
Données SQL Server 2000 Windows CE Edition
Syware annonce que son environnement de développement d'applications, Visual CE, supporte maintenant la création de formulaires qui utilisent les données à partir des bases de données SQL Server 2000 Windows CE Edition.
En utilisant l'outil add-on de Syware, sqlceEnable, les développeurs Visual CE peuvent utiliser les données à partir de n'importe quelle base de données SQL Server CE afin de créer des formulaires mobiles pour diverses applications, du suivi à la gestion des inventaires.
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GFI MailEssentials for Exchange/SMTP 10.1
GFI MailEssentials for Exchange/SMTP 10.1 est une solution anti-spam de serveur qui possède une fonctionnalité Sender Policy Framework (SPF).
Le SPF reçoit rapidement l'approbation des organisations comme étant une méthode clé de blocage de spam par identification de l'expéditeur. Cette fonctionnalité permet aux utilisateurs de vérifier automatiquement si un email particulier provient d'une adresse non valide.
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Chrono-Logic présente iAM
Chrono-Logic présente iAM - for Development v 4.0, solution de gestion des changements pour programmeurs utilisant les outils de développement Lansa.
iAM - for Development est entièrement écrit en Visual LANSA et offre aux utilisateurs le choix d'interfaces « écran vert » ou Windows.
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Prévention des sinistres
par Kalen Delaney - Mis en ligne le 27/10/2004 - Publié en Octobre 2003
Se préparer au pire
Nombreux sont ceux qui divisent le
sujet de la haute disponibilité en deux parties
: prévention des sinistres et reprise
après sinistreEn réfléchissant à cet article et
en essayant de déterminer quelles activités
constituent la prévention des sinistres et
lesquelles constituent la reprise après sinistre,
j'ai constaté que la ligne de démarcation
entre les deux n'est pas si nette. J'ai
aussi pris conscience que, pour faire la distinction
entre la prévention des sinistres et
la reprise après sinistre, il faut définir clairement
ce qu'est un « sinistre » pour l'entreprise.
Si l'on définit le sinistre comme quelque
chose d'extérieur au domaine technique,
comme une inondation ou un tremblement
de terre, il est impossible de le
prévenir, au moins pour l'équipe IT. Dans
un tel cas, il faut se concentrer sur la préparation
au sinistre. Mais s'il s'agit de sinistres
purement technologiques, il est difficile de
tracer la frontière entre la prévention et la
reprise. Ainsi, si vous considérez que la
perte de votre SQL Server est un sinistre,
vous pouvez mettre en place un environnement
SQL Server en cluster tel qu'un SQL
Server sur une autre machine prenne automatiquement
le relais du serveur défaillant.
Ce mécanisme est la réponse au sinistre
que constitue la perte du SQL Server
primaire. Cependant, la plupart des gens
considèrent une solution cluster comme
une prévention des sinistres.
Dans le même esprit, nombreux sont
ceux qui considèrent que les stratégies de
sauvegarde et restauration entrent dans le
cadre de la reprise après sinistre. Or, si l'on
définit un sinistre comme une perte de
données et si une restauration complète à
partir des sauvegardes empêche la perte de
données due à un événement catastrophique,
le sinistre s'est-il produit ou l'avezvous
prévenu ? Comme il faut de bonnes
sauvegardes pour mener une restauration
complète et qu'il faut les effectuer avant
que la catastrophe ne frappe, on peut considérer
une bonne stratégie de sauvegarde
comme une technique de prévention des
sinistres.
Mais alors, qu'est-ce qui constitue exactement
un sinistre ? Du point de vue de cet
article, un sinistre est une perte de données
de production ou une immobilisation qui
entraîne une perte de productivité. En ce
qui vous concerne, si vous considérez
qu'un événement particulier est une catastrophe
pour votre entreprise, c'est un
sinistre.
Quand je distingue la prévention des sinistres
et la reprise après sinistre, j'entends
que la prévention est ce que l'on peut faire
avant que quelque chose n'arrive et la
reprise est ce que l'on fait après. Le
« quelque chose » peut être un événement
que l'on peut prévenir, comme des défaillances de disque multiples, ou ce
peut être un événement qu'il est impossible
de prévenir, comme un tremblement
de terre. Dans ce dernier cas,
vous ne cherchez pas des moyens de
prévenir l'événement : vous recherchez
des moyens pour être préparés et
prévenir une perte inacceptable de
données ou de productivité. L'encadré
« Une vraie reprise est-elle toujours
possible ? » décrit les expériences personnelles
de l'un des meilleurs experts
mondiaux en prévention de sinistres
sur SQL Server, après le choc du 11
septembre 2001. Et il souligne à quel
point la planification, la préparation et
la persévérance sont importantes pour
assurer la survie de l'entreprise après
un sinistre. Voyons quelques meilleures
pratiques qui vous aideront à
vous préparer au pire.

Le meilleur de Web Matrix
par Michael Otey - Mis en ligne le 20/10/2004 - Publié en Octobre 2003
Web Matrix est un outil de développement
d'application graphique destiné
au nouveau framework applicatif
Web ASP.NET de Microsoft. Téléchargeable
gratuitement, il inclut un sousensemble
des fonctions de développement
de Visual Studio .NET.C'est aussi
un excellent moyen de se mettre dans
le bain en utilisant ASP.NET sans acquérir
une copie complète de Visual
Studio .NET. Web Matrix requiert
Windows XP ou Windows 2000 et est livré
avec le support pour les bases de
données SQL Server et MSDE
(Microsoft Data Engine). Pour télécharger
l'outil, allez à http://www.asp.
net et sélectionnez l'onglet Web Matrix
en haut de la page. Voici les sept points
forts de Web Matrix.

Technologie cache FRCA de la V5R2, Première partie
par Brian R. Smith - Mis en ligne le 29/09/2004 - Publié en Décembre 2003
Dopez votre livraison de contenu Web
Le FRCA (Fast Response Cache
Accelerator) est une nouvelle architecture
de caching pour l'iSeries HTTP
Server (animé par Apache) introduite
dans la V5R2 (toutes les références à
HTTP Server de cet article sous-entendent
HTTP Server animé par Apache)...FRCA constitue un bond technologique
spectaculaire pour l'iSeries,
parce qu'il peut livrer le contenu Web
jusqu'à sept fois plus vite qu'en utilisant
des fichiers servis par l'IFS (integrated
file system) et plus de quatre
fois plus vite que le cache local traditionnel
dans le HTTP Server. FRCA
offre cette performance tout en utilisant
environ de quatre à sept fois
moins de ressources de CPU par transaction.
Ces deux possibilités jointes
confèrent à FRCA une puissance hors
du commun.
Ceci est le premier de deux articles
sur cette importante nouvelle technologie.
Cette 1re partie donne une vue
d'ensemble des possibilités et des
fonctions de FRCA. La 2e partie, prévue
dans un futur numéro d'iSeries
NEWS, expliquera comment configurer
un HTTP Server pour traiter à la fois
le caching reverse-proxy et local FRCA.

Les nouveautés de la semaine 39 – Windows 2000 et .Net – 2004
Tous les nouveaux produits du 20 au 26 Septembre 2004
Lire l'article
News iSeries – Semaine 36 – 2004
Toutes les actualités du 30 Août au 5 Septembre 2004
Lire l'article
Déploiement entre le poste et la sécurité
Connectivity Secure Term de Hummingbird fournit une émulation de terminal sécurisée et des services de transfert de fichiers pour iSeries fonctionnant avec Linux.
Connectivity Secure Term offre un choix de déploiement entre le poste et la sécurité de type browser pour les clients connectés aux hôtes Linux et Unix.
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Administration de systèmes multi plates-formes
Sysgem ajoute le support iSeries à la dernière version de Sysgem Enterprise Manager (SEM), sa suite de gestion de système multi plates-formes.
SEM fournit un compte utilisateur centralisé, une gestion du développement et du système, et les fonctions de contrôle de la sécurité pour les utilisateurs iSeries, Linux, Unix, Windows et autres serveurs.
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Sous-fichiers côte à côte
par Paul Morris - Mis en ligne le 04/11/2004 - Publié en Décembre 2003
Affichez deux sous-fichiers côte à côte sur un écran passif
J'ai récemment écrit un programme
où il fallait présenter deux sous-fichiers
côte à côte. Comme je ne pouvais pas
le faire de manière classique avec DDS,
j'ai consulté mes livres et la littérature
sur le sujet pour voir les techniques
disponibles...La première des deux méthodes
rencontrées consistait à simuler des
sous-fichiers en utilisant un format
d'affichage classique de type non-sousfichier,
avec les lignes répétitives et
toutes les données contenues dans
une structure de données à occurrences
multiples. Si cette méthode a
de quoi séduire l'utilisateur, sa programmation
n'est pas élégante.
La seconde technique consistait à
avoir chaque sous-fichier dans une fenêtre
séparée et à utiliser une touche
de fonction pour faire alterner les fenêtres.
Ici, la programmation est plus
facile mais les utilisateurs ont plus de
difficulté.
Comme aucune de ces approches
ne me convenait, j'ai mis au point la
technique que j'explique dans cet article.
Je pense d'ailleurs qu'elle sera
utile dans d'autres circonstances.


Panorama de WebSphere Studio
par Sharon L. Hoffman - Mis en ligne le 6/10/2004 - Publié en Décembre 2003
Pour bien démarrer, il faut savoir comment WebSphere Studio est organisé
WDSc (WebSphere Development
Studio Client) for iSeries est aujourd'hui
sous les feux de la rampe. Pour
IBM, c'est l'outil qui conduira finalement
les développeurs iSeries dans un
environnement de développement
d'applications plus moderne...Pour
beaucoup de développeurs, c'est l'occasion
d'apprendre de nouvelles techniques
de programmation, comme
Java et XML. Enfin, beaucoup de gens
se demandent tout simplement ce
qu'est exactement WDSc.
Comme expliqué dans l'article
« WebSphere Studio : clarification »
iSeries News novembre 2003, les développeurs
iSeries ont de bonnes raisons
d'analyser WDSc. Mais dès qu'on est
prêt à explorer WDSc for iSeries, on se
trouve face à un autre obstacle : une interface
complètement étrangère.

Quelle est la réalité des services web ?
par Sean Chandler - Mis en ligne le 10/11/2004 - Publié en Février 2004
Evaluer le vrai potentiel derrière les apparences
A en croire le matraquage qui inonde l'industrie IT,
chaque homme, femme et enfant de la planète pratique le
développement de services Web. A tel point qu'une grande
chaîne de télévision élabore un reality show inspiré des
services Web.Sous le nom éventuel de « Survivor : Web
Services », cette série dresse deux équipes de programmeurs
l'une contre l'autre dans une série de jeux de coding complexes,
sur une île déserte.
Bon, d'accord, il n'y a peut-être pas de spectacle télévisé,
mais il est certain qu'on fait beaucoup de tapage sur le sujet
des services Web. Mais qui peut-on croire ? A un bout du
spectre, les professionnels IT voient les services Web comme
une percée technologique qui transformera la manière dont
les applications seront développées et déployées à l'avenir. A
l'autre bout du spectre, d'autres professionnels IT voient les
services Web simplement comme un prétendue panacée logicielle
qui n'a aucune chance d'influencer notablement le
monde applicatif.
En définitive, le seul moyen objectif d'évaluer l'impact
potentiel des services Web est de découvrir qui est actuellement
en train de développer, de déployer ou de prévoir des
services Web dans l'industrie IT. A cet effet, la firme Gartner
(http://www.gartner.com) a mené deux enquêtes en février
2003 pour mesurer l'attrait des services Web aujourd'hui et à
l'avenir.
La première enquête a visé 50 entreprises d'Amérique du
Nord dont le chiffre d'affaires annuel dépassait 500 millions
de dollars. Pour les besoins de cet article, appelons cela
« l'Enquête 50 ». Bien que le groupe interviewé ait été relativement
petit, la taille des entreprises ciblées donne une
bonne idée de ce que les grands comptes pensent des services
Web.
La seconde enquête a touché plus de 100 entreprises
d'Amérique du Nord ayant plus de 1 000 employés et qui envisagent
de déployer les services Web dans les 12 à 24 prochains
mois. Appelons cela, « l'Enquête 100 ». A l'évidence, le
groupe interrogé n'est pas vraiment neutre et penche plutôt
vers le déploiement des services Web. L'enquête n'en a pas
moins dégagé quelques enseignements utiles.
On notera que les deux études se situent en Amérique du
Nord. Or, différents pays ont différents degrés d'intérêt et différents
rythmes de déploiement des services Web. Par conséquent,
soyez prudent avant d'extrapoler les résultats de l'enquête.

SQL Server, nouveau socle du décisionnel
par par Catherine China - Mis en ligne le 16/09/2004 - Publié en Janvier 2004
SQL Server sort du monde relationnel pour s'ancrer définitivement dans le décisionnel.
Stan Sorensen, Directeur Monde SQL Server nous explique comment Yukon, le SGBD de
nouvelle génération, se promet de devenir l'épine dorsale de la stratégie Business
Intelligence de Microsoft.SQL Server Mag : Quelle est la position
actuelle de SQL Server sur le marché des
systèmes de base de données ?
Stan Sorensen : SQL Server est la seule base
de données du marché à afficher une croissance
de 8 % des ventes de licence en 2002 et
une croissance de 16.8 % sur le segment des SGBDR. Par
ailleurs, avec une croissance de 25 % en 2002, SQL Server est
aujourd'hui la base de données leader du marché OLAP.
Reste qu'en France, le SGBD est encore mieux accepté par
les PME que par les grands groupes. Une attitude de méfiance
en partie due au problème d'image véhiculée par
Microsoft et à un manque de communication et de marketing.
Quels sont aujourd'hui les principaux moteurs de
croissance du marché SQL Server ?
S. S : Le marché des bases de données OLAP n'est certes pas
aussi fructueux que celui du transactionnel et du relationnel
mais il bénéficie d'un potentiel de croissance beaucoup plus
important. Dans le passé, les entreprises effectuaient d'importants
investissements pour intégrer de lourds volumes de
données dans des SGBDR. Aujourd'hui, le challenge est totalement
différent : elles souhaitent extraire des données réparties
dans des bases disparates, les utiliser de manière intelligente,
comprendre le lien qui les unit via des fonctions
d'agrégation pour au final optimiser leurs activités. C'est
donc tout l'univers de la Business Intelligence qui se
présente comme moteur de croissance pour
le monde SQL Server via les moteurs OLAP,
les systèmes ETL, les outils de reporting. La
réduction des coûts est l'autre moteur de
croissance du marché. SQL Server est un système
de gestion de plus en plus prisé par les
entreprises, car il coûte moins cher à exploiter
et à maintenir que les autres systèmes opérant sous Unix.

Gestion des impressions dans INFINITE NET 3.1
California Software présente diverses améliorations pour la gestion des impressions dans INFINITE NET 3.1, mise à jour de sa suite de produits pour iSeries et mainframe.
Une nouvelle fonction Remote Client Printing supporte la sortie des travaux d'impression iSeries spoolés en utilisant les contrôles LPR/LPD et Windows Print Manager.
Lire l'article
Sous les sunlights du Back Office
par par Jean Mikhaleff - Mis en ligne le 22/12/2004 - Publié en Février 2004
Tout le monde se rappelle les images saisissantes du début du film « 2001
l'Odyssée de l'espace. » qui préfiguraient le 21ième siècle. On y voyait deux
groupes de singes en conflit pour un territoire ayant accès à l'eau. Un groupe finalement
domina l'autre grâce à l'usage empirique de bâtons ramassés au hasard.
L'un d'eux, à l'origine de cette invention, donna un nom, ou plus exactement un
cri à ce qui allait devenir le tout premier outil ...Nous sommes maintenant arrivés au tout début du 21ième siècle.
Contrairement à ce qu'annonçait le film, nous n'avons pas de vaisseaux spatiaux et
encore moins d'ordinateurs susceptibles de prendre le pouvoir à notre place.
Néanmoins, nous sommes en train de vivre une aventure intéressante qu'aucun
auteur de science fiction n'aurait pu imaginer. L'un des outils majeurs de notre
siècle en est train de trouver son nom.
Nous savons depuis l'origine de l'humanité que ce qui n'a pas été nommé
n'existe pas. Or nous déclare l'énigmatique Frank Soltis dans le dernier article de
la série Une plongée au coeur de l'iSeries : « Peut-être un jour prochain aurons-nous
l'occasion de donner à l'OS/400 un nom qui exprime sa vraie valeur. » Et Frank
Soltis d'avouer que l'iSeries et l'OS/400 n'ont pas encore trouvé une vraie définition
susceptible de les qualifier. Frank Soltis précise plus loin : « A ce jour, certains
tentent encore de comparer l'OS/400 à un système d'exploitation UNIX ou
Windows. Cela revient à comparer un porte-avions à un bateau à rames. Tous les
deux flottent, mais la ressemblance s'arrête là . »
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