![iSeries : déjà de retour](https://www.itpro.fr/wp-content/uploads/2015/02/7aa9995a64f1d56eb92d7449a49a6bf4.jpg)
iSeries : déjà de retour
par Benoît Herr
Le point et quelques précisions sur les annonces IBM du 3 octobre, dont le dernier
numéro de NEWSMAGAZINE se faisait déjà l'écho
Quelle meilleure transition entre NEWSMAGAZINE et SYSTEMS Journal que cette annonce
Serveurs IBM du 3 octobre dernier ! Et pourtant, il n'y a eu aucune concertation
entre Big Blue et l'organe de Presse indépendant que nous sommes.
![Faire coexister Windows 2000 et Windows NT 4.0](https://www.itpro.fr/wp-content/uploads/2015/04/5c70e70129502170300665d92fad3652.jpg)
Faire coexister Windows 2000 et Windows NT 4.0
par Paula Sharick
Il y a quelques mois, je me suis posé la question de savoir si Windows 2000 et
NT 4.0 pouvaient coexister. Après avoir testé un environnement mixte Windows 2000
et Windows NT 4.0, j'ai fait part de mes expériences et j'ai eu l'agréable surprise
de constater que les deux technologies fonctionnent bien ensemble. Vous envisagez
peut-être de migrer, mais vous avez besoin de quelques conseils ? Jetons donc
un coup d'oeil sur les raisons de migrer, les principales différences entre les
plates-formes et quelques astuces pour une migration en toute confiance.
![Traduction des logiciels : vers une meilleure compréhension](https://www.itpro.fr/wp-content/uploads/2015/04/4c06d10fc09c444595ab014523e72c19.jpg)
Traduction des logiciels : vers une meilleure compréhension
par John Ghrist
Quel est l'un des plus grands obstacles aux ventes de logiciels américains sur
les marchés internationaux ? La langue, bien sûr. Bien que reconnu comme une langue
internationale, l'anglais n'est en fait pas aussi universel que cela.
Sur les marchés extérieurs aux pays anglo-saxons, les logiciels ne proposant que
des interfaces en anglais ont un net handicap, même s'ils s'agit d'applications
plus performantes, tout simplement parce que la plupart des utilisateurs demandent
une interface leur permettant de travailler dans leur propre langue.
Pour un éditeur anglo-saxon, la solution logique est donc de fournir une version
des produits les plus stratégiques dans les différentes langues. Mais trouver
les personnes compétentes pour traduire des supports techniques comme des interfaces
utilisateurs, des fichiers d'aide et de la documentation relève de la mission
impossible. Faut-il s'allouer les services de traducteurs en interne ? Faut-il
avoir recours à des services de traduction ? Ou encore utiliser un logiciel de
traduction ? Et une fois le choix effectué, comment mesurer l'impact et la qualité
du travail, des outils et des services de la solution retenue ?
Mapics, Inc. (et les sociétés l'ayant historiquement précédée) est venue à bout
de ce problème, en diffusant avec succès à l'étranger une solution de gestion
industrielle réputée sur AS/400.
Le produit a d'abord été traduit dans quelques-unes des langues européennes
vers le milieu des années 80
![Issu de Monterey, AIX 5 L rallie Caldera et les OEM Intel](https://www.itpro.fr/wp-content/uploads/2015/04/3ec7b6b3fb0f6d0327814dd85b5f3495.jpg)
Issu de Monterey, AIX 5 L rallie Caldera et les OEM Intel
par Mireille Boris
Le projet Monterey qui a réuni IBM, SCO et Intel pour le développement d'un Unix
64 bits standard donne naissance à un AIX 5 L. Volens nolens, tous les OEM Intel,
de Compaq à Unisys, vont supporter de l'AIX…IBM l'avait-il imaginé il y a un an?
Monterey a été le nom de code de l'action concertée entre IBM, SCO et Intel. Au
coeur du programme de développement, un Unix 64 bits dont AIX d'IBM, flanqué d'Unixware
de SCO et de Dynix ptx de Sequent, était l'élément le plus important. Objectif
: approcher en OEM les machines Intel.
Or, il s'est avéré que le nom le plus porteur était… AIX
Cet Unix collectif étant prêt à sortir en juillet dernier, il s'est agi de le
baptiser. Des agences de communication ont été consultées. Or, il s'est avéré
que le nom le plus porteur était… AIX. "Avec le succès du S80, AIX avait une image
très forte sur le marché", note Jean-Marc Ferré d'IBM. AIX 5, à cause de sa composante
Power PC dont l'AIX en était à la V4 et AIX 5 L pour bien indiquer que l'affinité
Linux est incluse dans cette nouvelle version. AIX 5L for Power, AIX 5L for IA
64 en attente de machines Itanium prévues pour le 10 octobre étaient disponibles
en août. Mais les 2000 machines 64 bits Intel en circulation étant toujours considérées
comme expérimentales et leur sortie en volume étant une fois de plus retardées
jusqu'en avril 2001, la décision fut prise de ne pas se presser. Aix 5.0L for
Power, 5.0L IA-64 restent des versions d'évaluation pour éditeurs. Les versions
de production d'Aix 5.1L for Power et for IA-64 sortiront en avril en même temps
que les serveurs Intel.
"Notre objectif premier est toujours un Unix standard, partagé par un marché plus
large, avec un Unix qui a déjà fait ses preuves sur Power", affirme Jean-Marc
Ferré. Rien de changé dans l'accord avec Intel, qui apporte de l'argent pour financer
les approches des éditeurs, ni dans l'adhésion d'un certain nombre de constructeurs.
Compaq a communiqué sur ce sujet. Les Proliant supporteront AIX. Il n'y a pas
d'autre alternative, Compaq ayant cessé de développer Tru64 sur plate-forme Intel.
SCO apporte à AIX 5 L un support constant. La stratégie de Caldera est de supporter
des plates-formes Linux 32 bits, mais la composante SCO est plus robuste. Il va
falloir un certain temps pour que Linux 64 bits monte en puissance de la même
manière.
Benoît Maillard, de SCO-Caldera, confirme : "La division Serveurs et Professional
Services de SCO est devenue Caldera Inc.. Le travail continue. Quand le nommage
de l'OS Monterey 64 a été décidé, le choix s'est porté sur AIX 5L, malgré une
petite résistance de la part de SCO. Mais prendre un nouveau nom aurait été perturbant
dans un marché Unix en phase de consolidation. La bannière AIX est haut de gamme,
ouverte, avec une connotation Linux. La filiation AIX est rassurante, et l'ouverture
multiplates-formes d'IBM réelle à tous les OEM du marché. Les OEM ont fait un
peu la tête. Mais le business Unix sur Intel est profitable. Le volume des ventes
de matériel avec SCO a dépassé les 4 milliards de $. Cela ne peut que continuer
vers le haut. Unisys, Dell, Compaq, Bull, Fujitsu ou encore Acer jouent dans la
pièce, et avalisent ce support. Plutôt que de fragmenter, ils participent à la
consolidation. "
Une partie importante du travail de Monterey a porté sur les applications. Oracle,
BEA, BMC, CA, Cygnus pour les outils de développement, IBM logiciel, JDEdwards,
I2, Informix, Software AG, Brio, Candle, Sybase, etc.., ont adopté la plate-forme
très tôt. Actuellement, un système accessible à distance depuis le Web est mis
en place pour les développeurs. De leur centre de portage, IBM et Bull reçoivent
les développeurs de logiciels avec représentation locale des programmes de recrutement
des partenaires. Des centres semblables utilisant des octoprocesseurs Intel ont
ouvert à San Mateo, dans le Massachussets, en Allemagne et en Angleterre. Le catalogue
de logiciels sera prêt en même temps que la V 5.1 et les machines Intel.
Les fonctionnalités NUMA et LPart sont inscrites dans AIX 5.0 L
![La revanche des I/O](https://www.itpro.fr/wp-content/uploads/2015/03/10fd0d8eeb5790b1b9b2e46ce4231ccd.jpg)
La revanche des I/O
par Frank G. Soltis
Un système équilibré exige une mémoire et des entrées/sorties rapides
Depuis toujours, les entrées/sorties (I/O : Input/Output) ont été les parents
pauvres des modèles des systèmes informatiques. La vedette étant presque toujours
le processeur. Pourquoi ? A cause de la suprématie du Mégahertz (MHz), la mesure
des performances informatiques la plus répandue. Comme il est impossible de mesurer
la qualité du système des I/O d'un ordinateur avec des MHz, les concepteurs ont
le plus souvent ignoré cet aspect pour se concentrer sur les performances du processeur.
Après tout, c'est quand même le MHz qui fait vendre. Qui, devant un nouvel ordinateur
cherche à savoir quelle est la bande passante des I/O plutôt que les prouesses
en MHz du processeur ?
Pourtant, un ordinateur sans I/O, c'est comme une voiture sans roues, malgré toute
la puissance du moteur, elle n'ira pas loin. Au même titre que la mémoire, le
système des I/O détermine le temps de réponse et le débit de la plupart des ordinateurs.
Ce sont ces mesures qui intéressent le plus les clients, même si les concepteurs
de processeurs ne l'admettent pas.
La puissance des I/O pourrait alors bien devenir le seul critère distinctif
Heureusement, les choses sont en train de changer. Dans un futur proche, tous
les ordinateurs, des PC d'entrée de gamme aux superordinateurs les plus rapides,
utiliseront les mêmes briques de microprocesseur. La puissance des I/O pourrait
alors bien devenir le seul critère distinctif.
Même les concepteurs de processeurs commencent à prendre les I/O plus au sérieux.
C'est ainsi que les concepteurs de la prochaine génération de puces microprocesseur
PowerPC (appelées POWER4) mettent davantage en avant les largeurs de bande de
leurs nouvelles puces plutôt que leur performance en MHz. La situation s'est inversée,
et les I/O ont enfin leur heure de gloire. Et comme le système des I/O de la nouvelle
iSeries 400 est très différent de celui de l'AS/400, il convient d'examiner les
modifications apportées pour juger de leurs conséquences sur nos modèles de systèmes
futurs.
![Les solutions de clustering de Microsoft](https://www.itpro.fr/wp-content/uploads/2015/03/ac7bbce21b34a01dcd3e9ec41a07884d.jpg)
Les solutions de clustering de Microsoft
par Greg Todd
Au fil des ans Microsoft s'est efforcé d'étendre la capacité de montée en charge,
la disponibilité et la fiabilité de ses solutions serveurs. Le clustering est
un moyen éprouvé d'atteindre cet objectif et Microsoft l'a adopté en vue d'en
faire un élément à part entière de ses systèmes d'exploitation et de ses offres
produits. Avec la sortie de Windows 2000, les solutions de clustering de Microsoft
ont fait un bond en avant considérable vers la maturité.
![Pour un contrôle d’accès efficace à Windows 2000 et NT](https://www.itpro.fr/wp-content/uploads/2015/03/1ef10513ab47620fe6136b13cba1fd9e.jpg)
Pour un contrôle d’accès efficace à Windows 2000 et NT
par Randy Franklin-Smith
La question la plus importante concernant la sécurité au sein du réseau interne
d'une entreprise consiste à se demander qui a accès et à quoi. Dans de nombreuses
entreprises, il manque une méthode cohérente pour contrôler l'accès à certains
fichiers. Des domaines contenant des dizaines de milliers de fichiers et de répertoires
peuvent avoir des dizaines de milliers d'utilisateurs.
Certains outils produisent un énorme rapport indiquant chaque fichier auquel un
utilisateur peut accéder, mais les administrateurs ont souvent du mal à faire
le tri dans des rapports aussi détaillés, qui, d'ailleurs, mettent habituellement
l'accent sur un serveur au lieu de prendre en compte la totalité d'un réseau.
Les rapports n'indiquent pas si des niveaux d'accès variés sont appropriés pour
les utilisateurs.
Windows 2000 et NT contrôlent l'accès au niveau des fichiers. Mais pour que le
contrôle d'accès soit efficace et contrôlable, les administrateurs système doivent
gérer l'accès à des niveaux plus élevés, tels que les applications, les bases
de données et les zones de partages de fichiers de départements ou de groupes
de travail. Le contrôle d'accès peut se gérer facilement dans Windows 2000 et
NT avec des outils shareware et une structure de groupes à deux niveaux. Cette
méthode crée un système de contrôle facile à maintenir, à vérifier et à apprendre.
On peut également mettre en oeuvre la nouvelle structure de contrôle d'accès parallèlement
à celle qui existe sur un système, puis supprimer cette dernière.
![L’initiative Biztalk de Microsoft](https://www.itpro.fr/wp-content/uploads/2015/03/c5d4aebef3e0710ee337f8cc679a4b87.jpg)
L’initiative Biztalk de Microsoft
par Tao Zhou
Le commerce électronique Business-to-business (B2B) permet aux entreprises d'effectuer leurs transactions commerciales par l'Internet sans processus manuels. Dans bien des cas, les entreprises utilisent des applications et des formats de documents différents, et l'intégration d'applications faisant appel à diverses structures de données pose au commerce électronique B2B un véritable défi. Traditionnellement, les grandes entreprises utilisent les standards d'échange de documents EDI pour mettre en oeuvre l'intégration des applications commerciales et l'exploitation. Mais l'implémentation de l'EDI est onéreuse et rares sont les petites et moyennes entreprises pouvant se permettre cette solution.
Pour régler le problème de l'intégration des applications et minimiser le coût de développement d'un système de e-commerce B2B, l'industrie informatique considère le standard XML du World Wide Web Consortium (W3C) comme langage standard pour les données du commerce électronique B2B. XML est gratuit, facile à utiliser et supporte la description des données pour toutes les applications et plates-formes. Lorsque deux partenaires commerciaux utilisent la même spécification de document XML pour échanger des informations, leurs applications supportant XML peuvent recevoir et traiter des données sans transformation manuelle ni saisie.
Plusieurs éditeurs, dont IBM, SoftQuad et Microsoft, offrent des applications de commerce B2B utilisant XML. En 1999 Microsoft a annoncé le développement de sa solution de commerce électronique B2B en XML, répondant au nom de code BizTalk Initiative, et a sortie, en 2000, BizTalk Framework et BizTalk Server 2000, les deux principaux éléments constitutifs de l'initiative BizTalk. BizTalk Framework est une spécification technique qui définit l'architecture et la structure des messages BizTalk. BizTalk Server 2000 est un serveur qui intègre les applications et automatise les processus commerciaux en acheminant et en transformant automatiquement les documents. Avant d'utiliser BizTalk, pour donner libre cours à une activité de commerce électronique, il importe de bien comprendre les composants de cette solution.
![Les tableaux multidimensionnels en action](https://www.itpro.fr/wp-content/uploads/2015/02/8c49ca769249ff139b7f3ba7ca38c9a4.jpg)
Les tableaux multidimensionnels en action
par Mike Cravitz
Liez le
programme de service MultiDim aux applications pour simplifiez la manipulation
des tableaux multidimensionnels simulés en RPGLes tableaux
multidimensionnels, c'est-à -dire ceux qui nécessitent plusieurs nombres ou
dimensions pour identifier de façon unique chaque élément de tableau, peuvent
se révéler utiles pour gérer des listes de valeurs dépendant de plusieurs
jeux de critères indépendants. Les commissions de vente, les primes, les
primes d'assurance et les remises accordées aux clients représentent quelques
exemples de types de valeurs que les tableaux multidimensionnels peuvent représenter
facilement et naturellement.
Dans l'article “ Multidimesionnal Arrays : the Basics ”, NEWS/400, mai 1998, j'ai présenté les tableaux multidimensionnels et ai expliqué en quoi ils étaient utiles au développement d'applications de gestion. Comme je l'ai indiqué dans cet article, même si le RPG ne supporte pas les tableaux multidimensionnels, il est possible de simuler ces derniers en faisant correspondre un tableau multidimensionnel à un tableau RPG unidimensionnel. Dans le présent article, je présente un programme RPG IV qui calcule les index réels correspondant aux index des tableaux multidimensionnels simulés. Il devient ainsi possible de travailler facilement avec des tableaux de ce type dans des applications. La V3R7 ou une version supérieure est indispensable pour utiliser ce programme de service (le code du programme de service MultiDim peut être downloadé depuis notre site Web, à l'adresse suivante).
Lire l'article![Comment utiliser SAP R/3 quand on ne pèse que 300 MF de CA](https://www.itpro.fr/wp-content/themes/iTPro/assets/img/placeholders/placeholder.jpg)
Comment utiliser SAP R/3 quand on ne pèse que 300 MF de CA
par Benoît Herr
Premier à utiliser la méthodologie ASAP en
France, Takasago Europe Perfumery Laboratory (TEPL), la filiale européenne du
groupe japonais Takasago est aujourd'hui équipé de SAP R/3 sur AS/400. Il y a à peine deux ans, la filiale française du groupe japonais Takasago prenait la décision d'installer SAP R/3. Et à l'heure où vous lisez ces lignes, ils ont déjà un an d'expérience d'utilisation de six modules de R/3 sur AS/400!
Le secret de cette implémentation rapide et couronnée de succès ? ASAP, qui veut dire Accelerated SAP. Il s'agit d'une méthodologie d'implémentation rapide de R/3 mise au point par la filiale américaine de SAP. Le client signe pour une mise en place en six ou neuf mois, et SAP et son DVA (Distributeur à Valeur Ajoutée) fait le reste… ou presque!
Non, pas vraiment, car l'implication du client doit également être très grande, mais le support DVA, assuré dans le cas de Takasago par la société Excelsius, filiale du groupe IBS, est essentiel. La méthodologie va d'une simple check-list des éléments à mettre en place à une suivi extrêmement étroit et précis de l'avancement des travaux en passant par un planning rigoureux et méticuleux, faisant parfois apparaître très tôt des choses auxquelles on aurait beaucoup plus tard, comme la formation par exemple. Sans oublier les fameux "accélérateurs", qui font partie intégrante de la méthodologie: il s'agit de simples documents Word ou Excel par exemple, mais préformatés pour des besoins tels que suivi du budget, compte-rendus de réunions ou guides uutilisateurs. Il ne restait plus à Takasago qu'à apposer son logo sur les documents… et à les remplir, bien sûr. Cependant, ASAP "mâche" considérablement le travail, par rapport à une conduite de projet classique.
![Style RPG IV : même l’inattendu peut arriver !](https://www.itpro.fr/wp-content/uploads/2015/02/8af8ffc4313c74db1ccd1c0596780e89.jpg)
Style RPG IV : même l’inattendu peut arriver !
par Julian Monypenny
Comment repérer les bogues potentiels dans des expressions arithmétiques, en écrivant des programmes "blindés"
Je ne me lasse pas des films La Panthère Rose de Blake Ewards. J'aime tout particulièrement
l'obsession qu'a l'inspecteur Clouseau de se perfectionner sans cesse dans les
arts martiaux. C'est dans ce but que son acolyte, Cato, l'attaque à l'improviste
au moment le plus inattendu. Clouseau estime que pour dominer la situation, il
faut apprendre à "s'attendre à l'inattendu".
Les programmeurs que nous sommes doivent aussi s'attendre à l'inattendu. Dans
l'article "Style RPG IV : pour écrire un code sain", NEWSMAGAZINE, septembre 2000,
nous avons vu comment écrire un code solide en nous concentrant sur le traitement
des erreurs renvoyées par les opérations d'I/O. Les erreurs d'I/O sont faciles
à piéger grâce aux indicateurs résultants ou aux fonctions intégrées comme %Error
et %Found. Mais certaines erreurs de programmation sont bien plus insidieuses
que celles d'I/O. Les erreurs les plus courantes rencontrées dans des programmes
RPG IV sont dues à des expressions arithmétiques associées à l'opération Eval.
Nous allons donc évaluer des expressions arithmétiques en décrivant les erreurs
auxquelles on peut s'attendre et en expliquant comment les contrôler fermement.
Certaines erreurs de programmation sont bien plus insidieuses que celles
d'I/O
![Rouge et jaune sont les couleurs de l’automne](https://www.itpro.fr/wp-content/themes/iTPro/assets/img/placeholders/placeholder.jpg)
Rouge et jaune sont les couleurs de l’automne
Le point sur les annonces AS/400 de la rentrée
Il en va des annonces IBM comme du prix du ticket de métro, de celui de l'essence,
du dernier tiers de notre “ cher ” Trésor (Public, cela va de soi) ou encore du
double affichage du prix des légumes : c'est en rentrant de vacances tout bronzé
et plein d'énergie qu'on les découvre en général, en même temps qu'une tonne et
demie d'autres bonnes et moins bonnes nouvelles.
Reconnaissons que les annonces AS/400 sont en général plutôt à classer parmi les
bonnes nouvelles, même si ici et là on entend parfois quelques grincements de
dents du fait de fonctionnalités non encore apparues ou annoncées, ou d'orientations
qui ne sont pas celles souhaitées.
Cette année, c'est même avec un peu d'avance sur les précédents millésimes, les
29 juillet et 3 août, qu'ont fleuri les annonces AS/400. A croire que cela ennuie
de plus en plus nos camarades “ Yankees ” de voir les petits “ Frenchies ” se
dorer la pilule sur les plages pendant qu'eux restent au travail dans leur austère
Minnesota. Et cette année, la couleur dominante de la moisson est le jaune.
![JDBC 2.0 et l’accès à l’AS/400](https://www.itpro.fr/wp-content/uploads/2015/01/a3bdbd38cdd1f1292a110fb6592db57a.jpg)
JDBC 2.0 et l’accès à l’AS/400
Par Martin Smith
Cette nouvelle version de JDBC en environnement Java permet de construire des
solutions fonctionnant sur toutes les plate-formes et capables d'accéder à toutes
les bases de données.
Depuis quelques années, le développement d'applications Java a énormément augmenté,
et regroupe désormais un million de développeurs de par le monde. A la fois en
dehors ou en relation avec l'AS/400, la portabilité de Java et sa plate-forme
indépendante ont trouvé des débouchés pour les applications DB2 UDB pour AS/400.
Sun Microsystems a récemment annoncé la plate-forme Java 2 : elle rend les applications
Java encore plus performantes, et pour les développeurs AS/400 de telles applications
représentent un avantage compétitif décisif pour les entreprises.
La plupart des applications sont liées à des bases de données relationnelles telles
que celle de l'AS/400. Le standard Java d'accès SQL (JDBC : Java DataBase Connectivity)
permet aux développeurs d'avoir un accès aux bases de données, accès limité par
les sécurités d'authentification. JDBC permet également de sélectionner, modifier,
insérer, créer des champs et des tables. En environnement AS/400, les applications
sont souvent écrites en RPG et en mode 5250 ("écran vert"), et elles présentent
des performances équivalentes pour l'accès aux bases de données, mais n'utilisent
pas le langage SQL.
La souplesse de Java explique l'importance de JDBC pour les développements d'entreprise
Java et JDBC permettent à une équipe informatique de construire des solutions
capables de fonctionner sur n'importe quelle plate-forme, et qui peuvent accéder
à n'importe quelle base de données. La souplesse de Java explique l'importance
de JDBC pour les développements d'entreprise. On peut par exemple écrire une application
servlet Java pour permettre aux utilisateurs de l'intranet d'accéder à la base
de données et de lister les fabricants. Cette même application pourra permettre
de saisir les commandes ou de vérifier le statut d'un client. Elle peut également
être installée sur n'importe quelle plate-forme serveur comportant une JVM (Java
Virtual Machine), telle que l'AS/400. JDBC 1.0 a permis la première génération
d'accès SQL aux bases de données en environnement Java. Il possède le support
de base SQL. Sun l'a amélioré avec des mécanismes plus performants.
Cet article sur la technologie Java décrit les principales améliorations apportées
par l'API principale de JDBC 2.0, et explique son interaction avec l'AS/400.
JDBC permet aux développeurs de profiter au maximum des capacités de Java
La technologie JDBC est une API permettant aux développeurs d'accéder aux sources
de données relationnelles, telles que les tables DB2/400 depuis un environnement
Java. JDBC permet également aux développeurs de profiter au maximum des capacités
de Java, le fameux "écrire une fois, exécuter n'importe où", pour des applications
demandant un support multiplate-formes et devant accéder aux données de l'entreprise.
JDBC répond à la norme ANSI 92SQL pour communiquer avec les bases de données relationnelles.
Notons aussi que le driver JDBC gère la connexion à la base de données via Java.
JDBC 2.0 étend l'API de JDBC dans le domaine des types de données avancés, le
défilement des ensembles de résultats, le support des mises à jour SQL batch,
les mises à jour d'ensembles d'enregistrements par l'API Java, et augmente également
les performances.
De nouvelles méthodes permettent de travailler avec des données à distance sans
avoir à transférer les données vers le client Java
![Les émulations de terminaux TN5250 en Shareware et en freeware](https://www.itpro.fr/wp-content/themes/iTPro/assets/img/placeholders/placeholder.jpg)
Les émulations de terminaux TN5250 en Shareware et en freeware
Les émulateurs TN5250 proposés actuellement en shareware ou en freeware, affichent des niveaux de qualité inégauxL'évolution de la technologie PC touche aussi les fonctions que l'on est en droit d'attendre de la part des émulateurs de terminaux, ces dispositifs omniprésents nous permettant de relier des PC clients aux AS/400. Sur le marché actuel de l'AS/400, on compte quelques dizaines de fournisseurs d'émulateurs 5250 offrant, sous licence, des produits richement dotés. Cependant, si vos besoins d'émulation, ou vos moyens financiers, sont plus modestes, sachez qu'il existe plusieurs packages d'émulation TN5250 sous Windows, proposés sous forme de shareware (partagiciel) ou freeware (graticiel). NEWS/400 en a expérimenté trois. Bien qu'ayant constaté que, là aussi, “ on n'en a que pour son argent ”, nous avons tout de même découvert quelques excellents produits.
Lire l'article![Les fichiers hors ligne](https://www.itpro.fr/wp-content/uploads/2015/01/174c523b02909ac0fb8eb9c381895f2e.jpg)
Les fichiers hors ligne
Certes les avantages les plus évidents de Windows 2000 sont offerts par les trois versions de serveurs. Mais Windows 2000 Professional, la version pour postes de travail, comprend une fonction particulièrement efficace baptisée Fichiers hors ligne. Grâce aux fichiers hors ligne, votre réseau paraîtra plus rapide, les fichiers du réseau demeureront accessibles en cas d'arrêt du réseau, vous éviterez de perdre votre travail en cas de défaillance du réseau et les utilisateurs nomades pourront accéder aux fichiers du réseau sans se connecter.
Lire l'article![Les commandes clés de la console de reprise](https://www.itpro.fr/wp-content/themes/iTPro/assets/img/placeholders/placeholder.jpg)
Les commandes clés de la console de reprise
Parfois, les systèmes refusent de démarrer et affichent un écran bleu ou un message indiquant que le système ne peut pas démarrer parce qu'un fichier est manquant ou corrompu. La première tentative pour régler ce problème est de rebooter, mais cette méthode ne fonctionne pas toujours. Dans une telle situation, la console de récupération, un nouvel outil de Windows 2000 Professionnel, peut ranimer votre système.
Lire l'article![A l’intérieur d’une procédure cataloguée SQL](https://www.itpro.fr/wp-content/uploads/2014/12/0facef25b097bc5df265eabe04c13f9e.jpg)
A l’intérieur d’une procédure cataloguée SQL
Voici quelques techniques de programmation essentielles pour le coding de SPL, le nouveau langage SQL pour les procédures cataloguées Sur l'AS/400, une procédure cataloguée est un
programme que l'on peut invoquer depuis un programme serveur ou client, au
moyen d'une instruction SQL Call. Les procédures cataloguées ont pour
principal avantage d'améliorer le niveau de performances et de sécurité des
applications client/serveur. Une procédure cataloguée peut améliorer les
performances en traitant les lignes (enregistrements) UDB/400 avant de
transmettre les données au client. On peut aussi utiliser les droits adoptés
par programme avec les procédures cataloguées pour mieux contrôler l'accès
aux données UDB/400 et leur modification par les applications clients (pour en
savoir plus sur les procédures cataloguées et leurs avantages, voir
l'article “ Le client/serveur plus sûr et plus rapide avec les procédures
stockées de DB2/400 ”, NEWSMAGAZINE, juin 1996).
Le principal mérite du langage SPL de SQL est sa portabilité
On peut écrire des procédures cataloguées en n'importe quel langage évolué
(HLL : High-Level Language) AS/400 et, à partir de la V4R2, avec des
extensions ajoutées au langage SQL lui-même. Le principal mérite du langage
de procédures cataloguées (SPL : Stored Procedure Language) SQL est sa
portabilité : la même procédure cataloguée peut servir sur d'autres
plates-formes UDB (AIX ou Windows NT par exemple) ainsi qu'avec Oracle et
Microsoft SQL Server. Autre avantage non négligeable : un coding plus simple de
certaines tâches, du fait que SPL est mieux adapté aux opérations base de
données SQL.
Moyennant la prise en compte de quelques techniques, il est facile d'écrire des procédures
cataloguées en SPL. Dans l'article “ Nouveau : des procédures
cataloguées en SQL/400 ” (NEWSMAGAZINE, juin 1998), je décortique une
procédure cataloguée complète et représentative écrite en SPL. Après cette
“ visite ”, vous serez plus rapidement productif avec SPL.
![Quelques canevas SQL pour programmeurs RPG](https://www.itpro.fr/wp-content/uploads/2014/12/27f56a0d28aa946a6094b9e5424b3d66.jpg)
Quelques canevas SQL pour programmeurs RPG
par Paul Conte
Voici quatre techniques pour répondre simplement à la plupart des exigences des
applications de gestion
oilà plusieurs années qu'IBM a rejoint le reste du secteur informatique en adoptant
SQL comme langage stratégique pour accéder à la base de données. SQL est intéressant
à double titre pour les applications AS/400 : il garantit une plus grande fonctionnalité
et davantage de portabilité. Si on utilise Java et JDBC (Java Database Connectivity)
pour les applications Web ou pour Windows, et ODBC pour les applications PC clientes,
on n'a pas le choix : JDBC et ODBC exigent tous deux SQL comme langage d'accès
base de données. Pour les programmeurs RPG souhaitant utiliser SQL, l'une des
premières choses à apprendre est la technique de codage SQL équivalant aux opérations
RPG communes. Ils trouveront dans cet article des canevas pour les quatre techniques
SQL les plus fréquemment utilisées.
![Architecture AS/400: au delà de la technologie](https://www.itpro.fr/wp-content/themes/iTPro/assets/img/placeholders/placeholder.jpg)
Architecture AS/400: au delà de la technologie
par Frank G. Soltis
L'AS/400 se définit par cinq concepts architecturaux ; en aucun cas par ses configurations
matérielles ou logicielles.
On me demande souvent, "Quand un AS/400 n'est-il plus un AS/400 ?". Il est vrai
que, compte tenu de toutes les modifications apportées à l'AS/400 au cours des
dernières années, on peut à juste titre considérer que le modèle actuel n'a pas
simplement évolué mais s'est transformé en un produit totalement différent.
A quel stade cesse-t-il d'être un AS/400 ?
Ma réponse à cette question ne varie pas. L'AS/400 n'est pas défini par une configuration
matérielle ou logicielle particulière. Enlevez la technologie du processeur PowerPc,
c'est encore un AS/400. Enlevez le RPG (au grand dam de la plupart des clients
AS/400 !) et le support 5250, on a encore un AS/400. En réalité, ce sont cinq
principes architecturaux fondamentaux qui définissent l'AS/400. Et tout le reste
peut bien changer !
- indépendance vis-à -vis de la technologie
- conception basée objet
- intégration matérielle
- intégration logicielle
- l'espace adressable unique
![Comment interpréter le journal de sécurité](https://www.itpro.fr/wp-content/uploads/2014/11/23419ee904619751cfb7377c8f75b866.jpg)
Comment interpréter le journal de sécurité
Dans l'article " Le journal de sécurité de Windows NT " du mois dernier, j'ai donné une description générale du Journal de sécurité et cité quelques astuces de configuration pour préserver des analyses rétrospectives utiles. Mais il est également indispensable de comprendre les trois plus importantes catégories d'audit d'événements de sécurité : ouverture et fermeture de session, accès aux objets et suivi de processus. Ces trois catégories fournissent des informations cruciales servant à faire le suivi des actions des utilisateurs. Chaque système a une stratégie d'audit à laquelle on accède dans le menu Démarrer, Programmes, Outils d'administration, Administrateur des utilisateurs, Stratégies, Audit, boîte de dialogue Stratégie d'audit (écran 1). La boîte de dialogue Stratégie d'audit dicte laquelle, parmi les sept catégories d'événements d'audit, sera enregistrée par le Journal de sécurité local.
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