Les outils du dossier Support Tools
par Michael Otey
Tirez parti des outils natifs du système d'exploitation
Tout comme le "Microsoft Windows 2000 Resource Kit", le dossier Support Tools
contient un ensemble d'utilitaires de nature à vous aider à gérer votre réseau
et à résoudre d'éventuels problèmes. Mais le dossier Support Tools diffère du
kit de ressources en ceci que Support Tools est natif au système d'exploitation,
et n'est pas vendu séparément. Dans le top 10 ci-dessous, je vous fais part de
mes 10 outils favoris, que vous trouverez sur le cédérom Windows 2000, dans le
répertoire /support/tools.
Installation d’une nouvelle release, première partie : planifier la réussite
par Gary Guthrie
La planification est le meilleur remède préventif pour garantir une installation
en douceurUn jour ou l'autre, il faut installer sur l'AS/400 une nouvelle release de l'OS/400
ou de nouveaux logiciels sous licence. Cette opération est " un jeu d'enfant "
par rapport à ce qu'il fallait faire, il y a quelques années, sur les premiers
modèles d'AS/400. Il n'est plus question de faire plus d'une dizaine d'IPL pour
boucler l'installation. Aujourd'hui, pour charger une nouvelle release du système
d'exploitation, on peut soit recourir à l'installation automatique, soit effectuer
une installation manuelle, avec normalement un seul IPL dans les deux cas.
Voici un guide pas à pas pour planifier et installer une nouvelle release de l'OS/400
et de nouveaux logiciels sous licence. Dans cet article, qui est une première
partie, je couvre les tâches de planification indispensables à accomplir avant
le jour de l'installation. La deuxième partie décrira les différentes tâches le
jour de l'installation et le processus d'installation lui-même.
Domino et IFS
par Jim Hoopes
Un tandem qui permet de travailler avec diverses plates-formes, donne un accès rapide aux bases de données iSeries, et bien plus…
Pour l'iSeries, Domino est une technologie clé qui a beaucoup contribué au succès de la plate-forme sur le marché. Domino a pour principal atout d'être une solution multi plates-formes, lesquelles plates-formes coexistent réellement. On peut exécuter un serveur Domino sur Windows NT, par exemple, et il fonctionnera bien avec un serveur Domino sur l'iSeries. IFS permet une telle coexistence pacifique parce que, contrairement aux don-nées dans les bibliothèques iSeries, la plupart des données Domino existent dans des fichiers stream (fichiers graphiques, fichiers de traitement de texte, par exemple). Comme une base de données Domino se présente à peu près sous la même forme sur un iSeries et sur un PC, on peut déplacer les bases de données sans perdre aucune fonctionnalité. En fait, bien que la plupart du code qui anime Domino réside dans des bibliothèques iSeries traditionnelles (par exemple, des centaines de pro-grammes et de modules se trouvent dans la bibliothèque QNOTES, la bibliothèque QNOTESINT contient le logiciel d'intégration Domino iSeries), l'accès à tous les objets Domino se fait via l'architecture IFS. En utilisant IFS, Domino évite les performances médiocres associées aux applications non iSeries accédant à des données dans des bibliothèques iSeries ou dans le système de fichiers hiérarchique. On doit à IFS l'un des principaux attraits de Domino sur l'iSeries : l'évolutivité.
En effet, sans IFS, Domino sur l'iSeries n'aurait pas obtenu un résultat record de performances dans un audit 2000 conduit par IBM (pour plus d'informations, visiter le site http://www-1.ibm.com/servers/eser-ver/iseries/domino/scalerecord.htm).
Un iSeries modèle 840 a traité 75.000 utilisateurs de courrier Notes Bench R5 avec un temps de réponse d'un quart de seconde environ - soit 10 fois plus d'utilisateurs que le plus grand serveur Sun était capable de traiter, cinq fois que le plus grand système Compaq, et la moitié du temps de réponse de l'un ou l'autre concurrent. Le dernier audit est encore plus impressionnant : un modèle 840 a traité 100.500 utilisateurs de Notes Bench R5 avec un temps de réponse moyen de 67 millisecondes, soit quatre fois plus vite que l'audit de l'année précédente.
Lire l'articleVirtual Library Manager (VLM)
Easycom for PHP est un module chargé dynamiquement par PHP, il n'est donc pas nécessaire de le compiler avec PHP.
Il comporte un ensemble de fonctions pour accéder aux bases de données et aux ressources AS/400 en mode natif, depuis des applications Web.
Lire l'articleComment utiliser en natif l’AS/400 server avec Domino
Moyennant une configuration simple, on peut utiliser l'AS/400 HTTP Server pour servir un contenu Domino
par Jim Hoopes
Je me considère comme l'un des plus grands fans de Lotus Domino, particulièrement sur l'iSeries. C'est une superbe combinaison pour de nombreuses raisons, mais avec un bémol : dans une certaine mesure, Domino existe dans un univers qui lui est propre sur l'iSeries. On peut intégrer Domino avec RPG et accéder aux bases de données AS/400, entre autres options d'intégration. Cependant, le serveur Domino HTTP est une fonction entièrement séparée du serveur Web natif de l'AS/400.
Cette relation a souvent causé des problèmes. Ainsi, de nombreux sites ont initialement créé des sites Web en utilisant le serveur natif, mais quand ils ont commencé à utiliser Domino, ils ont constaté qu'il était difficile d'utiliser les serveurs Domino et HTTP natif en même temps. Ce n'est pas impossible mais c'est difficile et en tout cas, source de nombreuses questions.
Dans Domino version 5.4, Lotus et IBM ont répondu à ce problème en modifiant Domino afin qu'il puisse utiliser le AS/400 HTTP Server natif pour servir le contenu Domino. (Domino a une possibilité similaire sur la plate-forme Windows NT 2000 pour Microsoft IIS.) Cet article explique comment installer cette possibilité sur l'AS/400. Malgré quelques petites difficultés en cours de processus, si vous avez déjà essayé d'utiliser les deux serveurs Domino et HTTP en même temps, vous conviendrez aisément que cette nouvelle méthode est nettement plus simple. Toutefois, avant de décider si cela convient à votre environnement, il faut être conscient de quelques limitations.
Lire l'articleLa métamorphose
Plus de souplesse, moins de restrictions contractuelles, une écoute plus attentive… avec IGS le métier d'IBM change. Denis M. Welsh, Senior Vice-président et directeur Exécutif du groupe IBM Global services s'adresse à ses troupes: “ Chaque jour, nos associés, fournisseurs, analystes et surtout nos clients nous demandent : Qui êtes-vous ? Quels sont vos objectifs ? Pourquoi êtes-vous meilleurs ? ” Une fois encore, on sent dans cette lettre que IBM Global Services (IGS) doit surmonter un problème d'image, comme c'est le cas pour le groupe des serveurs IBM.
Lire l'articlePasser l’an 2000 sans souci avec JBA Presys
Avec « 21 Online », JBA Presys aide les PME/PMI à passer l'an 2000 et à prendre en compte l'euro. Cette offre d'urgence, à prix et délai réduits, est annoncée à l'occasion de Progiforum. Installée dans l'entreprise avant la fin de l'année, elle peut être complétée par une deuxième phase plus complète, suivant une méthodologie classique. Diverses enquêtes ont montré que de nombreuses PME/PMI ne sont pas prêtes pour affronter l'an 2000. Outre les problèmes de date, pour la plupart d'entre elles, l'euro représente un souci supplémentaire, qu'elles ne savent pas comment résoudre. Ces entreprises se retrouvent souvent sans solution, car les prestataires leur ont fait faux bond pour cause de surcharge de travail. C'est pour ces PME/PMI, de 80 à 400 MF de chiffre d'affaires, que l'éditeur de progiciels de gestion, JBA Presys, a conçu son offre « 21 Online ».
Lire l'articleHP OpenView network Node Manager 5.02 pour Windows NT
Avec OpenView Network Node Manager 5.02 pour Windows NT de Hewlett-Packard, Windows NT bénéficie de la puissance de l'outil vedette d'administration de réseau pour UNIX de HP, agrémenté d'une nouvelle interface. OpenView Network Node Management (NNM), qui appartient à la famille des produits d'administration de systèmes et de réseaux HP OpenView, réalise le mapping et la surveillance des composants adressables IP IPX d'un réseau (par exemple ordinateurs, routeurs et switches, hubs). L'affichages des recherches approfondies du logiciel comporte des icônes d'état codées en couleur et des seuils de notification d'événements paramétrables, qui permettent de surveiller facilement votre réseau. Pour en savoir plus sur les mises à jour du logiciel, lisez l'encadré " Network Node Manager 6.0 ".
Lire l'articleSimplifier les mises à jour avec les MODS
par Jef Sutherland
Dans le numéro de janvier 2001 de Systems JOURNAL, j'expliquais le principe de
base de l'utilisation de MODS (Multiple Occurrence Data Structures) dans les applications
RPG III. Aujourd'hui, j'approfondis davantage ces MODS, et montre comment les
utiliser pour simplifier les opérations de mise à jour dans des applications interactives.Mon application interactive met à jour un enregistrement dans un fichier. Je suis
quatre étapes de base (en excluant la recherche des erreurs) :
Administrer Exchange 2000 (2eme partie)
par Tony Redmond
Dans la première partie de cet article, parue le mois dernier, nous avons vu que
Microsoft Exchange 2000 Server avait adopté le framework de la MMC (Microsoft
Management Console) et nous avons décrit l'interaction entre Exchange 2000 et
Active Directory de Windows 2000. Nous avons également examiné la division des
tâches de gestion du serveur, effectuées par Exchange 2000 au moyen des extensions
de la console standard Utilisateurs et ordinateurs Active Directory de la MMC.
Toutes les notions mentionnées dans cette introduction constituent des bases solides
pour le fonctionnement des serveurs Exchange 2000 et préparent à votre tâche suivante
: maintenir le fonctionnement de toutes les machines Exchange 2000. Dans ce nouvel
article nous allons voir comment surveiller les serveurs et quel type d'informations
d'état on peut espérer recueillir des composants avec un serveur en bonne santé.
Nous présenterons également certains prestataires WMI (Windows Management Instrumentation)
qui permettent l'accès aux données Exchange 2000.
Comprendre les raisons des plantages
par Mark Russinovich
Même si Windows 2000 est en net progrès par rapport à Windows NT 4.0 sur la stabilité,
vous pouvez encore subir des plantages. L'analyse des fameux "écrans bleus" rencontrés
en cas de défaillances peut vous éviter certains crashes ou des heures de réinstallation.Indiscutablement, Windows 2000 apporte à Windows un niveau de fiabilité inconnu
jusqu'ici. Avec la réécriture par Microsoft du code de base du système d'exploitation,
afin de traiter les situations inhabituelles, l'énorme effort de test entrepris
par l'éditeur, et l'introduction du nouvel outil DriverVerifier, les écrans bleus
vont se raréfier dans les systèmes Windows 2000. Mais beaucoup d'entreprises dépendent
encore largement de Windows NT 4.0. De plus, bien que les pilotes de périphériques
accompagnant Windows 2000 subissent des tests complets à charge élevée, ainsi
qu'une validation de conformité pour obtenir la certification WHQL (Windows Hardware
Quality Labs) de Microsoft, des bugs non détectés peuvent encore se produire.
En outre, si des applications contenant des pilotes non destinés à du matériel,
par exemple des détecteurs de virus, des utilitaires de gestion de quotas, ou
des progiciels de chiffrements, sont installées, le système Windows 2000 peut
se retrouver avec des drivers n'ayant pas subi les tests WHQL, même si la stratégie
de signature des drivers du système est configurée pour empêcher les drivers non
testés. Ainsi, même s'ils vont se raréfier dorénavant, les écrans bleus peuvent
malgré tout encore surgir occasionnellement et, dans ce cas, les informations
nécessaires pour les analyser prendront toute leur importance. La différence est,
dans ce cas, entre quelques minutes pour désinstaller une application ou plusieurs
heures pour réinstaller complètement le système d'exploitation.
Beaucoup d'administrateurs systèmes s'abstiennent d'explorer les options de vidage
sur incident de Windows 2000 et Windows NT 4.0, estimant leur utilisation trop
complexe. Bien que la documentation de Microsoft sur le débogage se soit améliorée
l'an dernier, elle reste tout de même orientée vers les développeurs de pilotes
de périphériques. Mais même si un vidage sur incident sur cinq seulement contient
des informations utiles, il vaut vraiment la peine d'en savoir un peu plus sur
l'analyse du vidage sur incident.
Cet article facilitera l'apprentissage de cette fonction. Il commence par les
bases de configuration d'un système pour sauvegarder un vidage sur incident en
cas de plantage du système, puis explique comment se procurer les outils nécessaires
pour examiner un vidage sur incident, et se termine par des astuces pour glaner
les informations utiles, sans oublier la présentation d'un outil d'analyse de
vidage automatisée en constante évolution, Kanalyse (Kernel Memory Space Analyzer).
Quelques canevas d’utilisation des LOB SQL pour programmeurs RPG IV
par Paul Conte
SQL/400 prend en charge les grands objets (LOB, binary large objects) binaires
et caractères. En utilisant des types de colonnes LOB, on peut stocker des données
sous forme de documents complets, d' images et d' enregistrements sonores dans
SQL/400.La technique des LOB présente un avantage déterminant : une valeur de colonne
LOB peut atteindre 15 Mo, tandis que les autres types de colonnes chaînes (de
caractères par exemple) sont limités à 32 Ko. Pour connaître une autre manière
de traiter ce type de données, voir l'article " Quelques canevas d'utilisation
des DataLinks SQL pour programmeurs RPG IV ".
Pour pouvoir accéder à des colonnes LOB, les programmes RPG IV exigent des techniques
de coding spéciales. Comme la documentation existante n'est pas très claire, cette
fonction n'est pas souvent mise en oeuvre dans les applications. Cet article permet
de prendre un bon départ dans l'utilisation des LOB. Je fournis un " canevas "
simple pour les quatre principales techniques de programmation LOB et un modèle
de code à dupliquer dans les programmes RPG IV mis en oeuvre.
Pour pouvoir accéder à des colonnes LOB, les programmes RPG IV exigent des techniques de coding spéciales
Vous pensiez connaître les overrides de fichiers ?
par Gary Guthrie
« Essaie donc d'utiliser OvrScope(*Job) »
Combien de fois vous a-t-on donné ce conseil quand un override (substitution ou remplacement, ou écrasement) de fichier ne fonctionnait pas comme prévu ? Modifier l'application pour utiliser un override au niveau du job peut produire les résultats attendus, mais cela revient un peu à remplacer le moteur d'une voiture parce qu'il a détérioré une bougie.
Bien entendu, avec un moteur flambant neuf, la voiture fonctionnera à nouveau parfaitement. En revanche, un override au niveau du job ne produira pas forcément les résultats attendus, selon la conception de l'application. Et, même si l'application fonctionne aujourd'hui, un override malencontreux au niveau du job associé à des modifications risque de poser des problèmes d'application à l'avenir.
Si vous envisagez de sauter cet article parce que vous croyez tout savoir déjà sur les overrides de fichier, réfléchissez-y à deux fois ! Je connais beaucoup de programmeurs, dont certains sont excellents, qui croient sincèrement comprendre cette puissante fonction de l'OS/400 - après tout, voilà des années qu'ils pratiquent l'override dans leurs applications. Mais je ne connais personne qui domine vraiment le sujet. Par conséquent, poursuivez la lecture, étonnez-vous, et apprenez une fois pour toute comment le système traite les overrides de fichier. Puis, mettez cette connaissance en pratique pour tirer le maximum des overrides.
Lire l'articleExchange 2000 SP1 sur Datacenter
par Jerry Cochran
La
release du premier service pack de Microsoft Exchange 2000 Server, prévue
en juin 2001 par Microsoft, présente une caractéristique qui va bien au-delà
de simples corrections de bogues mineures ...
Comment tirer profit du Datacenter pour déployer Exchange.La release du premier service pack de Microsoft Exchange 2000 Server, prévue en juin 2001 par Microsoft, présente une caractéristique qui va bien au-delà de simples corrections de bogues mineures. Dans Exchange 2000 Enterprise Server Service Pack 1 (SP1), Microsoft offrira le support de Windows 2000 Datacenter Server pour Exchange 2000. C'est l'automne dernier que Microsoft a livré Datacenter, promesse de solution totale pour le déploiement en Datacenter des OS et des applications de Microsoft. La release du support de Datacenter pour Exchange 2000 pose deux questions : comment Exchange 2000 tirera-t-il profit de Datacenter et cela fera-t-il vraiment une différence dans le déploiementss d'applications critiques de votre entreprise ?
La V5R1 au microscope
Il est clair que la V5R1 est une release massive qui donne à l'iSeries 400 tous les moyens de lutter sur un large éventail de marchés, jugés jusque-là hors d'atteinte.
Certaines des fonctions de la V5 passées à la loupe ...
par Sharon Hoffman
A partir du numéro de juillet de NEWSMAGAZINE, nous avons largement couvert l'annonce du matériel iSeries 2001 d'IBM et la nouvelle release de l'OS/400 qui l'accompagne, la V5R1. La couverture précédente de ce sujet étant très complète, je n'ai pas l'intention de récapituler ici toute l'annonce (on trouvera la liste de la couverture des annonces de la V5R1 à l'adresse http://www.as400network.com/news/nwn/v5r1_announcements.cfm). Je préfère me concentrer sur un petit nombre de points clés et juger de leur importance pour les clients iSeries existants. (Une brève liste des principaux éléments de cette annonce se trouve dans l'encadré intitulé « Points forts de l'annonce de la V5R1 », page XX.)
Lire l'articleAdministration centralisée : la priorité de l’AFORP
Par Sabine Terrey
L'AFORP opte pour la solution HP OpenView Express pour résoudre son souci d'administration
centralisée
Qu'est-ce que l'AFORP ?
Fondée en 1961 par le GIM (Groupe des Industries Métallurgiques), qui regroupe
3.000 entreprises, l'AFORP propose aux entreprises des personnels qualifiés et
compétents, et répond aux besoins d'insertion professionnelle des jeunes. Cette
association pour la formation professionnelle des salariés des entreprises métallurgiques
prépare en quelque sorte l'avenir de l'activité industrielle et des emplois dans
la région Ile-de-France, et fait partie du réseau des CFAI (Centres de Formation
d'Apprentis de l'Industrie).
L'AFORP en quelques chiffres…
ce sont 2 millions d'heures stagiaires par an, 2.500 jeunes de moins de 25 ans
préparant 39 diplômes, du CAP au BTS, 300 personnes sur 7 sites en région parisienne,
et des formateurs dispensant un enseignement professionnel et général (formation
par alternance ou formation continue). En 1999, près de 1.200 entreprises ont
fait appel à l'AFORP pour la formation de leurs apprentis.
L'AFORP a une offre très diversifiée, qui se caractérise par un large éventail
de formations industrielles, l'opérationnalité des formations, et l'adaptation
des formations aux réalités industrielles. L'AFORP peut également personnaliser
les programmes en fonction des besoins de chaque entreprise.
En ce qui concerne l'environnement informatique, l'AFORP fournit à l'ensemble
de son personnel et des gens formés un ensemble de ressources locales (outils
bureautiques et logiciels métiers), un accès à des bases de données internes,
pédagogiques notamment, un Intranet supportant la messagerie et un accès à Internet.
L'AFORP fournit à l'ensemble de son personnel et des gens formés des ressources
informatiques locales (outils bureautiques et logiciels métiers), un accès à des
bases de données internes, un Intranet et un accès à Internet
Domaines d'activité de l'AFORP : L'AFORP intervient dans les domaines suivants : - conception, études - plastiques et composites - analyse physique - outillage - productique, mécanique - structures métalliques - soudage - télécommunications - électronique - électrotechnique - systèmes de production - maintenance - technico-commercial - comptabilité, gestion bilingue allemand - exploitation industrielle - qualité et contrôles - informatique de gestion |
Focus : le grand jeu
par Benoît Herr
Focus 2000 : une conférence des utilisateurs de JDEdwards placée sous le signe
du foisonnement à l'excès
Comme nous vous l'annoncions déjà dans notre éditorial de l'été, la conférence
des utilisateurs de logiciels JDEdwards qui s'est tenue à Denver (Colorado) du
19 au 22 juin dernier a été un franc succès. Il faut dire que l'association Quest,
organisatrice de l'événement et largement épaulée par l'éditeur, avait déployé
le grand jeu : introduction de la conférence appuyée par le Colorado Symphony
Orchestra aux accents de ce cher Ludwig Van Beethoven (traîtreusement et à maintes
reprises interrompu d'ailleurs : une hérésie totale pour le mélomane que je suis.
Eh oui, c'est aussi cela, les Etats Unis !), intervention de Bill Gates en personne,
plusieurs motos Harley Davidson et voitures Volvo à gagner, et, en point d'orgue
un gigantesque concert de la chanteuse de rock tendance Rythm'n Blues Bonnie Raitt.
Si cette dernière n'est que peu connue en Europe, même si l'on commence à voir
apparaître certains de ses enregistrements dans les bacs, il en va tout autrement
de l'autre côté de l'Atlantique, et plus particulièrement à l'ouest des montagnes
rocheuses, où elle bénéficie d'un renom important.
Au total, ce sont près de 8000 personnes qui avaient fait le déplacement de Denver,
un chiffre jamais atteint auparavant.
L'assistance de cette conférence se composait quant à elle de clients, de prospects
(700 selon JDE), de partenaires, mais aussi d'investisseurs effectifs ou potentiels,
d'analystes et de représentants des media. Au total, ce sont près de 8000 personnes
qui avaient fait le déplacement de Denver, un chiffre jamais atteint auparavant.
Les organisateurs de la manifestation sont contractuellement liés au centre de
conférences de Denver pour encore deux ans, mais si le nombre des participants
continue d'augmenter à ce rythme, ils se verront contraints de quitter la ville
natale de l'éditeur pour gagner l'une des rares villes des USA capables d'absorber
des manifestations de grande envergure, comme CA World à la Nouvelle Orléans,
par exemple.
Outre les locaux de l'étape, il y avait là des européens bien sûr, mais aussi
des coréens, japonais, singapouriens, australiens, néo-zélandais, et des citoyens
de plusieurs dizaines d'autres nations. L'exposition, indissociable de ce genre
d'événement, comptait plus de 200 exposants, soit à peu près le même nombre que
les sessions de formation, qui se subdivisaient en douze filières.
Gestion des sorties
Computer Associates présente CA-LPD, solution e-business de gestion des sorties pour une distribution centralisée de rapports et autres documents sur de multiples plates-formes.
CA-LPD permet aux administrateurs de collecter et distribuer les rapports provenant de toutes plates-formes, et optimise la performance des impressions.
Lire l'articleAccéder aux données du iSeries par téléphone grâce à la reconnaissance vocale
par Roger M. Goldwyn, Ph.D., et David N. Bernstein, Ph.D.
Bien que la reconnaissance vocale sur ordinateur existe depuis 20 ans, nombreux
sont ceux qui, connaissant les premières versions de la technologie vocale informatisée,
restent sceptiques sur la capacité d'un ordinateur à comprendre l'oral. Pourtant,
l'actuelle technologie de reconnaissance vocale conversationnelle est viable pour
les entreprises dans lesquelles elle commence d'ailleurs à s'implanter.Comme les systèmes iSeries ou AS/400 contiennent les informations de la base de
données d'une société (données clients et produits, par exemple), on développe
des applications de reconnaissance vocale pour permettre aux clients et aux employés
d'accéder à ces données par téléphone. Pour concevoir et mettre en oeuvre ces applications
de reconnaissance vocale ainsi que des applications qui répondent verbalement
à l'appelant (texte/parole), il est important de comprendre les trois points suivants
: critères d'une bonne mise en oeuvre des applications vocales, outils permettant
d'écrire de telles applications, et exigences de base pour développer une application
de reconnaissance vocale.
Aujourd'hui, les applications de reconnaissance vocale permettent même
aux appelants de parler naturellement, comme dans une conversation normale
Ne perdez pas votre certification
par Robert McIntosh
Le concept d'obsolescence n'est pas nouveau pour les MCSE. Ceux qui étaient certifiés
Windows NT 3.51 ont dû repasser les tests pour Windows NT 4.0. Les MCSE certifiés
Windows NT 4.0 doivent désormais repasser les tests pour Windows 2000, pour ne
pas perdre une certification obtenue au prix de tant d'efforts. Mais cette fois,
l'expérience sera plus difficile, pour deux raisons. D'abord, les examens font
la part belle à l'expérience pratique, ce qui place la barre plus haut pour les
futurs candidats MCSE. Ensuite, Microsoft a fixé une échéance difficile aux MCSE.
Pour les MCSE Windows NT 4.0, la certification ne sera valable que jusqu'au 31
décembre 2001.
Le 31 décembre 2000, Microsoft a supprimé les examens Windows NT 4.0 et plusieurs
options parmi les plus souvent choisies. L'éditeur s'est montré inébranlable dans
sa décision de faire de cette date le dernier jour pour passer ces examens. Mais
devant les commentaires négatifs des newsgroups d'Internet, Microsoft a changé
d'avis et annoncé à la mi-décembre 2000 que les examens Windows NT 4.0 et les
options supprimées resteraient disponibles jusqu'en 2001 (le tableau 1 donne la
liste de ces examens et les conditions pour les remplacer). Pour le moment, Microsoft
s'en tient à sa décision d'exiger de tout MCSE certifié Windows NT 4.0, qu'il
repasse ses examens avant le 31 décembre 2001. Pour ceux qui n'ont pas encore
démarré le processus, il est temps à présent de mettre sur pied un projet pour
conserver leur MCSE et une stratégie de préparation aux examens.