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Les performances d’Exchange 2000

Les performances d’Exchange 2000

Les caractéristiques de performances de Microsoft Exchange Server 5.5 sont bien connues. En 1996, Exchange Server 4.0 a posé ses principes de base : atteindre des performances optimales grâce à  la distribution des fichiers et depuis, pas grand-chose n'a changé. Microsoft a bien étendu la capacité de l'Information Store (IS) jusqu'à  la limite théorique de 16 To, mais le serveur de messagerie conserve ses caractéristiques essentielles. Dans Exchange Server, les points névralgiques, c'est-à -dire les fichiers générant la plus lourde charge d'E/S, sont les bases de données de l'IS et du Directory Store, leurs journaux de transactions, la copie sur disques de Windows NT et le répertoire de travail MTA (Message Transfer Agent).

Exchange 2000 Server est d'un tout autre acabit. Le nouveau serveur de messagerie bénéficie des améliorations suivantes :

* L'architecture de l'IS a nettement évolué, passant du simple partitionnement de bases de données privées et publiques à  un point où elle permet, théoriquement, d'exécuter jusqu'à  90 bases de données sur un seul serveur.

* Microsoft IIS (Internet Information Server) traite tous les accès de protocoles pour SMTP, IMAP4 (Internet Message Access Protocol), HTTP, NNTP (Network News Transfer Protocol) et POP3, et joue donc un rôle plus important pour Exchange 2000 que pour les précédentes versions d'Exchange Server.

* Une nouvelle base de données déroulante peut contenir le contenu Internet natif.

* Active Directory (AD) de Windows 2000 remplace le Directory Store.

* Un nouveau moteur de routage et de mise en file d'attente, basé sur SMTP, remplace l'ancien MTA basé sur X.400.

Ces améliorations font partie d'une solution customisable que les solutions tierces étendront vraisemblablement pour doter Exchange 2000 de fonctions telles que antivirus, fax, workflow, gestion de documents et autres fonctions qui ne font pas partie du serveur de base.
Exchange 2000 apporte d'importants changements architecturaux affectant considérablement les performances. Les concepteurs de systèmes vont devoir à  présent se poser une question cruciale : comment optimiser au maximum ces nouvelles fonctions en termes de configurations systèmes et matériels.

Pour y répondre, commençons par examiner le partitionnement de l'IS d'Exchange 2000.Exchange 2000 apporte d'importants changements architecturaux affectant considérablement les performances

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Thorn Europhane : ERP et Terminal Server au centre du nouveau SI

Thorn Europhane : ERP et Terminal Server au centre du nouveau SI

Pour bâtir son nouveau système d'information multisite, le groupe Thorn a opté pour la mise en place de l'ERP Baan. Les problèmes de communications de données entre les filiales ont pu être résolus grâce à  l'architecture Terminal Server/Metaframe.La décision de mettre en oeuvre une informatique de gestion commune au niveau du groupe Thorn est née il y a trois ans, et répondait à  une double contrainte. D'une part, les difficultés de consolidations de chiffres, et d'autres parts les problèmes de communication entre les différentes filiales, au sein d'environnements informatiques très hétérogènes. " Il devenait primordial de mettre en oeuvre un modèle de gestion plus cohérent au niveau du groupe, de rationaliser les systèmes d'informations des différentes filiales, et faire en sorte qu'ils passent le cap de l'an 2000. " explique Gérard L'hote, directeur administratif et financier chez Thorn Europhane. C'est le progiciel de gestion intégré Baan qui sera retenu, après la phase de Business Re Engineering, pour supporter une rénovation complète du système d'information de l'entreprise : de la gestion comptable, financière, commerciale, à  la gestion de production. " Nous avons fait le choix de l'ERP Baan car c'était alors, le seul produit du marché susceptible de nous aider à  bâtir un système d'information multisite transfrontières, en nous apportant une réponse métier adaptée à  notre problématique de GPAO. " souligne Gérard L'hote. Quant à  l'intégrateur Origin, il sera chargé de la mise en oeuvre complète de l'ERP. " Origin est aujourd'hui le premier intégrateur Baan sur le marché, mais c'est aussi la seule société de services capable d'apporter une réponse internationale à  notre problématique d'implémentation. " précise Gérard L'hote.

A partir du mois de juin 1998, un modèle commun d'implémentation a été choisi pour l'ensemble des pays concernés (Angleterre, Suède, France et Allemagne). A charge de ces filiales, d'adapter ensuite la solution à  leurs besoins propres de gestion, via des personnalisations et des développements spécifiques.

" L'architecture AS400 nous posait de gros problèmes de communications entre sites à  cause du protocole SNA "

Basée en Angleterre, l'usine de production de Spennymoor sera la première à  finaliser la mise en oeuvre de la gestion de production. Elle sera suivie par son homologue allemande, qui optera pour une démarche Big Bang du fait de sa configuration multisite. La France vient quant à  elle de terminer l'implémentation de la solution par la mise en oeuvre du dernier module de gestion commerciale.

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Administrer les variables d’environnement de Windows NT

Administrer les variables d’environnement de Windows NT

Dans les groupes de discussion, reviennent fréquemment des questions sur les variables d'environnement. Les administrateurs Windows NT ont souvent du mal à  accéder aux informations stockées par ces variables. Pour définir et lire des variables d'environnement sur les machines NT il existe plusieurs techniques. Cet article explique comment un administrateur NT expérimenté peut gérer des variables système et utilisateur avec les utilitaires du Kit de ressources de Windows NT Server 4.0, des fichiers batch et des applications VBScript (Visual Basic).

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XML et les technologies de scripting de Microsoft

XML et les technologies de scripting de Microsoft

Il y a un peu plus d'un an, interrogé sur l'impact qu'allait avoir XML sur les technologies de script de Windows, j'avais répondu que XML allait certainement jouer un rôle crucial pour le développement des applications Web, mais qu'il n'affecterait pas l'univers des scripts d'administration de systèmes. Or Windows Scripting Host 2.0 m'a donné tort. Egalement baptisé Windows Script 5.1, Windows Scripting Host 2.0 (WSH) comporte de nouvelles fonctions puissantes dépendant d'un nouveau type de fichier et d'un nouveau format. Vous voulez savoir quel type de fichier ? Alors, suivez-moi. WSH 2.0 comprend de nouvelles fonctions telles que, par exemple, le support des fichiers inclus, plusieurs moteurs de script, de nouveaux outils. Parmi ces nouvelles fonctions, plusieurs dépendent du nouveau format de fichier Windows Script (WS). Les fichiers WS de WSH 2.0 ne sont pas de simples fichiers ASCII contenant du code VBScript, Jscript ou d'autres langages de script compatibles ActiveX. Ce sont des applications XML (Extensible Markup Language) structurées par Microsoft selon le schéma WS XML. Le nouveau type de fichier et le nouveau format créent un cadre d'écriture de script amélioré et puissant. Examinons le schéma WS XML et les nouvelles fonctions qu'il apporte.

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Naviguer dans la résolution de noms 2ème Partie

Naviguer dans la résolution de noms 2ème Partie

Même les administrateurs Windows NT les plus chevronnés ne maîtrisent pas parfaitement le processus de résolution des noms des réseaux Windows. On ne saurait le leur reprocher. Qui pourrait s'y retrouver dans ce monde truffé de standards de serveurs de noms, d'ordres de résolution de clients modifiables, de serveurs WINS auto-destructeurs, de service packs et de correctifs modifiant la résolution des noms et d'une avalanche d'articles Microsoft contradictoires. Le seul espoir si l'on veut maîtriser la résolution de noms Windows est de comprendre la méthodologie sous-jacente pour pouvoir régler les problèmes lorsqu'ils surviennent sur un réseau. (Dans l'article " Naviguer dans la résolution de noms, Partie 1 " de septembre 2000, nous avons vu les bases de la résolution des noms, décrit les causes cachées et les malentendus communs liés à  la résolution des noms et proposé un certain nombre de solutions pour des situations spécifiques). J'ai trouvé quelques solutions pour atténuer les malheurs de la résolution des noms.

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Améliorez les performances base de données avec l’assistant d’optimisation des index

Améliorez les performances base de données avec l’assistant d’optimisation des index

par Itzik Ben-Gan
En utilisant des index appropriés, les requêtes deviennent plus performantes qu'elles ne l'ont jamais été Avez-vous créé des index optimisés pour votre base de données ? Avez-vous pensé à  utiliser les meilleurs index de tables clusterisés ? Avez-vous déterminé quels index peuvent améliorer les performances des requêtes ? Le choix du meilleur index clusterisé pour une table base de données principale constitue l'un des problèmes les plus ardus que rencontrent les administrateurs de bases de données.
Toutefois, le choix des meilleurs index non clusterisés n'est pas non plus très aisé. En effet, cela impose de prendre en considération la distribution statistique des données, les différentes techniques utilisées par l'optimiseur de requêtes pour concevoir un plan d'exécution efficace, ainsi que le nombre de sélections et de modifications effectuées par les utilisateurs sur la base de données pour ne pas créer d'index superflus.

Les développeurs SQL Server 7.0 disposent déjà  de SQL Profiler, un outil inestimable permettant de suivre les requêtes

Ne serait-il pas idéal de disposer d'un outil capable d'analyser les requêtes effectuées sur sa base de données et de recommander les index à  créer ? Et bien coup de chance. Les développeurs SQL Server 7.0 disposent déjà  de SQL Profiler, un outil inestimable permettant de suivre les requêtes effectuées sur une base de données. On peut enregistrer le résultat de Profiler dans un fichier, une table ou un script SQL. On peut ensuite analyser ce résultat à  l'aide d'un autre outil de SQL Server 7.0, l'assistant d'optimisation d'index ou Index Tuning Wizard (ITW), lequel recommande les index à  concevoir.

Pour s'assurer que l'ITW donne des indications efficaces, il faut assurer un suivi des requêtes pendant une période d'activité type sur le système (et non une période d'activité exceptionnellement intense ou faible ni une période où se produisent des activités exceptionnelles). Il faut également décider pendant combien de temps Profiler doit suivre les requêtes. On peut par exemple avoir une représentation caractéristique de l'activité du système, en ne faisant une trace avec Profiler que durant quelques heures. Ou alors, il faudra effectuer un suivi sur quelques jours ou plus pour capturer les variations d'activité en cours de journée ou sur plusieurs jours.

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SSL et la cryptographie

SSL et la cryptographie

Historiquement, SSL est un protocole mis au point par Netscape pour la sécurisation des communications sur le Web. Tous les acteurs du marché ont accepté ce protocole et le supportent, en attendant l'arrivée d'un standard international. Ce standard appelé TLS (Transport Layer Security), basé sur SSL, est mis au point par le l'IETF (Internet Engineering Task Force) et a été publié il y a peu de temps (TLS 1.0). Tous les éditeurs significatifs supportent ou ont annoncé leur intention de supporter TLS 1.0.Afin de comprendre ce qu'est SSL, il est indispensable de maîtriser les concepts de cryptographie qui en constituent les fondations.

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Les 4 outils freeware indispensables

Les 4 outils freeware indispensables

Personne n'apprécie de se voir offrir quelque chose pour découvrir ensuite qu'il y a un loup. Dans la jungle des logiciels gratuits, de nombreux pièges attendent le téléchargeur innocent. Au début, tout va bien et il semble que le fournisseur donne tout gratuitement. Par la suite, on se rend souvent compte que l'on a affaire en réalité à  une version de démo, un shareware ou, plus dangereux, du « snareware » ou « Spamware » - des programmes qui infiltrent votre carnet d'adresse ou votre messagerie. Si l'on sait où chercher, il est possible de découvrir une poignée d'utilitaires gratuits pour Windows NT qui faciliteront votre travail et vous permettront de résoudre des problèmes courants. N'en attendez pas de miracles cependant et soyez conscient qu'il est difficile de trouver des produits freeware déployables sur un réseau. Après une période échevelée de chasse sur le net, de téléchargement et de test de freeware, voici ma liste d'utilitaires gratuits les plus utiles pour la plate-forme Windows NT.

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Le service d’équilibrage des charges de Windows NT

Le service d’équilibrage des charges de Windows NT

Les sites Web reposant sur des applications sophistiquées sont confrontés à  deux problèmes principaux : la fiabilité et la montée en charge. Les utilisateurs ont besoin d'un accès fiable aux applications Web, y compris celles de l'intranet de leur entreprise. L'augmentation du trafic à  la fois sur les sites Internet et intranet est venue renforcer le problème de la capacité des applications à  croître : le trafic d'un site Web peut passer de 1.000 à  80.000 hits par jour. L'utilisation d'un seul serveur pour garantir la fiabilité est problématique, car en cas d'arrêt du serveur, les applications s'arrêtent également.

De plus un serveur unique offre un potentiel limité de montée en charge.Les premières solutions mises en place par les webmestres et les administrateurs systèmes pour accroître la fiabilité et l'évolutivité faisaient appel à  des périphériques matériels comme le routeur DNS. Celui-ci distribuait aléatoirement, " à  tour de rôle " les requêtes aux différents serveurs du réseau pour équilibrer la charge.

Cette méthode fonctionnait bien avec les premiers sites HTML et même avec certains sites hébergeant avec les premières applications Web. Mais l'arrivée d'applications Web dotées de fonctions plus sophistiquées, telles que le support de session Internet Information Server, qui stocke des informations sur le serveur entre les sessions d'un utilisateur, a mis à  mal la solution du routeur. Ce dernier est en effet incapable d'assurer l'équilibrage des charges nécessaire aux applications Web modernes.

Pour résoudre les problèmes de fiabilité et de montée en charge, les éditeurs ont développé des logiciels comme Convoy Cluster Software de Valence Research pour les serveurs NT. Fin 1998, Microsoft a acquis Valence Research et l'a rebaptisé Windows NT Load Balancing Service (WLBS) 2.2. WLBS est fourni gratuitement aux utilisateurs de l'édition Entreprise de Windows NT Server 4.0. (Pour l'obtenir, allez à  http://www.microsoft.com/ntserver/all/downloads.asp#windowsntserverfeatures).

Fin 1998, Microsoft a acquis Valence Research et l'a rebaptisé Windows NT Load Balancing Service


WLBS tourne également sur la version normale de Windows NT Server 4.0, mais il n'est pas intégré à  la licence de cette version. En revanche, lorsque vous passerez à  Windows 2000, sachez que WLBS ne fonctionnera que sur Windows 2000 Advanced Server et Windows 2000 Datacenter Server. Pour se servir de WLBS, il faut donc disposer de la bonne version et de la bonne licence de Windows NT, sans oublier d'adopter la bonne version de Windows 2000.

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Les outils d’administration à  distance du Kit de ressources

Les outils d’administration à  distance du Kit de ressources

Les administrateurs système n'ont guère le temps de visiter chaque machine d'un réseau. Ils ont donc besoin d'outils d'administration de Windows NT Server 4.0, capables d'exécuter des scripts complexes simultanément sur plusieurs ordinateurs distants. Certains administrateurs considèrent les progiciels de contrôle à  distance, comme pcAnywhere de Symantec ou Timbuktu Pro de Netopia comme des solutions satisfaisantes. Ces applications de contrôle à  distance conviennent particulièrement bien pour prendre le contrôle d'un PC, permettre l'interaction bi-univoque pour guider un utilisateur dans une tâche compliquée, accomplir une configuration isolée ou régler des problèmes avec des taches impossibles à  accomplir à  distance par le biais de scripts.

Mais ce que je me propose, c'est d'effectuer simultanément chaque tâche administrative sur plusieurs machines simultanément à  partir de l'invite de commande dans un environnement scripté. Pour cela, j'utilise les outils d'administration à  distance du Kit de ressources de Microsoft Windows NT Server 4.0, y compris le Supplément 4. Pour tous les lecteurs qui veulent en faire autant, j'ai dressé la liste des outils que je trouve les plus utiles dans mes tâches administratives quotidiennes.

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Microsoft Site Server 3,0 édition Commerce électronique

Microsoft Site Server 3,0 édition Commerce électronique

L'édition Commerce électronique de Microsoft Site Server 3.0 simplifie la création d'une vitrine Internet en fournissant aux développeurs un ensemble d'outils et de possibilités, comme, par exemple, des boutiques types pour servir de modèles. Pour plus de personnalisation ou l'intégration à  l'existant, des modèles peuvent être modifiés ou créés de toute pièce. Microsoft Site Server édition Commerce électronique (SSCE) permet de presque tout faire très facilement. Ses assistants peuvent générer votre site vitrine à  partir de zéro avec des mécanismes de base pour récolter des informations sur les acheteurs et les commandes, le stockage dans des bases de données et le traitement des commandes. SSCE comprend des outils intégrés de publicité et de promotion et des outils d'administration des vitrines.

Ces outils, combinés à  des snap-in d'éditeurs tiers - calcul des taxes, coûts d'expédition, paiement - facilitent la création d'une vitrine de base et le démarrage d'une activité commerciale.Mais, pour comprendre SSCE et s'en servir pour créer une solution plus sophistiquée s'intégrant aux systèmes et aux bases de données de l'entreprise, il faut se retrousser ses manches et jeter un coup d'oeil sous le capot. A y regarder de plus près, on découvre que SSCE contient plusieurs technologies et structures essentielles : pages actives ASP (Active Server Pages), objets COM et pipeline de traitement des commandes.

La plupart des pages d'un site Web SSCE sont des ASP côté serveur, contenant un script qui manipule un jeu d'objets COM fourni par Microsoft avec SSCE. Le logiciel les utilise pour recueillir des informations sur l'acheteur, extraire et enregistrer des données dans la base de données sous-jacente et traiter la commande du client grâce à  un pipeline de traitement de commande (OPP pour Order Processing Pipeline).

Les pipelines de traitement de commandes suivent les mêmes étapes que la caissière d'un magasin

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Administrer tous les browsers Web de l’entreprise avec IEAK

Administrer tous les browsers Web de l’entreprise avec IEAK

La modification d'un tout petit paramètre sur le PC de tous vos utilisateurs peut simplifier l'administration quotidienne, mais la taille du parc machine de votre entreprise et le travail qui s'empile sur votre bureau risquent fort de ne pas vous permettre de procéder à  ce petit changement. Une fonction peu connue d'Internet Explorer (IE), baptisée configuration automatique, peut résoudre ce problème et contribuer à  faire baisser le coût global de possession (TCO). Les OS modernes ont atteint un niveau de complexité parfois difficile à  gérer et les administrateurs doivent souvent évaluer les modifications d'infrastructure au cas par cas.
Malheureusement, il leur faut bien faire le lien entre les changements logiques et le coût de leur mise en oeuvre.
Parfois, il suffit d'une petite modification sur tous les ordinateurs de la société pour améliorer l'administration quotidienne, mais intervenir sur tous les postes de travail est souvent impossible. Avec la configuration automatique du kit d'administration de Microsoft Internet Explorer (IEAK pour Internet Explorer Administration Kit), peut résoudre ce problème et contribuer à  faire baisser le coût global de possession (TCO). Cette fonction permet, en quelques clics de souris et frappes de touches sur une machine, de modifier les paramètres de l'application sur les milliers d'ordinateurs de votre organisation.

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Sybase : une stratégie d’entreprise

Sybase : une stratégie d’entreprise

Fondée en 1984, la société Sybase s'est rapidement fait connaître en tant qu'éditeur de SGBDR. Les performances impressionnantes, la simplicité de mise en oeuvre et la stabilité de SQLServer sont largement reconnues sur le marché. Sybase a acquis une image de société à  la pointe de la technologie grâce notamment à  l'introduction des procédures stockées et des triggers, aujourd'hui supportés par tous les grands éditeurs de SGBD. avec une simple station Sun, sans le moindre incident d'exploitation pendant des mois (en ne redémarrant le serveur qu'une ou deux fois par an pour des mises à  jour du système d'exploitation).

Ce niveau de performance et de stabilité a permis à  Sybase de conquérir rapidement le marché bancaire et celui de l'assurance - les banques de Wall Street ont par exemple presque toutes choisi ce SGBDR.

Après dix ans de croissance et de succès, Sybase a connu des revers et de sérieuses difficultés pendant plusieurs années. Les difficultés n'étaient pas que financières et les incidents de migration vers les nouvelles releases de Sybase se sont succédés.

Pendant cette période délicate la société a multiplié les nouveaux produits et acquisitions de sociétés, sans réellement réussir à  redresser la situation... jusqu'à  l'année dernière. Il faut remarquer que même au plus fort de la tempête les clients traditionnels de Sybase n'ont pas abandonné et sont restés fidèles, donnant ainsi au marché un signe clair de la confiance à  long terme qu'ils avaient dans la société et dans les produits.

A la fin de 1998, Sybase a effectué un redéploiement stratégique de ses produits et profondément changé son approche du marché.

Ce bouleversement a été un véritable succès pour la société d'Emeryville. Sybase a renoué avec les bénéfices en 1999 et fait cette année là  un chiffre d'affaires record de 872 M$. Après la pluie, le beau temps…

A la fin de 1998, Sybase a effectué un redéploiement stratégique de ses produits et profondément changé son approche du marchéSybase est à  présent restructuré en quatre divisions : Internet Application Division (IAD), Information Anywhere (I-Anywhere, anciennement MEC, Mobile Embedded Computing), Business Intelligence (BI) et Enterprise Solution Division (ESD). Si cette dernière division (qui inclut le traditionnel moteur de base de données) reste un pilier de la stratégie de Sybase, l'évolution de la société vers le développement de solutions pour la Net-Economie place la division IAD dans une position stratégique.

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Office 2000 : le bon et le moins bon

Office 2000 : le bon et le moins bon

Les statistiques peuvent parfois changer la vision que l'on a de l'importance des applications bureautiques. On pense parfois que les entreprises stockent la majorité de leurs données dans des solutions ERP telles que SAP R/3, des produits de groupware ou de messagerie tels que Lotus Notes et Exchange, ou des bases de données. Il est peut-être temps de revoir vos certitudes…Au cours d'un récent séminaire technologique, Microsoft a cité une étude portant sur un échantillon de grandes entreprises du classement Fortune 1000. Selon cette étude, ces entreprises stockent 80 % de leurs données dans des documents Office. Ces statistiques expliquent pourquoi Office demeure la principale source de revenus de Microsoft. L'importance pour Microsoft, de préserver sa poule aux oeufs d'or, associée aux demandes, émanant des directions informatiques et des utilisateurs, de fonctions plus performantes ou conviviales sont les ingrédients du succès d'Office 2000. Grâce au blitz marketing international de Microsoft et à  la couverture importante des médias, vous ne pouvez ignorer l'existence d'Office 2000. En revanche, vous vous interrogez peut-être sur ce que le produit pourrait vous apporter, comment la nouvelle version pourrait impacter votre réseau et vos utilisateurs, et quels nouveaux outils ont été ajoutés par Microsoft pour améliorer les déploiements et l'administration.

Je ne vais pas vous ennuyer avec une fastidieuse description de toutes les améliorations, fonction par fonction, de la nouvelle release. (Reportez-vous au guide publié par Microsoft à  l'adresse http://www.microsoft.com/office). Cet article analyse de façon objective la suite de produits afin de vous permettre de déterminer si la migration (ou l'upgrade) vers Office 2000 en vaut la peine et l'investissement pour votre entreprise.

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Comprendre les licences d’accès client

Comprendre les licences d’accès client

La comptabilisation des licences Microsoft ressemble à  bien des égards à  la comptabilité " légale " des entreprises : si vos calculs sont faux, vous pouvez perdre beaucoup d'argent, il existe beaucoup de règles à  connaître et la procédure à  suivre est complexe. En fait, à  bien y réfléchir, la comptabilité est probablement plus facile. Windows NT 3.1 coûtait un prix forfaitaire de 1.500 $ et permettait de connecter autant d'utilisateurs que l'on voulait à  un Windows NT Advanced Server (NTAS). Cette politique était avantageuse par rapport à  celle de Novell, alors dominant, car Novell faisait payer NetWare plus cher aux grandes entreprises qu'aux petites. NTAS, au contraire, coûtait le même prix qu'il y ait 5 ou 1000 utilisateurs connectés au serveur.Microsoft a tout changé dans NT 3.5 en ajoutant la notion de licence d'accès client, également baptisée CAL.
Il fallait acheter le logiciel serveur, qui coûtait environ 700 $, et des CAL pour connecter les utilisateurs au serveur. Le tarif des CAL était de 40 $, mais Microsoft proposait des CAL à  moitié prix aux entreprises qui migraient de Novell à  NT, à  celles qui faisaient un upgrade de LAN Manager et à  d'autres encore. Les migrations de NT 3.5 à  NT 3.51 ne nécessitaient pas l'achat de nouvelles CAL. En revanche, la mise à  jour vers NT 4.0 obligeait à  mettre à  jour chaque CAL NT 3.x vers une CAL NT 4.0 pour environ 20 $ chacune.
Lorsque vous passerez de votre version actuelle à  Windows 2000 (Win2K), vous devrez probablement acheter un autre jeu de CAL ou mettre à  jour vos licences.Le détail des licences jette le trouble chez beaucoup d'utilisateurs. Si vous vous faites prendre avec un nombre de CAL insuffisant, vous risquez de vous attirer des histoires. Nous allons donc jeter un coup de projecteur sur le fonctionnement des CAL.

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Déployer Windows 2000 à  distance

Déployer Windows 2000 à  distance

Pourquoi passer tout ce temps à  installer un nouveau système d'exploitation, quand les Services d'installation à  distance RIS de Windows 2000 Server sont là  pour simplifier la tâche ? En partenariat avec Active Directory (AD), DHCP et DNS, RIS (Remote Installation Services) évite de se déplacer jusqu'à  chaque poste de travail pour installer Windows 2000 Professional. Les services RIS sont faciles à  installer, mais nécessitent une infrastructure AD, DHCP et DNS bien conçue pour fonctionner correctement. Avec des services RIS correctement configurés, les utilisateurs n'ont à  donner, dès leur première connexion, que leur nom d'utilisateur, leur mot de passe et le nom du domaine et RIS installe Windows 2000 Professional. Une fois que vous saurez comment installer et configurer ce nouvel outil, vous serez capables de le mettre en oeuvre avec succès.

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Indexer pour optimiser les performances des tris

Indexer pour optimiser les performances des tris

par Dusan Petrovic et Christian Unterreitmeier
La définition d'index sur les colonnes de tri peut améliorer les performances de manière exceptionnelle
Un index approprié peut considérablement améliorer les performances de tri de SQL Server.
Par exemple, la définition d'un index clusterisé sur une colonne de tri contraint la base de données à  stocker les enregistrements sous forme triée, ce qui permet d'extraire les données sans avoir à  réaliser de tri supplémentaire. Vous noterez que SQL Server 7.0 et les versions antérieures permettent de créer des index uniquement en ordre croissant.
Par conséquent, si votre requête nécessite des données dans un ordre décroissant, il faudra certainement effectuer un tri supplémentaire et utiliser des tables de travail internes pour générer des données dans l'ordre approprié.
Cependant, SQL Server 2000 permet de créer des index aussi bien dans un ordre croissant que décroissant.

SQL Server 2000 permet de créer des index aussi bien dans un ordre croissant que décroissant.

SQL Server 7.0 effectue une opération de tri lorsqu'on utilise la clause ORDER BY. L'optimiseur de requêtes de SQL Server est également susceptible d'utiliser une opération de tri pour traiter une requête utilisant les clauses GROUP BY, DISTINCT ou UNION. En revanche, on peut utiliser l'indicateur d'index FAST pour éviter le tri des données.
Cela indique à  l'optimiseur de requêtes de SQL Server qu'il doit utiliser un index non clusterisé correspondant à  la clause ORDER BY, éliminant ainsi la nécessité du tri. Observons comment SQL Server gère les clauses GROUP BY, DISTINCT et UNION pour trier les données, puis analysons comment les différentes techniques d'indexation peuvent améliorer les performances des requêtes nécessitant des données triées.

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SQL Server 2000 : Le modèle OIM

SQL Server 2000 : Le modèle OIM

Un groupe d'éditeurs et d'entreprises utilisatrices a formalisé les types de métadonnées pour les entrepôts de données. C'est devenu l'OIM (Open Information Model) Avant les efforts de normalisation de Microsoft, les éditeurs et la communauté informatique ne parvenaient guère à  se mettre d'accord sur le type de métadonnées qu'un entrepôt de données devait contenir.
Par la suite, Microsoft a entrepris de réunir les principaux éditeurs et les entreprises utilisatrices pour déterminer ces types de métadonnées. A l'instar du modèle objet pour une application, le modèle d'information pour un référentiel définit le genre de métadonnées stockées dans l'entrepôt de données, et la manière dont ces données sont organisées.

Ces efforts ont conduit à  la définition de l'OIM (Open Information Model). Celui-ci contient les définitions d'approximativement 300 types d'objets et des relations entre ces types d'objets. La documentation de ces types représente une tâche laborieuse ; le groupe a pour mission de définir et de documenter clairement chaque type ainsi que ses caractéristiques et relations nécessaires.
Etant donné que le modèle d'information définit les métadonnées en termes de types d'objets et de relations, la recherche d'une technologie de modélisation d'objets appropriée est la solution évidente. Le groupe a choisi UML (Unified Modeling Language) pour documenter et publier le modèle d'information. Le standard OIM constitue le langage commun pour décrire les informations contenues dans un entrepôt de données.

En juillet 1999, Microsoft a transféré la propriété du standard OIM à  la MDC (Meta Data Coalition), un organisme indépendant qui se consacre à  la création de normes communes facilitant l'échange d'informations entre systèmes (métadonnées). Au fur et à  mesure que la MDC va faire évoluer le modèle, elle va encourager et aider les autres éditeurs à  prendre en charge le standard OIM au sein de leurs outils respectifs. La MDC publie les formats XML (Extensible Markup Language) comme méthode d'échange de données entre différents outils utilisant le standard OIM. Ce dernier limite la complexité de l'extraction et de l'insertion des données de/dans Microsoft Repository et les outils d'autres éditeurs.

La version actuellement validée du standard OIM (initialement soumise par Microsoft et ses éditeurs partenaires) est la 1.0 ; une proposition de version 1.1 a été soumise en novembre 1999, et devrait en toute logique être validée en 2000. Les exemples et descriptions présentés dans le présent article s'appuient sur la version 1.1. Ces exemples nécessitent la version 3 de Microsoft Repository, disponible avec SQL Server 2000. La version 2 de Repository ne supporte pas les collections ni les propriétés héritées, que le standard OIM MDC utilise intensivement.
Le standard OIM couvre de nombreux domaines, dont :
· L'analyse et la conception d'UML, les extensions UML, les éléments génériques, les types de données communs et la modélisation entités-relations
· Objets et composants : description des composants
· Base de données et entrepôts de données : schémas de bases de données relationnelles, transformations de données, schémas OLAP, schémas de bases de données orientés enregistrements, schémas XML et définitions des rapports
· Ingénierie de processus de gestion : objectifs commerciaux, règles et processus, éléments organisationnels.
· Gestion de la connaissance : descriptions des connaissances et définitions sémantiques

D'un point de vue data warehousing, les schémas de bases de données relationnelles, les transformations de données et les modèles de schémas OLAP sont les plus appropriés. On peut télécharger chaque modèle en tant que fichier .mdl depuis le site Web de la MDC, puis utiliser un outil de conception comme Visual Modeler ou Rational Rose pour le visualiser.
Chaque objet figurant dans un référentiel peut avoir trois propriétés : un nom (255 caractères au maximum), une courte description (255 caractères au maximum) et des commentaires (de longueur pour ainsi dire illimitée). Ces zones, qui sont la source d'une grand

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Arrêter un incident avant le désastre

Arrêter un incident avant le désastre

Les plans de sauvegarde et de reprise après incident sont des sujets dont les sociétés bien élevées ne parlent généralement pas. Même lorsqu'un plan est prévu, le personnel technique n'aime pas l'évoquer… et encore moins le mettre en oeuvre. Après tout, conserver le réseau, les applications et les utilisateurs en état de marche est déjà  un travail à  temps plein. Se demander se qui se passerait s'il fallait mettre en oeuvre le plan de secours ne fait qu'ajouter au stress.Peu populaires, les sauvegardes et les restaurations sont pourtant importantes et toute société doit prévoir leur mise en oeuvre après un incident. Mettez donc de côté ce sentiment que " cela n'arrive qu'aux autres " (vous verrez, vous vous sentirez mieux après l'avoir fait) et faites en sorte que votre entreprise dispose d'un plan de redémarrage adapté à  ses besoins.

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Comment intégrer Office 2000 et BackOffice

Comment intégrer Office 2000 et BackOffice

La plupart des entreprises utilisent Microsoft Office, notamment parce la suite est étroitement intégrée avec les divers produits de BackOffice. Office 2000 comporte plusieurs nouvelles fonctions dans chacun des produits le composant, pour continuer à  tirer le meilleur des fonctions de BackOffice.es principales améliorations apportées à  office 2000 portent sur l'intégration du Web, mais Microsoft a également ajouté de nombreuses améliorations concernant BackOffice, notamment certaines orientées vers SQL Server 7.0 et ses nouveaux services OLAP. Microsoft entend à  l'évidence rester leader avec Office 2000.

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