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Bienvenue dans le 21ème siècle

Bienvenue dans le 21ème siècle

par Carson Soule
Maintenant que l'an 2000 est quasiment derrière nous et que nous entrons dans le 21ème siècle et le nouveau millénaire, je souhaiterais me retourner un instant sur 2000 et me demander "Que s'est-il passé ?" Mais peut-être devrais-je me demander " Que ne s'est-il pas passé ?"

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Optimiser les performances batch de l’AS/400

Optimiser les performances batch de l’AS/400

par Rick Turner
Structurer les applications et optimiser l'environnement d'exécution batch pour une efficacité maximale Au cours des derniers mois, je suis intervenu sur certains sites AS/400 qui devaient multiplier par cinq voire même 50 leur charge de travail batch en back office. Le premier cas concernait une application de paie devant traiter 500.000 employés alors qu'elle en traitait 100.000 auparavant. Pour le deuxième cas, il s'agissait d'une banque qui, par suite d'un regroupement, devait passer de 600.000 comptes à  30 millions. Dans les deux cas, le traitement des nouvelles charges de travail devait être effectué dans le même laps de temps qu'auparavant.

Pour atteindre leurs objectifs au niveau des temps de traitement, ces clients devaient modifier leurs programmes applicatifs pour qu'ils exploitent au mieux la puissance de l'AS/400. La méthode consistait à  utiliser plusieurs copies des jobs de traitement, chacune travaillant sur des parties distinctes des données en entrée, pour effectuer davantage de travaux dans le même temps et en mettant davantage la CPU à  contribution. C'est tout à  fait possible puisque l'AS/400 traite parfaitement plusieurs jobs à  la fois.

Pourtant, malgré les modifications, les utilisateurs ne parvenaient pas toujours à  pousser le débit de leurs applications batch jusqu'aux limites des ressources du système. Et donc, ils ne pouvaient pas tenir les délais alloués. D'où leur question, "Comment effectuer beaucoup plus de travail dans un laps de temps identique?"

On peut apporter deux éléments de réponse : Utiliser au maximum la CPU et utiliser le disque jusqu'aux plus hautes valeurs de seuil recommandées. Cet article explique quelques méthodes de traitement susceptibles d'améliorer le débit d'un travail en batch. Je propose quelques idées générales sur la manière de structurer une application et de créer un environnement d'exécution optimal (pour le matériel et le logiciel), afin de réaliser le maximum de travail utile dans le minimum de temps.

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Révolutionnez vos messages d’erreur avec les sous-fichiers de messages

Révolutionnez vos messages d’erreur avec les sous-fichiers de messages

par Mike Cravitz
Voici deux méthodes interactives, informatives et simples à  utiliser pour présenter des messages d'erreurVous est-il déjà  arrivé de ne pas vous souvenir de ce que quelqu'un vous avait dit, parce que l'information n'avait aucun sens ? De nombreux programmeurs AS/400 éprouvent la même chose avec les sous-fichiers de messages d'erreur. Souvent, quelqu'un (un consultant peut-être) fait irruption sur un site, installe des sous-fichiers de messages d'erreur dans l'un des programmes, puis disparaît. Les programmeurs qui viennent derrière cessent parfois d'utiliser les sous-fichiers, jugeant que cette technique n'a pas de sens.

Les sous-fichiers de messages d'erreur utilisent certainement des aspects de l'OS/400 (en particulier la messagerie) généralement mal maîtrisés par le programmeur AS/400 moyen. Mais leurs avantages (messagerie d'erreur plus interactive, informative et professionnelle pour les utilisateurs finaux) justifient les efforts consacrés à  les apprendre. Dans cet article, j'entends bien lever le mystère entourant les sous-fichiers de messages, pour que vous n'hésitiez plus à  en doter vos applications.

Les sous-fichiers de messages d'erreur utilisent des aspects de l'OS/400 généralement mal maîtrisés 

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Personnalisez SEU !

Personnalisez SEU !

par Vincent Taquin
Les commandes définies par l'utilisateur permettent d'optimiser l'éditeur de fichiers sources de l'AS/400L'utilitaire d'édition de sources de l'AS/400 (SEU : Source Entry Utility) n'est peut être pas le meilleur éditeur au monde, mais pour la plupart d'entre nous, c'est le seul disponible. Heureusement, depuis la V4R2, il est possible de personnaliser cet utilitaire en ajoutant des commandes à  celles déjà  fournies par SEU. Dans le présent article, j'explique comment créer des commandes définies par l'utilisateur pour SEU, et fournis plusieurs exemples de ces commandes. Les exemples fournis permettent d' : · appliquer une couleur (bleu, rose, rouge, turquoise, blanc, ou jaune) à  une ligne ou un bloc de lignes dans un membre source · effacer n caractères à  droite ou à  gauche d'un bloc de lignes · scinder le Facteur 2 étendu d'une ligne de calcul RPG ILE ou de scinder une ligne de commentaires En plus d'apporter de nouvelles fonctionnalités à  SEU, ces commandes donnent l'occasion de travailler avec les espaces utilisateur, les pointeurs, les programmes de service et les variables exportées.

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Windows 2000 et le TCO : les chiffres

Windows 2000 et le TCO : les chiffres

par Barrie Sosinsky
Des études récentes d'analystes sur le coût total de possession de Windows 2000 ont fait couler beaucoup d'encre. Le Gartner Group affirme que Windows 2000 est trop cher, tandis que le Giga Information Group prétend que c'est un investissement rentable. Les différences d'appréciation tiennent à  l'étude elle-même.

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Des clusters sous Linux très  professionnels

Des clusters sous Linux très professionnels

par Mireille Boris
Ce qui techniquement sépare les clusters sous Linux de ceux sous Unix devient aujourd'hui plus mince qu'une feuille de papier à  cigarettes…
Les premiers supportent désormais les versions parallèles d'Oracle et d'Informix, et passent au 64 bits. Leur philosophie : un coût moins élevé que celui des serveurs traditionnels, une mise en oeuvre simple et rapide, la progressivité des performances. Que demande le peuple?

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Quoi de neuf autour d’OLE DB dans la bêta de Client Access Express

Quoi de neuf autour d’OLE DB dans la bêta de Client Access Express

par Brant Klepel
Explorer les nouvelles fonctionnalités du middleware Client Access permettant d'accéder aux données dans la prochaine version de Express Au moment où vous lirez cet article, il sera possible de télécharger une version bêta de la nouvelle mouture de Client Access Express depuis l'adresse http://www.ibm.com/as400/clientaccess. Le nouvel Express promet d'apporter de nombreuses améliorations aux fonctions d'émulation PC5250, aux transferts de données et à  Operations Navigator ainsi que de nouvelles fonctions aux drivers ODBC et au provider IBMDA400 OLE DB, le middleware Client Access permettant d'accéder aux données. Dans le présent article, nous nous focaliserons sur les nouvelles fonctions OLE DB susceptibles d'aider les développeurs à  coder plus efficacement des fonctions d'accès aux données dans leurs applications.

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Bravo Domino Informatique !

Bravo Domino Informatique !

par Sabine Terrey
Depuis 1994, la société de services Domino Informatique développe, installe et maintient des logiciels de comptabilité et gestion dédiés aux agences de publicité. Composée aujourd'hui de 8 personnes, Domino Informatique connaît et maîtrise les difficultés propres à  la gestion des agences, elle fut d'ailleurs créée par des informaticiens issus de la publicité. La majorité de ses 35 clients se situe à  Paris. Domino Informatique conseille et accompagne les agences (information régulière, assistance, suivi personnalisé) et assure le suivi technologique (passage à  l'Euro, An 2000, Internet, Data Warehouse).

L'AS/400 est le support choisi pour les deux logiciels proposés par la société : Double-Sys et 3D. Double-Sys permet de gérer en temps réel le suivi administratif, financier et comptable de l'achat d'espace, de la production, de la trésorerie. Le logiciel 3 D (Domino Data Decisionnel) permet quant à  lui de passer de l'opérationnel au décisionnel et donne une nouvelle dimension à  Double-Sys.

Ce système ne nécessite aucune maintenance quotidienne et sauvegarde les données automatiquement sans intervention.

Le logiciel Double-Sys

- Fonctionnalités
Double-Sys permet :
· la gestion comptable : devis, factures, bons de commandes, règlements, suivis des écritures, travaux en cours, marges clients
· d'obtenir les résultats à  tout moment :devis, factures, bons de commandes, règlements, suivis des écritures, travaux en cours, marges clients
· une aide à  la décision : prévisions budgétaires, synthèse de trésorerie, tableaux financiers

- Modules
Le module Dossier gère au quotidien
· les clients (devis et factures)
· les fournisseurs (commandes et factures)
· les notes de frais et les temps passés

Les modules Comptabilité et Trésorerie, multi sociétés, multi exercices et multi périodes permettent le règlement des clients et des fournisseurs par lettrage, la gestion automatique de la TVA, la gestion de la trésorerie, l'importation et l'exportation des données sur micro.

Les compétences de Domino Informatique

· La société propose son savoir-faire aux agences de publicité, de marketing direct, de promotion, aux sociétés d'édition, de design ou d'achat d'espace.
· Services : formation à  l'utilisation des matériels, formation à  l'utilisation des logiciels, assistance sur site, télé-assistance.
· Matériel informatique : multi plates-formes (IBM et Mac), mini ordinateurs IBM, micro ordinateurs (IBM et Mac), Intranet/Internet
· Communications : connexions ou liaisons homogènes, connexions ou liaisons hétérogènes, traitements associatifs (client-serveur)
· Applicatif général : gestion commerciale, gestion des dossiers techniques, gestion des achats et des ventes d'espace, comptabilité, gestion de la prospection
· Stratégies : conseil, schémas directeurs, suivi de projets, audit

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Jeune et déterminée

Jeune et déterminée

par Isabelle Nougier
Le marché des logiciels libres croit évidemment de façon vertigineuse ces derniers temps, et des sociétés comme IdealX apparaissent aujourd'hui sur le devant de la scène pour promouvoir ces logiciels libres et accompagner les entreprises dans leurs projets Open Source

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Optimiser les performances batch de l’AS/400, 2e partie

Optimiser les performances batch de l’AS/400, 2e partie

par Rick Turner
Il faut structurer les applications et optimiser l'environnement d'exécution batch pour obtenir une efficacité maximale Dans le précédent numéro de SYSTEMS Journal, nous avons vu plusieurs méthodes permettant d'améliorer les performances du traitement base de données du batch. Poursuivons cette discussion, et examinons d'autres possibilités.

SMP peut faire gagner énormément de temps

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Préparer le passage à  Windows 2000 Professionnel

Préparer le passage à  Windows 2000 Professionnel

par John Ruley
La compatibilité, les configurations hardware minimum et la facilité de mise à  jour font partie des sujets d'interrogation communs avant le passage à  Windows 2000 Professionnel. Cet article répond aux 8 questions qui reviennent le plus souvent concernant la transition à  Windows 2000 Professionnel.

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Dopez vos traitements de dates avec les champs nuls

Dopez vos traitements de dates avec les champs nuls

par David Robertson
La valeur "null" constitue un nouvel et puissant outil demanipulation de dates en RPG Depuis la V3R7, l'OS/400 accepte une nouvelle valeur pour les champs d'une base de données : null. En vous offrant un moyen solide et élégant de traiter de futures dates, cette valeur facilite l'utilisation pratique du type de donnée date. Dans cet article, j'expose différentes raisons d'utiliser une date nulle, montre comment définir des dates nulles et explique comment les traiter dans des fichiers logiques, des DFU (Data File Utility), des requêtes et le langage RPG IV.

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Premier de cordée

Premier de cordée

par Samy Mosimann
En quelques années, le Groupe Mutuel s'est hissé au premier rang des assureurs maladie de Suisse romande. Son ascension mérite que l'on s'y arrête.

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Un regard neuf sur CODE/400

Un regard neuf sur CODE/400

par Sharon L. Hoffman
CODE/400 a évolué tranquillement, pour devenir un puissant outil de développement AS/400 La plupart des programmeurs AS/400 continue de développer du code en se servant d'outils conçus pour les écrans passifs, notamment SEU et SDA.
Ces outils leurs sont familiers; ils sont disponibles sur tous les systèmes de développement, et ils remplissent parfaitement bien leur rôle. Même si
l'affirmation est exacte, la recherche d'autres outils peut s'avérer judicieuse. En 1988, lorsque IBM a lancé l'AS/400, ses outils de programmation
destinés à  des écrans passifs faisaient partie du haut de gamme. Mais les temps changent. Les programmeurs AS/400 se tournant vers de nouvelles
méthodes de développement comme Java, de nouveaux outils de programmation deviennent indispensables. Ce besoin débouche sur la motivation de
réévaluer également les outils de programmation utilisés pour les développements classiques.
Lorsque j'ai commencé à  travailler fréquemment avec Java, j'ai décidé d'utiliser un simple éditeur de texte plutôt que l'un des IDE (Integrated
Development Environments), comme JBuilder d'Inprise ou VisualAge for Java d'IBM. Un candidat évident m'est immédiatement venu à  l'esprit :
CODE/400 d'IBM (parmi les alternatives possibles, citons entre autres Flex/Edit d'Aldon).
CODE/400 présente de nombreux avantages par rapport à  un éditeur de texte générique pour PC, tel que le Bloc Notes. En effet, CODE/400 inclut des
fonctions de suggestion et de vérification syntaxique pour tous les langages qu'one st susceptible d'utiliser. De ce fait, il n'y a pas besoin d'apprendre à 
utiliser plusieurs outils. Il prend également en charge les lignes de commande SEU, ce qui raccourcit la courbe d'apprentissage. En outre, IBM fournit
gracieusement une version de démonstration avec des restrictions minimes et pouvant être téléchargée, ce qui permet de tester soigneusement CODE/400 avant d'acheter la version complète. (Pour de plus amples informations sur les restrictions de la version de démo et les sites de téléchargement, voir l'encadré "Démo CODE/400").
Lorsqu'IBM a lancé CODE/400, en 1992, j'ai étudié le produit et en l'ai plutôt écarté.
En effet, bien que surprenante, la version initiale de CODE/400 avait deux défauts majeurs : elle n'était disponible que sous OS/2 et elle était excessivement onéreuse. Lorsque la version Windows a été mise sur le marché, quelques années plus tard, ces défauts étaient toujours présents : trop cher et bien que tournant sous Windows, toujours le "look and feel" OS/2.
Cependant, lorsqu'à  la mi-97 j'ai assisté à  une démonstration des nouvelles possibilités du produit, j'ai dû revoir ma première impression. Depuis lors, IBM a même rajouté de nouvelles fonctions à  CODE/400. En outre, une nouvelle version est attendue au courant de cette année.

Si vous n'avez pas suivi l'évolution de CODE/400 récemment, vous y trouverez un intérêt. Pour vous aider à  le maîtriser, j'en présente ici brièvement les fonctions et les caractéristiques, et signale également certaines astuces permettant de gagner du temps, et les défauts que j'ai découvert.
Je vous recommande vivement d'assister à  une démonstration ou à  un atelier CODE/400 si vous en avez l'opportunité. CODE/400 est si différent des outils pour écrans passifs bien connus de la majorité des programmeurs AS/400 qu'il faut le voir en action pour se rendre compte de ses qualités. (Pour une la liste des ressources complémentaires traitant de CODE/400, consultez l'encadré "Autres ressources").

Lorsqu'à  la mi-97 j'ai assisté à  une démonstration du produit, j'ai dû revoir ma première impression

Démo CODE/400

On peut télécharger des versions d'évaluation de VisualAge RPG (VARPG) et de CODE/400 ainsi que les instructions sur le téléchargement et l'installation du code depuis le site Web d'IBM, à  l'adresse http://www

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Comment manipuler ses données à  distance

Comment manipuler ses données à  distance

Par Sabine Terrey
La société Pourkoipa, créée en 1989, appartient à  100% au groupe Danel, le leader des imprimés de gestion en Europe. Les activités de Pourkoipa couvrent trois domaines bien précis : l'impression numérique, le prépresse, le multimédia. Il faut toutefois noter que depuis novembre 2000, le volet multimédia fait désormais partie intégrante d'une seule et unique société : C-sium. Cette SSII orientée Internet appartient au groupe Danel et au groupe Staci. C-sium compte aujourd'hui 50 collaborateurs, et propose une activité de front office orientée Web, et une activité back office orientée SAP.

Il s'agissait en quelque sorte de connecter des systèmes d'informations hétérogènes et de s'attacher ensuite à  la migration en elle-même

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L’administration de l’AS/400 avec SNMP

L’administration de l’AS/400 avec SNMP

par Mel Beckman
Suivre les performances, les événements et les configurations à  distance, en utilisant SMNP (Simple Network Management Protocol) La plupart des gens qui entendent parler de l'administration de l'AS/400 à  distance pensent immédiatement à  OpsNav (Operations Navigator). Effectivement, OpsNav permet d'effectuer à  distance une large gamme de tâches administratives : reconfiguration de l'OS/400, démarrage et arrêt des services, et manipulation des files d'attente de jobs et d'imprimantes. Pourtant, si OpsNav est un excellent outil pour contrôler un AS/400 à  distance, ce n'est pas vraiment un outil d'administration à  distance si, par administration, on entend : suivre les performances, surveiller les valeurs système sensibles et réagir à  des événements imprévus. Pour vraiment administrer ou gérer un système, il faut considérer son comportement vis à  vis de l'ensemble du réseau, y compris de nombreuses unités non-AS/400, comme des commutateurs LAN, des routeurs et des serveurs Windows.
Il est clair qu'OpsNav ne se hisse pas à  ce niveau. Heureusement, l'OS/400 supporte le protocole d'administration à  distance le plus répandu : SNMP (Simple Network Management Protocol). C'est un standard ouvert, hétérogène, qui permet de collecter des statistiques de performances, suivre des événements et contrôler des unités à  distance. Comme SNMP est ouvert, les développeurs de produits SNMP disposent d'un marché qui dépasse largement les simples utilisateurs d'AS/400, d'où une concurrence féroce entre les produits. Le vainqueur c'est vous : avec un large éventail d'outils logiciels SNMP proposé. Entrons dans les arcanes de SNMP " générique " et de SNMP sur l'AS/400, puis intéressons-nous à  quelques produits SNMP.

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Améliorer SQL/400 avec des fonctions définies par l’utilisateur

Améliorer SQL/400 avec des fonctions définies par l’utilisateur

par Michael Sansoterra
Les UDF permettent de créer une logique personnalisée et centralisée à  l'intérieur d'instructions SQL SQL est un langage de requêtes puissant. Bien souvent, il peut extraire des données et être codé plus rapidement qu'un programme en langage de haut niveau (HLL : High-Level Language). Malheureusement, SQL/400 a toujours souffert d'une importante lacune par rapport aux programmes HLL : il n'offrait pas la capacité de créer une logique spécialisée et centralisée à  l'intérieur d'instructions SQL. Avec la V4R4, IBM y remédie par l'utilisation d'UDF (User-Defined Functions).

Les fonctions SQL se déclinent de 2 façons

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Linux : anatomie

Linux : anatomie

par Xavier Facélina
Cet article aborde le système Linux non pas par son histoire ou par son positionnement philosophique, politique ou économique, mais par sa structure technique. En traitant différents aspects de Linux, en allant du plus proche de la machine au plus éloigné, nous devrions arriver à  une compréhension globale de ce qu'est réellement Linux. Au coeur du système : un noyau (kernel). Tout est là . Linux s'articule tout entier autour de ce noyau dont le développement est réalisé par la communauté des kernel-developers, sous l'oeil vigilant de Linus Torvald en personne.

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Sécurité et packages applicatifs

Sécurité et packages applicatifs

par Patrick Botz
Le package applicatif de votre fournisseur est-il compatible avec vos exigences en matière de sécurité ? Voici 11 questions et leurs réponses, qui vous aideront à  le déterminer. Face aux nombreux éditeurs de logiciels applicatifs, on risque fort d'en rencontrer un (si ce n'est déjà  fait…) qui connaît peu la sécurité, ou qui l'ignore purement et simplement. Mais comment protéger le système et les données contre des fournisseurs laxistes ? Premièrement, ne partez pas du principe que le fournisseur comprend la sécurité, même s'il vend lui-même des produits de gestion de sécurité ! Ensuite, sachez que sauf si vous êtes sur le point d'acheter du logiciel à  un fournisseur, vous n'avez pas beaucoup de moyens pour l'amener à  respecter vos règles de sécurité.

La sécurité et l'intégrité du système sont finalement de votre propre responsabilité. Pour les assumer, il faut comprendre les ramifications du logiciel, en matière de sécurité. Il faut savoir comment les éditeurs réalisent leurs applications et comprendre le modèle de sécurité utilisé. Pour cela, il faut interroger les éditeurs pour déterminer leur degré de connaissance des sécurités et pour voir si leur modèle de sécurité applicative est en harmonie avec le ou les modèles de sécurité en vigueur sur votre système.

Pour vous aider à  trier le bon grain de l'ivraie, j'ai dressé une liste de questions à  poser aux fournisseurs d'applications. Chaque question est suivie d'une explication, d'une description de réponse rationnelle, et des mesures supplémentaires à  prendre pour s'assurer que les programmes du fournisseur ne contourneront pas votre politique de sécurité. Ce jeu de questions n'est nullement exhaustif, mais il comporte quelques points importants.

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Windows 2000 Datacenter Server : une démarche nouvelle chez Microsoft

Windows 2000 Datacenter Server : une démarche nouvelle chez Microsoft

par Christophe Boulan
Avec Windows 2000 DataCenter, Microsoft entend jouer dans la cours des grands d'où le narguaient jusqu'à  présent les systèmes mainframes, les grands UNIX et les AS/400. Mais pour cela, il ne suffit pas de créer un Windows 2000 plus puissant. Microsoft a du revoir notamment ses systèmes de certification et son approche des services de support afin de répondre aux besoins des applications stratégiques des grands comptes. Une véritable révolution culturelle pour Microsoft.
à‡a y est ! Microsoft a désormais lancé toute la famille Windows 2000 32-bit avec la sortie de Windows 2000 Datacenter Server. Datacenter s'appuie sur les fonctions de Windows 2000 Advanced Server, auxquels s'ajoutent toutes les corrections de bugs du Service Pack 1, ainsi que le support de 64 GO de RAM, des processeurs 32-bit, du clustering à  2 et 4 noeuds, du partitionnement et de l'équilibrage de la charge réseau. Windows 2000 Datacenter est destiné aux entreprise engagées dans l'e-commerce, aux ASP (Application Service Providers) et autres clients haut de gamme à  le recherche de fiabilité et de disponibilité. Datacenter Server est la première véritable entrée légitime de Microsoft sur un marché dominé par les gros bras.

Longtemps, Microsoft s'est fait l'avocat d'un modèle d'entreprise du type de celui de Windows 2000 et Windows NT : distribué. Windows 2000 Datacenter associe les avantages de la montée en charge horizontale (par ajout de serveurs) de Windows 2000, avec un modèle plus traditionnel de croissance verticale - un gros serveur avec de fortes capacités d'évolution en multiprocesseur. Avec Datacenter, Microsoft espère gagner enfin la crédibilité qui lui est refusée depuis l'annonce initiale de Windows NT. (L'image de Windows NT a souffert de défauts et de limitations parfois véritables, parfois perçues.) Mais pour atteindre cet objectif, il ne suffit pas de construire un Windows 2000 plus gros. Pour répondre aux exigences de clients haut de gamme, dont bon nombre n'auraient certainement pas fait confiance à  Windows 2000 autrement, Microsoft a créé un programme de tests de fiabilité baptisé Windows 2000 Datacenter Program, pour s'assurer que Datacenter ne sera installé que sur des configurations intégralement testées et validées.

La clé du programme est le Hardware Compatibility Test (HCT) que chaque machine compatible Datacenter doit passer


La clé du programme est le Hardware Compatibility Test (HCT) que chaque machine compatible Datacenter doit passer. Dès lors qu'un matériel a passé cette batterie de tests rigoureux (voir l'encadré " HCT : une certification matérielle spécifique "), Microsoft certifie sa compatibilité avec Datacenter et le place sur la liste de compatibilité matérielle (HCL) de Windows 2000 Datacenter, disponible sur le site Web de Microsoft. De par la rigueur des tests pratiqués, les produits de la HCL de Datacenter ne sont qu'un sous-ensemble des HCL des autres versions de Windows 2000. Les systèmes Datacenter doivent garantir au moins 99,9 % de disponibilité et les constructeurs qui vendent de tels systèmes doivent fournir régulièrement à  Microsoft des rapports de disponibilité et autres statistiques. De plus, les systèmes Datacenter doivent pouvoir supporter au moins 8 processeurs, même s'il peuvent être livrés avec seulement 1 processeur. Le système de licences est basé sur le nombre de processeurs que le système peut supporter et il faut acquérir des licences d'accès client séparément.

Certes, Windows 2000 Datacenter semble en mesure de pouvoir résoudre bon nombre des problèmes de montée en charge non résolus par les grandes entreprises utilisant Windows 2000. Mais reste à  savoir si le produit pourra réussir sa percée sur ce marché haut de gamme. Il sera intéressant de voir quelle plate-forme les entreprises choisissent au fur et à  mesure que Windows 2000 monte en puissance.

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