Pas de hasard, l’ « indice de vulnérabilité à la disruption » est bien réel et l’arrivée des nouveaux entrants bouleverse sans cesse la donne. Innovation technologique et changements réglementaires, tout ce qu’il faut décrypter pour être prêt et s’adapter selon le dernier rapport d’Accenture. La disruption semble inévitable mais est-elle prévisible ?
Comment identifier et anticiper la disruption ?
2 entreprises sur 3
Deux entreprises sur trois font face à une forte disruption, c’est une réalité. Les entreprises relèvent quotidiennement des défis :
- Nouveaux entrants
- Innovation technologique
- Nouvelles réglementations
- Bouleversements sociaux et démographiques
Si 63% sont confrontées à de très hauts niveaux de disruption, 44% montrent des signes de vulnérabilité à une disruption à venir.
L’indice de vulnérabilité
L’indice de vulnérabilité d’Accenture identifie 15 facteurs caractérisant ce processus de transformation du marché, tout en prenant en compte des indicateurs
- Les acteurs « disrupteurs »
- La performance financière
- L’efficacité opérationnelle
- L’engagement en matière d’innovation
- Les capacités de rebond des entreprises
Il appartient à chaque dirigeant d’utiliser cet indice pour comprendre où se situe son secteur d’activité, pour identifier les risques et opportunités, et pour adapter une réponse stratégique.
Les phases de disruption
Évoquons les quatre phases de disruption à savoir :
- La durabilité
La disruption numérique ne représente pas un risque existentiel. Les entreprises en place conservent des avantages structurels compétitifs et une bonne performance
- La vulnérabilité
Le niveau actuel de disruption est modéré, mais les entreprises en place sont menacées en raison de défis structurels de productivité (coût élevé de la main-d’œuvre). 19 % (assurance, santé, produits de grande consommation) se situent dans cette phase
- La volatilité
La disruption est violente et soudaine et les forces traditionnelles sont devenues des faiblesses
- La viabilité
La disruption est permanente et les sources d’avantage concurrentiel sont de courte durée : 37 % (fournisseurs de logiciels et de plateformes, télécommunications, médias et high-tech, constructeurs automobiles) se trouvent dans cette phase
Les 4 réponses stratégiques
A chaque phase de disruption, découvrons la réponse adaptée :
- Durabilité : réinventer l’activité traditionnelle au lieu de la préserver
Il faut prendre des mesures pour maintenir l’avantage compétitif (coût) et adapter leur offre aux consommateurs (coût et pertinence)
- Vulnérabilité : développer et exploiter de nouvelles innovations
Il faut réduire la dépendance à l’égard d’actifs immobilisés et monétiser les actifs sous-utilisés
- Volatilité : infléchir la trajectoire de manière décisive
Il s’agit de transformer radicalement le cœur de métier en déployant de nouvelles activités et choisir le bon rythme
- Viabilité : adopter une attitude d’innovation constante
Il faut augmenter le déploiement d’offres novatrices auprès des clients existants et s’étendre dans des marchés connexes ou inexplorés en exploitant la force d’un cœur de métier revigoré et renouvelé
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Les phases de disruption
Évoquons les quatre phases de disruption à savoir :
- La durabilité
La disruption numérique ne représente pas un risque existentiel. Les entreprises en place conservent des avantages structurels compétitifs et une bonne performance
- La vulnérabilité
Le niveau actuel de disruption est modéré, mais les entreprises en place sont menacées en raison de défis structurels de productivité (coût élevé de la main-d’œuvre). 19 % (assurance, santé, produits de grande consommation) se situent dans cette phase
- La volatilité
La disruption est violente et soudaine et les forces traditionnelles sont devenues des faiblesses
- La viabilité
La disruption est permanente et les sources d’avantage concurrentiel sont de courte durée : 37 % (fournisseurs de logiciels et de plateformes, télécommunications, médias et high-tech, constructeurs automobiles) se trouvent dans cette phase
Les 4 réponses stratégiques
A chaque phase de disruption, découvrons la réponse adaptée :
- Durabilité : réinventer l’activité traditionnelle au lieu de la préserver
Il faut prendre des mesures pour maintenir l’avantage compétitif (coût) et adapter leur offre aux consommateurs (coût et pertinence)
- Vulnérabilité : développer et exploiter de nouvelles innovations
Il faut réduire la dépendance à l’égard d’actifs immobilisés et monétiser les actifs sous-utilisés
- Volatilité : infléchir la trajectoire de manière décisive
Il s’agit de transformer radicalement le cœur de métier en déployant de nouvelles activités et choisir le bon rythme
- Viabilité : adopter une attitude d’innovation constante
Il faut augmenter le déploiement d’offres novatrices auprès des clients existants et s’étendre dans des marchés connexes ou inexplorés en exploitant la force d’un cœur de métier revigoré et renouvelé