
Connexions Windows 2000 d’Exchange 2000
par Tony Redmond - Mis en ligne le 09/10/02
Microsoft Exchange 2000 Server
est bien plus intégré à Windows 2000
qu'Exchange Server 5.5 ne l'est à
Windows NT. Comme je l'explique
dans « Interaction entre Exchange 2000
et Win2K », mars 2002, la réussite du
déploiement d'Exchange 2000 peut
dépendre de votre maîtrise de cette intégration ...Dans cet article, j'explique
comment Exchange 2000 s'appuie sur
la réplication AD (Active Directory) et
FRS (File Replication Service) et je
couvre certains des processus liés à
l'installation de l'ADC (Active
Directory Connector) et votre premier
serveur Exchange 2000. Vous devez
aussi comprendre comment Exchange
2000 s'appuie sur le modèle d'autorisations
de Win2K, le compte ordinateur
LocalSystem, l'organisation de votre
forêt d'AD, la position du GC (Global
Catalog), DNS, et Microsoft IIS.



Interactivité entre le frontal Acces et le moteur SQL Server
par Rick Dobson - Mis en ligne le 10/06/2002
Microsoft Access 2002 est la version
d'Access livrée avec Microsoft Office XP.
nous savons tous aujourd'hui que XP est
synonyme d'expérience. Quand on utilise
des projets Access dans Access 2002,
pourrait en conclure qu'Access 2002 est
seconde tentative de Microsoft pour améliorer
l'expérience - particulièrement
pour SQL Server 2000.
L'expérience est plus conviviale et même si Microsoft continuera sans aucun doute à améliorer Access dans de futures versions, Access 2002 offre pléthore de nouvelles fonctions intéressantes si vous utilisez SQL Server 2000 ou si vous l'envisagez.
Access 2002 est compatible avec SQL Server 2000, tandis qu'Access 2000 nécessite quelques aménagements pour fonctionner avec lui. Et Access 2002 s'intègre plus étroitement à SQL Server 2000 qu'Access 2000. En outre, Access 2002 introduit plusieurs designers visuels nouveaux et améliorés et des propriétés étendues qui rendent l'utilisation de SQL Server à partir d'Access, plus puissante et plus simple. Si vous envisagez d'utiliser XML pour accomplir plus facilement certaines tâches de base de données courantes, Access 2002 propose deux nouvelles méthodes qui simplifient considérablement l'import et l'export de documents XML de bases de données SQL Server.
Un projet Access est un type spécial de fichier Access qui se connecte à une base de données SQL Server par l'intermédiaire d'une connexion OLE DB. Un projet Access facilite de nombreuses fonctions de définition de base de données SQL Server (création des bases de données, des tables, des vues et des procédures cataloguées, par exemple) et s'intègre étroitement avec les formulaires, rapports, et pages Web d'Access (que Microsoft appelle pages d'accès aux données). Les projets Access dans Access 2002 demandent quelques aménagements pour être compatibles avec SQL Server 2000. (Pour plus d'informations sur les étapes nécessaires pour l'intégration, voir l'article Microsoft « ACC2000: Incompatibility Issues Between Access 2000 Projects and SQL Server 2000 » à http://support.microsoft.com/support/kb/ articles/q269/8/24.asp.) En revanche, Access 2002 est immédiatement compatible avec SQL Server 2000 (ainsi qu'avec SQL Server 7.0 et 6.5).
Dans Access 2002, l'UI (interface utilisateur) pour le projet Access a changé pour tenir compte des fonctionnalités nouvelles et améliorées, qui font d'Access 2002 un meilleur outil de développement pour SQL Server que son prédécesseur. Les changements d'UI sont évidents dans les options de menu, dans les options proposées dans la fenêtre Database, et dans les concepteurs visuels pour les tables, les procédures cataloguées, et les UDF (userdefined functions).
Lire l'article
Guide du serveur Apache, 3ème partie
par Brian R. Smith - Mis en ligne le 05/02/2003
Dans la première partie de cet article
(iSeries News mai 2002), nous sommes partis de zéro
avec votre premier serveur Apache
fonctionnant sur l'iSeries. Ensuite,
(iSeries News juin 2002), nous avons vu comment ce serveur de fichiers fantaisie (HTTP) est configuré,
comment il achemine les requêtes, et
comment la GUI vous aide dans la
configuration.Dans cette 3e partie, nous allons analyser pas à pas la puissance de
l'interface utilisateur graphique (GUI)
pour vous aider à configurer le serveur
HTTP (animé par Apache).

Ouvrez la voie à la réplication snapshot à grande échelle
par Herts Chen - mis en ligne le 18/12/02
Si vous êtes développeur d'applications
ou de bases de données, vous déplorez
probablement le temps excessif
que des utilitaires comme bcp (bulk
copy program), DTS (Data Transformation
Services) et la réplication
snapshot mettent pour copier une
quantité massive de données en plusieurs endroits ...Ainsi, un snapshot
d'une base de données contenant 500
Mo de données définies avec des
contraintes de clés et des index peut
durer 2 heures pendant la journée de
production ou 1 heure et demi la nuit,
pour effectuer un transfert entre deux
serveurs de bases de données haut de gamme, à quatre voies, avec 1 Go de
RAM et RAID 5. Cette performance est
inacceptable dans une ferme de serveurs
à équilibrage de charge 24x7 ou
dans un entrepôt de données d'entreprise
distribué dont le temps disponible
hors période de pointe est trop
court pour tolérer le transfert de multiples ensembles de données massifs
vers tous les serveurs. Mais alors,
comment peut-on accélérer la distribution
des données ?

Tout sur la restauration
par Kalen Delaney - Mis en ligne le 26/11/2002
Restaurer une base de données SQL
Server après un sinistre est l'une des
missions les plus importantes d'un administrateur
système (sa, systems administrator).
Pourtant, la reprise fait
souvent l'objet de moins d'attention
que son opération jumelle, la sauvegarde ...
La plupart des administrateurs compétents savent qu'ils doivent sauvegarder régulièrement les données critiques. Aussi, comme la sauvegarde est généralement une opération plutôt simple, ils la confient souvent à un novice de l'équipe d'administration. Il n'y a d'ailleurs rien à y redire, tant que le débutant en question utilise une procédure rigoureuse.
En revanche, on confie rarement à des novices les opérations de restauration. Or, comme la restauration d'une base de données n'est pas une opération quotidienne, un administrateur de SQL Server peut fort bien gérer des bases de données pendant des années sans jamais faire une restauration d'urgence. Et donc, le jour où il doit procéder à une restauration après un sinistre, il n'est pas préparé à toutes les subtilités de l'opération. Des pépins inattendus dans la restauration peuvent vous obliger à consulter SQL Server Books Online (BOL) et la Microsoft Knowledge Base pour résoudre des problèmes, pendant que toute l'entreprise attend fièvreusement de pouvoir disposer à nouveau des données. Vous devez donc être prêt à affronter des problèmes inattendus et vous devez tester le plan de reprise. Si vous n'avez pas encore complètement testé vos opérations de reprise en simulant un scénario catastrophe, réfléchissez à une telle simulation dès que vous aurez fini de lire cet article. J'y passe en revue divers types d'opérations de sauvegarde, y compris des sauvegardes complètes, différentielles et du journal de transactions. Ensuite, j'explique les opérations de restauration de base et décris ce que SQL Server fait pendant qu'il restaure vos données. Dans de futurs articles, nous verrons les détails à connaître quand on transfère une base de données dans un nouvel endroit avec des utilisateurs différents. Nous verrons aussi les problèmes posés par la restauration de tout un système SQL Server au lieu d'une simple base de données d'utilisateurs.
Lire l'article
Actualités Windows NT / 2000 – Semaine 44 – 2002
Actualités du 28 Octobre au 03 Novembre 2002


Fixer le cap avec Visual Studio .NET
par Michael Otey - Mis en ligne le 23/09/02
Visual Studio .NET est probablement
l'étape la plus marquante de l'évolution
de l'environnement de développement
graphique de Microsoft depuis Visual
(VS) 1.0. Visual Studio .NET n'est pas un
simple relookage d'IDE (Environnement
de développement intégré) agrémenté
de quelques nouveaux outils de productivité.
...Son examen révèle que le nouveau produit se démarque nettement des versions
précédentes de VS. Les changements
ne sont pas que cosmétiques: les
améliorations de l'UI ne sont que le
sommet de l'iceberg. En dessous, les
changements permettent d'utiliser
Visual Studio .NET pour développer des
applications Microsoft .NET. Ces changements
supportent les langages C# et
Visual C++ (VC++), appliquent les
améliorations radicales apportées à
Visual Basic (VB) intégrées dans le langage
Visual Basic .NET, gèrent un nouveau
modèle de programmation appelé
services XML Web, et supportent le nouveau
framework de classe .NET.

WMIC
par Ethan Wilansky - Mis en ligne le 22/10/2002
Microsoft vous donne beaucoup de
raisons de manager les systèmes à partir
de l'invite de commande de la famille
Windows XP et Windows .NET
Server. WMIC (Windows Management
Instrumentation Command Line), qui
utilise la puissance de WMI (Windows
Management Instrumentation) pour
permettre l'administration des systèmes
depuis la ligne de commande,
est l'une de ces raisons.
WMI a joué un grand rôle dans l'initiative d'administration système de Microsoft depuis Microsoft SMS (Systems Management Server) 2.0 et s'est encore renforcé depuis l'introduction de Windows 2000. Toutefois, avant l'introduction de WMIC, il n'était pas facile d'accéder au référentiel WMI de l'espace de noms WMI à partir d'une invite de commande.
Pour les tableaux et listings de cet article, veuillez consuletr l'édition papier : Window & .Net Magazine n°5 - Mai 2002.
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Contrôler les droits utilisateur et les groupes intégrés
par Randy Franklin Smith - Mis en ligne le 09/10/02
Comme je l'ai démontré dans les articles
précédents de cette série sur les
principes fondamentaux de la sécurité
Windows NT, cette sécurité n'est pas
aussi centralisée que beaucoup le pensent.
Vous devez configurer et maintenir avec soin les paramètres de sécurité ...
... y compris les droits utilisateur et les groupes intégrés NT - sur chaque système du domaine. Chaque serveur et station de travail membre a un SAM local avec un ensemble discret d'attributions de droits et de groupes intégrés ; de plus, les DC (domain controllers) dans chaque domaine partagent un ensemble commun de droits et de groupes intégrés. Il faut bien comprendre les répercussions différentes des droits que l'on attribue à un serveur ou à une station de travail membre et ceux que l'on attribue à un DC. Il faut aussi comprendre les autorités que les groupes intégrés de NT octroient et comment les groupes locaux sur les serveurs et les stations de travail membres peuvent interagir avec des groupes de domaines pour renforcer ou affaiblir la sécurité de votre réseau.
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Les nouveautés de la semaine 26 – Windows 2000 & .Net – 2002
Tous les nouveaux produits du 24 au 30 Juin 2002
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Résoudre les problèmes de Logon AD liés à DNS
par Mark Minasi - Mis en ligne le 17/06/2002
"Je mets Win2K Server sur un autre ordinateur et exécute Dcpromo pour faire de cet ordinateur le second DC dans le domaine. Mais Dcpromo dit qu'il est incapable de contacter le domaine ..." - Pour détecter où et quand les
choses se gâtent ...
De nombreux lecteurs me posent ce genre de question : « J'installe un ordinateur de test appelé DC1 à 192.168.1.4 pour travailler avec Active Directory (AD). Cet appareil utilise Windows 2000 Server et joue le double rôle de serveur DNS et de premier DC (domain controller) AD sur mon domaine de test, que j'appelle acme.com.
Tout se passe bien avec ce DC - je peux créer des utilisateurs et utiliser tous les outils administratifs AD. Ensuite, je mets Win2K Server sur un autre ordinateur nommé DC2 à 192.168.1.5 et exécute Dcpromo pour faire de cet ordinateur le second DC dans le domaine. Mais Dcpromo dit qu'il est incapable de contacter le domaine et qu'il ne peut pas faire de DC2 un DC pour acme.com. Pourtant je peux envoyer un ping à DC1 à partir de DC2 et viceversa, et les DC sont sur le même sousréseau, alors pourquoi ne peuvent-ils pas se « voir » mutuellement ?
Pour détecter où et quand les choses se gâtent, nous allons reconstituer le scénario.
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Sauvegarde et restauration avec Split Mirror
par Ron Talmage - Mis en ligne le 10/06/2002
SQL Server 2000 peut sauvegarder de
très grandes bases de données (VLDB,
very large databases) rapidement et
sollicitant très peu le serveur de base
de données. Mais en restaurant à partir
de ces sauvegardes, on risque de réduire
la disponibilité de la base de données.
En effet, l'un des principaux inconvénients de la restauration d'une VLDB est de la rendre indisponible pendant cette opération, c'est-à -dire pendant plusieurs heures. Pour résoudre le problème de l'indisponibilité de la base de données pendant une restauration, Microsoft s'est unie avec trois importants fournisseurs de SAN (Storage Area Network) - Compaq, EMC, et Hitachi Data Systems (HDS) - pour permettre la sauvegarde et la restauration en mode split-mirror. La restauration split-mirror peut se faire en quelques secondes, réduisant donc considérablement le temps d'indisponibilité de la base de données. Pour tous ceux qui veulent une grande disponibilité de la base de données et ne peuvent pas se permettre le temps d'interruption qu'impose la restauration, la technologie split-mirror offre une solution simple fondée sur le hardware.
Toutes les éditions de SQL Server 2000 possèdent la fonction splitmirror. Contrairement à l'interface de sauvegarde et de restauration bien connue de SQL Server 2000, le procédé split-mirror a besoin de matériel spécialisé et de logiciel tierce partie. Pour effectuer une sauvegarde ou une restauration split-mirror, il faut stocker le contenu de la base de données sur des jeux de lecteurs en miroir, en configuration SAN. Les opérations de sauvegarde et de restauration se déroulent dans le sous-système de stockage sur disque, et donc concernent peu le serveur de base de données SQL Server 2000.
Les deux types de sauvegarde diffèrent également par leur mécanismes sous-jacents. Dans une sauvegarde SQL Server 2000 classique, SQL Server écrit des pages de données sur l'unité de sauvegarde, qui peut être un fichier disque ou un lecteur de bande. En revanche, dans une sauvegarde splitmirror, SQL Server laisse au logiciel et au matériel du fournisseur du sous-système disque la responsabilité du stockage des données.
La sauvegarde split-mirror préserve la disponibilité de la base de données car elle la sauvegarde en quelques secondes. On peut donc se permettre des sauvegardes plus fréquentes. Et la restauration d'une base de données à partir d'une sauvegarde split-mirror est tout aussi rapide. La sauvegarde split-mirror permet pratiquement de se dispenser des ressources du serveur de base de données pour cette opération. De plus, on peut initialiser un serveur secondaire beaucoup plus rapidement qu'avec la méthode de sauvegarde et de restauration SQL Server standard.
Mais n'oubliez pas que la sauvegarde split-mirror demande du matériel et du logiciel spécialisés. Il faut que la base de données soit stockée sur un sous-système disque avec miroir - en principe RAID 10 sur un SAN. En outre, elle nécessite un utilitaire logiciel de gestion de volumes spécialisé pour communiquer avec SQL Server 2000. Il faut donc mettre en balance les avantages de la technologie split-mirror et le coût du logiciel et du matériel système disque qui l'accompagnent.
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Extensibilité de Java pour l’iSeries, 2ème partie
par Rick Peterson - Mis en ligne le 05/02/2003
Dans la première partie de cet article
(iSeries News, juin 2002), nous
avons vu comment régler votre iSeries
pour un maximum de performances
Java et d'extensibilité (ou d'évolutivité).
Ici, j'explique comment régler les
applications Java elles-mêmes pour obtenir
le maximum d'extensibilité et de
performances sur un iSeries.Parmi les nombreuses méthodes
qui rendent les applications plus évolutives,
j'en retiendrai trois :
• Limiter la synchronisation
• Garder tous les processeurs occupés
avec des threads actifs
• Eliminer l'excès de création d'objets
et de gestion de piles

Trucs & Astuces : utilisateurs, Smart Tags, IIS
Quelques trucs & astuces : restreindre les utilisateurs Windows2000 à une seule connexion simultanée, comment désactiver les Smart Tags sur votre site web, comment programmer Microsoft IIS pour un redémarrage automatique en cas de saturation de la mémoire, changer l'emplacement de la metabase pour Microsoft IIS afin de renforcer la sécrité.
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SQL Server 2000, Effectuez une installation efficace
par Itzik Ben-Gan - Mis en ligne le 26/11/2002
Microsoft s'efforce de simplifier au
maximum l'installation de son logiciel,
et SQL Server 2000 n'y fait pas
exception. A partir du CD-ROM
d'installation, on charge setupsql.
exe depuis le dossier x86\setup, on
renseigne quelques rubriques de
l'écran de dialogue setup et, dans
les minutes qui suivent, l'installation
se poursuit sans intervention de
l'utilisateur. On peut même installer
SQL Server 2000 sans rien comprendre
aux choix proposés, ...
... juste en cliquant sur Next dans la plupart des boîtes de dialogue setup. Mais ne prenez surtout pas l'installation à la légère : faites attention à chaque option et veillez à bien comprendre les implications et conséquences de chacun de vos choix. Certaines mauvaises décisions, comme un paramétrage de collation défectueux, pourraient être difficiles à rattraper. D'autres, comme le fait d'accepter l'authentification par défaut, pourraient bien mettre à mal la sécurité.
Voyons quelques points importants à propos de l'installation standard : configuration des instances, sécurité, collations, et Network Libraries. Ensuite, étudions les options avancées des installations, sans assistance et à distance. L'encadré « Reconstruire le registre » indique ce qu'il faut faire en cas de corruption des métadonnées de tables non système.
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Microsoft Content Management Server
Mis en ligne le 28/10/2002
Système de gestion de contenu de dernière génération, Microsoft Content Management Server réduit considérablement le temps nécessaire à la création et au déploiement d'applications et de sites Web e-business fortement dynamiques et personnalisés en leur offrant une solution évolutive et fiable.

Démodés les écrans passifs ? Rien n’est moins sûr !
par Jean Mikhaleff - Mis en ligne le 19/11/2002
Quel est le principal handicap de l'OS/400 ? Les interfaces en mode caractères qui seraient
obsolètes par rapport aux interfaces graphiques de type Windows ? Pas si sûr. De
plus le vent est peut être en train de tourner… Regardons y de plus près…Depuis quelques années, la cohabitation
des interfaces graphiques de
type Windows et de celles du Web est
un fait acquis. Il y a donc aujourd'hui
non pas une mais deux sortes d'interfaces
graphiques. L'ergonomie
Windows ne constitue plus un passage
obligé de l'affichage graphique pour
les écrans en mode caractères. Fait
nouveau, l'interface Web est devenue
aussi populaire que l'interface Windows, chacune dans son domaine
de prédilection.
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