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Gérer les partitions avec iSeries navigator

Gérer les partitions avec iSeries navigator

par Greg Hintermeister - Mis en ligne le 27/09/2005 - Publié en Décembre 2004

A l'heure qu'il est, vous avez probablement entendu parler du nouveau serveur IBM eServer i5. Il permet d'exécuter non seulement vos applications habituelles, mais aussi vos systèmes d'exploitation préférés dont i5/OS (prochaine génération de l'OS/400), AIX, Linux et Windows. Tous ces systèmes d'exploitation peuvent fonctionner en même temps grâce au partitionnement. Pour être honnêtes vis-Evis de tous les autres matériels commercialisés depuis des années, reconnaissons que ce n'est pas un nouveau concept. DéjEdans sa V5R1, iSeries Navigator présentait un moyen graphique de gérer les partitions. Désormais, vous pouvez donc utiliser iSeries Navigator (ou une ligne de commande) pour partitionner les iSeries en multiples partitions OS/400 ou même en partitions Linux. Les concepts de partitionnement étant largement traités par ailleurs, nous nous concentrerons ici sur un point bien particulier : quelles fonctions de partitionnement on peut utiliser avec iSeries Navigator.

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LPAR : la solution à  vos besoins de consolidation ?

LPAR : la solution à  vos besoins de consolidation ?

par Jeff Yanoviak - Mis en ligne le 13/07/2005 - Publié en Octobre 2004

Le partitionnement logique (LPAR, logical partitioning) se prête naturellement à  la consolidation. En effet, il permet d'isoler les charges de travail, mais aussi d'utiliser différents langages primaires, fuseaux horaires et versions OS/400, sur un seul iSeries physique. Mais, pour prendre des décisions en matière de consolidation, il faut prendre en compte d'importants facteurs sur le plan économique, performance et disponibilité. Voyons donc quelques points à  considérer si vous envisagez d'utiliser LPAR dans un projet de consolidation ...Le partitionnement logique (LPAR, logical partitioning) se prête naturellement à  la consolidation. En effet, il permet d'isoler les charges de travail, mais aussi d'utiliser différents langages primaires, fuseaux horaires et versions OS/400, sur un seul iSeries physique. Mais, pour prendre des décisions en matière de consolidation, il faut prendre en compte d'importants facteurs sur le plan économique, performance et disponibilité. Voyons donc quelques points à  considérer si vous envisagez d'utiliser LPAR dans un projet de consolidation.

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Utiliser des files d’attente de données DDM

Utiliser des files d’attente de données DDM

par Kaushik Dutta - Mis en ligne le 8/06/2005 - Publié en Septembre 2004

De nombreuses entreprises ont plus d'un iSeries. Il faut donc que ces machines communiquent entre elles pour mieux utiliser les ressources. Voici quelques méthodes permettant à  deux machines iSeries d'interagir ...

  • Fonctionnalité MQ Series
  • Un déclencheur associé à  un fichier physique, qui invoque RUNRMTCMD
  • Une file d'attente de données dans un iSeries, avec une file d'attente de données DDM dans le second iSeries
  • Une file d'attente de données dans un iSeries, en utilisant RCVDTAQ pour invoquer RUNRMTCMD
  • Un fichier physique dans un iSeries, avec un fichier DDMF dans le second iSeries
  • Utiliser les commandes SNDNETF (Send Network File) et RCVNETF (Receive Network File) sur les deux machines

  • Parmi ces méthodes, la fonctionnalité MQ Series et les files d'attente de données DDM sont les plus fiables. Cependant, la fonctionnalité MQ Series a pour inconvénient de demander beaucoup de préparation pour un simple job par rapport aux files d'attente de données DDM.
    Les files d'attente de données DDM vous permettent d'accéder aux données distantes à  partir des files d'attente de données d'un autre système. J'explique ici les fonctions des files d'attente de données DDM interagissant entre deux machines iSeries.

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    Installation, configuration, et différences opérationnelles entre les éditions WAS 5.0 Express et Base

    Installation, configuration, et différences opérationnelles entre les éditions WAS 5.0 Express et Base

    par Kalyani Yerra - Mis en ligne le 19/10/2005 - Publié en Janvier 2005

    Cet article reprend l'installation d'Enterprise Application avec WAS Express et Base ; la création d'un serveur d'applications pour WAS - Express ; Les script startServer et stopServer ainsi que quelques exemples .

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    Le Power Play d’IBM

    Le Power Play d’IBM

    par Frank G. Soltis - Mis en ligne le 13/07/2005 - Publié en Octobre 2004

    Connaissez-vous la différence entre les processeurs POWER et PowerPC ?

    En hockey, il y a power play quand une équipe a un ou deux joueurs de plus à  cause des sanctions infligées à  l'adversaire. La possibilité qu'a l'équipe avantagée de marquer est bien supérieure pendant un power play. Peut-être « power play » est aussi un bon moyen de décrire la récente promotion par IBM de son processeur Power. Alors que tant d'autres fournisseurs s'efforcent d'imposer leurs nouvelles technologies processeur sur le marché, IBM démontre qu'elle est encore le premier fournisseur en la matière ...Pendant de nombreuses années, IBM a fabriqué des processeurs de pointe pour ses propres produits. Cette technologie propriétaire n'était partagée avec personne en dehors d'IBM. Cela a commencé à  changer au début des années 90 quand IBM a collaboré avec Motorola et Apple pour créer un nouveau processeur RISC à  un seul chip qu'on appellerait PowerPC. Depuis lors, de plus en plus de produits de multiples fournisseurs ont commencé à  utiliser la technologie Power. Ainsi, en 2002, ce sont plus de 18 millions de processeurs Power qui ont été livrés. Et pas seulement pour des serveurs IBM.
    Aujourd'hui, on trouve deux variantes du nom Power : POWER (comme dans POWER4 et POWER5) et PowerPC. Des deux, le nom PowerPC est de loin le plus connu à  cause de l'utilisation généralisée des chips PowerPC dans toutes sortes d'appareils : téléphones cellulaires, PDA, stations de travail et serveurs d'entrée de gamme. Le nom Power, quoi que beaucoup moins connu en dehors d'IBM, est en train de gagner ses galons de meilleure architecture processeur pour des serveurs haut de gamme. Récemment IBM a commencé à  promouvoir POWER comme nom de famille général.
    La relation entre POWER et PowerPC est pourtant simple. La définition de l'architecture de base est la même pour les deux. Ils ne diffèrent que par les extensions apportées à  cette architecture pour des processeurs spécifiques. Par exemple, l'architecture POWER est principalement destinée aux serveurs, c'est pourquoi de récentes moutures des processeurs POWER contiennent des extensions favorisant les fonctions serveur, comme le partitionnement logique. En revanche, un processeur PowerPC destiné à  un téléphone cellulaire n'a nul besoin du partitionnement logique, mais il appréciera certaines extensions à  caractère téléphonique.Ils se distinguent aussi par le niveau de disponibilité. La technologie PowerPC est à  l'entière disposition des OEM. Ouverte et extensible, on peut la personnaliser pour les applications les plus diverses. Il s'en suit que différentes implémentations des processeurs PowerPC contiennent souvent différentes extensions selon la destination du processeur. De plus, les processeurs d'architecture PowerPC sont proposés par de multiples sources autres qu'IBM.
    IBM l'offre. S'il est vrai que les processeurs POWER étaient, à  l'origine, destinés aux seuls serveurs IBM, cela aussi a commencé à  changer. Dans un futur très proche, on commencera à  voir les tout derniers processeurs POWER dans des produits proposés par d'autres fournisseurs. Ensemble, ces deux architectures processeur couvrent tout l'éventail de l'informatique, des appareils manuels les plus petits jusqu'aux plus puissants superordinateurs du monde.
    Les perspectives des processeurs PowerPC et POWER d'IBM vont désormais bien au-delà  de la décennie. Comme il y a encore beaucoup de confusion dans l'esprit de nombreux clients OS/400 à  propos des similitudes et des différences entre ces deux architectures (voir l'encadré « La vérité au sujet de la PlayStation 3 et de l'OS/400 » pour un exemple), il est instructif d'y regarder de plus près. Sans rentrer dans des détails fastidieux, nous allons voir comment ces deux architectures ont été développées et quelle est leur relation réciproque.

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    Trucs & Astuces iSeries : RPG, .NET

    Trucs & Astuces iSeries : RPG, .NET

    Les trucs & astuces de la semaine du 30 Mai au 5 Juin 2005

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    Fichiers texte : une première

    Fichiers texte : une première

    par Scott Klement - Mis en ligne le 23/11/2005 - Publié en Mars 2005

    Dans l'article « Introduction aux fichiers stream » (iSeries News janvier 2005 ou www.itpro.fr, Club Abonnés), j'expliquais les principes de base des fichiers stream : comment les ouvrir, comment les lire et comment y écrire. Je développe ces points en expliquant tout ce qui concerne les fichiers texte. On peut utiliser les fichiers texte pour de nombreuses actions très différentes : l'exemple le plus courant est un échange de données entre systèmes. Les formats courants comme XML et CSV sont des types de fichiers texte utilisés chaque jour dans des transactions de gestion. Les fichiers HTML qui constituent le World Wide Web sont un genre de fichiers texte. Mais avant de comprendre tous ces fichiers texte spécialisés, il faut commencer par apprendre les principes de base.

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    Quelques conseils pour gérer l’IFS avec iSeries Nav

    Quelques conseils pour gérer l’IFS avec iSeries Nav

    par Greg Hintermeister - Mis en ligne le 19/10/2005 - Publié en Janvier 2005

    Je suis concepteur d'interaction utilisateur chez IBM. A ce titre, il m'arrive souvent de créer des maquettes des futurs produits. Je montre des modèles, des comportements et des interactions des produits, afin que mes pairs puissent les examiner et les commenter. Pour accomplir ce travail, j'ai utilisé de nombreux outils et leur suis resté fidèle au fil des ans. Récemment, j'ai été amené à  accomplir une tâche simple et, si j'avais seulement pris le temps de prendre connaissance des améliorations apportées à  ces outils familiers, je l'aurais faite en un clin d'oeil. Mais, la force de l'habitude aidant, j'ai utilisé une version antérieure de l'outil avec lequel je me sentais très à  l'aise. Par la suite, j'ai découvert que si j'avais consacré un peu plus de temps à  me renseigner sur la dernière version des outils, j'aurais gagné beaucoup de temps.

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    D’autres outils Web pour les programmeurs iSeries

    D’autres outils Web pour les programmeurs iSeries

    par Phil Coulthard et George Farr - Mis en ligne le 21/09/2005 - Publié en Décembre 2004

    Nous continuons ici à  présenter aux programmeurs iSeries les outils Web inclus dans WDSc (WebSphere Development Studio Client), que tous les programmeurs RPG et Cobol possèdent. Dans les articles précédents (voir l'encadré « Articles précédents »), nous décrivions l'architecture MVC (model-view-controller) des applications modernes et montrions comment le framework Struts se prête à  l'utilisation de cette architecture pour construire des applications Web. Nous avions aussi commencé à  décrire les outils Web qui facilitent la construction d'une nouvelle application Web par-dessus Struts, en utilisant RPG ou Cobol pour la logique de gestion du troisième niveau (modèle). Nous continuons notre périple en abordant la partie vraiment intéressante, celle où nous écrirons réellement un fragment opérationnel d'application Web, et ce avec deux seuls ingrédients : le code RPG existant et nos compétences RPG actuelles.
    Nos deux articles précédents étaient basés sur WDSc 5.1.0, mais depuis le 16 juillet nous disposons de WDSc 5.1.2, améliorée à  plusieurs égards. Cet article s'appuie donc sur cette nouvelle release particulièrement riche. S'il nous arrive d'utiliser une amélioration propre à  la 5.1.2, nous le mentionnerons.

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    Travailler avec des API, deuxième partie

    Travailler avec des API, deuxième partie

    par Paul Morris - Mis en ligne le 6/07/2005 - Publié en Octobre 2004

    Apprenez à  utiliser un espace utilisateur, à  le remplir de données, à  extraire des enregistrements, et bien plus

    Dans la 1ère partie de cet article (iSeries News février 2004 ou www.itpro. fr), nous avons examiné deux programmes ILE RPG - un qui appelait des API en utilisant une PLIST et un qui les appelait en utilisant des appels prototypés - pour voir en quoi les programmes différaient. Dans cette 2e partie, nous continuons à  nous intéresser aux API. Nous verrons comment employer un espace utilisateur, le remplir avec des données, en extraire des enregistrements, et utiliser d'autres API ...

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    Créer des triggers DB2 avec SQL

    Créer des triggers DB2 avec SQL

    par Jeff Sutherland - Mis en ligne le 23/11/2005 - Publié en Mars 2005

    Je suis un inconditionnel des triggers de DB2 que j'utilise depuis des années. Les triggers font merveille quand il s'agit de vérifier des données, de détecter une modification de fichier (add, delete, change) ou de lancer d'autres processus en fonction d'un changement intervenu dans une base de données, sans retoucher les applications existantes.

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    Utiliser des règles pour traiter le spam

    Utiliser des règles pour traiter le spam

    Mis en ligne le 19/10/2005 - Publié en Septembre 2004

    Quand on utilise une stratégie tag-and-deliver pour combattre le spam, il faut fournir aux utilisateurs un moyen automatisé de traiter le spam qu'il reçoivent. Les règles de traitement de messages sont un moyen d'automatiser cette tâche.

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    La problématique des éditions des documents d’entreprise

    La problématique des éditions des documents d’entreprise

    par Didier Adriaenssens - Mis en ligne le 21/09/2005 - Publié en Décembre 2004

    De manière générique, les documents issus des spools peuvent être qualifiés d'archaïques et de figés. L'attente du monde de l'AS/400 (I5) est de rajeunir son image par les présentations écran mais aussi par la forme des éditions. La problématique qui se pose étant de pouvoir bénéficier d'une impression « dynamique » dans laquelle les polices, les couleurs et la disposition se modifient en fonction de la nature des données et de la destination des documents. C'est le principe du mappage qui consiste à  s'appuyer sur les données pour déterminer la mise en forme des documents à  la volée.

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    DB2 UDB simplifie l’administration et le développement d’application

    DB2 UDB simplifie l’administration et le développement d’application

    par Kent Milligan - Mis en ligne le 6/07/2005 - Publié en Octobre 2004

    C'est un défi sans cesse renouvelé que d'adapter vos solutions iSeries aux exigences toujours plus grandes de la communauté utilisatrice. Les utilisateurs exigent des fonctions plus élaborées de leurs applications et veulent accéder aux données provenant de diverses unités et interfaces. Pour se tenir à  flot, les développeurs d'applications ont besoin d'une boîte à  outils très étoffée. DB2 UDB pour iSeries en V5R3 ajoute beaucoup de nouvelles options au kit base de données qu'utilisent les programmeurs iSeries, administrateurs et autres DBA (database administrators) de data warehouse ...

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    Protéger vos systèmes avec Event Viewer

    Protéger vos systèmes avec Event Viewer

    par Kathy Ivens - Mis en ligne le 23/11/2005 - Publié en Septembre 2004

    Quand un événement notable survient sur un ordinateur, l'OS l'écrit dans un journal. L'Event Viewer (eventvwr.exe) est le réceptacle de ces journaux d'événements. La plupart des administrateurs n'ouvrent Event Viewer qu'en cas de grave problème. Et beaucoup d'entre eux admettent ne l'utiliser que sur les serveurs. Ces deux pratiques sont critiquables sur le plan administratif, parce que la consultation régulière des journaux d'événements intercepte des problèmes avant qu'ils ne deviennent graves. Il est important de savoir utiliser Event Viewer. C'est pourquoi j'en donne une vue d'ensemble et indique comment je l'utilise.

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    Pas prêt pour une solution antispam?

    Pas prêt pour une solution antispam?

    par Joseph Neubauer - Mis en ligne le 19/10/2005 - Publié en Septembre 2004

    Le flot commence doucement : un courriel, puis un autre, et encore un autre. Des personnes se plaignent au Help desk de recevoir des courriels publicitaires qui ne leur sont pas adressés, et les utilisateurs se plaignent de recevoir des annonces scabreuses, voire pornographiques. Vous passez des heures à  scruter les fichiers log et à  suivre les messages et, finalement, parvenez à  la conclusion qu'une solution antispam s'impose. Il est clair qu'elle serait bénéfique pour la société, mais les décideurs refusent quand même.

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    Configurer et administrer WebSphere

    Configurer et administrer WebSphere

    par Don Denoncourt - Mis en ligne le 14/09/2005 - Publié en Décembre 2004

    Quand WebSphere est devenu disponible sur l'iSeries pour la première fois, les sites utilisateurs étaient rares et espacés. Mais, dès lors que le logiciel applicatif Web propre à  l'iSeries se multiplie, WebSphere Express devient un produit iSeries incontournable. Les applications Web les plus marquantes sont iSeries Access for Web (iAW), Host Access Transformation Services (HATS) et WebFacing ...Mais beaucoup d'entreprises ne tirent pas profit de ces produits tout simplement parce que l'installation et la configuration d'un serveur WebSphere les effraient. Qu'ils se rassurent : WebSphere Express est d'utilisation facile. Cet article est un tutoriel sur la configuration et l'administration d'un serveur WebSphere. Il s'adresse précisément à  un administrateur ou à  un opérateur iSeries qui n'est expert ni en réseau ni en Java.

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    Pagination côté serveur avec SQL Server

    Pagination côté serveur avec SQL Server

    par Andrew Rosca - Mis en ligne le 6/07/2005 - Publié en Octobre 2004

    Une procédure stockée simple vous permet de contrôler les flux de données et d'accéder à  des millions d'enregistrements

    Les applications Web utilisent fréquemment la pagination d'enregistrements afin de présenter de très grandes quantités de données aux utilisateurs. Par exemple, il n'est pas rare qu'un moteur de recherche Internet retourne des dizaines de milliers de résultats en réponse à  une requête d'un utilisateur. Si le moteur renvoyait l'ensemble des résultats en une seule fois, le système destinataire serait complètement saturé. C'est pourquoi la pagination décompose les données en blocs de taille fixe rendant possible la gestion des résultats et réduisant la quantité d'informations transférées en une seule fois du serveur vers le client ...L'application ne propose que quelques enregistrements à  la fois aux utilisateurs, en commençant de préférence par les informations les plus pertinentes. Non seulement la pagination facilite la compréhension et la consultation des données, mais elle améliore également les performances de l'application, car la récupération et l'affichage de volumes élevés d'informations créent une charge inutile qui peut ralentir votre système. Si ce dernier pagine les enregistrements correctement, les utilisateurs d'un moteur de recherche n'auront vraisemblablement pas besoin de consulter plus d'une ou deux pages de résultats.
    Malheureusement, de nombreux programmeurs n'ont pas conscience de certains aspects importants de la pagination sur le plan des performances. Dans un environnement IIS et SQL Server classique, la méthode la plus fréquente de mise en oeuvre de la pagination consiste à  utiliser les fonctionnalités de pagination de l'objet ADO Recordset standard, notamment les propriétés AbsolutePage, PageSize et PageCount. Pour les volumes de données relativement faibles (entre quelques dizaines et quelques centaines d'enregistrements), ces fonctionnalités sont parfaitement appropriées et la charge qu'elles génèrent n'affecte pas sensiblement les performances. Toutefois, à  mesure que le nombre d'enregistrements augmente, cette technique perd en efficacité et entraîne une baisse sensible des performances de l'application.
    Dans les applications gérant des volumes importants de données, par exemple une application d'approvisionnement qui affiche des nombres élevés de commandes, un site de rencontres gérant des milliers d'utilisateurs ou un site de commerce électronique qui affiche des centaines de produits en réponse à  une recherche d'un utilisateur, vous avez besoin de techniques de pagination côté serveur sophistiquées. Cet article présente un exemple simple de technique de codage que j'utilise pour des tables contenant plusieurs millions d'enregistrements.

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    Création d’un mauvais exemple

    Création d’un mauvais exemple

    Mis en ligne le 23/11/2005 - Publié en Décembre 2004

    Lorsque vous écrivez un exemple de code afin de reproduire une violation de la sécurité, l'un des défis à  relever réside dans le fait qu'un tel code, par définition, intègre de mauvaises pratiques. En lisant les exemples de code de l'article principal, vous pouvez être amené à  effectuer des commentaires du type « Je ne ferais pas... » ou « Cela ne poserait pas de problème de... ». Toutefois, le rôle d'un exemple susceptible de soulever les critiques des lecteurs est de montrer toute l'utilité de certaines bonnes pratiques.

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