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Je ne savais pas que CHGPF pouvait faire tout ça !

Je ne savais pas que CHGPF pouvait faire tout ça !

par Keith Snively
La prochaine fois qu'il faudra mettre à  jour des fichiers, souvenez-vous de la commande CHGPF, qui ajoute, modifie et supprime automatiquement des champs d'un fichier physique.

Nous aimerions tous éviter les ajouts, modifications et suppressions des champs de fichier physique. Malheureusement, c'est parfois inévitable. Tout le monde a déjà  passé des week-ends à  supprimer et à  recréer des fichiers logiques, à  " remapper " des données dans un fichier, à  attendre que des index se reconstruisent, et à  réappliquer des contrainets d'intégrité des données comme la journalisation, l'audit des objets et les contraintes référentielles, et tout cela à  cause de modifications mineures apportées à  des fichiers physiques. Mais pourquoi faudrait-il recréer tous les fichiers logiques dépendant d'un fichier physique quand on modifie quelque chose qui n'affecte aucun de leurs index ?

La commande CHGPF (Change Physical File) et l'instruction SQL/400 Alter Table peuvent accomplir ces tâches plutôt facilement. Il s'agit là  de l'un des secrets les mieux gardés de l'AS/400. Voir l'article " New Alter Table Command Eases AS/400 File Changes " (NEWS/4000, Mark Anderson, septembre 1996) où l'instruction Alter Table SQL est décrite. Nous nous concentrons ici sur la commande CHGPF.

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Administrer Exchange 2000 (1ere partie)

Administrer Exchange 2000 (1ere partie)

par Tony Redmond
Le modèle d'administration de Microsoft Exchange Server 5.5 fonctionne bien depuis sa sortie dans Exchange Server 4.0 en 1996. Mais l'approche intégrée du modèle ne peut pas apporter la souplesse et la maîtrise indispensables aux grandes entreprises. Ce modèle, qui n'est pas particulièrement ouvert, repose sur l'interface de programmation MAPI (Messaging API), qui n'a pas réussi à  s'attirer un large soutien dans la sphère de l'administration de systèmes, notamment parce qu'elle ne concerne qu'Exchange Server.Exchange 2000 Server diffère d'Exchange Server 5.5 pratiquement en tout. Je n'ai donc pas été surpris de constater que son modèle d'administration n'a rien à  voir avec celui d'Exchange Server 5.5. Microsoft s'est efforcé d'ajouter la flexibilité et de puissantes fonctions de programmation et d'intégrer plus étroitement l'administration d'Exchange 2000 avec le framework d'administration de base de Windows 2000. La nouvelle version d'Exchange Server essaie en même temps de s'approprier un énorme marché, qui va du support de systèmes individuels à  celui de milliers de clusters multi-noeuds supportant des dizaines de milliers d'utilisateurs dans les environnements de messagerie.
Ces divers objectifs représentent un gros effort et Microsoft n'a pas encore tout à  fait atteint ses objectifs, bien que les premiers signes soient prometteurs. Pour gérer avec succès un déploiement d'Exchange 2000, les administrateurs ont besoin de comprendre toutes les nouvelles fonctions, tant de Windows 2000 que d'Exchange 2000. Pour vous aider dans cette tâche, je propose une série de trois articles sur l'administration d'Exchange 2000, en commençant par les données de base concernant les nouveaux objectifs de l'administration d'Exchange 2000, la place du nouveau produit dans l'architecture de gestion de Windows 2000, et l'administration d'Exchange Server pendant la transition à  Exchange 2000.

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Outlook 2000 – Comment effacer des rendez-vous récurrents

Outlook 2000 – Comment effacer des rendez-vous récurrents

Par Sue Mosher
Nous allons voir dans cet article comment, dans Outlook, supprimer des rendez-vous, notamment récurrents, et comment purger uniquement les événements qui se sont produits avant une certaine date.Tout d'abord, on choisit une propriété de date, à  partir de laquelle on va définir un filtre. La propriété logique à  utiliser pour un dossier de type calendrier est End. Supposons qu'un dossier calendrier contienne un événement qui débute le 25 Février 2001 et se termine le 4 Mars 2001. On souhaite supprimer tous les événements antérieurs au 1er Mars. Si on utilise la date de début comme critère pour le filtre, les évènements qui se déroulent sur huit jours vont aussi faire partie des objets effacés puisque leur date de début se situe avant le 1er Mars. Par contre, si on utilise la propriété End, ces éléments resteront dans le calendrier, puisque leur date de fin est plus récente que la date limite du 1er Mars.

Si on utilise la propriété End, ces éléments resteront dans le calendrier, puisque leur date de fin est plus récente que la date limite du 1er Mars

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Comment gérer plusieurs sites sur un serveur IIS

Comment gérer plusieurs sites sur un serveur IIS

par Mark Minasi

Je reçois entre 50 et 100 questions de lecteurs par jour. Les sujets sont très divers, mais une poignée de questions revient sans cesse. Quand je vois la même question se répéter, je juge que c'est un bon sujet d'article. La question liée à  Microsoft IIS que les lecteurs posent le plus souvent est la suivante : comment puis-je héberger deux, ou plus, sites séparés sur un serveur Web ? Supposons par exemple que vous ayez un serveur IIS et que vous vouliez l'utiliser pour faire fonctionner deux sites Web sans relation entre eux : www.pommes.com et www.oranges.com. Comment faire ?

La réponse semble très simple. IIS possède un Web Site Creation Wizard qui répond très bien aux questions de base (dans le snap-in Microsoft Management Console - MMC - Internet Information Services, faire un clic droit sur l'icône du serveur Web, puis choisir New, Web Site). Mais l'assistant (wizard) ne donne aucune idée sur la manière d'héberger deux sites sur un serveur.

Pour construire des sites multiples sur un serveur Web, trois étapes sont nécessaires. Premièrement, il faut séparer physiquement les fichiers HTML des deux sites dans des répertoires différents. Deuxièmement, choisir l'une des trois méthodes pour indiquer au site Web comment déterminer si un visiteur veut aller à  www.pommes.com ou www.oranges.com. Enfin, il faut configurer DNS de telle sorte que le navigateur Web du visiteur puisse trouver votre serveur Web.

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Le b a ba des techniques de reprise de Win2K

Le b a ba des techniques de reprise de Win2K

par Paula Sharick
Dans Windows 2000, tout est plus gros et plus élaboré que dans Windows NT, y compris les outils de dépannage et de réparation natifs. Quand l'OS pose des problèmes, on a trois possibilités : ...On a donc trois possibilités : utiliser l'ERD (Emergency Repair Disk) pour déclencher une opération de réparation ; initialiser (boot) en Safe Mode pour éviter les problèmes liés aux drivers ou aux applications ; ou, en dernier ressort, initialiser (boot) la RC (Recovery Console) et désactiver un driver ou un service défectueux. Ces trois outils peuvent aider à  diagnostiquer ou à  récupérer des problèmes système résultant de fichiers manquants ou corrompus, d'un driver à  la dérive, ou d'un fichier de pages temporaire. Pour déterminer l'outil ad hoc dans telle ou telle circonstance, il faut comprendre l'étendue des opérations de dépannage et de réparation qu'offrent l'ERD, le Safe Mode et le RC.

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Construire une infrastructure .NET efficace

Construire une infrastructure .NET efficace

par Jan de Clercq
Depuis l'été 1999, chaque nouveau logiciel Microsoft issu de Redmond utilise la marque .NET. Celle-ci comprend un ensemble d'applications COTS (Commercial Off-the-Shelf) qui s'exécutent par dessus la famille d'OS Windows 2000.
Microsoft applique également la marque .NET à  une architecture et une méthodologie de développement applicatif connues sous le nom de .NET Framework

Depuis l'été 1999, chaque nouveau logiciel Microsoft issu de Redmond utilise la marque .NET. Celle-ci comprend un ensemble d'applications COTS (Commercial Off-the-Shelf) qui s'exécutent par dessus la famille d'OS Windows 2000. Ces applications sont les suivantes : SQL Server 2000, Commerce Server 2000, BizTalk Server 2000, Exchange 2000 Server, Application Center 2000 Server, Mobile Information 2001 Server et Internet Security and Acceleration (ISA) Server 2000. Microsoft applique également la marque .NET à  une architecture et une méthodologie de développement applicatif connues sous le nom de .NET Framework. Comme les intentions de Microsoft envers la marque .NET sont très vastes, toute infrastructure informatique fondée sur la technologie Microsoft ou utilisant des applications Microsoft critiques, sera concernée.

Quand on envisage une infrastructure .NET, il faut réfléchir aux systèmes de sécurité que l'on veut mettre en place. Au minimum, ils doivent inclure une authentification rigoureuse, la protection de la confidentialité et de l'intégrité des données (pour les données envoyées sur le réseau et pour celles stockées sur tout genre de support), des services de non-répudiation et la protection « antireplay ». Ces services, et leurs technologies sous-jacentes, sont importants pour toute infrastructure et pas seulement pour .NET. Bien entendu, il existe aussi des fonctions de sécurité propres à  .NET. Toutefois, je me concentre ici sur la sécurisation de l'infrastructure .NET au sens large, plutôt que sur les fonctions de sécurité inhérentes aux diverses applications de .NET.

Pour mettre en oeuvre ces services de sécurité essentiels, il faut maîtriser quelques technologies clé et quelques principes de conception essentiels. La manière dont on établit les zones de sécurité et les pare-feu, les IDS (Intrusion Detection Systems), l'authentification, la délégation d'authentification, la PKI (Public Key Infrastructure) et le renforcement de la plate-forme, est essentielle à  une bonne infrastructure .NET.

Retrouvez les figures explicatives dans l'édition papier de cet article.

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Windows NT/2000 – Les sites à  voir …

Windows NT/2000 – Les sites à  voir …

Cette rubrique est ouverte à  l'ensemble des associations et groupements d'utilisateurs de Windows NT sur les territoires Francophones.
Si vous souhaitez y faire figurer votre site, et / ou mentionner vos prochaines dates de sessions ou de réunions, veuillez prendre contact avec le webmaster

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De 1 MHz à  1 GHz

De 1 MHz à  1 GHz

Combien de transistors peuvent danser dans la tête d'une puce ? A chaque fois que je me penche sur les projets IBM concernant les futures technologies de semiconducteurs, il me revient à  l'esprit la question proverbiale : combien d'anges peuvent danser sur une tête d'épingle ? Si la question des anges a hanté les théologiens pendant des siècles, les ingénieurs ont les idées beaucoup plus claires en matière de technologie de microprocesseurs.

En 1979, Gordon Moore, l'un des fondateurs d'Intel, a risqué une prédiction : observant que, depuis 1971, le nombre de transistors présent sur une puce avait doublé tous les 18 à  24 mois, il a prédit que cette tendance continuerait.
D'où la fameuse “ Loi de Moore ”, qui a prévalu pendant les 20 dernières années et ne semble pas devoir devenir caduque de sitôt. Cette densité croissante de transistors sur une puce résulte de notre capacité à  fabriquer des transistors toujours plus petits. La diminution de taille des transistors permet bien sûr d'en mettre davantage sur une seule puce, mais améliore aussi les performances.
Plus le transistor est petit, plus la distance que le courant (qui approche la vitesse de la lumière) doit parcourir dans le transistor pour effectuer une opération donnée est courte. Donc, les performances sont d'autant plus grandes que les distances sont plus courtes.

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Le Web selon SilverStream 3.0

Le Web selon SilverStream 3.0

On confond trop souvent les serveurs d'applications avec de simples serveurs Web. Souvent aussi les serveurs d'applications sont déclarés inutiles puisque l'emploi d'un serveur Web tel qu'Apache et des langages tels que PERL, PHP ou Java permettent de développer n'importe quel site Internet avec la même efficacité. Mais qu'est ce qui pousse certaines entreprises à  dépenser des dizaines (voire des centaines) de milliers de francs pour l'acquisition d'un serveur d'application ? La meilleure façon de répondre à  ces questions est de passer en revue les services offerts par un des serveurs d'applications les plus connus : SilverStream.

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Consultation des files d’attente de messages de MQSeries via Java

Consultation des files d’attente de messages de MQSeries via Java

par Jack J. Woehr
Le middleware MQSeries d'IBM fournit une fonction de file d'attente de messages avec livraison garantie, sur plates-formes hétérogènes.Avec MQSeries, une application peut placer des données (c'est-à -dire un message) dans une file d'attente et poursuivre son exécution. Une autre application permet de lire le message de manière asynchrone. C'est un peu ce que l'on trouve avec les files d'attente de données de l'AS/400 mais avec des fonctions supplémentaires telles que des fonctions de gestion des files d'attente de messages. Pour voir de plus près les possibilités de MQSeries, il est possible de consulter l'article " Envoyer des messages en toute confiance avec MQSeries ", NEWSMAGAZINE, juin 2000.

QBrowser est une application Java permettant d'inspecter et de manipuler une file d'attente de messages MQSeries

Avant d'intégrer MQSeries dans des applications, il faut prendre le temps d'apprendre l'interface, les techniques de coding nécessaires et comment " déboguer " la manière dont une file d'attente de messages est utilisée. Mon application QBrowser (présentée ci-dessous) peut apporter de l'aide de plusieurs manières. QBrowser est une application Java permettant d'inspecter et de manipuler une file d'attente de messages MQSeries, une aide précieuse pendant le développement et les tests. En outre, le code téléchargeable pour QBrowser propose moults exemples qui expliquent comment utiliser les classes Java qu'IBM fournit pour MQSeries. Il est possible de " cloner " des morceaux de ce code pour accélérer votre propre développement.

Avant d'entrer dans les arcanes de QBrowser, voyons d'abord comment MQSeries peut trouver sa place dans votre développement applicatif.

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Administrer les groupes sous Windows 2000

Administrer les groupes sous Windows 2000

par Kathy Ivens
Les groupes d'utilisateurs, notamment les groupes de sécurité, sont très utilisés pour l'administration dans les grandes entreprises. C'est un excellent moyen de traiter d'un coup de très grandes quantités de permissions et de droits d'utilisateurs, et non pas individuellement pour chaque utilisateur (une pensée qui fait froid dans le dos lorsqu'ils sont des milliers).
Les permissions sont des règles que l'on associe aux objets tels que les dossiers, les fichiers ou les imprimantes. Elles définissent quels utilisateurs peuvent y accéder et ce qu'ils sont autorisés à  faire, lorsqu'ils y accèdent. Les permissions pour un dossier peuvent, par exemple, inclure la lecture, la modification et la création de fichiers dans le dossier. Pour une imprimante, il peut s'agir de la suppression de travaux (y compris ceux appartenant à  d'autres utilisateurs), le changement d'options de configuration, et l'installation de pilotes. Les droits sont des règles définissant les actions pouvant être accomplies par les utilisateurs, comme, par exemple, la sauvegarde d'un ordinateur ou l'arrêt d'un système.

Essayez de considérer la constitution des groupes comme une affectation d'utilisateurs aux groupes, plutôt que comme des groupes contenant des utilisateurs. (On peut aussi affecter des ordinateurs aux groupes, mais cet article porte sur les groupes d'utilisateurs). Une conception des groupes sous cet angle permet de mieux comprendre l'idée qu'un utilisateur peut être membre de plusieurs groupes et qu'on peut également affecter des groupes à  d'autres groupes, en créant des groupes intégrés.

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Prenez le contrôle de vos tâches de gestion

Prenez le contrôle de vos tâches de gestion

par Paul Niser
La gestion des comptes d'utilisateurs est la seule fonction partagée par tous les administrateurs. Microsoft encourage l'utilisation du Gestionnaire des utilisateurs (ou du Gestionnaire des utilisateurs pour les domaines) pour ajouter, modifier ou supprimer un compte. Mais, si les tâches de gestion des comptes deviennent de plus en plus fréquentes, il faut bien reconnaître que l'utilisation du Gestionnaire des utilisateurs prend beaucoup de temps. Il faut, par exemple, au minimum huit clics de souris pour désactiver ou renommer un compte. Pour créer un nouveau compte avec quelques appartenances à  des groupes, un répertoire d'origine et un chemin de profil, il faut au moins une bonne vingtaine de clics - c'est vraiment trop.Les méthodes qui font appel aux lignes de commande sont beaucoup plus efficaces, simples et rapides que le Gestionnaire des utilisateurs. Ces utilitaires, notamment Addusers, Xcacls, Nltest, Sleep, Rmtshare et Cusrmgr, se trouvent dans le Kit de ressources de Windows 2000 Server et dans celui de Windows NT 4.0. Il est important de bien comprendre comment ces utilitaires d'administration peuvent, utilisés conjointement, simplifier la gestion des comptes et de l'environnement. C'est là  un plus à  ne pas négliger.

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Plus loin dans le partage de connexions Internet

Plus loin dans le partage de connexions Internet

Par Mark Minasi
Dans l'article " Connecter votre petit réseau à  Internet " du mois dernier, nous avons vu comment utiliser les fonctions natives de traduction d'adresses réseau de Windows 2000 (NAT) pour simuler la fonction de partage des connexions Internet, ICS, similaire mais plus simple. Cet article explique comment utiliser NAT pour augmenter vos possibilité de partage d'une adresse IP routable dans un réseau interne.
Le partage des connexions Internet ICS apparaît non seulement dans Windows 2000 Server, mais également dans Windows 2000 Professionnel, Windows 98 Second Edition et Windows Millenium Edition (Windows Me). NAT, n'est disponible quant à  lui qu'avec Windows 2000 Server. NAT et ICS permettent de partager une adresse routable entre des dizaines d'ordinateurs dans un réseau interne. Ces systèmes internes obtiennent une adresse non routable dans la tranche d'adresses commençant avec 192.169.0.0. Pour utiliser NAT ou ICS pour partager une connexion Internet, il suffit de connecter un ordinateur à  la fois au réseau Internet public routable, et au réseau interne non routable 192.169.0.0. L'ordinateur exécute NAT ou ICS et se comporte comme un routeur. Dans cet article, nous allons voir comment étendre les possibilités de ce routeur.

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eLiza Doolittle

eLiza Doolittle

par Carson Soule

Le nouveau projet eLiza d'IBM signifie peut-être beaucoup pour certains serveurs, mais pour l'iSeries il signifie : « Do little » (Fait peu).
Une lecture rapide des caractéristiques d'un système eLiza autogestionnaire attire une suite de « j'ai déjà  çà  » de la part des aficionados de l'iSeries.

Peut-être le dessein secret d'IBM est-il de transformer ses autres serveurs en serveurs iSeries. Ne serait-ce pas rendre enfin justice à  l'iSeries après qu'IBM et le marché l'aient ignoré pendant des années ?

Le nom eLiza vous rappelle peut-être My Fair Lady et, en fait, il faudra une métamorphose semblable à  celle d'Eliza Doolittle pour transformer un OS NT ou Unix en un participant au projet eLiza. Il manque tout simplement à  NT et à  Unix le soubassement pour fournir la sécurité et l'autogestion au niveau que les utilisateurs de l'iSeries tiennent pour acquis.

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NT – Les fondamentaux de la sécurité

NT – Les fondamentaux de la sécurité

par Randy Franklin Smith
On connaît l'adage « La force d'une chaîne est celle de son maillon le plus faible ». Peut-être serez-vous surpris de découvrir que le maillon le plus faible de la chaîne de sécurité high-tech de votre entreprise est une connaissance imparfaite des principes de base de la sécurité de Windows NT.

Même si l'on passe à  Windows 2000, une bonne compréhension de la sécurité NT est à  la base d'une meilleure compréhension de Win2K. Cette fondation n'est peut-être pas aussi solide qu'on le croit. En ce qui concerne les possibilités de sécurité « centralisée » de NT, plusieurs idées fausses persistent. Beaucoup pensent, à  tort, que le PDC d'un domaine NT contrôle entièrement la sécurité de tout le domaine. En réalité, la sécurité NT est terriblement décentralisée. C'est une combinaison complexe de zones de contrôle étroitement intégrées, comme la politique régissant les comptes, les droits des utilisateurs, la politique d'audit, les ACL, les listes de contrôle d'audit, l'autorité administrative et les services système. Le mélange se complique encore davantage quand on tient compte des domaines et des relations de confiance. Bien que la sécurité au niveau du domaine affecte chaque système du domaine, chaque station de travail ou serveur NT qui n'est pas un DC (domain controller) fonctionne aussi indépendamment par rapport à  la sécurité. De plus, on peut contrôler la sécurité locale sur chaque machine à  plusieurs niveaux (niveau système, niveau objet, par exemple).

Pour protéger entièrement tout le domaine, il faut comprendre l'interaction entre la sécurité au niveau domaine et la sécurité indépendante de chaque système. Il faut aussi comprendre parfaitement la manière dont chaque zone de contrôle de sécurité au niveau hôte fonctionne. A chaque niveau, des conseils de configuration importants peuvent aider à  verrouiller les ordinateurs contre les indésirables.

Retrouvez toutes les figures explicatives dans l'édition papier.

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WebLogic Application Server

WebLogic Application Server

Nouvelle version de WebLogic Web application server !

BEA Systems présente une nouvelle version de WebLogic Web application server. La version 6.1 ajoute un support pour SOAP (Simple Object Access Protocol), pour Web Services Description Language (WSDL) et Universal Description Discovery and Integration (UDDI).

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AS400 – Les sites à  voir …

AS400 – Les sites à  voir …

Cette rubrique est ouverte à l’ensemble des associations et groupements d’utilisateurs d'AS/400 sur les territoires Francophones.
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Des réseaux plus évolutifs grâce à  la simulation

Des réseaux plus évolutifs grâce à  la simulation

Autrefois, dans la plupart des réseaux, les partages de ressources étaient peu nombreux : accès aux serveurs de fichiers, aux imprimantes et, le cas échéant, à  une base de données. Aujourd'hui, en revanche, les entreprises distribuent informations et applications entre beaucoup d'utilisateurs. Les employés donc dépendent désormais du réseau pour faire leur travail, et, lorsqu'il tombe en panne, la perte d'accès pour les utilisateurs a des retombées l'entreprise ou ses clients. Pour éviter les pannes du réseau, il faut tester régulièrement les capacités de votre réseau et planifier les acquisitions qui lui permettront de satisfaire au fur et à  mesure aux besoins des applications. Sur de petits réseaux, vous pouvez utiliser des logiciels de surveillance de réseau et quelques formules simples pour diagnostiquer les problèmes ou prévoir la réaction du réseau aux ajouts de nouveaux matériels ou logiciels.
Cependant, au fur et à  mesure de la croissance d'un réseau, le nombre croissant de périphériques et de connexions rend impossible sa compréhension. Il se produit simultanément trop de conversations entre trop de périphériques via de trop nombreux acheminements, pour permettre de prévoir précisément comment la charge d'une application affectera une autre partie du réseau. Pour diagnostiquer les problèmes ou tester les nouvelles applications sur un réseau complexe, il faut simuler le réseau au moyen d'un programme de simulation, ou simulateur, afin de créer un modèle logiciel des éléments essentiels du réseau et de tester son fonctionnement avec différentes charges ou implémentations du réseau.
L'objectif de la modélisation du réseau étant de réduire les périphériques, les acheminements et les transactions d'un réseau pour obtenir un nombre gérable, le modèle doit comporter des simplifications et des hypothèses. L'astuce pour réussir la simulation d'un réseau est de savoir quels aspects du réseau on peut simplifier sans compromettre l'efficacité du modèle.
Pour simuler un réseau de production, il faut construire une représentation raisonnable de sa topologie, incluant les périphériques physiques et les paramètres logiques qui le composent. Il faut déterminer la quantité de trafic qui se trouve sur le réseau pendant la période que l'on souhaite émuler et spécifier une question à  laquelle la simulation devra répondre. Enfin, il faut exécuter le modèle au moyen d'un simulateur.

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Deux grandes applications au CCF supervisées par HP OpenView

Deux grandes applications au CCF supervisées par HP OpenView

Le réseau d'agences, en architecture client-serveur hétérogène, du CCF et ses applications de banque en ligne, notamment la bourse sur Internet, sont supervisés par HP OpenView" La plus grande des petites banques ". C'est ainsi que se qualifie le CCF. En effet, avec ses 650 agences et 13.000 employés pour servir plus d'un million de clients, cette banque a une envergure considérable. Et pourtant, elle essaie d'être aussi réactive que les petites. C'est pourquoi le CCF a lancé en 1997 le projet " Perses 2000 ", une plate-forme de production en réseau d'agences en client-serveur. La maîtrise d'oeuvre du projet, comprenant le déploiement du réseau d'agence et son administration, a été confiée à  Hewlett-Packard. L'objectif est d'assurer la disponibilité du système et le bon fonctionnement des traitements planifiés et non planifiés. Les premiers sont définis dans le plan de production CCF. Il s'agit, le jour, de la surveillance des PC, de l'activation des éditions, de l'activation de la procédure de mise à  jour des installations, du démarrage des services spécifiques NT, etc. La nuit, les traitements planifiés sont la vérification des fichiers applicatifs, les sauvegardes, purges, historiques, la vérification de la bonne exécution des programmes, etc. Quant aux traitements provoqués, ils sont déclenchés en cas d'erreur. Il s'agit par exemple de la réorganisation des fichiers lors de dysfonctionnement, le jour, ou bien, la nuit, de mettre à  jour des fichiers, préparer des fichiers éditions, etc. " Nous avons lié la réception de fichiers à  des traitements, lesquels sont eux-mêmes surveillés et peuvent envoyer des alertes ", explique Pierre Bloch, directeur des études informatiques du CCF. Ainsi, lorsqu'une session ne se déroule pas normalement, et si l'attente dépasse un seuil (cinq tentatives de 1 minute, par exemple), une alerte est automatiquement envoyée à  l'administration centrale qui prend la main.

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Distribuer les modifications du registre <BR>

Distribuer les modifications du registre

par Kathy Ivens
A chaque fois que je conseille de modifier le registre pour résoudre un problème, on me pose immanquablement la même question : " Comment faire pour effectuer une modification du registre sur plusieurs ordinateurs sans se déplacer sur chaque machine ? " Il existe trois méthodes pour distribuer des modifications du registre à  travers un réseau : l'importation de fichiers de registration (.reg), l'utilisation de regini.exe, ou bien les stratégies de groupe ou les stratégies système.
Avant de décrire les trois méthodes permettant de distribuer les modifications apportées au registre, je me dois de lancer l'avertissement usuel : attention de ne pas mettre la pagaille dans le registre, ce serait dangereux. N'essayez pas de mettre en application une des suggestions ci-dessus, à  moins de bien connaître le registre et d'être un utilisateur expérimenté. Avant de commencer, par mesure de sécurité, utilisez regedit.exe pour exporter une clé. Le fichier exporté porte l'extension .reg. Ainsi, en cas de problèmes consécutifs à  la manipulation de la clé, le dommage sera vite réparé en important de nouveau le fichier dans le registre. (Même si vous préférez travailler avec regedt32, il vaut mieux ouvrir d'abord regedit et exporter la clé qui va être mise au point. Les fonctions export et import de Regedit sont plus facile à  utiliser que les procédures de sauvegarde équivalentes de regedt32).

L'éditeur de stratégies de groupe de Windows 2000 ou l'éditeur de stratégies système de Windows NT et Windows 9x permettent d'appliquer de nombreuses restrictions aux utilisateurs et aux ordinateurs. Cet article part du principe que les changements expliqués ci-dessous n'ont pas encore été effectués sur ces ressources et que les mises au point du registre représentent la meilleure option pour résoudre les problèmes qui se posent à  votre système.

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