Des outils RAD pour les développeurs Linux
par Mireille Boris
Le développement sous Linux prend une extension qui porte ombrage aux autres Unix,
voire à Windows. Débordant les sociétés de l'Open Source, les éditeurs "traditionnels"
ne limitent pas leur offre à Java. Ils proposent de nombreux outils RAD pour convaincre
les développeurs sous Linux de passer à une vitesse d'exécution supérieure.
Opération de nettoyage d’un environnement ILE
par Mike Cravitz
Désencombrez vos programmes ILE grâce à une stratégie de nettoyage efficace
Au moment même où vous vous pensiez débarrassé des articles sur les groupes d'activation,
en voici un autre ! Celui-ci expose quelques-unes des méthodes de suppression
de groupes d'activation, particulièrement s'ils contiennent des programmes encore
activés, et l'intérêt d'une méthode comparée à une autre. Pour plus d'informations
sur les groupes d'activation, voir les articles "ILE en action : les groupes d'activation
", NEWSMAGAZINE, mars 1997, et "Attention aux groupes d'activation", NEWSMAGAZINE,
décembre 1998.
Restaurer les fichiers effacés accidentellement
par John Ruley
Cela arrive à tout le monde tôt ou tard, mais effacer accidentellement un fichier est une des pires erreurs que l'on puisse faire. Récemment, j'ai fermé par erreur un document Word sans le sauvegarder et tout le travail que j'avais produit sur le fichier semblait avoir disparu. Mais le texte que j'avais passé 2 heures à écrire n'était pas complètement perdu. J'ai pu utiliser quelques outils pour rechercher et restituer les données.Le processus de recherche et de restauration des données perdues par erreur m'a pris un bon moment : j'ai ramé pendant 4 heures pour restaurer 2 heures de travail. Pourtant, j'y ai passé autant de temps parce que je pensais écrire sur cette expérience pour en faire profiter d'autres personnes en situation identique d'une part, et parce que j'étais très content de ma prose dans le document que j'avais effacé par erreur. J'aurais certes pu produire de nouveau un document équivalent en 2 heures, mais le texte de remplacement n'aurait pas été aussi bon que le premier.
Peut-on vivre sans Active Directory ?
par Mark Minasi
Si vous n'avez pas encore entamé votre migration vers Active Directory (AD), vous
n'êtes pas seuls. Les entreprises semblent actuellement se poser la question suivante
: « Nous voulons bénéficier de toutes les fonctions améliorées de Windows 2000,
et nous irons vers AD, mais la mise en oeuvre d'Active Directory semble être une
première marche bien haute à franchir dans le déploiement de Windows 2000. Que
se passerait-il si nous procédions au déploiement de Windows 2000 sur les postes
de travail et sur les serveurs membres et que nous attendions pour déployer AD
plus tard ? Que perdrions-nous à cela ? »
Optimiser les performances batch de l’AS/400, 2e partie
par Rick Turner
Il faut structurer les applications et optimiser l'environnement d'exécution batch
pour obtenir une efficacité maximale
Dans le précédent numéro de SYSTEMS Journal, nous avons vu plusieurs méthodes
permettant d'améliorer les performances du traitement base de données du batch.
Poursuivons cette discussion, et examinons d'autres possibilités.
SMP peut faire gagner énormément de temps
Windows 2000 Datacenter Server : une démarche nouvelle chez Microsoft
par Christophe Boulan
Avec Windows 2000 DataCenter, Microsoft entend jouer dans la cours des grands
d'où le narguaient jusqu'à présent les systèmes mainframes, les grands UNIX et
les AS/400. Mais pour cela, il ne suffit pas de créer un Windows 2000 plus puissant.
Microsoft a du revoir notamment ses systèmes de certification et son approche
des services de support afin de répondre aux besoins des applications stratégiques
des grands comptes. Une véritable révolution culturelle pour Microsoft.
à‡a y est ! Microsoft a désormais lancé toute la famille Windows 2000 32-bit avec
la sortie de Windows 2000 Datacenter Server. Datacenter s'appuie sur les fonctions
de Windows 2000 Advanced Server, auxquels s'ajoutent toutes les corrections de
bugs du Service Pack 1, ainsi que le support de 64 GO de RAM, des processeurs
32-bit, du clustering à 2 et 4 noeuds, du partitionnement et de l'équilibrage de
la charge réseau. Windows 2000 Datacenter est destiné aux entreprise engagées
dans l'e-commerce, aux ASP (Application Service Providers) et autres clients haut
de gamme à le recherche de fiabilité et de disponibilité. Datacenter Server est
la première véritable entrée légitime de Microsoft sur un marché dominé par les
gros bras.
Longtemps, Microsoft s'est fait l'avocat d'un modèle d'entreprise du type de celui
de Windows 2000 et Windows NT : distribué. Windows 2000 Datacenter associe les
avantages de la montée en charge horizontale (par ajout de serveurs) de Windows
2000, avec un modèle plus traditionnel de croissance verticale - un gros serveur
avec de fortes capacités d'évolution en multiprocesseur. Avec Datacenter, Microsoft
espère gagner enfin la crédibilité qui lui est refusée depuis l'annonce initiale
de Windows NT. (L'image de Windows NT a souffert de défauts et de limitations
parfois véritables, parfois perçues.) Mais pour atteindre cet objectif, il ne
suffit pas de construire un Windows 2000 plus gros. Pour répondre aux exigences
de clients haut de gamme, dont bon nombre n'auraient certainement pas fait confiance
à Windows 2000 autrement, Microsoft a créé un programme de tests de fiabilité
baptisé Windows 2000 Datacenter Program, pour s'assurer que Datacenter ne sera
installé que sur des configurations intégralement testées et validées.
La clé du programme est le Hardware Compatibility Test (HCT) que chaque machine
compatible Datacenter doit passer
La clé du programme est le Hardware Compatibility Test (HCT) que chaque machine
compatible Datacenter doit passer. Dès lors qu'un matériel a passé cette batterie
de tests rigoureux (voir l'encadré " HCT : une certification matérielle spécifique
"), Microsoft certifie sa compatibilité avec Datacenter et le place sur la liste
de compatibilité matérielle (HCL) de Windows 2000 Datacenter, disponible sur le
site Web de Microsoft. De par la rigueur des tests pratiqués, les produits de
la HCL de Datacenter ne sont qu'un sous-ensemble des HCL des autres versions de
Windows 2000. Les systèmes Datacenter doivent garantir au moins 99,9 % de disponibilité
et les constructeurs qui vendent de tels systèmes doivent fournir régulièrement
à Microsoft des rapports de disponibilité et autres statistiques. De plus, les
systèmes Datacenter doivent pouvoir supporter au moins 8 processeurs, même s'il
peuvent être livrés avec seulement 1 processeur. Le système de licences est basé
sur le nombre de processeurs que le système peut supporter et il faut acquérir
des licences d'accès client séparément.
Certes, Windows 2000 Datacenter semble en mesure de pouvoir résoudre bon nombre
des problèmes de montée en charge non résolus par les grandes entreprises utilisant
Windows 2000. Mais reste à savoir si le produit pourra réussir sa percée sur ce
marché haut de gamme. Il sera intéressant de voir quelle plate-forme les entreprises
choisissent au fur et à mesure que Windows 2000 monte en puissance.
Dopez vos traitements de dates avec les champs nuls
par David Robertson
La valeur "null" constitue un nouvel et puissant outil demanipulation
de dates en RPG
Depuis la V3R7, l'OS/400 accepte une nouvelle valeur pour les champs d'une base
de données : null. En vous offrant un moyen solide et élégant de traiter de futures
dates, cette valeur facilite l'utilisation pratique du type de donnée date. Dans
cet article, j'expose différentes raisons d'utiliser une date nulle, montre comment
définir des dates nulles et explique comment les traiter dans des fichiers logiques,
des DFU (Data File Utility), des requêtes et le langage RPG IV.
Premier de cordée
par Samy Mosimann
En quelques années, le Groupe Mutuel s'est hissé au premier rang des assureurs
maladie de Suisse romande. Son ascension mérite que l'on s'y arrête.
Un regard neuf sur CODE/400
par Sharon L. Hoffman
CODE/400 a évolué tranquillement, pour devenir un puissant outil de développement
AS/400
La plupart des programmeurs AS/400 continue de développer du code en se servant
d'outils conçus pour les écrans passifs, notamment SEU et SDA.
Ces outils leurs sont familiers; ils sont disponibles sur tous les systèmes de
développement, et ils remplissent parfaitement bien leur rôle. Même si
l'affirmation est exacte, la recherche d'autres outils peut s'avérer judicieuse.
En 1988, lorsque IBM a lancé l'AS/400, ses outils de programmation
destinés à des écrans passifs faisaient partie du haut de gamme. Mais les temps
changent. Les programmeurs AS/400 se tournant vers de nouvelles
méthodes de développement comme Java, de nouveaux outils de programmation deviennent
indispensables. Ce besoin débouche sur la motivation de
réévaluer également les outils de programmation utilisés pour les développements
classiques.
Lorsque j'ai commencé à travailler fréquemment avec Java, j'ai décidé d'utiliser
un simple éditeur de texte plutôt que l'un des IDE (Integrated
Development Environments), comme JBuilder d'Inprise ou VisualAge for Java d'IBM.
Un candidat évident m'est immédiatement venu à l'esprit :
CODE/400 d'IBM (parmi les alternatives possibles, citons entre autres Flex/Edit
d'Aldon).
CODE/400 présente de nombreux avantages par rapport à un éditeur de texte générique
pour PC, tel que le Bloc Notes. En effet, CODE/400 inclut des
fonctions de suggestion et de vérification syntaxique pour tous les langages qu'one
st susceptible d'utiliser. De ce fait, il n'y a pas besoin d'apprendre à
utiliser plusieurs outils. Il prend également en charge les lignes de commande
SEU, ce qui raccourcit la courbe d'apprentissage. En outre, IBM fournit
gracieusement une version de démonstration avec des restrictions minimes et pouvant
être téléchargée, ce qui permet de tester soigneusement CODE/400 avant d'acheter
la version complète. (Pour de plus amples informations sur les restrictions de
la version de démo et les sites de téléchargement, voir l'encadré "Démo CODE/400").
Lorsqu'IBM a lancé CODE/400, en 1992, j'ai étudié le produit et en l'ai plutôt
écarté.
En effet, bien que surprenante, la version initiale de CODE/400 avait deux défauts
majeurs : elle n'était disponible que sous OS/2 et elle était excessivement onéreuse.
Lorsque la version Windows a été mise sur le marché, quelques années plus tard,
ces défauts étaient toujours présents : trop cher et bien que tournant sous Windows,
toujours le "look and feel" OS/2.
Cependant, lorsqu'à la mi-97 j'ai assisté à une démonstration des nouvelles possibilités
du produit, j'ai dû revoir ma première impression. Depuis lors, IBM a même rajouté
de nouvelles fonctions à CODE/400. En outre, une nouvelle version est attendue
au courant de cette année.
Si vous n'avez pas suivi l'évolution de CODE/400 récemment, vous y trouverez un
intérêt. Pour vous aider à le maîtriser, j'en présente ici brièvement les fonctions
et les caractéristiques, et signale également certaines astuces permettant de
gagner du temps, et les défauts que j'ai découvert.
Je vous recommande vivement d'assister à une démonstration ou à un atelier CODE/400
si vous en avez l'opportunité. CODE/400 est si différent des outils pour écrans
passifs bien connus de la majorité des programmeurs AS/400 qu'il faut le voir
en action pour se rendre compte de ses qualités. (Pour une la liste des ressources
complémentaires traitant de CODE/400, consultez l'encadré "Autres ressources").
Lorsqu'à la mi-97 j'ai assisté à une démonstration du produit, j'ai dû revoir
ma première impression
Démo CODE/400 On peut télécharger des versions d'évaluation de VisualAge RPG (VARPG) et de CODE/400 ainsi que les instructions sur le téléchargement et l'installation du code depuis le site Web d'IBM, à l'adresse http://www Lire l'article Mettre Exchange 2000 en Cluster, concepts de basepar Jerry Cochran Gérer des hiérarchiespar Itzik Ben-Gan Les utilisateurs Linux à la recherche d’une interface standard sur le poste de travailpar René Beretz L’astuce au secours des petits budgetspar Ed Roth Les solutions de clustering de Microsoftpar Greg Todd Sécurité et packages applicatifspar Patrick Botz Déléguer l’administration avec ADpar Paula Sharick Lisons l’avenir du RPG dans la V4R4par Bryan Meyers Benchmark à Rochester!par Samy Mosimann Le modèle ASP convient-il à votre entreprise ?par Pam Jones Une solution fax simple et facilepar Ken Dalton X
|