La gestion des disques de Windows 2000
En général, j'ai le sentiment que les nouvelles versions des outils sont plus compliquées à utiliser que leurs prédécesseurs. Une croyance qui vient probablement de mes expériences passées et d'une tendance mainte fois observée. Pourtant, l'outil de gestion des disques de Windows 2000 évite le piège : le nouvel outil offre une interface simplifiée et compte de nouvelles fonctions très utiles.Les utilisateurs expérimentés de Windows NT sont des habitués de l'Administrateur de disques, l'outil intégré de NT pour la création, l'administration et la suppression des volumes logiques sur les disques physiques. L'équivalent Windows 2000 de l'Administrateur de disques de NT est le composant logiciel enfichable Gestion des disques que l'on peut démarrer depuis Outils d'administration, Gestion des disques (écran 1).
Lire l'articleBâtir un site Web à haute disponibilité avec MSCS et IIS
Microsoft Cluster Server est un service précieux, mais méconnu, de Windows NT Server 4.0 édition Enterprise, qui augmente le temps de production grâce à une disponibilité élevée. Dans cet article, nous détaillerons les fonctions de base de MSCS et son utilisation avec Internet Information Server pour configurer un site Web à haute disponibilité.
Lire l'articleSSL et la cryptographie
Historiquement, SSL est un protocole mis au point par Netscape pour la sécurisation des communications sur le Web. Tous les acteurs du marché ont accepté ce protocole et le supportent, en attendant l'arrivée d'un standard international. Ce standard appelé TLS (Transport Layer Security), basé sur SSL, est mis au point par le l'IETF (Internet Engineering Task Force) et a été publié il y a peu de temps (TLS 1.0). Tous les éditeurs significatifs supportent ou ont annoncé leur intention de supporter TLS 1.0.Afin de comprendre ce qu'est SSL, il est indispensable de maîtriser les concepts de cryptographie qui en constituent les fondations.
Lire l'articleOptimiser les applications pour Terminal Server
L'un des aspects les plus épineux de l'installation d'un système informatique
basé sur les clients légers est de faire fonctionner pour plusieurs utilisateurs
des applications conçues pour un utilisateur unique. Windows NT Server 4.0 édition
Terminal Server risque donc de rencontrer des problèmes avec certaines applications.
Toutes les applications ne fonctionnent pas correctement en environnement multiutilisateur.
Certaines utilisent trop de cycles de processeur ou trop de mémoire, d'autres
ne savent pas s'il faut appliquer des paramètres à un utilisateur ou à un ordinateur,
et certaines stockent les informations dans des emplacements inadaptés à un OS
multiutilisateur.
Il arrive même de se retrouver bloqué par ces problèmes et, pour les applications
de ce type, de devoir les exécuter à partir de l'ordinateur client. Heureusement
certains problèmes peuvent se résoudre, à condition de leur consacrer un peu de
temps.Les applications ne fonctionnent pas toutes avec Terminal Server, mais les
astuces présentées ici vous aideront à tuner celles pour lesquelles c'est le cas.
Visite guidée de Babylone
Le tout dernier serveur d'interopérabilité d'entreprise, mis au point par Microsoft sous le nom de code Babylone, va remplacer SNA Server de la suite BackOffice et permettra, tout comme ce dernier, d'intégrer les réseaux Windows avec les mainframes et les AS/400 d'IBM. L'un des principaux objectifs de Microsoft pour Babylone est de se débarrasser des contraintes de SNA Server et d'englober totalement TCP/IP comme protocole réseau de base. L'objectif secondaire est d'approfondir le niveau d'intégration assuré par le serveur. Si Microsoft SNA Server assurait la connectivité de base des hôtes, Babylone passera, quant à lui, de la couche de connectivité de base au domaine de l'intégration des applications. Le tout nouveau serveur d'interopérabilité d'entreprise de Microsoft comprend beaucoup de nouvelles fonctions, dont certaines s'appuient sur les technologies actuelles de SNA Server, mais il lui manque malgré tout quelques pièces du puzzle de l'interopérabilité d'entreprise.
Lire l'articleLes stratégies de groupe
Microsoft affirme que la réduction du coût de possession est une des raisons de migrer vers Windows 2000. Le concept de TCO dépasse le simple prix d'achat de l'ordinateur et prend en compte bien d'autres centres de coûts, tels que le coût rémanent consistant à supporter le système et les utilisateurs. Quiconque a un jour travaillé à l'assistance aux utilisateurs, sait qu'en fixant des stratégies pour empêcher les utilisateurs de faire des modifications intempestives sur leurs systèmes, on peut éviter bien des problèmes pouvant affecter leur productivité et qui demandent fréquemment, pour les résoudre, l'intervention de personnels qualifiés. Dans Windows NT 4.0, les stratégies système sont à peine plus que des modifications du shell qu'un utilisateur averti peut contourner sans problème. En revanche, dans Windows 2000, Microsoft a développé considérablement la notion de stratégies systèmes. Détaillons les stratégies de groupe, principalement pour comprendre comment il fonctionne dans le modèle Active Directory (AD).
Lire l'articleLe Triangle d’Or
par Samy Mosimann Dans le monde de la banque privée, la place de l'AS/400 reste prépondérante, avec un facteur de 1 à 8 par rapport au nombre d'installations Unix Genève, Zurich et Luxembourg sont les trois sommets du triangle d'or de l'activité bancaire privée en Europe. Ces banques sont des établissements qui ne se comparent pas aux grandes banques nationales ou publiques européennes. Elles sont moins importantes et emploient de moins de 40 à plus de 500 employés. Globalement, on peut estimer qu'environ 1000 banques sont en activité dans ce domaine en Suisse et au Luxembourg.
Lire l'articleSybase : une stratégie d’entreprise
Fondée en 1984, la société Sybase s'est rapidement fait connaître en tant qu'éditeur
de SGBDR. Les performances impressionnantes, la simplicité de mise en oeuvre et
la stabilité de SQLServer sont largement reconnues sur le marché. Sybase a acquis
une image de société à la pointe de la technologie grâce notamment à l'introduction
des procédures stockées et des triggers, aujourd'hui supportés par tous les grands
éditeurs de SGBD.
avec une simple station Sun, sans le moindre incident d'exploitation pendant des
mois (en ne redémarrant le serveur qu'une ou deux fois par an pour des mises à
jour du système d'exploitation).
Ce niveau de performance et de stabilité a permis à Sybase de conquérir rapidement
le marché bancaire et celui de l'assurance - les banques de Wall Street ont par
exemple presque toutes choisi ce SGBDR.
Après dix ans de croissance et de succès, Sybase a connu des revers et de sérieuses
difficultés pendant plusieurs années. Les difficultés n'étaient pas que financières
et les incidents de migration vers les nouvelles releases de Sybase se sont succédés.
Pendant cette période délicate la société a multiplié les nouveaux produits et
acquisitions de sociétés, sans réellement réussir à redresser la situation...
jusqu'à l'année dernière. Il faut remarquer que même au plus fort de la tempête
les clients traditionnels de Sybase n'ont pas abandonné et sont restés fidèles,
donnant ainsi au marché un signe clair de la confiance à long terme qu'ils avaient
dans la société et dans les produits.
A la fin de 1998, Sybase a effectué un redéploiement stratégique de ses produits
et profondément changé son approche du marché.
Ce bouleversement a été un véritable succès pour la société d'Emeryville. Sybase
a renoué avec les bénéfices en 1999 et fait cette année là un chiffre d'affaires
record de 872 M$. Après la pluie, le beau temps…
A la fin de 1998, Sybase a effectué un redéploiement stratégique de ses produits
et profondément changé son approche du marchéSybase est à présent restructuré
en quatre divisions : Internet Application Division (IAD), Information Anywhere
(I-Anywhere, anciennement MEC, Mobile Embedded Computing), Business Intelligence
(BI) et Enterprise Solution Division (ESD). Si cette dernière division (qui inclut
le traditionnel moteur de base de données) reste un pilier de la stratégie de
Sybase, l'évolution de la société vers le développement de solutions pour la Net-Economie
place la division IAD dans une position stratégique.
Des Clusters pour Windows NT
Pour les applications stratégiques de l'entreprise, les clusters sont le test
décisif pour mettre à l'épreuve un OS. Bien que les clusters Windows NT ne soient
pas encore très répandus, plusieurs éditeurs ont commencé à présenter des solutions,
qui viennent modifier significativement le paysage du clustering sous NT.
Selon les prévisions d'IDC (International Data Corporation), les entreprises mettront
en cluster 60 pour cent des serveurs NT existants en 2001. Microsoft Cluster Server
(MSCS) a fait son apparition dans NT Server 4.0, Enterprise Edition au début de
1998. C'était le projet Wolfpack, un cluster de type shared-nothing à 2 noeuds
assurant une bascule en cas de panne d'un serveur.
Pour l'instant, les constructeurs comme Compaq garantissent 99,9 pour cent de
temps de bon fonctionnement (c'est-à -dire seulement 8,76 heures d'indisponibilité)
par an pour MSCS. De par les 5 minutes nécessaires pour une réinitialisation,
MSCS peut prétendre à la haute disponibilité, mais on ne peut pas parler de criticité.
Je n'ai jamais admis l'argument de Microsoft selon lequel la majeure partie de
la clientèle de Microsoft peut se contenter de 8,76 heures de temps d'indisponibilité
par an.
Etant donné la lenteur laborieuse des progrès du clustering, MSCS sortira en version
2 noeuds dans Windows 2000 Advanced Server (AS). Mais la technologie de base du
clustering Microsoft est sur le point de faire un pas en avant significatif. D'ici
février 2000 Microsoft sortira une version de cluster à 4 noeuds basée sur MSCS
dans Windows 2000 Datacenter Server (Data Center).
Dans un cluster à 4 noeuds, les membres utilisent successivement la ressource partagée
qui définit le cluster (normalement un périphérique de stockage) et le cluster
n'a pas besoin d'une réinitialisation du système pour ré attribuer les ressources
lorsqu'un système membre tombe en panne. Les composants du cluster peuvent distribuer
la charge de travail d'un membre défaillant du cluster avec un équilibrage des
charges basé sur la redirection TCP/IP. Le cluster à 4 noeuds de Microsoft a donc
plus de capacités de clustering que le cluster à 2 noeuds.
La technologie de base du clustering Microsoft est sur le point de faire un pas
en avant significatif
Le clustering amélioré est une fonction majeure de Data Center. Avec l'extension
du support SMP à 32 processeurs, Data Center assurera une évolutivité et une tolérance
aux pannes que les grandes entreprises ne manqueront pas de considérer. Data Center
bénéficiera également de Process Control, nouvel outil de gestion basé sur la
technologie Job Object, développé par Microsoft conjointement avec Sequent Computer
Systems. Process Control permet de créer des règles pour gérer les ressources
applicatives dans les grands clusters de serveurs.
D'après les responsables du Clustering chez Microsoft, il existe trois architectures
de serveurs sur le marché : les clusters de serveurs, les clusters d'équilibrage
des charges du réseau et les clusters d'applications. Les clusters de serveurs
fournissent le failover lorsqu'un serveur cesse de reconnaître la pulsation du
cluster. MSCS appartient à ce type de cluster. Les clusters d'équilibrage des
charges de réseau ont un serveur maître qui distribue les requêtes aux serveurs
membres pour créer l'équilibre. Network Load Balancing (NLB) de Microsoft effectue
ce type de clustering sur 32 serveurs. Microsoft a basé NLB sur Convoy Cluster
de Valence Research qu'il a racheté.
Les clusters d'applications, également baptisés clusters d'équilibrage de charges
des composants, sont équipés d'un routeur équilibrant les charges des composants
COM+. Les clusters d'applications permettent la haute disponibilité au niveau
de la logique de gestion d'une solution de réseau distribuée.
A l'origine, Microsoft avait l'intention de faire des clusters d'applications
un élément de Data Center.
Cependant, le 13 septembre dernier, l'éditeur a annoncé qu'il sortira le clustering
des applications comme produit individuel baptisé AppServer
Microsoft a testé un cluster d'applications à 8 noeuds et sortira probablement
un cluster à 16 noeuds très prochainement.
Il existe trois architectures de clusters : disque partagé, disque en miroir et
shared nothing. Les clusters VAX et Oracle Parallel Server utilisent
Comprendre les contrôleurs de domaine
Windows NT Server organise les groupes d'ordinateurs en domaines, faisant en sorte que les machines d'un domaine partagent une base de données et une politique de sécurité communes. Les contrôleurs de domaine sont des systèmes sous Windows NT Server qui partagent la base de données centrale stockant les comptes des utilisateurs et leurs informations de sécurité pour un domaine. Lorsqu'un utilisateur se connecte à un compte de domaine, les contrôleurs de domaine authentifient le profil et le mot de passe de l'utilisateur en utilisant les informations de la base de données d'annuaire (également souvent baptisée base de données de sécurité de domaine ou base de données SAM). Pendant l'installation de Windows NT Server, vous devez désigner le rôle que chaque serveur devra tenir dans un domaine. NT vous offre le choix de 3 rôles : PDC (Primary Domain Controller - contrôleur principal de domaine), BDC (Backup Domain Controller - Contrôleur secondaire de domaine) et serveur membre. On crée un domaine dès lors que l'on désigne un PDC. Les PDC et BDC sont des éléments cruciaux des domaines. Pour garder le contrôle et tirer le meilleur des domaines que vous créez dans votre réseau NT, vous devez comprendre ce que sont les PDC et BDC, comment synchroniser la base de données d'annuaire entre PDC et BDC dans un domaine, comment promouvoir un BDC en PDC lorsque le PDC est indisponible, comment déterminer le bon nombre de PDC pour un domaine donné et comment gérer les relations d'approbation entre les PDC de différents domaines.
Lire l'articleInstaller des logiciels avec Windows 2000
La gestion des postes de travail sous Windows NT est un cauchemar dans les grands environnements - et souvent dans les moins grands. Microsoft Systems Management Server (SMS) 2.0 règle en partie les problèmes d'administration, mais il lui manque certains composants essentiels ou certains sont mal adaptés aux grands environnements. Le problème de l'administration de système est le principal challenge de Microsoft. La prise en compte de ce problème et le coût considérable associé à sa résolution a débouché sur l'initiative Zero Administration for Windows (ZAW). Avec Windows 2000, Microsoft tente de faire passer ZAW de la théorie à la pratique et a même renommé l'ensemble des technologies Change and Configuration Management (CCM) - la gestion du changement et des configuration étant un objectif bien plus réaliste qu'un Windows sans administration ! Par exemple, Windows 2000 fournira des services pour améliorer l'installation et la configuration des logiciels. Dans cet article, nous verrons comment Windows 2000 permet de mieux gérer les applications des postes de travail et comment tout ceci s'intègre dans la stratégie globale de Microsoft.
Lire l'articleLe service de conférence d’Exchange 2000
De nombreux ingénieurs découvrent de nouvelles technologies lorsqu'ils doivent en administrer l'implémentation de Microsoft. Par exemple, de nombreux administrateurs sont devenus des experts de DNS en installant et configurant le serveur DNS de Windows NT 4.0. Ils ne se sont souvent renseigné sur les RFC de l'IETF et les autres implémentations de la technologies que plus tard. De même, ils seront nombreux à ne découvrir la conférence vidéo/données que maintenant que Microsoft se lance dans cette arène. Jusqu'à présent, le principal produit de Microsoft pour la visioconférence était NetMeeting. Certains fournisseurs de visioconférences ont intégré ce logiciel dans leurs produits, mais on peut utiliser le produits seul comme application stand-alone pour de petits besoins. Microsoft a doté Exchange 2000 Server (anciennement connu sous le nom de code Platinum) d'un service de conférence complet, dignes de concurrencer des systèmes d'entreprise coûtant des centaines de milliers de Francs. Pour utiliser ce nouveau service, vous devez comprendre ses fonctions et son architecture.
Lire l'articleVotre boutique d’e-commerce sécurisée avec SBS et Site Server
Microsoft Small Business Server (SBS) est un produit de choix non seulement pour les besoins de gestion des petites entreprises, mais aussi pour leurs sites Web de commerce électronique. Douze étapes pour construire votre boutique en ligne avec SBS et Microsoft Site Server 3.0 Commerce Edition. Microsoft a développé Site Server en le destinant principalement à des installations sur plate-forme BackOffice complète. Mais pour beaucoup de petites entreprises, utiliser seulement SBS et Site Server - plutôt que d'installer la solution BackOffice complète - est une idée séduisante. SBS et Site Server associés fournissent la majeure partie des fonctionnalités de BackOffice sans en atteindre le coût. Cependant, si SBS et Site Server sont faciles à installer et à configurer, le processus garantissant la sécurité de leur fonctionnement sur l'Internet n'est pas si simple.Cet article liste les étapes à respecter pour installer SBS, Site Server et les composants supplémentaires nécessaires pour sécuriser une solution de commerce électronique. Si vous suivez cette démarche, vous aurez une installation d'e-commerce SBS correctement sécurisée.
Lire l'article10 trucs pour récupérer votre espace disques
La plupart des nouveaux systèmes Windows NT sont dotés de quantités prodigieuses d’espace disque local ; mais tout le monde n’a pas la chance d’utiliser un de ces monstres. Beaucoup d’entre nous gèrent des systèmes sur lesquels l’espace disque est un bien précieux. Ce mois-ci je vous fais part de quelques astuces pour récupérer l’espace disque dur.
Lire l'articleComment clusteriser Exchange Server
Le clustering rend les plates-formes plus sûres, robustes et fiables pour les déploiements de messagerie. Mais Microsoft Exchange Server ne supportait pas cette fonction jusqu'à la sortie des éditions Entreprise de Windows NT Server 4.0 et d'Exchange Server 5.5. Farouche partisan des clusters depuis le VMSCluster de Digital, j'ai préféré attendre qu'Exchange supporte le clustering avant de l'adopter comme solution de messagerie. Après avoir cherché pendant deux mois le matériel adéquat, j'ai donc mis mon cluster Exchange Server en production en février 1998. La plupart du temps il tourne correctement et sans nécessiter beaucoup d'administration, mais sa mise en oeuvre a buté sur un certain nombre de problèmes et j'ai beaucoup appris en créant, configurant et maintenant un cluster Exchange l'an dernier.
Lire l'articleRéférentiels : la course au jackpot
Les " référentiels "
(ou gisements de données) d'entreprise ont toujours été un produit difficile à
vendre. A leur niveau le plus élémentaire, ce sont des applications de bases de
données contenant des métadonnées, c'est à dire des données sur les données.
Dans le contexte des référentiels, le terme métadonnées désigne des informations
sur les actifs informatiques d'une organisation, depuis les définitions de composants
et les programmes COBOL jusqu'aux informations sur les data warehouses et les
datamarts on-line de l'entreprise. Les référentiels contiennent aussi généralement
des informations sur les schémas de base de données, les règles de gestion et
les conventions de codage et de noms de l'entreprise.
Il s'agit, en somme, d'une liste de ressources exhaustive, à indexage croisé,
un catalogue géant des ressources d'une organisation. Tel est l'objectif du référentiel
d'entreprise, il ne faut donc pas s'étonner si on les appelle parfois dictionnaires
ou encyclopédies de données.
Si cette description vous paraît trop abstraite, vous pouvez comparer le Registre
à un référentiel de tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur un système
Windows.Vous êtes séduit par l'idée d'avoir un référentiel, mais, prudent, vous
pensez qu'il est probablement pénible à installer et à maintenir ? Vous n'avez
pas tort. Et nous revoici à la case départ : les référentiels sont depuis toujours
un produit difficile à vendre. Toutefois ils font malgré tout un come-back et
le moment est donc venu d'examiner ce qu'ils peuvent vous offrir.
Le marché actuel des référentiels est restreint et guère dynamique
Serveurs de terminaux : Microsoft change les règles de licence
Juste quand vous pensiez avoir enfin compris les règles de licences de Windows NT Server 4.0 Terminal Server Edition, Microsoft décide de les changer pour Windows 2000. Les règles, les types de licences disponibles, les prix et les étapes requises pour les licences des services de terminaux diffèrent sensiblement entre Windows NT 4.0 et Windows 2000. Cet article étudie le fonctionnement des licences des services de terminaux intégrés de Windows 2000, détaille comment gérer les licences et explique la logique de ces modifications.
Lire l'articleEntre modernisation et transformation, mon coeur balance
Sublimant la transformation d'applications, la stratégie d'entreprise de Seagull
est la modernisation des applications existantes
Lorsqu'il s'agit d'améliorer fonctionnellement une application "héritée", près
de 50% des utilisateurs font aujourd'hui le choix d'une solution packagée, que
ce soit un ERP ou une solution plus modulaire. Sur les 50% qui restent, la moitié
environ envisagent un redéveloppement progressif, les autres optant pour une modernisation,
une maintenance évolutive, de l'existant.En fait, les choses sont loin d'être
aussi manichéennes: lors d'une récente intervention, Jim Sinur, du Gartner Group,
s'est livré à un mini-sondage auprès de son public (150 personnes). A la question
"Combien de projets de maintenance évolutive des applications existantes avez-vous
en cours en ce moment?", près des trois quarts des personnes présentes ont répondu
"Au moins un" (et 20% en avaient 6 ou plus). Quant à savoir si de tels projets
étaient envisagés au sein de l'entreprise, ce sont carrément 90% des personnes
qui ont répondu par l'affirmative.
Dans l'assistance se trouvaient évidemment des gens menant en parallèle des installations
de packages et des redéveloppements partiels.
90%
des personnes de l'assistance ont ou envisagent au moins un projet de modernisation
d'application
D'où le constat simple: même si les investissements lourds, qu'ils s'appellent
"redéveloppement" ou "mise en place de progiciels", semblent constituer la voie
la plus sûre pour le long terme, rares sont ceux qui appliquent une politique
de remplacement exclusive, et se détournent de l'existant, donc de leurs investissements
passé, et de son évolution possible. Les deux atouts majeurs que sont un coût
relativement limité et une grande rapidité de mise en oeuvre plaident en faveur
de la maintenance évolutive des applications héritées.
Administrer tous les browsers Web de l’entreprise avec IEAK
La modification d'un tout petit paramètre sur le PC de tous vos utilisateurs peut
simplifier l'administration quotidienne, mais la taille du parc machine de votre
entreprise et le travail qui s'empile sur votre bureau risquent fort de ne pas
vous permettre de procéder à ce petit changement. Une fonction peu connue d'Internet
Explorer (IE), baptisée configuration automatique, peut résoudre ce problème et
contribuer à faire baisser le coût global de possession (TCO).
Les OS modernes ont atteint un niveau de complexité parfois difficile à gérer
et les administrateurs doivent souvent évaluer les modifications d'infrastructure
au cas par cas.
Malheureusement, il leur faut bien faire le lien entre les changements logiques
et le coût de leur mise en oeuvre.
Parfois, il suffit d'une petite modification sur tous les ordinateurs de la société
pour améliorer l'administration quotidienne, mais intervenir sur tous les postes
de travail est souvent impossible. Avec la configuration automatique du kit d'administration
de Microsoft Internet Explorer (IEAK pour Internet Explorer Administration Kit),
peut résoudre ce problème et contribuer à faire baisser le coût global de possession
(TCO). Cette fonction permet, en quelques clics de souris et frappes de touches
sur une machine, de modifier les paramètres de l'application sur les milliers
d'ordinateurs de votre organisation.
Optimiser les sous-systèmes disques
Des performances ! Tout le monde veut que les serveurs et les stations de travail NT tournent le plus vite possible. Or l’optimisation d’un sous-système disque est importante pour améliorer les performances globales d’une solution NT.Cet article décrit comment obtenir des performances maximales des ressources supplémentaires ajoutées lors de la mise en œuvre de sous-systèmes disques et de grappes RAID supplémentaires, sans tenir compte des mises au point matérielles spécifiques à tel ou tel constructeur. Pour optimiser rapidement le sous-système disque (RAID matériel ou logiciel), on peut faire appel à des outils intégrés de Windows NT ou à un freeware. Pour réaliser cette tâche, il importe de comprendre les caractéristiques individuelles de performances des disques ou de la technologie RAID, selon le choix que vous avez fait, et les charges de travail de votre sous-système disque existant. Ces informations vous permettront d’équilibrer les charges de votre sous-système disque et d’optimiser la taille des unités d’allocation des disques. Enfin, comme l’accroissement des performances peut varier en fonction de l’environnement informatique, j’expliquerai comment j’ai optimisé et testé mon sous-système disques.
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