Office 2000 : le bon et le moins bon
Les statistiques peuvent parfois changer la vision que l'on a de l'importance des applications bureautiques. On pense parfois que les entreprises stockent la majorité de leurs données dans des solutions ERP telles que SAP R/3, des produits de groupware ou de messagerie tels que Lotus Notes et Exchange, ou des bases de données. Il est peut-être temps de revoir vos certitudes…Au cours d'un récent séminaire technologique, Microsoft a cité une étude portant sur un échantillon de grandes entreprises du classement Fortune 1000. Selon cette étude, ces entreprises stockent 80 % de leurs données dans des documents Office. Ces statistiques expliquent pourquoi Office demeure la principale source de revenus de Microsoft. L'importance pour Microsoft, de préserver sa poule aux oeufs d'or, associée aux demandes, émanant des directions informatiques et des utilisateurs, de fonctions plus performantes ou conviviales sont les ingrédients du succès d'Office 2000. Grâce au blitz marketing international de Microsoft et à la couverture importante des médias, vous ne pouvez ignorer l'existence d'Office 2000. En revanche, vous vous interrogez peut-être sur ce que le produit pourrait vous apporter, comment la nouvelle version pourrait impacter votre réseau et vos utilisateurs, et quels nouveaux outils ont été ajoutés par Microsoft pour améliorer les déploiements et l'administration.
Je ne vais pas vous ennuyer avec une fastidieuse description de toutes les améliorations, fonction par fonction, de la nouvelle release. (Reportez-vous au guide publié par Microsoft à l'adresse http://www.microsoft.com/office). Cet article analyse de façon objective la suite de produits afin de vous permettre de déterminer si la migration (ou l'upgrade) vers Office 2000 en vaut la peine et l'investissement pour votre entreprise.
Lire l'articleComprendre les licences d’accès client
Il fallait acheter le logiciel serveur, qui coûtait environ 700 $, et des CAL
pour connecter les utilisateurs au serveur. Le tarif des CAL était de 40 $, mais
Microsoft proposait des CAL à moitié prix aux entreprises qui migraient de Novell
à NT, à celles qui faisaient un upgrade de LAN Manager et à d'autres encore. Les
migrations de NT 3.5 à NT 3.51 ne nécessitaient pas l'achat de nouvelles CAL.
En revanche, la mise à jour vers NT 4.0 obligeait à mettre à jour chaque CAL NT
3.x vers une CAL NT 4.0 pour environ 20 $ chacune.
Lorsque vous passerez de votre version actuelle à Windows 2000 (Win2K), vous devrez
probablement acheter un autre jeu de CAL ou mettre à jour vos licences.Le détail
des licences jette le trouble chez beaucoup d'utilisateurs. Si vous vous faites
prendre avec un nombre de CAL insuffisant, vous risquez de vous attirer des histoires.
Nous allons donc jeter un coup de projecteur sur le fonctionnement des CAL.
Déployer Windows 2000 à distance
Pourquoi passer tout ce temps à installer un nouveau système d'exploitation, quand les Services d'installation à distance RIS de Windows 2000 Server sont là pour simplifier la tâche ? En partenariat avec Active Directory (AD), DHCP et DNS, RIS (Remote Installation Services) évite de se déplacer jusqu'à chaque poste de travail pour installer Windows 2000 Professional. Les services RIS sont faciles à installer, mais nécessitent une infrastructure AD, DHCP et DNS bien conçue pour fonctionner correctement. Avec des services RIS correctement configurés, les utilisateurs n'ont à donner, dès leur première connexion, que leur nom d'utilisateur, leur mot de passe et le nom du domaine et RIS installe Windows 2000 Professional. Une fois que vous saurez comment installer et configurer ce nouvel outil, vous serez capables de le mettre en oeuvre avec succès.
Lire l'articleLa Business Inteligence bouge
1999 serait-elle l'année du passage de la Business Intelligence (BI) sur AS/400
à la maturité ? Certains signes vont clairement dans ce sens.
Dans le dernier éditorial de NEWSMAGAZINE, j'appelais de mes voeux le soutien stratégique
et commercial d'IBM à une informatique décisionnelle AS/400 désormais crédible,
fiable, performante, “ scalable ”, économiquement viable, alors même que Big Blue
n'a pas d'offre spécifique dans ce domaine. Ceci afin notamment de “ booster ”
les ventes.
Aurais-je déjà été entendu ? Je doute que NEWSMAGAZINE soit très lu à Rochester
et à Somers. Même si je sais que certains IBMers américains francophones nous
ont parfois fait l'honneur et le plaisir non seulement de nous lire, mais même
de tapisser les murs de l'usine de reproductions de NEWSMAGAZINE, cela reste hélas
très anecdotique.
NEWSMAGAZINE et la France en général n'ont pas encore le pouvoir d'influencer
les décisions de Rochester. Mais il en va tout autrement des éditeurs du domaine
de la Business Intelligence, dont certains, comme Coglin Mill ou ShowCase, ont
une grande proximité géographique - pour ne pas dire une promiscuité - avec les
labs.
Les deux éditeurs cités “ habitent ” en effet Rochester Minnesota ; s'agissant
de ShowCase, il leur suffit même de traverser la rue pour se trouver dans les
bâtiments bleus du lab de Big Blue. Ca peut aider à influer les développements,
tant hardware que software d'ailleurs : la récente apparition de la virgule flottante
dans les types de données AS/400 est par exemple, comme nous l'explique Ken Holec,
Président et CEO de ShowCase, en grande partie liée aux besoins de la BI.
Et si le e-business vous mettait sur la paille ?
Réfléchissez-y à deux fois avant de vous engager dans l'aventure du e-business
En matière de e-business, ou commerce électronique, il est difficile de distinguer
la réalité des mirages.
Partout, ce ne sont qu'articles sur ses avantages potentiels et sur comment «
tout le monde s'y met ».
Mais, en réalité, tout le monde n'est pas en train de sauter dans le train du
e-business. Beaucoup d'éventuels investisseurs se méfient de cette nouvelle manière
de faire des affaires, se demandant s'ils peuvent lutter sur ce nouveau e-marché,
qui évolue et change rapidement.
Ces
Saint-Thomas ont bien raison d'hésiter. D'après le U.S. Department of Commerce,
le commerce électronique représente moins de deux pour cent du chiffre d'affaires
total réalisé en Amérique du Nord.
Le lancement dans l'aventure e-business au mauvais moment, avec de mauvaises
applications et des attentes irréalistes, peut réellement
conduire à la catastrophe
Face à de tels chiffres, difficile de croire les avertissements des
prophètes du e-commerce selon lesquels, faute de se connecter sur-le-champ, la
faillite guette. En réalité, le lancement dans l'aventure e-business au mauvais
moment, avec de mauvaises applications et des attentes irréalistes, peut réellement conduire à la catastrophe.
Une prudente expectative semble être l'attitude la plus sage, car elle permet
de voir comment diverses autres entreprises ont confié au Web leurs diverses fonctions
commerciales.
Une topologie SAN
Selon un vieil adage, les données s’étendent sans cesse et finissent toujours par dévorer tout l’espace de stockage disponible. Beaucoup d’applications sont d’ailleurs là pour le confirmer : le commerce électronique, les images, le data warehouse, les progiciels de gestion (ERP) et la gestion de la relation client (CRM) comblent vite les supports de stockage et apparemment sans fin.L’accessibilité des données doit être rapide pour les applications et la disponibilité est extrêmement importante. Les SAN (Storage Area Network) offrent des pools de stockage à grande vitesse grâce à un groupe de serveurs connectés et de stations de travail très rapides.
Hors de l’univers du mainframe, chaque application cruciale (par exemple un ERP) possède une instance résidant sur un serveur distinct, en particulier les applications client-serveur (ainsi 10 serveurs abritent 10 applications). C’est la modularité des systèmes et le fait d’ajouter des applications après d’autres déploiements d’applications réussis qui favorise cette tendance. La modularité des systèmes crée des batteries de serveurs et peut donner de multiples instances des données. Si celles-ci doivent avoir des relations entre elles, il faut appliquer des méthodes de duplication ou de synchronisation pour les résoudre.
C’est pourquoi les données de serveurs monolithiques deviennent pénibles à organiser et à gérer. Les SAN contribuent à alléger cette charge d’administration.
Les SAN sont des réseaux à l’intérieur des réseaux. Leur conception désassocie les applications des serveurs du stockage des données sans sacrifier les temps d’accès au stockage et permet à de nombreux serveurs et applications d’accéder aux données.
Ils minimisent le besoin de serveurs équipés d’énormes magasins de données séparés et permettent d’équilibrer les besoins de fiabilité et de disponibilité. On peut également amortir les coûts du stockage sur plusieurs serveurs et leurs applications.
Les batteries de stockage SAN supportent de nombreux systèmes d’exploitation hôtes et systèmes d’archivage de données. C’est le système d’exploitation hôte qui définit comment les membres du SAN accèdent à un système de fichier. Pour Windows NT, les SAN apparaissent comme des volumes accessibles localement en FAT ou NTFS.
Un SAN est constitué de serveurs (ou de stations de travail d’E/S très rapides) avec des connexions à un canal d’E/S à grande vitesse. Par exemple, sur la figure 1, les serveurs et les stations de travail sont connectées au hub grâce à un commutateur. Les stations de travail ou les serveurs au stockage sont connectées au moyen de SCSI ou Fibre Channel. La méthode de connexion dicte la conception du SAN et affecte les capacités d’évolution et l’accessibilité des données stockées. Examinons les différentes méthodes et leurs caractéristiques.
Comment intégrer Office 2000 et BackOffice
La plupart des entreprises utilisent Microsoft Office, notamment parce la suite est étroitement intégrée avec les divers produits de BackOffice. Office 2000 comporte plusieurs nouvelles fonctions dans chacun des produits le composant, pour continuer à tirer le meilleur des fonctions de BackOffice.es principales améliorations apportées à office 2000 portent sur l'intégration du Web, mais Microsoft a également ajouté de nombreuses améliorations concernant BackOffice, notamment certaines orientées vers SQL Server 7.0 et ses nouveaux services OLAP. Microsoft entend à l'évidence rester leader avec Office 2000.
Lire l'articleLes administrateurs veulent-ils d’un code réellement commun ?
Microsoft exprime depuis longtemps le désir de conserver une base de code commune à ses systèmes d’exploitation. Pour le moment, l’éditeur gère trois jeux de code : Windows NT, Windows 9x et Windows CE. Si ces trois OS partagent un modèle de programmation commun, leur code est néanmoins très différent.Lorsque la recherche sur le génome humain aura atteint ses objectifs, on possèdera une cartographie complète de la structure génétique de la race humaine. Malgré l’incroyable complexité de cette tâche, nous savons déjà que les humains partagent un pourcentage important de leurs gènes avec d’autres mammifères – en fait nous partageons plus de 90 pour cent de notre matériel génétique avec la famille des grands singes. Mais étant donné les différences entre les singes et les hommes, il est parfaitement évident que les différences comptent plus que les similitudes.
Lire l'articleLes modifications du Registre
Dans cet article de la rubrique Boîte à outils de ce mois-ci, nous allons évoquer les modifications que vous pouvez apporter au Registre. Ces tuyaux peuvent vous permettre de personnaliser Windows NT pour l'adapter à votre façon de travailler. Comme toujours, soyez très prudent lorsque vous modifiez votre Registre, et vérifiez que vous disposez des sauvegardes à jour du Registre et des disquettes de redémarrage d'urgence.
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