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Les utilisateurs adorent Windows 2000

Les utilisateurs adorent Windows 2000

par Barrie Sosinsky
Notre confrère américain Windows 2000 Magazine a récemment sondé ses lecteurs sur leur opinion vis-à -vis de Windows 2000 Professionnel comme OS d'ordinateur portable et l'utilisation qu'ils en faisaient. Le message est clair : ils adorent Windows 2000 Pro et la plupart, tout domaine d'activité confondu entendent augmenter sensiblement leur utilisation de Windows 2000 sur les portables.

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Comment manipuler ses données à  distance

Comment manipuler ses données à  distance

Par Sabine Terrey
La société Pourkoipa, créée en 1989, appartient à  100% au groupe Danel, le leader des imprimés de gestion en Europe. Les activités de Pourkoipa couvrent trois domaines bien précis : l'impression numérique, le prépresse, le multimédia. Il faut toutefois noter que depuis novembre 2000, le volet multimédia fait désormais partie intégrante d'une seule et unique société : C-sium. Cette SSII orientée Internet appartient au groupe Danel et au groupe Staci. C-sium compte aujourd'hui 50 collaborateurs, et propose une activité de front office orientée Web, et une activité back office orientée SAP.

Il s'agissait en quelque sorte de connecter des systèmes d'informations hétérogènes et de s'attacher ensuite à  la migration en elle-même

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Intel, AMD et les processeurs 64 bit

Intel, AMD et les processeurs 64 bit

par Michael Otey
Prolongeant leur rivalité dans le domaine des puces 32 bit à  la prochaine génération informatique, Intel et AMD prévoient de sortir de nouveaux processeurs 64 bits compatibles x86 en 2001. Mais les deux grands rivaux ont adopté des voies différentes pour leurs prochaines générations de processeurs. Tout comme le bond en avant de puissance obtenu lorsque la plate-forme PC a évolué pour passer du processeur 286 à  16 bits au 386 à  32 bits, le saut au 64 bits promet de faire grimper la technologie PC vers de nouveaux sommets dans l'entreprise. Certes les processeurs 64 bits ne feront pas se calculer plus vite les tableaux Excel, ni tourner plus vite la plupart des autres applications. Mais les nouveaux processeurs répondront à  l'éternel besoin d'augmentation de la puissance du processeur qu'exprime l'informatique haut de gamme. Ce sont les stations graphiques haut de gamme et les grands systèmes de bases de données, tels que Microsoft SQL Server et Oracle, qui bénéficieront le plus directement des nouveaux processeurs. Les sociétés .com (prononcer " dot com ") et le nombre croissant d'applications d'aide à  la décision et de data warehouse sont généralement les forces motrices à  l'origine de la croissance massive des bases de données. Ces applications tireront moins parti des augmentations de vitesse brute des processeurs, que d'une plus grande capacité d'adressage de la mémoire. Les applications de bases de données en particulier sont terriblement gourmandes en RAM. Elles sont d'autant plus performantes qu'elles ont de la mémoire.

L'actuelle génération de processeurs 32 bits peut traiter en natif jusqu'à  4 Go (232 octets) de données. Sur ces 4 Go adressables, Windows 2000 Server réserve 2 Go de stockage pour son propre usage et en laisse 2 pour les applications. L'architecture EMA (Enterprise Management Architecture), que supportent Windows 2000 Advanced Server et Windows 2000 Datacenter, fournit deux méthodes pour étendre la quantité de RAM disponible pour les applications : 4 GT (4 GB RAM Tuning) et PAE (Physical Address Extension). 4 GT ajoute le commutateur /3GB au chemin ARC (Advanced RISC Computing) dans le fichier boot.ini pour permettre aux applications de gérer jusqu'à  3 Go de RAM. PAE utilise une fenêtre pour mapper des tranches de mémoire physique à  l'espace d'adressage virtuel d'une application et étendre la capacité d'adressage de la mémoire physique à  8 Go sur Windows 2000 Advanced Server et à  64 Go sur Windows 2000 Datacenter Server. (Pour en savoir plus sur le support EMA de Datacenter, voir l'article de Gregg Todd " Windows 2000 DataCenter : Microsoft vise la cours des grands ").
Les futurs processeurs 64 bits vont étendre considérablement la quantité de mémoire physique adressable disponible pour les systèmes haut de gamme. Les processeurs 64 bits d'Intel et AMD mettront la barre très haut, atteignant 16 exaoctets (EO), soit environ 18 milliards de gigaoctets (264 octets) - plus qu'il n'en faut, même pour les applications les plus massives d'aujourd'hui.

Les processeurs 64 bits ont en fait deux fonctions importantes. Outre la capacité d'utiliser 64 bits pour définir une adresse en mémoire, ils peuvent manipuler 64 bits de données simultanément. Etant donné que la capacité de manipuler 64 bits de données à  la fois dépend plus de la structure des bus que des processeurs, la tendance vers le traitement 64 bits va de pair avec d'importants progrès en matière de technologie des bus système.

Bien que partageant clairement un objectif commun, Intel et AMD ont choisi des chemins très différents pour atteindre leur destination

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Etablir des règles : le secret d’une parfaite intégrité

Etablir des règles : le secret d’une parfaite intégrité

par Carol Woodbury
S'assurer l'intégrité de ses collaborateurs et fournisseurs à  travers une politique de sécurités d'entreprise claire Avez-vous déjà  joué à  un jeu de cartes sans en connaître toutes les règles ? Le jeu commence, et soudain un joueur avance une carte qu'un autre considère comme interdite. Il s'ensuit une discussion houleuse pour déterminer celui qui a raison. Le jeu se termine souvent prématurément, et personne ne s'est amusé. Pour ma part, je préfère jouer à  un jeu de cartes dont tous les joueurs connaissent les règles. En sachant à  quoi s'attendre, on évite les discussions, et tout un chacun a les éléments pour gagner.

Gérer une entreprise sans politique de sécurité revient à  jouer à  un jeu de cartes dont personne ne connaîtrait les règles. Tout se passe peut-être bien au début, mais qu'advient-t-il si par exemple l'administrateur Web autorise des téléchargements FTP dans les deux sens, vers et à  partir du serveur Web ? Le responsable de la sécurité réprimandera l'administrateur Web. Sans une réelle politique de sécurité, rien ne permet de déterminer si les règles de la société permettent de faire des téléchargements vers le serveur Web. La querelle éclate, les esprits s'échauffent, l'administrateur Web estime que c'est à  lui d'autoriser les téléchargements vers le serveur Web. L'administrateur de sécurité pense au contraire que c'est de son ressort. Qui a raison ?

Une politique de sécurité est un document vital pour l'entreprise

Une politique de sécurité est un document vital pour l'entreprise. Il liste les règles et procédures de mise en oeuvre des sécurités. La conception de cette politique de sécurité d'entreprise est un acte de gestion primordial, tout aussi important que la politique salariale. Une fois la politique mise en place, il est possible d'analyser une proposition de nouveaux procédés ou méthodes, et de voir si elle s'inscrit dans les règles. Une politique de sécurité peut ainsi régler les différends et éviter des luttes de pouvoir.

La politique de sécurité présente un autre avantage : elle aide à  conserver la " mémoire de l'entreprise ". La rotation du personnel peut faire des ravages dans un service informatique si personne n'a répertorié les politiques et procédures en vigueur. Enfin, une politique de sécurité fournira une documentation officielle s'il fallait un jour avoir recours à  la justice pour non-respect des règles.

On peut rassembler toutes les politiques de sécurité dans un même document ou bien créer un document couvrant les politiques de sécurité générales et lui adjoindre des annexes décrivant les règles propres à  chaque système d'exploitation comme l'OS/400 et AIX.

Il n'existe pas de politique de sécurité unique convenant à  toutes les entreprises

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Le Service Pack 1 de Windows 2000

Le Service Pack 1 de Windows 2000

par Paul Thurrott
Microsoft a récemment sorti le Service Pack 1 de Windows 2000, une première collection complète (63 Mo de données) de correctifs de bugs pour Windows 2000 Professionnel, Windows 2000 Server, et Windows 2000 Advanced Server. La version Datacenter Server, sortie quant à  elle en même temps que le SP1, intègre déjà  les correctifs de ce dernier. Compte tenu de l'attention des entreprises pour le Service Pack 1 et du nombre de clients qui attendent le premier Service Pack pour upgrader vers Windows 2000, la sortie de cette mise à  jour devrait provoquer une nouvelle vague d'adoptions de Windows 2000 par les entreprises.

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Les composants d’un système à  haute disponibilité

Les composants d’un système à  haute disponibilité

par David Chernicoff
Les médias foisonnent d'informations sur les technologies matérielles et logicielles permettant aux serveurs d'atteindre les tout derniers progrès en matière de performances - à  savoir 99,999 pour cent de temps de bon fonctionnement du matériel et des applications, ce qui n'est pas rien. Car passer ne serait-ce que de 98 à  99 pour cent de temps de bon fonctionnement implique déjà  un accroissement important des coûts de matériels et de logiciels. C'est dire si ce cinquième neuf en plus va occasionner une augmentation de coût exponentielle ! Fort heureusement, rares sont les applications nécessitant un tel pourcentage (cinq neuf) de bon fonctionnement. La plupart des administrateurs réseaux se contenteraient de deux neuf (c'est-à -dire 99 pour cent de temps de bon fonctionnement), ce qui est beaucoup plus facile à  atteindre. Dans tous les cas, qu'il s'agisse d'une plate-forme serveur Windows 2000 ou Windows NT 4.0, il faut, pour mettre en place une base solide pour des serveurs fiables prendre un certain nombre de décisions spécifiques sur les logiciels serveurs, et sur l'achat et le déploiement des matériels serveurs.

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Réussir les montées en charge

Réussir les montées en charge

par David Chernicoff
La montée en charge des systèmes est un sujet qui tend à  énerver les administrateurs système. Est-ce que quiconque fait vraiment évoluer un système dans les environnements de production ? Les entreprises considèrent-elles réellement les possibilités d'upgrade des systèmes comme autre chose qu'une simple ligne dans une check-list d'acquisition des machines ? Que font les administrateurs système lorsqu'un serveur ne peut plus répondre aux besoins des utilisateurs ?

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En attendant le Web…

En attendant le Web…

De nombreux sites envisagent la mise en oeuvre de fonctions Web sur l'AS/400 - dès qu'ils auront bouclé leurs projets An 2000.

Vous connaissez probablement des gens qui "pour faire comme le voisin", achètent le dernier article à la mode. Le spécialiste AS/400 que vous êtes se demande-t-il parfois comment son site se situe par rapport aux autres? Votre équipe AS/400 est-elle à la pointe de l'innovation, ou votre société est-elle timorée face aux évolutions technologiques?

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Composants : le jeu en vaut-il la chandelle ?

Composants : le jeu en vaut-il la chandelle ?

par Cheryl Ross
Les développeurs se jettent à  corps perdu dans les composants côté client. Mais nombreux sont ceux qui attendent encore que les composants middlewares tiennent leurs promesses. A première vue, le principe des composants semble être la panacée pour résoudre les soucis quotidiens du développeur, tels que les délais de mise en production et la difficulté à  gérer le code. A l'instar de briques de Lego, les composants s'assemblent rapidement et simplement pour permettre aux développeurs de construire et de maintenir rapidement des applications de gestion. Toutefois, à  l'inverse des composants côté client tels les ActiveX et les JavaBeans, qui ont réussi à  fédérer un soutien non négligeable en leur faveur, les développeurs ne se pressent pas vers les composants distribués côté serveur. Ces derniers se révèlent notoirement plus difficiles à  mettre en oeuvre. L'apparition d'un nouveau modèle de composants middlewares dans l'univers de l'informatique distribuée risque de changer sous peu cet état de fait.

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Dilemme : augmenter les effectifs ou les performances machine ?

Dilemme : augmenter les effectifs ou les performances machine ?

par Isabelle Nougier
La société Maurin ne pourrait aujourd'hui plus se passer des produits qui lui ont permis d'absorber un doublement de ses effectifs globaux sans avoir à  augmenter les effectifs de son Service Informatique.Créé en 1871 par Emile Maurin et implanté à  Lyon depuis cette même date, le Groupe Maurin est aujourd'hui l'un des plus grands fournisseurs industriels du pays. Il est dirigé aujourd'hui par la 4ème et la 5ème génération de Maurin (ce qui constitue l'une des fiertés du Groupe), et s'organise autour de 2 sociétés d'exploitation, Emile Maurin et Michaud Chailly, réparties sur 18 sites dispersés sur tout le territoire français.
Le service informatique est quant à  lui centralisé à  Lyon. Il jouit d'une forte culture IBM, et les S/36 des débuts n'ont été remplacés par un AS/400 unique qu'en 1994. Actuellement le matériel se compose d'un AS/400 modèle 620 avec plus de 250 terminaux et une centaine de PC. N'ayant pas succombé aux sirènes des ERP, qu'elle n'exclut toutefois pas d'adopter un jour, la société utilise aujourd'hui un logiciel de gestion issu de l'IBM S/36, développé en interne et modifié pour le passage à  l'an 2000. On notera au passage que la société est déjà  prête pour l'Euro !
40000 dossiers clients et 23000 factures sont traités par mois, 300 personnes sont connectées en permanence , 6 jours sur 7, autant dire que l'informatique est un élément vital pour la société qui se verrait paralysée en cas de rupture de service.

La société ayant doublé ses effectifs et son chiffre d'affaire, il fallait optimiser les performances de l'existant

La société ayant doublé ses effectifs et son chiffre d'affaire en 4 ans, il fallait, pour que l'informatique s'adapte à  cette montée en charge, soit envisager une augmentation de ses propres effectifs (qui étaient et sont toujours de 10 personnes dont 7 au développement, une à  l'exploitation, une pour la micro et une assistante), soit adopter des solutions permettant d'optimiser les performances du matériel existant. C'est la deuxième solution qui a été retenue.
Il fallait donc limiter les pertes de temps dues à  d'éventuels bogues, optimiser les performances de la machine, gérer les pointes d'activité, et assister 2 fois plus d'utilisateurs qu'auparavant ; l'ensemble de ce cahier des charges paraissait satisfait par les solutions logicielles de la société Tango/04. Le Groupe Maurin s'est alors muni de plusieurs modules de la solution VISUAL Control Center de chez Tango/04, à  savoir VISUAL Support Pro, VISUAL Control for Windows, VISUAL Control for pools et VISUAL Control for jobs. Ces modules ont permis d'augmenter considérablement l'efficacité de la gestion de tous les problèmes utilisateurs, et ont permis de d'optimiser les performances de l'AS/400. L'ensemble de ces modules a très vite été complété par Bug Detector, un autre produit Tango/04, permettant le monitoring automatique des messages.

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Mettre en oeuvre Active Directory

Mettre en oeuvre Active Directory

par Darren Mar-Elia
On ne compte plus les articles, les livres blancs et les ouvrages mettant l'accent sur l'importance d'une bonne planification avant la mise en oeuvre d'Active Directory (AD) dans votre infrastructure. Car il ne faut pas s'imaginer qu'AD n'est qu'un changement mineur aux domaines Windows NT 4.0 existant, sous peine de se réserver une surprise très désagréable. Un service d'annuaire comme AD augmente significativement à  la fois les possibilités d'administration et la complexité de l'infrastructure d'un réseau. Loin d'être une simple extension des domaines NT 4.0, AD offre des fonctions telles que l'administration déléguée et la gestion des ordinateurs basée sur les stratégies de groupe. Il pourrait même servir de plate-forme critique pour développer des applications utilisant l'annuaire. Il est non seulement crucial, mais indispensable de bien mettre en oeuvre cette infrastructure. Nous allons donc examiner un certain nombre d'aspects techniques et de difficultés, posés par la planification d'une mise en oeuvre d'AD, depuis la création de l'espace de noms jusqu'à  la conception d'une topologie de duplication.

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CVTSPLSTMF : pour que les spoules soient encore plus simples

CVTSPLSTMF : pour que les spoules soient encore plus simples

par Peter Clifford
De nouveaux paramètres rendent cet utilitaire de publication de rapports AS/400 encore plus polyvalent Dans un précédent article, " CVTSPLSTMF facilite les spoules ", NEWSMAGAZINE, octobre 2000, j'expliquais comment ma commande CVTSPLSTMF (Convert Spooled File to Stream File) pouvait aider à  publier des rapports AS/400 classiques dans les formats suivants : texte ASCII, HTML ou PDF (Portable Document Format) Adobe. Cet article a suscité des messages électroniques aussi nombreux qu'agréables, mais certains lecteurs ont relevé quelques soucis et limitations de CVTSPLSTMF.

Nombreux sont notamment ceux qui ont subi une corruption des sources de programmes pendant le téléchargement ou l'installation. Ceux qui ont eu du mal à  lire les fichiers PDF ou HTML créés par la commande CVTSPLSTMF, les indications figurant dans l'encadré " Corriger la corruption de la source de CVTSPLSTMF " pourront aider à  détecter et à  corriger ce problème.

Même si ma description originale de l'utilitaire évoquait clairement ses limitations, ces lacunes ont agacé certains lecteurs, suscitant cette nouvelle version de CVTSPLSTMF.
Ainsi, l'option permettant de convertir des rapports en PDF traite désormais correctement de larges rapports et des formats de page autres que A4 à  l'italienne.
La commande est aussi accompagnée d'un texte d'aide, grâce à  Jeff Kinzer.

On peut télécharger la nouvelle version de CVTSPLSTMF depuis le site Web de Systems Journal, à  l'adresse http://www.mysystemsjournal.com. Cet article résume certaines modifications, sans montrer le nouveau code. Important : pour le téléchargement du source en format PC ZIP, il faut lire ma mise en garde concernant la corruption du code source dans l'encadré " Corriger la corruption du source de CVTSPLSTMF ".

Corriger la corruption du source de CVTSPLSTMF

Si l'on a du mal à  ouvrir les fichiers PDF et HTML créés à  l'aide de CVTSPLSTMF, il est probable que le source à  partir duquel les programmes RPG ont été compilés, ait été corrompu pendant le téléchargement. PDF et HTML utilisent tous deux des caractères de contrôle spéciaux : des quotes dans PDF, et des parenthèses angulaires en HTML. Malheureusement, il y a un risque de traduction incorrecte de ces caractères quand on déplace le source entre PC et AS/400 (conversion ASCII-EBCDIC) ou entre AS/400 (conversion CCSID).
Pour vérifier la présence de ce problème, il faut ouvrir le source du programme ILE RPG dans SEU et regarder la ligne contenant la phrase :

/PDF /Text

Cette ligne doit apparaître ainsi :

CALLP WritePDF('[/PDF /Text]')

Autrement dit, la phrase /PDF /Text doit se trouver entre quotes. S'il y a autre chose qu'une paire de quote (un signe pourcent et un point d'exclamation, par exemple), le source a été corrompu.
On peut corriger ce problème de deux manières. On peut remplacer les caractères incriminés par les bons, en effectuant un scan/replace de tout le source du programme puis en recompilant. On peut également télécharger à  nouveau les programmes depuis http://www.mysystemsjournal.com. Je conseille de télécharger les programmes déjà  compilés dans un fichier de sauvegarde, on évitera ainsi très probablement le problème de mauvaise traduction du source.
PC

Les fonctions de CVTSPLSTMF ont été améliorées par l'ajout de paramètres

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Les Bugbusters de Rochester

Les Bugbusters de Rochester

par Joanna Moore
A Rochester, une armée de clients en bêta-test traque les imperfections dans le nouveau matériel et logiciel avant que l'utilisateur final ne les découvre.

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Protocoles de sécurité : un état des lieux

Protocoles de sécurité : un état des lieux

par Mel Beckman
Sécurisez vos transactions électroniques en suivant de près l'évolution des protocoles de sécurité du commerce électronique Lorsque le protocole SSL (Secure Sockets Layer) est arrivé sur le marché il y a 6 ans, les experts y ont vu la solution au problème de sécurité du commerce électronique. Et il est vrai que SSL a beaucoup contribué à  rassurer les internautes utilisant leurs numéros de cartes de crédit pour les achats en ligne, faisant ainsi exploser les ventes grand public sur le Web. SSL remplit bien sa fonction de cryptage des données circulant entre l'acheteur et le vendeur, pour déjouer l'interception par les voleurs des informations contenues sur les cartes de crédit.

Si la sécurité du commerce électronique se limitait à  cela, SSL aurait donc résolu la totalité des problèmes. Mais si la protection des numéros de cartes de crédit et d'autres informations sensibles dans les transactions HTTP est le problème le plus visible, ce n'est que le sommet de l'iceberg. Toutes les composantes d'une transaction de paiement électronique ne passent pas par HTTP. Le vendeur peut utiliser d'autres protocoles (courrier électronique, FTP (File Transfer Protocol), LDAP (Lightweight Directory Access Protocol) par exemple) comme moyen de règlement et pour s'assurer que l'argent aboutit bien dans son compte en banque. Une fois le numéro de carte de crédit reçu par le vendeur, il faut valider le numéro, faire approuver l'achat par l'organisme émetteur de la carte, et débiter l'organisme financier de l'acheteur (figure 1).
L'ensemble du processus de transaction n'a pas de protection standard. Pis encore, une faille du dispositif de sécurité peut intervenir dans l'une des étapes suivant la commande HTTP sans que l'acheteur n'en ait connaissance. Les acheteurs en ligne se croient donc plus en sécurité qu'ils ne le sont réellement.

Heureusement, les standards des protocoles Internet sont en train de changer pour combler ces lacunes en matière de sécurité. Malheureusement, ils ne changent pas assez vite et aucun standard de sécurité à  lui seul ne répond aujourd'hui à  tous les besoins. SSL est en train de devenir un transport multiprotocoles et a été rebaptisé TLS (Transport Layer Security) mais son adaptation au cryptage autre que HTTP pose des problèmes. L'autre principal protocole de sécurité, SET (Secure Electronic Transactions), est très efficace mais tellement lourd à  mettre en oeuvre que peu d'entreprises l'utilisent.

Pour arriver à  une bonne sécurité des transactions, il est important de bien comprendre les avantages et les limites de chaque protocole. De plus, une petite connaissance de l'historique de chaque protocole donne un peu plus d'éclairage et peut aider à  choisir le cryptage le mieux adapté au commerce électronique. Enfin, il est bon de savoir ce que l'AS/400 propose dans ce domaine.

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Objectif: 100% Linux en 2005

Objectif: 100% Linux en 2005

par Isabelle Nougier
Linux constitue aujourd'hui une priorité au sein du département Informatique du Ministère de la Culture, le DOSI (Département de l'Organisation et des Systèmes d'Information). En effet, l'objectif fixé à  l'horizon 2005 vise l'intégration de Linux à  l'ensemble de tous les serveurs de ses 200 sites.

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Les 4 facteurs clés des performances d’Exchange Server

Les 4 facteurs clés des performances d’Exchange Server

par Paul Robichaux
Dans les chaînes de restauration rapide, il est généralement possible de commander un menu « plus ». Le principe est simple : vous obtenez plus de nourriture pour une somme supplémentaire symbolique. Pourquoi ne pas appliquer cette logique à  notre marché ? Imaginez la conversation suivante entre vous et votre fournisseur de systèmes :

Vous : " J'aimerais acquérir un serveur bi-processeur Pentium III Xeon avec 512 Mo de RAM et un disque de 9 Go s'il vous plait. "

Le constructeur : " Désirez-vous essayer notre serveur super spécial de la semaine ? Pour seulement 100 Francs de plus, vous obtenez une grappe RAID 5 de 3 disques de 18 Go et une copie gratuite de Quake III ? "

Si seulement il était possible d'acquérir des systèmes Exchange Server de cette façon… Une des raisons pour lesquelles il est si difficile de maximiser les performances d'Exchange Server, est qu'il est très difficile d'isoler un unique facteur qui, à  lui seul, est en mesure de modifier sensiblement les performances. De nombreuses personnes pensent que les performances d'un ordinateur dépendent exclusivement de la vitesse d'horloge de son processeur ? à  l'ancienne époque, lorsqu'un processeur 8086 cadencé à  4 MHz était considéré comme puissant, cette conviction était peut-être vraie. Mais avec les ordinateurs et les systèmes d'exploitation actuels, les performances dépendent généralement de 4 ressources - la CPU, la mémoire, le sous-système de disques et le réseau - et de la façon dont les applications d'un ordinateur cible utilisent ces ressources. En comprenant ces ressources et processus, on peut apprendre comment booster chacune des ressources (et donc les performances qu'on peut en obtenir) pour en tirer l'efficacité maximum.

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ISA Server : le proxy pare-feu de Windows 2000

ISA Server : le proxy pare-feu de Windows 2000

par Sean Daily
Avec Proxy Server 1.0, Microsoft faisait sa première incursion dans deux nouveaux marchés alors balbutiants : la sécurité Internet et l'accès rapide au Web. Bien que n'assurant que des fonctions de sécurité de base et ne supportant pas plusieurs protocoles Internet répandus, la version initiale de Proxy Server connut un rapide succès parmi les organisations basées sur NT qui avaient besoin d'un contrôle d'accès des utilisateurs aux services Internet, d'une fonctionnalité de pare-feu Internet et de l'accès rapide au Web.Dans Proxy Server 2.0, Microsoft a remédié à  plusieurs défauts de la première version en incluant la possibilité de contrôler le trafic entrant et sortant et en ajoutant le support d'un plus grand éventail de protocoles Internet et d'applications pour les clients supportant les proxy. Microsoft a également amélioré les fonctionnalités de sécurité du produit pour inclure une fonction sophistiquée de filtrage de paquets qui permet aux administrateurs de définir et de contrôler le flux de types de trafic spécifiques à  travers le système Proxy Server. Pour beaucoup de grandes organisations, les principaux avantages de Proxy Server sont la capacité de s'appuyer sur la base de données des comptes d'utilisateurs NT pour contrôler l'accès des utilisateurs aux services Internet et la possibilité d'utiliser les fonctions de mise en mémoire cache pour optimiser les performances des connexions Internet. Mais malgré ses améliorations en matière de sécurité, il manque à  Proxy Server 2.0 beaucoup de fonctions assurées par les autres pare-feux. Les grandes organisations sont donc nombreuses à  douter de pouvoir en faire leur pare-feu primaire. Etre accepté comme produit de sécurité Internet autonome, tel était donc le défi à  relever pour Proxy Server. Microsoft a ainsi ciblé la prochaine version sur l'intégration des fonctions de sécurité qui font défaut à  Proxy Server 2.0 et s'est fixé comme objectif de remédier également à  un certain nombre d'autres inconvénients de Proxy Server 2.0, tels que l'absence de support de protocoles très répandus et l'obligation d'installer un logiciel sur le client pour l'accès à  Proxy Server. La phase Beta 1 et béta 2 de la lignée de Proxy Server 2.0 ont été baptisées Comet par Microsoft, mais la beta 3 porte le nom de Microsoft Internet Security and Acceleration (ISA) Server, qui exprime mieux les capacités du produit et sa cible : le marché des pare-feux Internet.

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Comment optimiser Net.Data avec JavaScript

Comment optimiser Net.Data avec JavaScript

par Jef Sutherland
Apprenez à  faire une validation de formulaires côté client et à  créer des formulaires de courrier électronique avec Net.Data et JavaScript Dans les articles “ Utilisation de formulaires HTML avec Net.Data ”, NEWSMAGAZINE, juin 1999 et “ Using RPG with Net.Data”, NEWS/400, mars 1999, nous avons vu comment utiliser Net.Data avec des programmes AS/400 et des formulaires HTML (Hypertext Markup Language) pour créer des pages Web interactives. Cet article s'intéresse à  l'utilisation du langage JavaScript avec les macros Net.Data et les formulaires HTML pour faire une validation de formulaires côté client et créer une formulaire de courrier électronique. Si Net.Data est une nouveauté pour vous, visitez la home page Net.Data d'IBM (http://www.as400.ibm.com/netdata) pour plus d'informations.

Au préalable, il est bon de définir quelques termes Java pour mieux comprendre où JavaScript s'inscrit dans la structure Java.

  • Java, comme vous ne l'ignorez certainement pas, est un langage de programmation évolué répandu, de Sun Microsystems, présent sur de nombreuses plates-formes dont l'AS/400.
  • Les applets Java sont des objets source Java compilés. On peut les exécuter comme programmes natifs ou intégrés dans un document HTML et exécutés dans un navigateur Java.
  • JavaScript est un langage de scripting orienté objet, développé par Netscape, qui s'exécute sur un navigateur pour offrir des fonctions améliorées n'existant pas en HTML standard. Ainsi, JavaScript peut accéder à  un navigateur, et le contrôler pour créer de nouvelles fenêtres, cadres et messages pop-up (comme le message d'erreur de l'exemple de macro Net.Data de cet article). JavaScript est fréquemment utilisé pour l'animation et le contrôle d'images sur des sites Web, ainsi qu'avec les “ cookies ”, de petits fragments d'informations sur l'utilisateur du Web, stockés sur l'ordinateur d'un client.

Le code JavaScript fait partie du document HTML et s'exécute côté client

Contrairement à  un programme CGI (Common Gateway Interface) ou une passerelle (Net.Data par exemple), qui s'exécute et est traité sur le serveur, le code JavaScript fait partie du document HTML et s'exécute côté client. JavaScript est une fonction avancée que certains navigateurs ne reconnaissent pas. Donc, assurez-vous que votre navigateur peut interpréter et exécuter ce langage de scripting. J'ai utilisé JavaScript avec les dernières versions de Netscape Navigator et de Microsoft Internet Explorer et ai constaté que les deux supportent certaines fonctions JavaScript de manière différente. D'où l'intérêt de tester vos documents HTML JavaScript avec différents navigateurs.

Comme JavaScript effectue le traitement côté client, les zones des formulaires HTML peuvent sauter la validation côté serveur, pour alléger l'application. Pour illustrer l'utilisation de JavaScript, nous verrons une macro Net.Data avec des formulaires HTML imbriqués et JavaScript (pour plus d'informations sur les formulaires HTML imbriqués, voir “ Utilisation de formulaires HTML avec Net.Data ”). La figure 1 montre la totalité du fichier de macros Net.Data de notre exemple. Le projet
  • utilise une macro Net.Data pour afficher un formulaire HTML comportant une zone de saisie de numéro de pièce (figure 2) ;
  • utilise une fonction JavaScript pour s'assurer de la saisie du numéro de pièce ;
  • utilise un programme AS/400 pour extraire des informations supplémentaires sur la pièce de l'AS/400 au moment de la saisie de son numéro (remarque : il n'est fait référence à  cette partie de l'application que dans le code source. Le code de cet article est purement illustratif et ne représente pas une application complète.) ;
  • affiche un second formulaire

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Attention! Méthode de Bugbuster

Attention! Méthode de Bugbuster

par Jeremy Likness
Les vrais professionnels analysent les problèmes de manière exhaustive avant de recourir au débogueur ILE. Les informaticiens professionnels chargés de repérer et d'éradiquer les bogues ont une priorité : éliminer les problèmes techniques aussi rapidement que possible. Par conséquent, ils ont tendance à  s'en remettre énormément au débogueur ILE RPG. Mais, éradiquer des bogues sur un AS/400 représente bien plus qu'une simple question de commodité. Une bonne stratégie de déboguage implique au moins une part d'analyse manuelle des données et/ou du code source afin de déterminer exactement comment un bogue a pu se glisser entre les mailles du filet. Il est également recommandé de conduire des opérations de suivi afin d'identifier et d'éliminer tout problème potentiel révélé par le processus de déboguage.

En adoptant une stratégie de déboguage exhaustive plutôt qu'une approche de type "le plus rapidement possible", on améliore sa maîtrise de l'AS/400 et de son environnement applicatif. Fort de cette expertise, lorsque vous utiliserez effectivement le débogueur, vous gagnerez énormément de temps. Pour une introduction au "code de conduite de l'exterminateur de bogues averti", consultez l'encadré "Critters 101".

Dans le présent article, je fournis une méthode de base pour le déboguage des systèmes, et présente plusieurs ressources importantes. Pour de plus amples renseignements sur le déboguage sur AS/400, consultez les articles "ILE à  l'oeuvre : le débogueur", NEWSMAGAZINE, octobre 1997 et "Le déboguage des batchs sans peine", NEWSMAGAZINE, mai 1997.

Les informaticiens professionnels ont tendance à  s'en remettre énormément au débogueur ILE RPG

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Pour un management informatique efficace

Pour un management informatique efficace

par Jeremy Likness
Apprenez à  constituer une équipe et à  maintenir sa productivité Dans l'univers sportif, les entraîneurs de football mettent à  la disposition de leurs joueurs d'une part des séances d'entraînement et une équipe d'encadrement, et d'autre part, ils leurs communiquent des stratégies ciblant l'objectif ultime, à  savoir : remporter la victoire.

Pour atteindre cet objectif, les joueurs assument leurs rôles respectifs, marquant des points ou bloquant les avancées de l'équipe adverse.

En raison des changements rapides dans les technologies de l'information, une équipe compétente et motivée est essentielle au succès et à  la croissance d'une entreprise. Aussi, les directeurs informatiques (entraîneurs dans l'univers informatique) doivent encourager leurs équipes afin de travailler à  un niveau optimal. Mais comment motiver une équipe pour qu'elle donne le meilleur d'elle-même ?

Voici quelques stratégies clés pouvant contribuer à  vous aider à  devenir un meilleur chef d'équipe informatique.

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