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Reprise après sinistre, à  bon compte

Reprise après sinistre, à  bon compte

Beaucoup de produits du marché visent à assurer la disponibilité continue et la permutation rapide des rôles dans les sites System i. Certains s’appuient fortement sur le matériel. D’autres recourent aux logiciels pour la réplication d’objets logiques. Mais tous, ou presque, demandent la même chose : vous faire sortir le carnet de chèques et ajouter des fonctions matérielles/logicielles à votre machine.Installer de tels produits et configurer le support additionnel est souvent une démarche prudente, particulièrement si l’on vise une permutation de rôles rapide et la réplication d’une grande variété de types d’objets. Mais cet article s’intéresse à une autre méthode. Elle vous concerne si vous n’avez pas les moyens d’acquérir de tels produits, si vous pouvez vous contenter de répliquer simplement les derniers changements apportés à vos fichiers base de données les plus critiques, de n’effectuer généralement que de simples opérations base de données, et si vous êtes prêts à accepter des rafraîchissements périodiques plutôt que le replay continu sur un système cible. En utilisant ce qui existe déjà dans i5/OS, peut-on pratiquer une reprise plus ponctuelle que les seules sauvegardes nocturnes ? La réponse est un oui fort et clair !

Bien sûr il n’est pas ici question de haute disponibilité (HA, high availability) au sens traditionnel. Pour être honnête, il s’agit plutôt d’une disponibilité moyenne au mieux. Elle ne conviendrait pas à des environnements complexes et exigeants. Mais cette technique est gratuite !

Je me suis intéressé pour la première fois à cette méthode voilà quelques années, quand un consultant m’a demandé si la commande CL Apply Journal Changes (APYJRNCHG) pourrait utiliser comme entrée un journal distant. Ma première réponse fut « Certainement pas ! ». Cependant, alors que nous continuions à échanger des courriels, il m’est apparu que l’on pourrait peut-être leurrer quelque peu le système d’exploitation en lui faisant croire qu’un récepteur de journal distant avait été transformé en un récepteur de journal local. Ce consultant envisageait le scénario suivant : Il emploierait le support de journal distant traditionnel pour envoyer les changements de base de données d’une machine de production à une machine cible, seconde par seconde, puis périodiquement (une fois par heure environ) réveiller la cible et répéter ces changements sur une réplique des fichiers base de données critiques. Cette tactique garantit que la plupart des changements de base de données les plus récents ont été transportés sur une machine distante, disponible pour un replay périodique. Ce n’est pas la plus haute disponibilité ni la permutation de rôles instantanée, mais c’est généralement mieux et plus ponctuel qu’une simple sauvegarde nocturne des fichiers base de données critiques.

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Configuration d’un serveur EDGE avec Exchange Server 2007

Configuration d’un serveur EDGE avec Exchange Server 2007

Exchange Server 2007 est disponible depuis quelques mois. Force est de constater que certaines fonctionnalités deviennent incontournables. Parmi celles ci, nous pouvons compter le rôle de serveur Edge. Celui-ci permet de filtrer le trafic de messagerie provenant de l’internet.Qu’est ce qu’un serveur Edge ? Le serveur Edge est l’un des cinq rôles disponibles dans Exchange Server 2007. Son but est simple : limiter la surface d’attaque des serveurs Exchange Server 2007 de l’entreprise. En implémentant cette fonctionnalité, vous dotez votre entreprise d’un serveur « tampon » entre le réseau Internet et vos serveurs de messagerie Exchange présents dans votre organisation. Le serveur Edge est déployé en général dans la DMZ de l’entreprise. Il servira de filtre antiviral et antispam avant même que le message ne parvienne sur les serveurs Exchange internes, tout en étant complètement indépendant de votre architecture Active Directory privée. Auparavant, ce type d’architecture passait par l’implémentation de produits tiers appelés couramment passerelles de messagerie internet. Avec Exchange Server 2007, vous disposez de ces fonctionnalités sans pour autant déployer d’autres solutions lourdes et coûteuses.

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Nouveautés des services de sécurité de WINDOWS SERVER 2008

Nouveautés des services de sécurité de WINDOWS SERVER 2008

Microsoft introduit avec Windows Server 2008 de nombreuses nouvelles fonctionnalités et technologies dont les principaux objectifs sont d’améliorer le niveau de Windows Server 2008 vont offrir de multiples niveaux de protection contre les menaces potentielles et les attaques auxquelles les systèmes informatiques et particulièrement les serveurs, sont aujourd’hui soumis. Cet article présente l’ensemble des nouvelles évolutions des services de sécurité de Windows Server 2008. Dès la première ouverture de session, l’assistant Initial Configuration Tasks Wizard propose de commencer la personnalisation du serveur. Cependant, même si cet assistant pourra guider de manière efficace l’administrateur sur les premières étapes, la grande nouveauté concerne la nouvelle console de gestion MMC Server Manager. Elle permet de configurer intégralement le serveur et affiche une vue organisée des fonctions opérationnelles sous la forme d’un tableau de bord reprenant l’essentiel des tâches.

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Windows 2003 IPSEC : 9 manières de diagnostiquer les problèmes

Windows 2003 IPSEC : 9 manières de diagnostiquer les problèmes

Vous avez mis en place IPsec pour protéger le trafic sur le Windows Server 2003 intégrés servant à diagnostiquer des problèmes IPsec si vous constatez que votre trafic n’est pas crypté. (Précisons que les techniques expliquées dans cet article ne s’appliquent pas forcément aux applications IPsec spéciales, du genre cartes IPsec et IPsec basé sur VPN.)

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Windows Server 2008, sécurité et virtualisation de bout en bout

Windows Server 2008, sécurité et virtualisation de bout en bout

Avec Windows Server 2008, Microsoft propose non seulement le système d’exploitation serveur le plus fiable du marché, mais aussi la plate-forme de virtualisation la plus adaptée, la plus ouverte et certainement la plus aboutie. Cerise sur le gâteau, IIS 7.0 a été totalement revu pour faciliter la gestion de systèmes Web plus conséquents. Alain Le Hegarat, chef de produit Windows Server fait le point sur cette nouvelle version.

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Combler le fossé entre Sharepoint et la restauration de fichiers

Combler le fossé entre Sharepoint et la restauration de fichiers

Les outils Microsoft SharePoint permettent le partage d’informations entre des groupes de personnes appartenant ou non à la même société. (Dans cet article, nous désignons Microsoft SharePoint Portal Server 2003 sous le nom de Portal Server et Windows SharePoint Services 2.0 sous le nom de SharePoint Services.Pour parler des deux, nous dirons SharePoint.)SharePoint assure la gestion des documents au moyen de deux types de référentiels de fichiers : bibliothèques et listes de documents. Les fichiers sont stockés dans une base de données de contenu SharePoint et pas dans le système de fichiers Windows. La gestion de documents de SharePoint souffre d’une énorme lacune : la difficulté de restaurer des fichiers supprimés accidentellement. En outre, bien que la gestion des versions existe, Portal Server et SharePoint Services suppriment tout l’historique des versions dès qu’on a supprimé un élément. Outre les problèmes de restauration de fichiers, SharePoint a un moteur de sauvegarde plutôt faiblard, qui ne permet pas des restaurations de fichiers uniques à partir d’une sauvegarde.

Malgré les insuffisances de SharePoint en matière de sauvegarde et de restauration, il existe des solutions parfaitement utilisables. Nous verrons comment automatiser le processus de sauvegarde SharePoint en utilisant un script de notre cru, puis nous verrons quelques approches en matière de restauration de fichiers.

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Windows Mobile 6 et Exchange 2007, vers une nouvelle mobilité Windows

Windows Mobile 6 et Exchange 2007, vers une nouvelle mobilité Windows

La Exchange 2007, il est intéressant de faire un point de l’apport réel de ces deux technologies dans le cadre de l’ultra-mobilité.

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Construisez vos propres systèmes de sécurité automatisés

Construisez vos propres systèmes de sécurité automatisés

Il était une époque où la sécurité des SQL Server n’aurait l’idée de donner le feu vert à une base de données sans contrôler au préalable ses vulnérabilités concernant la sécurité, par exemple la présence de mots de passe faibles ou de firewalls perméables. Mais comment savoir si vous avez vérifié tous les paramètres de sécurité essentiels ? Ainsi, si vous omettez de verrouiller vos dossiers d’installation ou de désactiver le compte Invité (Guest) de votre serveur, vous serez à la fête !

La réponse à la question ci-dessus consiste à élaborer un plan structuré de test de la sécurité, afin de contrôler différents paramètres de configuration requis par votre entreprise et de générer les rapports consignant les résultats des tests. Cet article présente, dans un premier temps, les aspects constitutifs d’une approche de test de la sécurité, puis fournit des exemples de code TSQL utilisables afin d’automatiser certaines parties de votre processus de test de la configuration et de génération des rapports correspondants. Mais commençons par le commencement.

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Certificate Lifecycle Manager

Certificate Lifecycle Manager

de solutions d’authentification qui regroupent de multiples facteurs (comme connaissance d’un PIN ou d’un mot de passe, données biométriques du genre empreintes digitales, possession d’un certain appareil). Parmi les exemples d’authentification les plus connus, on retiendra les cartes intelligentes et les jetons USB. Si vous avez déjà essayé de déployer des cartes intelligentes ou des jetons USB dans un environnement PKI (public key infrastructure) Microsoft, vous savez que Windows manque de fonctions de déploiement, de gestion et de maintenance de ces deux dispositifs. Microsoft occupe désormais le terrain avec CLM (Certificate Lifecycle Manager), qui peut aussi ajouter de la valeur pour la gestion des certificats dans les déploiements PKI Windows qui n’utilisent pas de cartes intelligentes ou de jetons USB. Les caractéristiques les plus importantes de CLM sont sa capacité à faciliter le déploiement et l’administration des certificats, des cartes intelligentes et des jetons USB ; et aussi sa souplesse. Voyons d’abord comment CLM facilite l’administration et ce qui le rend aussi adaptable. Après quoi nous verrons les composantes et l’architecture CLM

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Windows Server 2008 au service de l’innovation…

Windows Server 2008 au service de l’innovation…

Alain Le Hégarat, chef de produit Windows Server revient sur les évolutions de Windows Server.

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Certificate Services de Windows Server 2003

Certificate Services de Windows Server 2003

Dans Windows Server 2003, Certificate Services offre de nombreuses nouvelles fonctions qui simplifieront la vie de l’administrateur CA (Certification Authority) et qui permettent de nouveaux standards. Parmi les fonctions nouvelles et améliorées, on trouve les modèles de certificats version 2, qui améliorent le contrôle sur l’enrôlement et l’émission de certificats ; l’archivage et la récupération des clés, et les listes de révocation de certificats (CRL, certificate revocation list) delta.Même si vous n’avez pas songé à Certificate Services par le passé, le moment est peut-être venu. Dans cet article, je décris la manière d’utiliser ces nouvelles importantes fonctions de Certificate Services.

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Dépannage de la stratégie de groupe

Dépannage de la stratégie de groupe

les stratégies de groupe. Quelle que soit la raison, quand les stratégies de groupe déraillent, il faut souvent regarder en plusieurs endroits pour trouver la solution.

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Veillez à  bien protéger vos scripts

Veillez à  bien protéger vos scripts

Vous venez juste d’écrire un superbe leur protection. Bien que vous puissiez protéger les scripts par des méthodes classiques, il existe un meilleur moyen.

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Antigen 9 : Aperçu et premiers essais

Antigen 9 : Aperçu et premiers essais

Lorsque Microsoft a racheté Sybari et le produit Antigen, ce choix n’a probablement pas été fait au hasard. En effet, ce produit était le plus intégré à antivirus (5 par défaut).Si ce résultat ne surprendra pas les anciens utilisateurs de la version Sybari qui remarqueront une installation encore plus facile du produit.

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Les fonctions de sécurité de IE 7.0

Les fonctions de sécurité de IE 7.0

Quand vous lirez ces lignes, il est probable que Microsoft aura présenté une version bêta publique de IE (Internet Explorer) 7.0, son prochain navigateur Web. Il offre de nombreuses améliorations par rapport aux versions IE 6.x actuelles, comme une interface de navigation à onglets, une meilleure gestion des plug-ins du navigateur et une meilleure prise en charge des standards Web.Mais, cette fois, la grande nouveauté concerne la sécurité : IE 7.0 s’appuie sur la version plus sûre de IE que Microsoft a livrée avec Windows XP Service Pack 2 (SP2) l’année dernière. Voici ce qu’il faut savoir sur les fonctions de sécurité de IE 7.0.

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WS-SECURITY : rôle et fonctionnement

WS-SECURITY : rôle et fonctionnement

Au début des services Web, leurs fournisseurs considéraient que la sécurité serait entièrement gérée au niveau de la couche transport, au moyen de SSL/TLS (HTTPS). C’est pourquoi les standards de services Web initiaux n’abordaient pas la sécurité. Mais celle-ci a pris de l’importance dès lors que les services Web se sont multipliés. Une transaction de service Web passe souvent par de nombreuses mains, dont chacune a besoin d’accéder à certaines parties de la transaction mais pas à d’autres.En 2002, IBM, Microsoft et VeriSign ont proposé un standard de sécurité pour répondre à ces besoins. Appelé WS-Security, la spécification résultante est vaste et compliquée parce qu’elle couvre un large éventail d’aspects de sécurité des services Web. En 2004, apparaissait la version 1.1 du standard, plus dépouillée et plus puissante que le premier jet, mais encore volumineuse.

Heureusement, vous pouvez utiliser le standard dans vos applications de services Web sans le comprendre entièrement. WebSphere Application Server (WAS) 5.0 et ultérieure supportent WS-Security et se chargent virtuellement de tout l’aspect configuration. D’autres environnements de développement de services Web ont des fonctionnalités comparables. Une fois que vous aurez compris ce qu’apporte WS-Security et comment il fonctionne, vous pourrez commencer votre propre expérience.

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AccessEnum

AccessEnum

La prolifération des logiciels malveillants et la popularité des systèmes Windows Terminal Services à utilisateurs partagés, rend la sécurité Windows plus importante que jamais. Mais le modèle de sécurité Windows, avec ses DACL (discretionary ACL) souples est parfois difficile à gérer. En effet, Windows ne possède aucun outil intégré permettant de déterminer rapidement à quels fichiers, répertoires et sous-clés de registres les utilisateurs particuliers peuvent accéder.Et il n’est pas non plus facile de savoir si les utilisateurs ont des accès non autorisés à des répertoires sensibles ou à des sous-clés de registres profondément enfouies dans le système. Et c’est là qu’intervient AccessEnum de Sysinternals. Cet outil gratuit scrute un volume, un sous-répertoire ou une clé de registre spécifié pour déceler les maillons faibles potentiels dans vos paramètres de sécurité.

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10 étapes pour verrouiller les postes de travail

10 étapes pour verrouiller les postes de travail

A contre-courant de l’opinion dominante, je pense que Windows est l’un des OS les plus sûrs aujourd’hui. Ses fonctions de sécurité sont du domaine du rêve pour les autres OS. Par exemple, quel autre OS vous offre les outils de management permettant de contrôler toute l’activité d’un utilisateur final ? Quel autre OS a un outil comme les stratégies de groupe, permettant d’activer et de désactiver des services sur l’ensemble des PC par quelques clics de souris ?Quel autre OS a 14 permissions de sécurité que l’on peut configurer pour chaque fichier et dossier ? Il est vrai qu’il manque à Windows une meilleure sécurité par défaut. Nous allons voir comment tirer parti du potentiel de Windows en matière de gestion de la sécurité et comment verrouiller les postes de travail. Si vous suivez mon conseil, vos ordinateurs seront parmi les postes de travail Windows les plus sûrs et les prédateurs électroniques renonceront à votre entreprise pour traquer des victimes plus vulnérables.

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Comprendre les éléments de sécurité reconnus, 1ere partie

Comprendre les éléments de sécurité reconnus, 1ere partie

Si vous n’avez pas utilisé les éléments de sécurité reconnus Windows, vous n’avez peut-être pas conscience de leur puissance et de leur complexité. Comme Microsoft en a ajouté de nouveaux à Windows Server 2003, il est bon de commencer à utiliser ce moyen pour administrer les paramètres de contrôle d’accès.Mais, avant d’entrer dans le détail de leur administration, j’aimerais passer en revue brièvement les éléments de sécurité en général et les éléments de sécurité reconnus particulièrement. La deuxième partie de cet article appronfondira l’administration de ces entités complexes.

Un élément de sécurité Windows est une entité authentifiée qui utilise les ressources (fichiers, imprimantes, etc.), les applications ou services qu’un ordinateur Windows héberge. Un élément de sécurité peut être un utilisateur, un ordinateur ou un groupe d’utilisateurs ou d’ordinateurs. Chaque élément de sécurité a un identificateur unique appelé SID.

Les éléments de sécurité reconnus sont une catégorie spéciale des éléments de sécurité. Ils représentent les entités spéciales que le sous-système de sécurité Windows prédéfinit et contrôle. Parmi quelques exemples, on retiendra Everyone, Authenticated Users, System, Self et Creator Owner.

Contrairement aux éléments de sécurité classiques, il n’est pas possible de renommer ou de supprimer les éléments de sécurité reconnus. Vous ne pouvez pas non plus créer les vôtres : ce sont les mêmes sur chaque système Windows, bien que la liste des éléments de sécurité reconnus disponibles varie légèrement selon la version de l’OS. Un élément de sécurité reconnu a également le même SID sur chaque système Windows. Par exemple, SID S-1-5- 10 représente toujours le élément de sécurité bien connu Self et SID S-1-3-0 représente toujours le principal Creator Owner.

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10 outils d’évaluation de la sécurité du réseau à  posséder absolument !

10 outils d’évaluation de la sécurité du réseau à  posséder absolument !

Les professionnels qui veulent évaluer la sécurité de leur réseau disposent de nombreux outils - littéralement, des milliers à la fois commerciaux et open-source. La difficulté est d’avoir le bon outil pour le bon travail, au bon moment, et de pouvoir lui faire confiance. Pour réduire l’éventail du choix, je décris mes dix outils gratuits favoris pour l’évaluation de la sécurité du réseau.L’évaluation de la sécurité du réseau passe par quatre phases fondamentales : reconnaissance, énumération, évaluation et exploitation. La phase de reconnaissance concerne la détection des appareils du réseau par un scanning en direct via ICMP (Internet Control Message Protocol) ou TCP. Pendant les phases d’énumération et d’évaluation, l’évaluateur de sécurité détermine si un service ou une application tourne sur un hôte particulier et analyse ses éventuelles faiblesses. Dans la phase d’exploitation, l’évaluateur utilise une ou plusieurs vulnérabilités pour obtenir un certain niveau d’accès privilégié à l’hôte et utilise cet accès pour mieux exploiter l’hôte ou pour élever le privilège sur l’hôte ou le réseau, ou le domaine.

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