Microsoft en quête de fiabilité
Ancien de Banyan Systems, Jim Allchin n'aime pas les bugs. Ex Senior Vice President de Microsoft en charge du développement de Windows 2000, désormais VP responsable des plates-formes, il est l'homme d'une mission : rendre Windows 2000 l'OS le plus fiable du marché. Après plus de 10 ans chez Microsoft à travailler sur Windows NT, le penchant de Jim Allchin pour l'excellence et sa détermination pourraient bien porter leurs fruits Au cours d'un discours prononcé au dernier Comdex d'automne, Jim Allchin a déclaré : " vous avez devant vous le bureau des réclamations de Microsoft pour Windows. Je reçois des lettres à propos de Windows 95, 98 et NT et je passe beaucoup de temps à les lire. C'est une lecture pénible car, même si j'en reçois de nombreuses très gentilles, la plupart des lettres qui arrivent sur mon bureau sont celles dans lesquelles quelqu'un a vécu une mauvaise expérience. Il y a deux ans, Microsoft a décidé d'essayer de comprendre la réalité en ce qui concerne la fiabilité et la compatibilité de Windows NT. Parce qu'au moment où je recevais toutes ces lettres, je savais que Dell.com tournait sous Windows NT, que le Nasdaq ou le Chicago Board of Trade étaient sous NT. Nous savions en outre que ces clients étaient absolument ravis de la fiabilité de nos produits. "
Lire l'articleAu coeur de la gestion de la mémoire sous Windows NT (II)
2ème partie
Dans notre numéro de novembre, nous avons commencé cette série en deux parties
sur la gestion de la mémoire dans Windows NT en introduisant le concept de mémoire
virtuelle. Nous avons vu l'utilisation par le processeur d'un système de traduction
d'adresses virtuelles en adresses physiques à deux niveaux. Nous avons évoqué
la pagination et deux puissantes fonctions du Gestionnaire de mémoire : le mapping
de fichiers en mémoire et la mémoire copy-on-write.
Ce mois-ci nous allons détailler encore les structures de données internes utilisées
par le Gestionnaire de mémoire pour faire le suivi de l'état de la mémoire. Nous
évoquerons les working sets et la base de données PFN (Page Frame Number). Nous
terminerons par une exploration d'autres structures de données utilisées par le
Gestionnaire de mémoire pour faire le suivi de la mémoire partagée par deux ou
plusieurs applications, et nous aborderons les Objets de section, structures de
données utilisées par la base de données PFN pour mettre en oeuvre le mapping des
fichiers en mémoire.
Au coeur du noyau de Windows 2000
Microsoft a déclaré que Windows 2000 est la plus importante mise à niveau de toute
son histoire. Windows NT 4.0 est sorti mi-1996, et pour créer la nouvelle version
Windows 2000, Microsoft a bénéficié de l'expérience des utilisateurs et de sa
propre étude du système d'exploitation pendant trois années.
Je voudrais dissiper le mythe selon lequel le kernel de Windows 2000 est une simple
réécriture de celui de NT 4.0. Il s'agit, en réalité, d'une version tunée et peaufinée
du noyau de NT 4.0, comportant certaines améliorations significatives de zones
particulières et deux nouveaux sous-systèmes. Avec ces modifications, Microsoft
a voulu améliorer l'évolutivité, la fiabilité et la sécurité du système d'exploitation
par rapport à NT 4.0, et permettre le support de nouvelles fonctions telles que
Plug and Play (PnP) et la gestion de l'alimentation.
Dans cet article, je fais rapidement le tour des changements apportés au kernel
dans Windows 2000. Je ne parle pas des composants Windows 2000 du mode utilisateur,
comme Active Directory (AD) ou les interfaces d'administration, qui ne tirent
pas parti des changements du kernel pour leur implémentation. Je n'ai pas suffisamment
d'espace pour décrire une fonction particulière en détail, mais vous pouvez consulter
d'autres articles spécifiquement consacrés aux fonctions internes de NT.
NT 4.0 a la réputation de ne pas supporter suffisamment les montées
en charge sur les machines SMP, en particulier à plus de quatre CPU
Explorons Management Central
IBM y intègre la gestion des PTF et le packaging et la diffusion d'objets, et clarifie sa stratégie en matière d'outils de gestion système graphiques. A l'instar de différents secteurs du marché de l'AS/400, lorsqu'il s'agit de choisir une solution de gestion système dans l'offre IBM ou dans celles de ses “ Business Partners ”, le client n'a que l'embarras du choix. Le présent article a pour but de vous faire découvrir l'un des nouveaux venus dans ce domaine : Management Central. Il s'agit d'un ensemble d'outils pouvant être utilisés pour observer et surveiller plusieurs AS/400 connectés via TCP/IP. Management Central fait partie d'Operations Navigator (OpNav), qui à son tour, fait partie de la portion de Client Access livrée gratuitement. Management Central fait partie d'Operations Navigator La version originale, en V4R3, de Management Central offrait d'une part des fonctions de collecte d'informations et d'autre part, des fonctions d'affichage graphique de différents indicateurs de performances. Avec la V4R4 et la nouvelle mouture de Client Access lancée en mai 1999, IBM a élargi les fonctionnalités de Management Central. Désormais, le produit offre également des fonctions de gestion des composants matériels et logiciels, des PTF, permet de collecter des informations sur les performances, d'exécuter des commandes à distance ainsi que de distribuer des fichiers AS/400 et IFS. Entamons notre tour d'horizon en analysant la version actuelle de Management Central.
Lire l'articleUn Cerbère protège Windows 2000
Dans la mythologie grecque, Cerbère - Kerberos en anglais - est le chien à trois têtes qui garde l'entrée des enfers. La mise en oeuvre réalisée par Microsoft de Kerberos est un peu moins féroce tout de même. C'est la RFC (Request for Comments) 1510 qui définit le protocole Kerberos de base, développé au MIT comme partie intégrante du projet Athena et portant sur l'authentification des utilisateurs. Microsoft a intégré cette version de Kerberos dans Windows 2000 comme nouveau protocole d'authentification par défaut de l'OS. Dans cet article nous verrons les fonctions essentielles de l'implémentation de Kerberos par Microsoft.
Lire l'articleComment sécuriser les réseaux NT / Unix
Bien que Windows NT et Unix aient en commun bon nombre de forces et de faiblesses en matière de sécurité, l'utilisation simultanée de ces deux OS dans le même réseau ajoute à sa complexité. Une complexité d'autant plus pesante si ce réseau mixte est connecté à l'Internet. Les administrateurs de réseaux NT et UNIX mixtes doivent donc impérativement développer et mettre en oeuvre un plan de sécurité complet. Dans un grand nombre d'organisations les plans de sécurité NT et UNIX sont inefficaces. On commet communément l'erreur de croire qu'il suffit d'installer un pare-feu et un serveur proxy pour garantir la sécurité d'un réseau. Cette mesure est importante, certes, mais elle ne représente qu'un élément d'un plan efficace. Un plan de sécurité NT et UNIX complet exige non seulement d'installer des pare-feux et des serveurs proxy, mais également de choisir soigneusement les applications, de sécuriser le serveur Web, de gérer efficacement les mots de passe et les logons, ainsi que les comptes d'utilisateurs et de groupes, de sécuriser physiquement le réseau, de garantir l'intégrité des données via des sauvegardes, et de surveiller les applications.
Lire l'articleUtilisation des API de files d’attente de données en RPG IV
Cet extrait tiré d'un nouveau Redbook propose des exemples de programmes RPG IV utilisant les API de files d'attente de donnéesLes files d'attente de données sont des objets que l'on peut créer pour établir des communications entre des programmes en langage évolué (HLL : high-level language). Le principe en est le suivant : un programme HLL envoie des données à une file d'attente et un autre les reçoit. Le type le plus fréquent de file d'attente de données est constitué par les communications entre programmes HLL résidant sur le même système AS/400. Mais on peut aussi utiliser des files d'attente de type DDM (Distributed Data Management) pour faire communiquer des programmes HLL tournant sur des AS/400 différents.
Les files d'attente de données offrent de nombreux avantages :
· Elles constituent un moyen rapide de communications asynchrones
entre deux travaux, qui utilise moins de ressources systèmes que les échanges
via les fichiers base de données, les files d'attente de messages ou les zones
de données.
· Elles peuvent être communes à plusieurs travaux. C'est intéressant lorsqu'un
travail ne peut pas traiter un trop grand nombre d'entrées dans le temps imparti.
Ainsi, si plusieurs imprimantes sont prêtes à imprimer des commandes, une seule
file d'attente peut envoyer des données à un job distinct pour chaque imprimante,
en mode FIFO (premier entré/premier sorti), LIFO (dernier entré/premier sorti),
ou dans un ordre déterminé par clé.
· Elles peuvent attacher une ID d'émetteur à chaque message. L'ID d'émetteur
est un attribut de file d'attente de données établi au moment où elle est créée.
Il contient le nom de job qualifié et le profil utilisateur courant.
· Elles peuvent être assorties d'un délai (time-out) afin qu'un job récepteur
attende jusqu'à ce qu'il reçoive une certaine entrée en provenance d'une file
d'attente de données.
On peut aussi utiliser des files d'attente de données pour faire communiquer des programmes HLL tournant sur des AS/400 différents.
· Elles allègent la tâche d'un travail. Les API de file d'attente peuvent fournir un meilleur temps de réponse et diminuer la taille d'un programme interactif. Si, par exemple, plusieurs utilisateurs entrent des transactions pour mettre à jour plusieurs fichiers, on peut ordonner aux jobs interactifs de pousser les données dans une file d'attente pour un traitement asynchrone par un programme batch (plutôt que d'avoir chaque file d'attente de job interactif mettre à jour un fichier base de données). Seules les files d'attente de données permettent cette technique de programmation asynchrone.
Lire l'articleLa machine de l’extrême
Abandonnant sa ritournelle e-business le temps des dernières annonces, IBM a qualifié
les nouvelles machines AS/400, qui verront le jour en août, de "machines de l'extrême"
Une fois n'est pas coutume : IBM nous a surpris en devançant ses annonces AS/400
de plusieurs mois. Initialement prévues pour juillet, elles ont en fait eu lieu
le 22 mai. Baptisées "AS/400e for extreme business", elles ont, en dehors de leur
date inhabituelle, revêtu une forme tout ce qu'il y a de plus classique pour des
annonces AS/400. En d'autres termes, il reste sept mois sur l'année 2000, au cours
desquels il n'y a officiellement aucune annonce de prévu…. que nous réservent
ces sept mois ? Voyez l'encadré "AS/6000 ?" à ce sujet. Tous les éléments matériels
et logiciels constitutifs de l'annonce du 22 mai seront disponibles en août 2000
(pas de date précise connue au moment où nous mettions sous presse, mais ce pourrait
être en début de mois), ce qui constitue aussi une première : en effet, IBM nous
avait habitués à ce que le contenu de ses annonces soit disponible immédiatement
ou très peu de temps après, et en aucun cas trois mois plus tard.
Extremecast live |
Avec de telles performances, l'AS/400e surclasse désormais les mainframes les plus puissants Lire l'article
Transférer des feuilles 97 Excel vers la base de données AS/400
Obtenir les informations dont on a besoin pour assurer un téléchargement Excel
réussi
Downloader un fichier base de données AS/400 vers une feuille de calcul Microsoft
Excel est une opération relativement simple. En fait, depuis la V3R1M3 de Client
Access pour Windows 95/NT, un add-in pour Excel 95 et Excel 97 permet de downloader
directement des données AS/400 dans une feuille de calcul.
En revanche, si on a besoin “ d'uploader ” (c'est-à -dire de réaliser l'opération
en sens inverse) une feuille de calcul depuis Excel vers une base de données AS/400,
la tâche n'est pas aussi simple. Assurer le chargement de la feuille de calcul
peut s'avérer difficile si on ne maîtrise pas les types de fichiers utilisés dans
Client Access et Excel. Dans cet article, je passe en revue les phases de préparation
d'une feuille de calcul à uploader vers un AS/400 en utilisant Client Access pour
Windows 95/NT. Je présente également certains des problèmes que l'on est susceptible
de rencontrer si on choisit des types de fichier incompatibles.
Le Service Pack 4 et les technologies réseau
Longtemps attendu, le Service Pack 4 de Windows NT 4.0 contient notamment des corrections de bugs importantes et de nouvelles fonctions pour trois technologies réseau fondamentales : DHCP, WINS et DNS. Voyons donc les problèmes liés à ces technologies et les corrections apportées par le SP4. Nous avons déjà évoqué le SP4 pour son SCE (Security Configuration Editor) dans l'article de Mark Joseph Edwards " Le nouvel éditeur de configuration de sécurité du SP4 " de décembre 1998), mais ne passez pas à côté de ses avantages réels. Le SP4 comporte en effet des corrections qui améliorent trois technologies réseau essentielles : DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol), WINS (Windows Internet Naming Service) et DNS (Domain Name Service).
Lire l'articleLes options de déploiement de Windows 2000 Professional
Au cours des deux dernières années, le déploiement a été maintes fois évoqué,
en référence au processus consistant à installer un OS ou une application sur
les postes de travail de l'entreprise. A l'origine de Windows NT, l'installation
de l'OS nécessitait la présence d'un opérateur pour fournir des informations pendant
le processus. Windows NT 4.0 comportait quelques des options pour simplifier ce
processus, avec Windows 2000, l'OS en comporte beaucoup. Windows 2000 Professional offre de nombreuses méthodes de déploiement, que ce
soit sur un poste de travail ou pour tout un réseau.
Aussi, avant de commencer à installer l'OS, vous devez prendre en compte quelques
considérations. Si vous installez Windows 2000 Pro sur du matériel flambant neuf
garanti prêt pour Windows 2000, vous ne devriez pas rencontrer de problèmes.
En revanche, si vous envisagez de mettre à jour des systèmes existants, vous devez
vous préparer à quelques pièges en termes de compatibilité.
Les drivers sont un des points sensibles potentiels : Windows 2000 Pro utilise
une architecture de drivers différente de celle utilisée par Windows 9x. Bien
que Windows 2000 soit en gros une mise à jour de Windows NT, Microsoft a suffisamment
changé l'OS pour que l'on ne puisse pas partir du principe que les drivers NT
4.0 fonctionneront sous Windows 2000 Professionnal. Ne croyez pas la propagande
de Microsoft selon laquelle le Windows Driver Model (WDM) règlera tous ces problèmes
de compatibilité de drivers.
Au cours d'une récente conversation avec un des développeurs de WDM, ce dernier
m'a révélé que WDM ne s'applique à aucune forme de driver d'affichage (écrans,
imprimantes ou tout autre driver interagissant directement avec GDI - Graphical
Driver Interface). Le développeur m'a également appris que Microsoft avait reconçu
WDM pour les programmeurs et non les utilisateurs finaux et que, même lorsque
WDM fonctionne, la compatibilité binaire entre Windows 2000 Pro et Windows 9x
n'était pas garantie.
Même lorsque le Windows Driver Model fonctionne, la compatibilité binaire entre
Windows 2000 Pro et Windows 9x n'était pas garantie La compatibilité des applications
est également un problème. J'ai testé la RC3 de Windows 2000 Pro et, à l'heure
de mise sous presse, les applications suivantes présentaient des problèmes de
compatibilité (peut-être résolus depuis la disponibilité de la version définitive)
: Illustrator, Photoshop et Adobe Type Manager d'Adobe ; les logiciels d'Aldus
Freehand, Compuserve et AOL ; Inoculan et InoculanIT de Computer Associates ;
Exceed d'Hummingbird ; Diskshare et GeoMedia d'Intergraph ; cc:Mail, Notes, Organizer
et SmartSuite de Lotus ; Macromedia Director ; iGraphx Designer de Micrografx
; Encarta, Office, Photodraw, les Services for UNIX de NT 4.0, Visual Basic, Visual
C++, FoxPro, Visual Interdev et Visual Studio de Microsoft ; GroupWise de Novell
; Panda Antivirus ; PowerQuest Drive Image ; Crystal Report de Seagate ; et les
application sde Symantec dont pcANYWHERE.
Pour être honnête, les problèmes de compatibilité n'affectent pas toutes les versions
de tous ces produits et la plupart peuvent être contournés. Je n'ai évoqué ici
que deux des nombreux problèmes de compatibilité que vous pouvez rencontrer.
Que peut-on y faire ?
Les bonnes vieilles règles de la mise à niveau de Windows NT fonctionnent encore
: vérifiez la liste de compatibilité matérielle (HCL) pour vérifier que Windows
2000 Pro supporte votre système, vérifiez tous les drivers d'éditeurs tiers et
lisez la note accompagnant Windows 2000 Pro pour voir si un de vos logiciels présente
un problème.
Pour faciliter la découverte de problèmes de compatibilité, on peut utiliser le
commutateur \checkupgradeonly sur winnt32.exe. (Winnt32.exe est le nom du programme
d'installation de Windows 2000 Professionnal et on peut le trouver dans le répertoire
\i386 du CD-ROM de distribution.) On peut également utiliser le vérificateur de
compatibilité de Microsoft (checkupgrade_1.exe) que l'on peut télécharger depuis
le site Web de Microsoft.
Windows NT contre Unix : y-a-t-il un gagnant ?
Les parts de marché grignotées par Windows NT ayant fini par éroder la domination
d'Unix, le débat continue à faire rage sur la supériorité éventuelle de l'un des
deux OS. Beaucoup d'utilisateurs prétendent avec une ferveur quasi religieuse
que, quel que soit le système d'exploitation, le meilleur est celui avec lequel
on a travaillé en premier. Dans le clan Unix, en particulier, certains sont apparemment
convaincus qu'il suffit de vanter haut et fort les mérites d'Unix pour endiguer
la marée Windows NT.
Ce débat brûlant met en lumière, non sans ironie, que l'origine des deux OS remonte
au milieu des années soixante-dix et qu'ils ont tous deux été influencés en grande
partie par des concepts et des théories identiques. Personne ne sera surpris de
découvrir que Windows NT et Unix ont beaucoup de similitudes, mais aussi de différences.
Cet article va traiter en parallèle Windows NT et Unix et comparer leurs architectures,
avec un examen des principales caractéristiques de chacun : gestion des processus,
ordonnancement, gestion de la mémoire et traitement des I/O. Il se terminera par
une présentation des résultats des mesures les plus objectives disponibles, à
savoir les résultats des benchmarks reconnus par l'industrie.
Enfin, il abordera la question qui s'impose dans toute comparaison : " Quel est
le meilleur des deux OS ? "Peu importe de quel côté du débat Windows NT-Unix vous
vous trouvez, quelques surprises vous attendent.
Le PC doit-il faire sa révolution ?
Il semble évident que les PC sont là pour toujours. Pourtant, on peut en douter. Lors du dernier Comdex, en voyant les derniers PC les plus puissants, il était étonnant de voir combien les nouveaux PC ressemblent à ceux des années précédentes, y compris les premiers PC de 1981.Bien que l'industrie du PC donne l'image d'un marché en constante innovation, cette image est une illusion. Il stagne dans bien des domaines et cette stagnation pourrait bien annoncer de nombreux changements. Entre 1981 et 1987, les PC ont connu une évolution très rapide, passant de processeurs hybrides 8-bit et des 8088 16-bit aux processeurs 80386 pures 32-bit ; d'un affichage purement textuel à VGA ; et du stockage sur des disquettes de 160 Ko au disques durs généralisés et aux disquettes 3,5" de 1,44 Mo. Mais bien peu de choses ont changé depuis 1987. La disquette standard est toujours de 1,44 Mo et VGA est toujours la base de l'affichage vidéo. Les processeurs Intel à l'état de l'art(les Pentiums III) sont des 386 gonflés avec un jeu d'instruction amélioré. Intel a lancé les 386 32-bit en 1985 et, 15 ans plus tard, on attend toujours le processeur 64-bit que le fondeur avait promis avec la puce Itanium, (anciennement connue sous le nom de code Merced). Les vitesses d'horloge des processeurs ont certes augmenté considérablement, en apparence, mais en fait les apparences sont trompeuses. La vitesse d'horloge externe du 80386 atteignait 33 Mhz il y a 10 ans environ et le Pentium III, prétendument cadencé à 500 Mhz, n'offre en fait qu'une vitesse d'horloge externe de 100 Mhz, soit trois fois plus seulement.
Lire l'articleTirer pleinement profit du serveur universel
Avec l'annonce de la V4R4 de l'OS/400, IBM a rebaptisé la base de données de l'AS/400, “ DB2 Universal Database for AS/400 ”. Big Blue aurait également dû rebaptiser l'AS/400 en “ Serveur Universel ”. En effet, l'AS/400 est en train d'émerger comme serveur universel, défiant toute concurrence dans sa capacité à exécuter un grand nombre d'applications, des plus anciennes (il existe encore quelques applications System/3 sur le terrain) aux solutions Java, Web et e-business les plus récentes. Des applications de type traitement transactionnel, gestionnaires de bases de données, partage de fichiers et d'imprimantes, ERP (Enterprise Resource Planning), serveurs Web ainsi que des applications sollicitant le processeur de façon intensive comme Lotus Domino, fonctionnent parfaitement sur les modèles récents d'AS/400. En fait, l'AS/400 est tellement universel en matière de prise en charge des technologies émergentes qu'il peut être difficile pour les entreprises utilisatrices et les éditeurs de logiciels de choisir une stratégie de modernisation. Et pourtant, il faut bien faire un choix et poursuivre sa route. IBM a investi des fortunes pour positionner la société et ses systèmes de gestion midrange comme moteurs du commerce électronique. Si cet effort marketing s'avère concluant et que les applications nécessaires deviennent disponibles, les fournisseurs de systèmes et de logiciels AS/400 pourraient voir la plate-forme refaire surface comme élément moteur dans la création de nouvelles opportunités commerciales. Naturellement, ce résultat serait bénéfique pour tous ceux d'entre nous qui utilisons l'AS/400.
Lire l'articleRenforcez la sécurité de Proxy Server
De nombreuses entreprises considèrent Microsoft Proxy Server comme une solution
de premier plan pour la sécurité du réseau. Cependant, même avec Proxy Server,
les hackers peuvent trouver des moyens de pénétrer dans un réseau.
Associant la capacité de cacher l'espace d'adressage IP interne d'une entreprise
et celle d'empêcher le routage IP entre le réseau interne et Internet, Proxy Server
constitue pour les entreprises une sérieuse base de sécurité. Ce qui séduit aussi
beaucoup la clientèle de Proxy Server c'est la promesse d'une sécurité plug-and-play
et l'exploitation de l'infrastructure BackOffice et de la base de données des
comptes d'utilisateurs déjà présents dans une entreprise.
Mais, même avec Proxy Server, les pirates intelligents peuvent pénétrer dans un
réseau. Malheureusement, beaucoup d'entreprises comptent en tout et pour tout
sur la configuration par défaut de Proxy Server pour assurer toute leur sécurité.
Cette confiance les laisse souvent vulnérables aux attaques.
Pour maximiser la sécurité des réseaux, il faut mettre en oeuvre un certain nombre
de mesures de sécurité, notamment les fonctions de sécurité avancées de Proxy
Server et quelques configurations spéciales du réseau. Cet article décrit les
techniques pour renforcer la sécurité de votre réseau au-delà de la configuration
par défaut de base.
La plupart de ces techniques ne demandent que quelques modifications mineures
des réseaux et des serveurs existants. Vous pouvez les appliquer dès à présent
pour protéger votre entreprise contre les attaques venant d'Internet. Elles vous
permettront d'ailleurs aussi très vraisemblablement de tirer le maximum de votre
investissement dans Proxy Server.
La plupart de ces techniques ne demandent que quelques modifications mineures
des réseaux et des serveurs existants
Plans de modernisation des éditeurs AS/400
par Paul Conte Quand les applications des éditeurs (ou ISV : Independent Software Vendor) AS/400 prennent une direction, la communauté AS/400 leur emboîte le pas
Si l'on veut prévoir et se préparer aux tendances des développements logiciels dans la communauté AS/400 étendue, il est bon de regarder ce que font les fournisseurs de logiciels indépendants (ISV : Independent Software Vendors) AS/400. Comme une grande partie des logiciels AS/400 sont acquis auprès des ISV, de nombreux services informatiques AS/400 développent des connaissances, en matière de langages et d'outils, adaptées aux mêmes technologies que celle des ISV. Pendant de nombreuses années, il n'y a pas eu beaucoup de changement, ni parmi les ISV ni dans les grands comptes ; l'AS/400 a connu peu de nouvelles technologies logicielles, et donc une majorité de sites continue à utiliser le RPG III et SEU (Source Entry Utility).
Pourtant, plusieurs tentatives ponctuelles ont tenté de modifier le paysage des développements. Rappelons-nous qu'à diverses occasions, IBM a mis en avant SAA (Systems Application Architecture) et AD/Cycle (Application Development Cycle). Pourtant, aucune de ces initiatives parrainées par IBM n'a rencontré le moindre succès dans le monde AS/400, tout simplement parce que les ISV n'y ont pas vu de grands avantages et ne les ont donc pas intégrées dans leurs technologies de développement. Par voie de conséquence, constatant le manque d'enthousiasme des ISV, et sans obligation de supporter SAA ou AD/Cycle dans le logiciel acheté, la plupart des sites AS/400 les ont eux aussi purement et simplement ignorées.
Aucune des initiatives parrainées par IBM n'a rencontré le moindre succès parce que les ISV n'y ont pas vu de grands avantages et ne les ont donc pas intégrées
Mais, une nouvelle fois, la communauté AS/400 est confrontée à plusieurs nouvelles technologies susceptibles de modifier radicalement le mode de développement des logiciels sur mesure et des progiciels. Parmi les plus importantes, on trouve le RPG IV, Java, les GUI (Graphical User Interfaces, ou interfaces graphiques), l'Internet et le Web, ainsi que l'ensemble des technologies de “ e-commerce ”. S'agit-il simplement d'autres SAA et AD/Cycle, qui s'évanouiront parce que la communauté AS/400 continue à utiliser et à améliorer ses nombreuses applications RPG III existantes ? Ou bien certaines de ces technologies deviendront-elles aussi importantes pour les développeurs de logiciels AS/400 que le RPG III l'a été de par le passé ? Pour mieux connaître l'avenir, NEWS/400 a sondé des ISV AS/400 pour connaître leurs plans.
Dans notre enquête, nous nous sommes d'abord intéressés au RPG III (RPG OPM) pour voir si cet ancêtre bougeait encore, puis nous avons examiné dans quelle mesure le RPG IV (RPG ILE) a remplacé ou remplacera le RPG III. Au-delà du RPG, nous nous sommes intéressés aux choix les plus importants en matière de modernisation et de technologie, demandant aux fournisseurs s'ils ont déjà développé, ou s'ils envisagent de développer un nouveau code serveur avec Java ou d'autres outils orientés objet (OO), d'ajouter des GUI
Lire l'articleAméliorer la sécurité avec les timeout d’écran
par Jim Elkins Les timeout des écrans protègent les utilisateurs d'actes de sabotage et contribuent à empêcher les verrouillages d'enregistrements Au cours de ces dernières années, j'ai interviewé et embauché plusieurs consultants AS/400. Pour parvenir à prendre les décisions d'embauche, j'invite les candidats à passer une épreuve technique que j'ai développée pour mesurer les connaissances et l'expérience des développeurs AS/400. Une des questions de l'épreuve à laquelle les candidats répondent rarement de façon correcte concerne les timeout d'écrans. Ces derniers permettent d'améliorer la sécurité du site et fournissent un outil pour gérer le verrouillage d'enregistrements. Pour contribuer à former les professionnels AS/400 sur les timeout d'écrans, j'ai décidé de créer une application simple qui illustre cette fonction essentielle et pourtant si souvent ignorée.
Lire l'articleTel le Phénix, l’AS/400 renaît de ses cendres
Il y a des serpents de mer qui s'apparentent plus au monstre du Loch Ness tellement
peu souvent on les voit. La disparition annoncée de l'AS/400 est de ceux-là . Universal
Server va-t-il sauver cette plate-forme?
Ce n'est un secret pour personne : l'AS/400 connaît une crise d'identité. Au sein
de la communauté AS/400, les gens bien informés, les utilisateurs loyaux et les
clients dédiés connaissent et apprécient la machine pour ses nombreux avantages.
Mais à l'extérieur de ce cercle d'initiés, l'AS/400 reste une énigme, une plate-forme
largement sous-appréciée et incomprise.
La crise et les problèmes qu'elle engendre semblent aujourd'hui à marée haute
TCP/IP pour AS/400 : Quoi de neuf en 99 ?
La V4R4 améliore nettement TCP/IP pour AS/400 : des VPN de grande classe, un SSL étendu et de meilleures performances Vous avez un secret que vous tenez à conserver jalousement. Jusqu'à présent, vous ne pouviez donc pas transmettre ce secret à un partenaire sur Internet depuis votre AS/400, en tout cas pas sans acheter du matériel de sécurité supplémentaire. Et voici que la V4R4, grâce à son support des VPN (Virtual Private Networks, ou réseaux privés virtuels) fondé sur les standards, change tout cela. On peut désormais établir des connexions privées sécurisées avec des AS/400 à distance ou tout autre système compatible avec le standard VPN IP Security (IPsec). Toujours avec cette version, IBM a considérablement amélioré les performances et corrigé quelques problèmes, mineurs mais persistants, qui grevaient certaines fonctions TCP/IP. Bien que l'OS/400 soit sur le point de rattraper son retard en matière de fonctionnalités TCP/IP, il lui manque encore une poignée d'importantes fonctions. Prenez connaissance ci-après des bons et des mauvais points de cette dernière release. Vous saurez ainsi quelles tâches peuvent être confiées en toute sécurité à l'AS/400, et lesquelles ont encore besoin de l'appui des autres.
Lire l'articleWindows 2000 : qui est pressé ?
Fin mars, certaines sources chez Microsoft ont murmuré que les utilisateurs pouvaient s'attendre à la sortie de Windows 2000 en octobre. (Cette nouvelle est arrivée 3 semaines après l'annonce, par ces mêmes sources, de la sortie du produit pour février 2000 - Il faut donc en prendre et en laisser). Comme chaque fois qu'une date de sortie officieuse de Windows 2000 est repoussée, ces murmures ont provoqué un emballement de la rumeur." A cette vitesse, je serai à la retraite lorsque Windows 2000 sortira ", a déclaré un éditorialiste. " Microsoft doit reconnaître qu'il a les yeux plus gros que le ventre et se contenter de sortir au moins quelque chose. Il peut très bien ajouter Active Directory (AD), IntelliMirror et d'autres fonctions dans les années qui viennent ! "L'idée qu'il faut " au moins sortir quelque chose " est un thème très répandu et parfois amusant. J'ai eu du mal à retenir mon rire en lisant l'article d'un commentateur déclarant que Microsoft pouvait ajouter juste quelques fonctions, comme AD et Plug and Play (PnP) dans un Service Pack après la sortie de Windows 2000. Je ne suis pas loin de penser que toute une bande de journalistes et d'experts se trouve à court de sujets sur NT 4.0 et rongent son frein en attendant qu'on leur jette Windows 2000 en pâture. (Des sources internes à Microsoft affirment que désormais, les service packs de Windows 2000 n'apporteront pas de nouvelles fonctions, mais seulement des corrections de bugs).
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