PowerVM sur Power Systems permet d’optimiser votre investissement en infrastructure IT
Ce dossier est issu de notre publication System iNews (07/09). Pour consulter les schémas et illustrations associés, rendez-vous dans le club abonnés.
PowerVM sur Power Systems permet d’optimiser votre investissement en infrastructure IT
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Dans la longue saga de la virtualisation, les IBM Power Systems représentent la prochaine génération. De 1967, quand les développeurs IBM conçurent l’hyperviseur qui deviendrait VM sur le mainframe, à l’implémentation actuelle de PowerVM sur les Power Systems, la virtualisation a permis aux sites informatiques d’optimiser leur investissement en infrastructure IT. Cet article examine les fonctions de virtualisation des IBM Power Systems.
Le principal avantage de la virtualisation est d’optimiser le dimensionnement d’une charge de travail pour utiliser au mieux toutes les ressources d’un système physique. A l’opposé, les fermes de serveurs souffrent du syndrome « mauvaise ressource au mauvais endroit au mauvais moment ». Non pas qu’elles manquent de stockage, de processeur, ou de mémoire, mais, à un moment donné, un serveur physique à trop de ressources tandis qu’un autre n’en a pas assez et il n’est pas possible de les déplacer de l’un à l’autre. Comme je le montre dans cet article, la virtualisation permet d’avoir « la bonne ressource au bon endroit au bon moment ». Vous pouvez ainsi réagir aux changements des besoins en ressources des charges de travail, sans vous soucier de déplacer les ressources physiques entre les serveurs.
• Partition logique : désigne l’allocation des ressources physiques (processeur, mémoire et adaptateurs physiques) et aussi des adaptateurs virtuels qui exécutent un système d’exploitation et ses applications. Un Power System peut avoir jusqu’à 256 partitions logiques.
• Hébergeant(e): qualifie une partition qui possède une ressource physique et la transmet sous forme abstraite à une autre partition ou serveur Windows intégré.
• Hébergé(e) : qualifie une partition qui a une ou plusieurs ressources virtualisées, reçues sous forme abstraite d’une ressource appartenant à une autre partition.
• Charge de travail : désigne un système d’exploitation et ses applications qui tournent dans une partition logique ou sur un serveur Windows intégré.
Pour finir, cet article examine deux catégories principales de virtualisation : les possibilités fournies par le matériel Power (ce sont les mêmes sur ce que l’on appelait System i et System p) ; et la virtualisation I/O et réseau fournie par le Virtual I/O Server (partition appliance AIX) et IBM i.
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