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Windows 2003 IPSEC : 9 manières de diagnostiquer les problèmes

Windows 2003 IPSEC : 9 manières de diagnostiquer les problèmes

Vous avez mis en place IPsec pour protéger le trafic sur le Windows Server 2003 intégrés servant à diagnostiquer des problèmes IPsec si vous constatez que votre trafic n’est pas crypté. (Précisons que les techniques expliquées dans cet article ne s’appliquent pas forcément aux applications IPsec spéciales, du genre cartes IPsec et IPsec basé sur VPN.)

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Windows Server 2008, sécurité et virtualisation de bout en bout

Windows Server 2008, sécurité et virtualisation de bout en bout

Avec Windows Server 2008, Microsoft propose non seulement le système d’exploitation serveur le plus fiable du marché, mais aussi la plate-forme de virtualisation la plus adaptée, la plus ouverte et certainement la plus aboutie. Cerise sur le gâteau, IIS 7.0 a été totalement revu pour faciliter la gestion de systèmes Web plus conséquents. Alain Le Hegarat, chef de produit Windows Server fait le point sur cette nouvelle version.

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Combler le fossé entre Sharepoint et la restauration de fichiers

Combler le fossé entre Sharepoint et la restauration de fichiers

Les outils Microsoft SharePoint permettent le partage d’informations entre des groupes de personnes appartenant ou non à la même société. (Dans cet article, nous désignons Microsoft SharePoint Portal Server 2003 sous le nom de Portal Server et Windows SharePoint Services 2.0 sous le nom de SharePoint Services.Pour parler des deux, nous dirons SharePoint.)SharePoint assure la gestion des documents au moyen de deux types de référentiels de fichiers : bibliothèques et listes de documents. Les fichiers sont stockés dans une base de données de contenu SharePoint et pas dans le système de fichiers Windows. La gestion de documents de SharePoint souffre d’une énorme lacune : la difficulté de restaurer des fichiers supprimés accidentellement. En outre, bien que la gestion des versions existe, Portal Server et SharePoint Services suppriment tout l’historique des versions dès qu’on a supprimé un élément. Outre les problèmes de restauration de fichiers, SharePoint a un moteur de sauvegarde plutôt faiblard, qui ne permet pas des restaurations de fichiers uniques à partir d’une sauvegarde.

Malgré les insuffisances de SharePoint en matière de sauvegarde et de restauration, il existe des solutions parfaitement utilisables. Nous verrons comment automatiser le processus de sauvegarde SharePoint en utilisant un script de notre cru, puis nous verrons quelques approches en matière de restauration de fichiers.

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Windows Mobile 6 et Exchange 2007, vers une nouvelle mobilité Windows

Windows Mobile 6 et Exchange 2007, vers une nouvelle mobilité Windows

La Exchange 2007, il est intéressant de faire un point de l’apport réel de ces deux technologies dans le cadre de l’ultra-mobilité.

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Construisez vos propres systèmes de sécurité automatisés

Construisez vos propres systèmes de sécurité automatisés

Il était une époque où la sécurité des SQL Server n’aurait l’idée de donner le feu vert à une base de données sans contrôler au préalable ses vulnérabilités concernant la sécurité, par exemple la présence de mots de passe faibles ou de firewalls perméables. Mais comment savoir si vous avez vérifié tous les paramètres de sécurité essentiels ? Ainsi, si vous omettez de verrouiller vos dossiers d’installation ou de désactiver le compte Invité (Guest) de votre serveur, vous serez à la fête !

La réponse à la question ci-dessus consiste à élaborer un plan structuré de test de la sécurité, afin de contrôler différents paramètres de configuration requis par votre entreprise et de générer les rapports consignant les résultats des tests. Cet article présente, dans un premier temps, les aspects constitutifs d’une approche de test de la sécurité, puis fournit des exemples de code TSQL utilisables afin d’automatiser certaines parties de votre processus de test de la configuration et de génération des rapports correspondants. Mais commençons par le commencement.

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Certificate Lifecycle Manager

Certificate Lifecycle Manager

de solutions d’authentification qui regroupent de multiples facteurs (comme connaissance d’un PIN ou d’un mot de passe, données biométriques du genre empreintes digitales, possession d’un certain appareil). Parmi les exemples d’authentification les plus connus, on retiendra les cartes intelligentes et les jetons USB. Si vous avez déjà essayé de déployer des cartes intelligentes ou des jetons USB dans un environnement PKI (public key infrastructure) Microsoft, vous savez que Windows manque de fonctions de déploiement, de gestion et de maintenance de ces deux dispositifs. Microsoft occupe désormais le terrain avec CLM (Certificate Lifecycle Manager), qui peut aussi ajouter de la valeur pour la gestion des certificats dans les déploiements PKI Windows qui n’utilisent pas de cartes intelligentes ou de jetons USB. Les caractéristiques les plus importantes de CLM sont sa capacité à faciliter le déploiement et l’administration des certificats, des cartes intelligentes et des jetons USB ; et aussi sa souplesse. Voyons d’abord comment CLM facilite l’administration et ce qui le rend aussi adaptable. Après quoi nous verrons les composantes et l’architecture CLM

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Windows Server 2008 au service de l’innovation…

Windows Server 2008 au service de l’innovation…

Alain Le Hégarat, chef de produit Windows Server revient sur les évolutions de Windows Server.

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Certificate Services de Windows Server 2003

Certificate Services de Windows Server 2003

Dans Windows Server 2003, Certificate Services offre de nombreuses nouvelles fonctions qui simplifieront la vie de l’administrateur CA (Certification Authority) et qui permettent de nouveaux standards. Parmi les fonctions nouvelles et améliorées, on trouve les modèles de certificats version 2, qui améliorent le contrôle sur l’enrôlement et l’émission de certificats ; l’archivage et la récupération des clés, et les listes de révocation de certificats (CRL, certificate revocation list) delta.Même si vous n’avez pas songé à Certificate Services par le passé, le moment est peut-être venu. Dans cet article, je décris la manière d’utiliser ces nouvelles importantes fonctions de Certificate Services.

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Dépannage de la stratégie de groupe

Dépannage de la stratégie de groupe

les stratégies de groupe. Quelle que soit la raison, quand les stratégies de groupe déraillent, il faut souvent regarder en plusieurs endroits pour trouver la solution.

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Veillez à  bien protéger vos scripts

Veillez à  bien protéger vos scripts

Vous venez juste d’écrire un superbe leur protection. Bien que vous puissiez protéger les scripts par des méthodes classiques, il existe un meilleur moyen.

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Antigen 9 : Aperçu et premiers essais

Antigen 9 : Aperçu et premiers essais

Lorsque Microsoft a racheté Sybari et le produit Antigen, ce choix n’a probablement pas été fait au hasard. En effet, ce produit était le plus intégré à antivirus (5 par défaut).Si ce résultat ne surprendra pas les anciens utilisateurs de la version Sybari qui remarqueront une installation encore plus facile du produit.

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10 raisons pour passer à  Windows Server 2008

10 raisons pour passer à  Windows Server 2008

L’objectif de cet article est de vous présenter quelles seront les nouveautés principales de ce produit et surtout comment va-t-il répondre à vos problématiques actuelles et futures. Le produit étant encore en phase de développement, des changements de spécification peuvent intervenir entre la rédaction de cet article et la sortie du produit. Les multiples axes d’évolution du produit comprennent actuellement les domaines de la mobilité, de la sécurité et de la gestion. Ces évolutions sont bien plus importantes que celles que l’on avait pu découvrir lors du passage de Windows 2000 Server à Windows Server 2003 ou de Windows Server 2003 à Windows Server 2003 R2. Pour vous en convaincre, nous allons vous faire découvrir 10 nouveautés à travers trois catégories qui amélioreront et faciliteront la production de votre infrastructure informatique.

Une gestion plus efficace !
• Management simplifié du serveur
• Windows Power Shell
• Internet Information Services 7.0

Sécurité renforcée
•Renforcement de la sécurité interne : Nouveau Noyau NT 6.0 !
• Server de base "Core"
• Failover Clustering
• Network Access Protection (NAP)

Une plus grande flexibilité
• Refonte du service Terminal Serveur
• Windows Serveur virtualisation
• Service d’infrastructure sur vos sites distants (AD)

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ISA 2006 et Exchange 2007: deux maillons d’une chaîne de sécurité

ISA 2006 et Exchange 2007: deux maillons d’une chaîne de sécurité

Encore plus qu’Exchange 2003, ISA 2006, Microsoft apporte un grand nombre de réponses à ces besoins, surtout dans la cadre de la publication de serveurs Exchange, quelle que soit la version depuis 5.5 jusqu’à 2007 en passant par 2000 et 2003. Dans certains cas, cette approche de sécurité peut aussi s’appliquer au sein de l’entreprise en considérant certaines parties de réseau comme ne faisant pas partie du périmètre de sécurité de l’entreprise.

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Fédération d’identités avec ADFS

Fédération d’identités avec ADFS

Comme beaucoup d’autres entreprises, la vôtre souhaite peut-être partager des données sur le Web avec des utilisateurs externes autorisés. Vous aimeriez que ces fournisseurs ou clients puissent, très facilement, se connecter à vos ressources à l’aide de leur compte utilisateur présent, sans être obligés d’établir un compte sur votre système. Mais, bien sûr, vous voulez limiter l’accès aux seuls utilisateurs autorisés.Il existe plusieurs solutions pour exaucer ce désir. L’une d’elles est la fédération d’identités. Windows Server 2003 release 2 (R2) – présenté par Microsoft à la fin de l’année dernière – inclut une solution de fédération d’identités appelée ADFS (Active Directory Federation Services). La fédération d’identités est une technologie complexe dont vous ne connaissez pas forcément les composantes et la terminologie. J’expliquerai brièvement la fédération d’identités et la manière dont votre entreprise pourrait en bénéficier, avant d’introduire ADFS et d’en décrire un exemple simple. Dans un article suivant, je fournirai d’autres informations sur les composantes ADFS, leur mode de fonctionnement et leur mise en place.

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La sécurité dans Exchange Server 2007

La sécurité dans Exchange Server 2007

Voila plus d’un an que Microsoft a dévoilé la nouvelle mouture de son système de messagerie Exchange Server. Une des premières choses qui ressort de cette version nommée Exchange Server 2007 est que la sécurité a été un axe majeur dans la conception du produit.

 Celui-ci se découpe en différentes sous parties indépendantes, qui une fois réunies permettent aux entreprises de disposer d’un système de messagerie robuste aux attaques extérieures mais assurent également la confidentialité de vos courriels même lorsque ceux-ci transitent uniquement sur votre réseau privé.

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Sécuriser votre réseau sans fil

Sécuriser votre réseau sans fil

Des sociétés de toutes tailles utilisent aujourd’hui des réseaux sans fil. Dans les petites et moyennes entreprises (PME), leur faible coût et leur facilité de déploiement peuvent les rendre préférables aux réseaux câblés. Pour les grandes entreprises, les réseaux sans fil ont plusieurs usages : réunion d’employés munis de portables dans des salles, des halls d’hôtels, et même des cafétérias, connectés aux réseaux.Les mérites des réseaux sans fil induisent un fort besoin de sécurité. Des réseaux sans fil non protégés offrent aux pirates et à ceux qui veulent simplement se connecter gratuitement à Internet, un libre accès à votre intranet. Il n’est pas rare de voir des réseaux sans fil sauvages dans de grandes entreprises.
En effet, les groupes de travail ou les utilisateurs finaux ignorent parfois le règlement intérieur et installent des points d’accès (AP, Access Points) pour répondre à un besoin ponctuel. Mais, ce faisant, ils font courir un grand risque à tous Songez à cela : des adeptes du spam et du phishing particulièrement astucieux savent maintenant utiliser des réseaux sans fil non sécurisés pour envoyer des messages de courriel en masse. Ils circulent dans les zones urbaines et dans les quartiers d’affaires, à la recherche de réseaux sans fil vulnérables.

Quand ils en trouvent un, ils configurent leurs systèmes mobiles pour s’y connecter, obtenir une location DHCP avec une adresse IP valide, DNS, et une information de passerelle par défaut ; puis pour envoyer leurs messages. Si vous avez déjà utilisé un outil tel que NetStumbler ou les outils de gestion sans fil intégrés que l’on trouve sur la plupart des portables et des PDA, vous avez sûrement rencontré des réseaux sans fil non sécurisés dans votre voisinage, autour de votre bureau, voire dans votre propre entreprise.

Les propriétaires de réseaux non sécurisés courent de nombreux risques : perte de bande passante sur leur connexion Internet, infection virale, voire une responsabilité pénale ou civile si leurs réseaux sans fil non sécurisés servent à lancer des attaques contre autrui.
Voyons quelques étapes pratiques permettant de sécuriser vos réseaux sans fil, les méthodes d’automatisation du déploiement des paramètres de configuration, et les outils permettant de repérer la présence de réseaux sans fil non sécurisés et non autorisés.

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Cachez bien vos secrets

Cachez bien vos secrets

Le cryptage, ou chiffrement, est une science fascinante qui mêle les mathématiques, l’intrigue et, de nos jours, l’informatique. Bien que le cryptage consiste à rendre l’information secrète, il n’y a rien de secret dans le processus de cryptage. En fait, plus un algorithme de cryptage est soumis à l’examen public, plus il est jugé sûr. Si le cryptage est exécuté correctement, la seule chose à garder secrète est la clé de cryptage.Permettez-moi donc de vous présenter cette technique et de montrer l’importante différence qui existe entre le cryptage par clé symétrique et le cryptage par clé publique/privée. Nous conclurons par une brève discussion sur les protocoles de cryptage courants en usage aujourd’hui et comment les diverses composantes Windows utilisent le cryptage.

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Sécuriser votre base de données avec le point de sortie Open Database File

Sécuriser votre base de données avec le point de sortie Open Database File

Établir, appliquer et maintenir une politique de sécurité de la base de données, voilà qui devrait figurer tout en haut de votre liste de priorités. L’i5 offre de nombreuses fonctions de sécurité et de préservation des données. Je présente ici le point de sortie Open Database File et explique comment il permet de combler des lacunes potentielles du système de sécurité de la base de données i5.

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Une question d’intégrité : guide pratique des transactions sur bases de données

Une question d’intégrité : guide pratique des transactions sur bases de données

Le traitement transactionnel est au coeur de la plupart des applications i5. Une application est une opération logique unique qui consiste généralement à lire ou à mettre à jour une ou plusieurs tables de bases de données (plus banalement, des fichiers). Quelle que soit l’action des utilisateurs : saisir des commandes, planifier des réservations d’hôtel, ou exécuter des transactions financières, une application doit être conçue de telle sorte que toutes les transactions satisfassent au test « ACID »« ACID » :
• Atomicité (Atomicity) : Tous les effets d’une transaction réussissent ou tous échouent.
• Cohérence (Consistency) : La base de données reste dans un état cohérent vis-à-vis de ses règles d’intégrité, et cela qu’une transaction s’exécute correctement ou échoue.
• Isolation : Les effets d’une transaction sont isolés des effets des transactions effectuées au même moment par d’autres applications et utilisateurs.
• Durabilité (Durability) : Les effets d’une transaction bien « committed » persistent même en cas de défaillance du système.

Sans la puissance et la sophistication de i5/OS et de DB2, il serait pratiquement impossible de s’assurer que les applications remplissent tous les critères ACID. Heureusement, il est facile d’effectuer des transactions fiables sur le i5 quand les applications bénéficient de la journalisation et du contrôle de commitment : deux fonctions intégrées dans l’architecture i5 depuis le S/38.

Deux de ces critères, la cohérence et la durabilité, sont plutôt simples et assurés automatiquement, pour la plupart, par DB2. Pour maintenir la cohérence de la base de données, DB2 rejette les mises à jour qui violent les contraintes suivantes d’une table : clé primaire, unique, clé étrangère, ou vérification. Les développeurs d’applications n’ont que deux choses à faire :

• Définir les contraintes appropriées sur l’instruction Create Table SQL ou sur la commande CL Add Physical File Contrainst (AddPfCst).
• Ajouter le code applicatif nécessaire pour détecter et traiter les erreurs d’I/O, y compris les violations de contraintes.

La durabilité est instaurée quand une table est journalisée: c’est ce qui se passe par défaut quand on crée une table avec une instruction SQL Create Table. On peut aussi utiliser la commande CL JrnPf pour journaliser une table (ou un fichier physique non-SQL). Quand une table est journalisée, le système écrit une entrée dans un récepteur du journal et l’envoie de force en stockage auxiliaire avant que la table de base de données associée ne soit physiquement modifiée. Quand une table est ouverte sous le contrôle de commitment, le système écrit aussi les entrées du journal pour les opérations commit et rollback.

Si une table est endommagée, vous pouvez récupérer ses mises à jour en restaurant la table à l’aide de la sauvegarde la plus récente puis en appliquant les entrées du journal pour amener la table au niveau de la dernière opération de mise à jour ou de la dernière transaction « committed ». La journalisation des tables est une bonne pratique que l’on devrait appliquer systématiquement pour la plupart des tables de base de données. (Vous trouverez de la documentation sur la journalisation dans la rubrique Systems ManagementIJournal Management dans le V5R4 Information Center.) DB2 prend aussi en charge le principe de « toutes ou aucune » transactions (c’est-à-dire l’atomicité) et plusieurs niveaux d’isolation des transactions. Bien que ce soient des aspects distincts du support des transactions, sur l’i5 ils sont tous assurés par l’environnement de contrôle de commitment i5/OS. Le contrôle de commitment, à son tour, compte sur la journalisation pour garantir le principe « toutes ou aucune » tra

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Partager l’information en toute sécurité

Partager l’information en toute sécurité

Dans l’article « Cachez bien vos secrets » (octobre 2005), je vous présentais le cryptage par clé partagée et par clé publique/privée. Je soulignais que le cryptage par clé partagée est adapté au cryptage de masse de grandes quantités de données, que le cryptage par clé publique/privée convient mieux pour échanger des informations entre des interlocuteurs, et que l’on peut combiner les deux avec bonheur.J’expliquais aussi comment on peut combiner le cryptage par clé publique/privée avec le hashing, pour créer des signatures numériques qui prouvent à la fois l’identité de l’envoyeur d’un message et le fait que les données n’ont pas été modifiées depuis leur signature. Le cryptage par clé publique/privée est un moyen souple et efficace de prouver l’identité et de partager des informations sécurisées entre des gens qui ne se connaissent peut-être pas.
Mais il y a un autre détail important : les utilisateurs doivent pouvoir obtenir les clés publiques d’autrui avec la certitude que la clé publique d’un utilisateur est vraiment la sienne et pas celle d’un imposteur. Pour instaurer cette confiance, on a besoin d’une infrastructure qui facilite la publication des clés publiques. Ca tombe bien, une telle technologie existe : c’est PKI (public key infrastructure).

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