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News iSeries – Semaine 47 – 2003

News iSeries – Semaine 47 – 2003

Actualités du 17 au 21 Novembre 2003

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Actualités Windows NT / 2000 – Semaine 13 – 2004

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Toutes les Actualités du 22 au 28 Mars 2004

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Actualités Windows NT / 2000 – Semaine 10 – 2004

Actualités Windows NT / 2000 – Semaine 10 – 2004

Toutes les Actualités du 08 au 14 Mars 2004

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Remote Storage Service

Remote Storage Service

par Jerry Cochran - Mis en ligne le 10/03/2004

Ce que RSS peut vous apporter

Si vous travaillez dans les technologies de l'information (IT) depuis un certain temps, vous savez que la promesse de HSM (Hierchical Storage Management) a précédé la plate-forme Windows. HSM permet d'élaguer les données du stockage total...Récemment encore, je ne m'intéressais pas beaucoup au Microsoft RSS (Remote Storage Service). Mais de plus en plus de sociétés songent à  déployer leurs serveurs et applications Windows sur des SAN (Storage Area Networks) de grande capacité et autres environnements « storage utility » ; et comme les données applicatives sont toujours plus volumineuses, les administrateurs Windows ne peuvent plus se permettre d'ignorer RSS. Examinons-le donc de plus près et voyons ce qu'il peut faire pour votre entreprise.

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7 étapes pour le cryptage SSL

7 étapes pour le cryptage SSL

par Gary Zaika - Mis en ligne le 21/01/2004

Instaurez le cryptage automatique dans un environnement SQL Server 2000 en cluster

Dans SQL Server 2000, Microsoft a introduit de nouvelles fonctions pour apporter toujours plus à  ses clients en matière de sécurité des données. A cet égard, il existe une fonction peu comprise : le support automatique du trafic de réseau crypté par SSL ( Secure Sockets Layer) entre les clients et le serveur.

Dans SQL Server 2000, Microsoft a introduit de nouvelles fonctions pour apporter toujours plus à  ses clients en matière de sécurité des données. A cet égard, il existe une fonction peu comprise : le support automatique du trafic de réseau crypté par SSL ( Secure Sockets Layer) entre les clients et le serveur. Certes, le cryptage ralentit légèrement la performance parce qu'il demande des actions supplémentaires des deux côtés de la connexion réseau. Mais, pour les utilisateurs soucieux de sécuriser leurs communications en réseau, les avantages du cryptage l'emportent largement sur ce léger ralentissement. Le cryptage est particulièrement utile quand les clients se connectent au SQL Server par Internet et que les données empruntent des réseaux publics.
Le cryptage SSL est devenu un standard : c'est celui que la plupart des entreprises utilisent pour leurs applications Internet et e-commerce. Il existe deux niveaux de cryptage SSL, 40 bits et 128 bits, qui offrent différents types de protection. SQL Server 2000 gère les deux niveaux de cryptage. Pour faire fonctionner le cryptage SSL, vous devez obtenir une clé (ou certificat) valide auprès d'une CA (Certificate Authority) de confiance ou trusted. Après avoir installé le certificat sur un système qui utilise SQL Server 2000, vous pouvez configurer SQL Server pour qu'il impose le cryptage entre les clients et le serveur. Windows 2000 est livré avec son propre CA utilisable pour des applications intranet. La plupart des sociétés utilisent des CA tierce partie pour les applications Internet. (Pour plus d'informations sur les CA, voir l'encadré « Principes de base du CA », ci-après).
Le cryptage SSL est différent du cryptage Multiprotocol Net-Library que l'on trouve dans les releases SQL Server antérieures à  SQL Server 2000. Le cryptage SSL supporte toutes les bibliothèques et protocoles de réseau, y compris les types les plus répandus : TCP/IP et Name Pipes (pour des installations en cluster, seules ces deux bibliothèques de réseau sont disponibles). Vous pouvez aussi utiliser le cryptage SSL pour des instances multiples de SQL Server, alors que le cryptage Multiprotocol Net-Library qui utilise l'API de cryptage Windows RPC, ne reconnaît que l'instance par défaut de SQL Server 2000. Le client ou le serveur (mais pas les deux) peut demander le cryptage SSL. Le cryptage demandé par le client précise que toutes les communications allant de ce client à  tous les serveurs connectés seront cryptées. Le cryptage demandé par le serveur stipule que toutes les connexions entrant dans le serveur seront cryptées puis décryptées sur celui-ci.
Il est plus difficile de configurer le cryptage pour des instructions en cluster que pour un serveur autonome. Beaucoup de sources expliquent comment installer le cryptage SSL sur une seule boîte, mais il est plus difficile de trouver des informations sur l'installation du cryptage SSL dans un environnement en cluster. Malheureusement, SQL Server Books Online (BOL) ne renseigne pas beaucoup sur la manière de configurer le cryptage SSL et ne fait qu'effleurer les exigences de configuration pour un environnement en cluster. Il faut aussi chercher à  l'extérieur de BOL pour obtenir des informations sur la manière d'installer les certificats d'authentification appropriés. Mais, avec des instructions claires, la mise en place du cryptage SSL s'effectue sans mal. Voyons en détail comment installer le cryptage SSL dans un environnement en cluster pour une société fictive appelée IDM.

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Faciliter les appels de programme à  partir de java

Faciliter les appels de programme à  partir de java

L’excellente interface de PCML simplifie la conversion de paramètres lors de l’appel de programmes iSeries à partir de JavaLa plupart des développeurs iSeries qui s’intéressent à Java n’envisagent pas de remplacer leurs applications RPG par Java : ils songent plutôt à intégrer Java dans leur outil de développement. Plus particulièrement, les développeurs iSeries veulent créer des applications Java capables d’utiliser les données et la logique de gestion iSeries. Bien qu’une application Java puisse accéder aux données iSeries directement en utilisant l’accès au niveau enregistrement ou JDBC, il vaut souvent mieux appeler un programme RPG ou Cobol en utilisant Java. C’est pour faciliter cette manœuvre qu’IBM a créé PCML (Program Call Markup Language) – un dialecte XML spécialisé qui permet de définir les paramètres de l’appel de programme par la terminologie iSeries familière.
Nous verrons comment développer et utiliser un document PCML pour appeler un programme iSeries à partir d’une application Java. Mais voyons d’abord quand une telle approche est intéressante.

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Actualités Windows NT / 2000 – Semaine 47- 2003

Actualités Windows NT / 2000 – Semaine 47- 2003

Toutes les Actualités du 17 au 21 Novembre 2003

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Les nouveautés de la semaine 13 – Windows 2000 et .Net – 2004

Les nouveautés de la semaine 13 – Windows 2000 et .Net – 2004

Tous les nouveaux produits du 22 au 28 Mars 2004

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Les nouveautés de la semaine 10 – Windows 2000 et 2003 – 2004

Les nouveautés de la semaine 10 – Windows 2000 et 2003 – 2004

Tous les nouveaux produits du 08 au 14 Mars 2004

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Actualités – Février 2004

Actualités – Février 2004

Les actualités SQL Server pour le mois de Février 2004

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Testez par unités vos procédures stockées

Testez par unités vos procédures stockées

par Dan Sawyer - Mis en ligne le 21/01/2004

Mettez en forme votre code de procédure

Imaginez ceci : vous venez juste de finir le débogage de la dernière procédure stockée pour la dernière application SQL Server du département. Etes-vous satisfait de votre travail ? Etesvous certain que votre code T-SQL sera à  la hauteur des attentes des utilisateurs ? Quid des fonctionnalités que vous avez placées dans le code ? ...

Imaginez ceci : vous venez juste de finir le débogage de la dernière procédure stockée pour la dernière application SQL Server du département. Etes-vous satisfait de votre travail ? Etesvous certain que votre code T-SQL sera à  la hauteur des attentes des utilisateurs ? Quid des fonctionnalités que vous avez placées dans le code ? Avezvous couvert tous les aspects de la gestion ? Chaque fonction tient-elle ses promesses comme prévu dans tous les scénarios d'exploitation normaux?

Même si vous pouvez répondre par oui à  toutes ces questions, le moment de relâcher votre effort n'est pas encore venu. Qu'en est-il des suites possibles ? Avez-vous testé les conditions d'erreur courantes qui ont causé des problèmes par le passé ? Et qu'en est-il des gestionnaires d'erreurs ? Sont-ils eux-mêmes impeccables ? Si vous vous sentez faiblards dans l'un de ces domaines, il vaut peut-être mieux réévaluer la manière dont vos procédures stockées sont testées par unités.
Contrairement aux tests système que les testeurs professionnels effectuent après qu'une application ait été entièrement codée, le test par unités recherche les erreurs dans des modules individuels, comme les procédures stockées, tout au long du développement de ces modules. Le test par unités n'est pas difficile mais, pour être efficace, il exige du planning, de la documentation et, par-dessus tout, une compréhension partagée de certains principes de base. Donc, avant de plonger dans le processus de test, commençons par dissiper quelques préjugés courants sur le test par unités, qui nuisent souvent à  son efficacité.

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Audit des bases de données MS SQL Server 7 et 2000

Audit des bases de données MS SQL Server 7 et 2000

iNetsoft propose un outil pour l'audit des bases de données MS SQL Server 7 et 2000 : OmniAudit de l'éditeur américain Krell Software.

OmniAudit permet d'identifier de manière automatique et transparente toutes les modifications apportées aux données dans vos bases de données Microsoft SQL Server 7.0 ou 2000.

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Les nouveautés de la semaine 47 – Windows 2000 & .Net – 2003

Les nouveautés de la semaine 47 – Windows 2000 & .Net – 2003

Tous les nouveaux produits du 17 au 21 Novembre 2003

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Dénicher des profils et des tendances

Dénicher des profils et des tendances

par Christine Y. Mato et Greg Meyer - Mis en ligne le 17/03/2004

Une application géologique de data warehousing et de data mining avec SQL Server 2000

Pour notre master's degree program en Management of Information Systems, nous avons dû réaliser un projet d'analyse visant à  apprendre les nuances du data mining en utilisant des données « réelles ». Notre travail précédent utilisait des données qui avaient été nettoyées afin que les élèves utilisateurs obtiennent tous les mêmes résultats...Notre école avait choisi SQL Server 2000 parce qu'il offre la fonctionnalité d'une base de données d'entreprise associée à  un faible prix et à  une maintenance facile. Nous étions libres de choisir le sujet d'analyse. Beaucoup d'autres élèves ont choisi les analyses de marketing ou de vente, mais comme nous avions un bagage de sciences naturelles, nous avons préféré les données géologiques et biologiques. En créant un data warehouse et en y pratiquant le data mining, nous avons constaté que SQL Server 2000 fournit un moyen rapide pour observer statistiquement les données géologiques.
Les scientifiques du monde entier amassent sans cesse de grandes quantités de données géologiques. C'est à  partir de ces sources que nous avons obtenu nos données échantillon. Comme SQL Server est plus facile à  utiliser que la méthodologie statistique traditionnelle, nous avons décidé de rassembler les sources de données existantes dans un data warehouse SQL Server. Nous avons dû aussi utiliser SQL Server pour vérifier les analyses originales des données géologiques, qui avaient été effectuées par des méthodes statistiques usuelles. Nous avons construit deux data warehouses à  partir de deux sources de données géologiques différentes. Ces sources étaient comparativement petites parce que notre projet était académique ; mais nous pensons que les constatations garderaient toute leur pertinence quelle que soit la taille de l'ensemble de données. Un ensemble de données constitué de plus de 20 fichiers provenait d'une étude de Eastern Continental Shelf qui avait été collectée et analysée par le United States Geological Survey (USGS) entre 1955 et 1970. La seconde base de données contenait les résultats d'une étude des effets de la décomposition de l'enfouissement de six espèces de bois différentes aux Bahamas et dans le Golfe du Mexique. La quantité de bois qui se conserve ou se désagrège dans l'eau dans le monde est phénoménale. La décomposition du bois produit des gaz à  effet de serre, mais ce phénomène cesse quand le bois est enfoui. Cette étude est intéressante parce qu'elle procure aux scientifiques des informations supplémentaires précieuses sur les sources d'émission d'hydrocarbures dans notre atmosphère.

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La V5R2 offre davantage de BIF au RPG IV

La V5R2 offre davantage de BIF au RPG IV

par Bryan Meyers - Mis en ligne le 24/03/2004

Enrichissez vos programmes et facilitez votre coding RPG IV avec ces nouvelles fonctions intégrées

Depuis ses modestes débuts sous la forme de huit fonctions en version 3, la BIF (built-in function) a atteint 75 fonctions en V5R2, soit près de dix fois plus...L'autre jour, en proie à  la nostalgie et à  l'ennui, j'ai relu un article de juillet 1995 que j'avais écrit pour présenter les fonctions intégrées de RPG IV (voir « RPG IV's Built-in Functions », sur www.itpro.fr, Club Abonnés). J'y disais « IBM introduit les BIF dans RPG avec seulement quelques opérations de base, mais attendez-vous à  ce que Big Blue étende grandement ces fonctions dans les futures releases ». Il s'est avéré que cette prévision était bien en dessous de la réalité.

Depuis ses modestes débuts sous la forme de huit fonctions en version 3, la BIF (built-in function) a atteint 75 fonctions en V5R2, soit près de dix fois plus. Ces codes opération en format libre modernes font désormais partie intégrante de la syntaxe RPG IV.
Dans cet article, je réexamine le sujet des fonctions intégrées et j'indique quelques nouvelles BIF que vous n'avez peut-être pas encore remarquées. Je crois utile de classer les BIF en neuf catégories générales, présentées en figure 1. Certaines fonctions chevauchent ces catégories quelque peu suggestives, mais chacune n'est listée qu'une fois. La figure 1 indique également quelles releases récentes supportent chaque BIF.

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Article 1585

Article 1585

Windows & .Net Magazine s'est enrichit de nouveaux contenus, conciliant « dossiers stratégiques & technologiques », au sein d'une tout nouvelle maquette, découvrez ici en exclusivité le sommaire de l'édition de Mars 2004 consacrée à  Active Directory et bénéficiez d'une offre d'abonnement unique ...

Windows & .Net Magazine: est une publication unique dédiée à  l'accompagnement des compétences et l'expertise des responsables informatiques, en charge des environnements Windows Server.

Au sommaire de la prochaine édition de Mars 2004 un numéro largement consacrés à  Active Directory, mais aussi, à  l'administration des correctifs clients avec SUS, la gestion des compte administrateurs, l'explication et l'utilisation du sous système ETW plus et nombreux trucs et astuces.

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News iSeries – Semaine 03 – 2004

News iSeries – Semaine 03 – 2004

Toutes les actualités du 12 au 18 Janvier 2004

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Actualités – Novembre 2003

Actualités – Novembre 2003

Les actualités SQL Server pour le mois de Novembre

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Diviser et conquérir

Diviser et conquérir

par Edward Whalen, Geoff Langos et Alexander Stamenkovich - Mis en ligne le 26/11/2003

Reconception architecturale + réplication transactionnelle = performance écrasante

Les DBA savent que le premier pas, pour déterminer la viabilité et la capacité à  long terme d'un système, consiste à  effectuer des mesures de supervision des performancesLes DBA savent que le premier pas, pour déterminer la viabilité et la capacité à  long terme d'un système, consiste à  effectuer des mesures de supervision des performances. C'est dans cet esprit que, voilà  plusieurs années, nous avons conçu un programme chargé de suivre les variations des performances dans le système de traitement d'un centre d'appel sous Windows NT et SQL Server 7.0. Au début, nous avons constaté que le Performance Monitor nous donnait bien un programme chargé de suivre les variations des performances dans le système de traitement d'un centre d'appel sous Windows NT et SQL Server 7.0. Au début, nous avons constaté que le Performance Monitor nous donnait bien long terme en prenant des instantanés chaque demi-heure de certaines mesures comme l'utilisation de la CPU et des I/O, le nombre d'utilisateurs et de processus, les traitements de commandes, et les transactions. Nous avons rangé ces mesures dans une base de données SQL Server. L'année où nous avons commencé notre programme de supervision, nous n'avons recueilli les données que pour quelques mois consécutifs. Et constaté ainsi que les données glanées pendant une période aussi courte ne produisaient que des informations à  court terme: trop peu de points de données pour dessiner une tendance. En revanche, l'année suivante, quand nous avons supervisé des tranches de temps plus longues, les données recueillies ont révélé des tendances significatives. En une année, nous avons observé une hausse inquiétante de l'utilisation de la CPU que nous avons attribuée à  une augmentation des fonctions applicatives personnalisées dans le centre et à  l'ajout de nombreux utilisateurs du système.

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Beaucoup d’ADO pour rien

Beaucoup d’ADO pour rien

par William Vaughn - Mis en ligne le 17/03/2004

Parmi les moyens que les développeurs désirent le plus, on trouve une manière éprouvée de déterminer les meilleurs moyens pour tester et établir des valeurs NULL dans leurs applications - quel que soit leur langage.Par exemple, quand ils doivent signifier que les dates DateShipped et Date- Died ont été atteintes et ne sont pas connues, la plupart des développeurs de bases de données relationnelles doivent définir ces données et d'autres colonnes de données similaires pour permettre des valeurs NULL. A noter qu'une valeur NULL dans une colonne de données n'est pas la même chose qu'une chaîne vide ou NULL ou tout autre occupant qui peut servir à  montrer que la valeur n'est pas connue. Le langage que vous utilisez peut traiter une chaîne vide ou une valeur placeholder (comme Unknown) comme une chaîne ou une valeur valide et peut stocker un NULL comme une valeur « connue » dans la base de données. Le concept de l'état NULL existe dans les bases de données relationnelles depuis leur création et les NULL ont toujours suscité un traitement spécial. Sans trop m'étendre sur la pertinence qu'il y a à  utiliser des NULL, j'estime que NULL est un meilleur placeholder que BHOM (Beats the Hell Out of Me) que j'utilisais quand j'enseignais la programmation dans l'armée US.
En ADO classique, les développeurs sont confrontés à  des valeurs NULL parce qu'ils ne peuvent pas attribuer un NULL à  une variable numérique, une chaîne, la propriété Value d'un contrôle TextBox, ou tout contrôle qui n'accepte un type de données variant (que l'on peut mettre à  NULL). Si l'on oublie de traiter les valeurs NULL et si l'on essaie d'attribuer un NULL à  un contrôle TextBox, Visual Basic (VB) 6.0 émet un message d'erreur Invalid Use of NULL (94). Mais ADO.NET et Visual Basic .NET prennent mieux en charge les valeurs NULL. Quand on travaille avec le CLR (Common Language Runtime) et les langages .NET, ADO.NET permet de stocker, de définir, et de tester des valeurs NULL de diverses manières - beaucoup plus qu'avec ADO classique. Cet article utilise Visual Basic .NET pour présenter la façon dont ADO.NET et Visual Basic .NET traitent la valeur NULL.

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