plus particulièrement, les développeurs iSeries veulent créer des applications Java capables d’utiliser les données et la logique de gestion iSeries. Bien qu’une application Java puisse accéder aux données iSeries directement en utilisant l’accès au niveau enregistrement ou JDBC, il vaut souvent mieux appeler un programme RPG ou Cobol en utilisant Java. C’est pour faciliter cette manœuvre qu’IBM a créé PCML (Program Call Markup Language) – un dialecte XML spécialisé qui permet de définir les paramètres de l’appel de programme par la terminologie iSeries familière.
Nous verrons comment développer et utiliser un document PCML pour appeler un programme iSeries à partir d’une application Java. Mais voyons d’abord quand une telle approche est intéressante.

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Actualités Windows NT / 2000 – Semaine 47- 2003

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Les nouveautés de la semaine 13 – Windows 2000 et .Net – 2004

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Actualités – Février 2004

Actualités – Février 2004

Les actualités SQL Server pour le mois de Février 2004

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Testez par unités vos procédures stockées

Testez par unités vos procédures stockées

par Dan Sawyer - Mis en ligne le 21/01/2004

Mettez en forme votre code de procédure

Imaginez ceci : vous venez juste de finir le débogage de la dernière procédure stockée pour la dernière application SQL Server du département. Etes-vous satisfait de votre travail ? Etesvous certain que votre code T-SQL sera à  la hauteur des attentes des utilisateurs ? Quid des fonctionnalités que vous avez placées dans le code ? ...

Imaginez ceci : vous venez juste de finir le débogage de la dernière procédure stockée pour la dernière application SQL Server du département. Etes-vous satisfait de votre travail ? Etesvous certain que votre code T-SQL sera à  la hauteur des attentes des utilisateurs ? Quid des fonctionnalités que vous avez placées dans le code ? Avezvous couvert tous les aspects de la gestion ? Chaque fonction tient-elle ses promesses comme prévu dans tous les scénarios d'exploitation normaux?

Même si vous pouvez répondre par oui à  toutes ces questions, le moment de relâcher votre effort n'est pas encore venu. Qu'en est-il des suites possibles ? Avez-vous testé les conditions d'erreur courantes qui ont causé des problèmes par le passé ? Et qu'en est-il des gestionnaires d'erreurs ? Sont-ils eux-mêmes impeccables ? Si vous vous sentez faiblards dans l'un de ces domaines, il vaut peut-être mieux réévaluer la manière dont vos procédures stockées sont testées par unités.
Contrairement aux tests système que les testeurs professionnels effectuent après qu'une application ait été entièrement codée, le test par unités recherche les erreurs dans des modules individuels, comme les procédures stockées, tout au long du développement de ces modules. Le test par unités n'est pas difficile mais, pour être efficace, il exige du planning, de la documentation et, par-dessus tout, une compréhension partagée de certains principes de base. Donc, avant de plonger dans le processus de test, commençons par dissiper quelques préjugés courants sur le test par unités, qui nuisent souvent à  son efficacité.

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