> Windows
Des ponts vers le e-Business

Des ponts vers le e-Business

par Sharon L. Hoffman
Le nouveau middleware iSeries Connect d'IBM simplifie l'écriture de solutions e-business Pour les développeurs AS/400, l'élément logiciel le plus intéressant de l'annonce du 3 octobre 2000 d'IBM est un nouveau produit programme sous licence (LPP) (Licensed Program Product) appelé Connect for iSeries ou iSeries Connect. Dans le cadre du changement des noms IBM annoncé le 3 octobre, les derniers modèles AS/400 sont rebaptisés modèles e-Server iSeries 400. Pour en savoir plus sur iSeries 400, voir l'encadré. Le but d'iSeries Connect est de simplifier l'écriture de solutions e-business en facilitant l'accès aux ressources iSeries 400, comme les données stockées dans DB2 Universal Database for AS/400 (DB2 UDB) et les programme RPG existants. A l'aide de plug-ins et de connecteurs iSeries Connect, on peut développer des applications capables de transférer des informations entre la logique de gestion back-end et une interface utilisateur du type Web frontale, comme un catalogue en ligne.

Il est important de permettre la communication entre les différentes composantes des applications, les applications e-business présentent en effet généralement une structure à  trois niveaux dans laquelle les différentes parties de l'application s'exécutent sur des systèmes différents. Ainsi, le navigateur Web qui constitue le point d'entrée d'un catalogue en ligne fonctionne généralement sur un PC client, le traitement du caddie peut fort bien se faire sur un RS/6000 ou un iSeries400 jouant le rôle de serveur Web, et la logique de gestion chargée d'honorer les commandes fonctionne souvent sur un serveur back-end comme un iSeries400. Cette construction multiniveaux justifie le partitionnement d'une application afin de créer des programmes indépendants pour chaque fonction majeure. Mais pour que le partitionnement de l'application soit efficace, il faut que la transmission d'informations entre les partitions se fasse par une méthode, de préférence hautement standardisée. C'est précisément le rôle que joue iSeries Connect pour des applications e-business. Voyons donc de plus près cet outil et en quoi il simplifie le passage au e-business.

Les applications e-business présentent généralement une structure à  trois niveaux, dans laquelle les différentes parties s'exécutent sur des systèmes différents

Lire l'article
Issu de Monterey, AIX 5 L rallie Caldera et les OEM Intel

Issu de Monterey, AIX 5 L rallie Caldera et les OEM Intel

par Mireille Boris
Le projet Monterey qui a réuni IBM, SCO et Intel pour le développement d'un Unix 64 bits standard donne naissance à  un AIX 5 L. Volens nolens, tous les OEM Intel, de Compaq à  Unisys, vont supporter de l'AIX…IBM l'avait-il imaginé il y a un an? Monterey a été le nom de code de l'action concertée entre IBM, SCO et Intel. Au coeur du programme de développement, un Unix 64 bits dont AIX d'IBM, flanqué d'Unixware de SCO et de Dynix ptx de Sequent, était l'élément le plus important. Objectif : approcher en OEM les machines Intel.

Or, il s'est avéré que le nom le plus porteur était… AIX

Cet Unix collectif étant prêt à  sortir en juillet dernier, il s'est agi de le baptiser. Des agences de communication ont été consultées. Or, il s'est avéré que le nom le plus porteur était… AIX. "Avec le succès du S80, AIX avait une image très forte sur le marché", note Jean-Marc Ferré d'IBM. AIX 5, à  cause de sa composante Power PC dont l'AIX en était à  la V4 et AIX 5 L pour bien indiquer que l'affinité Linux est incluse dans cette nouvelle version. AIX 5L for Power, AIX 5L for IA 64 en attente de machines Itanium prévues pour le 10 octobre étaient disponibles en août. Mais les 2000 machines 64 bits Intel en circulation étant toujours considérées comme expérimentales et leur sortie en volume étant une fois de plus retardées jusqu'en avril 2001, la décision fut prise de ne pas se presser. Aix 5.0L for Power, 5.0L IA-64 restent des versions d'évaluation pour éditeurs. Les versions de production d'Aix 5.1L for Power et for IA-64 sortiront en avril en même temps que les serveurs Intel.

"Notre objectif premier est toujours un Unix standard, partagé par un marché plus large, avec un Unix qui a déjà  fait ses preuves sur Power", affirme Jean-Marc Ferré. Rien de changé dans l'accord avec Intel, qui apporte de l'argent pour financer les approches des éditeurs, ni dans l'adhésion d'un certain nombre de constructeurs. Compaq a communiqué sur ce sujet. Les Proliant supporteront AIX. Il n'y a pas d'autre alternative, Compaq ayant cessé de développer Tru64 sur plate-forme Intel. SCO apporte à  AIX 5 L un support constant. La stratégie de Caldera est de supporter des plates-formes Linux 32 bits, mais la composante SCO est plus robuste. Il va falloir un certain temps pour que Linux 64 bits monte en puissance de la même manière.

Benoît Maillard, de SCO-Caldera, confirme : "La division Serveurs et Professional Services de SCO est devenue Caldera Inc.. Le travail continue. Quand le nommage de l'OS Monterey 64 a été décidé, le choix s'est porté sur AIX 5L, malgré une petite résistance de la part de SCO. Mais prendre un nouveau nom aurait été perturbant dans un marché Unix en phase de consolidation. La bannière AIX est haut de gamme, ouverte, avec une connotation Linux. La filiation AIX est rassurante, et l'ouverture multiplates-formes d'IBM réelle à  tous les OEM du marché. Les OEM ont fait un peu la tête. Mais le business Unix sur Intel est profitable. Le volume des ventes de matériel avec SCO a dépassé les 4 milliards de $. Cela ne peut que continuer vers le haut. Unisys, Dell, Compaq, Bull, Fujitsu ou encore Acer jouent dans la pièce, et avalisent ce support. Plutôt que de fragmenter, ils participent à  la consolidation. "

Une partie importante du travail de Monterey a porté sur les applications. Oracle, BEA, BMC, CA, Cygnus pour les outils de développement, IBM logiciel, JDEdwards, I2, Informix, Software AG, Brio, Candle, Sybase, etc.., ont adopté la plate-forme très tôt. Actuellement, un système accessible à  distance depuis le Web est mis en place pour les développeurs. De leur centre de portage, IBM et Bull reçoivent les développeurs de logiciels avec représentation locale des programmes de recrutement des partenaires. Des centres semblables utilisant des octoprocesseurs Intel ont ouvert à  San Mateo, dans le Massachussets, en Allemagne et en Angleterre. Le catalogue de logiciels sera prêt en même temps que la V 5.1 et les machines Intel.

Les fonctionnalités NUMA et LPart sont inscrites dans AIX 5.0 L

Lire l'article
La revanche des I/O

La revanche des I/O

par Frank G. Soltis
Un système équilibré exige une mémoire et des entrées/sorties rapides Depuis toujours, les entrées/sorties (I/O : Input/Output) ont été les parents pauvres des modèles des systèmes informatiques. La vedette étant presque toujours le processeur. Pourquoi ? A cause de la suprématie du Mégahertz (MHz), la mesure des performances informatiques la plus répandue. Comme il est impossible de mesurer la qualité du système des I/O d'un ordinateur avec des MHz, les concepteurs ont le plus souvent ignoré cet aspect pour se concentrer sur les performances du processeur. Après tout, c'est quand même le MHz qui fait vendre. Qui, devant un nouvel ordinateur cherche à  savoir quelle est la bande passante des I/O plutôt que les prouesses en MHz du processeur ?
Pourtant, un ordinateur sans I/O, c'est comme une voiture sans roues, malgré toute la puissance du moteur, elle n'ira pas loin. Au même titre que la mémoire, le système des I/O détermine le temps de réponse et le débit de la plupart des ordinateurs. Ce sont ces mesures qui intéressent le plus les clients, même si les concepteurs de processeurs ne l'admettent pas.

La puissance des I/O pourrait alors bien devenir le seul critère distinctif

Heureusement, les choses sont en train de changer. Dans un futur proche, tous les ordinateurs, des PC d'entrée de gamme aux superordinateurs les plus rapides, utiliseront les mêmes briques de microprocesseur. La puissance des I/O pourrait alors bien devenir le seul critère distinctif.
Même les concepteurs de processeurs commencent à  prendre les I/O plus au sérieux. C'est ainsi que les concepteurs de la prochaine génération de puces microprocesseur PowerPC (appelées POWER4) mettent davantage en avant les largeurs de bande de leurs nouvelles puces plutôt que leur performance en MHz. La situation s'est inversée, et les I/O ont enfin leur heure de gloire. Et comme le système des I/O de la nouvelle iSeries 400 est très différent de celui de l'AS/400, il convient d'examiner les modifications apportées pour juger de leurs conséquences sur nos modèles de systèmes futurs.

Lire l'article
Linux : anatomie

Linux : anatomie

par Xavier Facélina
Cet article aborde le système Linux non pas par son histoire ou par son positionnement philosophique, politique ou économique, mais par sa structure technique. En traitant différents aspects de Linux, en allant du plus proche de la machine au plus éloigné, nous devrions arriver à  une compréhension globale de ce qu'est réellement Linux. Au coeur du système : un noyau (kernel). Tout est là . Linux s'articule tout entier autour de ce noyau dont le développement est réalisé par la communauté des kernel-developers, sous l'oeil vigilant de Linus Torvald en personne.

Lire l'article
Comment suivre un événement à  la trace

Comment suivre un événement à  la trace

par Itzik Ben-Gan
Tracez les problèmes de base de données avec les puissants outils de suivi inclus dans SQL Server 7.0 Suivre à  la trace les requêtes des clients et les réponses du serveur n'est pas chose facile avec les versions de SQL Server antérieures à  la version 6.5. Un outil de suivi freeware, appelé SQLEye, analyseur de trames réseau ODS (Open Data Services) peut permettre de s'en sortir mais il est difficile à  configurer et compliqué à  utiliser, même pour des opérations de suivi de base.

SQL Server 6.5 a apporté un outil graphique, SQL Trace, facilitant l'utilisation de SQLEye. SQL Trace, qui peut sauvegarder ses résultats dans un fichier trace ou un fichier script SQL, peut gérer un nombre limité d'événements et de filtres ; il indique également, par exemple, les instructions SQL passées par un client et les procédures cataloguées exécutées par le serveur. En revanche, on ne pourra pas savoir ce qui se passe à  l'intérieur du serveur. On ne saura pas par exemple quelles procédures cataloguées ont été appelées par d'autres procédures cataloguées, ou quand une connexion a mis en place ou libéré un verrouillage (à  moins d'utiliser SQL Server 7.0).

Profiler capture des informations détaillées à  propos des événements se produisant sur le serveur

Les puissantes fonctions de suivi de SQL Server, et en particulier de son nouvel outil de traçage, SQL Profiler, améliorent les fonctionnalités de SQL Trace et introduisent de nouvelles fonctions de suivi, d'analyse et d'optimisation de SQL Server. Profiler capture des informations détaillées à  propos des événements se produisant sur le serveur. Cela permet ainsi de passer dans les coulisses du problème ; on peut découvrir les requêtes aboutissant à  un blocage, les raisons de la lenteur de certaines requêtes, les opérations effectuées dans une procédure cataloguée, etc... Non seulement peut-on déterminer si un événement s'est produit, mais on peut également analyser les opérations ayant conduit à  cet événement. Outre l'interception des requêtes client et des réponses du serveur, Profiler enregistre les événements générés par les composants internes du serveur.

La configuration d'une trace Profiler de base est relativement simple. Mais on peut rapidement se retrouver noyé dans la masse des données générées par cet outil. Profiler résout le problème en fournissant des filtres permettant de contrôler la quantité et le type des données incluses dans le suivi. Le présent article permet de se familiariser avec SQL Profiler, et montre comment définir graphiquement une trace. L'encadré "Boîte noire SQL Server", décrit la fonction Flight Recorder de SQL Server, qui trace les 100 dernières requêtes. L'article "Résolution de problèmes avec SQL Profiler", analyse plus en détail les fonctions de suivi de Profiler et de SQL Server.


Boîte noire SQL Server


Les traces permettent d'analyser le comportement du système. Toutefois, l'analyse d'un problème donné peut se révéler difficile, car les événements ayant conduit au problème se sont déjà  produits. Pour parer à  toute éventualité, on peut créer une trace qui fonctionne en tâche de fond et de façon permanente. En plus de consommer des ressources systèmes, une telle trace génère trop d'informations difficiles à  analyser efficacement. Une autre alternative consiste à  essayer de reproduire le problème. Cependant, la solution la plus simple consiste à  utiliser la fonction Flight Recorder de SQL Server, qui enregistre les 100 dernières requêtes traitées. Les informations de Flight Recorder sont particulièrement utiles lorsque le système s'arrête brutalement.

Pour démarrer Flight Recorder, exécutez la procédure cataloguée étendue xp_trace_setqueryhistory 1. Cette procédure démarre automatiquement la fonction Flight Recorder à  chaque fois que SQL Server démarre. Pour arrêter la trace, exécutez xp_trace_setque

Lire l'article
Optimiser les performances batch de l’AS/400

Optimiser les performances batch de l’AS/400

par Rick Turner
Structurer les applications et optimiser l'environnement d'exécution batch pour une efficacité maximale Au cours des derniers mois, je suis intervenu sur certains sites AS/400 qui devaient multiplier par cinq voire même 50 leur charge de travail batch en back office. Le premier cas concernait une application de paie devant traiter 500.000 employés alors qu'elle en traitait 100.000 auparavant. Pour le deuxième cas, il s'agissait d'une banque qui, par suite d'un regroupement, devait passer de 600.000 comptes à  30 millions. Dans les deux cas, le traitement des nouvelles charges de travail devait être effectué dans le même laps de temps qu'auparavant.

Pour atteindre leurs objectifs au niveau des temps de traitement, ces clients devaient modifier leurs programmes applicatifs pour qu'ils exploitent au mieux la puissance de l'AS/400. La méthode consistait à  utiliser plusieurs copies des jobs de traitement, chacune travaillant sur des parties distinctes des données en entrée, pour effectuer davantage de travaux dans le même temps et en mettant davantage la CPU à  contribution. C'est tout à  fait possible puisque l'AS/400 traite parfaitement plusieurs jobs à  la fois.

Pourtant, malgré les modifications, les utilisateurs ne parvenaient pas toujours à  pousser le débit de leurs applications batch jusqu'aux limites des ressources du système. Et donc, ils ne pouvaient pas tenir les délais alloués. D'où leur question, "Comment effectuer beaucoup plus de travail dans un laps de temps identique?"

On peut apporter deux éléments de réponse : Utiliser au maximum la CPU et utiliser le disque jusqu'aux plus hautes valeurs de seuil recommandées. Cet article explique quelques méthodes de traitement susceptibles d'améliorer le débit d'un travail en batch. Je propose quelques idées générales sur la manière de structurer une application et de créer un environnement d'exécution optimal (pour le matériel et le logiciel), afin de réaliser le maximum de travail utile dans le minimum de temps.

Lire l'article
Exceptionnels ! Les Gestionnaires d’exceptions du RPG !

Exceptionnels ! Les Gestionnaires d’exceptions du RPG !

par Gary Guthrie
Passez en revue les possibilités de traitement des exceptions en RPG. Et voyez comment les gestionnaires de conditions et d'annulation de ILE pallient certaines des limitations du RPG/400Dring . . . dring . . . .

"Informatique. Francis à  l'appareil."

"Salut, Francis. C'est André du Service Financier. Un message d'erreur est apparu sur mon terminal il y a quelques instants, et maintenant plus rien ne fonctionne correctement !"

D'une voix calme, Francis demande, "Quel était ce message ?"

"Quelque chose à  propos d'un fichier ayant quelque chose, ou quelque chose de ce genre, je pense" répond André avec confiance.

"Pas de problème, je m'en occupe" répond Francis. Puis elle raccroche le téléphone et murmure "Bien, bien".

 Vous avez sûrement déjà  entendu çà , n'est-ce pas ? Heure après heure et franc après franc, les ressources de l'informatique s'amenuisent dès lors que les programmeurs consacrent un temps précieux aux réparations, après le crash d'une application. Or, on peut éviter les coûts et les migraines entraînés par les problèmes applicatifs, en plaçant le traitement des exceptions en tête de la liste des considérations en matière de conception d'applications.

Il existe de nombreux types d'exceptions et leurs techniques de traitement diffèrent en fonction de leur type, du langage utilisé, et du l'environnement modèle de programme (OPM et EPM vs ILE). Je classerai donc les exceptions en trois groupes distincts :

  • Exceptions concernant les fichiers. Il s'agit d'erreurs, comme les I/O sur des fichiers non encore ouverts, des types d'enregistrement indéfinis, des erreurs de programmes triggers et des erreurs d'unités.

  • Exceptions concernant les programmes applicatifs. Ce sont des exceptions comme des erreurs d'index de tableaux invalides, les divisions par zéro et les erreurs lors de l'appel de sous-programmes. La liste des erreurs de programmes possibles est énorme.

  • Exceptions associées au système. Il s'agit d'événements comme des défaillances de lignes de communications, des programmes annulés par les utilisateurs et une défaillance du code du système d'exploitation.

            Le plus souvent, des techniques de coding appropriées empêchent ces exceptions de provoquer des fins anormales. Les exceptions associées au système sont les plus délicates, parce qu'on les maîtrise parfois fort peu au niveau applicatif. Il est ainsi impossible d'écrire un code suffisamment parfait pour qu'il évite toute erreur du système d'exploitation.

            Quant aux langages évolués (HLL), chacun d'entre eux possède ses propres mécanismes de traitement des erreurs. Le CL par exemple, utilise abondamment la commande MONMSG (Monitor Message) pour piéger les exceptions. Les gestionnaires d'exceptions du RPG comportent des indicateurs d'erreur ou l'extension E sur certai

Lire l'article
Accéder aux membres de fichiers

Accéder aux membres de fichiers

par Jef Sutherland
Comment gérer les membres de fichiers, et quelques astuces de programmation CL pour générer un nom de membre unique Dans un récent article, nous avons vu les chemins d'accès indexés pour fichiers physiques et logiques, et comment lire des enregistrements à  partir d'un fichier avec clé. Aujourd'hui, nous allons examiner un autre aspect des fichiers AS/400 : les membres de fichiers. Nous allons aussi évoquer quelques astuces de programmation CL pour générer un nom de membre unique.

Lire l'article
XML: langage d’avenir du commerce électronique

XML: langage d’avenir du commerce électronique

XML fait actuellement son apparition dans de nombreux projets de commerce électronique XML (Extensible Markup Language) jouera probablement un rôle primordial dans le développement du commerce électronique. Sa capacité à  décrire les données dans un format ouvert standard aidera les consommateurs à  rechercher des informations produits sur le Web et simplifiera les échanges de données interentreprises par Internet. A n'en pas douter, XML transformera radicalement la manière d'acheter des consommateurs et, plus particulièrement pour les entreprises, celle d'acheter et de vendre des biens.

Dans cet article, nous allons examiner l'impact de XML sur le e-commerce.
Pourquoi suscite-t-il autant d'intérêt ?
Comment s'assurer de participer au devenir de XML et du commerce électronique ?
Les entreprises qui sont actuellement en train de mettre sur pied des transactions HTML devraient commencer sans tarder à  envisager XML.

A n'en pas douter, XML transformera radicalement la manière d'acheter des consommateurs

Lire l'article
HP et VA Linux optimisent les techniques d’impression Open Source

HP et VA Linux optimisent les techniques d’impression Open Source

par Mireille Boris
L'amélioration des techniques d'impression Open Source fait de Linux un OS crédible en bureautique et en pré-presse. Le code développé pour les pilotes d'imprimantes est de plus utilisé dans le logiciel embarqué des imprimantes. HP et VA Linux veillent sur ces travaux. La première conférence sur les techniques d'impression Open Source, organisée en août 2000 à  Sunnyvale en Californie, a connu un tel succès qu'il a été décidé d'en faire une manifestation annuelle, relayée par un sommet européen en février 2001. Organisée par Hewlett-Packard (HP) US et VA Linux, elle a réuni des représentants d' IBM, Sun, Canon, Epson, Lexmark, Okidata, Xerox, Microsoft et des développeurs appartenant à  Samba, Ghostscript, LPRng, CUPS, PDQ, SysAPS, Linux Internationalization Initiative, Xfree86, GIMP, GNOME, KDE, Red Hat, Suse, le groupe d'impression IETF.
HP a présenté la méthodologie de développement collaboratif de pilotes d'impression qu'il déploie en interne. Pour ce faire, il a fait appel à  plusieurs projets de développement de pilotes pour imprimantes HP présentés sur Sourceforge (exactement printing.sourceforge.net), le site que VA Linux dédie aux développeurs. Les services professionnels de VA Linux travaillent en conjonction avec HP dans le but d'améliorer le support d'impression de l'imprimante LaserJet de HP sous Linux et Samba (couche logicielle d'échange de fichiers Windows et Linux) et font évoluer la qualité et les fonctionnalités de l'ensemble des techniques d'impression Open Source.
Les pilotes disponibles pour la plupart des imprimantes sont le fruit d'un effort continu. Elles font partie intégrante de la distribution standard, de Suse, Red Hat à  Caldera. On les trouve également sur le site Sourceforge.
La qualité croissante de l'impression sous Linux s'ajoute à  l'existence de cartes graphiques de très bon niveau, en particulier les cartes N'Vidia. Linux ne se limite plus au back office; il devient un OS crédible en bureautique et en pré-presse. Une typographie de type nouveau est en train de naître, les Linuxiens rejetant celle des outils Microsoft, voire Macintosh.

Linux ne se limite plus au back office; il devient un OS crédible en bureautique et en pré-presse.

Le code des pilotes sous Linux sert parallèlement au développement de code embarqué dans les imprimantes elles-mêmes. Le noyau Linux y est souvent utilisé par défaut en raison de sa petite taille. Depuis un an, par exemple, eCOS, OS embarqué de Red Hat, fonctionne avec les imprimantes laser HL-2400CeN et HL-3400CN de Brother International. La portabilité et la conception d'eCOS lui permettent de transposer des applications créées pour la famille d'imprimantes HL-2400CeN et HL-3400CN vers de futures plates-formes, quelque soit le choix d'unité centrale.
Larry Augustin, PDG de VA Linux, a une formation de graphiste. "Notre compétence en stations de travail, nous permet de comprendre les problèmes de pré-presse et de post-presse dans les besoins de stockage multimédia. D'où la maturité de notre offre NAS 2905, plate-forme ouverte, Mac, NT, Linux ", précise Renaud Larsen, VA Linux Europe. Un secteur où VA Linux se retrouve en vive concurrence avec HP.
Rassembleur des initiatives Open Source, VA Linux a lancé l'OSDN Open Source Development Network, un réseau communautaire qui intègre les principaux sites Internet consacrés aux forums de discussions, au développement et à  la distribution des logiciels OpenSource dont www.sourceforge.net, questionexchange.com, www.freshmeat.net, www.themes.org, ww.thinkgeek.com, www.slashdot.org, www.linux.com, etc…

Lire l'article
Les masques de sous-réseau sans classe

Les masques de sous-réseau sans classe

par William Heldman
Quelques trucs et astuces peuvent vous aider à  créer des sous-réseaux à  l'intérieur de votre réseau à  l'aide des masques de sous-réseaux sans classe. Si un réseau utilise un masque de sous-réseau par défaut - 255.0.0.0 pour la Classe A, 255.255.0.0 pour la Classe B ou 255.255.255.0 pour la Classe C - il s'agit d'un domaine dit " classful ", c'est-à -dire un domaine doté de classes. On sait alors qu'on travaille dans un domaine ouvert, sans sous-réseau. En réalité, il vaut mieux dire que le domaine tout entier est un sous-réseau, mais qu'il n'est pas divisé en sous-sous-réseaux.

Un domaine " classful " est souvent très occupé par la circulation intense créée par le trafic du réseau empruntant les mêmes chemins. Les commutateurs, qui opèrent au niveau de la couche de liaison, séparent les domaines de collision, mais ne font rien pour séparer les domaines de multidiffusions (broadcast), puisque celles-ci ont lieu au niveau de la couche réseau.

Un routeur permet de grouper différentes parties d'un réseau en sous-réseaux, afin de diminuer le nombre de broadcasts. Il peut être bon, par exemple, de grouper le matériel d'infrastructure (y compris la batterie de serveurs et les imprimantes) dans un sous-réseau, le département marketing dans un autre, et les services commerciaux dans un autre encore. La constitution de sous-réseaux peut être un outil pratique pour les réseaux supportant une activité intense.

Dans un réseau divisé en sous-réseaux, on a un domaine sans classe avec un masque de sous-réseau sans classe. Celui-ci, également baptisé masque de sous-réseau de longueur variable (VLSM pour Variable Length Subnet Mask), emprunte des bits à  la section hôte d'une adresse IP et les donne à  la section réseau de l'adresse. Les termes " sans classe " et " longueur variable " signifient que les adresses des masques de sous-réseaux ne sont pas conformes au format des Classes A, B et C du protocole IP standard.

Le seul problème que pose la mise en place de sous-réseaux est la nécessité d'effectuer les calculs binaires nécessaires aux adresses des sous-réseaux. Personnellement je préfère travailler le plus possible avec des nombres décimaux. Je vais donc parler du routage interdomaine sans classe CIDR (Classless Inter-Domain Routing) et indiquer une astuce mathématique non binaire très facile. Ces deux informations sont utiles pour aider à  déchiffrer la " notation à  barre oblique " que l'on trouve dans la littérature du support technique et faciliter et accélérer la mise en place de sous-réseaux.

Lire l'article
Samba : la danse continue

Samba : la danse continue

par Matthieu Rocher
Samba est le logiciel permettant de partager des ressources Linux avec Windows. En perpétuelle évolution, il accepte maintenant la dernière version du système d'exploitation : Windows 2000. Samba, dont l'existence est due à  l'Australien Andrew Tridgell en 1991, permet de partager les disques et les imprimantes d'un système Linux pour être utilisé par des postes clients Windows.
Pour utiliser les ressources distantes de façons simples, Andrew Tridgell a implémenté le protocole SMB sur le système d'exploitation Linux. C'est ce même protocole SMB qui est utilisé par Windows pour partager les ressources entre les différentes machines du réseau. Avec Samba, le partage des ressources s'ouvre à  Linux.
Samba est un logiciel Open Source., ce qui signifie que les sources du programme sont disponibles à  tous et que le logiciel est gratuit.

Lire l'article
Les nouveautés de WebSphere Studio 3.5

Les nouveautés de WebSphere Studio 3.5

par Paul Conte
Voici un aperçu des améliorations qu'apporte la version 3.5 par rapport à  la 3.02 WebSphere Studio (WSS) est l'outil phare du développement d'applications Web d'IBM. J'ai déjà  abordé WSS dans l'article " Premier coup d'oeil : WebSphere Studio 3.02 ", NEWSMAGAZINE, septembre 2000. Nous y avons vu que WSS gère le HTML, l'image, le son, les applets et servlets Java ainsi que JSP (Java Server Page). Il apporte également d'autres fonctionnalités, comme l'utilisation d'une interface utilisateur ainsi que sa logique de gestion. WSS possède des outils intégrés pour concevoir des pages HTML et JSP, et contient également des outils de modification de scripts et d'images graphiques. WSS se connecte à  VAJ (VisualAge for Java), inclus dans les Professional et Advanced Editions ou tout autre IDE (Integrated Development Environment) Java pour développer des servlets et du code Java plus complexe.

Dans la récente release WSS 3.5, on trouve quelques améliorations et modifications intéressantes. En particulier, le repackaging de WSS en trois éditions : Advanced, Professional et Entry. La principale différence se situe entre l'Advanced et la Professional Edition; la troisième, Entry Edition n'étant qu'une version d'essai "light" de la Professional Edition (dépourvue des produits additionnels qui accompagnent les Professional et Advanced Editions). Les trois nouvelles éditions fonctionnent sur des plates-formes Windows 2000 et sur les versions précédentes de Windows. Pour connaître la liste du contenu et des nouvelles fonctions de chaque édition, voir l'encadré " Contenu et nouvelles fonctions de WebSphere Studio 3.5 ".

Lire l'article
Virus : éduquez les utilisateurs

Virus : éduquez les utilisateurs

par David Chernicoff
Depuis le début de l'année, ma boîte de réception d'e-mails semble devoir contenir chaque jour un message de mon fournisseur d'antivirus. Ces messages contiennent des alertes à  propos de nouveaux virus et comportent des liens vers des sites Web d'où l'on peut télécharger des fichiers permettant de protéger mon réseau contre ces programmes malins. La majorité de ces messages concernent des alertes et mises à  jour concernent des formes diverses de virus macro qui ciblent en priorité Microsoft Word ou Excel. Comme tout bon administrateur réseau responsable, je télécharge toujours les mises à  jour des applications antivirus et les applique aussi bien sur les serveurs que sur les clients. Je n'informe pas les utilisateurs de ces mises à  jour : je les mets en oeuvre, simplement. Or, je suis convaincu que la plupart des administrateurs systèmes appliquent la même méthode et c'est là  que réside le problème.

Lire l'article
Bienvenue dans le 21ème siècle

Bienvenue dans le 21ème siècle

par Carson Soule
Maintenant que l'an 2000 est quasiment derrière nous et que nous entrons dans le 21ème siècle et le nouveau millénaire, je souhaiterais me retourner un instant sur 2000 et me demander "Que s'est-il passé ?" Mais peut-être devrais-je me demander " Que ne s'est-il pas passé ?"

Lire l'article
Préparer le passage à  Windows 2000 Professionnel

Préparer le passage à  Windows 2000 Professionnel

par John Ruley
La compatibilité, les configurations hardware minimum et la facilité de mise à  jour font partie des sujets d'interrogation communs avant le passage à  Windows 2000 Professionnel. Cet article répond aux 8 questions qui reviennent le plus souvent concernant la transition à  Windows 2000 Professionnel.

Lire l'article
Révolutionnez vos messages d’erreur avec les sous-fichiers de messages

Révolutionnez vos messages d’erreur avec les sous-fichiers de messages

par Mike Cravitz
Voici deux méthodes interactives, informatives et simples à  utiliser pour présenter des messages d'erreurVous est-il déjà  arrivé de ne pas vous souvenir de ce que quelqu'un vous avait dit, parce que l'information n'avait aucun sens ? De nombreux programmeurs AS/400 éprouvent la même chose avec les sous-fichiers de messages d'erreur. Souvent, quelqu'un (un consultant peut-être) fait irruption sur un site, installe des sous-fichiers de messages d'erreur dans l'un des programmes, puis disparaît. Les programmeurs qui viennent derrière cessent parfois d'utiliser les sous-fichiers, jugeant que cette technique n'a pas de sens.

Les sous-fichiers de messages d'erreur utilisent certainement des aspects de l'OS/400 (en particulier la messagerie) généralement mal maîtrisés par le programmeur AS/400 moyen. Mais leurs avantages (messagerie d'erreur plus interactive, informative et professionnelle pour les utilisateurs finaux) justifient les efforts consacrés à  les apprendre. Dans cet article, j'entends bien lever le mystère entourant les sous-fichiers de messages, pour que vous n'hésitiez plus à  en doter vos applications.

Les sous-fichiers de messages d'erreur utilisent des aspects de l'OS/400 généralement mal maîtrisés 

Lire l'article
Personnalisez SEU !

Personnalisez SEU !

par Vincent Taquin
Les commandes définies par l'utilisateur permettent d'optimiser l'éditeur de fichiers sources de l'AS/400L'utilitaire d'édition de sources de l'AS/400 (SEU : Source Entry Utility) n'est peut être pas le meilleur éditeur au monde, mais pour la plupart d'entre nous, c'est le seul disponible. Heureusement, depuis la V4R2, il est possible de personnaliser cet utilitaire en ajoutant des commandes à  celles déjà  fournies par SEU. Dans le présent article, j'explique comment créer des commandes définies par l'utilisateur pour SEU, et fournis plusieurs exemples de ces commandes. Les exemples fournis permettent d' : · appliquer une couleur (bleu, rose, rouge, turquoise, blanc, ou jaune) à  une ligne ou un bloc de lignes dans un membre source · effacer n caractères à  droite ou à  gauche d'un bloc de lignes · scinder le Facteur 2 étendu d'une ligne de calcul RPG ILE ou de scinder une ligne de commentaires En plus d'apporter de nouvelles fonctionnalités à  SEU, ces commandes donnent l'occasion de travailler avec les espaces utilisateur, les pointeurs, les programmes de service et les variables exportées.

Lire l'article
Windows 2000 et le TCO : les chiffres

Windows 2000 et le TCO : les chiffres

par Barrie Sosinsky
Des études récentes d'analystes sur le coût total de possession de Windows 2000 ont fait couler beaucoup d'encre. Le Gartner Group affirme que Windows 2000 est trop cher, tandis que le Giga Information Group prétend que c'est un investissement rentable. Les différences d'appréciation tiennent à  l'étude elle-même.

Lire l'article
Mieux qu’un double boot

Mieux qu’un double boot

par John D. Ruley
Au moment de la rédaction de cet article, le sujet a considérablement évolué. A l'origine j'avais prévu une mise à  jour du mode de fonctionnement du double boot avec Windows Millennium Edition (Windows Me). Dans un précédent article (" Le blues du double boot " de juin 2000), j'avais parlé du double boot Windows 2000 Professional et Windows 98 et, à  mon sens, une mise à  jour du sujet pour Windows Me, le code de base de la dernière version de Windows 9x, s'imposait. La raison qui justifie le maintien d'un environnement de double boot est simple. Certains logiciels (notamment de nombreux jeux) tournent sous Windows 9x mais pas sous Windows 2000. De plus Windows 9x supporte davantage de périphériques que Windows 2000. Ces types de matériels et de logiciels hérités n'ont pas l'air d'être en voie de disparition et j'ai donc décidé de configurer mon système pour qu'il s'initialise soit sous Windows 2000 Pro, soit en Windows 98. Or je viens de découvrir une alternative qui marche mieux qu'un double boot : le logiciel VMware 2.0 qui permet d'exécuter Windows 2000 Pro simultanément à  un autre OS. Comparée à  un système utilisant VMware, ma précédente méthode de double boot ressemble à  une relique datant de l'Age de Pierre. VMware supporte Windows 2000, Windows NT 4.0, Windows 9x, Windows 3.1, DOS, FreeBSD et plusieurs versions de Linux, mais pas Windows Me. J'ai donc désinstallé Windows Me et je suis revenu à  Windows 98 pour pouvoir utiliser VMware.
Pour de meilleures performances, VMware requiert un minimum de 96 Mo de RAM, un processeur à  266 MHz et suffisamment d'espace-disque pour les systèmes d'exploitation hôte (dans ce cas, Windows 2000) et invité (dans ce cas, Windows 98). Mon système actuel n'a qu'un processeur à  200 MHz - VMware parvient à  tourner, mais sans aucune chance de remporter un oscar en matière de performances. Avant d'exécuter VMware, le constructeur recommande de désactiver l'exécution automatique du CD, qui risque de provoquer des interactions inattendues lors du lancement d'une machine virtuelle (d'où le VM). Si un double boot est déjà  activé, il faut, avant d'installer VMware, choisir entre la création d'une machine virtuelle autour d'un OS existant ou une installation propre sur un disque virtuel créé par VMware. C'est cette option que je suggère.

Lire l'article