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Prenez le contrôle de vos rapports avec ReportViewer, 2e partie

Prenez le contrôle de vos rapports avec ReportViewer, 2e partie

Comme vous avez pu le découvrir dans la 1ère partie de cet article, le contrôle ReportViewer dees paramètres du rapport. Dans la 1ère partie de cet article, j’expliquais comment créer et afficher un rapport local en utilisant principalement la programmation « drag-and-drop » (glisser-déplacer) pour créer le dataset.

Nous allons maintenant voir comment écrire du code servant à demander les paramètres du rapport et à fournir le dataset, ce qui vous ouvrira des possibilités infinies concernant les types de rapports que vous pouvez créer. Par exemple, il est possible de créer une application qui stocke les définitions de rapport local dans des fichiers externes, afin que vous puissiez ajouter de nouveaux rapports ou mettre à jour des rapports existants sans recompiler et redistribuer l’application.

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Optimisation des bases de données SQL Server Troisième partie

Optimisation des bases de données SQL Server Troisième partie

TROISIÈME PARTIE : LE MODÈLE DE DONNÉES
Optimiser une base de données simplement par la qualité de son modèle est une chose simple, très efficace et à coût nul... Voila qui devrait intéresser beaucoup de monde. Or c'est souvent l'inverse qui se passe : le peu d'attention apportée au modèle, le peu de précaution dans le choix des types de données, le peu de respect des formes normales sont autant d'icebergs qui ne vont pointer leurs nez qu'au moment une base de données à raison d'une table pour un fichier est un échec assuré dont beaucoup d'éditeurs de solutions informatiques ont fait les frais.

Ce nouvel article a donc pour but de vous faire comprendre ce que sont les données, les types de données et la modélisation dans la perspective d'optimisation d'une base et donc d'un serveur. Toute application avec une forte implication de SGBDR commence par une modélisation des données. La qualité d'un modèle de données, ne se fera sentir que lorsque ce dernier sera mis à l'épreuve du feu, qui dans l'univers des SGBDR consiste à farcir ses tables qu'une quantité phénoménale de données et jouer les requêtes les plus fréquentes afin d'en mesurer les temps de réponse. Or cette phase est rarement entreprise en test. Elle l'est généralement en production.

C'est là qu'est l'os, hélas1, car il est déjà trop tard ! Lorsqu'un modèle de données est établi, et que le poids du volume des données se fait sentir, alors tenter de le remodéliser pour gagner des performances est un chalenge difficile : les évolutions du schéma conduisent à des migrations de données importantes (donc risquées) et des modifications d'interfaces conséquentes (donc du code à récrire). Lorsqu'il s'agit d'une base de données volumineuse, l'inertie des données peut être telle que l'alternative est s'adapter avec un coût de modification élevé ou mourir. C'est pourquoi un modèle de données bâclé présente la particularité d'avoir un coût très élevé lorsqu'il doit être rectifié, alors qu'un modèle peaufiné présente un coût quasi nul si l'on utilise l'outil adéquat et l'homme d'expérience.

Malheureusement, les français ont beau avoir inventé une méthode de modélisation d'une grande simplicité (MERISE2) il n'en demeure pas moins que peu d'informaticiens savent modéliser les données de manière intelligente. Bref, ce sont de ces écueils que je veux aujourd'hui vous entretenir, et pour cela, j'ai découpé en différentes parties le présent article. La première traite des types de données, la seconde des clefs, la troisième des tables et la quatrième de la normalisation.

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Quelques aspects essentiels de la conception des bases de données

Quelques aspects essentiels de la conception des bases de données

La clé de bonnes performances des SQL Server à mieux employer les index lors de la réponse à une requête

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La gestion de la relation client avec Microsoft Dynamics CRM

La gestion de la relation client avec Microsoft Dynamics CRM

Conçu pour aider à développer les ventes et améliorer la satisfaction des clients, Microsoft Dynamics CRM est une solution puissante qui évolue naturellement pour Microsoft SQL Server. Cet article a pour objet de décrire d’une part les aspects fonctionnels nécessaires à la compréhension de l’application et d’autre part l’intégration entre Dynamics CRM et SQL Server.

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Reporting Services : Qu’en est-il des services Web ?

Reporting Services : Qu’en est-il des services Web ?

Vous vous interrogez peut-être sur les alternatives permettant de proposer l’authentification Windows.Une approche fiable consiste à employer le service Web Report Server.

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Utilisation de Reporting Services dans un environnement Internet / Extranet

Utilisation de Reporting Services dans un environnement Internet / Extranet

Il y a quelques mois, j’ai travaillé avec un client qui déployait une nouvelle version d’un portail Web de commerce électronique. L’application, utilisée principalement par les partenaires du client, expose les données de ventes et d’autres informations confidentielles. Le client souhaitait employer des applications sur Internet ou des extranet, cet article explique comment déployer d’abord un modèle d’authentification personnalisé pour Reporting Services, puis comment développer des rapports capables, au moment de l’exécution, de filtrer les données selon l’utilisateur qui consulte les rapports. Vous pouvez également vous servir de cette technique de filtrage avec le modèle de sécurité par défaut de Reporting Services.

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Reporting Services : Conseils et astuces

Reporting Services : Conseils et astuces

Le choix et l’installation de SQL Server Reporting Services (SSRS) constituent uniquement la première étape visant à satisfaire la multitude des consommateurs de rapports présents dans votre entreprise. Il vous reste maintenant à produire des rapports éblouissants qui tirent parti des fonctionnalités avancées, afin d’afficher les données conformément à la myriade d’attentes des utilisateurs, sans pour autant délaisser vos autres tâches.
Cet article propose quelques conseils et astuces pour créer des rapports à la fois utiles et souples, qui s’exécutent de manière appropriée. Il indique également un échantillon d’outils tierce partie qui vous permettront d’étendre les fonctionnalités de SSRS.

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Un outil de reporting fort à  propos

Un outil de reporting fort à  propos

Depuis le lancement initial de .NET Framework 2.0.

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Optimisation des bases de données SQL Server : l’exploitation

Optimisation des bases de données SQL Server : l’exploitation

Votre modèle des données est parfait : justement normalisé et très légèrement dénormalisé par des techniques fiables et pour des données dont il est prouvé que cela apporte un gain significatif. Vos requêtes sont optimisées et les serveurs, tant logiques que physiques, comme leurs environnements sont taillés, dimensionnés, mesurés, configurés pour le volume de données et de transactions à subir. Enfin, vous avez pensé au découpage de vos espaces de stockage, choisi vos disques et constitué vos agrégats en conséquence… Pourtant il vous manque une brique pour parfaire votre oeuvre : penser l'exploitation de vos données au quotidien, c'est là SQL Server sur le site communautaire de developpez.com, un internaute postait un remarquable message. Il avait une procédure complexe longue et coûteuse en traitement qui importait des données dans une base, avec une planification quotidienne de nuit. Un matin quelle ne fût pas sa stupeur de constater que cette procédure qui durait habituellement un peu plus d'une heure, n'était pas encore terminée. Il attendit donc la fin du traitement et constata que ce dernier avait mis près de 10 heures, soit 8 fois plus qu'ordinairement. Que s'était-il passé ?

Contenu complémentaire

Numéro hors série : Gestion et optimisation des environnements multi bases de données
Le site du groupe utilisateurs de SQL Server : le GusS

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Prenez le contrôle de vos rapports avec ReportViewer

Prenez le contrôle de vos rapports avec ReportViewer

Visual Studio 2005 constitue la clé de voûte de toutes ces fonctionnalités. Il s’agit d’un outil souple, utilisable dans les Windows Forms et formulaires Web pour afficher deux types de rapports. Le premier type est un rapport côté serveur, qui nécessite un serveur de rapports SSRS.

Ce dernier fournit les valeurs des paramètres du rapport, crée les datasets et assure le rendu. Le contrôle ReportViewer affiche ensuite le rapport rendu dans une fenêtre d’application. Lorsque vous créez des rapports côté serveur, vous utilisez le mode de traitement distant. Le deuxième type est un rapport local. Ces rapports sont distribués en tant que partie intégrante d’une application et ne requièrent pas de serveur SSRS. Toutefois, le fait de s’affranchir du lien à un serveur de rapports a un coût. L’application doit fournir les valeurs pour les paramètres du rapport et créer tous les datasets. Le contrôle ReportViewer assure le rendu du rapport. Lorsque vous optez pour cette approche, vous utilisez le mode de traitement local.

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Sécurité SQL

Sécurité SQL

IBM a intégré en douceur la sécurité SQL à la panoplie de sécurité System i existante. Ces fonctions SQL ne se contentent pas d’imiter les mesures de sécurité existantes : elles les étendent et les renforcent. SQL connaît une rapide croissance et devient un langage de plus en plus incontournable pour tous les développeurs System i. Cet article actualise vos connaissances en sécurité SQL.
La sécurité SQL repose sur deux piliers : les deux instructions GRANT et REVOKE. En termes très simples, ces instructions SQL correspondent aux commandes CL Grant Object Authority (GRTOBJAUT) et Revoke Object Authority (RVKOBJAUT). Quand vous exécutez une instruction SQL GRANT ou REVOKE, vous utilisez des mots-clés pour octroyer ou révoquer des privilèges à un objet SQL. Sous le capot, le fait d’octroyer des privilèges SQL revient à octroyer une ou plusieurs autorités i5/OS à un ou plusieurs objets i5/OS.

Contenu complémentaire :

Automatisez vos audits de sécurité
Construisez vos propres systèmes de sécurité automatisés
Sécuriser votre base de données avec le point de sortie Open Database File

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Construisez un système ETL simple avec SSIS

Construisez un système ETL simple avec SSIS

Vous savez probablement que vous pouvez utiliserun entrepôt de données (data warehouse).Mais comment allez-vous procéder ? À quoi ressemble une application ETL ?SSIS se targue de proposer tellement de nouveautés que les nouveaux venus ont l’impression d’avoir déballé un puzzle sur leur bureau. Il est difficile d’assembler les pièces sans avoir sous les yeux une vue d’ensemble du résultat final, notamment lorsque les pièces d’autres puzzles viennent jouer les trouble-fêtes ou lorsque certains éléments manquent !

L’objectif de cet article est justement de fournir la vue d’ensemble nécessaire : nous allons aborder les opérations élémentaires de conception et de construction de packages SSIS, et ainsi fournir les bases pour l’étude ultérieure des techniques de chargement incrémentiel concernant les dimensions et faits, ainsi que les variables, les scripts et l’audit de base des processus.

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Vue d’ensemble des informations de fragmentation SQL Server

Vue d’ensemble des informations de fragmentation SQL Server

L’article « Organisation des index dans SQL Server 2005 » présente les spécifications permettant d’appeler la nouvelle fonction TVF (Table-Valued Function) sys.dm_db_index_physical_stats() dans SQL Server utilise des listes de pages séparées (organisées en fonction du mode de stockage par SQL Server des données sur la page). Par ailleurs, la version 2005 introduit la possibilité de créer une table ou un index sur des partitions distinctes, chaque partition ayant sa propre liste de pages. Une liste de pages d’un type pour une partition est appelée unité d’allocation. SQL Server 2005 gère un maximum de trois unités d’allocation pour chaque table ou index de chaque partition. Ces trois unités d’allocation sont mappés avec trois types de pages gérés par SQL Server 2005 : IN_ROW_DATA (à savoir les lignes de données ou d’index classiques), LOB_DATA (à savoir, les données d’objets de grande taille, telles que text, ntext ou image) et ROW_ OVERFLOW_DATA (un nouveau type de stockage).

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Modélisation des données avec SQL SERVER 2005

Modélisation des données avec SQL SERVER 2005

SQL Server 2005 introduit une pléthore de fonctionnalités et concepts : nouveaux outils de serveur, nouvelles constructions de langage T-SQL et même une interface entièrement redéfinie, SQL Server Management Studio, qui vient remplacer la console familière Enterprise Manager. L’interface d’analyse décisionnelle (BI) a été repensée, DTS laisse la place à SQL Server Integration Services (SSIS) et devient encore plus sûr.Vous n’avez plus besoin d’écrire de procédures stockées uniquement en T-SQL, grâce à l’intégration du CLR (Common Language Runtime), et le nouvel outil SQL Server Report Builder va faciliter votre travail de présentation des données. Pourtant, toutes ces nouveautés séduisantes (dont beaucoup ont été décrites dans d’autres articles de SQL Server Magazine ou dans d’autres ressources citées dans l’encadré Bibliographie) vont-elles changer fondamentalement le travail du modélisateur de données ? La réponse est non. En effet, malgré toutes ces nouvelles fonctions et fonctionnalités, quelque chose n’a pas changé : vous devez encore modéliser vos données avant de créer la base de données.

La modélisation des données est le processus consistant à capturer les règles métier, les réglementations et exigences (spécifications), puis à les convertir, une fois interprétées correctement, en un ensemble bien structuré de tables de base de données, relations et contraintes. Vous exprimez le modèle avec une série de représentations graphiques afin d’essayer de mieux comprendre les données et leur incidence sur les opérations organisationnelles. Ces représentations graphiques ne sont pas limitées à une plate-forme de base de données spécifique. Vous pouvez développer un modèle de données conceptuel, puis un modèle de données logique que vous mettrez en oeuvre sur n’importe quel SGBD, par exemple SQL Server, Oracle, IBM DB2 ou MySQL. Par conséquent, les mises à jour de versions dans un SGBD ne modifient en rien votre travail de compréhension des données, ni les exigences métier et la création des modèles de données.

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Optimisation des bases de données MS SQL Server – Partie 2

Optimisation des bases de données MS SQL Server – Partie 2

Seconde partie : le serveur - ressources physiques, ressources logiquesJe pose souvent la question en ces termes lors des formations que je donne : parmi les différentes formes d’informatique, laquelle nécessite les machines ayant les plus grandes ressources ? La plupart du temps, les étudiants et les stagiaires m’affirment que c’est l’informatique scientifique, gavée des exploits des antiques Cray et de Deep Blue et des monstres utilisés pour les calculs de la météo. D’autres pensent que ce sont les machines de la conquête spatiale… Peu savent que l’on trouve les systèmes les plus étoffés dans l’informatique de gestion. Un système comme SABRE de United Airlines fut longtemps l’un des systèmes de gestion de bases de données les plus énormes qui soit.

Ce besoin de ressources est lié à deux composantes : des calculs, certes souvent peu complexes, mais surtout la volumétrie des données à manipuler. Des quantités de données parfois si gigantesques qu’il convient de répartir la charge sur de multiples machines car pour certaines bases, aucun ordinateur au monde n’a encore la capacité de traiter seul et dans des temps de réponse acceptables les masses des données en jeu.

Finalement un serveur n’est rien d’autre qu’un ordinateur dont on a sciemment atrophié certains éléments afin de les rendre plus performants qu’un PC de bureau. Voyons ce qu’un serveur n’a peu ou prou besoin. Il n’a pas bien besoin d’un écran puisque qu’il se doit d’être scruté par l’intermédiaire d’autres machines. Il n’a pas non plus réellement besoin d’un clavier ni d’une souris pour les mêmes raisons. En revanche, nous pouvons convenir qu’il a besoin de beaucoup de mémoire comme nous l’avons vu au chapitre précédent. Il a besoin de processeurs rapides (notez le pluriel), de disques de grande capacités dotés des temps de réponses les plus courts. Ce sont donc ces trois axes que nous allons étudier dans cet article. Nous verrons cela du côté physique puis du côté logique. Nous en tirerons quelques nouvelles règles propres à établir les préconisations que tout un chacun doit pouvoir spécifier afin de choisir une machine et la configurer au mieux en fonction de son budget.

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Deux outils pour une optimisation permanente de SQL Server

Deux outils pour une optimisation permanente de SQL Server

Depuis des années, le support technique de Microsoft (PSS) se sert de deux outils, OSTRESS et Read80Trace, afin de simuler des scénarios et d’analyser des fichiers de trace SQL Server pour le compte de ses clients. Au cours de l’édition 2004 de la conférence PASS (Professional Association for SQL Server), ces outils ont été dévoilés au public.Les DBA et développeurs SQL Server verront dans OSTRESS un outil appréciable pour la mise en oeuvre de scénarios de test de charge complexes et Read80Trace les aidera à analyser des fichiers de trace SQL Server afin de résoudre des problèmes de performances. Cet article propose quelques scénarios d’utilisation détaillés pour ces outils et fournit des indications afin de les mettre en oeuvre efficacement.

 

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Réplication de base de données contre réplication du stockage

Réplication de base de données contre réplication du stockage

De nombreux base de données permet de satisfaire des exigences de réplication spécifiques non prises en charge par l’autre approche. Le présent article se propose d’examiner les trois facteurs décisifs à prendre en considération afin de combiner au mieux les deux approches pour votre organisation.

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De la valeur de l’intégration SQL Server 2005 et Visual Studio 2005

De la valeur de l’intégration SQL Server 2005 et Visual Studio 2005

Paul Flessner et S. Somasegar, vice-présidents chez Microsoft, parlent à coeur ouvert de l’approche « Une équipe qui gagne »Au cours d’un entretien, les vice-présidents de Microsoft Paul Flessner (vice-président directeur de la division des applications serveur, laquelle inclut http://www.itpro.fr Club abonnés.)

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Optimisation des bases de données MS SQL Server – Partie 1

Optimisation des bases de données MS SQL Server – Partie 1

On a beau répéter que l'optimisation de bases de données ne relève pas d'outils ni d'automatismes, mais du simple artisanat, il y a toujours quelques personnages pour prétendre qu'il suffit de faire ceci ou cela, pour obtenir de bonnes performances. Si les choses sont plus complexes qu'il n'y paraît, il n'en reste pas moins vrai que certains principes simples et des règles d'une grande évidence qui devraient guider l'équipe en charge du développement d'un projet informatique, sont souvent ignorées voire sciemment bafouées.

 Cette série d'articles a pour but de présenter l'optimisation des bases de données sous toutes ses facettes. Il ne s'agit pas d'un cours technique (pour cela la place manquerait), mais plus globalement d'une réflexion sur les erreurs à ne pas commettre, celles à rectifier et les mesures à prendre dans le cadre de l'exploitation courante d'une base de données.

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Développez votre connaissance de l’analyse décisionnelle

Développez votre connaissance de l’analyse décisionnelle

Je dois admettre un fait. Je faisais partie des personnes du monde des bases de données relationnelles qui ne s’intéressaient pas réellement à Analysis Services. Je pensais qu’un cube OLAP était le poste où travaillait un certain Oliver Lap du département de la comptabilité entre 8 h 00 et 17 h 00. Pour moi, les dimensions étaient réservées aux physiciens et aux adeptes de la série La quatrième dimension.Mon point de vue s’est modifié il y a quelques années, lorsque j’ai appris en quoi Analysis Services pouvait être avantageux, pour moi comme pour mes clients. Si vous vous focalisez depuis toujours sur les bases de données relationnelles, vous allez peut-être changer d’avis en essayant la CTP (Community Technical Preview) analyse décisionnelle (en anglais BI (Business Intelligence)) fantastiques proposées par SSIS (SQL Server Integration Services) pour vos applications relationnelles. Deux nouvelles tâches de transformation vous simplifieront la vie lorsque vous travaillez sur des données incohérentes et une tâche de data mining vous permettra de créer un modèle de données s’adaptant aux évolutions de l’activité.
Ces fonctionnalités ne requièrent pas une grosse infrastructure d’entrepôt de données ou de cube OLAP. Il vous suffit d’avoir SQL Server 2005 et d’être prêt à tester quelque chose de nouveau.

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