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MWC 2014, la « French Tech » à Barcelone

Mobilité - Par Guillaume Rameaux - Publié le 28 février 2014
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Fleur Pellerin était à Barcelone. La Ministre déléguée à l’économie numérique s’est rendue au Mobile World Congress pour soutenir les entreprises françaises présentes sur place et réunies sous le label « French Tech » inauguré le 29 janvier dernier. Voici quelques-uns de ses représentants.

MWC 2014, la « French Tech » à Barcelone

Entretien avec Frédéric Febvre, Responsable Produit chez Neosesame.

Neosesame est un éditeur de logiciel, filiale de la société de conseil Degetel. L’entreprise propose la plateforme cloud nshub. Celle-ci fournit aux développeurs back-end des outils pour concevoir rapidement des services mobiles et les monétiser ensuite sur la marketplace nshub. Les développeurs front-end peuvent eux acquérir ces services sous formes d’API REST pour les intégrer à leurs applications. « Le but est de créer un écosystème autour du service avec d’un côté les développeurs back-end et de l’autre les développeurs front-end », résume Frédéric Febvre.

Plus d’informations : Neosesame

Entretien avec Bertrand Le Marec, Président de LivingObjects.

L’éditeur toulousain LivingObjetcs propose des outils de gestion de la performance des réseaux de télécommunications. Les technologies prises en charge par les opérateurs sont aujourd’hui nombreuses (3G, 4G, WiFi, Wimax, DSL, fibre,…). « Notre objectif est de simplifier le travail d’exploitation, explique Bertrand Le Marec. Nous automatisons les tâches récurrentes afin que les équipes se concentrent sur les problématiques complexes ». LivingObjects s’est également associé à Cisco pour aider les opérateurs à valoriser leur réseau en donnant davantage de visibilité au client final sur la performance du WAN.

Plus d’informations : LivingObjects

Entretien avec Brigitte D’Heygere, Président de Trusted Labs.

Trusted Labs est une société de conseil créée il y a quinze ans et spécialiste des questions de sécurité. Son rôle est notamment d’assurer la protection de tous types d’équipements connectés, qu’il s’agisse d’un téléphone mobile ou d’une « smart card » par exemple. « En quinze ans le monde s’est terriblement ouvert, souligne Brigitte d’Heygere. Il est intéressant de savoir quels sont les éléments susceptibles d’engendrer des failles ». L’année dernière, Trusted Labs a étendu ses activités en ouvrant des bureaux aux États-Unis et à Singapour.

Plus d’informations : Trusted Labs

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