JDBC 2.0 et l’accès à l’AS/400
Par Martin Smith
Cette nouvelle version de JDBC en environnement Java permet de construire des
solutions fonctionnant sur toutes les plate-formes et capables d'accéder à toutes
les bases de données.
Depuis quelques années, le développement d'applications Java a énormément augmenté,
et regroupe désormais un million de développeurs de par le monde. A la fois en
dehors ou en relation avec l'AS/400, la portabilité de Java et sa plate-forme
indépendante ont trouvé des débouchés pour les applications DB2 UDB pour AS/400.
Sun Microsystems a récemment annoncé la plate-forme Java 2 : elle rend les applications
Java encore plus performantes, et pour les développeurs AS/400 de telles applications
représentent un avantage compétitif décisif pour les entreprises.
La plupart des applications sont liées à des bases de données relationnelles telles
que celle de l'AS/400. Le standard Java d'accès SQL (JDBC : Java DataBase Connectivity)
permet aux développeurs d'avoir un accès aux bases de données, accès limité par
les sécurités d'authentification. JDBC permet également de sélectionner, modifier,
insérer, créer des champs et des tables. En environnement AS/400, les applications
sont souvent écrites en RPG et en mode 5250 ("écran vert"), et elles présentent
des performances équivalentes pour l'accès aux bases de données, mais n'utilisent
pas le langage SQL.
La souplesse de Java explique l'importance de JDBC pour les développements d'entreprise
Java et JDBC permettent à une équipe informatique de construire des solutions
capables de fonctionner sur n'importe quelle plate-forme, et qui peuvent accéder
à n'importe quelle base de données. La souplesse de Java explique l'importance
de JDBC pour les développements d'entreprise. On peut par exemple écrire une application
servlet Java pour permettre aux utilisateurs de l'intranet d'accéder à la base
de données et de lister les fabricants. Cette même application pourra permettre
de saisir les commandes ou de vérifier le statut d'un client. Elle peut également
être installée sur n'importe quelle plate-forme serveur comportant une JVM (Java
Virtual Machine), telle que l'AS/400. JDBC 1.0 a permis la première génération
d'accès SQL aux bases de données en environnement Java. Il possède le support
de base SQL. Sun l'a amélioré avec des mécanismes plus performants.
Cet article sur la technologie Java décrit les principales améliorations apportées
par l'API principale de JDBC 2.0, et explique son interaction avec l'AS/400.
JDBC permet aux développeurs de profiter au maximum des capacités de Java
La technologie JDBC est une API permettant aux développeurs d'accéder aux sources
de données relationnelles, telles que les tables DB2/400 depuis un environnement
Java. JDBC permet également aux développeurs de profiter au maximum des capacités
de Java, le fameux "écrire une fois, exécuter n'importe où", pour des applications
demandant un support multiplate-formes et devant accéder aux données de l'entreprise.
JDBC répond à la norme ANSI 92SQL pour communiquer avec les bases de données relationnelles.
Notons aussi que le driver JDBC gère la connexion à la base de données via Java.
JDBC 2.0 étend l'API de JDBC dans le domaine des types de données avancés, le
défilement des ensembles de résultats, le support des mises à jour SQL batch,
les mises à jour d'ensembles d'enregistrements par l'API Java, et augmente également
les performances.
De nouvelles méthodes permettent de travailler avec des données à distance sans
avoir à transférer les données vers le client Java
Les émulations de terminaux TN5250 en Shareware et en freeware
Les émulateurs TN5250 proposés actuellement en shareware ou en freeware, affichent des niveaux de qualité inégauxL'évolution de la technologie PC touche aussi les fonctions que l'on est en droit d'attendre de la part des émulateurs de terminaux, ces dispositifs omniprésents nous permettant de relier des PC clients aux AS/400. Sur le marché actuel de l'AS/400, on compte quelques dizaines de fournisseurs d'émulateurs 5250 offrant, sous licence, des produits richement dotés. Cependant, si vos besoins d'émulation, ou vos moyens financiers, sont plus modestes, sachez qu'il existe plusieurs packages d'émulation TN5250 sous Windows, proposés sous forme de shareware (partagiciel) ou freeware (graticiel). NEWS/400 en a expérimenté trois. Bien qu'ayant constaté que, là aussi, “ on n'en a que pour son argent ”, nous avons tout de même découvert quelques excellents produits.
Lire l'articleLes fichiers hors ligne
Certes les avantages les plus évidents de Windows 2000 sont offerts par les trois versions de serveurs. Mais Windows 2000 Professional, la version pour postes de travail, comprend une fonction particulièrement efficace baptisée Fichiers hors ligne. Grâce aux fichiers hors ligne, votre réseau paraîtra plus rapide, les fichiers du réseau demeureront accessibles en cas d'arrêt du réseau, vous éviterez de perdre votre travail en cas de défaillance du réseau et les utilisateurs nomades pourront accéder aux fichiers du réseau sans se connecter.
Lire l'articleLes commandes clés de la console de reprise
Parfois, les systèmes refusent de démarrer et affichent un écran bleu ou un message indiquant que le système ne peut pas démarrer parce qu'un fichier est manquant ou corrompu. La première tentative pour régler ce problème est de rebooter, mais cette méthode ne fonctionne pas toujours. Dans une telle situation, la console de récupération, un nouvel outil de Windows 2000 Professionnel, peut ranimer votre système.
Lire l'articleA l’intérieur d’une procédure cataloguée SQL
Voici quelques techniques de programmation essentielles pour le coding de SPL, le nouveau langage SQL pour les procédures cataloguées Sur l'AS/400, une procédure cataloguée est un
programme que l'on peut invoquer depuis un programme serveur ou client, au
moyen d'une instruction SQL Call. Les procédures cataloguées ont pour
principal avantage d'améliorer le niveau de performances et de sécurité des
applications client/serveur. Une procédure cataloguée peut améliorer les
performances en traitant les lignes (enregistrements) UDB/400 avant de
transmettre les données au client. On peut aussi utiliser les droits adoptés
par programme avec les procédures cataloguées pour mieux contrôler l'accès
aux données UDB/400 et leur modification par les applications clients (pour en
savoir plus sur les procédures cataloguées et leurs avantages, voir
l'article “ Le client/serveur plus sûr et plus rapide avec les procédures
stockées de DB2/400 ”, NEWSMAGAZINE, juin 1996).
Le principal mérite du langage SPL de SQL est sa portabilité
On peut écrire des procédures cataloguées en n'importe quel langage évolué
(HLL : High-Level Language) AS/400 et, à partir de la V4R2, avec des
extensions ajoutées au langage SQL lui-même. Le principal mérite du langage
de procédures cataloguées (SPL : Stored Procedure Language) SQL est sa
portabilité : la même procédure cataloguée peut servir sur d'autres
plates-formes UDB (AIX ou Windows NT par exemple) ainsi qu'avec Oracle et
Microsoft SQL Server. Autre avantage non négligeable : un coding plus simple de
certaines tâches, du fait que SPL est mieux adapté aux opérations base de
données SQL.
Moyennant la prise en compte de quelques techniques, il est facile d'écrire des procédures
cataloguées en SPL. Dans l'article “ Nouveau : des procédures
cataloguées en SQL/400 ” (NEWSMAGAZINE, juin 1998), je décortique une
procédure cataloguée complète et représentative écrite en SPL. Après cette
“ visite ”, vous serez plus rapidement productif avec SPL.
UDB/400 en perspective
propos recueillis par Sharon Hoffman et Gary Guthrie Comment mettre vraiment en oeuvre les nouveaux types de données de DB2 Universal Database for AS/400 (UDB/400) et comment ces nouvelles fonctions améliorent-elles le positionnement de la base de données AS/400 sur un marché de plus en plus concurrentiel ? Pour le savoir, Gary Guthrie et Sharon Hoffman, rédacteurs techniques à NEWS/400, ont interrogé directement les "gourous" des bases de données AS/400 d'IBM : Mark Anderson, senior technical staff member d'IBM Rochester et Kent Milligan, membre de l'équipe Business Intelligence de groupe AS/400 Partners in Development d'IBM Rochester.
Lire l'articleDes utilitaires pour récupérer les fichiers effacés
Ne pas pouvoir récupérer des données, effacées par erreur, peut vous coûter votre
place. Cet article étudie 4 produits qui permettent de résoudre un problème que
tout utilisateur a un jour rencontré.
Imaginez-vous, un vendredi après-midi en train de terminer à toute vitesse un
projet afin d'éviter les embouteillages pour rentrer chez vous. A mi-chemin de
la sauvegarde d'un gros fichier, vous recevez un message d'erreur Disque plein.
Vous supprimez frénétiquement des fichiers de votre disque dur et videz la corbeille
pour faire de la place. Ouf, vous terminez la sauvegarde du fichier, vous éteignez
votre système et vous vous précipitez vers la sortie.
Le lundi suivant, votre patron vous demande quand votre plan budgétaire sera terminé.
Vous réalisez soudain que vous l'avez supprimé pendant votre assaut de panique
du vendredi précédent.
Vous recherchez le fichier dans le système. Vous vérifiez inutilement la corbeille
et vous vous imaginez avec un serrement de coeur la réaction de votre patron. Ah,
si vous possédiez un moyen de récupérer les fichiers détruits accidentellement
!
Ce mois-ci le labo évalue quatre produits qui font apparemment l'impossible, c'est-à -dire
restaurer des fichiers détruits, même après avoir vidé l'ultime espoir de NT,
la Corbeille. Aucun d'eux ne nécessite d'expertise de débogage hexadécimal ou
autres connaissances spécialisées. Chacun adopte une approche différente pour
restituer les fichiers.
Deux produits offrent des fonctions de restitution après coup et les deux autres
plusieurs couches de protection de récupération, notamment une Corbeille modifiée.
Deux de ces produits utilisent des assistants pour vous guider dans le processus
de restitution, alors que les deux autres adoptent une approche dépouillée qui
demande un peu d'habitude.
Trois produits permettent de restituer les fichiers avant l'installation
du produit complet. Cette fonction est importante parce que lorsque vous supprimez
un fichier d'une unité, les secteurs que le fichier utilisait contiennent encore
des données.
Or le système considère cet espace comme libre et permet de réécrire dessus lors
de l'installation du programme de récupération. A moins d'avoir une option de
récupération d'urgence, vous risquez donc d'écraser les fichiers que vous essayez
de restituer simplement en installant l'utilitaire de restitution.
Vous pouvez très bien ne jamais avoir besoin d'utilitaire de restitution, mais
vous apprécierez leur existence en cas de besoin. Car comme dit l'adage " Il vaut
mieux posséder quelque chose et ne pas en avoir besoin que d'avoir besoin de quelque
chose et ne pas le posséder ".
Vous pouvez très bien ne jamais avoir besoin d'utilitaire de restitution,
mais vous apprécierez leur existence en cas de besoin
Les canaux sécurisés de Windows NT 4.0
Les canaux sécurisés sont un élément important des relations d'approbation entre
domaines NT 4.0. Ils doivent donc être gérés de façon efficace, ce qui est possible
avec les outils fournis par Microsoft dans le Kit de ressources de Windows NT
Server.
Les administrateurs
établissent des relations d'approbation entre domaines en donnant aux utilisateurs
d'un domaine l'autorisation d'accéder aux ressources d'un autre sans qu'ils doivent
se connecter au second. Les postes de travail NT établissent des canaux sécurisés
localement avec les contrôleurs de domaine et les contrôleurs de domaine en font
de même entre eux. Dans des canaux sécurisés, entre domaines, le contrôleur de
domaine de chaque domaine approbateur (ressources) établit un canal sécurisé avec
le contrôleur de domaine du domaine approuvé (maître). Les canaux sécurisés permettent
aux contrôleurs de domaines de s'échanger des communications en toute confiance
et de valider les requêtes des utilisateurs d'accéder aux ressources des domaines
approbateurs.
Les
canaux sécurisés entre les domaines maître et de ressources sont importants. Pour
bien comprendre ce type de canaux sécurisés, vous devez connaître le processus
de découverte des canaux sécurisés, l'édition du Registre permettant de sécuriser
encore les canaux et les utilitaires d'administration de domaines permettant de
surveiller et rétablir les canaux sécurisés.
Les canaux sécurisés permettent aux contrôleurs de domaines
de s'échanger des communications en toute confiance
Comment intégrer le DNS d’UNIX dans Windows 2000
DNS est un mécanisme standard de résolution de noms qu'un serveur IP utilise pour
nommer, présenter et localiser les serveurs et services IP sur Internet ou dans
un intranet. Pour intégrer plus complètement Windows 2000 à Internet, Microsoft
utilise DNS plutôt que WINS comme service natif de nommage de la nouvelle release.
Microsoft a également mis en oeuvre le DNS dynamique DDNS pour permettre aux systèmes
Windows 2000 d'enregistrer dynamiquement leurs noms et adresses IP dans un serveur
DDNS.
La mise à jour dynamique des informations sur la machine élimine la tâche d'administration
consistant à maintenir une base de données statique dans un serveur DNS traditionnel.
En outre, les contrôleurs de domaine Windows 2000 enregistrent dynamiquement des
enregistrements des services de ressources (SRV RR pour Service Ressource Record)
dans les serveurs DDNS. Dans un réseau Windows 2000, les clients recherchent les
SRV RR dans le serveur DNS pour l'annuaire Active Directory (AD) du réseau et
ses services, comme par exemple le service de connexion.
LA RFC 2052 de l'IETF (Internet Engineering Task Force) documente les SRV RR et
la RFC 2136 documente les mises à jour de DDNS. Les SRV RR et DDNS ne sont pas
nouveaux dans la famille des standards DNS - la RFC 2052 a été publiée par l'IETF
en octobre 96 et la RFC 2136 date d'avril 97. Cependant, le fait que Windows 2000
utilise ces fonctions, oblige les entreprises ayant des serveurs DNS sur leurs
machines UNIX depuis longtemps à mapper les noms de serveur et les adresses IP.
La plupart de ces entreprises n'ont pas encore évolué vers la dernière version
de BIND 8.2.2 (Berkeley Internet Name Domain) de l'Internet Software Consortium
ou une version récente de DNS émanant de leur fournisseurs d'UNIX et DNS. La majorité
ne supporte donc pas à la fois les SRV RR et les mises à jour dynamiques. Si cette
description correspond à votre entreprise et si vous prévoyez un déploiement Windows
2000, vous allez être confrontés à une question d'intégration : devez-vous migrer
sur le DNS de Windows 2000 ou continuer à utiliser votre DNS UNIX ? Vous Trois
options s'offrent à vous : migrer vers le DNS de Windows 2000, créer un environnement
ou les deux DNS coexistent, ou n'utiliser que le DNS d'UNIX.
WebSphere, planche de salut de l’AS/400
Le serveur d'applications Web d'IBM pourrait bien être déterminant pour le sort
de l'AS/400
Si vous êtes impliqué dans le planning stratégique
de l'informatique de votre entreprise, voilà un élément à ne pas négliger. WebSphere
Application Server est peut-être l'un des facteurs les plus déterminants du succès
de l'AS/400 dans la prochaine décennie. Pour employer des termes forts, il n'est
pas impossible que WebSphere devienne l'application AS/400 “ exterminatrice ”,
qui anéantira les plate-formes concurrentes, comme Sun Solaris ou HP-UX de Hewlett-Packard
et, qui sait, peut-être même Windows 2000. Mais WebSphere pourrait aussi devenir
un tout autre genre “ d'application exterminatrice ” : celle qui serait responsable
de la mort de l'AS/400.
WebSphere Application Server
est peut-être l'un des facteurs les plus déterminants du succès de l'AS/400 dans
la prochaine décennie
De prime abord cela peut
sembler invraisemblable de penser qu'un serveur Web puisse contrôler le destin
de l'AS/400. Servir des pages Web n'est, après tout, pas très difficile, et peut
être réalisé avec toute une palette de produits (comme Weblogic de BEA Systems
par exemple) qui fonctionnent sur AS/400. De plus, même si les clients utilisent
d'autres plate-formes comme serveur Web, ils peuvent tout de même choisir l'AS/400
pour leurs applications de gestion centrales. Pas vrai ?
Client Access avance plein pot avec Express
Le nouveau client Express offre un ensemble de fonctions Client Access plus complet
dans un package exclusivement TCP/IP.
En mars, IBM a annoncé la disponibilité d'un nouveau client Windows 32 bits pour
AS/400, destiné aux utilisateurs de TCP/IP exclusivement. Ce nouveau client, appelé
AS/400 Client Access Express pour Windows, tire le meilleur parti des récentes
annonces AS/400 et des systèmes d'exploitation Windows de Microsoft. Express,
qui fonctionne sous Windows 95, 98 et NT 4.0, se distingue par les points suivants:
- une installation plus granulaire
- une connectivité TCP/IP uniquement
- le support de SSL (Secure Sockets Layer)
- le serveur de fichiers et d'impressions AS/400 NetServer
- de nouvelles fonctions d'administration et de contrôle du client
Voyons Express d'un peu plus près. Lire l'article
Transférer des données AS/400 vers Excel en ODBC en une seule opération
Créons un transfert de fichiers permettant d'envoyer des données AS/400 dans Excel,
avec des titres de colonnes pertinents, en une seule opération
Voilà trop longtemps que nous nous évertuons à transférer des informations depuis
un AS/400 dans Excel, par une manoeuvre lourde et complexe.
Pourtant, au prix d'un petit effort en coulisses, les utilisateurs peuvent transférer
des données (avec des titres de colonnes pertinents) dans le format qu'ils ont
choisi, et d'une seule traite. Certes, les méthodes suivantes ne sont ni nouvelles
ni les plus efficaces du point de vue machine. Mais, elles sont combinées de manière
à tirer le meilleur parti des produits présents sur la plupart des PC.
L'ensemble de ces techniques procure aux utilisateurs une solution simple, en
une seule étape, pour manipuler des données dans Excel.
>
L'ensemble de ces techniques procure aux utilisateurs une solution simple
Optimiser la mémoire virtuelle
Comme beaucoup d'utilisateurs de Windows NT, je me demandais ce qu'allait coûter la mise à niveau de mon matériel pour Windows 2000 Professional.
Mon PC à base de Pentium Pro 200 MHz n'avait que 32 Mo de RAM, ce qui ne suffisait
déjà pas pour permettre à NT 4.0 de fournir les performances dont j'avais besoin.
Windows 2000 Pro exige au minimum 64 Mo de RAM et mon projet initial était d'ajouter
32 Mo à mon système. Mais j'ai découvert que je pouvais obtenir 64 Mo de RAM EDO
sur deux SIMM à 96 broches placés dans deux slots ouverts de ma carte mère. Ajoutés
aux 32 Mo existants, ces 64 Mo ont porté mon système à une RAM totale de 96 Mo.
Je pensais qu'ajouter 30 pour cent de RAM de plus que les recommandations de Microsoft
permettrait à Windows 2000 Pro d'atteindre les performances que je voulais.Quelques
tests m'ont permis de confirmer que j'avais suffisamment de RAM dans mon système
pour permettre à Windows 2000 Pro d'atteindre les performances requises. Cet article
explique comment j'ai découvert la quantité de RAM dont mon système avait besoin
pour exécuter efficacement Windows 2000 Pro et l'incidence sur les performances
du déplacement du fichier de pagination hors de la mémoire virtuelle d'un système
Windows 2000.
Les sites Active Directory (Partie 2)
La première partie de cet article (ici), publiée le moi dernier, était une introduction aux sites AD (Active Directory). Elle expliquait comment créer et configurer ces sites pour contrôler la duplication de la forêt Windows 2000. Vous voici donc prêts pour une exploration approfondie de la duplication, afin d'apprendre à établir et maintenir des chemins de duplication au sein d'un site et entre sites. Il est temps de mettre en pratique vos connaissances sur les sites AD.
Lire l'articleVoyage au coeur du Registre
Le Registre est la base de données centralisée des configurations de Windows NT
et des applications. Il stocke des informations sur les paramètres d'optimisation,
la configuration des périphériques et les préférences des utilisateurs.
Il existe de nombreux ouvrages et articles, utiles pour apprendre comment s'organise
l'agencement logique du Registre, où sont stockés les paramètres de configuration
spécifiques, quelles valeurs ces paramètres peuvent contenir et ce qui se passe
quand on les modifie. Mais tous ces documents n'expliquent pas comment NT gère
physiquement le Registre.
En d'autres termes comment NT et Windows 2000 organisent le Registre sur le disque,
comment ils localisent et récupèrent les informations et quelles mesures ils emploient
pour protéger cette base de données si vitale à leur fonctionnement.Cet article
va expliquer comment le Gestionnaire de configurations - le sous-système du kernel
qui met en oeuvre le Registre - organise les fichiers du Registre sur le disque,
comment il gère le Registre lorsque des applications ou d'autres composants de
l'OS lisent et changent les clés et les valeurs du Registre.
Enfin, nous évoquerons les mécanismes dont le Gestionnaire de configurations se
sert pour maintenir constamment le Registre dans un état récupérable, même en
cas de crash du système pendant une modification. Pour tirer le plus grand parti
de cet article, vous devez vous familiariser avec l'organisation logique du Registre,
y compris les concepts de clé racine, sous-clé et valeurs.
Si vous ne maîtrisez pas ces notions, je vous conseille de lire d'abord l'article
" Entrez dans le Registre de Windows NT " de notre numéro de septembre 1997.
Sur le disque, le Registre n'est pas simplement un grand fichier,
mais un ensemble discontinu de fichiers baptisés ruches
Incroyable: un AS/400 qui parle!
par Martin Wilber
Cet utilitaire Java permettant à un AS/400 de "prononcer" des informations sur
le système via un PC, et peut de ce fait rendre service à des utilisateurs malvoyants.
Même si la plupart des programmeurs AS/400 ne l'admettent pas ouvertement, nombre
d'entre eux parlent à leur AS/400. Certes, la plupart du temps, il s'agit d'une
conversation à sens unique. Et si l'AS/400 était capable de répondre ? Non, ne
craignez rien, IBM n'a pas encore développé d'AS/400 possédant les fonctions de
synthèse vocale comme celles intégrées à HAL, dans 2001 : L'Odyssée de l'espace.
Cependant, IBM propose deux logiciels que l'on peut utiliser pour développer une
application permettant à un AS/400 de parler par le biais d'un PC équipé d'une
carte son : Self Voicing Kit (SVK) for Java et AS/400 Toolbox for Java.
IBM propose deux logiciels que l'on peut utiliser pour développer une
application permettant à un AS/400 de parler par le biais d'un PC
Vous imaginez probablement immédiatement des
applications intéressantes et amusantes générant des commentaires vocaux (telles
qu'un programme qui pousserait l'AS/400 à dire "A l'aide ! Je suis saturé !" lorsque
l'utilisation CPU approche des 100%). Il n'empêche que les applications utilisant
la voix peuvent également avoir un côté sérieux. En effet, plus de 112000 personnes
sont légalement déclarées aveugles aux Etats-Unis. Ajouter la parole aux applications
est un moyen efficace de rendre ces dernières plus accessibles aux malvoyants.
Une application générant des paroles pourrait, par exemple, réciter les options
disponibles sur un écran pour guider un utilisateur malvoyant, ou fournir des
indications sur les résultats de la saisie par ce même utilisateur.
Les applications générant des paroles offrent plusieurs usages possibles.
Les possibilités s'étendent des bornes interactives parlantes dans les centres
commerciaux aux rapports d'exploitation destinés à la hiérarchie d'une entreprise.
D'autre part, on pourrait également, tout en restant chez soi, se connecter à
l'Internet via un ordinateur et recevoir, par le biais de l'AS/400 qui se trouve
dans votre banque, le solde parlé de vos comptes courant et épargne ainsi que
l'état de vos investissements.
Dans le présent article, je vous initie aux applications AS/400
utilisant la voix en décrivant un utilitaire Java que j'ai développé moi-même.
Appelé Talk400, cet utilitaire récupère les chiffres se rapportant à l'utilisation
CPU et disques de l'AS/400, et les annonce oralement. On peut aisément étendre
les techniques de programmation que j'utilise dans Talk400 à des applications
plus sophistiquées qui pourraient fournir des renseignements clients ou fournisseurs
à partir de systèmes d'entreprises.
Des documents électroniques authentifiés avec les signatures numériques
L'échange de documents sur Internet est une pratique commune en commerce électronique.
Ces documents contiennent souvent des informations sensibles - par exemple des
contrats juridiques, des informations concernant l'innovation technologique, des
transactions financières. Pour empêcher les documents de commerce électronique
circulant dans le cyberespace d'être interceptés et lus par des pirates, il faut
les chiffrer. Mais pour garantir une sécurité absolue, il est également préférable
les signer numériquement.
L'utilisation d'une signature numérique sur un document de commerce électronique
garantie l'origine, l'intégrité et le non-rejet des données. Lorsqu'un client
signe numériquement un bon de commande en ligne, par exemple, le commerçant peut
identifier, grâce à la signature numérique du document, le client qui a émis la
commande, vérifier que personne n'en a modifié le contenu pendant le transit et
prouver que tel client a fait telle commande.
Les signatures numériques existent depuis 1976, depuis leur lancement par Diffie
and Hellman comme application de chiffrement à clé publique. Mais ce n'est que
récemment que les entreprises et les gouvernements ont commencé à utiliser cette
technologie pour protéger les documents sensibles sur le World Wide Web.
En septembre 1998, Bill Clinton et le Premier Ministre irlandais Bertie Ahern
ont signé un document de commerce électronique intergouvernemental, qui est le
premier document de ce type au monde à utiliser la technologie de la signature
numérique. Microsoft l'a d'ailleurs utilisée pour développer la technologie Authenticode,
qui sécurise les programmes téléchargés du Web.Comme le besoin de signature numérique
se développe, plusieurs éditeurs de logiciels, dont Entrust Technologies et Network
Associates, commercialisent des progiciels de sécurité qui permettent d'utiliser
des signatures numériques pour sécuriser les documents de commerce électronique.
Dans cet article, nous évoquerons la technologie de la signature numérique, nous
étudierons certains logiciels actuellement disponibles et nous envisagerons la
mise en oeuvre des solutions de signature numérique dans l'entreprise.
Le journal de sécurité de Windows NT
Votre politique de sécurité globale repose sur le journal de sécurité de Windows NT. Dernière ligne de défense de vos systèmes, il intercepte d'éventuels intrus qui auraient traversé vos autres couches d'authentification et de contrôle d'accès. Le journal de sécurité de Windows NT suit les objets accédés par les utilisateurs, comment ils sont utilisés et quels programmes ils activent. On peut suivre les actions de tous les utilisateurs, même lorsqu'ils ont des droits d'accès d'administrateur. Cet audit permet de détecter les activités suspectes à la fois de l'extérieur ou de l'intérieur. Il vous donne de bons indices pour contrer les intrus. Peut-être pensez-vous qu'il est difficile de tirer le meilleur de votre journal de sécurité. Cet article va vous expliquer comment en maximiser le potentiel. Commençons par quelques tuyaux sur l'entretien général du journal et son alimentation.
Lire l'articleLes éditeurs d’ERP montrent la voie dans les nouvelles technologies
par Pam Jones
12 éditeurs d'ERP sont bien en avance sur le peloton des ISV lorsqu'il s'agit d'évoluer vers Java, le RPG IV et Domino NEWS/400
a récemment interrogé des éditeurs de logiciels indépendants (ISV :
Independent Software Vendors) à propos de leurs intentions de modernisation des
applications, en envoyant 800 questionnaires à des éditeurs de logiciels
choisis au hasard. Nous avons saisi l'occasion pour inviter 13 éditeurs de
progiciels de gestion intégrés (ERP : Enterprise Resource Planning) à répondre
aux mêmes questions, de manière nominative. Nous voulions étudier de plus près
ces remuants acteurs du marché midrange, pour comparer leur activité à celle
de l'ensemble des ISV. Les 12 sociétés figurant dans la liste de la figure 1
ont fourni des informations détaillées sur leurs plans de développement présents
et futurs.
Nul ne sera surpris d'apprendre que les 12 éditeurs d'ERP appliquent
davantage les stratégies de modernisation citées dans le questionnaire, et
aussi qu'ils les appliquent plus vite (voir la figure 2). Mais leur degré
d'avance est intéressant tant bien pour les utilisateurs AS/400 que pour les
autres ISV suivant de près les tendances du marché AS/400.
Les 12 éditeurs sont des leaders marché midrange : 75% d'entre
eux comptent plus de 500 installations (la catégorie la plus élevée en termes
de nombre de sites installés dans notre enquête), à comparer à 16% seulement
ayant autant d'installations dans notre échantillon plus vaste. Leur présence
sur le marché leur confère une bonne connaissance des besoins des clients, et
leurs ressources de R&D leur permettent d'y répondre à l'aide de la
meilleure technologie. Pour certaines technologies (comme Java) leur approche
plus hardie peut convaincre les petits ISV et clients qu'ils s'engagent dans
des eaux sûres, mais chaudes.
Le RPG IV suit son chemin
par Pam Jones
Les entreprises s'orientent de plus en plus vers le RPG IV pour faire évoluer
leurs applications
Cela fait déjà plus de 5 ans qu'IBM a mis sur pied le RPG IV et les langages ILE.
Mais ce n'est que maintenant que le RPG IV est en train de bien s'installer dans
le monde AS/400. Après des années de désintéressement des utilisateurs, les observateurs
du monde midrange affirment que le nombre de programmeurs AS/400 ayant une expérience
d'utilisation du RPG IV augmente, ce qui tendrait à prouver que le marché est
en hausse ces derniers mois.
Ces mêmes observateurs ont également noté une recrudescence d'intérêt pour le
RPG IV ainsi que pour ILE à la suite du passage à l'an 2000. Tout le monde s'accorde
à dire que le RPG IV et ILE sont des choses appelées à se développer dans un futur
proche.
Les formateurs, tant en interne IBM qu'en externe, qui passent le plus clair de
leur temps à parler et à enseigner le RPG IV et ILE sont unanimes et affirment
qu'après un démarrage un peu long ces trois dernières années, le RPG IV et ILE
seront de plus en plus choisis dans les entreprises. "Dans mes séminaires, je
demande régulièrement combien de gens utilisent le RPG IV", nous explique Bryan
Meyers, Vice President of education de PowerTech Toolworks, Inc., et également
rédacteur d'articles techniques pour NEWS/400. "Il y a quelques années, très peu
de mains se levaient dans la salle.
Et il y a un an, on comptait même moins de la moitié des mains qui se levaient.
Aujourd'hui, il y a facilement trois quarts des auditeurs qui utilisent le RPG
IV."
George Farr, IBM RPG Development Manager, qui s'adresse souvent à des parterres
d'utilisateurs et anime des conférences sur le langage RPG, acquiesce. "La plupart
du temps, le nombre de personnes utilisant le RPG IV est au moins de 50%, et parfois
c'est plutôt de l'ordre de 70%."
La version ILE apporte toutes les caractéristiques d'un langage moderne