
Optimiser le filtrage du spam sous Exchange 2003
En effet, la plupart des administrateurs ne configurent pas ce filtrage ou se reposent uniquement sur des outils complémentaires payants. Ces outils sont très efficaces, mais fonctionnent souvent après coup, c'est-à-dire après avoir reçu les messages. Nous allons donc passer en revue les différentes possibilités de filtrages que l’on peut utiliser d’origine.Le filtrage des messages peut s’effectuer sur différents points.
• La zone « Expéditeur » vide
• Les expéditeurs en fonction de leurs adresses de messagerie
• Les domaines DNS sources.
• Les adresses IP et réseaux IP
• L’objet et le contenu des messages ne pourront pas être testés directement, mais serviront à l’outil IMF afin d’évaluer chaque message.
La première étape permet de régler les 3 premiers points.
• dans le gestionnaire système, les paramètres globaux, choisir propriétés sur les remises des messages.
• Cocher la case « filtrer les messages sans expéditeurs »
• Utiliser le bouton « Ajouter » pour insérer toutes les adresses connues ou détectées comme émettrice de messages inutiles ou dangereux.
• De la même manière, ajouter les domaines DNS complets sous la forme « *@Domaine.extension ».
L’ajout des domaines de fournisseur Internet n’est pas une bonne idée (*@free.fr , *@yahoo.fr, par exemple) car il serait étonnant qu’aucun contact existant ou à venir de l’entreprise n’ait sa messagerie chez l’un de ces fournisseurs. Voir figure 1.
Il est important d’avoir activé les filtres au niveau de chaque serveur virtuel SMTP qui connecté à Internet. Cette première étape ne filtre les messages qu’après la remise des messages. La 2ème étape du filtrage consiste à filtrer les messages au moment de la connexion.
En effet, si certains sites provoquent des problèmes trop gênants pour l’utilisation normale par l’engorgement et le quasi-blocage, il est important de bloquer dès la connexion les serveurs émetteurs posant problème. Au niveau des serveurs virtuels SMTP recevant les connexions externes, il est possible de bloquer les adresses IP et les domaines desquels on ne veut plus recevoir aucun message. Dans les propriétés du serveur virtuel SMTP, aller sur l’onglet « Accès » puis cliquer sur le bouton « connexion. Le mode « Tous sauf » permet d’accepter les connexions anonymes sauf pour les sites précisés ! Voir figure 2.
Indiquez les adresses IP, et les étendues de réseau ou domaine dont il faut refuser la connexion. Veillez à ne pas filtrer une adresse IP dynamique ou un domaine d’un fournisseur d’accès. Filtrer les connexions de cette manière suppose que l’on a subi une gène « avérée » provenant d’une source identifiée.
Une méthode complémentaire plus douce, complète et surtout dynamique consiste à configurer le filtrage en temps réels, c'est-à-dire basé sur les fournisseurs de listes noires (RBL).

Actualités Windows semaine 04
Alors que de nombreux utilisateurs élèvent la voix contre Windows Vista -jusqu’à réclamer la continuité de vente de XP- TG Daily révèle que Windows Seven pourrait sortir l’an prochain. Initialement prévu pour 2010, des pré-versions du futur OS, auraient été envoyées à de nombreux partenaires de Microsoft. D’après les informations données en octobre 2007 la […]
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HP Automated Operations 1.0
Automatiser le cycle de vie des services métiers.
HP à annoncé le lancement de la suite logicielle HP Automated Operations 1.0, destinée à automatiser tout le cycle de vie des services métier et à aider les entreprises dans la transformation de leurs opérations IT.
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Imprimer « page X de Y »
Q: Comment puis-je imprimer « Page X de Y » sur mes rapports ? RPG permet d’imprimer facilement le numéro de page courante, mais comment imprimer le nombre total de pages ? R: C’est plus compliqué qu’il n’y paraît. Au moment où les en-têtes de pages sont imprimés, on ignore le nombre de pages final […]
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Scrutez votre réseau à la recherche des mises à jour office manquantes.
Compte tenu des divers virus, vers et attaques qui visent les composantes de Microsoft Office, il faut appliquer les correctifs à Office avec la même assiduité qu’à Windows. C’est tout aussi important pour la sécurité du réseau. Le couple MBSA (Microsoft Baseline Security Analyzer) et WSUS (Windows Server Update Services) donne toute satisfaction quant à l’automatisation du processus de gestion des correctifs Windows. Mais MBSA ne peut rechercher les correctifs Office manquants que sur l’ordinateur local.Office Update Inventory Tool 2.1 de Microsoft vous permet de scanner tout le réseau pour trouver les correctifs manquants : ceux d’Office 2000 Service Release 1a (SR-1a) et les suivants. Cet outil gratuit produit un rapport des mises à jour Office manquantes pour un groupe d’ordinateurs. Bien que chaque ordinateur doive exécuter l’outil localement, l’outil d’inventaire, contrairement à MBSA, peut regrouper les résultats du scanning de tous vos ordinateurs, en un seul et même rapport.
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Exchange 12 : Premier survol de la nouvelle version de la messagerie Microsoft (partie 1)
Autant le dire sans plus attendre : l’année 2006 sera une année technologique exceptionnelle pour les utilisateurs actuels et futurs des produits Microsoft. L’ensemble de la gamme collaborative de la firme de Redmond va connaitre un lifting important : Windows Vista et Office 12 coté poste de travail, Exchange 12, Office 12 server (SharePoint, Project, Groove) et LCS, coté serveur d’entreprise. Ces nouvelles versions devraient toutes être finalisées pour le dernier trimestre 2006, mais vous aurez surement l’occasion de les évaluer d’ici là en utilisant les versions Beta qui commencent à être disponibles.En ce qui nous concerne pour le moment, nous allons nous concentrer sur les changements apportés à la nouvelle version de la messagerie, nom de code « Exchange 12 ». L’ensemble des informations décrites dans cet article est basé sur la Beta 1 d’Exchange 12 et sont donc sujettes à changements éventuels d’ici la version finale. N’oubliez pas qu’il reste plus de 8 mois de développements.
Nos lecteurs qui suivent les évolutions d’Exchange connaissent bien le cycle de développement des logiciels de Microsoft : une version majeure suivie d’une évolution mineure. Exchange 5.0 et Exchange 2000 étaient des versions majeures suivies d’Exchange 5.5 et Exchange 2003 qui apportaient leurs lots de nouveautés dans une moindre mesure. Nous entrons donc dans un nouveau cycle de développement et comme vous allez le constater à la lecture de cet article, Exchange 12 est vraiment une version majeure.

Boîte à outils System iNews : Excuter des sessions Telnet 5250 d’un iSeries vers un autre
J’ai besoin d’exécuter des sessions Telnet 5250 d’un iSeries vers un autre, sur Internet. Mais SSH d’IBM ne reconnaît pas le protocole 5250. J’aimerais bien utiliser SSL Telnet mais il semble que l’iSeries ne puisse assumer que le rôle serveur, pas celui d’un client. Est-il possible de faire cela sans recourir à des hôtes externes […]
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Boîte à outils System iNews : Période de rétention i5/OS /Problème de débit transactionnel i5 / Windows 2003 Server
Période de rétention i5/OS
Problème de débit transactionnel i5 / Windows 2003 Server

Solution de gestion des actifs
Infor, fournisseur de logiciels d’entreprise, vient d’annoncer que la dernière version de son logiciel Infor EAM MP2, solution de gestion des actifs pour petites et moyennes entreprises, est désormais disponible au niveau mondial.
Des solutions de gestion des actifs, DataMirror dévoile la nouvelle version de sa solution d’intégration de données: Transformation Server 6.0, et d'autres solutions de stockage.
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Boîte à outils System iNews : Définir les valeurs des champs date, Compilation Conditionnelle
Par Scott Klement. Mise en ligne, 19 Mars 2007; Publication iSeries News : Septembre 2006
- Définir les valeurs des champs date
- Compilation Conditionnelle

PSSHUTDOWN
par Mark Russinovich. Mise en ligne : 14 Février 2007, Publication Windows ITPro Magazine : Mai 2005
Tous ceux d’entre nous qui administrent des réseaux sont amenés à réinitialiser de multiples ordinateurs dans le cadre de la maintenance. La commande Shutdown de Windows Server 2003 et Windows XP, et l’utilitaire Shutdown du Microsoft Windows 2000 Server Resource Kit offrent la fonctionnalité de base, mais sont souvent déficients face à des fermetures variables sur plusieurs ordinateurs distants. PsShutdown de Sysinternals, l’un des outils de sa suite d’utilitaires PsTools gratuite, offre plus de souplesse et de puissance que l’outil Microsoft Shutdown.
De plus, PsShutdown fonctionne sur Windows NT 4.0 et versions ultérieures, même si certaines options exigent Win2K ou versions ultérieures. (Voir l’article « Faciliter les fermetures à distance », Mars 2005, pour un autre outil de fermeture personnalisé.)

Attention : Problèmes syntaxiques en vue…
par Andras Belokosztolszki. Mise en ligne: 10 Janvier 2006, Publication SQL Server Magazine: Juin 2005
Le terme hétérogénéité sémantique peut, au premier abord, ressembler à du jargon technique sans grande signification, mais il décrit en fait un ensemble subtil de problèmes auxquels sont confrontés de nombreux développeurs et administrateurs de base de données (DBA). Toute personne qui a déjà eu à combiner des ensembles de données de deux bases de données différentes (et quel DBA ou développeur ne l’a pas fait ?) a probablement déjà rencontré une hétérogénéité sémantique: les données n’ont pas des formats concordants et il est par conséquent difficile de les fusionner.Combiner des bases de données dont l’une consigne la température en degrés Celsius et l’autre, la température en degrés Fahrenheit, par exemple, peut aboutir à une corruption significative des données, à moins que vous ne traitiez cette problématique à l’avance. Il est, au mieux, extrêmement long de résoudre une telle corruption des données et, au pire, cette opération peut être impossible d’un point de vue logique. Le présent article aborde les quatre types d’hétérogénéité sémantique, examine à quels endroits ils se produisent lors de la comparaison des bases de données et présente différentes méthodes pour les résoudre.

Les actualités de la semaine 50 – Windows IT Pro – 2006
Toutes les actualités du 11 au 17 Décembre 2006.
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Liste de contrôle des sauvegardes de journaux
par Kalen Delaney. Mise en ligne : 29 Novembre 2006, Parution SQL Magazine : Juin 2005
La sauvegarde de votre journal des transactions permet d’avoir un historique de tous les changements apportés à une base de données SQL Server, afin que vous puissiez restaurer cette dernière ultérieurement, si la situation l’exige. La liste suivante vous aidera à avoir en mémoire les fonctions clé des sauvegardes de journaux afin de les employer au mieux.- Utilisez le modèle de récupération complète ou journalisée en bloc. Si votre base de données applique le modèle de récupération simple, vous ne pouvez pas sauvegarder les journaux car SQL Server tronque votre journal régulièrement.
- Stockez votre journal des transactions sur un lecteur miroir. Même si vos fichiers de données sont endommagés et si la base de données est inutilisable, vous pouvez sauvegarder le journal des transactions si les fichiers journaux et le fichier de données principal sont disponibles. Utilisez un niveau RAID qui garantit la redondance, à savoir 1 ou 10, et vous serez en mesure de sauvegarder toutes les transactions jusqu’au point de défaillance, puis de les réappliquer vers la base de données restaurée.
- Surveillez la taille du journal. Bien que la planification soigneuse de cette valeur soit vitale, ne partez pas du principe que la taille du journal n’excédera pas celle constatée pendant les tests. Utilisez les alertes de l’Agent SQL Server pour surveiller les compteurs de l’Analyseur de performances (Performance Monitor) servant à suivre la taille du fichier et dès que le journal franchit un seuil défini par vos soins, l’Agent SQL Server peut accomplir des actions prédéterminées telles que l’exécution d’un script d’augmentation de la taille du journal, l’envoi d’un e-mail à votre attention ou la réduction de la taille du fichier.
- Rappelez-vous que les sauvegardes de journal ne se chevauchent pas. Dans SQL Server 2000 et 7.0, chaque sauvegarde de journal contient toutes les transactions depuis la sauvegarde du journal précédente, de sorte qu’une transaction de longue durée peut s’étendre sur plusieurs sauvegardes. Par conséquent, lorsque vous restaurez des sauvegardes de journaux, n’utilisez pas l’option WITH RECOVER tant que vous n’avez pas appliqué le dernier journal. Des sauvegardes ultérieures peuvent contenir la suite de transactions présentes dans la sauvegarde de journal courante.
- Sachez faire la différence entre le terme « troncature » et « réduction de la taille ». La sauvegarde du journal exécute une opération de troncature, ce qui permet à des parties de celui-ci d’être disponibles pour être remplacées par de nouveaux enregistrements. Cela n’affecte pas la taille physique du fichier journal. Seule l’opération de réduction de la taille a une incidence sur celle-ci.
- Planifiez soigneusement la fréquence des sauvegardes de journal. Il n’existe pas de réponse standard et vous devrez systématiquement effectuer des compromis. Plus vos sauvegardes seront fréquentes, plus elles seront nombreuses à gérer et à restaurer, mais moins vous perdrez de transactions en cas de défaillance du système.
- La taille du journal ne reflète pas forcément la taille de la sauvegarde. Si votre base de données applique le modèle de récupération journalisée en bloc, les sauvegardes de journaux incluent toutes les données affectées par les opérations en bloc, de sorte que les sauvegardes en question peuvent représenter plusieurs fois la taille du fichier journal.
- Conservez des sauvegardes de jou

7 étapes pour le contrôle des changements de base de données.
Par Michelle A. Poolet. Mise en ligne le 15 Novembre 2006, Publication SQLServer : Juin 2005
Maîtrisez facilement et efficacement la gestion des changements
Le contrôle des changements n’est pas réservé au seul développement d’applications. Les schémas de base de données, au même titre que tout autre composant de votre organisation informatique, ont besoin de cette fonctionnalité. En effet, ces schémas (tables, colonnes, types de données, fonctions, procédures stockées, vues, etc.) ne sont pas statiques et suivent tout naturellement l’évolution des besoins de l’organisation. Lorsqu’une entreprise doit s’attaquer à de nouveaux marchés, élargir sa mission ou modifier une activité, sa base de données doit être capable de soutenir ses efforts et être, le cas échéant, modifiée en conséquence. L’astuce consiste à gérer soigneusement ces changements.Si vous n’avez pas de méthodologie pour gérer les changements d’une base de données, vous risquez de dénormaliser le schéma de cette dernière, ce qui peut avoir un coût en termes d’espace disque et de performances. Il peut vous arriver de créer des déclencheurs et procédures qui interfèrent avec les processus existants, entraînant une corruption possible des données stockées et des rapports générés.
En règle générale, la gestion des changements du schéma incombe à l’administrateur de la base de données physique. Le fait de confier cette tâche à une personne ou un groupe est judicieux car celle-ci ou celui-ci a souvent la connaissance la plus intime de la base de données. Néanmoins, lorsque vous modifiez une ou plusieurs tables, il est très facile d’oublier quelque chose, de laisser un aspect de côté ou d’omettre l’incidence possible d’un changement apparemment mineur. Vous pouvez également sous-estimer le délai nécessaire à l’accomplissement du changement. En l’absence de logiciel spécialisé pour vous seconder, vous pouvez recourir à une liste de contrôle des demandes de changement au format feuille de calcul, telle que celle illustrée à la figure 1. 1 Dans ce formulaire, vous pouvez consigner les changements de base de données proposés avant de les appliquer, en utilisant un formulaire pour chaque table concernée par la demande. 2 Il est possible d’affecter une priorité à chaque changement en appliquant une échelle de A à F, la lettre A indiquant une importance immédiate et F signifiant un changement pouvant intervenir à n’importe quel moment.

Les nouveautés de la semaine 43 – Windows IT Pro – 2006
Tous les nouveaux produits de la semaine du 23 au 29 Octobre 2006

News Exchange : Semaine 39 – 2006
Toutes les actualités du 25 Septembre au 1 Octobre 2006 pour Exchange Server

Zen et l’art de SP1
La qualité, pas la quantité : Ce pourrait être la devise de Windows Server 2003 Service Pack 1 (SP1). Bien que SP1 inclue plusieurs nouvelles fonctions, Microsoft s’est surtout efforcée d’améliorer la compatibilité applicative sans perturber le fonctionnement des systèmes existants. La nouvelle formule du pack de service met en lumière cet objectif.Fidèle à lui-même, SP1 reprend tous les correctifs et mises à jour de sécurité de Windows 2003 diffusés par Microsoft depuis la première livraison de l’OS en avril 2003. Le pack de service prend en considération les principales préoccupations signalées par les clients au moyen des Microsoft PSS (Product Support Services) et Windows Error Reporting.
Windows 2003 SP1 ajoute aussi plusieurs nouvelles fonctions touchant à la sécurité. Ces changements constituent une évolution, pas une révolution. Et le noyau et le coeur de l’OS ont la même base de code que l’OS Windows 2003 original.

ANALYSIS SERVICES 2005 automatise l’analyse temporelle
Dans SQL Server 2005, Analysis Services a été complètement remanié en vue de proposer la plate-forme d’analyse décisionnelle (en anglais BI, Business Intelligence) la plus performante au monde. Cette nouvelle version comporte une multitude de fonctionnalités et d’améliorations intégrées afin de fournir des solutions intelligentes et automatiques aux problèmes métiers courants. Il n’est plus besoin d’être un expert d’OLAP ou du codage MDX (Multidimensional Expressions) pour créer des applications analytiques riches en fonctionnalités.Les améliorations apportées à Analysis Services 2005 sur le plan de l’analyse temporelle (en anglais, Time Intelligence) permettent de créer facilement des calculs temporels. Cet article examine d’abord en quoi le nouvel assistant « Business Intelligence Wizard » facilite la mise en oeuvre de l’analyse temporelle. Il aborde ensuite les aspects « pourquoi » et « comment » sous-jacents au niveau de l’assistant. Enfin, l’article analyse les techniques de modélisation employées dans le domaine de l’analyse temporelle et examine le code généré par l’assistant afin de présenter plusieurs meilleures pratiques pour la modélisation des métadonnées et MDX. Comme le contenu exposé ici constitue un bref aperçu des possibilités du produit, ces informations acquérront toute leur utilité si vous êtes déjà familier de SQL Server 2000 Analysis Services.
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