Comment Softcorner participe-t-il au Green IT avec la licence d’occasion ?

Le Green IT consiste à se servir le plus longtemps possible des équipements existants. Il existe plusieurs approches supplémentaires qui permettent d’atteindre cet objectif comme l’extension de garantie jusqu’à 5 ans ou le choix d’un équipement de qualité qui peut évoluer et être adapté. Par ailleurs, toutes ces mesures sont inutiles si l’entreprise ne porte pas son attention en même temps sur les logiciels. Il faut savoir que c’est le phénomène d’obésiciel qui réduit la durée de vie des appareils. En effet, toutes les nouvelles versions ont besoin de 2 fois plus de puissance informatique pour pouvoir fonctionner correctement. Pour mettre fin à ce problème, Softcorner a trouvé une solution.

Une plateforme qui participe au Green IT

Au-delà de l’écoconception, il est possible de réduire l’empreinte en ressources des logiciels en désinstallant ceux qui peuvent l’être sur les serveurs et sur les postes de travail. Ainsi, il est possible de récupérer de la puissance (pour allonger la durée de vie des équipements) et les coûts des licences.

C’est dans ce cadre que le lancement de la première plateforme française de vente et d’achat de logiciels entre entreprises,  Softcorner, est une véritable opportunité. Il s’agit d’un outil qui facilite la cession et l’acquisition de logiciel d’occasion. Ainsi, les entreprises peuvent faire le tri dans leurs catalogues et vendre des licences qui ne sont plus utiles pour leur structure.

C’est donc via les licences d’occasion que Softcorner participe aux engagements Green IT dans le but de réduire l’impact des entreprises sur l’environnement.

Pour information, le Green IT, ou l’informatique verte et durable, est un concept qui permet d’apporter des solutions pour réduire les effets nocifs de l’activité humaine et numérique sur l’environnement.

Une plateforme qui permet de vendre et d’acheter des licences d’occasion

Softcorner applique le modèle de l’occasion aux logiciels pour que les entreprises puissent vendre leurs logiciels inexploités. C’est aussi une façon de s’équiper à moindre frais. Il faut bien comprendre que toutes les entreprises européennes payent des sommes importantes pour s’équiper en logiciels informatiques.

Acheter des logiciels de seconde main est avantageux puisque contrairement aux équipements matériels comme les ordinateurs, ils ne peuvent pas s’user. De plus, le fait de pouvoir acheter un logiciel d’occasion permet d’avoir accès à d’anciennes versions qui seront moins gourmandes en ressources. Les entreprises peuvent ainsi s’équiper en payant moins cher puisque les logiciels peuvent être adaptés au parc informatique existant. Grâce aux logiciels de seconde main, une société peut conserver ses serveurs ainsi que ses postes de travail habituels.

Trois services différents

Softcorner propose à ses clients trois services différents :

• marketplace :

ce service permet de vendre des licences qui ne sont plus utilisées et aussi d’acheter des logiciels de seconde main moins chers.

• community :

ce service est conçu pour que les membres de Softcorner posent des questions à la communauté. Il s’agit d’un lieu d’échange dans lequel il est possible d’obtenir des réponses claires sur les logiciels ;

• knowledgebase :

ce service est un espace d’informations. Les membres de la plateforme peuvent obtenir des réponses sur tout ce qui est lié au licensing et à l’écosystème logiciel. C’est aussi un excellent moyen d’accéder à toutes les actualités et aux publications d’experts inédits.

Une plateforme qui permet de revendre des licences inutilisées

Softcorner permet aux entreprises de revendre des licences qui ne sont plus utilisées. Il faut dire que  c’est une véritable aubaine en temps de crise. Car suite à des changements de systèmes d’information, à des fusions, à des ventes ou des achats de filiales, à des migrations, à des non-installations, les entreprises qu’elles soient petites ou grandes possèdent des quantités importantes de logiciels qui ne sont pas exploités.

Il s’agit d’un véritable gaspillage des ressources. Les structures peuvent donc générer des revenus en vendant ces actifs software inutilisés. Cela permet aussi de réduire les coûts d’achat grâce à l’acquisition de licences d’occasion (ou de seconde main). Et cela permet surtout de réduire l’impact environnemental des organisations. On peut donc dire que la solution permet à toutes les parties d’être gagnantes.