> Cloud > IBM prône l’importance de l’écosystème Cloud

IBM prône l’importance de l’écosystème Cloud

Cloud - Par Sabine Terrey - Publié le 01 juillet 2013
email

IBM a tenu à préciser ou repréciser l’importance de l’écosystème cloud notamment local, au travers d’exemple de sociétés à savoir Zetark, Aspaway et izzili.

IBM prône l’importance de l’écosystème Cloud

Christian Comtat, Directeur Cloud Computing France, souligne d’emblée l’importance de l’écosystème Cloud tout en souhaitant que se développe en France un « véritable écosystème Cloud local ». Cette richesse se fait au niveau local à la fois en terme régional (comme avec Zetark), et par rapport à des grandes entreprises qui localisent des solutions cloud nouvelles et innovantes. L’exemple d’izzili (qui édite et implémente une suite applicative Cloud) le prouve, à travers des partenaires IBM capables de mettre en place des solutions agiles et efficaces, comme Aspaway. « La richesse se crée localement, il n’y a pas de doute sur ce point » affirme IBM.

Cette valeur se réalise au niveau local

Le cloud n’est pas une transformation de l’informatique uniquement, loin de là, le cloud est une transformation du business des entreprises. Le monde dans lequel on vit, est désormais interconnecté, les données sont de plus en plus ouvertes et partagées, les offres complexes intègrent de plus en plus de partenaires. Le Cloud, à travers un catalogue de services, permet finalement de proposer tout cela très simplement à l’utilisateur,  et à l’usage. Les entreprises vont ainsi développer de nouveaux services et d’aller chercher de la croissance ! « Le Cloud, c’est le moteur de la croissance de l’entreprise et IBM y croit » insiste Christian Comtat. IBM réalise cette richesse en s’appuyant sur un écosystème de partenaires. Et de préciser « On parle de construction de valeurs grâce au cloud ».

De nouveaux modèles en réponse à l’évolution de l’écosystème

Certes, le cloud provoque une vraie transformation de l’écosystème, notamment pour les partenaires qui doivent se repositionner différemment (technologie, applications, métiers…) dans les  valeurs et les usages. On assiste à de vrais enjeux de transformation. L’ensemble de l’écosystème évolue et IBM l’aide à évoluer vers trois types de métiers. Des Cloud Builders, ceux qui construisent les Cloud et ont la capacité à intégrer des environnements technologiques, matériels, logiciels et de services, « nouveaux métiers qui demandent de nouvelles compétences ! », on passe aux Cloud Providers, à la fois ceux qui travaillent au niveau de l’infrastructure (Aspaway), et les Cloud Providers en termes de logiciels SaaS (izzili). Enfin, les Cloud Reseller, ce sont les revendeurs de cloud. « Nous avons des solutions de cloud managé, infrastructure, plate-forme, sur roulettes, et tout cela sur environnement ouvert car IBM croit beaucoup à l’ouverture et à l’interconnexion » commente Christian Comtat.

Les programmes envisagés pour les partenaires

« Les partenaires sont en train de se transformer sous nos yeux, car le business model change aujourd’hui » explique Thomas Meunier, Vice-Président Business Partners IBM France. L’évolution est là, le discours est beaucoup plus dirigé vers les directions métiers « d’ailleurs, d’ici moins de 2 ans, les directions marketing auront plus de budget dans l’IT que les directions informatiques ». Les types de projets poussent également les partenaires à se transformer radicalement (beaucoup moins de transactionnel), de ce fait, IBM cherche à les accompagner avec des programmes d’éducation pour interconnecter cet environnement IT à la demande du client. « D’une logique très technologique, on passe à une logique très métier » : La prise de conscience est là, le monde bouge et évolue. Les programmes proposés sont divers, d’abord, les programmes de détachement, c’est-à-dire la capacité à mettre chez les partenaires des ressources, des compétences de type vente, avant-vente, architecture. Les programmes Cloud Speciality aident sur le plan du co-marketing les partenaires « les plus volontaristes », prêts à être certifiés et disposés à communiquer. Enfin, le programme Pattern Expertise, peut-être, plus orienté éditeurs. C’est la capacité pour les éditeurs à rendre leur application Pure Ready. A noter ! Pure System est la dernière gamme d’appliances c’est-à-dire de convergence du monde hardware et du monde logiciel. « Le Pattern Expertise, c’est la capacité d’IBM à aider un éditeur à rendre son application Pure Ready, à lui donner accès à l’IBM Pure Center, c’est-à-dire l’intégralité des catalogues, et à lui offrir de nouvelles capacités de business » ajoute Thomas Meunier.

Pour exemple, Aspaway a fait le choix d’IBM pour plusieurs raisons, « IBM est le 1er infogérant  mondial, c’est une société qui a une grosse granularité au niveau de l’offre sur les modèles de type hébergés, c’est une société pérenne, et dans l’histoire, nous avions toujours vu IBM comme un acteur qui a capacité à travailler avec des partenaires » précise Patrice Lagorsse, Responsable Business Développement d’Aspaway. Les stratégies de développement et de partenariat ont été reconduites avec IBM depuis plusieurs années. Quant à izzili, les bénéfices du partenariat avec IBM et Aspaway sont notables. « Si la vision d’IBM et sa présence mondiale sont des leviers majeurs pour accélérer le développement d’izzili, le fonctionnement d’Aspaway est tout à fait adapté aux start-up en apportant des services dans des délais courts et flexibles, ce qui constitue une forte valeur ajoutée pour nous » témoigne Florence Desprets, Directeur Business Développement d’izzili.

L’agilité et la granularité sont vraiment des éléments déclencheurs sur les différents projets aujourd’hui.

Téléchargez cette ressource

Guide inmac wstore pour l’équipement IT de l’entreprise

Guide inmac wstore pour l’équipement IT de l’entreprise

Découvrez les dernières tendances et solutions IT autour des univers de Poste de travail, Affichage et Collaboration, Impression et Infrastructure, et notre dossier Green IT sur les actions engagés par inmac wstore pour réduire son impact environnemental

Cloud - Par Sabine Terrey - Publié le 01 juillet 2013