par Mike Cravitz
Voici deux méthodes interactives, informatives et simples à utiliser pour présenter des messages d'erreurVous est-il déjà
arrivé de ne pas vous souvenir de ce que quelqu'un vous avait dit, parce que
l'information n'avait aucun sens ? De nombreux programmeurs AS/400 éprouvent la
même chose avec les sous-fichiers de messages d'erreur. Souvent, quelqu'un (un
consultant peut-être) fait irruption sur un site, installe des sous-fichiers de
messages d'erreur dans l'un des programmes, puis disparaît. Les programmeurs
qui viennent derrière cessent parfois d'utiliser les sous-fichiers, jugeant que
cette technique n'a pas de sens.
Les sous-fichiers de messages d'erreur utilisent certainement des aspects
de l'OS/400 (en particulier la messagerie) généralement mal maîtrisés par le
programmeur AS/400 moyen. Mais leurs avantages (messagerie d'erreur plus
interactive, informative et professionnelle pour les utilisateurs finaux)
justifient les efforts consacrés à les apprendre. Dans cet article, j'entends
bien lever le mystère entourant les sous-fichiers de messages, pour que vous
n'hésitiez plus à en doter vos applications.
Les
sous-fichiers de messages d'erreur utilisent des aspects de l'OS/400 généralement
mal maîtrisés
Les sous-fichiers de messages d’erreur sont des sous-fichiers particuliers qui permettent d’afficher plus d’un message d’erreur à la fois dans une application interactive. Ils offrent de nombreux avantages au prix d’un petit nombre d’inconvénients :
La figure 1a montre un écran classique utilisant un sous-fichier de messages d’erreur. Le signe plus (+) placé à la droite du message indique à l’utilisateur qu’il y a d’autres messages à afficher. Pour visualiser le message suivant, il suffit d’appuyer sur la touche PgDn quand le curseur est sur la ligne contenant le message. La figure 1b présente le second message d’erreur ainsi obtenu.
L’utilisateur peut même afficher une aide de second niveau (si elle existe) pour un message, en plaçant le curseur sur le message et en appuyant sur la touche Aide ou celle qui en tient lieu (généralement F1). La figure 1c donne un aperçu d’une telle aide de second niveau.
Notons que, contrairement aux méthodes DDS standard d’affichage des d’informations d’erreur, la méthode du sous-fichier de messages ne bloque pas le clavier et n’oblige pas les utilisateurs à actionner (en maugréant) la touche Reset avant de saisir d’autres données. Cet avantage, ainsi que la possibilité d’afficher de multiples messages d’erreur et une aide de second niveau, rendent cette technique très puissante.
Deux méthodes permettent d’intégrer des sous-fichiers de messages d’erreur dans les applications. La première consiste tout simplement à utiliser le mot clé ERRSFL dans les DDS : c’est ce que j’appelle la technique ERRSFL. En procédant ainsi, on utilise en fait un sous-fichier de messages système.
La seconde méthode est plus complexe (et aussi plus puissante) que ERRSFL. Elle consiste à définir son propre sous-fichier de messages d’erreur, en incluant les enregistrements de sous-fichiers et de contrôle dans les DDS. C’est ce que j’appelle la technique du sous-fichier utilisateur. Voyons ces deux méthodes de plus près.
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