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Dossier Développement : Revue de détail 2010 du développement d’applications (3/3)

Cloud - Par Kathleen Richards - Publié le 25 février 2011
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Depuis janvier 2010, les applications .NET et leurs composants peuvent exister et accéder à des ressources au sein d’un large éventail de serveurs et services à demeure et sur le cloud.

Avec Windows Azure, de nombreux développeurs vont être amenés à explorer les possibilités offertes par l’exécution d’applications ou de composants dans des scénarios de cloud.

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La vision exprimée lors de la PDC 2009 met l’accent sur une nouvelle génération d’applications qui s’étend des scénarios à demeure au cloud. Windows Server AppFabric, sorti en bêta 1 lors de la PDC 2009, est une technologie à demeure qui étend la console de gestion Windows Server 2008 IIS pour gérer les services de niveau intermédiaire (middle tier). Ces services peuvent aller de la mise en cache de base de données (ancien nom de code « Velocity ») aux communications de workflow et de messagerie (Dublin). Windows Azure AppFabric, annoncé lors de la PDC 2009 et attendu en bêta cette année, remplace le composant .NET Services de la plate-forme Windows Azure, lequel était passé par de multiples itérations depuis la PDC 2008. Il fournit désormais des services de contrôle d’accès et un bus de services AppFabric.

« AppFabric prendra et étendra l’environnement dont vous avez l’habitude, avec IIS, et fournira une plate-forme vous per mettant de créer des services de niveau intermédiaire, hautement disponibles et à évolutivité horizontale, tels que des services basés sur WCF et des services basés sur Windows Workflow », a expliqué Muglia, lors de l’annonce de la technologie. « L’idée est d’obtenir la création d’une infrastructure, à savoir une infrastructure très facile à gérer, où nous effectuons le basculement pour vous, où nous préservons la haute disponibilité du système et où nous accomplissons l’équilibrage entre ces aspects, afin que vous puissiez créer aisément vos applications. »

Une autre nouvelle technologie présentée à la PDC 2009 et conçue pour faciliter le modèle à demeure et sur le cloud est intitulée « Project Sydney ». Selon Muglia, Project Sydney est un « agent de connectivité » conçu pour connecter les serveurs au sein d’un centre de données d’entreprise avec les services Windows Azure. Attendue en bêta cette année, cette solution fournira une connexion sécurisée et un accès réseau de bas niveau (ITV6 pour la connexion point-à-point et IPsec pour la sécurité) entre les serveurs Windows à demeure et les services Azure. « Notre objectif est de faciliter autant que possible la connexion des applications que vous exécutez dans votre propre environnement (car vous allez continuer de le faire pendant de nombreuses années) avec les nouvelles applications et les parties d’applications que vous exécutez dans l’environnement de cloud public. Il s’agit simplement d’une des manières d’y parvenir », a indiqué Muglia.

Du côté administratif, Microsoft System Center se situe tout au bas de la pile Windows, selon Muglia : « Il fournira au fil du temps les possibilités de connexion et de gestion sur ces deux environnements distincts. »

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