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Reprise après sinistre, à  bon compte

Reprise après sinistre, à  bon compte

Beaucoup de produits du marché visent à assurer la disponibilité continue et la permutation rapide des rôles dans les sites System i. Certains s’appuient fortement sur le matériel. D’autres recourent aux logiciels pour la réplication d’objets logiques. Mais tous, ou presque, demandent la même chose : vous faire sortir le carnet de chèques et ajouter des fonctions matérielles/logicielles à votre machine.Installer de tels produits et configurer le support additionnel est souvent une démarche prudente, particulièrement si l’on vise une permutation de rôles rapide et la réplication d’une grande variété de types d’objets. Mais cet article s’intéresse à une autre méthode. Elle vous concerne si vous n’avez pas les moyens d’acquérir de tels produits, si vous pouvez vous contenter de répliquer simplement les derniers changements apportés à vos fichiers base de données les plus critiques, de n’effectuer généralement que de simples opérations base de données, et si vous êtes prêts à accepter des rafraîchissements périodiques plutôt que le replay continu sur un système cible. En utilisant ce qui existe déjà dans i5/OS, peut-on pratiquer une reprise plus ponctuelle que les seules sauvegardes nocturnes ? La réponse est un oui fort et clair !

Bien sûr il n’est pas ici question de haute disponibilité (HA, high availability) au sens traditionnel. Pour être honnête, il s’agit plutôt d’une disponibilité moyenne au mieux. Elle ne conviendrait pas à des environnements complexes et exigeants. Mais cette technique est gratuite !

Je me suis intéressé pour la première fois à cette méthode voilà quelques années, quand un consultant m’a demandé si la commande CL Apply Journal Changes (APYJRNCHG) pourrait utiliser comme entrée un journal distant. Ma première réponse fut « Certainement pas ! ». Cependant, alors que nous continuions à échanger des courriels, il m’est apparu que l’on pourrait peut-être leurrer quelque peu le système d’exploitation en lui faisant croire qu’un récepteur de journal distant avait été transformé en un récepteur de journal local. Ce consultant envisageait le scénario suivant : Il emploierait le support de journal distant traditionnel pour envoyer les changements de base de données d’une machine de production à une machine cible, seconde par seconde, puis périodiquement (une fois par heure environ) réveiller la cible et répéter ces changements sur une réplique des fichiers base de données critiques. Cette tactique garantit que la plupart des changements de base de données les plus récents ont été transportés sur une machine distante, disponible pour un replay périodique. Ce n’est pas la plus haute disponibilité ni la permutation de rôles instantanée, mais c’est généralement mieux et plus ponctuel qu’une simple sauvegarde nocturne des fichiers base de données critiques.

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Configuration d’un serveur EDGE avec Exchange Server 2007

Configuration d’un serveur EDGE avec Exchange Server 2007

Exchange Server 2007 est disponible depuis quelques mois. Force est de constater que certaines fonctionnalités deviennent incontournables. Parmi celles ci, nous pouvons compter le rôle de serveur Edge. Celui-ci permet de filtrer le trafic de messagerie provenant de l’internet.Qu’est ce qu’un serveur Edge ? Le serveur Edge est l’un des cinq rôles disponibles dans Exchange Server 2007. Son but est simple : limiter la surface d’attaque des serveurs Exchange Server 2007 de l’entreprise. En implémentant cette fonctionnalité, vous dotez votre entreprise d’un serveur « tampon » entre le réseau Internet et vos serveurs de messagerie Exchange présents dans votre organisation. Le serveur Edge est déployé en général dans la DMZ de l’entreprise. Il servira de filtre antiviral et antispam avant même que le message ne parvienne sur les serveurs Exchange internes, tout en étant complètement indépendant de votre architecture Active Directory privée. Auparavant, ce type d’architecture passait par l’implémentation de produits tiers appelés couramment passerelles de messagerie internet. Avec Exchange Server 2007, vous disposez de ces fonctionnalités sans pour autant déployer d’autres solutions lourdes et coûteuses.

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Nouveautés des services de sécurité de WINDOWS SERVER 2008

Nouveautés des services de sécurité de WINDOWS SERVER 2008

Microsoft introduit avec Windows Server 2008 de nombreuses nouvelles fonctionnalités et technologies dont les principaux objectifs sont d’améliorer le niveau de Windows Server 2008 vont offrir de multiples niveaux de protection contre les menaces potentielles et les attaques auxquelles les systèmes informatiques et particulièrement les serveurs, sont aujourd’hui soumis. Cet article présente l’ensemble des nouvelles évolutions des services de sécurité de Windows Server 2008. Dès la première ouverture de session, l’assistant Initial Configuration Tasks Wizard propose de commencer la personnalisation du serveur. Cependant, même si cet assistant pourra guider de manière efficace l’administrateur sur les premières étapes, la grande nouveauté concerne la nouvelle console de gestion MMC Server Manager. Elle permet de configurer intégralement le serveur et affiche une vue organisée des fonctions opérationnelles sous la forme d’un tableau de bord reprenant l’essentiel des tâches.

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Partager l’information en toute sécurité

Partager l’information en toute sécurité

Dans l’article « Cachez bien vos secrets » (octobre 2005), je vous présentais le cryptage par clé partagée et par clé publique/privée. Je soulignais que le cryptage par clé partagée est adapté au cryptage de masse de grandes quantités de données, que le cryptage par clé publique/privée convient mieux pour échanger des informations entre des interlocuteurs, et que l’on peut combiner les deux avec bonheur.J’expliquais aussi comment on peut combiner le cryptage par clé publique/privée avec le hashing, pour créer des signatures numériques qui prouvent à la fois l’identité de l’envoyeur d’un message et le fait que les données n’ont pas été modifiées depuis leur signature. Le cryptage par clé publique/privée est un moyen souple et efficace de prouver l’identité et de partager des informations sécurisées entre des gens qui ne se connaissent peut-être pas.
Mais il y a un autre détail important : les utilisateurs doivent pouvoir obtenir les clés publiques d’autrui avec la certitude que la clé publique d’un utilisateur est vraiment la sienne et pas celle d’un imposteur. Pour instaurer cette confiance, on a besoin d’une infrastructure qui facilite la publication des clés publiques. Ca tombe bien, une telle technologie existe : c’est PKI (public key infrastructure).

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Spécial Sécurité Vista

Spécial Sécurité Vista

Au cours de ces dernières années, la sécurité de l’information a fait les gros titres. Il en a été beaucoup question à propos des attaques qui exploitent un logiciel vulnérable ou utilisent le courriel pour polluer les utilisateurs.Par le passé, les attaquants exploitaient certaines failles du logiciel et ces « exploits » demandaient un accès à distance au système vulnérable. Pour contrer la plupart de ces assauts véhiculés par Internet, on utilisait des pare-feu de périmètre judicieusement gérés.

De nos jours, l’attaque risque davantage de venir de l’intérieur. Non pas que les employés soient mal intentionnés, mais les ordinateurs approuvés peuvent être infectés par un vecteur tel qu’une pièce jointe de courriel. Ils sont ensuite connectés à votre Vista. Sachez que certaines de ces fonctions auront peut-être changé au moment où Vista sera diffusé.

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La surveillance d’Exchange en toute simplicité

La surveillance d’Exchange en toute simplicité

Les administrateurs qui exécutent Exchange Server souhaitent être informés de tout dysfonctionnement et nombre d’entre nous préféreraient identifier les petits problèmes avant qu’ils ne prennent des proportions plus sérieuses. Pour accomplir cette tâche, vous pensez peut-être qu’il faut un progiciel de surveillance et de gestion tel que Microsoft Operations Manager (MOM), OpenView de HP ou Spotlight on Exchange de Quest Software.Certes, ces outils fournissent une multitude de fonctionnalités utiles, mais vous serez peut-être surpris de découvrir les possibilités de surveillance et de contrôle intégrées directement dans vos serveurs Windows et Exchange. Vous pouvez surveiller les performances des services et applications, contrôler les services et obtenir des notifications sans coûts supplémentaires. En général, vous allez probablement constater que vous pouvez gérer une poignée de serveurs au moyen des outils prédéfinis. La valeur procurée par des outils plus sophistiqués commence à devenir intéressante dès lors que vous passez d’un petit nombre de serveurs à des organisations Exchange constituées de multiples serveurs disséminés ou lorsque vous avez des contrats de niveau de service (SLA) stricts qui instaurent comme priorité une notification précoce des problèmes.

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NAC : aspects techniques

NAC : aspects techniques

Nul ne savait depuis quand l’appareil traînait dans la salle de conférence. Déguisé en magnétoscope, il ressemblait à un banal équipement obsolète et tout le monde l’ignorait. Jusqu’à ce qu’un visiteur demande s’il pouvait débrancher son câble Ethernet pour brancher son ordinateur portable.Les magnétoscopes n’ont pas de câbles Ethernet !
Le responsable de la sécurité informatique ouvrit aussitôt l’engin et découvrit le pot aux roses. À l’intérieur, un micro et un circuit imprimé avec une prise Ethernet qui, il y a quelques instants encore, était connectée à un port Ethernet de la salle de conférence. En définitive, le circuit imprimé n’était rien d’autre qu’un micro espion, rapportant à un serveur éloigné tous les propos de la salle de conférence. La piste s’arrêta là et il fut impossible de démasquer le coupable. De l’avis général, ce truc-là était présent depuis plusieurs mois.

Ce récit décrit un événement réel, mais – on le comprendra – la société concernée souhaite garder l’anonymat. Il illustre l’un des nombreux dangers que présente un port Ethernet non protégé. Il y en a beaucoup d’autres : des visiteurs qui se branchent pour scruter votre réseau ou pour utiliser abusivement la connexion Internet, des ordinateurs contaminés se connectant et infectant votre LAN, des appareils sans fil sauvages ouvrant votre réseau à l’intrusion à distance. Pourtant, à moins de verrouiller physiquement chaque port Ethernet, un administrateur de réseau était peu armé pour protéger cette ressource essentielle.

Heureusement une solution a pris la forme d’un nouvel ensemble technologique collectivement appelé NAC (Network Access Control). NAC vous aidera à sécuriser le port Ethernet omniprésent, de telle sorte que seuls les utilisateurs autorisés puissent se connecter, et qu’ils soient soumis à un minimum d’inspection en matière de logiciel malveillant, virus et failles de sécurité. NAC est utilisable dès à présent, mais pour bien le choisir, vous devez connaître les principes de base de son fonctionnement et l’étendue de ses options.

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Le filtre HTTP intégré à  ISA SERVER 2004

Le filtre HTTP intégré à  ISA SERVER 2004

Suite à la sortie d'ISA Server 2004, Microsoft a beaucoup communiqué sur les fonctionnalités de filtrage et de sécurité avancée intégrées au produit comme la mise en quarantaine des clients VPN, le support de méthodes d'authentification puissantes (RSA SecureID, RADIUS, certificats numériques)...
Cet article est dédié à l'une de ces fonctionnalités d'ISA Server 2004 : le filtrage au niveau applicatif et plus particulièrement le filtre HTTP.Pour comprendre l'intérêt de ce nouvel outil, nous commencerons par évoquer les forces et surtout les faiblesses des pare-feu classiques, puis nous étudierons la problématique posée par les attaques au niveau applicatif (et surtout le problème de l'encapsulation HTTP) et enfin nous verrons comment ISA Server permet d'empêcher cette nouvelle forme de piratage !

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La sécurité plus facile avec 802.11G

La sécurité plus facile avec 802.11G

Nous aimons tous la commodité et l’agrément des LAN sans fil (WLAN, wireless LAN). Grâce à eux, nous restons connectés loin du bureau. Nous pouvons accéder à Internet aussi facilement dans un cybercafé ou à la maison qu’assis à notre bureau. Un point d’accès (AP, Access Point) sans fil d’entrée de gamme coûte moins de 75 dollars, un prix qui fait de cet appareil l’un des périphériques informatiques les plus vendus depuis l’iPod.

 Et, pourquoi pas, vous pouvez littéralement brancher l’une de ces boîtes dans une prise électrique et dans votre réseau, et le tour est joué : vos portables équipés Wi- Fi se connecteront à votre réseau sans aucun fil. Mais, est-ce forcément une bonne chose ? Cette facilité est grosse d’un énorme risque pour vos réseaux de données. En effet, quand vous acceptez la configuration par défaut de beaucoup de ces AP peu coûteux, vous permettez à d’autres de se connecter à votre réseau ou d’en espionner le trafic tout aussi facilement. Heureusement, la plupart des AP sans fil comportent des fonctions faciles à configurer qui améliorent considérablement leur sécurité. En six opérations de base, vous pouvez sécuriser un petit WLAN doté d’un équipement 802.11g peu coûteux. Bien que 802.11g soit un standard IEEE, la plupart des fournisseurs proposent une myriade de fonctions fixes sur leurs produits AP sans fil. Les fonctions de sécurité restent tout de même homogènes, même si les fournisseurs baptisent différemment des fonctions semblables. Dans l’exemple de configuration présenté ici, j’utilise un Linksys WRT54G comme AP 802.11G. Le WRT54G est peu coûteux et très prisé pour le petit bureau, le domicile, et même le labo d’une grande société. Cet AP et ses congénères n’offrent bien sûr pas les mêmes prestations que les produits de classe entreprise, comme les gammes Proxim OriNOCO ou Cisco Systems Aironet. Cet article s’intéresse aux AP d’entrée de gamme basiques.

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Des socket SSL à  partir de RPG ? Bien sûr c’est possible !

Des socket SSL à  partir de RPG ? Bien sûr c’est possible !

Les sockets permettent à un programme de communiquer sur un réseau TCP/IP. Toute donnée que vous écrivez dans un socket est fragmentée en paquets et envoyée sur votre réseau ou sur Internet vers l’ordinateur de destination, où elle est reconstituée et lue par un autre programme. Ce genre de communication est la substance même d’Internet : ce sont des milliards d’octets qui circulent de par le monde. Mais il y a un hic. Les octets envoyés sur Internet traversent des dizaines de réseaux, et les ordinateurs qui en font partie peuvent les voir. Pour qu’un envoi reste privé, il faut le crypter !Le standard de cryptage des communications TCP/IP est un protocole généralement connu sous le nom de SSL (Secure Sockets Layer). Cet article donne un aperçu de SSL et vous apprend à utiliser les API GSKIT (Global Secure ToolKit) fournies avec i5/OS pour écrire vos propres applications SSL en ILE RPG.

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Durcir le SYSTEM I : Firewall Friendly VPN

Durcir le SYSTEM I : Firewall Friendly VPN

La demande croissante d’e-business s’accompagne d’une forte exigence de sécurité. Virtual Private Network avec IP Security Architecture (IPsec VPN) y répond en fournissant le cryptage et l’authentification de bout en bout au niveau de la couche IP et en protégeant les données confidentielles qui empruntent des réseaux plus ou moins fiables.IPsec présente un double avantage : une large étendue de la couverture et une granularité agile pour la protection. Hélas, il existe des incompatibilités entre IPsec VPN et le NAT (Network Address Translation) que les pare-feu utilisent.

Ces incompatibilités doivent être résolues si l’on veut généraliser le déploiement d’IPsec VPN en e-business. La solution réside dans Firewall Friendly VPN. En V5R4, le System i peut être à la fois client et serveur pour une connexion VPN qui traverse NAT. Firewall Friendly VPN peut servir de multiples scénarios e-business tels que : fournir des relevés de comptes en ligne aux clients d’une banque, permettre à des agents d’assurance locaux de soumettre des demandes en toute sécurité par Internet, ou laisser les clients System i télécharger des documents à partir du serveur IBM RETAIN.

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L’essentiel de la supervision du réseau pour la PME, 1ère partie

L’essentiel de la supervision du réseau pour la PME, 1ère partie

On dit souvent que « Un peu de prévention vaut beaucoup de soins ». C’est particulièrement vrai en matière de supervision de réseau. Le fait de superviser vos serveurs, les applications qu’ils exécutent et vos unités de réseau, peut signaler des problèmes que vous corrigerez avant qu’ils ne touchent vos utilisateurs. En supervisant le réseau et en tenant son historique, vous pouvez tirer de ces données des informations exactes destinées aux utilisateurs, souvent prompts à exagérer la fréquence d’un problème particulier.Il est un autre aspect tout aussi important : en supervisant le réseau, vous savez exactement ce qui s’y passe, qui y accède et quand. Il y a donc deux types de supervision. Dans cet article, j’appelle le premier supervision de l’exploitation et le second supervision de la sécurité. Dans les grandes entreprises, il est fréquent que ces deux genres de supervision soient confiés à processus distincts confiés à l’équipe d’exploitation et à l’équipe de sécurité de l’information.

Mais les petites et moyennes entreprises (PME) tendent plutôt à appliquer un processus de supervision global, pour plusieurs raisons. Indépendamment du budget et des effectifs, les réseaux PME n’ont généralement pas besoin du même niveau de supervision que les grands comptes. Ils fonctionnent rarement à pleine capacité et sont beaucoup plus faciles à maintenir que ceux des grandes entreprises. Enfin, les réseaux PME ne sont pas aussi sophistiqués et n’ont pas besoin du même détail d’analyses et de courbes de tendances, que leurs grandes soeurs.

Dans cette série en deux parties, je recense les divers appareils et systèmes que vous devez superviser dans une PME pour la sécurité et l’exploitation. Dans la 1ère partie, j’indique les sources de supervision de données les plus courantes, y compris les journaux d’événements Windows, Syslog et SNMP ; et, dans la 2e partie, nous construirons l’ossature d’une solution de supervision de réseau au moyen d’outils gratuits ou peu coûteux.

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Windows Server 2008, SQL Server 2008 et Visual Studio 2008 : l’événement dans l’événement !

Windows Server 2008, SQL Server 2008 et Visual Studio 2008 : l’événement dans l’événement !

Pour la version 2008, plus de 15 000 personnes sont attendues aux TechDays 2008. Un sommaire riche à la hauteur des ambitions de Microsoft puisque toute l’offre produits et solutions d’entreprise sera présentée.« Et pour que chacun puisse trouver la meilleure information, pas moins de 300 sessions thématiques sont prévues dont 120 pour les développeurs et 200 pour les professionnels de l’informatique » résume Philippe Ouensanga, responsable architecte Infrastructure, Microsoft France. Des sessions accompagnées d’une trentaine de workshops et de plusieurs centaines de « handson labs », à savoir des ateliers techniques pour approfondir les connaissances.

Quelques exemples de parcours : la sécurité, l’administration et la supervision, l’infrastructure, la mobilité et les système embarqués, le développement avec Office, le développement Web, le design architecture, le décisionnel, la gestion des données, la gestion de contenu, etc. Parmi ces thématiques, Microsoft a souhaité mettre l’accent sur quatre grands axes à savoir : la virtualisation, l’interopérabilité, la sécurité et le déploiement.

Même si le lancement d'Office Communication Server 2007 est certainement l'une des annonces les plus importantes en termes de potentiel et d'innovation pour le futur des infrastructures informatiques, le point d'orgue de l'exercice pour l'écosystème Microsoft sera sans contexte le lancement de Windows Server 2008. Focus sur le parcours Infrastructure.

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Un réseau PME « parfait »

Un réseau PME « parfait »

Bienvenue au début d’une longue série d’articles traitant de la mise en place du « parfait » petit réseau PME (petites et moyennes entreprises). Nous partons du commencement: là où vous vous trouvez peut-être en ce moment, si vous créez une entreprise. Nous voulons vous présenter les composantes successives que vous devrez considérer pour votre infrastructure.Notre ambition n’est pas seulement de vous offrir une base de réseau parfaite mais aussi une solution élégante. A cette fin, au fur et à mesure que nous présenterons les éléments essentiels du réseau PME, nous proposerons des articles sur la manière de mettre ce réseau à votre service.

L’un des points importants pour bien équiper le réseau PME est de bien comprendre que les besoins de la PME sont très différents de ceux de la grande entreprise. En général, ce qui vaut pour celle-ci ne convient pas à la PME. Dans cette dernière, l’organisation de l’activité, la sophistication technique et les exigences de management sont très différentes. Pour compliquer les choses, il n’existe pas vraiment de PME type. Elles peuvent beaucoup varier entre elles en termes d’exigences de gestion et de capacités techniques. Donc, pour commencer cette série, essayons de parvenir à une définition générale des types de réseaux PME, en exposant les composantes et les caractéristiques de base. Les articles suivants utiliseront ces thèmes comme points de départ pour construire le parfait réseau PME.

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SINGLE SIGN-ON: Finis les mots de passe SYSTEM i

SINGLE SIGN-ON: Finis les mots de passe SYSTEM i

Si seulement vous n’aviez plus jamais à vous connecter à votre System i ! Imaginez la satisfaction de vos utilisateurs finaux cliquant sur l’icône System i et obtenant immédiatement leur menu d’applications principal. Imaginez encore : Aucune invite de la part du serveur sign-on (la petite boîte GUI qui vous demande votre ID et mot de passe utilisateur) et pas d’invite 5250 Telnet redemandant ce que vous venez juste de taper dans la boîte GUI du serveur sign-on.En voilà assez de devoir cliquer sur l’icône System i et de nous connecter à la boîte du serveur sign-on, puis de recommencer le sign-on pour chaque session Telnet sur écran passif. Pourquoi en est-il ainsi ? Nous pensons que c’est stupide et nos utilisateurs finaux pensent que c’est ridicule. Tout le monde a raison : c’est à la fois stupide et ridicule.

Combien d’argent et de ressources économiserions-nous si personne ne devait plus appeler le help desk ou l’administrateur système pour redéfinir un mot de passe i5/OS ou réactiver un profil utilisateur. Une enquête du Gartner Group estime que le coût moyen d’un appel pour redéfinir un mot de passe est d’environ 31 dollars. Si 300 utilisateurs font un tel appel une fois par an, une simple multiplication nous donne un coût d’environ 9 300 dollars. Mais nous en connaissons qui appellent beaucoup plus souvent ! Alors débarrassons-nous simplement des mots de passe i5/OS de nos utilisateurs finaux. Ils ne risquent pas d’oublier un mot de passe qu’ils n’ont pas. Elémentaire, non ?

Quand j’entends parler du SSO (single sign-on) d’entreprise, j’entrevois aussitôt un paradis où les utilisateurs n’ont qu’un ID et un mot de passe (ou un autre mécanisme d’authentification du genre biométrie). Cette authentification unique les conduit partout où ils ont envie d’aller : tous les serveurs de la société, tous les sites Web protégés par mot de passe et toutes les autres applications telles que la messagerie électronique, la gestion de la relation client (GRC) et l’informatique décisionnelle (BI, business intelligence).

En ce sens, SSO est un fantasme. Même si certains éditeurs de logiciels le considèrent comme le Graal, personne ne peut en montrer un exemple convaincant. Quand je parle de SSO, je pense réellement à une définition très étroite visant à réduire simplement le nombre de dialogues sign-on que les utilisateurs doivent effectuer pour faire leur travail. C’est pourquoi je préfère désigner ce concept sous le son de sign-on réduit.

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SSIS et la sécurité

SSIS et la sécurité

Comme toutes les autres fonctionnalités présentes dans SQL Server 2005 Integration Services (SSIS), les nouveautés du produit touchant à la sécurité diffèrent sensiblement de leurs homologues dans DTS. SSIS continue d’employer des mots de passe et crypte les données sensibles, mais l’approche a profondément changé et se traduit par une simplification de l’exécution, de la protection, de la planification et de la modification des lots automatisés.Les fonctionnalités de sécurité de SSIS se répartissent en cinq catégories fonctionnelles : le cryptage, pour la sécurité des lots ou de parties d’entre eux ; la protection des données sensibles, pour l’identification et la protection des mots de passe et autres données critiques ; les rôles SQL Server, pour le contrôle de l’accès aux lots stockés dans SQL Server ; la signature numérique du code, pour garantir qu’un lot n’a pas changé ; et, enfin, l’intégration des sous-systèmes de l’Agent SQL Server, pour le stockage et l’exécution sécurisée des lots. Le présent article examine en détail ces nouvelles fonctionnalités de sécurité et propose des conseils sur les modalités et les circonstances de leur mise en oeuvre. A cette occasion, j’aimerais remercier tout spécialement Sergei Ivanov, le développeur de l’équipe Integration Services qui a écrit ces fonctionnalités, pour ses réponses à toutes mes questions et pour s’être assuré que je comprenais parfaitement les moindres détails.

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Techniques pour permettre l’accès aux applications

Techniques pour permettre l’accès aux applications

Aujourd’hui, il n’est plus question de configurer les objets application avec des autorités publiques permettant au premier utilisateur venu de voir ou de mettre à jour tous les fichiers de données. Remerciez-en les lois et règlements qui s’appliquent aux configurations de données, visant à refuser l’accès par défaut.Désormais, tous les objets application doivent être configurés de telle sorte que les fichiers ne puissent être ni mis à jour ni vus hors des interfaces applicatives approuvées. Sur i5/OS, cela se fait en excluant (par *EXCLUDE) l’autorité *PUBLIC sur nos objets fichiers de données. Mais, direz-vous, si l’autorité publique est réglée sur *EXCLUDE, comment l’utilisateur peut-il obtenir l’autorité suffisante pour accéder et mettre à jour, les fichiers de données pendant qu’il utilise l’application ? Cet article décrit les techniques qui fournissent l’autorité pendant l’exécution de l’application, sans l’accorder en permanence.

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Audit par utilisateur

Audit par utilisateur

L’audit Windows est tellement complet qu’il peut être une arme à double tranchant : les messages non critiques (ou parasites) submergent souvent les messages vraiment dignes d’attention. On ne saurait critiquer Microsoft pour le plupart des parasites d’audit. Le standard d’évaluation de sécurité Common Criteria, très réputé, exige des OS qu’ils soient capables d’auditer toute action constatée, et les administrateurs pousseraient les hauts cris si le journal d’audit ratait un seul événement qu’ils jugent important.Nul besoin, néanmoins, de capturer tous les événements. Vous pouvez réduire les parasites en réglant finement la structure d’audit pour les besoins particuliers de votre environnement. Le nouvel auditing par utilisateur de Windows peut vous aider dans cette tâche.

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Fonctionnalités de sécurité liées à  la PKI Windows

Fonctionnalités de sécurité liées à  la PKI Windows

Les services de sécurité avancés de la PKI ont longtemps été freinés par la crainte qu’un tel système soit lourd à gérer. Aujourd’hui les améliorations sur la gestion de ces services sont nombreuses, par exemple la PKI Microsoft s’interface aisément à l’Active Directory pour diffuser les certificats aux ordinateurs et utilisateurs. En outre, les solutions bâties sur les cartes à puce apportent une réponse industrielle et facilitent l’utilisation de la solution par les utilisateurs.Disponible par défaut avec Windows 2000 ou 2003 Server, les services PKI apportent de nombreuses fonctionnalités supplémentaires :

• Cryptage de fichiers avec le système EFS sous Windows XP
• Services d’authentification forte (SmartCard logon, WireLess…)
• Mise en place de réseau privé virtuel (VPN)
• Sécurisation des échanges avec IPSEC
• Messagerie sécurisée avec signature et cryptage S/MIME
• Signatures numériques (applications, macros, utilisateurs…)

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Conseils pour sécuriser les portables

Conseils pour sécuriser les portables

Il est fort probable que les portables de votre entreprise contiennent des informations sensibles que vous ne pouvez pas vous permettre de perdre. Trop souvent pourtant, les pros des technologies de l’information ne ferment la porte de l’écurie qu’après que le cheval se soit échappé. Vous devez donc prendre les mesures nécessaires pour protéger les portables et l’information qu’ils contiennent avant de la perdre. Voici les 10 étapes les plus importantes de sécurisation des portables.

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