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Les stratégies de groupe

Les stratégies de groupe

Microsoft affirme que la réduction du coût de possession est une des raisons de migrer vers Windows 2000. Le concept de TCO dépasse le simple prix d'achat de l'ordinateur et prend en compte bien d'autres centres de coûts, tels que le coût rémanent consistant à  supporter le système et les utilisateurs. Quiconque a un jour travaillé à  l'assistance aux utilisateurs, sait qu'en fixant des stratégies pour empêcher les utilisateurs de faire des modifications intempestives sur leurs systèmes, on peut éviter bien des problèmes pouvant affecter leur productivité et qui demandent fréquemment, pour les résoudre, l'intervention de personnels qualifiés. Dans Windows NT 4.0, les stratégies système sont à  peine plus que des modifications du shell qu'un utilisateur averti peut contourner sans problème. En revanche, dans Windows 2000, Microsoft a développé considérablement la notion de stratégies systèmes. Détaillons les stratégies de groupe, principalement pour comprendre comment il fonctionne dans le modèle Active Directory (AD).

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Entre modernisation et transformation, mon coeur balance

Entre modernisation et transformation, mon coeur balance

Sublimant la transformation d'applications, la stratégie d'entreprise de Seagull est la modernisation des applications existantes Lorsqu'il s'agit d'améliorer fonctionnellement une application "héritée", près de 50% des utilisateurs font aujourd'hui le choix d'une solution packagée, que ce soit un ERP ou une solution plus modulaire. Sur les 50% qui restent, la moitié environ envisagent un redéveloppement progressif, les autres optant pour une modernisation, une maintenance évolutive, de l'existant.En fait, les choses sont loin d'être aussi manichéennes: lors d'une récente intervention, Jim Sinur, du Gartner Group, s'est livré à  un mini-sondage auprès de son public (150 personnes). A la question "Combien de projets de maintenance évolutive des applications existantes avez-vous en cours en ce moment?", près des trois quarts des personnes présentes ont répondu "Au moins un" (et 20% en avaient 6 ou plus). Quant à  savoir si de tels projets étaient envisagés au sein de l'entreprise, ce sont carrément 90% des personnes qui ont répondu par l'affirmative.

Dans l'assistance se trouvaient évidemment des gens menant en parallèle des installations de packages et des redéveloppements partiels.

90% des personnes de l'assistance ont ou envisagent au moins un projet de modernisation d'application

D'où le constat simple: même si les investissements lourds, qu'ils s'appellent "redéveloppement" ou "mise en place de progiciels", semblent constituer la voie la plus sûre pour le long terme, rares sont ceux qui appliquent une politique de remplacement exclusive, et se détournent de l'existant, donc de leurs investissements passé, et de son évolution possible. Les deux atouts majeurs que sont un coût relativement limité et une grande rapidité de mise en oeuvre plaident en faveur de la maintenance évolutive des applications héritées.

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XML et SQL Server 2000

XML et SQL Server 2000

par Paul Burke
Facilitez-vous le commerce électronique et l'interopérabilité grâce au standard Internet d'échange d'informations

Remarque : Les auteurs ont basé leurs articles SQL Server 2000 sur des versions antérieures à  la Bêta 2. Aussi, il se peut que vous remarquiez quelques différences entre la Bêta 2 et le comportement ou les interfaces décrits dans cet article. En particulier, veuillez noter que la fonction vues indexées ne sera disponible que dans SQL Server 2000 Enterprise Edition. Toutefois, on peut installer Entreprise Edition sur un serveur NT 4 ou Windows 2000 (W2K). On n'est pas obligé d'utiliser NT 4.0 Enterprise ou W2K Advanced Server.

L'une des fonctionnalités les plus attendues de SQL Server 2000, le support de XML, est également l'une des plus floues en termes de valeur pratique immédiate. Personne n'a échappé au battage médiatique concernant ce langage, qui constituerait une passerelle entre tous les langages, et presque tous les systèmes de gestion de bases de données relationnelles (SGBDR) affirment désormais prendre en charge XML. Mais où, quand et pourquoi utiliser XML ?

XML permet de publier des types de données indépendamment des plates-formes, facilitant ainsi l'interopérabilité et le commerce électronique

XML, un standard Internet d'échange d'informations, permet de publier des types de données indépendamment des plates-formes, facilitant ainsi l'interopérabilité et le commerce électronique. XML sépare également les données des informations de présentation à  l'intérieur des pages Web ; on dispose ainsi d'un moyen standard pour définir et échanger des données entre applications et bases de données. (L'encadré "XML, le standard à  la mode", décortique les avantages qu'il y a à  utiliser XML pour séparer les données de leur présentation).

En tant que langage de définition de pages, le principal intérêt de XML vient soit de l'acceptation générale d'un langage particulier, défini dans XML, soit de l'acceptation générale de XML et de la disponibilité des utilitaires, d'outils et de l'infrastructure permettant de prendre en charge son utilisation. Même si XML comporte plusieurs excellents langages définis (tels que BizTalk, DSML [Directory Services Markup Language], et SOAP [Simple Object Access Protocol]), ce n'est pas la panacée pour tout le monde, surtout si on travaille dans un environnement Microsoft pur et dur, et qu'on développe des applications Windows 32 bits. Pour le transfert de données via un LAN, les ensembles de résultats ADO représentent le choix évident. Cependant, à  l'heure de l'Internet, rares sont les entreprises qui travaillent en circuit fermé. Et même à  l'intérieur des entreprises, il n'est pas rare de trouver différents types de serveurs, plates-formes ou langages.

Bien que SQL Server 2000 soit la première version de SQL Server à  proposer le support de XML, la fonction de prévisualisation XML de Microsoft fonctionne avec les versions 7.0 et 6.5. (on peut télécharger cette fonction de prévisualisation depuis le site Web SQL Server de Microsoft, à  l'adresse suivante : http://msdn.microsoft.com/workshop/xml/articles/xmlsql/). On peut également intégrer le support de XML dans SQL Server 7.0, 6.x et 4.2 en créant des procédures cataloguées étendues et des procédures cataloguées standard, quoique les procédures cataloguées standard puissent faire baisser les performances pour des ensembles de données de grande taille et de structure complexe. En outre, certaines fonctionnalités de SQL Server 7.0, telles que la recherche documentaire sur texte intégral, permettent de stocker du code XML comme du texte. Quelles sont alors les fonctions qui rendent SQL Server 2000 officiellement compatible XML ?

En général, on peut demander deux sortes de XML à  une base de données : le XML statique, stocké dans la base de données, et le XML dynamique, généré par les données présentes dans la base de données. Même la première version d

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Le pouvoir du filtrage de paquets

Le pouvoir du filtrage de paquets

Sans une forme de firewall, le réseau d'une entreprise est grand ouvert à  quiconque se connecte au même réseau public. Le filtrage des paquets est une des méthodes les plus courantes pour construire un firewall. Cette technique permet de contrôler le mouvement des paquets IP selon leur contenu. Comme son nom l'indique, le filtrage de paquets filtre les paquets IP en fonction d'un ensemble de règles définies au niveau des routeurs ou de toute unité de capable de router des paquets, comme Windows NT Server. On peut définir des règles de filtrage de paquets pour un ensemble constitué d'adresses de serveur, de protocoles, d'applications, de directions de connexion et de types de messages. Les spécificités de la mise en oeuvre du filtrage dépendent de votre équipement et des fournisseurs. Pour comprendre le filtrage de paquets, il faut connaître les relations entre les couches de protocole TCP/IP. Il faut également comprendre comment le filtrage de paquet dépend des divers protocoles TCP/IP.

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Comment clusteriser Exchange Server

Comment clusteriser Exchange Server

Le clustering rend les plates-formes plus sûres, robustes et fiables pour les déploiements de messagerie. Mais Microsoft Exchange Server ne supportait pas cette fonction jusqu'à  la sortie des éditions Entreprise de Windows NT Server 4.0 et d'Exchange Server 5.5. Farouche partisan des clusters depuis le VMSCluster de Digital, j'ai préféré attendre qu'Exchange supporte le clustering avant de l'adopter comme solution de messagerie. Après avoir cherché pendant deux mois le matériel adéquat, j'ai donc mis mon cluster Exchange Server en production en février 1998. La plupart du temps il tourne correctement et sans nécessiter beaucoup d'administration, mais sa mise en oeuvre a buté sur un certain nombre de problèmes et j'ai beaucoup appris en créant, configurant et maintenant un cluster Exchange l'an dernier.

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Comprendre les contrôleurs de domaine

Comprendre les contrôleurs de domaine

Windows NT Server organise les groupes d'ordinateurs en domaines, faisant en sorte que les machines d'un domaine partagent une base de données et une politique de sécurité communes. Les contrôleurs de domaine sont des systèmes sous Windows NT Server qui partagent la base de données centrale stockant les comptes des utilisateurs et leurs informations de sécurité pour un domaine. Lorsqu'un utilisateur se connecte à  un compte de domaine, les contrôleurs de domaine authentifient le profil et le mot de passe de l'utilisateur en utilisant les informations de la base de données d'annuaire (également souvent baptisée base de données de sécurité de domaine ou base de données SAM). Pendant l'installation de Windows NT Server, vous devez désigner le rôle que chaque serveur devra tenir dans un domaine. NT vous offre le choix de 3 rôles : PDC (Primary Domain Controller - contrôleur principal de domaine), BDC (Backup Domain Controller - Contrôleur secondaire de domaine) et serveur membre. On crée un domaine dès lors que l'on désigne un PDC. Les PDC et BDC sont des éléments cruciaux des domaines. Pour garder le contrôle et tirer le meilleur des domaines que vous créez dans votre réseau NT, vous devez comprendre ce que sont les PDC et BDC, comment synchroniser la base de données d'annuaire entre PDC et BDC dans un domaine, comment promouvoir un BDC en PDC lorsque le PDC est indisponible, comment déterminer le bon nombre de PDC pour un domaine donné et comment gérer les relations d'approbation entre les PDC de différents domaines.

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Installer des logiciels avec Windows 2000

Installer des logiciels avec Windows 2000

La gestion des postes de travail sous Windows NT est un cauchemar dans les grands environnements - et souvent dans les moins grands. Microsoft Systems Management Server (SMS) 2.0 règle en partie les problèmes d'administration, mais il lui manque certains composants essentiels ou certains sont mal adaptés aux grands environnements. Le problème de l'administration de système est le principal challenge de Microsoft. La prise en compte de ce problème et le coût considérable associé à  sa résolution a débouché sur l'initiative Zero Administration for Windows (ZAW). Avec Windows 2000, Microsoft tente de faire passer ZAW de la théorie à  la pratique et a même renommé l'ensemble des technologies Change and Configuration Management (CCM) - la gestion du changement et des configuration étant un objectif bien plus réaliste qu'un Windows sans administration ! Par exemple, Windows 2000 fournira des services pour améliorer l'installation et la configuration des logiciels. Dans cet article, nous verrons comment Windows 2000 permet de mieux gérer les applications des postes de travail et comment tout ceci s'intègre dans la stratégie globale de Microsoft.

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SQL Server 7.0 Réplication personnalisée

SQL Server 7.0 Réplication personnalisée

par John D. Lambert
Les procédures de transfert-delta peuvent vous apporter le meilleur de la réplication sans les coûts associés SQL Server 7.0 rend la réplication plus simple que jamais mais, pour maximiser votre expertise, envisagez toutes les possibilités. On peut utiliser les assistants de réplication, DTS (Data Transformation Services), l'interface SQL-DMO (SQL Distributed Management Objects) et même du code binaire.
Toutefois, si vous êtes déjà  un utilisateur chevronné de T-SQL, pensez à  apprendre à  utiliser des procédures cataloguées personnalisées pour copier les données. Dans le présent article, je tente d'expliquer comment et dans quelles circonstances utiliser cette méthode.

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Platinum : un avenir doré pour Exchange ?

Platinum : un avenir doré pour Exchange ?

Microsoft fait tout son possible pour que Windows 2000 Server rencontre le succès du premier coup. Alors que le Gartner Group fait preuve de scepticisme en conseillant à  ses clients d'attendre jusqu'en 2000 avant de déployer le nouvel OS, Microsoft a bien l'intention de persuader ses clients de migrer en veillant à  ce que les applications les plus répandues fonctionnent bien sous Windows 2000 Server, notamment la nouvelle version d'Exchange Server. La prochaine version majeure du système de messagerie Microsoft Exchange (nom de code Platinum) ne tournera que sous Windows 2000 Server. Microsoft n'a pas encore fixé de date ferme pour sa sortie, mais ce sera dans tous les cas après Windows 2000.Platinum sera la version la plus stratégique d'Exchange et d'une envergure inégalée depuis les débuts la version 4.0 en 1996. Exchange 5.0 et 5.5 partaient d'une base établie par Exchange 4.0, qu'elles amélioraient et embellissaient, mais en conservaient le kernel. En revanche, Platinum comportera d'importantes modifications de certains composants majeurs d'Exchange Server. Pour vous permettre de préparer une éventuelle décision de passage à  Platinum, je vais décrire les développements les plus significatifs du produit.

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Publier des applications sur le Web avec ICA

Publier des applications sur le Web avec ICA

De nombreuses entreprises adoptent Windows NT Server 4.0, Terminal Server Edition et Citrix Metaframe pour déployer leurs applications Windows vers leurs utilisateurs. Avec les solutions centrées sur le serveur, les entreprises ont découvert qu'elles pouvaient déployer des applications actuelles complètes vers pratiquement tous les clients de leur réseau - tout en consommant une bande passante raisonnable pour cela.
En fait, certaines sociétés préfèrent permettre à  leurs employés et clients d'accéder à  leurs applications de coeur de métier en utilisant une connexion Internet existante. L'architecture ICA de Citrix permet cela. ICA est un standard permettant de fournir des applications d'entreprise à  une grande variété de plates-formes clientes et de réseaux. Avec ICA, le serveur distingue la logique de l'application de l'interface utilisateur et n'envoie que l'interface de l'application au client. L'application tourne entièrement sur le serveur.
Les applications déployées avec ICA consomment jusqu'à  10 fois moins de bande passante que ce qu'elles réclament normalement - entre 10 et 20 Ko par session utilisateur environ.Mettre des applications publiées à  disposition des bonnes personnes sans pour autant ouvrir des brèches béantes dans votre réseau est une tâche essentielle et stratégique. Pour cela, vous devez comprendre comment offrir les applications à  des clients légers Windows NT à  travers un firewall, mais vous devez également savoir comment préserver un haut niveau de sécurité.
En tant qu'ingénieur réseau, je suis nerveux dès que l'on me parle d'ouvrir quelque port que ce soit d'un firewall. Pour préserver la sécurité de votre réseau, il faut savoir comment fonctionne ICA, comment fournir des sessions ICA aux clients à  travers différents types de firewalls, et comment configurer votre firewall et les paramètres ICA pour minimiser le danger.

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Microsoft a-t-il des ambitions pour le clustering sous NT ?

Microsoft a-t-il des ambitions pour le clustering sous NT ?

Au Labo, nous avons toujours accordé une grande importance au besoin de clustering dans les entreprises, de la PME à  la multinationale. Aussi quand Microsoft a annoncé, en 1996, son projet de clustering Windows NT en deux phases, nous avons imaginé que la haute disponibilité allait s'étendre à  tous les bureaux, et même à  tous les PC.

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Référentiels : la course au jackpot

Référentiels : la course au jackpot

Les " référentiels " (ou gisements de données) d'entreprise ont toujours été un produit difficile à  vendre. A leur niveau le plus élémentaire, ce sont des applications de bases de données contenant des métadonnées, c'est à  dire des données sur les données. Dans le contexte des référentiels, le terme métadonnées désigne des informations sur les actifs informatiques d'une organisation, depuis les définitions de composants et les programmes COBOL jusqu'aux informations sur les data warehouses et les datamarts on-line de l'entreprise. Les référentiels contiennent aussi généralement des informations sur les schémas de base de données, les règles de gestion et les conventions de codage et de noms de l'entreprise.
Il s'agit, en somme, d'une liste de ressources exhaustive, à  indexage croisé, un catalogue géant des ressources d'une organisation. Tel est l'objectif du référentiel d'entreprise, il ne faut donc pas s'étonner si on les appelle parfois dictionnaires ou encyclopédies de données.
Si cette description vous paraît trop abstraite, vous pouvez comparer le Registre à  un référentiel de tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur un système Windows.Vous êtes séduit par l'idée d'avoir un référentiel, mais, prudent, vous pensez qu'il est probablement pénible à  installer et à  maintenir ? Vous n'avez pas tort. Et nous revoici à  la case départ : les référentiels sont depuis toujours un produit difficile à  vendre. Toutefois ils font malgré tout un come-back et le moment est donc venu d'examiner ce qu'ils peuvent vous offrir.

Le marché actuel des référentiels est restreint et guère dynamique

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Serveurs de terminaux : Microsoft change les règles de licence

Serveurs de terminaux : Microsoft change les règles de licence

Juste quand vous pensiez avoir enfin compris les règles de licences de Windows NT Server 4.0 Terminal Server Edition, Microsoft décide de les changer pour Windows 2000. Les règles, les types de licences disponibles, les prix et les étapes requises pour les licences des services de terminaux diffèrent sensiblement entre Windows NT 4.0 et Windows 2000. Cet article étudie le fonctionnement des licences des services de terminaux intégrés de Windows 2000, détaille comment gérer les licences et explique la logique de ces modifications.

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Naviguer dans la résolution de noms ( Partie 1 )

Naviguer dans la résolution de noms ( Partie 1 )

La question le plus souvent posée aux consultants réseau est ce qui, dans la mise en réseau de Windows, pose le plus de problèmes. La réponse est sans détour : la résolution des noms, avec son indissociable cortège de maux - mauvaises performances, incapacité des clients ou des applications à  se connecter aux serveurs, listes d'exploration incomplètes et obscurs messages d'erreur aux problèmes de résolution des noms d'ordinateurs en adresses IP. Pour vous aider à  venir à  bout de ces maladies, cet article propose une initiation à  la résolution des noms, explique certaines causes, peu connues, des problèmes de résolution de noms et règle un malentendu courant sur le sujet.

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Bâtir un site Web à  haute disponibilité avec MSCS et IIS

Bâtir un site Web à  haute disponibilité avec MSCS et IIS

Microsoft Cluster Server est un service précieux, mais méconnu, de Windows NT Server 4.0 édition Enterprise, qui augmente le temps de production grâce à  une disponibilité élevée. Dans cet article, nous détaillerons les fonctions de base de MSCS et son utilisation avec Internet Information Server pour configurer un site Web à  haute disponibilité.

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Construire un help desk avec Netmeeting

Construire un help desk avec Netmeeting

La plupart des utilisateurs connaissent NetMeeting pour ses fonctions audio et vidéo, souvent décevantes compte tenu de la qualité des transmissions sur une connexion lente. Cependant, NetMeeting offre de nombreuses autres fonctions qui peuvent s'avérer très pratiques pour votre entreprise. Microsoft fournit NetMeeting 3.01 comme un outil gratuit permettant de communiquer sur un réseau avec des images et de la voix en temps réel, l'échange ou l'annotation de documents sur un tableau blanc, le transfert de fichiers, la discussion basée sur l'échange de textes (chat), le partage d'applications Windows entre utilisateurs distants et la connexion distante à  d'autres ordinateurs.
Mais ces fonctions exigent des capacités réseau que n'ont pas de nombreuses entreprises. En revanche, le produit comporte d'autres fonctions moins connues et très utiles, notamment pour l'assistance aux utilisateurs.
Par exemple, NetMeeting peut simplifier votre vie grâce à  l'accès distant et au partage d'applications qu'il permet, sans devoir acquérir une solution spécifique payante. NetMeeting est un outil génial pour le personnel de support aux utilisateurs ou pour que des employés situés dans des bureaux distants puissent collaborer sur un projet.
Un bref survol de NetMeeting permet de comprendre ses fonctions et de voir vous pouvez vous servir de NetMeeting dans votre LAN comme outils de help desk.

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Stockage performant des données

Stockage performant des données

Pour obtenir des traitements performants, tout le monde pense à  choisir un bon schéma physique pour les données d'une base. Mais il faut aussi stocker les données d'une manière acceptable pour les durées de sauvegarde, restauration et réorganisation. Voici quelques conseils. Le but de cet article est d'offrir quelques conseils en matière de sauvegarde et non de faire le tour du sujet. Nous n'y traiterons donc pas du choix des matériels (disques et streamers en mode RAID, divers types de cartouches, robots de stockage, réseaux d'accès aux données NAS/SAN et réseaux d'accès aux périphériques de sauvegarde.

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L’installateur de SMS

L’installateur de SMS

Microsoft Systems Management Server comporte un installateur qui aide les administrateurs systèmes à  automatiser la distribution des applications. Ce programme de SMS permet un déploiement cohérent et efficace des logiciels vers les utilisateurs sans imposer d'installation manuelle sur chaque ordinateur. L'installateur de SMS fonctionne comme Sysdiff de Windows NT. Il commence par prendre une photographie du système et installe le logiciel. Puis il refait une autre photographie et recherche les différences entre les répertoires et les registres. En mode Expert d'installation, l'installateur compile les différences dans un fichier exécutable (.exe) et il ne reste plus qu'à  créer une tâche SMS pour pousser le fichier vers les systèmes cibles.
Le mode Expert d'installation est une interface graphique permettant d'installer le progiciel via une série de boîtes de dialogue. L'installateur de SMS possède également un mode Editeur de script, qui permet de créer des scripts complets ou d'éditer les scripts existants.
Pour l'utiliser, Il faut apprendre un nouveau langage de script et passer beaucoup de temps à  écrire, tester et déboguer les scripts.
C'est pourquoi je ne recommande pas son utilisation. Dans les cas où l'installateur de SMS n'est pas suffisamment puissant, il est préférable d'acheter un produit tiers tel que WinINSTALL 6.0 de Seagate Software. (Pour en savoir plus sur WinINSTALL, voir l'encadré " WinINSTALL 6.0 "). L'installateur de SMS est fourni gratuitement avec SMS et répondra probablement à  vos besoins en matière de distribution d'applications.

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NT versus Linux : les trois avantages de Linux

NT versus Linux : les trois avantages de Linux

Les nouveaux OS m'ont toujours fasciné. J'adore les essayer, en espérant en trouver un qui soit fiable, souple et compatible. Au cours des 20 dernières années, j'ai utilisé de nombreux OS et aucun n'a répondu à  toutes mes attentes. Depuis 20 ans que j'essaie de nouveaux systèmes d'exploitation, j'ai eu l'occasion d'en utiliser plus d'un. J'ai ainsi pu tester notamment CP/M de Digital Research et ses successeurs CP/M-86 et MP/M ; TRSDOS, l'OS des systèmes TRS-80 ; TOS de l'Atari 520 ; GEM d'Amiga ; P-System de l'Université de Californie de San Diego (une première approche de type Java de l'indépendance vis à  vis de la machine) ; WM/386 d'IGC, Microsoft Windows/386 et DesQ de Quarterdeck (trois tentatives de construire un OS DOS multitâche) ; IBM OS/2 ; VINES de Banyan ; Novell NetWare ; et, bien sur, Windows NT.
Aucun de ces OS ne m'a apporté toutes les fonctions que je recherchais. Certains ont échoué à  cause de limites techniques, d'autres ont pâti d'un manque de reconnaissance du marché.

Dans certains cas, pour les deux raisons. Linux est le dernier en date des OS à  fort potentiel. Linus Torvalds a créé ce système proche d'UNIX en 1991 alors qu'il était étudiant, et des milliers d'autres programmeurs l'ont enrichi depuis. Une des raisons de l'attention et de l'intérêt suscité par Linux au cours des 2 dernières années et que tant de gens ont donné de leur temps pour travailler sur cet OS (autrement dit, peut de développeurs de Linux sont payés pour leur effort).
J'ai beaucoup appris sur Linux récemment car je prépare un livre destiné aux experts NT afin de leur faire découvrir ce qu'est Linux, ce qu'il peut faire et comment il peut faciliter la vie des administrateurs NT.

Parmi les forces de Linux que j'ai découvertes : sa capacité à  opérer en tant que serveur sans nécessiter d'interface graphique, ses outils intégrés puissants et sa nature contrôlable à  distance. Les interface graphiques consomment les ressources de la machine, privant le système de mémoire et de CPU au détriment des applications

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Réplication bidirectionnelle avec SQL Server 7.0

Réplication bidirectionnelle avec SQL Server 7.0

par Baya Pavliashvili
Les éditeurs convertis en abonnés et les abonnés convertis à  leur tour en éditeurs
Les fonctions avancées de réplication de SQL Server permettent de synchroniser les données de plusieurs bases de données, que celles-ci résident sur le même serveur ou non. Mais pourquoi pas simplement sauvegarder les bases de données et les restaurer ensuite sur un autre serveur, ou utiliser DTS (Data Transformation Services) pour transférer les tables et données ? Si on travaille sur des bases de données accessibles uniquement en lecture, ces techniques conviennent parfaitement. Mais qu'en est-il si on a une base de données transactionnelle (OLTP) de grande taille (100 Go ou plus) gérant une centaine de transactions ou plus par minute ? Ou alors, que faire si on a plus de 1.000 utilisateurs exécutant des instructions Select, Insert, Update et Delete au moins 8 heures par jour ? Dans ce contexte, effectuer des sauvegardes suivies de restaurations toutes les 10 minutes (ce qui aurait pour effet de verrouiller les tables et déclencher des appels d'utilisateurs irrités) est inacceptable. En outre, l'utilisation de DTS ou de bcp (bulk copy program) pour transférer autant d'informations à  chaque fois que l'on souhaite synchroniser des bases de données n'est pas viable ; le transfert nécessiterait beaucoup trop de temps.

Même si la réplication n'accélère pas le transfert des données, elle permet cependant, d'effectuer ce dernier d'un serveur à  un autre en une seule opération, puis de répercuter les modifications sur les autres bases de données. En d'autres termes, la réplication peut représenter la solution idéale pour transférer des données si on recherche un juste milieu entre la propagation des données sur différentes machines et la disponibilité de ces mêmes données.

SQL Server 7.0 passe à  la vitesse supérieure en matière de réplication et de facilité d'emploi

SQL Server 6.0 a apporté le support de la réplication, et SQL Server 6.5 a rajouté des améliorations mineures. Pour sa part, SQL Server 7.0 passe à  la vitesse supérieure en matière de réplication et de facilité d'emploi. En effet, SQL Server 7.0 va bien au delà  d'une photographie instantanée des données et de la réplication transactionnelle standard pour supporter la réplication bidirectionnelle (ou un abonnement avec mise à  jour instantanée) et la réplication par fusion. Cette version permet également de répliquer des données de et vers des plates-formes non SQL. De plus, SQL Server 7.0 automatise toutes les tâches de réplication, permettant ainsi aux administrateurs de configurer et d'administrer la réplication à  l'aide d'assistants, sans écrire une seule procédure cataloguée. A travers les assistants de réplication, il est même possible de paramétrer SQL Server de manière à  écrire des tâches de nettoyage et d'informer les administrateurs des éventuelles erreurs par courrier électronique ou pager. Passons en revue les assistants de SQL Server 7.0 en vue de configurer un exemple de solution de réplication avec mise à  jour immédiate. Examinons ensuite, l'action de SQL Server en coulisses pour implémenter cette solution et pour finir, testons la solution proposée.

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