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Transférer des fichiers AS/400 vers un Palm III de 3Com

Transférer des fichiers AS/400 vers un Palm III de 3Com

Les utilisateurs de Palm III peuvent accéder aux bases de données AS/400. Voici comment.  Les systèmes PalmPilots ont le vent en poupe! Les produits PDA (Personal Digital Assistant) PalmPilot de 3Com (également commercialisés par IBM sous le nom de WorkPads) sont des outils parfaitement adaptés à  l'informatique nomade en raison de leur petite taille et de leurs fonctionnalités intégrées de reconnaissance d'écriture. Cependant, la valeur de ce type d'outils dépend de la qualité des informations qu'ils parviennent à  extraire des bases de données du système central de l'entreprise. Palm III, le dernier en date des systèmes PalmPilot, permet aux utilisateurs d'accéder aux fichiers base de données AS/400. Le Palm III inclut "Palm Desktop", un logiciel PC permettant au système Palm III d'importer des fichiers AS/400 ayant au préalable été transférés sur un PC, dans l'application Address Book ou Memo du Palm III. Cette fonctionnalité peut par exemple être utilisée pour envoyer un fichier maître contenant une liste AS/400 de clients à  des ingénieurs commerciaux sur le terrain. Cet article présente rapidement les composants d'un Palm III, et analyse la configuration de ce dernier pour importer des données AS/400. 

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Utiliser la fonction de restriction d’accès aux programmes de la V4R3

Utiliser la fonction de restriction d’accès aux programmes de la V4R3

Comment cette fonction permet de sécuriser une application ou des fonctions à  l'intérieur d'un programmeVous est-il déjà  arrivé de vouloir sécuriser une partie de programme applicatif et de ne pas avoir d'objet AS/400 à  sécuriser ? Vous avez probablement créé une liste de droits d'accès ou un autre objet et vérifié les droits d'accès à  celui-ci pour contrôler l'accès à  la fonction du programme. Grâce à  la fonction de restriction d'accès (Limit Access to Program) de la V4R3, on peut contrôler l'accès à  une application, à  certaines parties d'une application ou aux fonctions d'un programme. Le support de cette fonction Limit Access to Program passe par des API permettant d'identifier une fonction à  sécuriser (une application ou une partie d'une application par exemple), récupérer des informations sur la fonction, définir qui est autorisé ou non à  l'utiliser et vérifier si un utilisateur donné à  le droit de l'utiliser. On peut également utiliser la fonction de restriction d'accès pour gérer la sécurité des fonctions via Operations Navigator.

On peut utiliser cette fonction via Operations Navigator

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Exchange Server et Active Directory : main dans la main

Exchange Server et Active Directory : main dans la main

Avec Exchange Server, Microsoft a toujours soutenu le concept d'un annuaire intégré stockant des détails sur les données de messagerie, comme les boîtes à  lettres et les listes de distribution, ainsi que sur la configuration des serveurs et l'organisation dans son ensemble. Directory Store, l'annuaire d'Exchange, garantit une circulation cohérente et à  jour des données vers tous les serveurs. Les utilisateurs accèdent à  l'annuaire pour valider les adresses électroniques ou rechercher des correspondants dans la Liste globale des adresses (GAL pour Global Address List). Mais dans Windows 2000, Exchange 2000 Server (nom de code Platinum) s'intègre à  Active Directory. AD remplace la fonction assurée par le Directory Store d'Exchange Server 5.5. Exchange 2000 est la première application majeure de Microsoft BackOffice à  exploiter AD et servira de standard initial pour l'intégration des annuaires. Dans cet article, j'examine la nouvelle architecture et la terminologie d'Exchange 2000 et je décris certaines astuces de configuration.

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Les meilleurs composants logiciels enfichables de la MMC

Les meilleurs composants logiciels enfichables de la MMC

Une des principales modification de Windows 2000 est le fait que l'OS recours à  la MMC (Microsoft( Management Console) pour l'administration du système. Microsoft a implémenté pratiquement toute la panoplie d'outils d'administration de Windows 2000 sous forme de composants logiciels enfichables pour la MMC. Dans cet article, nous allons voir le hit-parade des meilleurs composants logiciels enfichables intégrés à  Windows 2000. L'OS permet également de créer sa propre interface d'administration : saisissez simplement mmc à  l'invite de commande et cliquez sur OK pour afficher un shell MMC vierge. Ensuite, ajoutez les composants enfichables pour les fonctions d'administration que vous voulez mettre en oeuvre.

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A nouveau matériel, nouveaux logiciels

A nouveau matériel, nouveaux logiciels

L'achat d'un nouvel ordinateur peu parfois réserver des surprises. Première surprise : les gains de performances ne sont pas exceptionnels. En outre, il permet de découvrir des choses très intéressantes. J'ai acheté ce mois-ci un nouvel ordinateur Pentium II à  450 MHz comme poste de travail. L'arrivée du système m'a rappelé que quels que soient les chiffres, les ordinateurs ne donnent pas l'impression d'aller beaucoup plus vite à  chaque itération.
La différence de vitesse entre le nouvel ordinateur et mon système Pentium MMX à  166 MHz, âgé de deux ans, n'était pas aussi grande que ce que j'attendais. Cette mise à  niveau n'était pas, loin s'en faut, aussi enthousiasmante que celle d'un système 8088 4,77 MHz vers un 80286 à  6 MHz il y a quelques années.
En revanche, elle m'a permis de faire des découvertes captivantes.

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OLE DB et ADO : pour combler le fossé entre Windows et l’AS/400

OLE DB et ADO : pour combler le fossé entre Windows et l’AS/400

par Michael Otey
Accédez à  diverses bases de données grâce à  ces API de haut niveau L'accès à  la base de données AS/400 depuis Windows n'a jamais été simple. Bien qu'ODBC le permette depuis Windows 3.1, son utilisation côté application est fastidieuse. Il faut d'abord ajouter toutes les déclarations nécessaires aux fonctions ODBC dans l'application, puis appeler ces fonctions de manière appropriée pour les activer. Les bibliothèques objet comme DAO (Data Access Objects) de Microsoft rendent ODBC plus facile à  utiliser. Cependant, les appels ODBC générés par DAO ne sont pas optimisés pour la connectivité en réseau, et à  défaut d'une planification et d'une implémentation minutieuses, les applications fondées sur DAO et ODBC sont souvent peu performantes.

OLE DB et sa couche objet ADO (ActiveX Data Objects) sont les toutes dernières technologies de middleware qui traitent les problèmes inhérents aux anciennes méthodes d'accès aux données Windows-AS/400. ADO est une bibliothèque objet à  base de COM (Component Object Model) permettant d'employer OLE facilement à  partir d'applications Windows. Ensemble, OLE DB et ADO assurent une liaison performante et pratiquement directe entre les applications Windows et la base de données AS/400. Le provider OLE DB AS/400 IBMDA400 d'IBM, inclus dans Client Access, est spécialement conçu pour procurer aux programmes l'accès aux donnée de l'AS/400.

Outre l'accès à  la base de données, le provider AS/400 OLE DB supporte l'exécution de commandes OS/400, les appels de procédures cataloguées et l'accès aux files d'attente de données. Cet article donne un aperçu d'OLE DB et d'ADO et présente un bref exemple montrant comment utiliser ADO depuis une application VB (Visual Basic) pour accéder à  la base de données de l'AS/400. (Pour plus d'informations sur les aides à  la mise en oeuvre et à  l'utilisation du provider OLE DB pour AS/400, voir l'encadré " Référence de programmation ADO ")

Référence de programmation ADO Etonnamment, le provider OLE DB pour l'AS/400 n'est accompagné d'aucun manuel officiel IBM. Il existe cependant un Redbook utile intitulé A Fast Path to AS/400 Client/Server Using AS/400 OLE DB Support (SG24-5183). Bien que plus succinct qu'un guide de programmation normal, ce Redbook est la seule ressource pour l'utilisation du provider IBM OLE et contient des informations qu'on ne trouve nulle part ailleurs. On peut télécharger ce manuel à  l'adresse http://www.redbooks.ibm.com.

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Comparer Domino et DB2 UDB

Comparer Domino et DB2 UDB

par Lori Mueller Avant d'écrire des applications Domino, sachez comment les deux bases de données se comparent et contrastent l'une avec l'autre Existant en natif sur AS/400 depuis sa version 4.6, Domino ne cesse de gagner du terrain actuellement auprès des entreprises équipées d'AS/400 séduites par son intégration des fonctions de messagerie électronique, de e-business et de prise en charge des applications. Mais Domino est replié sur lui-même, avec une interface utilisateur, un langage de programmation et une base de données uniques. Comparer la structure de la base de données de Domino et de DB2 UDB (DB2 Universal Database), la base de données native de l'AS/400, est un bon moyen pour les utilisateurs de l'AS/400 de savoir à  quoi s'en tenir avec Domino.

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Gérer la croissance de son serveur Web

Gérer la croissance de son serveur Web

par Mel Beckman
Il est parfaitement possible de maintenir le niveau de fiabilité et de performances du serveur Web face à  une demande toujours plus forte " Fiabilité, performances, faible coût : choisissez-en deux ". Voici brièvement résumé le dilemme le plus fréquent qui se pose aux administrateurs de réseaux, qui doivent le prendre en compte pour répondre à  des utilisateurs de services Web toujours plus exigeants. S'il n'est pas très compliqué d'installer et d'exploiter un serveur Web, il est plus difficile de faire face à  un trafic Web en constante augmentation. Sur un intranet, dès lors que les développeurs portent de plus en plus d'anciennes applications sur le Web, le trafic Web local risque d'augmenter de façon exponentielle. Sur Internet, dès lors que les clients trouvent les relations commerciales et publiques sur le Web plus pratiques, le trafic à  distance sur le Web grimpe. Face à  ces deux tendances, le serveur Web d'entreprise joue un rôle de plus en plus crucial. Le défi est alors clair répondre à  ces demandes en assurant une fiabilité toujours plus grande et sans dépasser le budget.

Une première solution consiste à  beaucoup dépenser en serveurs imposants et en gros tuyaux Internet. Une autre approche plus économique consiste à  améliorer les performances du serveur Web. C'est dans ce sens que vont la plupart des techniques décrites ci-dessous.

Pour améliorer les performances, il faut analyser ces dernières pour mesurer les effets des modifications. Le rythme du serveur dépend des mesures suivantes : charge CPU, nombre de transactions Web exécutées par heure, et nombre de mégabits transmis par seconde. En capturant les valeurs courantes de ces mesures, tout en connaissant le nombre d'utilisateurs que l'on sert, on peut prévoir les conséquences d'un ajout d'utilisateurs, d'applications ou des deux. Lorsqu'on a une bonne idée des besoins des performances futures, plusieurs mesures, plus ou moins onéreuses, sont possibles pour améliorer la vitesse et la fiabilité du serveur actuel : passer à  la version supérieure de l'OS/400, optimiser les paramètres TCP/IP et LAN, ajouter du matériel de réseau AS/400, et confier certaines tâches subalternes à  d'autres serveurs.

Il faudra aussi parfois accroître la redondance pour répondre aux demandes croissantes de trafic et de fiabilité. Et, si l'on sert sur Internet, il faudra peut-être aussi élargir les connexions Internet et en augmenter le nombre. En apprenant plusieurs techniques d'administration de serveurs redondants, vous pourrez choisir la méthode la plus adaptée à  votre cas.

Avant de savoir où l'on va, il faut savoir où l'on se trouve exactement

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CRYPTage et secrets de l’AS/400

CRYPTage et secrets de l’AS/400

par Gene Gaunt
L'utilitaire CRYPT simplifie le cryptage DES (Data Encryption Standard) bidirectionnel dans les programmes ILE et OPM. Il y a deux façons économiques de mettre en oeuvre le standard de cryptage DES
(Data Encryption Standard) dans les logiciels AS/400 :

  • La fonction intégrée ILE (Integrated Language Environment) _CIPHER permet le cryptage unidirectionnel dans les programmes ILE.
  • Le programme CRYPT, présenté dans cet article, permet le cryptage bidirectionnel, à  la fois dans les programmes OPM (Original Program Model) et ILE.
Voici 25 ans naissait le DES, d'un algorithme de cryptage créé par IBM, baptisé Lucifer, sur le site Yorktown Heights Research. La NSA (National Security Agency) aux USA a persuadé IBM de soumettre l'algorithme au bureau des normes du Département du Commerce (équivalent de notre AFNOR ndlr), qui sollicitait des idées pour un standard cryptographique national. Sous couvert de ce projet, et dans le secret, la NSA a légèrement modifié l'algorithme. Le 23 novembre 1976, le Département du Commerce a approuvé l'algorithme commun IBM-NSA comme le standard fédéral pour les applications non militaires, et l'a rebaptisé Data Encryption Standard.Les spécifications officielles du DES se trouvent dans le document Federal Information Processing Standards Publication 46-2 (FIPS Pub 46). Ces spécifications sont également disponibles sur le site Web du NIST (National Institut of Standards and Technology) à  l'adresse http://www.nist.gov/itl/div897/pubs/fip46-2.htm.
Une copie de cette publication a servi à  rédiger le programme CRYPT.

Un processeur DES permet un cryptage unidirectionnel ou bidirectionnel

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Une rentrée rayée jaune et bleu

Une rentrée rayée jaune et bleu

Une manifestation dédiée à  Domino AS/400 pour les partenaires Lotus et Domino, et de nombreuses autres initiatives ont marqué la rentrée. La manifestation appelée “ Victory 99 EMEA ”, qui s'est tenue à  Cannes au tout début septembre, a remporté un franc succès puisque environ 2600 IBMers et partenaires s'y étaient donné rendez-vous.

L'AS/400 figurait en bonne place dans cette manifestation consacrée à  l'ensemble de la gamme serveurs d'IBM Des ténors de la plate-forme comme Tom Jarosh, Tony Madden ou encore Malcolm Haynes figuraient en tête de l'affiche. C'est aussi à  l'occasion de cette manifestation que s'est faite l'annonce de la cession à  Cisco Systems de l'offre “ réseaux ” d'IBM.

Mais après une conclusion en grande pompe de Victory 99 EMEA, avec notamment une immense soirée sur la plage du Carlton le mercredi, c'est par un événement beaucoup plus confidentiel mais néanmoins important que s'est poursuivie la semaine : IBM et Lotus avaient en effet convié leurs BP (Business Partners) et LBP (Lotus Business Partners) à  un séminaire marketing baptisé Victory AS/400, sur le thème : “ Les clés du succès pour vendre Domino AS/400 ”. Vaste programme !

Une soixantaine de représentants des ces deux “ espèces ” se sont alors réunis au long des deux jours restants de la semaine, pour mieux comprendre et connaître l'AS/400 pour les LBP, Lotus Domino pour les BP, ceci dans le but avoué de se donner les moyens de “ booster ” les installations Domino sur AS/400. L'objectif de la réunion était double : fournir à  tous les arguments de vente sur Domino pour AS/400, et réunir les partenaires AS/400 et Lotus pour développer du Business commun sur Domino pour AS/400.

Et sur ce dernier point, force est de constater qu'il y avait fort à  faire. L'initiative a non seulement montré qu'un rapprochement entre partenaires Lotus et IBM et une meilleure connaissance du domaine de compétences de l'autre étaient indispensables, mais a largement oeuvré dans le sens de rapprochements effectifs. Les tendances de la rentrée étaient donc sans conteste à  l'alternance des couleurs, aux rayures jaune Lotus et bleu IBM.

L'AS/400 est devenu la seconde plate-forme d'installation de Domino en termes de nombre de serveurs

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Contraintes d’intégrité et Triggers: vers une chronologie parfaite

Contraintes d’intégrité et Triggers: vers une chronologie parfaite

par Paul Conte
Maîtrisez la chronologie d'exécution des contraintes et des triggers des bases de données DB2 Universal Database for AS/400 (DB2 UDB) comporte plusieurs fonctions importantes qui d'une part assurent l'intégrité des données et d'autre part, étendent les fonctions des bases de données. Deux de ces fonctions, les contraintes d'intégrité référentielle et les triggers (ou programmes déclencheurs) peuvent être définis par un administrateur de bases de données (ou un utilisateur autorisé) pour se protéger des mises à  jour susceptibles de générer des données invalides ou incohérentes. On peut également utiliser des triggers pour exécuter des tâches qui ne sont pas intégrées dans DB2 UDB (comme afficher des informations sélectionnées sur des mises à  jour de bases de données dans une table de journalisation définie par un utilisateur par exemple).

Du fait qu'une opération sur une base de données peut entraîner DB2 UDB à  évaluer une ou plusieurs contraintes et appeler un ou plusieurs triggers, il est essentiel de maîtriser la chronologie des différentes opérations d'insertion, de modification et de suppression dans les bases de données. Le présent article apporte quelques informations sur la chronologie des contraintes et des triggers afin de vous permettre de concevoir des applications fonctionnant de manière efficace.

Pour commencer, examinons rapidement les concepts de base des contraintes d'intégrité référentielles et des triggers (pour plus de plus amples informations, veuillez consulter l'encadré "Bibliographie").

Les contraintes d'intégrité référentielle et les triggers peuvent protéger des données invalides ou incohérentes

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Quoi de neuf ? Un digest des dernières nouveautés

Quoi de neuf ? Un digest des dernières nouveautés

L'architecte des sécurités de l'AS/400 recense les nouveautés et améliorations des V4R2 et V4R3

Deux releases de l'OS/400 (V4R2 et V4R3) ont été annoncées depuis ma dernière revue en matière de sécurités. Toutes deux renforcent les sécurités dans deux domaines principaux.

Les améliorations

  • permettent de mieux maîtriser la configuration de l'environnement TCP

  • facilitent la protection et la gestion du e-business

  • permettent de mettre en place un plan de sécurité initial tout en découvrant des possibilités plus détaillées

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Le blues du hardware

Le blues du hardware

Windows 2000 a la réputation de supporter plus de périphériques grâce au support de Plug and Play et à  l'ajout d'une grande quantité de drivers. Pourtant, partir du principe que vos périphériques matériels seront supportés par Windows 2000 est peut-être une erreur. Mon expérience de la connexion de périphériques à  un système Windows 2000 ne m'a pas franchement rassuré sur le support hardware de Windows 2000. D'autant que ces matériels exploitent des drivers Windows NT 4.0. Les matériels que j'ai essayé de faire fonctionner avec un système Windows 2000 sont une imprimante/scanner/fax HP OfficeJet 710 et un contrôleur SCSI Future Domain TMC-850 MER.

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Offrez la

Offrez la

Le module RPG IV CallerID permet d'identifier le programme ayant provoqué une modification d'une base de données. Vous êtes-vous jamais demandé ce qui se cachait à  l'autre bout de l'appel d'un programme trigger ? Eh bien, il est maintenant possible d'installer "CallerID" (gratuitement) pour permettre aux programmes trigger de déceler l'origine des modifications survenues dans la base de données.

Techniquement, des opérations internes sur les fichiers OS/400 telles que QDBPUT (Database add a record) et QDBUDR (Database update, delete, or release a record) entraînent l'appel d'un programme trigger. Toutefois, avec l'aide de quelques API de gestion des messages, il est possible d'identifier le programme qui se cache derrière ces opérations.

La connaissance de l'origine des modifications de la base de données peut se révéler fort utile. Envisageons les scénari suivants :

Attention: inondation. Etant donné que les triggers interceptent toutes les modifications effectuées dans un fichier base de données, ils peuvent se révéler efficaces pour assurer la cohérence des données dans une ou plusieurs applications. Mais, un fichier qui change fréquemment peut imposer une charge très importante à  un programme trigger. Aussi, afin de limiter le surcroît de travail de ce type de programme, on peut choisir de filtrer certaines des modifications pour que le programme trigger n'exécute pas l'intégralité de sa routine à  chaque fois qu'une modification est effectuée.

Supposons que vous utilisiez un programme trigger pour introduire des modifications démographiques effectuées par une application sur une autre, et que l'application effectuant les modifications stocke des informations démographiques et financières dans le même fichier. Supposons également que vous ayez un traitement de nuit sur ce fichier, qui ne met à  jour que les informations financières mais agit sur un grand nombre d'enregistrements. Plutôt que de comparer systématiquement les images de chaque champ "démographie" avant et après que le programme trigger ait été appelé, vous pouvez simplement filtrer les modifications effectuées par le traitement de nuit.

Surveiller toutes les issues. Peut-être essayez-vous de faire un contrôle qualité en surveillant la fréquence à  laquelle il est nécessaire de "glisser" des modifications dans une base de données du fait de limitations des applications existantes. Il est possible de calculer le nombre de fois que DFU (Data File Utility ), SQL ou un utilitaire base de données quelconque a été utilisé pour modifier certains fichiers de la base. Même si vos applications standards sont excellentes, vous pouvez souhaiter garder une trace des interventions réalisées sur les fichiers sans utiliser d'application, pour identifier des violations de sécurités potentielles, ou d'éventuels besoins en formation.

Eviter les boucles sans fin. Imaginons que vous utilisiez des programmes triggers pour transmettre des modifications démographiques entre une application A et une application B. Quand un fichier est mis à  jour dans l'application A, le programme trigger met à  jour le fichier associé de l'application B, et vice versa. Ce processus paraît clair et simple. Cependant, il se pose un problème lorsque le programme trigger de l'application A met à  jour un fichier de l'application B, obligeant le trigger de cette dernière à  mettre à  jour l'enregistrement original qui a été modifié dans l'application A. Ce cas de figure peut provoquer l'appel récursif du programme trigger de l'application A, d'où risque de bouclage.

Des boucles inutiles peuvent également poser problème lorsqu'une interface EDI (Echange de Données Informatisées) est utilisée entre deux systèmes. Une modification de la base de données d'un système se répercuter de système en système jusqu'à  ce que le système récepteur sache que la modification provient du système émetteur, et que par conséquent il n'est pas nécessaire de lui renvoyer la modification.

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Par où commencer avec les jointures SQL/400

Par où commencer avec les jointures SQL/400

Le coding de base des jointures SQL est simple ; voici comment procéder Une opération de jointure sur la base de données combine des lignes (c'est-à -dire des enregistrements) provenant de deux ou plus tables (c'est-à -dire des fichiers) pour produire une table résultat utilisable ensuite pour d'autres opérations. DB2 Universal Database for AS/400 (UDB/400) permet les opérations jointes par l'intermédiaire de plusieurs mécanismes :

  • fichiers logiques joints définis en DDS
  • les paramètres FILE et FLD de la commande OPNQRYF (Open Query File)
  • les clauses FROM et WHERE d'une sous-selection SQL
Parmi toutes ces possibilités, c'est SQL qui offre le plus de souplesse et la syntaxe la plus simple. Et, comme SQL est aussi une interface base de données stratégique d'IBM pour UDB/400, il est d'autant plus intéressant de savoir coder une jointure SQL. Comme cet article le démontre, il est facile de démarrer avec des jointures.

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Prédicat Between et sous-requêtes SQL

Prédicat Between et sous-requêtes SQL

par Mike Cravitz Ce mois-ci, nous allons voir l'utilisation du prédicat Between dans la clause Where d'une requête SQL, dans le but de trouver une valeur située entre deux bornes Je vous présente aussi un puissant mécanisme, appelé sous-requête. Et, pour faire bonne mesure, je montre comment utiliser la fonction SQL Count pour renvoyer le nombre de lignes d'une table de résultat de requête. En route !

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IBM-Intel : la guerre des processeurs continue

IBM-Intel : la guerre des processeurs continue

par Frank G. Soltis
Les processeurs IBM continuent de surpasser ceux d'Intel lorsqu'il s'agit de serveurs sur lesquels s'exécutent plusieurs applications La plupart des lecteurs de ce magazine connaissent peu ou prou les plans d'IBM en matière de processeurs pour l'AS/400. Il est donc intéressant de comparer les plans d'IBM pour ses serveurs à  l'offre processeurs d'Intel.
Les processeurs PowerPC présents dans les AS/400 actuels appartiennent à  la famille dite Star Series. Cette famille de microprocesseurs monopuces, 64 bits, a été spécialement conçue à  Rochester pour le type de tâches confiées aux serveurs sur l'AS/400. Ces mêmes processeurs animent également les modèles RS/6000 affectés à  des tâches de gestion.
En septembre 1998, nous présentions le premier membre de la Star Series, dénommé Northstar. C'était et c'est encore un microprocesseur de pointe.
En septembre 1999, nous présentions une version de Northstar plus rapide dénommée Pulsar et utilisée uniquement dans le RS/6000.
Dans le courant de cette année, nous présenterons le nouveau processeur I-Star. Il utilise les toutes dernières technologies semiconducteur d'IBM, y compris cuivre et SOI (Silicon-On-Insulator), pour plus que doubler les performances de Northstar. Au moment de son introduction, I-Star sera le microprocesseur destiné à  des serveurs le plus performant. Loin de s'endormir sur leurs lauriers, les ingénieurs de Rochester sont en train de créer un autre membre de la Série Star : S-Star, qui pousse encore plus loin les technologies semiconducteur pour obtenir une augmentation de performances d'environ 50 % par rapport à  I-Star. S-Star, qui devrait être le dernier membre de la Star Series, apparaîtra dans l'AS/400 au cours de l'année 2001.

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Solutions ERP 100% “ prêtes à  l’emploi ” : la panacée ?

Solutions ERP 100% “ prêtes à  l’emploi ” : la panacée ?

par Scott Steinacher

A l'exception des PC et de l'Internet, aucune innovation technologique n'a impacté le monde de l'entreprise plus profondément que les logiciels ERP (Enterprise Resource Planning). Au départ, d'une manière générale, les managers utilisaient les logiciels ERP pour automatiser les fonctions back-office de l'entreprise telles que la comptabilité, la finance et la gestion des ressources humaines. Plus récemment, les principaux éditeurs d'ERP s'intéressant désormais au traitement des commandes, à l'automatisation de la force de vente, à la gestion de la chaîne d'approvisionnement, à la planification des besoins et à bien d'autres processus pour les entreprises stratégiques, les ERP se sont éloignés de leur rôle traditionnel.

            Au fur et à mesure que l'euphorie qui entoure les ERP gagne de nouveaux marchés, de nombreuses sociétés ne semblent que trop heureuses de se débarrasser de leurs logiciels spécifiques qui les ont si bien servis pendant de nombreuses années. A mon avis, certaines entreprises vont trop vite en besogne. En effet, dans de nombreux cas de figure, les applications développées en interne ne nécessitent probablement qu'un ravalement de façade, et non une retraite prématurée.

            Il est par exemple possible de rendre les systèmes existants accessibles depuis le Web en attachant des rapports classiques aux messages électroniques émis sur l'Internet. Une autre alternative consiste à placer les rapports existants sur un intranet pour qu'ils puissent être consultés à l'aide d'un navigateur. Les interfaces graphiques des navigateurs peuvent remplacer les écrans passifs. Certes, les interfaces graphiques ne présentent peut-être aucun intérêt pour les applications de type back-office, mais pour fournir un accès aux données à des utilisateurs distants, l'Internet et les interfaces graphiques représentent désormais la norme.

            Bien évidemment, les organisations qui ont plusieurs systèmes différents redondants ont probablement besoin d'une refonte en profondeur. Ainsi, au sein d'une organisation issue de fusions et d'acquisitions, il n'est pas rare de voir plusieurs applications distinctes remplir la même fonction (la saisie des commandes par exemple) dans des divisions différentes. Dans de tels cas, l'utilisation de logiciels ERP pour normaliser les systèmes et les processus de l'entreprise est probablement justifiée mais pas forcément déterminante. Construire des interfaces reliant les applications disparates existantes ou normaliser en se basant sur l'application la plus efficace peut représenter un coût moindre. Le fait est qu'il existe souvent des alternatives attrayantes aux ERP, mais que celles-ci ne sont pas toujours envisagées sérieusement.

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Un projet tout Java

Un projet tout Java

Par Isabelle Nougier C'est en misant sur le futur et en optant pour un changement radical de technologie que la Cavamac refond intégralement son système d'information La Cavamac est une caisse de retraite et de prévoyance pour les agents généraux d'assurance sous tutelle de la Sécurité Sociale. Elle gère de l'ordre de 20000 cotisants et 30000 retraités, pour un effectif d'environ 80 personnes. Au moment du passage à  l'an 2000, cette caisse de retraite s'est vue confrontée à  un dilemme : fallait-il refondre complètement le système d'information ou fallait-il simplement modifier l'existant ? A ce moment précis, le problème ne s'est pas posé très longtemps, les délais imposés par une refonte du système étant trop importants pour l'échéance "An 2000".
Le passage à  l'An 2000 s'est donc fait en modifiant l'existant, mais l'idée de la refonte n'était pas écartée puisque le système d'information commençait à  vieillir ; sa fiabilité diminuait, il avait de nombreuses carences, il datait de la fin des années 70 et avait vu passer toutes les générations de midrange IBM, en passant par le 38 jusqu'à  l'AS/400, des morceaux de programmes avaient été rajoutés au fur et à  mesure des différents besoins, et il n'avait de ce fait jamais constitué une entité et pour ne pas se trouver confronter au même dilemme pour le passage à  l'Euro, la décision de la refonte du système a été prise courant du premier trimestre 1999.

Une vingtaine de propositions ont été reçues, parmi lesquelles deux intégralement en Java

Du fait de son statut, la Cavamac a pour obligation d'émettre un appel d'offres public. Cet appel d'offres a été lancé au milieu de l'année 1999; il imposait principalement deux contraintes, à  savoir celle de délais qui devaient être compatibles avec le passage à  l'Euro, et l'utilisation de l'AS/400 comme serveur central, cette plate-forme ayant largement fait ses preuves jusqu'alors. Le projet, baptisé NSI pour "Nouveau Système d'Information " (lire "Nessie", comme le fameux monstre qui se cache -paraît-il- dans les tréfonds du Loch Ness. Cherchez l'erreur !) dont le logo représente un éléphant (une référence à  la mémoire, paraît-il…) avait trois objectifs principaux : qualité, sécurité et productivité. Une vingtaine de propositions ont été reçues, parmi lesquelles deux intégralement en Java, dont une proposée par IBM.

UTI s'est tout de suite dirigée vers une solution entièrement Java, malgré le peu de recul que comptait cette technologie

La Cavamac n'a alors que peu hésité, malgré le risque que cela pouvait engendrer d'utiliser des technologies nouvelles, et en septembre 1999, c'est la proposition d'UTI (Union Technologies Informatique) en Java qui a été retenue. Cette société de services de 600 personnes aujourd'hui, à  forte connotation AS/400, n'était pas inconnue de la Cavamac puisque c'est elle qui, en son temps, avait assuré le passage à  l'An 2000. A la lecture du cahier des charges imposé par la Cavamac, UTI s'est tout de suite dirigée vers une solution entièrement Java malgré le peu de recul que comptait cette technologie, puisque à  l'époque il n'y avait qu'une trentaine de projets entièrement conçus en Java. Plusieurs raisons ont influencé ce choix, entre autres l'objectif de constituer un système pérenne (plus de 10 ans), d'avoir un système très souple en ce qui concerne les différentes compatibilités, avoir une maintenance aisée, et de plus UTI avait déjà  une expérience en interne, ce qui lui permettait de cerner parfaitement les avantages et les inconvénients de cette technologie.

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IBM recrute les meilleurs et les plus novateurs

IBM recrute les meilleurs et les plus novateurs

Domino et Java attirent les nouveaux éditeurs vers l'AS/400 Le succès de l'AS/400 dépend de la modernisation permanente de son immense portefeuille applicatif. Toutefois, il ne s'agit pas simplement de moderniser des dizaines de milliers d'applications déjà  disponibles. En effet, il est tout aussi important que la plate-forme attire de nouvelles applications, créées dans des environnements de développement modernes, qui supportent les technologies e-business et ERP (Enterprise Resource Planning) les plus récentes.

Souvent, les nouvelles applications tirent un plus grand avantage des technologies qui placent le Web et l'e-business au centre de leur démarche, ce qui est le cas plus particulièrement de Domino et Java. De plus en plus, les solutions professionnelles les plus récentes sont conçues dès le départ dans ces nouveaux environnements de développement qui gagnent chaque jour en maturité. Maintes fois, cela a pour conséquence d'offrir aux AS/400 de nouvelles fonctionnalités sans précédent dont les utilisateurs ne peuvent désormais plus se passer.

Pour s'assurer que les développeurs de ces applications s'intéressent aux AS/400 au même titre que les plates-formes Windows NT et Unix, IBM a imaginé une stratégie permettant d'attirer les solutions les plus récentes et les plus novatrices vers sa plate-forme. Cette stratégie est basée sur l'idée de rendre les AS/400 techniquement fiables et attractifs à  la communauté des développeurs. Il s'agit là  d'un effort continu qui se traduit entre autres, par une amélioration constante du support de TCP/IP et de Unix.

D'ores et déjà , les AS/400 se sont enrichis d'une JVM (Java Virtual Machine), du support de Domino en mode natif et de fonctionnalités e-business intégrées au système. Les bases technologiques étant en place, la division AS/400 peut désormais recruter activement des ISV (Independent Software Vendors) non-AS/400 pour s'assurer que la plate-forme dispose de solutions compétitives dans des domaines clés de la technologie, tels que le commerce électronique, la business intelligence, et la gestion des chaînes d'approvisionnement.

Les efforts de recrutement d'IBM visent à  satisfaire les besoins de cinq secteurs d'activité majeurs où l'AS/400 est déjà  très présent, tout en possédant une marge de progression considérable : la distribution, l'industrie, la banque/finance, l'assurance, et les télécommunications. En fait, IBM a conçu un tableau à  deux dimensions dans lequel ces secteurs d'activité constituent l'ordonnée et les types de solutions les plus importants (ERP ou commerce électronique par exemple) constituent l'abscisse (figure 1).

L'objectif en est de s'assurer que toutes les cases du tableau sont occupées par d'excellentes applications représentant l'état de l'art dans leurs domaines respectifs. Les 150 plus grands ISV d'IBM ont été sollicités pour remplir plusieurs de ces cases. Mais Big Blue invite également d'autres fournisseurs de solutions à  porter leurs offres sur AS/400.

“ Nous travaillerons avec nos fournisseurs actuels, mais nous souhaitons aussi recruter un nouvel ensemble de fournisseurs afin de nous assurer que les AS/400 continuent de disposer d'un ensemble de solutions très compétitif et moderne pour répondre aux besoins professionnels des clients ”, explique Debra Thompson, vice-président de la branche systèmes d'entreprises de la Division AS/400.

Le simple fait de disposer d'une solution dans la case d'un tableau ne suffit pas. IBM a pour ambition de fournir les solutions les meilleures et les plus prisées dans chaque catégorie.

Prenez par exemple la catégorie probablement la plus importante de toutes : les applications métiers. Il y a quelques années, certaines solutions ERP très répandues sur le marché, comme Baan, PeopleSoft ou SAP, n'étaient pas disponibles sur AS/400. Désormais, elles le sont. Avec l'arrivée de ces nouvelles venues sur la liste déjà  impressionnante des fournisseurs traditionnels de solutions ERP sur AS/400, “nous

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