Pour désigner les données incluses dans un jeu de résultats ou traitées par une instruction SQL, on code des comparaisons appelées prédicats.
Cet article fait suite à la découverte des prédicats dans notre précédent dossier.
Pour désigner les données incluses dans un jeu de résultats ou traitées par une instruction SQL, on code des comparaisons appelées prédicats.
Cet article fait suite à la découverte des prédicats dans notre précédent dossier.
Les comparaisons Distinct et Is Null n’ont de sens que si la base de données contient des champs pouvant contenir des nulls. En l’absence de nulls, Distinct se comporte de la même manière qu’une comparaison avec le signe égal (=). Cependant, une comparaison avec égal peut éventuellement donner un résultat « inconnu »(unknown) si l’une des expressions contient des valeurs nulles, tandis que Distinct donnera toujours vrai (true) ou faux (false).
La présence de Distinct dans un prédicat peut prêter à confusion parce que SQL autorise aussi le mots-clé Distinct dans un contexte complètement différent : pour limiter la sortie à des valeurs uniques pour une colonne particulière (par exemple, ne sélectionner un client qu’une fois, même s’il a plusieurs commandes). Pour les instructions IBM i SQL, Distinct est généralement utilisé de cette manière et rarement employé dans des prédicats.
Un prédicat qui contient Is Null fait exactement ce qu’il dit : le prédicat est vrai si la valeur de l’expression est nulle, et faux si l’expression produit une valeur autre que null.
Une instruction Select passée au crible
https://www.itpro.fr/instruction-select/
Prédicats Exists et Quantified
https://www.itpro.fr/predicats-exists-quantified/
Longtemps sous-estimée, la sécurisation d’un système d’impression d’entreprise doit être pleinement prise en compte afin de limiter le risque de fuite d’informations sensibles. Voici les 3 principales précautions à prendre.