Actu Windows semaine 29
Partenariat entre Northern et SSII APX : NSS va multiplier sa diffusion.
Northern signe un contrat Platinum avec APX. L'éditeur a pu annoncer la signature de son partenariat Platinum avec APX, qui permettra notamment la plus grande diffusion de Northern Storage Suite, gestionnaire de ressources de stockage.
Microsoft Windows Server 2008 R2 a le vent en poupe !
Au cours de l’évènement HP, la part belle était faite notamment aux meilleures nouveautés : le lancement de Windows Server 2008 R2 est loin d’être passé inaperçu.
Pour Microsoft, cet évènement venait en supplément du Microsoft Mobility Briefing, survenu un peu plus tôt. Même si les thématiques abordées ne correspondaient pas en tout point – il a été aussi question de la virtualisation et des nouveautés serveurs - le groupe a su se démarquer par les innovations présentées côté serveurs.
Développer une stratégie de stockage en songeant à la conformité
Les professionnels des technologies de l’information (IT) sont confrontés à des dizaines d’exigences de type administratif, législatif et fiscal, qui pèsent sur la gestion du stockage. Dans de futurs articles de cette série, nous verrons des solutions de stockage adaptées à ces besoins.
Contenu complémentaire : Résoudre la problématique de gestion des e-mails avec LEGATO Prendre en main la gestion des données d'Exchange |
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Principes de base des serveurs de fichiers
Alors qu’un serveur de fichiers est l’un des éléments phares dans la salle des serveurs, il est étonnant de voir combien ces serveurs sont désorganisés dans de nombreuses entreprises.
Après en avoir aidé plusieurs à réorganiser leurs serveurs de fichiers, j’ai décidé de partager certains problèmes courants rencontrés et de vous présenter quelques remèdes en utilisant les fonctions intégrées de Windows 2003, des add-ons gratuits et de nouveaux processus de gestion. Vous l’aurez compris, il faut s’organiser !
Contenu complémentaire : Collecter les données des systemes de fichiers |
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XML et SQL SERVER
Les informations échangées entre les différents systèmes, les différentes applications le sont de plus en plus auSQL Server, se sont adaptées. En effet, SQL Server à, entre autre, pour objectif de faciliter le travail avec les données. Pour cela, SQL Server dispose d'un ensemble d'instructions pour extraire des informations relationnelles au format XML ou bien l'opération inverse qui consiste à lire des données au format XML afin de stocker les informations dans une structure relationnelle classique.
Ces 2 étapes sont nécessaires et permettent de confier au moteur de base de données la plupart des transformations depuis ou vers le format XML à SQL Server. Mais SQL Server propose plus en offrant la possibilité de créer des colonnes de type XML. En intégrant directement les informations XML dans la structure relationnelle classique, SQL Server offre plus de souplesse en terme de stockage. Ce type XML est bien plus qu'un simple champ texte car SQL Server rend possible l'indexation des colonnes de type XML mais également la mise à jour, l'ajout et la suppression de données dans le document XML lui-même.
Ce sont ces trois fonctionnalités (extraire les informations au format XML, importer des données XML, stocker des données au format XML) de SQL Server qui sont exposées ci-dessous.
L’informatique peut-elle être « green » ?
« Green computing », « informatique écologique », les personnes travaillant dans le milieu IT entendent parler de ces concepts depuis un bon bout de temps.Avec le Grenelle de l'environnement en France et une certaine « mode » écologiste dans le reste du monde, tous les nouveaux produits High Tech vantent désormais leurs bienfaits pour l'environnement. Mais qu’en est-il réellement ?
Lire l'articleSauvegarde et restauration : 6 erreurs fréquentes
Il n’y a rien de plus pénible que d’avoir besoin de restaurer des données à partir d’une sauvegarde, mais de ne pas pouvoir le faire, pour une raison ou une autre. En informatique, la majorité des utilisateurs font cette cruelle expérience un jour ou l’autre. Le désagrément est encore plus fort et plus fréquent pour les administrateurs responsables de volumes importants de données métier. Bien que les technologies de sauvegarde et de restauration aient progressé ces dernières années, vous les utilisez probablement uniquement en dernier recours. Lorsque tout le reste a échoué, vous essayez la restauration à partir des sauvegardes.Pour que cette alternative soit viable, vous devez être suffisant confiant dans la disponibilité et la lisibilité de vos données au moment où vous en aurez besoin. Toutefois, les administrateurs Exchange commettent plusieurs erreurs courantes qui entravent le bon déroulement de leurs opérations de sauvegarde et de restauration.
Lire l'articleCompression : notions fondamentales
Les routines de compression recherchent les séquences de données récurrentes dans les fichiers, puis remplacent celles-ci par des séquences de bits plus courtes, appelées jetons. Les fichiers qui contiennent de nombreux bits récurrents tirent le meilleur parti possible de la compression.Par exemple, vous pouvez réduire sensiblement la taille de la majorité des fichiers en mode point et des documents Word. En revanche, les fichiers JPEG sont déjà compressés et les avantages à essayer de réduire davantage leur taille sont limités, voire nuls.
Lire l'articleRéplication de base de données contre réplication du stockage
De nombreux base de données permet de satisfaire des exigences de réplication spécifiques non prises en charge par l’autre approche. Le présent article se propose d’examiner les trois facteurs décisifs à prendre en considération afin de combiner au mieux les deux approches pour votre organisation.
Lire l'articleCompressez vos données
Les .NET Framework pour étendre la puissance de SQL Server 2005.
Vue d’ensemble des informations de fragmentation SQL Server
L’article « Organisation des index dans SQL Server 2005 » présente les spécifications permettant d’appeler la nouvelle fonction TVF (Table-Valued Function) sys.dm_db_index_physical_stats() dans SQL Server utilise des listes de pages séparées (organisées en fonction du mode de stockage par SQL Server des données sur la page). Par ailleurs, la version 2005 introduit la possibilité de créer une table ou un index sur des partitions distinctes, chaque partition ayant sa propre liste de pages. Une liste de pages d’un type pour une partition est appelée unité d’allocation. SQL Server 2005 gère un maximum de trois unités d’allocation pour chaque table ou index de chaque partition. Ces trois unités d’allocation sont mappés avec trois types de pages gérés par SQL Server 2005 : IN_ROW_DATA (à savoir les lignes de données ou d’index classiques), LOB_DATA (à savoir, les données d’objets de grande taille, telles que text, ntext ou image) et ROW_ OVERFLOW_DATA (un nouveau type de stockage).
Lire l'articlePoursuite de l’activité grâce au stockage externe
Le stockage externe serait-il la panacée de la poursuite ou continuité de l’activité ? Peut-être. Avec le nouveau processeur d’entrées/sorties (IOP, I/O Processor), vous pouvez désormais, pour la première fois, faire un IPL de votre System i directement à partir du stockage externe.Le sous-système de stockage externe peut donc répliquer la source de chargement avec le reste du système. Il est séduisant de penser que nous pouvons simplement activer la réplication matérielle et obtenir ainsi, en un clin d’oeil, la haute disponibilité (HA, high availability).
Lire l'articleBande virtuelle : la bonne affaire
La bande virtuelle n’est plus quelque chose de théorique sur le System i : elle existe vraiment. IBM l’a introduite comme une nouvelle fonction en V5R4 et l’inclut dans le système d’exploitation sans frais supplémentaires. Vos sauvegardes et restaurations s’exécuteront-elles à la vitesse de la lumière ?C’est possible. Cela signifie-t-il que vous n’aurez jamais plus à acheter une autre bande ? Pas exactement. Cet article brosse un panorama de la bande virtuelle et explique son intérêt dans un environnement « réel ».
Lire l'articleDix étapes pour bâtir un bon plan de reprise après sinistre
Il suffit de regarder et d’entendre les infos de tous les jours pour se convaincre de l’importance d’un plan de reprise après sinistre pour votre entreprise. Il y a peu de risque que vous connaissiez jamais un désastre de niveau 4, du genre attaque terroriste ou catastrophe naturelle, comme un ouragan ou une inondation. Mais même des catastrophes de niveau 1, 2 ou 3, bien plus probables, comme des coupures de courant et un mauvais fonctionnement du serveur, peuvent paralyser l’exploitation faute de plan permettant de rétablir rapidement les services informatiques.Le tableau 1 donne la liste et la description des quatre niveaux de sinistres. Vous avez probablement déjà un plan de reprise après sinistre, mais il convient de l’examiner périodiquement et de l’actualiser pour tenir compte de l’évolution de l’entreprise. Fort de mon expérience de développement de tels plans pour les clients, j’ai dressé une liste de 10 étapes qu’une organisation de toute taille devrait suivre lorsqu’elle crée un nouveau plan de ce type ou lorsqu’elle revoit un plan existant.
Lire l'articleBoîte à outils System iNEWS : intéret de iSCSI pour l’installation d’un SAN
Je suis chargé de choisir et d’installer un SAN (storage area network) dans mon entreprise. Je suis confronté au choix entre la connectivité fiber channel traditionnelle et le procédé iSCSI plus récent. A en croire mon entourage, le principal intérêt de iSCSI est qu’un HBA (Host Bus Adapter) spécial n’est pas nécessaire sur le System […]
Lire l'articleNouveau support de JOB LOG SERVER en V5R4
Parlons des job logs : beaucoup d’indésirables, beaucoup de temps gaspillé à en rechercher, manque de contrôle de leur planification. Tous ces problèmes appartiennent au passé. Le nouveau support de job log serveur V5R4 est là pour les résoudre. Le nouvel attribut de job V5R4 appelé Job Log Output (LOGOUTPUT) permet de commander la production d’un job log : si, quand et comment. Il est désormais possible de sortir la production des job logs de la voie normale quand un job se termine pour aller dans un job de service ; ou bien de mettre le job log en suspens et le différer indéfiniment. Si vous le souhaitez, vous pouvez aussi continuer la pratique actuelle qui consiste à laisser les jobs produire leurs propres job logs pendant la conclusion du job.
Lire l'articleEnfin une solution de sauvegarde automatisée souple !
En présentant Windows 2000, Microsoft a rénové l’utilitaire de sauvegarde intégré NTBackup et a ajouté des possibilités de gestion de médias et de planification. Bien que ces mises à jour soient les bienvenues, j’ai lu dans des forums Web et dans des newsgroups, des commentaires indiquant que bon nombre d’administrateurs et d’autres utilisateurs avaient eu du mal à faire fonctionner NTBackup.Dans ma société, nous avons utilisé un logiciel de sauvegarde tierce partie sur Windows NT 4.0, parce que l’outil NTBackup de NT 4.0 n’était pas à la hauteur de nos besoins. Quand nous sommes montés d’un cran pour passer à Windows Server 2003, j’ai examiné à nouveau NTBackup pour voir si la version remaniée serait suffisamment puissante et si elle serait facile à automatiser. Cet examen m’a permis de découvrir quelques lacunes de NTBackup:
• Il n’existe pas de moyen simple d’écrire une sauvegarde sur une bande arbitraire, sauf à utiliser l’option /um (unmanaged) sur la ligne de commande. Cette option permet d’écraser le contenu d’une bande arbitraire. Malheureusement, quand NTBackup fait cela dans un job de sauvegarde, il applique toujours un nouveau label de média – soit un label de votre cru, soit un label générique fondé sur la date et l’heure courantes. Aucun moyen intégré ne permet d’ordonner à NTBackup d’écraser la bande tout en conservant le label actuel.
• Il n’existe pas de moyen simple d’ajouter une information de sauvegarde à une bande insérée, parce qu’il faut utiliser l’une des deux options /t (tape name) ou /g (globally unique identifier – GUID) sur la ligne de commande. Le mode unmanaged ne fonctionnera pas parce qu’on ne peut ajouter qu’à une bande nommément désignée.
• NTBackup ne peut pas éjecter une bande après une sauvegarde.
• NTBackup ne peut ni envoyer par e-mail, ni imprimer les journaux de job obtenus.
Pour pallier ces insuffisances, j’ai créé un ensemble de scripts dont la liste figure dans le tableau Web 1 (http://www.itpro.fr Club abonnés). L’ensemble comporte un script principal et 13 scripts de soutien. Le script principal, Backup.cmd, utilise NTBackup pour effectuer une sauvegarde qui écrase la bande courante mais ne change pas son label de média. Les 13 scripts de soutien effectuent diverses fonctions pour le compte de Backup. cmd. L’ensemble de ces scripts offre une solution de sauvegarde facile à personnaliser et à utiliser. Pour les exécuter, aucune expérience d’écriture de script n’est nécessaire. Il suffit de suivre ces étapes :
1. Bien comprendre ce que chaque script de soutien accomplit, afin de pouvoir personnaliser une solution.
2. Comprendre comment le script principal fonctionne, de manière à pouvoir le personnaliser.
3. Préparer l’environnement et les scripts.
MIIS, la gestion des identités par Microsoft
De nos jours, les utilisateurs des systèmes d’information d’entreprise – comme les administrateurs – doivent jongler entre plusieurs identités (ou comptes utilisateur) afin d’accéder aux différentes ressources, que ce soient la messagerie, les partages (de fichiers ou d’imprimantes) ou encore les PGI. Du côté des administrateurs, la difficulté est de maintenir l’ensemble de ces bases utilisateurs hétérogènes à jour et de rendre les accès aussi « invisibles » que possible aux utilisateurs.
Pour répondre à cette problématique, Microsoft propose, depuis environ 4 ans, MIIS (Microsoft Identity Integration Server), serveur d’intégration des identités. Cette solution est disponible en 2 versions, dont une gratuite. Microsoft Identity Integration Server est le successeur de Microsoft MetaDirectory Services 2.xx.
ILM met les données à leur place
Le centre informatique du Wake Forest University Baptist Medical Center n’est pas très différent de ceux d’autres grandes institutions. Il héberge un assortiment de mainframes et de serveurs qui offrent des services tels que le courrier électronique et la gestion des dossiers des patients, aux utilisateurs des différents secteurs. En 2000, le centre médical – dirigé par Bob Massengill, responsable des services techniques – a mis en place un réseau de type SAN (storage area network) pour stocker les données générées par le centre. Le passage au SAN a eu des conséquences spectaculaires.Lors de sa première mise en oeuvre, le SAN contenait « 2 téra-octets de stockage », déclare Massengill. « Un an plus tard, on en était à 18 téra-octets. Et aujourd’hui, nous sommes entre 60 et 70 téra-octets ». Cette explosion du volume de données dans le SAN a conduit Massengill à explorer un nouveau mode de gestion du stockage du centre médical : la gestion du cycle de vie de l’information (ILM, Information Lifecycle Management). Selon Massengill « ILM a les bonnes données, dans le bon format, sur la bonne plate-forme de stockage, au moment opportun. »
Lire l'articleDe nouvelles manières de stocker la source
Vous l’avez fait des centaines de fois, peut-être des milliers. Vous connaissez le scénario par coeur : (1) créer un membre dans un fichier source, (2) éditer le membre source, et (3) compiler le membre source pour créer un programme ou un module.
L’enchaînement est le même, que la source soit RPG, CL ou Cobol, que vous utilisiez l’OPM (Original Program Model) ou ILE, ou que vous utilisiez PDM ou WDSc (WebSphere Development Studio Client). En substance, un programme est toujours un membre dans un fichier source qui réside dans une bibliothèque. Pas si vite ! Voici que de nouvelles releases et outils de développement offrent plus de variété pour stocker, éditer et compiler la source. Désormais, votre source peut être dans des membres source traditionnels, dans des fichiers texte de l’IFS, ou dans des fichiers texte sur votre PC en tant que projets WDSc.Dans cet article, je présente les nouvelles possibilités en matière d’éditeurs de type PC, d’outils de gestion des changements et d’outils collaboratifs pour le développement de programmes iSeries.
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