
Faire coexister Windows 2000 et Windows NT 4.0
par Paula Sharick
Il y a quelques mois, je me suis posé la question de savoir si Windows 2000 et
NT 4.0 pouvaient coexister. Après avoir testé un environnement mixte Windows 2000
et Windows NT 4.0, j'ai fait part de mes expériences et j'ai eu l'agréable surprise
de constater que les deux technologies fonctionnent bien ensemble. Vous envisagez
peut-être de migrer, mais vous avez besoin de quelques conseils ? Jetons donc
un coup d'oeil sur les raisons de migrer, les principales différences entre les
plates-formes et quelques astuces pour une migration en toute confiance.

Traduction des logiciels : vers une meilleure compréhension
par John Ghrist
Quel est l'un des plus grands obstacles aux ventes de logiciels américains sur
les marchés internationaux ? La langue, bien sûr. Bien que reconnu comme une langue
internationale, l'anglais n'est en fait pas aussi universel que cela.
Sur les marchés extérieurs aux pays anglo-saxons, les logiciels ne proposant que
des interfaces en anglais ont un net handicap, même s'ils s'agit d'applications
plus performantes, tout simplement parce que la plupart des utilisateurs demandent
une interface leur permettant de travailler dans leur propre langue.
Pour un éditeur anglo-saxon, la solution logique est donc de fournir une version
des produits les plus stratégiques dans les différentes langues. Mais trouver
les personnes compétentes pour traduire des supports techniques comme des interfaces
utilisateurs, des fichiers d'aide et de la documentation relève de la mission
impossible. Faut-il s'allouer les services de traducteurs en interne ? Faut-il
avoir recours à des services de traduction ? Ou encore utiliser un logiciel de
traduction ? Et une fois le choix effectué, comment mesurer l'impact et la qualité
du travail, des outils et des services de la solution retenue ?
Mapics, Inc. (et les sociétés l'ayant historiquement précédée) est venue à bout
de ce problème, en diffusant avec succès à l'étranger une solution de gestion
industrielle réputée sur AS/400.
Le produit a d'abord été traduit dans quelques-unes des langues européennes
vers le milieu des années 80
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L’administration de l’AS/400 avec SNMP
par Mel Beckman
Suivre les performances, les événements et les configurations à distance, en utilisant
SMNP (Simple Network Management Protocol)
La plupart des gens qui entendent parler de l'administration de l'AS/400 à distance
pensent immédiatement à OpsNav (Operations Navigator). Effectivement, OpsNav permet
d'effectuer à distance une large gamme de tâches administratives : reconfiguration
de l'OS/400, démarrage et arrêt des services, et manipulation des files d'attente
de jobs et d'imprimantes. Pourtant, si OpsNav est un excellent outil pour contrôler
un AS/400 à distance, ce n'est pas vraiment un outil d'administration à distance
si, par administration, on entend : suivre les performances, surveiller les valeurs
système sensibles et réagir à des événements imprévus. Pour vraiment administrer
ou gérer un système, il faut considérer son comportement vis à vis de l'ensemble
du réseau, y compris de nombreuses unités non-AS/400, comme des commutateurs LAN,
des routeurs et des serveurs Windows.
Il est clair qu'OpsNav ne se hisse pas à ce niveau. Heureusement, l'OS/400 supporte
le protocole d'administration à distance le plus répandu : SNMP (Simple Network
Management Protocol). C'est un standard ouvert, hétérogène, qui permet de collecter
des statistiques de performances, suivre des événements et contrôler des unités
à distance. Comme SNMP est ouvert, les développeurs de produits SNMP disposent
d'un marché qui dépasse largement les simples utilisateurs d'AS/400, d'où une
concurrence féroce entre les produits. Le vainqueur c'est vous : avec un large
éventail d'outils logiciels SNMP proposé. Entrons dans les arcanes de SNMP " générique
" et de SNMP sur l'AS/400, puis intéressons-nous à quelques produits SNMP.
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Améliorer SQL/400 avec des fonctions définies par l’utilisateur
par Michael Sansoterra
Les UDF permettent de créer une logique personnalisée et centralisée à l'intérieur
d'instructions SQL
SQL est un langage de requêtes puissant. Bien souvent, il peut extraire des données
et être codé plus rapidement qu'un programme en langage de haut niveau (HLL :
High-Level Language). Malheureusement, SQL/400 a toujours souffert d'une importante
lacune par rapport aux programmes HLL : il n'offrait pas la capacité de créer
une logique spécialisée et centralisée à l'intérieur d'instructions SQL. Avec
la V4R4, IBM y remédie par l'utilisation d'UDF (User-Defined Functions).
Les fonctions SQL se déclinent de 2 façons
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De gré ou de force, les constructeurs adoptent une stratégie Linux
par René Beretz
A l'heure de l'adoption de Linux en entreprise, la stratégie des constructeurs
informatiques évolue considérablement.
La stratégie des constructeurs informatiques envers les systèmes d'exploitation
a changé. Les systèmes propriétaires n'ont plus le vent en poupe et la plupart
des sociétés vantent les standards. Mais du discours à la réalité, il reste du
chemin à parcourir. Ne serait-ce que dans le monde Unix, il reste des différences
bien réelles et une concurrence effective entre AIX d'IBM, HP-UX de Hewlett-Packard
ou Solaris de Sun. Les constructeurs ont cependant sauté sans trop d'états d'âme
sur la vague Linux qui a rattrapé également les groupes de travail qui se préoccupent
de convergence d'Unix. Il est fort probable que l'avenir des différents Unix va
donc dépendre de cet outsider.
De fait, poussés par l'engouement des développeurs, les entreprises commencent
à adopter Linux et il devient donc essentiel pour les constructeurs d'être présents
sur ce créneau. En outre, il leur offre l'opportunité de se repositionner sur
le marché de l'éducation et sur certains marchés étrangers.
Les constructeurs ont cependant sauté sans trop d'états d'âme sur la vague
Linux
L'attitude des constructeurs oscille entre deux extrêmes : certains ont élaboré
une vraie stratégie Linux : ils ont adopté une attitude dynamique qui devance
le marché : c'est le cas, en particulier, d'IBM, de Hewlett-Packard et de Silicon
Graphics.
D'autres sociétés se contentent de proposer des solutions Linux pour répondre
aux attentes de leurs clients : c'est le cas de Compaq ou de Dell. Entre les deux,
Sun accompagne le mouvement tout en protégeant ses acquis.
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Mettre en place des stratégies d’accès distant
par Douglas Toombs
Il y a 5 ou 6 ans, deux grands acteurs s'affrontaient autour d'une proie alléchante,
baptisée « part de marché ». Celle qui remporterait la plus grosse part serait
adorée par les richissimes habitants consensuels d'un pays mystique répondant
au nom implacable de Wall Street. A l'époque cette part était entre les griffes
de Novell et Microsoft la convoitait.
Ceux de nos lecteurs qui fréquentent l'univers de l'informatique depuis suffisamment
longtemps pour se rappeler les premiers pas de Windows NT, savent que si Microsoft
a pu glisser un pied dans la porte (y compris de certains comptes Novell purs
et durs), c'est grâce à l'ajout à NT de services inexistants sur les autres plates-formes.
A l'époque, un de ces cadeaux gratuits les plus connus fut le service d'accès
à distance RAS. Ses concurrents les plus acharnés étaient les périphériques matériels
propriétaires et Novell NetWare Connect, mais leurs coûts de licences par port
étaient très élevés.
Windows NT s'est lentement infiltré dans les organisations en introduisant l'un
après l'autre des services gratuits répondant à des besoins spécifiques des consommateurs.
Malheureusement, bon nombre de ces " plus " n'ont pas atteint la même maturité
que Windows NT au fil des ans. Malgré quelques améliorations à chaque révision
du système d'exploitation, RAS s'est avéré insuffisant dans certains domaines
importants pour entreprises, en particulier pour ce qui est de gérer quel utilisateur
peut se connecter à un serveur RAS et à quel moment. Le RAS de NT n'est pas étranger
à la sécurité des domaines et aux stratégies de comptes, mais les administrateurs
veulent souvent pouvoir contrôler davantage les utilisateurs appelant de l'extérieur.
Pour répondre à leurs attentes, Microsoft a ajouté à Windows 2000 Server des stratégies
d'accès à distance que RAS peut appliquer aux connexions entrantes.

Qui veut un annuaire à 100 millions d’entrée ?
par Tony Redmond et Micky Balladelli
Tout le monde est conscient que la base de données SAM de Windows NT est un goulet d'étranglement pour les capacités d'évolution des domaines. En effet, la limite pratique de la SAM se situe à environ 40.000 comptes d'utilisateurs par domaine. Certaines entreprises, qui sont allées jusqu'aux limites supérieures de la SAM et ont créé de très grands domaines, ont constaté que ces derniers sont difficiles à gérer.Windows 2000 repose sur l'annuaire Active Directory (AD), qui est un référentiel des comptes d'utilisateurs et de nombreux autres types d'objets. On peut faire confiance à Microsoft pour ne pas répéter la même erreur une deuxième fois : AD est plus évolutif que la SAM. Mais jusqu'à quel point ? La question mérite d'être posée. Combien d'objets peut-on stocker dans un domaine, quelle est la taille de la base de données, est-elle administrable et quel type de performances peut-on attendre d'Active Directory ?
Pour le savoir, notre confrère américain Windows 2000 Magazine a créé une très grande base de données AD, dont ils ont démontré les capacités au Comdex de Las Vegas en novembre 1999 et lors du lancement de Windows 2000 à San Francisco en février 2000. Cette démonstration de l'évolutivité d'Active Directory montre que la base de données peut contenir 100 millions d'entrées dans un environnement de production réaliste. Avant d'expliquer comment la base de données de démonstration a été construite et de révéler ce que le processus de création a appris sur AD, revenons d'abord sur quelques principes de bases d'AD.

Utiliser des commandes Java dans le Qshell AS/400
par Dan Darnell
L'interpréteur
Qshell de l'AS/400 fournit un environnement permettant de saisir des commandes
Java et d'en visualiser les sorties
L'interpréteur QShell est l'un des éléments les plus importants ajoutés récemment à l'OS/400, en V4R2. Mais celui qui programme surtout en RPG ou en Cobol ne sait peut-être même pas que ce “ système dans le système ” existe. On peut utiliser QShell pour réaliser des tâches essentielles sur l'AS/400, comme la compilation et l'exécution de programmes Java. Etant donné que les environnements shell viennent du monde Unix, la plupart des “ vétérans ” de l'AS/400 trouveront leur utilisation et leur configuration non intuitives. Je me propose de vous familiariser avec la vie dans le shell, pour que vous utilisiez facilement le code Java et que vous compreniez mieux l'environnement qui constitue la base du support runtime Java de l'AS/400. Un coup d'oeil rapide à l'interface QShell et à une poignée d'outils Java intégrés sert d'introduction à l'environnement. Un prochain article expliquera quelques techniques pour maîtriser QShell.
QShell est l'un des éléments les plus importants ajoutés récemment à l'OS/400
Lire l'article
Optimisez vos techniques de lecture en boucle
par Jef Sutherland
Voici deux techniques de lecture en boucle que vous pourrez utiliser au quotidien dans vos programmes RPG.Cet article explique comment utiliser deux structures logiques de lecture en boucle dans une application RPG pour lire des enregistrements particuliers dans un fichier avec clé. Concrètement, dans une application RPG, on peut vouloir lire en boucle tous les enregistrements des ventes d'une certaine date, ou tous les articles appartenant à une certaine catégorie de produits. Avant de passer au RPG, voyons les fichiers avec clé, et comment déterminer si les fichiers physiques et logiques de l'AS/400 en comportent.

12 règles pour les gens ordinaires
par Roger PenceDans son nouveau livre, au titre résolument inspiré par le Web : Business@the Speed of Thought (Le travail à la vitesse de la pensée, Robert Laffont, pour l'édition française), Bill Gates énonce ses 12 règles pour réussir à l'âge du numérique. Quelqu'un qui possède 60 ou 70 milliards de dollars dans son escarcelle et élève ses propres saumons, peut-il fixer des règles pratiques utilisables par le reste d'entre nous ? Non, bien entendu. Permettez-moi d'énoncer modestement mes 12 règles pour les ateliers AS/400, à l'approche de l'âge du numérique
Lire l'article
Mettre Exchange 2000 en Cluster, quelques règles d’or
par Jerry Cochran
Dans la première partie de cet article, nous avons décri les concepts de base
du service de clustering de Windows 2000, ainsi que les améliorations apportées
au clustering d'Exchange 2000 Enterprise Server. Fort de ces connaissances, vous
êtes désormais capables d'évaluer les avantages et les problèmes potentiels de
la conception et de l'administration du stockage dans un cluster Exchange 2000.
Si le déploiement d'un cluster vous semble intéressant pour votre organisation,
plusieurs pratiques optimales peuvent vous aider à atténuer l'effort de formation
nécessaire.

Big Brother garde les utilisateurs inactifs à l’oeil
par James Cook
Dans la plupart des environnements AS/400, la sécurité et l'optimisation des performances
exigent de déconnecter les sessions 5250 inactives. Un poste de travail connecté
et sans surveillance constitue une porte d'entrée dans votre AS/400 pour un veilleur
de nuit qui prendrait des cours du soir en informatique, ou un employé mécontent.
Un poste de travail actif monopolise également des ressources systèmes. Il est
également susceptible de provoquer des verrouillages sur un objet empêcher les
sauvegardes de s'effectuer correctement.
Un poste de travail resté connecté peut également occasionner des problèmes plus
subtils. Ainsi, un programme risque d'utiliser la date à laquelle le travail interactif
a été démarré et non la date du jour. Si un utilisateur reste connecté pendant
une semaine, certains programmes seront susceptibles d'utiliser la date de lundi
plutôt que la véritable date pour mettre à jour certains champs.
On peut configurer la valeur système QINACTITV de l'AS/400 de manière à clore
ou à déconnecter des travaux inactifs après un laps de temps déterminé (un travail
déconnecté est placé dans un état dans lequel l'utilisateur peut se reconnecter
et continuer à travailler à partir de l'endroit où il s'était arrêté). Ceci fonctionne
bien.
Toutefois, certains employés risquent de rechigner si leurs sessions interactives
sont interrompues en même temps que celles des autres utilisateurs. Par exemple,
le personnel de l'exploitation exécute probablement des sessions manipulant plusieurs
applications AS/400 (par exemple, la paye, la production de l'usine et la file
d'attente des messages QSYSOPR) en mode break. Ces sessions doivent demeurer actives
pour permettre au personnel de répondre rapidement aux demandes d'assistance provenant
des utilisateurs. Dans le cas contraire, les utilisateurs en panne seraient obligés
d'attendre que l'employé de l'exploitation se connecte et active une application
donnée.
La sécurité et l'optimisation des performances exigent de déconnecter
les sessions 5250 inactives
Du point de vue des utilisateurs, une application peut ne pas apprécier une brusque
interruption du travail. En outre, l'arrêt d'un travail interactif peut empêcher
la mise à jour des enregistrements de la base de données. Pour répondre à ces
besoins, j'ai développé deux utilitaires baptisés Big Brother et Little Sister.
Lorsque je travaillais en tant qu'étudiant sur un site VAX/VMS, j'ai été amené
à utiliser un programme appelé Big Brother et qui déconnectait les utilisateurs
interactifs restés inactifs pendant un certain laps de temps. En contrepartie,
l'équipe des programmeurs disposait d'un programme appelé Little Sister qui empêchait
Big Brother de les déconnecter. A la fin de mes études et après être entré dans
le monde de l'AS/400, j'ai écrit deux applications (un petit programme CL associé
à un programme RPG) pour exécuter des fonctions semblables sur l'AS/400. Ces programmes
n'utilisent pas les techniques ILE les plus récentes car ils ont tous deux été
conçus en 1994.
Décrypter le code CBIGBRO : ce programme CL boucle de façon continue, à la recherche de travaux interactifs inactifs depuis trop longtemps. RLILSIS : cette exception permet à des utilisateurs préalablement identifiés de rester connectés, et ce, un certain nombre de fois. PLILSIS : ce fichier contient un enregistrement pour chaque utilisateur exempté de deconnexion. PSIGOFF : ce fichier contient les noms des utilisateurs déconnectés ainsi que le nombre d'exemptions auxquels les utilisateurs PLILSIS ont droit chaque jour. On peut utiliser ce fichier pour éduquer les utilisateurs qui ont tendance à laisser leurs écrans connectés. QINACTITV : le temps d'inactivité imparti détermin Lire l'article ![]() Délégation Active Directory : des hauts et des baspar Darren Mar-Elia ![]() Donner du sens aux benchmarks sur le Web
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Le puissant et récent support de SQL Server 2000 des vues indexées promet de nous faciliter la tâche tout en exécutant les applications et requêtes plus rapidement. Cela vous semble trop beau pour être vrai ? Les vues indexées permettent de précalculer toutes sortes de jointures, agrégations et formules pour que l'on n'ait plus à écrire ces conditions dans chaque requête. De plus, Microsoft déclare obtenir des gains de performance de 10 à 100 fois supérieurs au sein des applications et requêtes accédant aux vues indexées par rapport aux tables de base. Bien qu'Oracle supporte une fonctionnalité similaire, appelée vues matérialisées, les nouvelles vues indexées de SQL Server vont bien au-delà de ce qu'offre la concurrence. Les nouvelles vues indexées de SQL Server vont bien au-delà de ce qu'offre la concurrence
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