Actualités Windows NT / 2000 – Semaine 47- 2003
Toutes les Actualités du 17 au 21 Novembre 2003
Lire l'articleLes nouveautés de la semaine 13 – Windows 2000 et .Net – 2004
Tous les nouveaux produits du 22 au 28 Mars 2004
Lire l'articleLes nouveautés de la semaine 10 – Windows 2000 et 2003 – 2004
Tous les nouveaux produits du 08 au 14 Mars 2004
Lire l'articleTestez par unités vos procédures stockées
par Dan Sawyer - Mis en ligne le 21/01/2004
Mettez en forme votre code de procédure
Imaginez ceci : vous venez juste de finir
le débogage de la dernière procédure
stockée pour la dernière application
SQL Server du département.
Etes-vous satisfait de votre travail ? Etesvous
certain que votre code T-SQL sera
à la hauteur des attentes des utilisateurs
? Quid des fonctionnalités que
vous avez placées dans le code ? ...
Imaginez ceci : vous venez juste de finir le débogage de la dernière procédure stockée pour la dernière application SQL Server du département. Etes-vous satisfait de votre travail ? Etesvous certain que votre code T-SQL sera à la hauteur des attentes des utilisateurs ? Quid des fonctionnalités que vous avez placées dans le code ? Avezvous couvert tous les aspects de la gestion ? Chaque fonction tient-elle ses promesses comme prévu dans tous les scénarios d'exploitation normaux?
Même si vous pouvez répondre par
oui à toutes ces questions, le moment
de relâcher votre effort n'est pas encore
venu. Qu'en est-il des suites possibles
? Avez-vous testé les conditions
d'erreur courantes qui ont causé des
problèmes par le passé ? Et qu'en est-il
des gestionnaires d'erreurs ? Sont-ils eux-mêmes impeccables ? Si vous vous
sentez faiblards dans l'un de ces domaines,
il vaut peut-être mieux réévaluer
la manière dont vos procédures
stockées sont testées par unités.
Contrairement aux tests système
que les testeurs professionnels effectuent
après qu'une application ait été
entièrement codée, le test par unités
recherche les erreurs dans des modules
individuels, comme les procédures
stockées, tout au long du développement
de ces modules. Le test par
unités n'est pas difficile mais, pour être
efficace, il exige du planning, de la documentation
et, par-dessus tout, une
compréhension partagée de certains
principes de base. Donc, avant de plonger
dans le processus de test, commençons
par dissiper quelques préjugés
courants sur le test par unités, qui nuisent
souvent à son efficacité.
Audit des bases de données MS SQL Server 7 et 2000
iNetsoft propose un outil pour l'audit des bases de données MS SQL Server 7 et 2000 : OmniAudit de l'éditeur américain Krell Software.
OmniAudit permet d'identifier de manière automatique et transparente toutes les modifications apportées aux données dans vos bases de données Microsoft SQL Server 7.0 ou 2000.
Lire l'articleLes nouveautés de la semaine 47 – Windows 2000 & .Net – 2003
Tous les nouveaux produits du 17 au 21 Novembre 2003
Lire l'articleDénicher des profils et des tendances
par Christine Y. Mato et Greg Meyer - Mis en ligne le 17/03/2004
Une application géologique de data warehousing et de data mining avec
SQL Server 2000
Pour notre master's degree program
en Management of Information Systems,
nous avons dû réaliser un projet
d'analyse visant à apprendre les
nuances du data mining en utilisant
des données « réelles ». Notre travail
précédent utilisait des données qui
avaient été nettoyées afin que les
élèves utilisateurs obtiennent tous les
mêmes résultats...Notre école avait
choisi SQL Server 2000 parce qu'il offre
la fonctionnalité d'une base de données
d'entreprise associée à un faible
prix et à une maintenance facile. Nous
étions libres de choisir le sujet d'analyse.
Beaucoup d'autres élèves ont
choisi les analyses de marketing ou de
vente, mais comme nous avions un bagage
de sciences naturelles, nous
avons préféré les données géologiques
et biologiques. En créant un data warehouse
et en y pratiquant le data mining,
nous avons constaté que SQL
Server 2000 fournit un moyen rapide
pour observer statistiquement les données
géologiques.
Les scientifiques du monde entier
amassent sans cesse de grandes quantités
de données géologiques. C'est à
partir de ces sources que nous avons
obtenu nos données échantillon.
Comme SQL Server est plus facile à utiliser
que la méthodologie statistique traditionnelle, nous avons décidé de
rassembler les sources de données
existantes dans un data warehouse
SQL Server. Nous avons dû aussi utiliser
SQL Server pour vérifier les analyses
originales des données géologiques,
qui avaient été effectuées par
des méthodes statistiques usuelles.
Nous avons construit deux data warehouses
à partir de deux sources de
données géologiques différentes. Ces
sources étaient comparativement petites
parce que notre projet était académique
; mais nous pensons que les
constatations garderaient toute leur
pertinence quelle que soit la taille de
l'ensemble de données. Un ensemble
de données constitué de plus de 20 fichiers
provenait d'une étude de
Eastern Continental Shelf qui avait été
collectée et analysée par le United
States Geological Survey (USGS) entre
1955 et 1970. La seconde base de données
contenait les résultats d'une
étude des effets de la décomposition
de l'enfouissement de six espèces de
bois différentes aux Bahamas et dans le
Golfe du Mexique. La quantité de bois
qui se conserve ou se désagrège dans
l'eau dans le monde est phénoménale.
La décomposition du bois produit des
gaz à effet de serre, mais ce phénomène
cesse quand le bois est enfoui.
Cette étude est intéressante parce
qu'elle procure aux scientifiques des
informations supplémentaires précieuses
sur les sources d'émission
d'hydrocarbures dans notre atmosphère.
La V5R2 offre davantage de BIF au RPG IV
par Bryan Meyers - Mis en ligne le 24/03/2004
Enrichissez vos programmes et facilitez votre coding
RPG IV avec ces nouvelles fonctions intégrées
Depuis ses modestes débuts sous
la forme de huit fonctions en version 3,
la BIF (built-in function) a atteint 75
fonctions en V5R2, soit près de dix fois
plus...L'autre jour, en proie à la nostalgie et
à l'ennui, j'ai relu un article de juillet
1995 que j'avais écrit pour présenter les
fonctions intégrées de RPG IV (voir
« RPG IV's Built-in Functions », sur
www.itpro.fr, Club Abonnés). J'y disais
« IBM introduit les BIF dans RPG avec
seulement quelques opérations de
base, mais attendez-vous à ce que Big
Blue étende grandement ces fonctions
dans les futures releases ». Il s'est avéré
que cette prévision était bien en dessous
de la réalité.
Depuis ses modestes débuts sous
la forme de huit fonctions en version 3,
la BIF (built-in function) a atteint 75
fonctions en V5R2, soit près de dix fois
plus. Ces codes opération en format
libre modernes font désormais partie
intégrante de la syntaxe RPG IV.
Dans cet article, je réexamine le sujet des fonctions intégrées et j'indique
quelques nouvelles BIF que vous
n'avez peut-être pas encore remarquées.
Je crois utile de classer les BIF
en neuf catégories générales, présentées
en figure 1. Certaines fonctions
chevauchent ces catégories quelque
peu suggestives, mais chacune n'est
listée qu'une fois. La figure 1 indique
également quelles releases récentes
supportent chaque BIF.
Article 1585
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Diviser et conquérir
par Edward Whalen, Geoff Langos et Alexander Stamenkovich - Mis en ligne le 26/11/2003
Reconception architecturale + réplication transactionnelle = performance écrasante
Les DBA savent que le premier pas,
pour déterminer la viabilité et la capacité
à long terme d'un système, consiste à effectuer
des mesures de supervision des
performancesLes DBA savent que le premier pas,
pour déterminer la viabilité et la capacité
à long terme d'un système, consiste à effectuer
des mesures de supervision des
performances. C'est dans cet esprit que,
voilà plusieurs années, nous avons conçu un programme chargé de suivre les variations
des performances dans le système
de traitement d'un centre d'appel
sous Windows NT et SQL Server 7.0. Au
début, nous avons constaté que le
Performance Monitor nous donnait bien un programme chargé de suivre les variations
des performances dans le système
de traitement d'un centre d'appel
sous Windows NT et SQL Server 7.0. Au
début, nous avons constaté que le
Performance Monitor nous donnait bien long terme en prenant des instantanés
chaque demi-heure de certaines mesures
comme l'utilisation de la CPU et
des I/O, le nombre d'utilisateurs et de
processus, les traitements de commandes,
et les transactions. Nous avons
rangé ces mesures dans une base de
données SQL Server. L'année où nous
avons commencé notre programme de
supervision, nous n'avons recueilli les
données que pour quelques mois consécutifs.
Et constaté ainsi que les données
glanées pendant une période aussi
courte ne produisaient que des informations
à court terme: trop peu de points
de données pour dessiner une tendance.
En revanche, l'année suivante, quand nous avons supervisé des tranches de
temps plus longues, les données recueillies
ont révélé des tendances significatives.
En une année, nous avons observé
une hausse inquiétante de
l'utilisation de la CPU que nous avons attribuée
à une augmentation des fonctions
applicatives personnalisées dans le
centre et à l'ajout de nombreux utilisateurs
du système.
Beaucoup d’ADO pour rien
par William Vaughn - Mis en ligne le 17/03/2004
Parmi les moyens que les développeurs
désirent le plus, on trouve une
manière éprouvée de déterminer les
meilleurs moyens pour tester et établir
des valeurs NULL dans leurs applications
- quel que soit leur langage.Par
exemple, quand ils doivent signifier
que les dates DateShipped et Date-
Died ont été atteintes et ne sont pas
connues, la plupart des développeurs
de bases de données relationnelles
doivent définir ces données et d'autres
colonnes de données similaires pour
permettre des valeurs NULL. A noter
qu'une valeur NULL dans une colonne
de données n'est pas la même chose
qu'une chaîne vide ou NULL ou tout
autre occupant qui peut servir à montrer
que la valeur n'est pas connue. Le
langage que vous utilisez peut traiter
une chaîne vide ou une valeur placeholder
(comme Unknown) comme
une chaîne ou une valeur valide et
peut stocker un NULL comme une valeur
« connue » dans la base de données.
Le concept de l'état NULL existe
dans les bases de données relationnelles
depuis leur création et les NULL
ont toujours suscité un traitement spécial.
Sans trop m'étendre sur la pertinence
qu'il y a à utiliser des NULL, j'estime
que NULL est un meilleur
placeholder que BHOM (Beats the
Hell Out of Me) que j'utilisais quand
j'enseignais la programmation dans
l'armée US.
En ADO classique, les développeurs
sont confrontés à des valeurs
NULL parce qu'ils ne peuvent pas attribuer
un NULL à une variable numérique,
une chaîne, la propriété Value
d'un contrôle TextBox, ou tout
contrôle qui n'accepte un type de données
variant (que l'on peut mettre à
NULL). Si l'on oublie de traiter les valeurs
NULL et si l'on essaie d'attribuer
un NULL à un contrôle TextBox, Visual
Basic (VB) 6.0 émet un message d'erreur
Invalid Use of NULL (94). Mais
ADO.NET et Visual Basic .NET prennent
mieux en charge les valeurs NULL.
Quand on travaille avec le CLR
(Common Language Runtime) et les
langages .NET, ADO.NET permet de
stocker, de définir, et de tester des valeurs
NULL de diverses manières -
beaucoup plus qu'avec ADO classique.
Cet article utilise Visual Basic .NET
pour présenter la façon dont ADO.NET
et Visual Basic .NET traitent la valeur
NULL.
Script Shell
par Thibault Dambrine - Mis en ligne le 24/03/2004
Pour commencer à construire vos propres scripts shell, vous devez connaître
les rudiments du développement QShell
Comme en langage CL, on peut entrer
des commandes dans l'environnement
Qshell à partir de l'écran d'entrée
de commandes...Dans l'article « Travailler avec des
shells sur l'iSeries » (iSeries News, janvier
2003), Mike Mundy présentait l'environnement
Qshell iSeries. Plus précisément,
il décrivait comment
l'environnement shell est arrivé dans le
monde Unix et Linux et comment il
s'articule avec l'utilisation de Java sur
l'iSeries. Cet article constitue l'étape
suivante : nous y verrons comment
Qshell fonctionne et ce qu'il peut vous
apporter. Ce n'est pas une liste exhaustive
de tout ce que vous pouvez faire
dans un shell, c'est simplement un
point de départ d'où vous pourrez
étendre votre action.
Comme en langage CL, on peut entrer
des commandes dans l'environnement
Qshell à partir de l'écran d'entrée
de commandes. On peut aussi
écrire des instructions Qshell dans un
script, qui seront réexécutées chaque
fois qu'il sera invoqué. Tout comme les
programmes CL, les scripts shell peuvent
être assortis de paramètres,
contenir des variables, utiliser des
conditions de traitement de l'information,
prendre des décisions et modifier
des données.
Au-delà de ce que Qshell peut accomplir
en tant que langage, c'est la
lingua franca du monde Unix/Linux. Ce
seul aspect justifie d'ailleurs qu'on l'apprenne.
Vous tirerez la quintessence
de vos partitions Linux dès lors que
vous saurez utiliser Qshell et écrire des
scripts shell. C'est aussi le seul outil
que vous utiliserez pour démarrer de nombreuses applications pilotées par
Java. C'est ainsi que vous utiliserez
Qshell pour démarrer la dernière version
d'Apache Tomcat, la version écrite
en Java (donc portable) du logiciel serveur
Web le plus répandu à l'heure actuelle. Non seulement Apache est portable,
il est aussi gratuit.
Actualités Windows NT / 2000 – Semaine 07 – 2004
Toutes les Actualités du 09 au 15 Février 2004
Lire l'articleGestion de configuration logicielle
ARCAD Software ouvre sa suite de gestion de configuration logicielle ‘ARCAD Skipper' aux composants multi plates-formes.
Le nouveau module Changer Client permet aux clients iSeries de centraliser l'ensemble de leur patrimoine applicatif sur la plate-forme au travers de l'IFS (Integrated File System).
Lire l'articleDématérialisation des documents
ASP lance sa solution @s MAIL qui répond à la demande actuelle de dématérialisation des documents.
Produit économique, cet outil permet d' envoyer par email tout type de documents ( mailings, factures, relances, courrier, etc…) en incrustant dans le corps d'un message défini par l' utilisateur des informations se trouvant sur ses bases de données AS/400.
Lire l'articleVolume Shadow Copy Service
par Christopher George - Mis en ligne le 17/03/2004
Donner aux utilisateurs le pouvoir de restaurer des fichiers
VSS (Volume Shadow Copy Service)
de Microsoft n'est certes pas le fil
à couper le beurre. Mais, pour la sauvegarde
et la restauration de fichiers, il
pourrait bien venir juste après...VSS, livré
avec Windows Server 2003, crée
une copie ponctuelle des fichiers stockés
dans des dossiers de réseau partagés
- même ceux qui sont ouverts ou
verrouillés. Les applications peuvent
continuer à écrire des données dans le
volume disque pendant le processus
shadow copy, ce qui dispense d'effectuer
des sauvegardes avant ou après les
heures ouvrables. De plus, une sauvegarde
de copie volume permet aux utilisateurs
d'effectuer des restaurations
de fichiers, allégeant du même coup la
tâche de l'administrateur qui n'a plus à
intervenir pour des opérations de restauration
basiques.
Lister tous les index
par Kent Milligan - Mis en ligne le 17/03/2004
Pour analyser rapidement les problèmes de performance de la base de données
La possibilité de créer des objets
base de données avec à la fois DDS et
SQL peut rendre difficile la recherche
de tous les objets base de données associés
à une table (ou fichier physique)...C'est particulièrement vrai
pour les index sur DB2 UDB for iSeries.
Voici tous les objets qui pourraient
avoir besoin d'un index de base de
données pour être créés (ou partagés)
sur DB2 UDB for iSeries :
- Index SQL
- Fichiers logiques avec clés
- Fichiers physiques avec clés
- Clés primaires, clés étrangères et contraintes uniques
A l'heure actuelle, aucune interface iSeries ne peut à elle seule fournir la liste complète des index pour une table. La commande CL DspDbR (Display Database Relations) donne une liste de tous les index SQL et des fichiers logiques avec clés, mais elle ne fournit aucune information sur les index qui sont associés à un fichier physique avec clés ou à des contraintes de base de données. La commande DspFD (Display File Description) renvoie une liste des index associés avec contraintes et fichiers physiques avec clés, mais elle ne donne pas d'information sur les index SQL et sur les fichiers logiques avec clés. Même le composant Database Navigator d'iSeries Navigator (précédemment Operations Navigator, OpsNav) omet les index de fichiers physiques avec clés de sa représentation graphique de tous les index associés à une table.
L'utilitaire de listing des index résout ce problème en offrant une méthode unique (une procédure stockée) que l'on peut appeler pour produire une liste de tous les index pour une table particulière. Le listing des index produit cette liste en appliquant les requêtes aux vues du catalogue de base de données dans la bibliothèque QSys2 et les fichiers à référence croisée du système de base de données dans la bibliothèque QSys. En utilisant les requêtes, l'utilitaire se dispense de créer d'abord un fichier de sortie (en utilisant les commandes système) ou tout autre type de table de travail. (La source pour l'utilitaire de listing des index peut être téléchargée à l'adresse www.itpro.fr Club Abonnés). Lire l'article
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