Quand faut-il utiliser SQL plutôt que RPG ou CL ?
par Jef Sutherland
Pendant très longtemps, RPG et CL ont été les seuls (ou les meilleurs) outils
dont disposait un programmeur AS/400 pour traiter toutes les tâches de développement.
Nous disposons aujourd'hui, de nombreux outils et langages, parmi lesquels il
est possible de choisir, et notamment, Visual Age for RPG, Net.Data et SQL.
Dans le présent article, j'explique comment utiliser SQL pour résoudre quelques-uns
des problèmes courants résolus auparavant à l'aide d'un programme RPG ou CL. Je
pense qu'il est facile de comprendre comment l'ajout de SQL à la boîte à outils
de développement peut faire gagner du temps.
On peut résoudre le problème avec une simple instruction SQL
Quoi de neuf autour d’OLE DB dans la bêta de Client Access Express
par Brant Klepel
Explorer les nouvelles fonctionnalités du middleware Client Access permettant
d'accéder aux données dans la prochaine version de Express
Au moment où vous lirez cet article, il sera possible de télécharger une version bêta de la nouvelle mouture de Client Access Express depuis l'adresse http://www.ibm.com/as400/clientaccess. Le nouvel Express promet d'apporter de nombreuses améliorations aux fonctions d'émulation PC5250, aux transferts de données et à Operations Navigator ainsi que de nouvelles fonctions aux drivers ODBC et au provider IBMDA400 OLE DB, le middleware Client Access permettant d'accéder aux données. Dans le présent article, nous nous focaliserons sur les nouvelles fonctions OLE DB susceptibles d'aider les développeurs à coder plus efficacement des fonctions d'accès aux données dans leurs applications.
Bravo Domino Informatique !
par Sabine Terrey
Depuis 1994, la société de services Domino Informatique développe, installe et
maintient des logiciels de comptabilité et gestion dédiés aux agences de publicité.
Composée aujourd'hui de 8 personnes, Domino Informatique connaît et maîtrise les
difficultés propres à la gestion des agences, elle fut d'ailleurs créée par des
informaticiens issus de la publicité. La majorité de ses 35 clients se situe à
Paris. Domino Informatique conseille et accompagne les agences (information régulière,
assistance, suivi personnalisé) et assure le suivi technologique (passage à l'Euro,
An 2000, Internet, Data Warehouse).
L'AS/400 est le support choisi pour les deux logiciels proposés par la société
: Double-Sys et 3D. Double-Sys permet de gérer en temps réel le suivi administratif,
financier et comptable de l'achat d'espace, de la production, de la trésorerie.
Le logiciel 3 D (Domino Data Decisionnel) permet quant à lui de passer de l'opérationnel
au décisionnel et donne une nouvelle dimension à Double-Sys.
Ce système ne nécessite aucune maintenance quotidienne et sauvegarde les données
automatiquement sans intervention.
Le logiciel Double-Sys - Fonctionnalités Double-Sys permet : · la gestion comptable : devis, factures, bons de commandes, règlements, suivis des écritures, travaux en cours, marges clients · d'obtenir les résultats à tout moment :devis, factures, bons de commandes, règlements, suivis des écritures, travaux en cours, marges clients · une aide à la décision : prévisions budgétaires, synthèse de trésorerie, tableaux financiers - Modules Le module Dossier gère au quotidien · les clients (devis et factures) · les fournisseurs (commandes et factures) · les notes de frais et les temps passés Les modules Comptabilité et Trésorerie, multi sociétés, multi exercices et multi périodes permettent le règlement des clients et des fournisseurs par lettrage, la gestion automatique de la TVA, la gestion de la trésorerie, l'importation et l'exportation des données sur micro. |
Les compétences de Domino Informatique · La société propose son savoir-faire aux agences de publicité, de marketing direct, de promotion, aux sociétés d'édition, de design ou d'achat d'espace. · Services : formation à l'utilisation des matériels, formation à l'utilisation des logiciels, assistance sur site, télé-assistance. · Matériel informatique : multi plates-formes (IBM et Mac), mini ordinateurs IBM, micro ordinateurs (IBM et Mac), Intranet/Internet · Communications : connexions ou liaisons homogènes, connexions ou liaisons hétérogènes, traitements associatifs (client-serveur) · Applicatif général : gestion commerciale, gestion des dossiers techniques, gestion des achats et des ventes d'espace, comptabilité, gestion de la prospection · Stratégies : conseil, schémas directeurs, suivi de projets, audit |
MandrakeSoft : la magie de Linux
par Isabelle Nougier <br />Le système d'exploitation Linux est devenu en quelques années un acteur majeur sur le marché des serveurs. Il se développe même beaucoup plus vite que les prévisions des spécialistes. En effet les analystes avaient prévu une place de numéro 2 derrière Windows NT en 2002 et c'est arrivé dès 1999.
Lire l'articleLa sécurité de Windows 2000 et d’Exchange 2000
par Jan De Clercq
Du fait de son étroite intégration avec Active Directory (AD) de Windows 2000,
Exchange 2000 Server profite non seulement des fonctions de sécurité de ce dernier,
mais bénéficie aussi d'autres améliorations de la sécurité Windows 2000, notamment
en matière d'authentification, de contrôle d'accès et d'audit.
Rester à la pointe de la sécurité avec IIS
par Randy Franklin Smith
Un serveur Web est l'un des systèmes les plus exposés aux attaques et la cible privilégiée des hackers. La sécurisation de Microsoft IIS est donc une priorité et Microsoft propose plusieurs documents et outils nouveaux (ou mis à jour) très utiles. Ces ressources s'adressent pour la plupart davantage aux développeurs qu'aux administrateurs, mais la séparation entre le développement et l'administration est souvent floue dans le monde des serveurs Web.Comme beaucoup d'actes de malveillance sont dues aux vulnérabilités du code applicatif, plutôt qu'à la configuration du système, la sécurité des sites Web dépend autant des développeurs que des administrateurs. Même si vous outsourcez le développement des sites Web, il est indispensable de connaître les problèmes de sécurité importants liés au développement, afin de protéger votre système IIS contre les intrusions.
Premier contact avec l’informatique
par Kris Neely
Voici quelques conseils intéressants
pour installer un environnement TC/NC sur AS/400Il
est probable que votre réseau AS/400-PC n'échappe pas à la "fièvre du
lundi". Le scénario est classique : des utilisateurs suppliant
l'informatique de réparer des disques durs défaillants, de prendre en charge
différentes versions du même logiciel de connectivité et de rétablir
l'alimentation de divers PC. Mais, pour de plus en plus de sites AS/400, la
solution à la fièvre du lundi consiste à remplacer les PC, source de tous les
maux, par des TC (thin clients ou
clients légers) ou des NC (network computers ou ordinateurs de réseau). Voyons
maintenant les raisons qui plaident en faveur du remplacement des PC par des TC
ou des NC, les différences entre les deux technologies et quelques indications
générales pour la création d'un environnement TC/NC sur AS/400, fondées sur
mon expérience d'installation de NC sur plusieurs sites AS/400.
Le nombre d'appels obligeant un technicien PC à intervenir sur le TC/NC d'un utilisateur est pratiquement tombé à zéro
Lire l'articleUne nouvelle avancée pour le RPG
par Brian R. Smith
Un nouveau RedBook révèle une profusion de techniques de programmation en RPG IV
De temps à autres, on a la chance de travailler sur un projet vraiment d'actualité. Ce fut le cas en juillet de l'année dernière lorsque j'ai collaboré avec cinq co-auteurs à la rédaction d'un Redbook à propos de la programmation en RPG IV, juste au moment où Roger Pence publiait son article " It's Time for IBM to Pull the Plug on RPG " (Il est temps pour IBM de débrancher la prise du RPG, NEWS/400, juillet 1999). Comme notre ouvrage souligne que le RPG IV est un langage moderne et dynamique pour le développement d'applications au 21e siècle, c'est avec surprise que nous avons lu que le RPG est " en état de coma profond dont il ne sortira pas ".
A notre avis, le RPG est comme le vin rouge : il se bonifie avec l'âge. Notre livre commence par une section Questions/Réponses regroupant un panel de six programmeurs RPG éminents venus du monde entier (y compris Bryan Meyers, rédacteur technique de NEWS/400). Quand nous leur avons demandé " le RPG est-il mort ? ", ils ont répondu d'une seule voix " Non ! " En fait, bien que tous les membres à une exception près aient récemment entrepris des projets Java, C ou C++, tous s'en tiennent au RPG IV comme langage principal.
Même si le RPG n'est pas le plus beau langage au monde, son adaptabilité et son utilité prolongeront sa présence dans l'environnement AS/400 pendant de nombreuses années. Nous avons écrit notre livre à l'intention des programmeurs système AS/400 cherchant à justifier le passage du RPG/400 au RPG IV. Il est plein de petites merveilles que même les programmeurs RPG IV chevronnés apprécieront.
Plus de sang neuf – moins de lunettes à double-foyer
par Robert Tipton
A quelles "tranches d'âge" vous et vos collègues AS/400 appartenez-vous
? Faites-vous partie du Baby-boom ou de la Generation X ? Quels sont vos chanteurs
préférés ? : Les trois ténors, Elton John ou Metallica ?
Si votre analyse corrobore la mienne, vous constaterez qu'environ 99% de vos collègues
AS/400 sont nés avant 1970. Et c'est un sacré problème !
Où sont les jeunes enthousiastes sur le marché de l'AS/400 ? Et en quoi cela vous
concerne-t-il ?
Récemment, un client AS/400 de longue date m'a brutalement posé ce problème. Alors
qu'il envisageait d'installer un nouveau serveur pour supporter Domino, il a décidé
de s'intéresser à NT pour une raison simple : le recrutement de nouvelles compétences
AS/400 était difficile et coûteux. Pour aggraver son problème, le CEO était convaincu
que les ressources NT étaient “ abondantes ” et bien meilleur marché. Ce client
a donc choisi NT — et pour de mauvaises raisons.
Par rapport au nombre des systèmes vendus, l'offre de spécialistes AS/400 s'amenuise.
Les ventes record d'AS/400 en 1998 ont été acclamées — sauf quand il a fallu trouver
des gens pour travailler sur les nouveaux systèmes. Et ne nous attendons pas à
ce que ce fort rythme de ventes continue si la prochaine génération informatique
ne connaît pas l'AS/400.
Sans injection de sang neuf dans les rangs de l'AS/400, le marché se tarira
tout seul. Triste perspective.
Faire coexister Windows 2000 et Windows NT 4.0
par Paula Sharick
Il y a quelques mois, je me suis posé la question de savoir si Windows 2000 et
NT 4.0 pouvaient coexister. Après avoir testé un environnement mixte Windows 2000
et Windows NT 4.0, j'ai fait part de mes expériences et j'ai eu l'agréable surprise
de constater que les deux technologies fonctionnent bien ensemble. Vous envisagez
peut-être de migrer, mais vous avez besoin de quelques conseils ? Jetons donc
un coup d'oeil sur les raisons de migrer, les principales différences entre les
plates-formes et quelques astuces pour une migration en toute confiance.
Traduction des logiciels : vers une meilleure compréhension
par John Ghrist
Quel est l'un des plus grands obstacles aux ventes de logiciels américains sur
les marchés internationaux ? La langue, bien sûr. Bien que reconnu comme une langue
internationale, l'anglais n'est en fait pas aussi universel que cela.
Sur les marchés extérieurs aux pays anglo-saxons, les logiciels ne proposant que
des interfaces en anglais ont un net handicap, même s'ils s'agit d'applications
plus performantes, tout simplement parce que la plupart des utilisateurs demandent
une interface leur permettant de travailler dans leur propre langue.
Pour un éditeur anglo-saxon, la solution logique est donc de fournir une version
des produits les plus stratégiques dans les différentes langues. Mais trouver
les personnes compétentes pour traduire des supports techniques comme des interfaces
utilisateurs, des fichiers d'aide et de la documentation relève de la mission
impossible. Faut-il s'allouer les services de traducteurs en interne ? Faut-il
avoir recours à des services de traduction ? Ou encore utiliser un logiciel de
traduction ? Et une fois le choix effectué, comment mesurer l'impact et la qualité
du travail, des outils et des services de la solution retenue ?
Mapics, Inc. (et les sociétés l'ayant historiquement précédée) est venue à bout
de ce problème, en diffusant avec succès à l'étranger une solution de gestion
industrielle réputée sur AS/400.
Le produit a d'abord été traduit dans quelques-unes des langues européennes
vers le milieu des années 80
L’administration de l’AS/400 avec SNMP
par Mel Beckman
Suivre les performances, les événements et les configurations à distance, en utilisant
SMNP (Simple Network Management Protocol)
La plupart des gens qui entendent parler de l'administration de l'AS/400 à distance
pensent immédiatement à OpsNav (Operations Navigator). Effectivement, OpsNav permet
d'effectuer à distance une large gamme de tâches administratives : reconfiguration
de l'OS/400, démarrage et arrêt des services, et manipulation des files d'attente
de jobs et d'imprimantes. Pourtant, si OpsNav est un excellent outil pour contrôler
un AS/400 à distance, ce n'est pas vraiment un outil d'administration à distance
si, par administration, on entend : suivre les performances, surveiller les valeurs
système sensibles et réagir à des événements imprévus. Pour vraiment administrer
ou gérer un système, il faut considérer son comportement vis à vis de l'ensemble
du réseau, y compris de nombreuses unités non-AS/400, comme des commutateurs LAN,
des routeurs et des serveurs Windows.
Il est clair qu'OpsNav ne se hisse pas à ce niveau. Heureusement, l'OS/400 supporte
le protocole d'administration à distance le plus répandu : SNMP (Simple Network
Management Protocol). C'est un standard ouvert, hétérogène, qui permet de collecter
des statistiques de performances, suivre des événements et contrôler des unités
à distance. Comme SNMP est ouvert, les développeurs de produits SNMP disposent
d'un marché qui dépasse largement les simples utilisateurs d'AS/400, d'où une
concurrence féroce entre les produits. Le vainqueur c'est vous : avec un large
éventail d'outils logiciels SNMP proposé. Entrons dans les arcanes de SNMP " générique
" et de SNMP sur l'AS/400, puis intéressons-nous à quelques produits SNMP.
Améliorer SQL/400 avec des fonctions définies par l’utilisateur
par Michael Sansoterra
Les UDF permettent de créer une logique personnalisée et centralisée à l'intérieur
d'instructions SQL
SQL est un langage de requêtes puissant. Bien souvent, il peut extraire des données
et être codé plus rapidement qu'un programme en langage de haut niveau (HLL :
High-Level Language). Malheureusement, SQL/400 a toujours souffert d'une importante
lacune par rapport aux programmes HLL : il n'offrait pas la capacité de créer
une logique spécialisée et centralisée à l'intérieur d'instructions SQL. Avec
la V4R4, IBM y remédie par l'utilisation d'UDF (User-Defined Functions).
Les fonctions SQL se déclinent de 2 façons
De gré ou de force, les constructeurs adoptent une stratégie Linux
par René Beretz
A l'heure de l'adoption de Linux en entreprise, la stratégie des constructeurs
informatiques évolue considérablement.
La stratégie des constructeurs informatiques envers les systèmes d'exploitation
a changé. Les systèmes propriétaires n'ont plus le vent en poupe et la plupart
des sociétés vantent les standards. Mais du discours à la réalité, il reste du
chemin à parcourir. Ne serait-ce que dans le monde Unix, il reste des différences
bien réelles et une concurrence effective entre AIX d'IBM, HP-UX de Hewlett-Packard
ou Solaris de Sun. Les constructeurs ont cependant sauté sans trop d'états d'âme
sur la vague Linux qui a rattrapé également les groupes de travail qui se préoccupent
de convergence d'Unix. Il est fort probable que l'avenir des différents Unix va
donc dépendre de cet outsider.
De fait, poussés par l'engouement des développeurs, les entreprises commencent
à adopter Linux et il devient donc essentiel pour les constructeurs d'être présents
sur ce créneau. En outre, il leur offre l'opportunité de se repositionner sur
le marché de l'éducation et sur certains marchés étrangers.
Les constructeurs ont cependant sauté sans trop d'états d'âme sur la vague
Linux
L'attitude des constructeurs oscille entre deux extrêmes : certains ont élaboré
une vraie stratégie Linux : ils ont adopté une attitude dynamique qui devance
le marché : c'est le cas, en particulier, d'IBM, de Hewlett-Packard et de Silicon
Graphics.
D'autres sociétés se contentent de proposer des solutions Linux pour répondre
aux attentes de leurs clients : c'est le cas de Compaq ou de Dell. Entre les deux,
Sun accompagne le mouvement tout en protégeant ses acquis.
Mettre en place des stratégies d’accès distant
par Douglas Toombs
Il y a 5 ou 6 ans, deux grands acteurs s'affrontaient autour d'une proie alléchante,
baptisée « part de marché ». Celle qui remporterait la plus grosse part serait
adorée par les richissimes habitants consensuels d'un pays mystique répondant
au nom implacable de Wall Street. A l'époque cette part était entre les griffes
de Novell et Microsoft la convoitait.
Ceux de nos lecteurs qui fréquentent l'univers de l'informatique depuis suffisamment
longtemps pour se rappeler les premiers pas de Windows NT, savent que si Microsoft
a pu glisser un pied dans la porte (y compris de certains comptes Novell purs
et durs), c'est grâce à l'ajout à NT de services inexistants sur les autres plates-formes.
A l'époque, un de ces cadeaux gratuits les plus connus fut le service d'accès
à distance RAS. Ses concurrents les plus acharnés étaient les périphériques matériels
propriétaires et Novell NetWare Connect, mais leurs coûts de licences par port
étaient très élevés.
Windows NT s'est lentement infiltré dans les organisations en introduisant l'un
après l'autre des services gratuits répondant à des besoins spécifiques des consommateurs.
Malheureusement, bon nombre de ces " plus " n'ont pas atteint la même maturité
que Windows NT au fil des ans. Malgré quelques améliorations à chaque révision
du système d'exploitation, RAS s'est avéré insuffisant dans certains domaines
importants pour entreprises, en particulier pour ce qui est de gérer quel utilisateur
peut se connecter à un serveur RAS et à quel moment. Le RAS de NT n'est pas étranger
à la sécurité des domaines et aux stratégies de comptes, mais les administrateurs
veulent souvent pouvoir contrôler davantage les utilisateurs appelant de l'extérieur.
Pour répondre à leurs attentes, Microsoft a ajouté à Windows 2000 Server des stratégies
d'accès à distance que RAS peut appliquer aux connexions entrantes.
Qui veut un annuaire à 100 millions d’entrée ?
par Tony Redmond et Micky Balladelli
Tout le monde est conscient que la base de données SAM de Windows NT est un goulet d'étranglement pour les capacités d'évolution des domaines. En effet, la limite pratique de la SAM se situe à environ 40.000 comptes d'utilisateurs par domaine. Certaines entreprises, qui sont allées jusqu'aux limites supérieures de la SAM et ont créé de très grands domaines, ont constaté que ces derniers sont difficiles à gérer.Windows 2000 repose sur l'annuaire Active Directory (AD), qui est un référentiel des comptes d'utilisateurs et de nombreux autres types d'objets. On peut faire confiance à Microsoft pour ne pas répéter la même erreur une deuxième fois : AD est plus évolutif que la SAM. Mais jusqu'à quel point ? La question mérite d'être posée. Combien d'objets peut-on stocker dans un domaine, quelle est la taille de la base de données, est-elle administrable et quel type de performances peut-on attendre d'Active Directory ?
Pour le savoir, notre confrère américain Windows 2000 Magazine a créé une très grande base de données AD, dont ils ont démontré les capacités au Comdex de Las Vegas en novembre 1999 et lors du lancement de Windows 2000 à San Francisco en février 2000. Cette démonstration de l'évolutivité d'Active Directory montre que la base de données peut contenir 100 millions d'entrées dans un environnement de production réaliste. Avant d'expliquer comment la base de données de démonstration a été construite et de révéler ce que le processus de création a appris sur AD, revenons d'abord sur quelques principes de bases d'AD.
Utiliser des commandes Java dans le Qshell AS/400
par Dan Darnell
L'interpréteur
Qshell de l'AS/400 fournit un environnement permettant de saisir des commandes
Java et d'en visualiser les sorties
L'interpréteur QShell est l'un des éléments les plus importants ajoutés récemment à l'OS/400, en V4R2. Mais celui qui programme surtout en RPG ou en Cobol ne sait peut-être même pas que ce “ système dans le système ” existe. On peut utiliser QShell pour réaliser des tâches essentielles sur l'AS/400, comme la compilation et l'exécution de programmes Java. Etant donné que les environnements shell viennent du monde Unix, la plupart des “ vétérans ” de l'AS/400 trouveront leur utilisation et leur configuration non intuitives. Je me propose de vous familiariser avec la vie dans le shell, pour que vous utilisiez facilement le code Java et que vous compreniez mieux l'environnement qui constitue la base du support runtime Java de l'AS/400. Un coup d'oeil rapide à l'interface QShell et à une poignée d'outils Java intégrés sert d'introduction à l'environnement. Un prochain article expliquera quelques techniques pour maîtriser QShell.
QShell est l'un des éléments les plus importants ajoutés récemment à l'OS/400
Lire l'articleOptimisez vos techniques de lecture en boucle
par Jef Sutherland
Voici deux techniques de lecture en boucle que vous pourrez utiliser au quotidien dans vos programmes RPG.Cet article explique comment utiliser deux structures logiques de lecture en boucle dans une application RPG pour lire des enregistrements particuliers dans un fichier avec clé. Concrètement, dans une application RPG, on peut vouloir lire en boucle tous les enregistrements des ventes d'une certaine date, ou tous les articles appartenant à une certaine catégorie de produits. Avant de passer au RPG, voyons les fichiers avec clé, et comment déterminer si les fichiers physiques et logiques de l'AS/400 en comportent.
12 règles pour les gens ordinaires
par Roger PenceDans son nouveau livre, au titre résolument inspiré par le Web : Business@the Speed of Thought (Le travail à la vitesse de la pensée, Robert Laffont, pour l'édition française), Bill Gates énonce ses 12 règles pour réussir à l'âge du numérique. Quelqu'un qui possède 60 ou 70 milliards de dollars dans son escarcelle et élève ses propres saumons, peut-il fixer des règles pratiques utilisables par le reste d'entre nous ? Non, bien entendu. Permettez-moi d'énoncer modestement mes 12 règles pour les ateliers AS/400, à l'approche de l'âge du numérique
Lire l'articleMettre Exchange 2000 en Cluster, quelques règles d’or
par Jerry Cochran
Dans la première partie de cet article, nous avons décri les concepts de base
du service de clustering de Windows 2000, ainsi que les améliorations apportées
au clustering d'Exchange 2000 Enterprise Server. Fort de ces connaissances, vous
êtes désormais capables d'évaluer les avantages et les problèmes potentiels de
la conception et de l'administration du stockage dans un cluster Exchange 2000.
Si le déploiement d'un cluster vous semble intéressant pour votre organisation,
plusieurs pratiques optimales peuvent vous aider à atténuer l'effort de formation
nécessaire.