
La fenêtre de tir de Novell
Aucune société n'a autant profité du retard à l'allumage de Windows 2000 que Novell. En mars 1999, Novell a commencé les livraisons de NetWare 5.1, après un programme de beta concernant 490.000 personnes. NetWare 5.1 offre tous les outils nécessaires pour s'intégrer avec Windows 2000 et former un environnement hétérogène. Ces outils ont recueilli de nombreux éloges dans la presse.
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Comment se faire payer on-line
Les options de paiement électronique se multiplient : faites votre choix avec
précaution.
Que votre entreprise soit traditionnelle ou un
commerce on-line, les clients doivent vous payer vos produits et services. Une
entreprise traditionnelle se sentira probablement plus à l'aise en recevant des
espèces et des chèques.
Toutefois, bien que l'argent liquide soit en principe une valeur sûre, un chèque
est moins sûr.
En effet, même après avoir réceptionné un chèque, on ne peut pas encore être certain
de l'encaisser. Ce n'est que quelques jours plus tard, lorsque la banque encaissera
le chèque que l'on a déposé que l'on peut être sûr d'avoir été payé.
Le paiement par le biais de certaines transactions financières électroniques offre
plus de garanties.
De plus, pour les entreprises on-line, être capable de gérer les modes de paiement
électroniques est une nécessité Les banques préfèrent les transactions électroniques
car elles sont plus efficaces et moins chères à gérer. Avec l'EDI, par exemple,
une entreprise cliente peut envoyer un ordre de paiement à sa banque afin que
celle-ci transfère des fonds à la banque du fournisseur électroniquement. La banque
réceptrice notifie le fournisseur de la date et du montant du transfert à l'avance,
de sorte que l'entreprise puisse organiser et planifier sa trésorerie.
Cependant, nous devons désormais faire face à un nouveau défi : les informations
concernant les ordres de paiement et de versement circulent sur l'Internet.
Quelles sont les possibilités de paiement que les consommateurs et les entreprises
peuvent utiliser sur le Web, et quels sont leurs degrés de fiabilité ?
Les banques prévoient deux types de paiement pour les transactions de commerce
électronique : des mécanismes de paiement en temps réel (porte-monnaie électroniques,
cartes à puce) et des mécanismes de paiement différés (chèques électroniques,
cartes de paiement, cartes de crédit).
La moitié des différends et fraudes liés à l'usage des cartes de crédit concernent
des transactions on-line, qui ne représentent que 2% des volumes

Optimiser les applications pour Terminal Server
L'un des aspects les plus épineux de l'installation d'un système informatique
basé sur les clients légers est de faire fonctionner pour plusieurs utilisateurs
des applications conçues pour un utilisateur unique. Windows NT Server 4.0 édition
Terminal Server risque donc de rencontrer des problèmes avec certaines applications.
Toutes les applications ne fonctionnent pas correctement en environnement multiutilisateur.
Certaines utilisent trop de cycles de processeur ou trop de mémoire, d'autres
ne savent pas s'il faut appliquer des paramètres à un utilisateur ou à un ordinateur,
et certaines stockent les informations dans des emplacements inadaptés à un OS
multiutilisateur.
Il arrive même de se retrouver bloqué par ces problèmes et, pour les applications
de ce type, de devoir les exécuter à partir de l'ordinateur client. Heureusement
certains problèmes peuvent se résoudre, à condition de leur consacrer un peu de
temps.Les applications ne fonctionnent pas toutes avec Terminal Server, mais les
astuces présentées ici vous aideront à tuner celles pour lesquelles c'est le cas.

Le SMP n’est plus seulement une affaire de serveurs
Lors de la sortie par Microsoft de Windows NT 3.5, j'ai décidé d'utiliser NT sur mon PC de bureau. J'en avais assez de la tendance de Windows 3.x à planter à des moments inopportuns et mon activité ne m'obligeait pas à exécuter des applications anciennes que NT ne pouvait pas traiter. Pour moi, cette migration était la bonne décision.
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La gestion des disques de Windows 2000
En général, j'ai le sentiment que les nouvelles versions des outils sont plus compliquées à utiliser que leurs prédécesseurs. Une croyance qui vient probablement de mes expériences passées et d'une tendance mainte fois observée. Pourtant, l'outil de gestion des disques de Windows 2000 évite le piège : le nouvel outil offre une interface simplifiée et compte de nouvelles fonctions très utiles.Les utilisateurs expérimentés de Windows NT sont des habitués de l'Administrateur de disques, l'outil intégré de NT pour la création, l'administration et la suppression des volumes logiques sur les disques physiques. L'équivalent Windows 2000 de l'Administrateur de disques de NT est le composant logiciel enfichable Gestion des disques que l'on peut démarrer depuis Outils d'administration, Gestion des disques (écran 1).
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Le service de conférence d’Exchange 2000
De nombreux ingénieurs découvrent de nouvelles technologies lorsqu'ils doivent en administrer l'implémentation de Microsoft. Par exemple, de nombreux administrateurs sont devenus des experts de DNS en installant et configurant le serveur DNS de Windows NT 4.0. Ils ne se sont souvent renseigné sur les RFC de l'IETF et les autres implémentations de la technologies que plus tard. De même, ils seront nombreux à ne découvrir la conférence vidéo/données que maintenant que Microsoft se lance dans cette arène. Jusqu'à présent, le principal produit de Microsoft pour la visioconférence était NetMeeting. Certains fournisseurs de visioconférences ont intégré ce logiciel dans leurs produits, mais on peut utiliser le produits seul comme application stand-alone pour de petits besoins. Microsoft a doté Exchange 2000 Server (anciennement connu sous le nom de code Platinum) d'un service de conférence complet, dignes de concurrencer des systèmes d'entreprise coûtant des centaines de milliers de Francs. Pour utiliser ce nouveau service, vous devez comprendre ses fonctions et son architecture.
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Quel avenir pour Windows CE ?
Les utilisateurs d'entreprise sont demandeurs de PDA, les petits assistants numériques
personnels, et les développeurs veulent pouvoir créer des applications pour ces
systèmes. Mais des sociétés moribondes et des produits abandonnés jonchent la
route du succès sur le marché des PDA.
Le marché des PDA (Personal Digital Assistant) a connu un quasi-succès avec le
Newton d'Apple, et un véritable succès avec le PalmPilot de 3Com. Par la suite,
dans une tentative d'extension de sa domination sur les bureaux au marché du palmtop,
Microsoft a lancé Windows CE. Jusqu'à présent, on ne peut pas dire que les succès
enregistrés par Windows CE vaillent d'écrire à la famille.
Microsoft divise le marché de Windows CE en deux segments : les subnotebooks et
les palmtops. Parmi les subnotebooks, on peut citer le Versa SX de NEC et le TravelPro
d'AMS. Ces systèmes ressemblent à de petits ordinateurs et l'utilisateur interagit
avec ces unités par l'intermédiaire du clavier. Pour interagir avec un palmtop,
l'utilisateur utilise un stylet sur un écran tactile pour agir sur les menus et
entrer du texte.

Et si le e-business vous mettait sur la paille ?
Réfléchissez-y à deux fois avant de vous engager dans l'aventure du e-business
En matière de e-business, ou commerce électronique, il est difficile de distinguer
la réalité des mirages.
Partout, ce ne sont qu'articles sur ses avantages potentiels et sur comment «
tout le monde s'y met ».
Mais, en réalité, tout le monde n'est pas en train de sauter dans le train du
e-business. Beaucoup d'éventuels investisseurs se méfient de cette nouvelle manière
de faire des affaires, se demandant s'ils peuvent lutter sur ce nouveau e-marché,
qui évolue et change rapidement.
Ces
Saint-Thomas ont bien raison d'hésiter. D'après le U.S. Department of Commerce,
le commerce électronique représente moins de deux pour cent du chiffre d'affaires
total réalisé en Amérique du Nord.
Le lancement dans l'aventure e-business au mauvais moment, avec de mauvaises
applications et des attentes irréalistes, peut réellement
conduire à la catastrophe
Face à de tels chiffres, difficile de croire les avertissements des
prophètes du e-commerce selon lesquels, faute de se connecter sur-le-champ, la
faillite guette. En réalité, le lancement dans l'aventure e-business au mauvais
moment, avec de mauvaises applications et des attentes irréalistes, peut réellement conduire à la catastrophe.
Une prudente expectative semble être l'attitude la plus sage, car elle permet
de voir comment diverses autres entreprises ont confié au Web leurs diverses fonctions
commerciales.

Des Clusters pour Windows NT
Pour les applications stratégiques de l'entreprise, les clusters sont le test
décisif pour mettre à l'épreuve un OS. Bien que les clusters Windows NT ne soient
pas encore très répandus, plusieurs éditeurs ont commencé à présenter des solutions,
qui viennent modifier significativement le paysage du clustering sous NT.
Selon les prévisions d'IDC (International Data Corporation), les entreprises mettront
en cluster 60 pour cent des serveurs NT existants en 2001. Microsoft Cluster Server
(MSCS) a fait son apparition dans NT Server 4.0, Enterprise Edition au début de
1998. C'était le projet Wolfpack, un cluster de type shared-nothing à 2 noeuds
assurant une bascule en cas de panne d'un serveur.
Pour l'instant, les constructeurs comme Compaq garantissent 99,9 pour cent de
temps de bon fonctionnement (c'est-à -dire seulement 8,76 heures d'indisponibilité)
par an pour MSCS. De par les 5 minutes nécessaires pour une réinitialisation,
MSCS peut prétendre à la haute disponibilité, mais on ne peut pas parler de criticité.
Je n'ai jamais admis l'argument de Microsoft selon lequel la majeure partie de
la clientèle de Microsoft peut se contenter de 8,76 heures de temps d'indisponibilité
par an.
Etant donné la lenteur laborieuse des progrès du clustering, MSCS sortira en version
2 noeuds dans Windows 2000 Advanced Server (AS). Mais la technologie de base du
clustering Microsoft est sur le point de faire un pas en avant significatif. D'ici
février 2000 Microsoft sortira une version de cluster à 4 noeuds basée sur MSCS
dans Windows 2000 Datacenter Server (Data Center).
Dans un cluster à 4 noeuds, les membres utilisent successivement la ressource partagée
qui définit le cluster (normalement un périphérique de stockage) et le cluster
n'a pas besoin d'une réinitialisation du système pour ré attribuer les ressources
lorsqu'un système membre tombe en panne. Les composants du cluster peuvent distribuer
la charge de travail d'un membre défaillant du cluster avec un équilibrage des
charges basé sur la redirection TCP/IP. Le cluster à 4 noeuds de Microsoft a donc
plus de capacités de clustering que le cluster à 2 noeuds.
La technologie de base du clustering Microsoft est sur le point de faire un pas
en avant significatif
Le clustering amélioré est une fonction majeure de Data Center. Avec l'extension
du support SMP à 32 processeurs, Data Center assurera une évolutivité et une tolérance
aux pannes que les grandes entreprises ne manqueront pas de considérer. Data Center
bénéficiera également de Process Control, nouvel outil de gestion basé sur la
technologie Job Object, développé par Microsoft conjointement avec Sequent Computer
Systems. Process Control permet de créer des règles pour gérer les ressources
applicatives dans les grands clusters de serveurs.
D'après les responsables du Clustering chez Microsoft, il existe trois architectures
de serveurs sur le marché : les clusters de serveurs, les clusters d'équilibrage
des charges du réseau et les clusters d'applications. Les clusters de serveurs
fournissent le failover lorsqu'un serveur cesse de reconnaître la pulsation du
cluster. MSCS appartient à ce type de cluster. Les clusters d'équilibrage des
charges de réseau ont un serveur maître qui distribue les requêtes aux serveurs
membres pour créer l'équilibre. Network Load Balancing (NLB) de Microsoft effectue
ce type de clustering sur 32 serveurs. Microsoft a basé NLB sur Convoy Cluster
de Valence Research qu'il a racheté.
Les clusters d'applications, également baptisés clusters d'équilibrage de charges
des composants, sont équipés d'un routeur équilibrant les charges des composants
COM+. Les clusters d'applications permettent la haute disponibilité au niveau
de la logique de gestion d'une solution de réseau distribuée.
A l'origine, Microsoft avait l'intention de faire des clusters d'applications
un élément de Data Center.
Cependant, le 13 septembre dernier, l'éditeur a annoncé qu'il sortira le clustering
des applications comme produit individuel baptisé AppServer
Microsoft a testé un cluster d'applications à 8 noeuds et sortira probablement
un cluster à 16 noeuds très prochainement.
Il existe trois architectures de clusters : disque partagé, disque en miroir et
shared nothing. Les clusters VAX et Oracle Parallel Server utilisent

Visite guidée de Babylone
Le tout dernier serveur d'interopérabilité d'entreprise, mis au point par Microsoft sous le nom de code Babylone, va remplacer SNA Server de la suite BackOffice et permettra, tout comme ce dernier, d'intégrer les réseaux Windows avec les mainframes et les AS/400 d'IBM. L'un des principaux objectifs de Microsoft pour Babylone est de se débarrasser des contraintes de SNA Server et d'englober totalement TCP/IP comme protocole réseau de base. L'objectif secondaire est d'approfondir le niveau d'intégration assuré par le serveur. Si Microsoft SNA Server assurait la connectivité de base des hôtes, Babylone passera, quant à lui, de la couche de connectivité de base au domaine de l'intégration des applications. Le tout nouveau serveur d'interopérabilité d'entreprise de Microsoft comprend beaucoup de nouvelles fonctions, dont certaines s'appuient sur les technologies actuelles de SNA Server, mais il lui manque malgré tout quelques pièces du puzzle de l'interopérabilité d'entreprise.
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Les stratégies de groupe
Microsoft affirme que la réduction du coût de possession est une des raisons de migrer vers Windows 2000. Le concept de TCO dépasse le simple prix d'achat de l'ordinateur et prend en compte bien d'autres centres de coûts, tels que le coût rémanent consistant à supporter le système et les utilisateurs. Quiconque a un jour travaillé à l'assistance aux utilisateurs, sait qu'en fixant des stratégies pour empêcher les utilisateurs de faire des modifications intempestives sur leurs systèmes, on peut éviter bien des problèmes pouvant affecter leur productivité et qui demandent fréquemment, pour les résoudre, l'intervention de personnels qualifiés. Dans Windows NT 4.0, les stratégies système sont à peine plus que des modifications du shell qu'un utilisateur averti peut contourner sans problème. En revanche, dans Windows 2000, Microsoft a développé considérablement la notion de stratégies systèmes. Détaillons les stratégies de groupe, principalement pour comprendre comment il fonctionne dans le modèle Active Directory (AD).
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Entre modernisation et transformation, mon coeur balance
Sublimant la transformation d'applications, la stratégie d'entreprise de Seagull
est la modernisation des applications existantes
Lorsqu'il s'agit d'améliorer fonctionnellement une application "héritée", près
de 50% des utilisateurs font aujourd'hui le choix d'une solution packagée, que
ce soit un ERP ou une solution plus modulaire. Sur les 50% qui restent, la moitié
environ envisagent un redéveloppement progressif, les autres optant pour une modernisation,
une maintenance évolutive, de l'existant.En fait, les choses sont loin d'être
aussi manichéennes: lors d'une récente intervention, Jim Sinur, du Gartner Group,
s'est livré à un mini-sondage auprès de son public (150 personnes). A la question
"Combien de projets de maintenance évolutive des applications existantes avez-vous
en cours en ce moment?", près des trois quarts des personnes présentes ont répondu
"Au moins un" (et 20% en avaient 6 ou plus). Quant à savoir si de tels projets
étaient envisagés au sein de l'entreprise, ce sont carrément 90% des personnes
qui ont répondu par l'affirmative.
Dans l'assistance se trouvaient évidemment des gens menant en parallèle des installations
de packages et des redéveloppements partiels.
90%
des personnes de l'assistance ont ou envisagent au moins un projet de modernisation
d'application
D'où le constat simple: même si les investissements lourds, qu'ils s'appellent
"redéveloppement" ou "mise en place de progiciels", semblent constituer la voie
la plus sûre pour le long terme, rares sont ceux qui appliquent une politique
de remplacement exclusive, et se détournent de l'existant, donc de leurs investissements
passé, et de son évolution possible. Les deux atouts majeurs que sont un coût
relativement limité et une grande rapidité de mise en oeuvre plaident en faveur
de la maintenance évolutive des applications héritées.

XML et SQL Server 2000
par Paul Burke
Facilitez-vous le commerce électronique et l'interopérabilité grâce au standard
Internet d'échange d'informations
Remarque : Les auteurs ont basé leurs articles SQL Server 2000 sur des versions antérieures à la Bêta 2. Aussi, il se peut que vous remarquiez quelques différences entre la Bêta 2 et le comportement ou les interfaces décrits dans cet article. En particulier, veuillez noter que la fonction vues indexées ne sera disponible que dans SQL Server 2000 Enterprise Edition. Toutefois, on peut installer Entreprise Edition sur un serveur NT 4 ou Windows 2000 (W2K). On n'est pas obligé d'utiliser NT 4.0 Enterprise ou W2K Advanced Server. |
L'une des fonctionnalités les plus attendues de SQL Server 2000, le support de XML, est également l'une des plus floues en termes de valeur pratique immédiate. Personne n'a échappé au battage médiatique concernant ce langage, qui constituerait une passerelle entre tous les langages, et presque tous les systèmes de gestion de bases de données relationnelles (SGBDR) affirment désormais prendre en charge XML. Mais où, quand et pourquoi utiliser XML ?
XML permet de publier des types de données indépendamment des plates-formes, facilitant ainsi l'interopérabilité et le commerce électronique
XML, un standard Internet d'échange d'informations, permet de publier des types de données indépendamment des plates-formes, facilitant ainsi l'interopérabilité et le commerce électronique. XML sépare également les données des informations de présentation à l'intérieur des pages Web ; on dispose ainsi d'un moyen standard pour définir et échanger des données entre applications et bases de données. (L'encadré "XML, le standard à la mode", décortique les avantages qu'il y a à utiliser XML pour séparer les données de leur présentation).
En tant que langage de définition de pages, le principal intérêt de XML vient soit de l'acceptation générale d'un langage particulier, défini dans XML, soit de l'acceptation générale de XML et de la disponibilité des utilitaires, d'outils et de l'infrastructure permettant de prendre en charge son utilisation. Même si XML comporte plusieurs excellents langages définis (tels que BizTalk, DSML [Directory Services Markup Language], et SOAP [Simple Object Access Protocol]), ce n'est pas la panacée pour tout le monde, surtout si on travaille dans un environnement Microsoft pur et dur, et qu'on développe des applications Windows 32 bits. Pour le transfert de données via un LAN, les ensembles de résultats ADO représentent le choix évident. Cependant, à l'heure de l'Internet, rares sont les entreprises qui travaillent en circuit fermé. Et même à l'intérieur des entreprises, il n'est pas rare de trouver différents types de serveurs, plates-formes ou langages.
Bien que SQL Server 2000 soit la première version de SQL Server à proposer le support de XML, la fonction de prévisualisation XML de Microsoft fonctionne avec les versions 7.0 et 6.5. (on peut télécharger cette fonction de prévisualisation depuis le site Web SQL Server de Microsoft, à l'adresse suivante : http://msdn.microsoft.com/workshop/xml/articles/xmlsql/). On peut également intégrer le support de XML dans SQL Server 7.0, 6.x et 4.2 en créant des procédures cataloguées étendues et des procédures cataloguées standard, quoique les procédures cataloguées standard puissent faire baisser les performances pour des ensembles de données de grande taille et de structure complexe. En outre, certaines fonctionnalités de SQL Server 7.0, telles que la recherche documentaire sur texte intégral, permettent de stocker du code XML comme du texte. Quelles sont alors les fonctions qui rendent SQL Server 2000 officiellement compatible XML ?
En général, on peut demander deux sortes de XML à une base de données : le XML statique, stocké dans la base de données, et le XML dynamique, généré par les données présentes dans la base de données. Même la première version d Lire l'article

Le pouvoir du filtrage de paquets
Sans une forme de firewall, le réseau d'une entreprise est grand ouvert à quiconque se connecte au même réseau public. Le filtrage des paquets est une des méthodes les plus courantes pour construire un firewall. Cette technique permet de contrôler le mouvement des paquets IP selon leur contenu. Comme son nom l'indique, le filtrage de paquets filtre les paquets IP en fonction d'un ensemble de règles définies au niveau des routeurs ou de toute unité de capable de router des paquets, comme Windows NT Server. On peut définir des règles de filtrage de paquets pour un ensemble constitué d'adresses de serveur, de protocoles, d'applications, de directions de connexion et de types de messages. Les spécificités de la mise en oeuvre du filtrage dépendent de votre équipement et des fournisseurs. Pour comprendre le filtrage de paquets, il faut connaître les relations entre les couches de protocole TCP/IP. Il faut également comprendre comment le filtrage de paquet dépend des divers protocoles TCP/IP.
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Comment clusteriser Exchange Server
Le clustering rend les plates-formes plus sûres, robustes et fiables pour les déploiements de messagerie. Mais Microsoft Exchange Server ne supportait pas cette fonction jusqu'à la sortie des éditions Entreprise de Windows NT Server 4.0 et d'Exchange Server 5.5. Farouche partisan des clusters depuis le VMSCluster de Digital, j'ai préféré attendre qu'Exchange supporte le clustering avant de l'adopter comme solution de messagerie. Après avoir cherché pendant deux mois le matériel adéquat, j'ai donc mis mon cluster Exchange Server en production en février 1998. La plupart du temps il tourne correctement et sans nécessiter beaucoup d'administration, mais sa mise en oeuvre a buté sur un certain nombre de problèmes et j'ai beaucoup appris en créant, configurant et maintenant un cluster Exchange l'an dernier.
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Comprendre les contrôleurs de domaine
Windows NT Server organise les groupes d'ordinateurs en domaines, faisant en sorte que les machines d'un domaine partagent une base de données et une politique de sécurité communes. Les contrôleurs de domaine sont des systèmes sous Windows NT Server qui partagent la base de données centrale stockant les comptes des utilisateurs et leurs informations de sécurité pour un domaine. Lorsqu'un utilisateur se connecte à un compte de domaine, les contrôleurs de domaine authentifient le profil et le mot de passe de l'utilisateur en utilisant les informations de la base de données d'annuaire (également souvent baptisée base de données de sécurité de domaine ou base de données SAM). Pendant l'installation de Windows NT Server, vous devez désigner le rôle que chaque serveur devra tenir dans un domaine. NT vous offre le choix de 3 rôles : PDC (Primary Domain Controller - contrôleur principal de domaine), BDC (Backup Domain Controller - Contrôleur secondaire de domaine) et serveur membre. On crée un domaine dès lors que l'on désigne un PDC. Les PDC et BDC sont des éléments cruciaux des domaines. Pour garder le contrôle et tirer le meilleur des domaines que vous créez dans votre réseau NT, vous devez comprendre ce que sont les PDC et BDC, comment synchroniser la base de données d'annuaire entre PDC et BDC dans un domaine, comment promouvoir un BDC en PDC lorsque le PDC est indisponible, comment déterminer le bon nombre de PDC pour un domaine donné et comment gérer les relations d'approbation entre les PDC de différents domaines.
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Installer des logiciels avec Windows 2000
La gestion des postes de travail sous Windows NT est un cauchemar dans les grands environnements - et souvent dans les moins grands. Microsoft Systems Management Server (SMS) 2.0 règle en partie les problèmes d'administration, mais il lui manque certains composants essentiels ou certains sont mal adaptés aux grands environnements. Le problème de l'administration de système est le principal challenge de Microsoft. La prise en compte de ce problème et le coût considérable associé à sa résolution a débouché sur l'initiative Zero Administration for Windows (ZAW). Avec Windows 2000, Microsoft tente de faire passer ZAW de la théorie à la pratique et a même renommé l'ensemble des technologies Change and Configuration Management (CCM) - la gestion du changement et des configuration étant un objectif bien plus réaliste qu'un Windows sans administration ! Par exemple, Windows 2000 fournira des services pour améliorer l'installation et la configuration des logiciels. Dans cet article, nous verrons comment Windows 2000 permet de mieux gérer les applications des postes de travail et comment tout ceci s'intègre dans la stratégie globale de Microsoft.
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SQL Server 7.0 Réplication personnalisée
par John D. Lambert
Les procédures de transfert-delta peuvent vous apporter le meilleur de la réplication
sans les coûts associés
SQL Server 7.0 rend la réplication plus simple que jamais mais, pour maximiser
votre expertise, envisagez toutes les possibilités. On peut utiliser les assistants
de réplication, DTS (Data Transformation Services), l'interface SQL-DMO (SQL Distributed
Management Objects) et même du code binaire.
Toutefois, si vous êtes déjà un utilisateur chevronné de T-SQL, pensez à apprendre
à utiliser des procédures cataloguées personnalisées pour copier les données.
Dans le présent article, je tente d'expliquer comment et dans quelles circonstances
utiliser cette méthode.

Platinum : un avenir doré pour Exchange ?
Microsoft fait tout son possible pour que Windows 2000 Server rencontre le succès du premier coup. Alors que le Gartner Group fait preuve de scepticisme en conseillant à ses clients d'attendre jusqu'en 2000 avant de déployer le nouvel OS, Microsoft a bien l'intention de persuader ses clients de migrer en veillant à ce que les applications les plus répandues fonctionnent bien sous Windows 2000 Server, notamment la nouvelle version d'Exchange Server. La prochaine version majeure du système de messagerie Microsoft Exchange (nom de code Platinum) ne tournera que sous Windows 2000 Server. Microsoft n'a pas encore fixé de date ferme pour sa sortie, mais ce sera dans tous les cas après Windows 2000.Platinum sera la version la plus stratégique d'Exchange et d'une envergure inégalée depuis les débuts la version 4.0 en 1996. Exchange 5.0 et 5.5 partaient d'une base établie par Exchange 4.0, qu'elles amélioraient et embellissaient, mais en conservaient le kernel. En revanche, Platinum comportera d'importantes modifications de certains composants majeurs d'Exchange Server. Pour vous permettre de préparer une éventuelle décision de passage à Platinum, je vais décrire les développements les plus significatifs du produit.
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Publier des applications sur le Web avec ICA
De nombreuses entreprises adoptent Windows NT Server 4.0, Terminal Server Edition
et Citrix Metaframe pour déployer leurs applications Windows vers leurs utilisateurs.
Avec les solutions centrées sur le serveur, les entreprises ont découvert qu'elles
pouvaient déployer des applications actuelles complètes vers pratiquement tous
les clients de leur réseau - tout en consommant une bande passante raisonnable
pour cela.
En fait, certaines sociétés préfèrent permettre à leurs employés et clients d'accéder
à leurs applications de coeur de métier en utilisant une connexion Internet existante.
L'architecture ICA de Citrix permet cela. ICA est un standard permettant de fournir
des applications d'entreprise à une grande variété de plates-formes clientes et
de réseaux. Avec ICA, le serveur distingue la logique de l'application de l'interface
utilisateur et n'envoie que l'interface de l'application au client. L'application
tourne entièrement sur le serveur.
Les applications déployées avec ICA consomment jusqu'à 10 fois moins de bande
passante que ce qu'elles réclament normalement - entre 10 et 20 Ko par session
utilisateur environ.Mettre des applications publiées à disposition des bonnes
personnes sans pour autant ouvrir des brèches béantes dans votre réseau est une
tâche essentielle et stratégique. Pour cela, vous devez comprendre comment offrir
les applications à des clients légers Windows NT à travers un firewall, mais vous
devez également savoir comment préserver un haut niveau de sécurité.
En tant qu'ingénieur réseau, je suis nerveux dès que l'on me parle d'ouvrir quelque
port que ce soit d'un firewall. Pour préserver la sécurité de votre réseau, il
faut savoir comment fonctionne ICA, comment fournir des sessions ICA aux clients
à travers différents types de firewalls, et comment configurer votre firewall
et les paramètres ICA pour minimiser le danger.