Les développeurs peuvent créer des services Azure basés sur .NET au moyen de modèles et d’API de la plate-forme de services Azure, en utilisant des outils familiers tels que Visual Studio 2008 et la nouvelle plate-forme de modélisation « Oslo ».
La plate-forme de services Azure est constituée de plusieurs composants existants, dont certains ont été renommés. Les briques applicatives incluent Live Services, .NET Services (anciennement Biztalk Services), SQL Services (étendus au-delà de SQL Data Services [SDS] pour inclure le reporting et l’analyse), SharePoint Services et Dynamic CRM Services.
Le Cloud : la vision de Microsoft – P.2
Un nouveau Live Framework a été dévoilé par David Treadwell, Vice-président de la plate-forme Live Services chez Microsoft, au cours d’un discours pendant la PDC (cf. l’encadré « Le bureau dans le Cloud »). Pour le moment, .NET Services inclut un bus de services pour connecter les applications sur site à Internet, un contrôle d’accès qui autorise la fédération entre les fournisseurs d’identité existants sur Internet et un workflow qui sera étendu aux services en ligne. SDS est le composant de base de données relationnelle d’une suite plus large de services planifiés liés aux données et intitulée SQL Services.
Un examen plus attentif de certains des projets en cours chez Microsoft est disponible sur le portail SQL Services Labs lequel a été mis en ligne lors de la PDC. Microsoft travaille sur plusieurs projets d’incubation, dont beaucoup devraient à l’avenir faire partie de SQL Services, du Microsoft Synchronization Framework ou de Live Mesh.
Ces projets incluent un travail sur une interface d’accès aux données pour ADO.NET Data Services (JSON et AtomPub), ainsi que la synchronisation des données hors ligne au moyen du Microsoft Sync Framework. D’autres projets mettent l’accent sur le reporting avec SDS et le Data Mining. SDS doit permettre aux entreprises d’accéder aux données relationnelles stockées dans les centres de données de Microsoft, mais ce n’est pas simplement SQL Server sur Internet.
Selon Microsoft, ce produit utilise un modèle de données hiérarchique qui gérera au final l’accès à d’autres plates-formes. SDS, qui prend en charge les formats SOAP et REST, est décrit par l’éditeur comme une plate-forme ouverte. A cette fin, l’équipe SDS a annoncé la gestion du kit Ruby lors de la PDC. SDS est séparé du stockage Windows Azure, lequel n’est pas relationnel et repose sur une approche qualifiée de « pleinement REST » par Microsoft.
Toujours selon Microsoft, la CTP de la plate-forme Azure, laquelle gère les langages ASP.NET et .NET, est désormais à la disposition de tous les abonnés MSDN. La prise en charge du code natif et de PHP est envisagée, mais ne figure pas dans la CTP initiale. Selon les indications de Redmond, la première CTP présente une fraction seulement des fonctionnalités.
Par exemple, les fonctionnalités de stockage de Windows Azure gèrent les BLOB, les files d’attente et les tables simples, mais des fonctions plus évoluées telles que les flux de champs, les caches et les verrous ne sont pas encore disponibles.
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