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HP et VA Linux optimisent les techniques d’impression Open Source

HP et VA Linux optimisent les techniques d’impression Open Source

par Mireille Boris
L'amélioration des techniques d'impression Open Source fait de Linux un OS crédible en bureautique et en pré-presse. Le code développé pour les pilotes d'imprimantes est de plus utilisé dans le logiciel embarqué des imprimantes. HP et VA Linux veillent sur ces travaux. La première conférence sur les techniques d'impression Open Source, organisée en août 2000 à  Sunnyvale en Californie, a connu un tel succès qu'il a été décidé d'en faire une manifestation annuelle, relayée par un sommet européen en février 2001. Organisée par Hewlett-Packard (HP) US et VA Linux, elle a réuni des représentants d' IBM, Sun, Canon, Epson, Lexmark, Okidata, Xerox, Microsoft et des développeurs appartenant à  Samba, Ghostscript, LPRng, CUPS, PDQ, SysAPS, Linux Internationalization Initiative, Xfree86, GIMP, GNOME, KDE, Red Hat, Suse, le groupe d'impression IETF.
HP a présenté la méthodologie de développement collaboratif de pilotes d'impression qu'il déploie en interne. Pour ce faire, il a fait appel à  plusieurs projets de développement de pilotes pour imprimantes HP présentés sur Sourceforge (exactement printing.sourceforge.net), le site que VA Linux dédie aux développeurs. Les services professionnels de VA Linux travaillent en conjonction avec HP dans le but d'améliorer le support d'impression de l'imprimante LaserJet de HP sous Linux et Samba (couche logicielle d'échange de fichiers Windows et Linux) et font évoluer la qualité et les fonctionnalités de l'ensemble des techniques d'impression Open Source.
Les pilotes disponibles pour la plupart des imprimantes sont le fruit d'un effort continu. Elles font partie intégrante de la distribution standard, de Suse, Red Hat à  Caldera. On les trouve également sur le site Sourceforge.
La qualité croissante de l'impression sous Linux s'ajoute à  l'existence de cartes graphiques de très bon niveau, en particulier les cartes N'Vidia. Linux ne se limite plus au back office; il devient un OS crédible en bureautique et en pré-presse. Une typographie de type nouveau est en train de naître, les Linuxiens rejetant celle des outils Microsoft, voire Macintosh.

Linux ne se limite plus au back office; il devient un OS crédible en bureautique et en pré-presse.

Le code des pilotes sous Linux sert parallèlement au développement de code embarqué dans les imprimantes elles-mêmes. Le noyau Linux y est souvent utilisé par défaut en raison de sa petite taille. Depuis un an, par exemple, eCOS, OS embarqué de Red Hat, fonctionne avec les imprimantes laser HL-2400CeN et HL-3400CN de Brother International. La portabilité et la conception d'eCOS lui permettent de transposer des applications créées pour la famille d'imprimantes HL-2400CeN et HL-3400CN vers de futures plates-formes, quelque soit le choix d'unité centrale.
Larry Augustin, PDG de VA Linux, a une formation de graphiste. "Notre compétence en stations de travail, nous permet de comprendre les problèmes de pré-presse et de post-presse dans les besoins de stockage multimédia. D'où la maturité de notre offre NAS 2905, plate-forme ouverte, Mac, NT, Linux ", précise Renaud Larsen, VA Linux Europe. Un secteur où VA Linux se retrouve en vive concurrence avec HP.
Rassembleur des initiatives Open Source, VA Linux a lancé l'OSDN Open Source Development Network, un réseau communautaire qui intègre les principaux sites Internet consacrés aux forums de discussions, au développement et à  la distribution des logiciels OpenSource dont www.sourceforge.net, questionexchange.com, www.freshmeat.net, www.themes.org, ww.thinkgeek.com, www.slashdot.org, www.linux.com, etc…

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Les masques de sous-réseau sans classe

Les masques de sous-réseau sans classe

par William Heldman
Quelques trucs et astuces peuvent vous aider à  créer des sous-réseaux à  l'intérieur de votre réseau à  l'aide des masques de sous-réseaux sans classe. Si un réseau utilise un masque de sous-réseau par défaut - 255.0.0.0 pour la Classe A, 255.255.0.0 pour la Classe B ou 255.255.255.0 pour la Classe C - il s'agit d'un domaine dit " classful ", c'est-à -dire un domaine doté de classes. On sait alors qu'on travaille dans un domaine ouvert, sans sous-réseau. En réalité, il vaut mieux dire que le domaine tout entier est un sous-réseau, mais qu'il n'est pas divisé en sous-sous-réseaux.

Un domaine " classful " est souvent très occupé par la circulation intense créée par le trafic du réseau empruntant les mêmes chemins. Les commutateurs, qui opèrent au niveau de la couche de liaison, séparent les domaines de collision, mais ne font rien pour séparer les domaines de multidiffusions (broadcast), puisque celles-ci ont lieu au niveau de la couche réseau.

Un routeur permet de grouper différentes parties d'un réseau en sous-réseaux, afin de diminuer le nombre de broadcasts. Il peut être bon, par exemple, de grouper le matériel d'infrastructure (y compris la batterie de serveurs et les imprimantes) dans un sous-réseau, le département marketing dans un autre, et les services commerciaux dans un autre encore. La constitution de sous-réseaux peut être un outil pratique pour les réseaux supportant une activité intense.

Dans un réseau divisé en sous-réseaux, on a un domaine sans classe avec un masque de sous-réseau sans classe. Celui-ci, également baptisé masque de sous-réseau de longueur variable (VLSM pour Variable Length Subnet Mask), emprunte des bits à  la section hôte d'une adresse IP et les donne à  la section réseau de l'adresse. Les termes " sans classe " et " longueur variable " signifient que les adresses des masques de sous-réseaux ne sont pas conformes au format des Classes A, B et C du protocole IP standard.

Le seul problème que pose la mise en place de sous-réseaux est la nécessité d'effectuer les calculs binaires nécessaires aux adresses des sous-réseaux. Personnellement je préfère travailler le plus possible avec des nombres décimaux. Je vais donc parler du routage interdomaine sans classe CIDR (Classless Inter-Domain Routing) et indiquer une astuce mathématique non binaire très facile. Ces deux informations sont utiles pour aider à  déchiffrer la " notation à  barre oblique " que l'on trouve dans la littérature du support technique et faciliter et accélérer la mise en place de sous-réseaux.

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Samba : la danse continue

Samba : la danse continue

par Matthieu Rocher
Samba est le logiciel permettant de partager des ressources Linux avec Windows. En perpétuelle évolution, il accepte maintenant la dernière version du système d'exploitation : Windows 2000. Samba, dont l'existence est due à  l'Australien Andrew Tridgell en 1991, permet de partager les disques et les imprimantes d'un système Linux pour être utilisé par des postes clients Windows.
Pour utiliser les ressources distantes de façons simples, Andrew Tridgell a implémenté le protocole SMB sur le système d'exploitation Linux. C'est ce même protocole SMB qui est utilisé par Windows pour partager les ressources entre les différentes machines du réseau. Avec Samba, le partage des ressources s'ouvre à  Linux.
Samba est un logiciel Open Source., ce qui signifie que les sources du programme sont disponibles à  tous et que le logiciel est gratuit.

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Les nouveautés de WebSphere Studio 3.5

Les nouveautés de WebSphere Studio 3.5

par Paul Conte
Voici un aperçu des améliorations qu'apporte la version 3.5 par rapport à  la 3.02 WebSphere Studio (WSS) est l'outil phare du développement d'applications Web d'IBM. J'ai déjà  abordé WSS dans l'article " Premier coup d'oeil : WebSphere Studio 3.02 ", NEWSMAGAZINE, septembre 2000. Nous y avons vu que WSS gère le HTML, l'image, le son, les applets et servlets Java ainsi que JSP (Java Server Page). Il apporte également d'autres fonctionnalités, comme l'utilisation d'une interface utilisateur ainsi que sa logique de gestion. WSS possède des outils intégrés pour concevoir des pages HTML et JSP, et contient également des outils de modification de scripts et d'images graphiques. WSS se connecte à  VAJ (VisualAge for Java), inclus dans les Professional et Advanced Editions ou tout autre IDE (Integrated Development Environment) Java pour développer des servlets et du code Java plus complexe.

Dans la récente release WSS 3.5, on trouve quelques améliorations et modifications intéressantes. En particulier, le repackaging de WSS en trois éditions : Advanced, Professional et Entry. La principale différence se situe entre l'Advanced et la Professional Edition; la troisième, Entry Edition n'étant qu'une version d'essai "light" de la Professional Edition (dépourvue des produits additionnels qui accompagnent les Professional et Advanced Editions). Les trois nouvelles éditions fonctionnent sur des plates-formes Windows 2000 et sur les versions précédentes de Windows. Pour connaître la liste du contenu et des nouvelles fonctions de chaque édition, voir l'encadré " Contenu et nouvelles fonctions de WebSphere Studio 3.5 ".

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Virus : éduquez les utilisateurs

Virus : éduquez les utilisateurs

par David Chernicoff
Depuis le début de l'année, ma boîte de réception d'e-mails semble devoir contenir chaque jour un message de mon fournisseur d'antivirus. Ces messages contiennent des alertes à  propos de nouveaux virus et comportent des liens vers des sites Web d'où l'on peut télécharger des fichiers permettant de protéger mon réseau contre ces programmes malins. La majorité de ces messages concernent des alertes et mises à  jour concernent des formes diverses de virus macro qui ciblent en priorité Microsoft Word ou Excel. Comme tout bon administrateur réseau responsable, je télécharge toujours les mises à  jour des applications antivirus et les applique aussi bien sur les serveurs que sur les clients. Je n'informe pas les utilisateurs de ces mises à  jour : je les mets en oeuvre, simplement. Or, je suis convaincu que la plupart des administrateurs systèmes appliquent la même méthode et c'est là  que réside le problème.

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Bienvenue dans le 21ème siècle

Bienvenue dans le 21ème siècle

par Carson Soule
Maintenant que l'an 2000 est quasiment derrière nous et que nous entrons dans le 21ème siècle et le nouveau millénaire, je souhaiterais me retourner un instant sur 2000 et me demander "Que s'est-il passé ?" Mais peut-être devrais-je me demander " Que ne s'est-il pas passé ?"

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Préparer le passage à  Windows 2000 Professionnel

Préparer le passage à  Windows 2000 Professionnel

par John Ruley
La compatibilité, les configurations hardware minimum et la facilité de mise à  jour font partie des sujets d'interrogation communs avant le passage à  Windows 2000 Professionnel. Cet article répond aux 8 questions qui reviennent le plus souvent concernant la transition à  Windows 2000 Professionnel.

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Révolutionnez vos messages d’erreur avec les sous-fichiers de messages

Révolutionnez vos messages d’erreur avec les sous-fichiers de messages

par Mike Cravitz
Voici deux méthodes interactives, informatives et simples à  utiliser pour présenter des messages d'erreurVous est-il déjà  arrivé de ne pas vous souvenir de ce que quelqu'un vous avait dit, parce que l'information n'avait aucun sens ? De nombreux programmeurs AS/400 éprouvent la même chose avec les sous-fichiers de messages d'erreur. Souvent, quelqu'un (un consultant peut-être) fait irruption sur un site, installe des sous-fichiers de messages d'erreur dans l'un des programmes, puis disparaît. Les programmeurs qui viennent derrière cessent parfois d'utiliser les sous-fichiers, jugeant que cette technique n'a pas de sens.

Les sous-fichiers de messages d'erreur utilisent certainement des aspects de l'OS/400 (en particulier la messagerie) généralement mal maîtrisés par le programmeur AS/400 moyen. Mais leurs avantages (messagerie d'erreur plus interactive, informative et professionnelle pour les utilisateurs finaux) justifient les efforts consacrés à  les apprendre. Dans cet article, j'entends bien lever le mystère entourant les sous-fichiers de messages, pour que vous n'hésitiez plus à  en doter vos applications.

Les sous-fichiers de messages d'erreur utilisent des aspects de l'OS/400 généralement mal maîtrisés 

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Personnalisez SEU !

Personnalisez SEU !

par Vincent Taquin
Les commandes définies par l'utilisateur permettent d'optimiser l'éditeur de fichiers sources de l'AS/400L'utilitaire d'édition de sources de l'AS/400 (SEU : Source Entry Utility) n'est peut être pas le meilleur éditeur au monde, mais pour la plupart d'entre nous, c'est le seul disponible. Heureusement, depuis la V4R2, il est possible de personnaliser cet utilitaire en ajoutant des commandes à  celles déjà  fournies par SEU. Dans le présent article, j'explique comment créer des commandes définies par l'utilisateur pour SEU, et fournis plusieurs exemples de ces commandes. Les exemples fournis permettent d' : · appliquer une couleur (bleu, rose, rouge, turquoise, blanc, ou jaune) à  une ligne ou un bloc de lignes dans un membre source · effacer n caractères à  droite ou à  gauche d'un bloc de lignes · scinder le Facteur 2 étendu d'une ligne de calcul RPG ILE ou de scinder une ligne de commentaires En plus d'apporter de nouvelles fonctionnalités à  SEU, ces commandes donnent l'occasion de travailler avec les espaces utilisateur, les pointeurs, les programmes de service et les variables exportées.

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Windows 2000 et le TCO : les chiffres

Windows 2000 et le TCO : les chiffres

par Barrie Sosinsky
Des études récentes d'analystes sur le coût total de possession de Windows 2000 ont fait couler beaucoup d'encre. Le Gartner Group affirme que Windows 2000 est trop cher, tandis que le Giga Information Group prétend que c'est un investissement rentable. Les différences d'appréciation tiennent à  l'étude elle-même.

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Mieux qu’un double boot

Mieux qu’un double boot

par John D. Ruley
Au moment de la rédaction de cet article, le sujet a considérablement évolué. A l'origine j'avais prévu une mise à  jour du mode de fonctionnement du double boot avec Windows Millennium Edition (Windows Me). Dans un précédent article (" Le blues du double boot " de juin 2000), j'avais parlé du double boot Windows 2000 Professional et Windows 98 et, à  mon sens, une mise à  jour du sujet pour Windows Me, le code de base de la dernière version de Windows 9x, s'imposait. La raison qui justifie le maintien d'un environnement de double boot est simple. Certains logiciels (notamment de nombreux jeux) tournent sous Windows 9x mais pas sous Windows 2000. De plus Windows 9x supporte davantage de périphériques que Windows 2000. Ces types de matériels et de logiciels hérités n'ont pas l'air d'être en voie de disparition et j'ai donc décidé de configurer mon système pour qu'il s'initialise soit sous Windows 2000 Pro, soit en Windows 98. Or je viens de découvrir une alternative qui marche mieux qu'un double boot : le logiciel VMware 2.0 qui permet d'exécuter Windows 2000 Pro simultanément à  un autre OS. Comparée à  un système utilisant VMware, ma précédente méthode de double boot ressemble à  une relique datant de l'Age de Pierre. VMware supporte Windows 2000, Windows NT 4.0, Windows 9x, Windows 3.1, DOS, FreeBSD et plusieurs versions de Linux, mais pas Windows Me. J'ai donc désinstallé Windows Me et je suis revenu à  Windows 98 pour pouvoir utiliser VMware.
Pour de meilleures performances, VMware requiert un minimum de 96 Mo de RAM, un processeur à  266 MHz et suffisamment d'espace-disque pour les systèmes d'exploitation hôte (dans ce cas, Windows 2000) et invité (dans ce cas, Windows 98). Mon système actuel n'a qu'un processeur à  200 MHz - VMware parvient à  tourner, mais sans aucune chance de remporter un oscar en matière de performances. Avant d'exécuter VMware, le constructeur recommande de désactiver l'exécution automatique du CD, qui risque de provoquer des interactions inattendues lors du lancement d'une machine virtuelle (d'où le VM). Si un double boot est déjà  activé, il faut, avant d'installer VMware, choisir entre la création d'une machine virtuelle autour d'un OS existant ou une installation propre sur un disque virtuel créé par VMware. C'est cette option que je suggère.

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Des outils RAD pour les développeurs Linux

Des outils RAD pour les développeurs Linux

par Mireille Boris
Le développement sous Linux prend une extension qui porte ombrage aux autres Unix, voire à  Windows. Débordant les sociétés de l'Open Source, les éditeurs "traditionnels" ne limitent pas leur offre à  Java. Ils proposent de nombreux outils RAD pour convaincre les développeurs sous Linux de passer à  une vitesse d'exécution supérieure.

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Opération de nettoyage d’un environnement ILE

Opération de nettoyage d’un environnement ILE

par Mike Cravitz
Désencombrez vos programmes ILE grâce à  une stratégie de nettoyage efficace Au moment même où vous vous pensiez débarrassé des articles sur les groupes d'activation, en voici un autre ! Celui-ci expose quelques-unes des méthodes de suppression de groupes d'activation, particulièrement s'ils contiennent des programmes encore activés, et l'intérêt d'une méthode comparée à  une autre. Pour plus d'informations sur les groupes d'activation, voir les articles "ILE en action : les groupes d'activation ", NEWSMAGAZINE, mars 1997, et "Attention aux groupes d'activation", NEWSMAGAZINE, décembre 1998.

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Restaurer les fichiers effacés accidentellement

Restaurer les fichiers effacés accidentellement

par John Ruley
Cela arrive à  tout le monde tôt ou tard, mais effacer accidentellement un fichier est une des pires erreurs que l'on puisse faire. Récemment, j'ai fermé par erreur un document Word sans le sauvegarder et tout le travail que j'avais produit sur le fichier semblait avoir disparu. Mais le texte que j'avais passé 2 heures à  écrire n'était pas complètement perdu. J'ai pu utiliser quelques outils pour rechercher et restituer les données.Le processus de recherche et de restauration des données perdues par erreur m'a pris un bon moment : j'ai ramé pendant 4 heures pour restaurer 2 heures de travail. Pourtant, j'y ai passé autant de temps parce que je pensais écrire sur cette expérience pour en faire profiter d'autres personnes en situation identique d'une part, et parce que j'étais très content de ma prose dans le document que j'avais effacé par erreur. J'aurais certes pu produire de nouveau un document équivalent en 2 heures, mais le texte de remplacement n'aurait pas été aussi bon que le premier.

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Peut-on vivre sans Active Directory ?

Peut-on vivre sans Active Directory ?

par Mark Minasi
Si vous n'avez pas encore entamé votre migration vers Active Directory (AD), vous n'êtes pas seuls. Les entreprises semblent actuellement se poser la question suivante : « Nous voulons bénéficier de toutes les fonctions améliorées de Windows 2000, et nous irons vers AD, mais la mise en oeuvre d'Active Directory semble être une première marche bien haute à  franchir dans le déploiement de Windows 2000. Que se passerait-il si nous procédions au déploiement de Windows 2000 sur les postes de travail et sur les serveurs membres et que nous attendions pour déployer AD plus tard ? Que perdrions-nous à  cela ? »

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Optimiser les performances batch de l’AS/400, 2e partie

Optimiser les performances batch de l’AS/400, 2e partie

par Rick Turner
Il faut structurer les applications et optimiser l'environnement d'exécution batch pour obtenir une efficacité maximale Dans le précédent numéro de SYSTEMS Journal, nous avons vu plusieurs méthodes permettant d'améliorer les performances du traitement base de données du batch. Poursuivons cette discussion, et examinons d'autres possibilités.

SMP peut faire gagner énormément de temps

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Windows 2000 Datacenter Server : une démarche nouvelle chez Microsoft

Windows 2000 Datacenter Server : une démarche nouvelle chez Microsoft

par Christophe Boulan
Avec Windows 2000 DataCenter, Microsoft entend jouer dans la cours des grands d'où le narguaient jusqu'à  présent les systèmes mainframes, les grands UNIX et les AS/400. Mais pour cela, il ne suffit pas de créer un Windows 2000 plus puissant. Microsoft a du revoir notamment ses systèmes de certification et son approche des services de support afin de répondre aux besoins des applications stratégiques des grands comptes. Une véritable révolution culturelle pour Microsoft.
à‡a y est ! Microsoft a désormais lancé toute la famille Windows 2000 32-bit avec la sortie de Windows 2000 Datacenter Server. Datacenter s'appuie sur les fonctions de Windows 2000 Advanced Server, auxquels s'ajoutent toutes les corrections de bugs du Service Pack 1, ainsi que le support de 64 GO de RAM, des processeurs 32-bit, du clustering à  2 et 4 noeuds, du partitionnement et de l'équilibrage de la charge réseau. Windows 2000 Datacenter est destiné aux entreprise engagées dans l'e-commerce, aux ASP (Application Service Providers) et autres clients haut de gamme à  le recherche de fiabilité et de disponibilité. Datacenter Server est la première véritable entrée légitime de Microsoft sur un marché dominé par les gros bras.

Longtemps, Microsoft s'est fait l'avocat d'un modèle d'entreprise du type de celui de Windows 2000 et Windows NT : distribué. Windows 2000 Datacenter associe les avantages de la montée en charge horizontale (par ajout de serveurs) de Windows 2000, avec un modèle plus traditionnel de croissance verticale - un gros serveur avec de fortes capacités d'évolution en multiprocesseur. Avec Datacenter, Microsoft espère gagner enfin la crédibilité qui lui est refusée depuis l'annonce initiale de Windows NT. (L'image de Windows NT a souffert de défauts et de limitations parfois véritables, parfois perçues.) Mais pour atteindre cet objectif, il ne suffit pas de construire un Windows 2000 plus gros. Pour répondre aux exigences de clients haut de gamme, dont bon nombre n'auraient certainement pas fait confiance à  Windows 2000 autrement, Microsoft a créé un programme de tests de fiabilité baptisé Windows 2000 Datacenter Program, pour s'assurer que Datacenter ne sera installé que sur des configurations intégralement testées et validées.

La clé du programme est le Hardware Compatibility Test (HCT) que chaque machine compatible Datacenter doit passer


La clé du programme est le Hardware Compatibility Test (HCT) que chaque machine compatible Datacenter doit passer. Dès lors qu'un matériel a passé cette batterie de tests rigoureux (voir l'encadré " HCT : une certification matérielle spécifique "), Microsoft certifie sa compatibilité avec Datacenter et le place sur la liste de compatibilité matérielle (HCL) de Windows 2000 Datacenter, disponible sur le site Web de Microsoft. De par la rigueur des tests pratiqués, les produits de la HCL de Datacenter ne sont qu'un sous-ensemble des HCL des autres versions de Windows 2000. Les systèmes Datacenter doivent garantir au moins 99,9 % de disponibilité et les constructeurs qui vendent de tels systèmes doivent fournir régulièrement à  Microsoft des rapports de disponibilité et autres statistiques. De plus, les systèmes Datacenter doivent pouvoir supporter au moins 8 processeurs, même s'il peuvent être livrés avec seulement 1 processeur. Le système de licences est basé sur le nombre de processeurs que le système peut supporter et il faut acquérir des licences d'accès client séparément.

Certes, Windows 2000 Datacenter semble en mesure de pouvoir résoudre bon nombre des problèmes de montée en charge non résolus par les grandes entreprises utilisant Windows 2000. Mais reste à  savoir si le produit pourra réussir sa percée sur ce marché haut de gamme. Il sera intéressant de voir quelle plate-forme les entreprises choisissent au fur et à  mesure que Windows 2000 monte en puissance.

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Dopez vos traitements de dates avec les champs nuls

Dopez vos traitements de dates avec les champs nuls

par David Robertson
La valeur "null" constitue un nouvel et puissant outil demanipulation de dates en RPG Depuis la V3R7, l'OS/400 accepte une nouvelle valeur pour les champs d'une base de données : null. En vous offrant un moyen solide et élégant de traiter de futures dates, cette valeur facilite l'utilisation pratique du type de donnée date. Dans cet article, j'expose différentes raisons d'utiliser une date nulle, montre comment définir des dates nulles et explique comment les traiter dans des fichiers logiques, des DFU (Data File Utility), des requêtes et le langage RPG IV.

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Premier de cordée

Premier de cordée

par Samy Mosimann
En quelques années, le Groupe Mutuel s'est hissé au premier rang des assureurs maladie de Suisse romande. Son ascension mérite que l'on s'y arrête.

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Un regard neuf sur CODE/400

Un regard neuf sur CODE/400

par Sharon L. Hoffman
CODE/400 a évolué tranquillement, pour devenir un puissant outil de développement AS/400 La plupart des programmeurs AS/400 continue de développer du code en se servant d'outils conçus pour les écrans passifs, notamment SEU et SDA.
Ces outils leurs sont familiers; ils sont disponibles sur tous les systèmes de développement, et ils remplissent parfaitement bien leur rôle. Même si
l'affirmation est exacte, la recherche d'autres outils peut s'avérer judicieuse. En 1988, lorsque IBM a lancé l'AS/400, ses outils de programmation
destinés à  des écrans passifs faisaient partie du haut de gamme. Mais les temps changent. Les programmeurs AS/400 se tournant vers de nouvelles
méthodes de développement comme Java, de nouveaux outils de programmation deviennent indispensables. Ce besoin débouche sur la motivation de
réévaluer également les outils de programmation utilisés pour les développements classiques.
Lorsque j'ai commencé à  travailler fréquemment avec Java, j'ai décidé d'utiliser un simple éditeur de texte plutôt que l'un des IDE (Integrated
Development Environments), comme JBuilder d'Inprise ou VisualAge for Java d'IBM. Un candidat évident m'est immédiatement venu à  l'esprit :
CODE/400 d'IBM (parmi les alternatives possibles, citons entre autres Flex/Edit d'Aldon).
CODE/400 présente de nombreux avantages par rapport à  un éditeur de texte générique pour PC, tel que le Bloc Notes. En effet, CODE/400 inclut des
fonctions de suggestion et de vérification syntaxique pour tous les langages qu'one st susceptible d'utiliser. De ce fait, il n'y a pas besoin d'apprendre à 
utiliser plusieurs outils. Il prend également en charge les lignes de commande SEU, ce qui raccourcit la courbe d'apprentissage. En outre, IBM fournit
gracieusement une version de démonstration avec des restrictions minimes et pouvant être téléchargée, ce qui permet de tester soigneusement CODE/400 avant d'acheter la version complète. (Pour de plus amples informations sur les restrictions de la version de démo et les sites de téléchargement, voir l'encadré "Démo CODE/400").
Lorsqu'IBM a lancé CODE/400, en 1992, j'ai étudié le produit et en l'ai plutôt écarté.
En effet, bien que surprenante, la version initiale de CODE/400 avait deux défauts majeurs : elle n'était disponible que sous OS/2 et elle était excessivement onéreuse. Lorsque la version Windows a été mise sur le marché, quelques années plus tard, ces défauts étaient toujours présents : trop cher et bien que tournant sous Windows, toujours le "look and feel" OS/2.
Cependant, lorsqu'à  la mi-97 j'ai assisté à  une démonstration des nouvelles possibilités du produit, j'ai dû revoir ma première impression. Depuis lors, IBM a même rajouté de nouvelles fonctions à  CODE/400. En outre, une nouvelle version est attendue au courant de cette année.

Si vous n'avez pas suivi l'évolution de CODE/400 récemment, vous y trouverez un intérêt. Pour vous aider à  le maîtriser, j'en présente ici brièvement les fonctions et les caractéristiques, et signale également certaines astuces permettant de gagner du temps, et les défauts que j'ai découvert.
Je vous recommande vivement d'assister à  une démonstration ou à  un atelier CODE/400 si vous en avez l'opportunité. CODE/400 est si différent des outils pour écrans passifs bien connus de la majorité des programmeurs AS/400 qu'il faut le voir en action pour se rendre compte de ses qualités. (Pour une la liste des ressources complémentaires traitant de CODE/400, consultez l'encadré "Autres ressources").

Lorsqu'à  la mi-97 j'ai assisté à  une démonstration du produit, j'ai dû revoir ma première impression

Démo CODE/400

On peut télécharger des versions d'évaluation de VisualAge RPG (VARPG) et de CODE/400 ainsi que les instructions sur le téléchargement et l'installation du code depuis le site Web d'IBM, à  l'adresse http://www

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