Quelques canevas d’utilisation des DataLinks SQL pour programmeurs RPG IV
par Mike Cravitz
On peut accéder aux fonctions DataLinks d'UDB/400 depuis des programmes en RPG
IV, sans mettre les données en péril.
La prise en charge des DataLinks UDB propose une alternative aux LOB (Large Objects
Columns) utilisés en SQL/400. Pour plus d'informations sur les LOB, voir l'article
" Quelques canevas d'utilisation des LOB SQL pour programmeurs RPG IV ". Il existe
une différence entre les LOB SQL/400 et les DataLinks. Avec des DataLinks, les
données "non classiques" comme des images et des clips vidéo sont simplement référencées
dans la base de données relationnelle et elles n'y sont pas réellement stockées
comme c'est le cas avec SQL/400.
Par souci de clarté, je précise que DataLinks (avec la lettre s) est le nom officiel
du support DataLink. Le terme DataLinks est donc utilisé ici non pas comme pluriel
de DataLink mais pour désigner la structure architecturale UDB (Universal Database).
L'architecture DataLinks est décrite en détail dans l'article " Utilisation des
datalinks avec DB2 UDB pour AS/400 ", NEWSMAGAZINE, octobre 2000.
Ici, nous allons en apprendre davantage sur DataLinks en examinant un exemple
de programme RPG qui accède à un fichier lié de la manière prescrite. Nous allons
successivement créer une table avec une colonne DataLink, peupler cette table
avec des données, puis extraire les données dans un programme RPG. Mais revoyons
d'abord quelques points élémentaires.
DataLinks est une architecture UDB décrivant un DLFM (DataLinks File Manager)
qui se charge de lier et de délier les colonnes de DataLink
WebSphere Application Server et IFS
Par Jay Kelley et Vinny Luc - n°11 octobre 2001
WAS (WebSphere Application Server) d'IBM fait de l'iSeries un excellent outil pour servir des pages Web dynamiques. Pour mieux gérer les ressources Web, il faut bien com-prendre la manière dont WAS est organisé dans IFS (Integrated File System). Nous expliquons dans cet article la structure de répertoires de WAS.
Nouveau support d’autocommit pour DB2 UDB
par Mark Megerian et Kent Milligan
Sur l'iSeries, une transaction de base de données commence implicitement dès l'instant où une donnée quelconque est lue ou écrite, et elle se termine par une demande de commit ou de rollback ultérieure. Ceux qui ont déjà utilisé l'un des jeux API de type SQL (ODBC, JDBC, CLI) pour la programmation de base de données, ont certainement remarqué un mode appelé autocommit ou automatic commit...
Cette option était destinée aux programmeurs qui ne veulent pas écrire du code pour émettre des commits, mais préfèrent laisser à la base de données le soin de faire un commit automatique des modifications apportées à la base de données.
L'utilisation d'autocommit présente des risques parce que l'on n'obtient pas la protection « tout ou rien » du commitment control ou la possibilité de recourir à des niveaux d'isolation de transactions plus élevés. De plus, un nouveau programmeur peut fort bien ajouter une nouvelle modification de base de données à une application existante, sans espérer que cette modification sera « committed » automatiquement.
Heureusement, des améliorations récentes de l'option autocommit dans les versions V4R4 et V4R5 règlent ces problèmes ainsi que d'autres lacunes des versions d'autocommit antérieures. Nous verrons ces améliorations dans un moment. Pour l'instant, voyons pourquoi elles sont nécessaires
Lire l'articleProgression des produits IBM
par Carson Soule
IBM affiche des progrès dans trois secteurs cruciaux : WebSphere, Domino et DB2. Plus que n'importe lequel des produits logiciels IBM, ce sont les fers de lance de la stratégie inter-plate-forme et standard ouvert d'IBM.Tous trois fonctionnent sur l'ensemble de la gamme eServer ainsi que sur les systèmes des concurrents. Et tous trois évoluent dans des marchés chauds et concurrentiels qu'IBM essaie de dominer.
Tips de programmation sur AS/400
Ajoutez ces astuces de spécialistes à votre panoplie de développement applicatif ...
- comment spécifier SRCDBG comme option PDM
- utiliser une ligne squelette pour accélérer le coding en SEU
- ...
En matière de stratégies concurrentielles pour systèmes de gestion, les programmeurs jouent un rôle prépondérant. En analysant soigneusement les transactions de gestion quotidennnes, un programmeur avisé peut beaucoup contribuer à l'efficacité de l'environnement, voire influer sur la réussite ou l'échec de l'entreprise.
La suite des tips de programmation AS/400 ci-après propose plusieurs “ scénarios ” intéressants pour un site donné. On y verra comment spécifier SRCDBG comme option PDM définie par l'utilisateur, utiliser une ligne squelette pour accélérer le coding en SEU, et bien d'autres. En enrichissant la programmation à l'aide de ces astuces, on augmentera l'efficacité de l'équipe.
Lire l'articleDemain l’Euro
par Benoît Herr
Plus que 500 et quelques jours avant cette nouvelle échéance fatidique qu'est
le 1er janvier 2002 pour l'Euro. Nombreux sont ceux qui n'ont encore rien fait.
Et vous, où en êtes-vous ?
La pénétration de l'Euro dans les entreprises françaises et européennes reste
très faible (seuls quelques pour cents de l'ensemble des transactions se font
aujourd'hui dans la monnaie unique).
Pourtant, les monnaies nationales des pays "in" ne sont officiellement plus que
des subdivisions de la monnaie unique et, à bien y regarder, il ne reste plus
beaucoup d'occasions pour basculer. Si l'échéance du 31 décembre 2001, où l'on
attend un "grand embouteillage" est à éviter à tout prix, la bonne date de basculement,
pour les entreprises clôturant au 31 décembre, reste le 31 décembre 2000.
Bien sûr, selon la loi, on peut basculer à n'importe quel moment de l'exercice,
et les entreprises ne sont en aucun cas obligées de se caler sur une fin d'exercice.
Mais cela oblige à gérer des transactions en francs sur une certaine période,
puis en Euros sur le reliquat du même exercice.
C'est ce qu'on appelle la rétropolation. Selon Annie-Claire Poisson, Expert Comptable,
Commissaire aux comptes et membre du comité Euro du CSOEC (Conseil Supérieur de
l'Ordre des Experts Comptables), "Il s'agit là d'une possibilité extrêmement difficile
à mettre en pratique. Les logiciels sachant gérer une telle rétropolation sont
en effet très peu nombreux sur le marché. Et quand bien même l'entreprise en serait
équipée, le logiciel en question n'est en général pas installé isolément, et il
y a de fortes chances pour que les logiciels avec lesquels il dialogue ne soient
eux pas à même de rétropoler. Le basculement à l'Euro implique le changement du
système de référence de toute l'entreprise."
Pour les entreprises clôturant à une date différente du 31 décembre, la meilleure
date de bascule est, comme cela a été le cas pour la société Calvet (cf. encadré
"Le cas Calvet") la fin de l'avant-dernier exercice avant l'échéance. Au pire,
il y a alors encore une "session de rattrapage", et on pourra toujours encore
se caler sur la fin d'exercice suivante. Hélas, à l'heure où vous lisez ces lignes,
il est déjà trop tard pour s'y prendre ainsi pour bon nombre d'entreprises.
Les monnaies nationales des pays "in" ne sont officiellement plus que
des subdivisions de la monnaie unique
Le cas Calvet Fondée en 1818, la maison Calvet fait véritablement partie du "paysage" bordelais. Elle produit trente millions de "cols" (comprenez "bouteilles") par an, pour un chiffre d'affaires de 400 MF en 1999 et un effectif de 113 personnes. 70% de cette production part à l'exportation, dans quelque 110 pays du monde entier. Trois lignes d'embouteillage, alimentées par une cuverie de 80000 hl, conditionnent les produits livrés en 48h sur la France, et en 2 à 3 semaines au maximum partout ailleurs dans le monde. Dès 1997 une réflexion sur ses systèmes d'information avait été initiée chez Calvet, et c'est finalement le progiciel Minos, édité par la société lyonnaise Ordirope, qui a été retenu et implémenté, pour assurer la gestion commerciale et de production de Calvet, en remplacement de développements spécifiques. Le démarrage en production est intervenu courant 1999. Parallèlement à Minos, les progiciels Iris Finance et Iris Personnel de Viveo Entreprise (qui s'appelait alors encore Idsys) prennent en charge la gestion comptable et des ressources humaines de Calvet. Dans la foulée de cette installation, et presque deux ans avant la date butoir du 1er janvier 2000, Calvet a trouvé suffisamment de motivation et de ressources pour basculer ses systèmes en Euro. Comment cela se fait-il ? Tout a en fait démarré dès 1998, lorsqu'un rapport interne a mis en lumière les impacts colossaux d'un projet Euro sur l'ensemble des fonctions de l'entrepri Lire l'article Shell France carbure avec sa nouvelle gestion de parc microEntreprise pétrochimique de renommée mondiale, Shell France a implémenté la solution HP DTA pour assurer l'administration de son parc informatique. Aujourd'hui, toute sa gestion d'inventaire est automatisée sous NT et elle dispose d'une base d'information micro mise à jour quotidiennement. Dans
le cadre de la rationalisation de son parc informatique, la société Shell
France a décidé d'implémenter la solution HP DTA (Openview Desktop
Administrator). Le projet baptisé Global Office concerne 3500 postes
utilisateurs Windows NT et 95 répartis à la fois au siège de la société en
région parisienne et sur quelques raffineries. « En 1998, nous étions à
la recherche d'un outil d'inventaire de parc micro automatisé »
explique Pascal Legrand, responsable de la bureautique chez Shell France.
« Après une étude de marché, la SSII OSIEX a été retenue comme
consultant partenaire pour nous accompagner dans notre projet de rénovation de
gestion informatique. Elle était notamment chargée de réaliser une étude
d'architecture du projet DTA et de bâtir le cahier des charges correspondant. » Le
choix de la solution de gestion HP DTA était avant tout une préconisation du
groupe. « Nous n'avons pas fait d'étude comparative poussée sur
l'ensemble des solutions du marché. A l'époque, en dehors de DTA, il
n'existait de toute manière aucune autre solution de gestion répondant à
nos besoins» précise Pascal Legrand. L'outil
d'inventaire de parc automatisé n'est pas le seul critère ayant motivé le
choix de HP DTA Dans
le passé, l'entreprise Shell utilisait la solution Quetzal de Datawatch pour
la gestion d'inventaire et le support de premier niveau. Toute la gestion du
parc se faisait alors manuellement. «Notre équipe sortait des configurations
du stock, les installait et renseignait la base manuellement. Nous avons
abandonné Quetzal, principalement à cause de ce problème de gestion manuelle,
mais aussi parce que le groupe nous a mis à disposition avec Service Center,
une solution plus globale de help desk et de gestion d'inventaire» souligne
Pascal Legrand. L'outil d'inventaire de parc automatisé n'est pas le seul
critère ayant motivé le choix de HP DTA. L'entreprise a également été séduite
par les fonctions de télédistribution de logiciels bureautique et de gestion
des licences. Mes dix outils chouchous du Kit de Ressources pour l’ administration à distancepar Darren Mar-Elia Procédures et prototypes RPG IV et au delàpar Gary Guthrie L’ES7000, l’argument choc d’Unisys pour Windows 2000 DataCenterpropos receueillis par René Beretz Questions / réponses de MicrosoftPar Richard Waymire Au coeur d’IFSCes deux dernières années ont vu croître l'intérêt et l'utilisation d'IFS (Integrated File System). Son utilisation s'étend parce que les sites iSeries combinent de plus en plus des applications diverses créées à l'aide d'ou-tils comme Domino et Java, gros utilisateurs d'IFS. En outre, de nombreuses appli-cations iSeries modernes, quel que soit leur mode d'écriture, doivent accéder à des fichiers stream, comme des fichiers HTML, des images .GIF et des documents de traitement de texte. IBM a spécialement conçu IFS pour gérer des données de fichiers stream et des structures de répertoires hiérarchiques. Techniquement parlant, tous les éléments - fichiers physiques AS/400, bibliothèques, l'OS/400 lui même, fichiers PC et fichiers Unix - sont stockés dans IFS parce que, de son point de vue, l'AS/400 et les objets iSeries font partie du système de fichiers QSYS.LIB (bibliothèques, fichiers, par exemple) ou QDLS (documents, dossiers, par exemple). Toutefois, quand nous faisons référence à IFS, nous entendons généralement les systèmes de fichiers « racine » (/) et QOpenSys, qui sont les parties d'IFS utilisées pour stocker les informations de PC (essentiellement Windows) et d'Unix. Ces systèmes d'exploitation utilisent des systèmes de fichiers très différents de l'architecture à base d'objets de l'iSeries. Par conséquent, pour pouvoir traiter leurs informations, IBM a dû créer IFS. Depuis son introduction avec la V3R1, IFS a été lentement et continuellement amélioré. C'est ainsi que la V5R1 contient des améliorations à la journalisation IFS et la possibilité de switcher des IASP (Independent Auxiliary Storage Pools) contenant des données IFS entre des partitions logiques ou des serveurs iSeries physiques. Lire l'articleVitalité technique de la V5par Carson Soule L'éventail de possibilités de cet gamme serveur est étonnant et n'est pas sans rappeler la gamme d'ordinateurs System/360 d'IBM, révolutionnaire en son temps. Lire l'articleFonction d’intégration de donnéesNouveaux produits Systemi : focus sur Winsurf Mainframe Studio 5250. ICOM Informatique, éditeur de logiciels d'e-connectivité site central annonce la disponibilité d'une solution de publication des données sur le Web, exclusivement dédiée aux environnements IBM AS/400 : Winsurf Mainframe Studio 5250. Lire l'articleCommerce Server 1.0par John Enck - Mis en ligne le 17/11/2003 ONET fiabilise son ERP en client-serveurSouhaitant mettre fin à plusieurs années d'une architecture informatique vieillissante, centralisée sur mainframe, le groupe ONET a opté pour l'implémentation d'un ERP en environnement client-serveur. Exit les applications comptables « maisons » ne passant pas l'an 2000. La rénovation du système d'information de l'entreprise passe par la mise en place du progiciel de gestion intégré People Soft sur Windows NT. Une alternative qui impose cependant à la direction des systèmes d'informations, de trouver une solution de sauvegarde de donnée adaptée à ces nouveaux environnements informatiques.C'est à la fin de l'année 1998, que l'entreprise de nettoyage industriel ONET, décide de mener une stratégie de downsizing, et de migrer son informatique centralisée basée sur mainframe DOS-VSE, vers une architecture ouverte client-serveur. En parallèle, elle fait le choix du progiciel intégré People Soft en environnement Windows NT, pour assurer la rénovation d'un système comptable qui ne passait pas l'an 2000, « Nous avons choisi d'intégrer toute notre comptabilité générale, client et fournisseur via l'installation des modules GL, AP et AR de People Soft » témoigne Christian Lacambre, directeur des systèmes d'information du groupe ONET. Les autres applications « maisons » ont également subit des évolutions pour s'adapter à la nouvelle architecture informatique. L'application de comptabilité analytique a été portée sur Adabase avec l'aide de Software AG, et celle de rapprochement bancaire a été remplacée par le progiciel Concept. « Nos applications comptables tournant sur mainframe ne passaient pas l'an 2000, et nous ne savions pas, s'il était possible d'implémenter notre ERP à l'échéance prévue. » Deux options se présentent alors : soit initier un plan de migration an 2000 des applicatifs mainframe, soit tout miser sur la mise en oeuvre de l'ERP. « Notre projet de migration An 2000 s'est rapidement avéré trop lourd à supporter en terme de délais de mises en oeuvre et de coûts, puisqu'il représentait un investissement d'environ 3 Millions de francs. Nous avons donc opté pour la solution la moins risquée, de mise en place de People Soft. La SSII Cap Gemini est alors chargée d'accompagner l'entreprise dans la mise en oeuvre de son ERP. Un projet qui aura nécessité un investissement de 4000 jours/hommes, et impliqué en interne, une démarche importante de conduite de changement. Nos 70 comptables étaient habitués à travailler avec un système franco-français maison en architecture centralisée. Il leur fallait à la fois se familiariser avec l'univers micro et à un nouveau système comptable d'origine anglo-saxon » précise Christian Lacambre. Lire l'articleApplications CRM et Web-to-HostICOM Informatique complète son offre Web-to-Host et annonce la disponibilité du produit Winsurf Mainframe Studio (WMS), solution de publication des applications centrales IBM S/390, AS/400 et Bull sur le Web. WMS est un atelier de développement qui permet notamment de valoriser les applications existantes en présentant les écrans IBM 3270, 5250 et Bull DKU 7107 avec une interface graphique ergonomique pour une intégration dans des architectures Intranet/Extranet et Internet. Lire l'articleDimensionner son AS/400 pour Lotus Notes/Dominopar Wilfried Blankertz Changer les mots de passe sur le Webpar Paula Sharick Les plus consultés sur iTPro.fr
La Revue du Décideur ITX
|