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samedi 08 février 2025
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Tech
Style RPG IV : même l’inattendu peut arriver !
par Julian Monypenny
Comment repérer les bogues potentiels dans des expressions arithmétiques, en écrivant des programmes "blindés"
Je ne me lasse pas des films La Panthère Rose de Blake Ewards. J'aime tout particulièrement
l'obsession qu'a l'inspecteur Clouseau de se perfectionner sans cesse dans les
arts martiaux. C'est dans ce but que son acolyte, Cato, l'attaque à l'improviste
au moment le plus inattendu. Clouseau estime que pour dominer la situation, il
faut apprendre à "s'attendre à l'inattendu".
Les programmeurs que nous sommes doivent aussi s'attendre à l'inattendu. Dans
l'article "Style RPG IV : pour écrire un code sain", NEWSMAGAZINE, septembre 2000,
nous avons vu comment écrire un code solide en nous concentrant sur le traitement
des erreurs renvoyées par les opérations d'I/O. Les erreurs d'I/O sont faciles
à piéger grâce aux indicateurs résultants ou aux fonctions intégrées comme %Error
et %Found. Mais certaines erreurs de programmation sont bien plus insidieuses
que celles d'I/O. Les erreurs les plus courantes rencontrées dans des programmes
RPG IV sont dues à des expressions arithmétiques associées à l'opération Eval.
Nous allons donc évaluer des expressions arithmétiques en décrivant les erreurs
auxquelles on peut s'attendre et en expliquant comment les contrôler fermement.
Certaines erreurs de programmation sont bien plus insidieuses que celles
d'I/O
Mettre Exchange 2000 en Cluster, quelques règles d’or
par Jerry Cochran
Dans la première partie de cet article, nous avons décri les concepts de base
du service de clustering de Windows 2000, ainsi que les améliorations apportées
au clustering d'Exchange 2000 Enterprise Server. Fort de ces connaissances, vous
êtes désormais capables d'évaluer les avantages et les problèmes potentiels de
la conception et de l'administration du stockage dans un cluster Exchange 2000.
Si le déploiement d'un cluster vous semble intéressant pour votre organisation,
plusieurs pratiques optimales peuvent vous aider à atténuer l'effort de formation
nécessaire.
Big Brother garde les utilisateurs inactifs à l’oeil
par James Cook
Dans la plupart des environnements AS/400, la sécurité et l'optimisation des performances
exigent de déconnecter les sessions 5250 inactives. Un poste de travail connecté
et sans surveillance constitue une porte d'entrée dans votre AS/400 pour un veilleur
de nuit qui prendrait des cours du soir en informatique, ou un employé mécontent.
Un poste de travail actif monopolise également des ressources systèmes. Il est
également susceptible de provoquer des verrouillages sur un objet empêcher les
sauvegardes de s'effectuer correctement.
Un poste de travail resté connecté peut également occasionner des problèmes plus
subtils. Ainsi, un programme risque d'utiliser la date à laquelle le travail interactif
a été démarré et non la date du jour. Si un utilisateur reste connecté pendant
une semaine, certains programmes seront susceptibles d'utiliser la date de lundi
plutôt que la véritable date pour mettre à jour certains champs.
On peut configurer la valeur système QINACTITV de l'AS/400 de manière à clore
ou à déconnecter des travaux inactifs après un laps de temps déterminé (un travail
déconnecté est placé dans un état dans lequel l'utilisateur peut se reconnecter
et continuer à travailler à partir de l'endroit où il s'était arrêté). Ceci fonctionne
bien.
Toutefois, certains employés risquent de rechigner si leurs sessions interactives
sont interrompues en même temps que celles des autres utilisateurs. Par exemple,
le personnel de l'exploitation exécute probablement des sessions manipulant plusieurs
applications AS/400 (par exemple, la paye, la production de l'usine et la file
d'attente des messages QSYSOPR) en mode break. Ces sessions doivent demeurer actives
pour permettre au personnel de répondre rapidement aux demandes d'assistance provenant
des utilisateurs. Dans le cas contraire, les utilisateurs en panne seraient obligés
d'attendre que l'employé de l'exploitation se connecte et active une application
donnée.
La sécurité et l'optimisation des performances exigent de déconnecter
les sessions 5250 inactives
Du point de vue des utilisateurs, une application peut ne pas apprécier une brusque
interruption du travail. En outre, l'arrêt d'un travail interactif peut empêcher
la mise à jour des enregistrements de la base de données. Pour répondre à ces
besoins, j'ai développé deux utilitaires baptisés Big Brother et Little Sister.
Lorsque je travaillais en tant qu'étudiant sur un site VAX/VMS, j'ai été amené
à utiliser un programme appelé Big Brother et qui déconnectait les utilisateurs
interactifs restés inactifs pendant un certain laps de temps. En contrepartie,
l'équipe des programmeurs disposait d'un programme appelé Little Sister qui empêchait
Big Brother de les déconnecter. A la fin de mes études et après être entré dans
le monde de l'AS/400, j'ai écrit deux applications (un petit programme CL associé
à un programme RPG) pour exécuter des fonctions semblables sur l'AS/400. Ces programmes
n'utilisent pas les techniques ILE les plus récentes car ils ont tous deux été
conçus en 1994.
Décrypter le code
CBIGBRO : ce programme CL boucle de façon continue, à la recherche de travaux
interactifs inactifs depuis trop longtemps.
RLILSIS : cette exception permet à des utilisateurs préalablement identifiés
de rester connectés, et ce, un certain nombre de fois.
PLILSIS : ce fichier contient un enregistrement pour chaque utilisateur
exempté de deconnexion.
PSIGOFF : ce fichier contient les noms des utilisateurs déconnectés ainsi
que le nombre d'exemptions auxquels les utilisateurs PLILSIS ont droit chaque
jour. On peut utiliser ce fichier pour éduquer les utilisateurs qui ont
tendance à laisser leurs écrans connectés.
QINACTITV : le temps d'inactivité imparti détermin
Lire l'article
Samba : la danse continue
par Matthieu Rocher
Samba est le logiciel permettant de partager des ressources Linux avec Windows.
En perpétuelle évolution, il accepte maintenant la dernière version du système
d'exploitation : Windows 2000.
Samba, dont l'existence est due à l'Australien Andrew Tridgell en 1991, permet
de partager les disques et les imprimantes d'un système Linux pour être utilisé
par des postes clients Windows.
Pour utiliser les ressources distantes de façons simples, Andrew Tridgell a implémenté
le protocole SMB sur le système d'exploitation Linux. C'est ce même protocole
SMB qui est utilisé par Windows pour partager les ressources entre les différentes
machines du réseau. Avec Samba, le partage des ressources s'ouvre à Linux.
Samba est un logiciel Open Source., ce qui signifie que les sources du programme
sont disponibles à tous et que le logiciel est gratuit.
par Paul Conte
Voici un aperçu des améliorations qu'apporte la version 3.5 par rapport à la 3.02
WebSphere Studio (WSS) est l'outil phare du développement d'applications Web d'IBM.
J'ai déjà abordé WSS dans l'article " Premier coup d'oeil : WebSphere Studio 3.02
", NEWSMAGAZINE, septembre 2000. Nous y avons vu que WSS gère le HTML, l'image,
le son, les applets et servlets Java ainsi que JSP (Java Server Page). Il apporte
également d'autres fonctionnalités, comme l'utilisation d'une interface utilisateur
ainsi que sa logique de gestion. WSS possède des outils intégrés pour concevoir
des pages HTML et JSP, et contient également des outils de modification de scripts
et d'images graphiques. WSS se connecte à VAJ (VisualAge for Java), inclus dans
les Professional et Advanced Editions ou tout autre IDE (Integrated Development
Environment) Java pour développer des servlets et du code Java plus complexe.
Dans la récente release WSS 3.5, on trouve quelques améliorations et modifications
intéressantes. En particulier, le repackaging de WSS en trois éditions : Advanced,
Professional et Entry. La principale différence se situe entre l'Advanced et la
Professional Edition; la troisième, Entry Edition n'étant qu'une version d'essai
"light" de la Professional Edition (dépourvue des produits additionnels qui accompagnent
les Professional et Advanced Editions). Les trois nouvelles éditions fonctionnent
sur des plates-formes Windows 2000 et sur les versions précédentes de Windows.
Pour connaître la liste du contenu et des nouvelles fonctions de chaque édition,
voir l'encadré " Contenu et nouvelles fonctions de WebSphere Studio 3.5 ".
par James Steward et Dan Cruikshank
Le parallélisme donne un réel coup de pouce aux performances. Certes, mais est-ce
toujours dans la bonne direction ?
Peu après les problèmes systèmes survenus chez e-Gads (voir l'article "The Case
of the Missing Index", NEWS/400, août 2000), nous avons discuté, Dan et moi-même,
la nécessité de publier quelques informations de base à propos du parallélisme
sur AS/400. Il faut se souvenir que les dysfonctionnements d'e-Gads étaient provoqués
(en partie) par le parallélisme des requêtes. La valeur système QQRYDEGREE était
définie pour utiliser le parallélisme des I/O (*IO). La requête à problème tournait
en haute priorité et le gros fichier d'historique financier détaillé existait
sur la plupart (si ce n'est sur tous) des bras disque. Ainsi, la mise en oeuvre
de la requête de l'optimiseur des requêtes lisait de manière dynamique depuis
ces bras en parallèle, et provoquait la dégradation des autres travaux du système.
La situation d'e-Gads est un parfait exemple de la manière dont le parallélisme
peut entraîner des difficultés si on ne prend aucune précaution.
La stratégie de croissance d'IBM pour les AS/400 haut de gamme a été de mettre
en place des systèmes plus grands, utilisant plusieurs processeurs. Cette approche
améliore considérablement le traitement interactif et les taux de transmission
des transactions associés. En revanche, pour les traitements classiques des travaux
par lot à une seule unité de traitement, cela signifie des systèmes largement
sous-utilisés.
Le parallélisme peut entraîner des difficultés si on ne prend aucune précaution
Lorsque les systèmes bi-processeurs sont apparus, Dan et moi avons commencé à
répondre à des questions du genre : "Pourquoi ne puis-je pas exploiter mon système
à plus de 50 % d'utilisation de CPU pendant les heures creuses ?" Nous avons encouragé
les traitements parallèles et nos analyses sur la conception d'applications étaient
centrées sur l'utilisation de cette fonctionnalité. Avec des systèmes à 4, 8 et
12 processeurs, les traitements parallèles deviennent encore plus judicieux. Nous
recevons encore des appels mais, aujourd'hui, avec un système à 12 processeurs,
les questions ressemblent à ceci : "Pourquoi ne puis-je pas exploiter mon système
à plus de 10 % d'utilisation de CPU pendant les heures creuses ?"
Les demandes des requêtes impliquent en général, le traitement de gros volumes
d'I/O. Ainsi, le parallélisme, tout comme les traitements par lot, profite du
traitement des requêtes sur AS/400. Les améliorations récentes apportées au système
ont été centrées sur les traitements parallèles ; il existe même une fonction
OS/400 téléchargeable permettant d'étendre l'utilisation du parallélisme du système.
Si elle est installée, la fonction SMP (Symmetrical Multiprocessing) permet de
diviser automatiquement certains travaux de requête en plusieurs tâches pouvant
être traitées simultanément par plusieurs processeurs. J'entends, par travaux
de requête, toutes les requêtes utilisant l'optimiseur de requêtes. Par conséquent,
SQL, Query/400, OPNQRYF, ODBC, l'API de requêtes, DRDA (Distributed Relational
Database Architecture) et JDBC figurent parmi les interfaces tirant profit de
SMP.
Méthodes d'accès utilisant le parallélisme
Méthodes d'accès aux données sans clés
Parallel table scan
Parallel skip sequential
Parallel pre-fetch
Parallel table pre-load
Méthodes d'accès aux données avec clé
Key positionning and parallel key positionning
Key selection and parallel key selection
Parallel index pre-load
Parallélisme
SMP
SMP
I/O
I/O
Parallélisme SMP
SMP
I/O
La tâche de l'optimiseur de requêtes consiste à développer l
Lire l'article
Sécurité réseau : NETFILTER prend la relève
par Bruno Rocher
La mise en place de procédures de sécurité concernant les réseaux est devenue
aujourd'hui une priorité. Linux, système d'exploitation intrinsèquement orienté
réseau, propose toute une gamme de logiciels permettant de garantir une sécurité
optimale.
Rappelons que le grand intérêt de Linux, outre la gratuité des logiciels, est
la mise à disposition des sources. Cette accessibilité engendre d'une part une
grande rigueur de programmation et d'autre part un très bon niveau de suivi et
de corrections. Ce dernier aspect est très important en ce qui concerne la sécurité.
Aujourd'hui, les différentes distributions Linux (Caldera, Suse, RedHat, …) sont
construites autour du noyau 2.2. La communauté Linux attend impatiemment la sortie
du nouveau noyau 2.4, qui est annoncée pour "l'automne 2000". Toutes les caractéristiques
et les outils concernant la sécurité ont été réécrits pour le noyau 2.4.
Les deux principes de base en ce qui concerne la sécurité des réseaux sont le
filtrage et le masquage d'adresses. Ces processus étaient pris en charge par le
logiciel IPCHAINS. Avec l'arrivée du noyau 2.4, c'est désormais NETFILTER qui
va gérer ces tâches. Avant de s'intéresser aux différences entre les deux produits,
il convient d'expliquer ou de rappeler quelques notions sur la sécurité, notamment
en ce qui concerne le filtrage et le masquage d'adresses.
Maintenir la disponibilité des réseaux Windows 2000 est une mission en pleine
évolution pour les administrateurs systèmes. Car pour supporter efficacement les
réseaux Windows 2000, tout en conservant les mêmes niveaux de disponibilité qu'offraient
les précédents réseaux Windows, il faut se livrer à des activités d'administration
sans commune mesure avec celles des précédentes versions de Windows.
Pour les réseaux Windows 2000 comme pour tout réseau informatique, il est impératif
de surveiller des statistiques vitales, comme l'utilisation de la CPU, de la mémoire
et des disques, et la connectivité du réseau. Mais Windows 2000 est doté de nouveaux
composants, services et dépendances qui doivent aussi être régulièrement surveillés.
Ces nouveaux éléments, qui constituent la base de l'infrastructure Windows 2000,
comprennent les services et les bases de données AD (Active Directory), les serveurs
DNS, le Catalogue global (CG), et les Maîtres d'opération (Operation Masters).
Le bon fonctionnement du réseau dépend essentiellement des composants et des services
de Windows 2000 et de ses principales applications. Les administrateurs réseau
doivent donc être capables d'assurer non seulement la disponibilité générale de
ces composants, mais aussi un niveau de performance minimum acceptable.
à€ défaut, de graves problèmes peuvent survenir dans l'ensemble du réseau : lenteur,
voire impossibilité des autorisations de connexion, incohérence des données entre
les serveurs AD, impossibilité d'accéder à des applications cruciales, problèmes
d'impression... Pour maintenir convenablement une infrastructure Windows 2000,
les administrateurs réseau des entreprises doivent posséder des connaissances
spécifiques sur les composants à surveiller et choisir l'outil complet de surveillance
pour Windows 2000 qui convient à une organisation.
par Dan Lacine et Jayne Sims
Ayez les toutes
dernières informations sur votre matériel, release d'OS/400, produits
programmes sous licence et applications en consultant ces ressources IBM Y2K en
ligne
A l'heure qu'il
est, la préparation à l'an 2000 de votre AS/400 devrait être bien engagée,
voire terminée. Vous avez sans aucun doute à cette occasion découvert que de
nombreux éléments déterminent si un système est totalement prêt pour le
changement de siècle, et il vaut mieux les vérifier (plutôt deux fois
qu'une) tous, à l'approche du jour J. Dans cet article, nous passons en
revue les dernières informations sur la préparation à l'an 2000 de l'AS/400
et indiquons les ressources IBM disponibles sur le Web, susceptibles de vous
aider à déterminer le statut de tous les composants de votre système. Vous
saurez ainsi si votre AS/400 est prêt à franchir le siècle.
A
la lecture de cet article, vous saurez si votre AS/400 est prêt à franchir le
siècle
Par Sabine Terrey
Virgin Megastore s'est lancé dans une gestion centralisée du système d'information
de ses magasins européens, depuis son site de Paris.
Virgin Megastore, maison de disques bien connue créée par Richard Branson dans
les années 70, a ouvert son premier magasin en France en 1988 sur les Champs-Elysées.
Aujourd'hui, avec une activité de distribution débordant largement celle du disque
puisque Virgin Mégastore propose également par exemple des livres ou du matériel
électronique et informatique, le groupe compte 28 magasins en Europe continentale,
répartis dans six pays (Italie, Portugal, Autriche, Belgique, Pays Bas et France).
L'objectif de Virgin : tout magasin se doit avant tout d'être un « lieu de vie
» avec une ambiance bien particulière que les clients aiment retrouver. Le groupe
Virgin s'attaque également à d'autres marchés, aussi divers que l'aviation (BA
AA, no way!), le train, les assurances, « Virgin cola », « Virgin Vie »…toutes
activités qui représentent désormais 200 sociétés de par le monde.
Quant à l'activité des Mégastores, elle est représentée par VEG (Virgin Entertainment
Group).
par Paul Schlieben Une stratégie de workflow efficace et une communication fluide sont les garants d'un système de Change Management bien intégréLorsqu'un système fonctionne 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, et que l'on veut préserver ses week-ends, il faut mettre l'accent sur la haute disponibilité du matériel et de la base de données. Sans oublier que même le matériel le plus fiable ne peut rien si les modifications logicielles sont mal effectuées. Et la modification des logiciels met en péril la disponibilité. C'est pourquoi, face à une modification logicielle touchant directement des opérations de gestion critiques, il faut disposer d'un excellent système de Change Management.
De même qu'une équipe informatique est plus qu'un simple groupe d'individus, un système de Change Management est plus qu'un ensemble d'utilitaires. L'équipe fonctionnera d'autant plus efficacement et intelligemment que les gens communiqueront mieux entre eux. Cela est aussi valable pour un bon système de Change Management. Il y a une nette différence entre un simple ensemble d'utilitaires et un système de Change Management complet mettant en oeuvre une stratégie de workflow efficace.
Le workflow est essentiel. Entre le moment où une demande arrive et celui où une modification est déployée, il existe des dizaines de points de communication critiques pour attribuer une tâche, résoudre un conflit de développement, demander un test de code, alerter la direction pour qu'elle examine une requête ou approuve une modification, et autres. Dans un Système Informatique, les messages sont comme des synapses se déclenchant dans le cerveau, plus ils se déclenchent de façon fiable, plus le QI informatique est élevé. Voyons quelques exemples de points de communication critiques dans un bon système de Change Management. Il faut disposer d'un système de suivi efficace
par Matthieu Rocher
Comment créer un site Web dynamique sous Linux, qui réponde aux requêtes des utilisateurs
en mettant directement les informations de la base DB2 d'un AS/400 à profit
Dans le précédent article de cette série, nous avons vu la possibilité d'accéder
à partir de Linux aux données DB2 depuis un AS/400 en utilisant DB2 Connect. Cette
" liaison " mise en place, il devient alors intéressant de construire autour de
DB2 Connect des applications utilisant l'interface HTML, qui attaqueront directement
les données de l'AS/400. Le but est de créer un site Web dynamique répondant aux
requêtes des utilisateurs en utilisant directement les informations de la base
DB2 de l'AS/400. Les besoins en solutions de ce genre ne manquent pas, que ce
soit pour une utilisation interne ou externe à l'entreprise.
De plus en plus, l'interface Web devient un moyen de communication entre les collaborateurs
au sein d'une entreprise. Elle permet de diffuser des informations d'une façon
très simple et économique. La mise à jour de ces informations en HTML est peu
complexe et rapide. Si l'entreprise possède un AS/400, il devient alors très intéressant
de créer un site Intranet dynamique. Chaque utilisateur pourra accéder facilement
aux informations de la base de données de façon simple. Cette configuration permet
l'accès aux données à des utilisateurs qui n'accèdent pas régulièrement à l'AS/400
mais ont toujours un besoin d'informations. Il peut convenir également pour les
utilisateurs nomades.
De plus en plus, l'interface Web devient un moyen de communication entre
les collaborateurs au sein d'une entreprise
par Julian Monypenny
L'utilitaire Archiver unit les fonctionnalités des fichiers zip et le coding Java
Le fichier zip est le format d'archivage de fichiers standard sur PC. Un fichier
zip peut stocker des milliers de fichiers, et leurs chemins dans un format comprimé.
Les fichiers zip font gagner de la place tout en simplifiant la distribution de
fichiers multiples. De nombreuses plates-formes, dont l'AS/400 et le RS/6000,
possèdent l'outil zip PkZip.
Java 2 accepte les fichiers zip. Plutôt que de fournir une version Java de PkZip,
le SDK (Software Development Kit) Java inclut le package java.util.zip, qui contient
des classes permettant de créer et de manipuler des fichiers zip.
Dans cet article, je présente Archiver, un outil zip Java côté client. J'explique
comment utiliser Archiver et comment il utilise le package java.util.zip. Bien
qu'ayant écrit Archiver comme une application côté client, son traitement des
fichiers zip est tout aussi bon avec Java côté serveur.
par Mike Cravitz
Désencombrez vos programmes ILE grâce à une stratégie de nettoyage efficace
Au moment même où vous vous pensiez débarrassé des articles sur les groupes d'activation,
en voici un autre ! Celui-ci expose quelques-unes des méthodes de suppression
de groupes d'activation, particulièrement s'ils contiennent des programmes encore
activés, et l'intérêt d'une méthode comparée à une autre. Pour plus d'informations
sur les groupes d'activation, voir les articles "ILE en action : les groupes d'activation
", NEWSMAGAZINE, mars 1997, et "Attention aux groupes d'activation", NEWSMAGAZINE,
décembre 1998.
par John Ruley Cela arrive à tout le monde tôt ou tard, mais effacer accidentellement un fichier est une des pires erreurs que l'on puisse faire. Récemment, j'ai fermé par erreur un document Word sans le sauvegarder et tout le travail que j'avais produit sur le fichier semblait avoir disparu. Mais le texte que j'avais passé 2 heures à écrire n'était pas complètement perdu. J'ai pu utiliser quelques outils pour rechercher et restituer les données.Le processus de recherche et de restauration des données perdues par erreur m'a pris un bon moment : j'ai ramé pendant 4 heures pour restaurer 2 heures de travail. Pourtant, j'y ai passé autant de temps parce que je pensais écrire sur cette expérience pour en faire profiter d'autres personnes en situation identique d'une part, et parce que j'étais très content de ma prose dans le document que j'avais effacé par erreur. J'aurais certes pu produire de nouveau un document équivalent en 2 heures, mais le texte de remplacement n'aurait pas été aussi bon que le premier.
par George N. Farr
Le RPG a un brillant avenir dans des applications e-business
Dans les discussions avec des programmeurs AS/400 rencontrés au cours de mes voyages
autour du monde, la plupart des questions tournent autour du même thème. Par exemple
:
· " Le RPG IV est-il destiné à durer, ou IBM essaie-t-elle de le tuer ? "
· " La V4R5 ne comporte aucune amélioration du RPG IV. Serait-ce qu'IBM n'envisage
plus d'améliorations du RPG ? "
· " IBM est-elle en train de remplacer le RPG en transformant l'AS/400 en une
machine Java ? "
· " Java est-il le seul moyen d'écrire des applications e-business sur l'AS/400
? "
Ces questions témoignent des inquiétudes sur l'avenir de l'AS/400, et du RPG en
particulier, j'aimerais y répondre dans cet article. Il ne faut pas non plus, à moins d'avoir une bonne raison, plonger complètement
dans Java
par René Beretz
Les sociétés qui se positionnent sur le secteur de l'Internet font naturellement
appel à Linux, autour duquel l'offre est pléthorique et variée. Et d'une redoutable
efficacité !
par Gary Guthrie
L'utilitaire UPDHTTPLOG permet de saisir le nom de domaine des clients qui accèdent à un
serveur Web AS/400.
Dans
le domaine du commerce électronique, les informations sur les visites effectuées
sur un site Web sont d'une valeur inestimable. Aussi, la plupart des serveurs
Web, et notamment les serveurs HTTP sur AS/400 (Internet Connection Server et
Internet Connection Secure Server, respectivement en V4R1 et V4R2), permettent
d'obtenir des informations sur les visiteurs d'un site Web en offrant la
possibilité de consigner sur le serveur des informations concernant les accès
des clients. Lorsque la log des accès au serveur est activée, chaque demande
d'accès reçue par le serveur permet de capturer des informations utiles. Par
exemple, la périodicité des accès et le nombre d'octets transmis peuvent être
utilisés pour optimiser les ressources allouées au service des clients. Une
autre option consiste par exemple, à utiliser la log pour assurer le suivi des
documents auxquels les clients accèdent afin, par exemple, d'identifier les
produits qui les intéressent le plus.
Les
adresses IP n'aident guère à l'identification d'un client, car elles se
ressemblent toutes
L'identité du client est également une information importante qui peut
être consignée. Pour chaque requête adressée au serveur, celui-ci reçoit
les adresses IP du client demandeur. Toutefois, les adresses IP n'aident guère
à l'identification d'un client, car elles se ressemblent toutes. De ce fait, il
est préférable de consigner le nom qualifié du domaine du demandeur. Le
serveur Web AS/400 offre le choix de consigner les noms DNS (Domain Name System)
résolus.
Malheureusement, la résolution des noms de domaines implique une pénalisation
considérable des performances, le serveur Web devant faire une recherche
inverse auprès d'un serveur DNS. Une recherche inverse implique que le serveur
Web contacte le serveur DNS, lequel recherche ensuite dans un tableau de noms
une adresse IP correspondante avant de retourner le nom de l'hôte associé au
serveur Web. Cela prend du temps ! Pire encore, si un client accédant au
site ne possède pas de nom DNS associé à son adresse IP, le serveur Web
attendra dans une boucle de temporisation de résolution d'adresse (jusqu'à 30
secondes) pour chaque requête émise par le client. Etant donné que l'accès
aux pages Web consiste en des requêtes multiples, cela peut se traduire en délais
extrêmement longs et en performances très médiocres pour les clients visitant
sur le site. Le nom DNS n'est pas nécessaire pour servir une page Web. Aussi,
la question qui se pose est de savoir pourquoi générer des surcoûts de
recherche DNS au moment de satisfaire une requête HTTP ? En fait, différer
les recherches DNS à un moment ultérieur est une meilleure approche.
C'est pourquoi, j'ai créé la commande UPDHTTPLOG (Update HTTP Log), un
utilitaire qui fait une recherche DNS inverse à la demande. Cette commande
permet d'une part, de désactiver la fonctionnalité de recherche de demande de
connexion DNS et d'autre part, d'exécuter une recherche du nom de l'hôte en
batch à la place, au moment de votre choix. UPDHTTPLOG lit le fichier de log
système créé par le serveur Web, traduit les adresses IP en noms de domaine
et génère un nouveau fichier log contenant les noms traduits. Etudions de plus
près les caractéristiques de la commande UPDHTTPLOG.
par Dominique Douchet
Si le choix était à refaire 8 ans après, c'est encore à l'AS/400 en mode client/serveur
(choix audacieux pour l'époque) que Messieurs Reitz et Dutsh feraient confiance.
Ce qui pouvait sembler être un pari en 1992 s'est avéré être un choix stratégique
et une réussite pour la caisse Nationale des Entrepreneurs des Travaux publics
(CNETP).
Cet organisme, chargé de gérer les congés payés et le paiement des salariés privés
d'emploi du fait des intempéries dans le secteur des Travaux Publics a une tâche
de grande envergure puisqu'avec 130 employés, il gère 220000 salariés et 5500
entreprises cotisantes. Un système informatique performant est donc un élément
déterminant pour son bon fonctionnement.
Ce système informatique, qui datait des années 70, devenait alors obsolète, et
de moins en moins fiable, d'autant que de nombreux développements périphériques
s'étaient avérés nécessaires au cours des années pour s'adapter aux évolutions
du métier et aux exigences des utilisateurs. D'autre part, les échéances de l'an
2000 et du passage à l'Euro approchaient; il fallait donc repenser le système
d'information.
En 1991, la CNETP décide de la refonte totale du système. Il lui fallait alors
un système pouvant s'adapter très facilement aux diverses et nombreuses évolutions
législatives et professionnelles, un système qui s'adapte aux adhérents (et surtout
pas le contraire), et il lui fallait également aller plus loin dans les automatismes,
en privilégiant un faible coût de fonctionnement, même si l'investissement de
départ s'avérait un peu élevé, le système étant destiné à être exploité longtemps
(au final, le montant global du projet évoqué ici se situera tout de même aux
alentours de 60 à 70MF). La dissociation de la conception et de la réalisation paraît indispensable
pour conserver une plus grande indépendance
Monsieur Reitz, Directeur Informatique de la CNETP
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