
Domino et IFS
par Jim Hoopes
Un tandem qui permet de travailler avec diverses plates-formes, donne un accès rapide aux bases de données iSeries, et bien plus…
Pour l'iSeries, Domino est une technologie clé qui a beaucoup contribué au succès de la plate-forme sur le marché. Domino a pour principal atout d'être une solution multi plates-formes, lesquelles plates-formes coexistent réellement. On peut exécuter un serveur Domino sur Windows NT, par exemple, et il fonctionnera bien avec un serveur Domino sur l'iSeries. IFS permet une telle coexistence pacifique parce que, contrairement aux don-nées dans les bibliothèques iSeries, la plupart des données Domino existent dans des fichiers stream (fichiers graphiques, fichiers de traitement de texte, par exemple). Comme une base de données Domino se présente à peu près sous la même forme sur un iSeries et sur un PC, on peut déplacer les bases de données sans perdre aucune fonctionnalité. En fait, bien que la plupart du code qui anime Domino réside dans des bibliothèques iSeries traditionnelles (par exemple, des centaines de pro-grammes et de modules se trouvent dans la bibliothèque QNOTES, la bibliothèque QNOTESINT contient le logiciel d'intégration Domino iSeries), l'accès à tous les objets Domino se fait via l'architecture IFS. En utilisant IFS, Domino évite les performances médiocres associées aux applications non iSeries accédant à des données dans des bibliothèques iSeries ou dans le système de fichiers hiérarchique. On doit à IFS l'un des principaux attraits de Domino sur l'iSeries : l'évolutivité.
En effet, sans IFS, Domino sur l'iSeries n'aurait pas obtenu un résultat record de performances dans un audit 2000 conduit par IBM (pour plus d'informations, visiter le site http://www-1.ibm.com/servers/eser-ver/iseries/domino/scalerecord.htm).
Un iSeries modèle 840 a traité 75.000 utilisateurs de courrier Notes Bench R5 avec un temps de réponse d'un quart de seconde environ - soit 10 fois plus d'utilisateurs que le plus grand serveur Sun était capable de traiter, cinq fois que le plus grand système Compaq, et la moitié du temps de réponse de l'un ou l'autre concurrent. Le dernier audit est encore plus impressionnant : un modèle 840 a traité 100.500 utilisateurs de Notes Bench R5 avec un temps de réponse moyen de 67 millisecondes, soit quatre fois plus vite que l'audit de l'année précédente.
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Virtual Library Manager (VLM)
Easycom for PHP est un module chargé dynamiquement par PHP, il n'est donc pas nécessaire de le compiler avec PHP.
Il comporte un ensemble de fonctions pour accéder aux bases de données et aux ressources AS/400 en mode natif, depuis des applications Web.
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Comment utiliser en natif l’AS/400 server avec Domino
Moyennant une configuration simple, on peut utiliser l'AS/400 HTTP Server pour servir un contenu Domino
par Jim Hoopes
Je me considère comme l'un des plus grands fans de Lotus Domino, particulièrement sur l'iSeries. C'est une superbe combinaison pour de nombreuses raisons, mais avec un bémol : dans une certaine mesure, Domino existe dans un univers qui lui est propre sur l'iSeries. On peut intégrer Domino avec RPG et accéder aux bases de données AS/400, entre autres options d'intégration. Cependant, le serveur Domino HTTP est une fonction entièrement séparée du serveur Web natif de l'AS/400.
Cette relation a souvent causé des problèmes. Ainsi, de nombreux sites ont initialement créé des sites Web en utilisant le serveur natif, mais quand ils ont commencé à utiliser Domino, ils ont constaté qu'il était difficile d'utiliser les serveurs Domino et HTTP natif en même temps. Ce n'est pas impossible mais c'est difficile et en tout cas, source de nombreuses questions.
Dans Domino version 5.4, Lotus et IBM ont répondu à ce problème en modifiant Domino afin qu'il puisse utiliser le AS/400 HTTP Server natif pour servir le contenu Domino. (Domino a une possibilité similaire sur la plate-forme Windows NT 2000 pour Microsoft IIS.) Cet article explique comment installer cette possibilité sur l'AS/400. Malgré quelques petites difficultés en cours de processus, si vous avez déjà essayé d'utiliser les deux serveurs Domino et HTTP en même temps, vous conviendrez aisément que cette nouvelle méthode est nettement plus simple. Toutefois, avant de décider si cela convient à votre environnement, il faut être conscient de quelques limitations.
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La métamorphose
Plus de souplesse, moins de restrictions contractuelles, une écoute plus attentive… avec IGS le métier d'IBM change. Denis M. Welsh, Senior Vice-président et directeur Exécutif du groupe IBM Global services s'adresse à ses troupes: “ Chaque jour, nos associés, fournisseurs, analystes et surtout nos clients nous demandent : Qui êtes-vous ? Quels sont vos objectifs ? Pourquoi êtes-vous meilleurs ? ” Une fois encore, on sent dans cette lettre que IBM Global Services (IGS) doit surmonter un problème d'image, comme c'est le cas pour le groupe des serveurs IBM.
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Passer l’an 2000 sans souci avec JBA Presys
Avec « 21 Online », JBA Presys aide les PME/PMI à passer l'an 2000 et à prendre en compte l'euro. Cette offre d'urgence, à prix et délai réduits, est annoncée à l'occasion de Progiforum. Installée dans l'entreprise avant la fin de l'année, elle peut être complétée par une deuxième phase plus complète, suivant une méthodologie classique. Diverses enquêtes ont montré que de nombreuses PME/PMI ne sont pas prêtes pour affronter l'an 2000. Outre les problèmes de date, pour la plupart d'entre elles, l'euro représente un souci supplémentaire, qu'elles ne savent pas comment résoudre. Ces entreprises se retrouvent souvent sans solution, car les prestataires leur ont fait faux bond pour cause de surcharge de travail. C'est pour ces PME/PMI, de 80 à 400 MF de chiffre d'affaires, que l'éditeur de progiciels de gestion, JBA Presys, a conçu son offre « 21 Online ».
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Danone se dote d’un système de reporting transfrontière via intranet
Grâce à un nouveau système, mis en place par l'intégrateur OSIS, les 200 managers commerciaux du groupe Danone, accèdent via l'intranet, à des tableaux de bords en temps réel et peuvent ainsi renégocier plus facilement des contrats avec les distributeurs.
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Applications CRM et Web-to-Host
ICOM Informatique complète son offre Web-to-Host et annonce la disponibilité du produit Winsurf Mainframe Studio (WMS), solution de publication des applications centrales IBM S/390, AS/400 et Bull sur le Web.
WMS est un atelier de développement qui permet notamment de valoriser les applications existantes en présentant les écrans IBM 3270, 5250 et Bull DKU 7107 avec une interface graphique ergonomique pour une intégration dans des architectures Intranet/Extranet et Internet.
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Dimensionner son AS/400 pour Lotus Notes/Domino
par Wilfried Blankertz
Avant d'utiliser Lotus Notes ou Domino sur un AS/400, certains se demanderont
peut-être lequel des nombreux modèles de la gamme (AS/400e et iSeries 400) est
le mieux adapté au logiciel. C'est ainsi qu'un client m'a demandé " Nous serons
120 utilisateurs de Notes. Quelle taille d'AS/400 nous faut-il ? "
J'ai répondu malicieusement, " prenez le plus petit ". Ensuite, face au regard
incrédule du client, j'ai expliqué : " vous ne m'avez pas dit ce que les utilisateurs
allaient faire, et à quelle fréquence. J'ai donc supposé qu'ils ne feraient rien
et qu'ils ne soumettraient aucune charge au système ". Après cette boutade, j'ai
analysé la situation du client et lui ai répondu plus sérieusement.
On peut se surprendre à rêver d'une table dans laquelle on trouverait facilement
le processeur AS/400, la taille mémoire, et les unités disques nécessaires pour
servir correctement 120 utilisateurs ! Malheureusement, ce n'est pas si simple
: le nombre d'utilisateurs n'indique absolument pas le nombre de tâches que chacun
d'eux exécutera. De plus, Lotus Notes et Domino ont tellement de possibilités
que la complexité des applications peut varier à l'extrême. Il est difficile de
connaître la quantité de ressources que chaque tâche exigera du serveur.
Un excellent outil, le Workload Estimator for AS/400, automatise le dimensionnement
du serveur pour Notes/Domino et pour de nombreux autres types d'applications.
Avant de parler du Workload Estimator, commençons par examiner le processus de
dimensionnement du serveur.

Changer les mots de passe sur le Web
par Paula Sharick
Les utilisateurs connectés localement peuvent facilement changer de mot de passe
via l'interface Windows. Avec l'authentification intégrée Stimulation/Réponse
de Windows NT, ou Digest, l'utilisateur peut se connecter à un système supportant
Microsoft Internet Explorer et la méthode d'authentification.Avec les utilitaires Windows standard l'utilisateur peut changer directement un
mot de passe par l'interface Windows pendant la session ouverte. Les utilisateurs
déconnectés du réseau une partie du temps peuvent changer leurs mots de passe
pendant la session ouverte suivante.
Mais avec l'authentification de base, ou quand il s'agit de mettre en oeuvre une
interface de changement de mot de passe basée sur navigateur Web pour les utilisateurs
d'une méthode d'authentification d'un système d'exploitation, il n'existe aucun
moyen facile permettant aux utilisateurs de changer leur mot de passe. Dans ce
cas, les Active Directory Service Interfaces (ADSI) de Microsoft, ainsi qu'un
code simple à utiliser, fournissent aux utilisateurs une interface pour changer
de mot de passe.

Windows 2000 Datacenter : Microsoft change de braquet
Propos receueillis par Benoît Herr
Windows 2000 Datacenter Server est le plus puissant et le plus riche des systèmes
d'exploitation serveurs jamais mis sur le marché par Microsoft. Il supporte des
architectures jusqu'à 32 processeurs en SMP, et jusqu'à 64 Go de RAM. Il intègre
le clustering à 4 noeuds et l'équilibrage de charges en standard. Sa configuration
matérielle minimale est un octoprocesseurs équipé de Pentium III Xeon ou mieux,
avec 256 Mo de RAM et 2 Go de disque, le minimum d'espace libre étant fixé à 1
Go. Bref, il est conçu pour les entreprises ayant besoin de systèmes d'information
haut de gamme très fiables.
Autant dire qu'avec ce système d'exploitation Microsoft change de braquet.Laurence Ayache, Chef du programme Windows 2000 Datacenter chez Microsoft France,
a accepté de répondre à nos questions.

Vous pensiez connaître les overrides de fichiers ?
par Gary Guthrie
« Essaie donc d'utiliser OvrScope(*Job) »
Combien de fois vous a-t-on donné ce conseil quand un override (substitution ou remplacement, ou écrasement) de fichier ne fonctionnait pas comme prévu ? Modifier l'application pour utiliser un override au niveau du job peut produire les résultats attendus, mais cela revient un peu à remplacer le moteur d'une voiture parce qu'il a détérioré une bougie.
Bien entendu, avec un moteur flambant neuf, la voiture fonctionnera à nouveau parfaitement. En revanche, un override au niveau du job ne produira pas forcément les résultats attendus, selon la conception de l'application. Et, même si l'application fonctionne aujourd'hui, un override malencontreux au niveau du job associé à des modifications risque de poser des problèmes d'application à l'avenir.
Si vous envisagez de sauter cet article parce que vous croyez tout savoir déjà sur les overrides de fichier, réfléchissez-y à deux fois ! Je connais beaucoup de programmeurs, dont certains sont excellents, qui croient sincèrement comprendre cette puissante fonction de l'OS/400 - après tout, voilà des années qu'ils pratiquent l'override dans leurs applications. Mais je ne connais personne qui domine vraiment le sujet. Par conséquent, poursuivez la lecture, étonnez-vous, et apprenez une fois pour toute comment le système traite les overrides de fichier. Puis, mettez cette connaissance en pratique pour tirer le maximum des overrides.
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Exchange 2000 SP1 sur Datacenter
par Jerry Cochran
La
release du premier service pack de Microsoft Exchange 2000 Server, prévue
en juin 2001 par Microsoft, présente une caractéristique qui va bien au-delà
de simples corrections de bogues mineures ...
Comment tirer profit du Datacenter pour déployer Exchange.La release du premier service pack de Microsoft Exchange 2000 Server, prévue en juin 2001 par Microsoft, présente une caractéristique qui va bien au-delà de simples corrections de bogues mineures. Dans Exchange 2000 Enterprise Server Service Pack 1 (SP1), Microsoft offrira le support de Windows 2000 Datacenter Server pour Exchange 2000. C'est l'automne dernier que Microsoft a livré Datacenter, promesse de solution totale pour le déploiement en Datacenter des OS et des applications de Microsoft. La release du support de Datacenter pour Exchange 2000 pose deux questions : comment Exchange 2000 tirera-t-il profit de Datacenter et cela fera-t-il vraiment une différence dans le déploiementss d'applications critiques de votre entreprise ?

La V5R1 au microscope
Il est clair que la V5R1 est une release massive qui donne à l'iSeries 400 tous les moyens de lutter sur un large éventail de marchés, jugés jusque-là hors d'atteinte.
Certaines des fonctions de la V5 passées à la loupe ...
par Sharon Hoffman
A partir du numéro de juillet de NEWSMAGAZINE, nous avons largement couvert l'annonce du matériel iSeries 2001 d'IBM et la nouvelle release de l'OS/400 qui l'accompagne, la V5R1. La couverture précédente de ce sujet étant très complète, je n'ai pas l'intention de récapituler ici toute l'annonce (on trouvera la liste de la couverture des annonces de la V5R1 à l'adresse http://www.as400network.com/news/nwn/v5r1_announcements.cfm). Je préfère me concentrer sur un petit nombre de points clés et juger de leur importance pour les clients iSeries existants. (Une brève liste des principaux éléments de cette annonce se trouve dans l'encadré intitulé « Points forts de l'annonce de la V5R1 », page XX.)
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Administration centralisée : la priorité de l’AFORP
Par Sabine Terrey
L'AFORP opte pour la solution HP OpenView Express pour résoudre son souci d'administration
centralisée
Qu'est-ce que l'AFORP ?
Fondée en 1961 par le GIM (Groupe des Industries Métallurgiques), qui regroupe
3.000 entreprises, l'AFORP propose aux entreprises des personnels qualifiés et
compétents, et répond aux besoins d'insertion professionnelle des jeunes. Cette
association pour la formation professionnelle des salariés des entreprises métallurgiques
prépare en quelque sorte l'avenir de l'activité industrielle et des emplois dans
la région Ile-de-France, et fait partie du réseau des CFAI (Centres de Formation
d'Apprentis de l'Industrie).
L'AFORP en quelques chiffres…
ce sont 2 millions d'heures stagiaires par an, 2.500 jeunes de moins de 25 ans
préparant 39 diplômes, du CAP au BTS, 300 personnes sur 7 sites en région parisienne,
et des formateurs dispensant un enseignement professionnel et général (formation
par alternance ou formation continue). En 1999, près de 1.200 entreprises ont
fait appel à l'AFORP pour la formation de leurs apprentis.
L'AFORP a une offre très diversifiée, qui se caractérise par un large éventail
de formations industrielles, l'opérationnalité des formations, et l'adaptation
des formations aux réalités industrielles. L'AFORP peut également personnaliser
les programmes en fonction des besoins de chaque entreprise.
En ce qui concerne l'environnement informatique, l'AFORP fournit à l'ensemble
de son personnel et des gens formés un ensemble de ressources locales (outils
bureautiques et logiciels métiers), un accès à des bases de données internes,
pédagogiques notamment, un Intranet supportant la messagerie et un accès à Internet.
L'AFORP fournit à l'ensemble de son personnel et des gens formés des ressources
informatiques locales (outils bureautiques et logiciels métiers), un accès à des
bases de données internes, un Intranet et un accès à Internet
Domaines d'activité de l'AFORP : L'AFORP intervient dans les domaines suivants : - conception, études - plastiques et composites - analyse physique - outillage - productique, mécanique - structures métalliques - soudage - télécommunications - électronique - électrotechnique - systèmes de production - maintenance - technico-commercial - comptabilité, gestion bilingue allemand - exploitation industrielle - qualité et contrôles - informatique de gestion |

Focus : le grand jeu
par Benoît Herr
Focus 2000 : une conférence des utilisateurs de JDEdwards placée sous le signe
du foisonnement à l'excès
Comme nous vous l'annoncions déjà dans notre éditorial de l'été, la conférence
des utilisateurs de logiciels JDEdwards qui s'est tenue à Denver (Colorado) du
19 au 22 juin dernier a été un franc succès. Il faut dire que l'association Quest,
organisatrice de l'événement et largement épaulée par l'éditeur, avait déployé
le grand jeu : introduction de la conférence appuyée par le Colorado Symphony
Orchestra aux accents de ce cher Ludwig Van Beethoven (traîtreusement et à maintes
reprises interrompu d'ailleurs : une hérésie totale pour le mélomane que je suis.
Eh oui, c'est aussi cela, les Etats Unis !), intervention de Bill Gates en personne,
plusieurs motos Harley Davidson et voitures Volvo à gagner, et, en point d'orgue
un gigantesque concert de la chanteuse de rock tendance Rythm'n Blues Bonnie Raitt.
Si cette dernière n'est que peu connue en Europe, même si l'on commence à voir
apparaître certains de ses enregistrements dans les bacs, il en va tout autrement
de l'autre côté de l'Atlantique, et plus particulièrement à l'ouest des montagnes
rocheuses, où elle bénéficie d'un renom important.
Au total, ce sont près de 8000 personnes qui avaient fait le déplacement de Denver,
un chiffre jamais atteint auparavant.
L'assistance de cette conférence se composait quant à elle de clients, de prospects
(700 selon JDE), de partenaires, mais aussi d'investisseurs effectifs ou potentiels,
d'analystes et de représentants des media. Au total, ce sont près de 8000 personnes
qui avaient fait le déplacement de Denver, un chiffre jamais atteint auparavant.
Les organisateurs de la manifestation sont contractuellement liés au centre de
conférences de Denver pour encore deux ans, mais si le nombre des participants
continue d'augmenter à ce rythme, ils se verront contraints de quitter la ville
natale de l'éditeur pour gagner l'une des rares villes des USA capables d'absorber
des manifestations de grande envergure, comme CA World à la Nouvelle Orléans,
par exemple.
Outre les locaux de l'étape, il y avait là des européens bien sûr, mais aussi
des coréens, japonais, singapouriens, australiens, néo-zélandais, et des citoyens
de plusieurs dizaines d'autres nations. L'exposition, indissociable de ce genre
d'événement, comptait plus de 200 exposants, soit à peu près le même nombre que
les sessions de formation, qui se subdivisaient en douze filières.

Le Web selon SilverStream 3.0
On confond trop souvent les serveurs d'applications avec de simples serveurs Web. Souvent aussi les serveurs d'applications sont déclarés inutiles puisque l'emploi d'un serveur Web tel qu'Apache et des langages tels que PERL, PHP ou Java permettent de développer n'importe quel site Internet avec la même efficacité. Mais qu'est ce qui pousse certaines entreprises à dépenser des dizaines (voire des centaines) de milliers de francs pour l'acquisition d'un serveur d'application ? La meilleure façon de répondre à ces questions est de passer en revue les services offerts par un des serveurs d'applications les plus connus : SilverStream.
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Utiliser des prédicats quantifiés de SQL
par Mike Cravitz
Dans un précédent article de cette série (" Prédicat Between et sous-requêtes
SQL ", NEWSMAGAZINE, septembre 2000), j'ai présenté le concept d'une sous-requête
et montré comment en utiliser une avec un prédicat simple. L'instruction Select
suivante est un bon exemple de requête utilisant un tel prédicat.

Je ne savais pas que CHGPF pouvait faire tout ça !
par Keith Snively
La prochaine fois qu'il faudra mettre à jour des fichiers, souvenez-vous de
la commande CHGPF, qui ajoute, modifie et supprime automatiquement des champs
d'un fichier physique.
Nous aimerions tous éviter les ajouts, modifications et suppressions des champs
de fichier physique. Malheureusement, c'est parfois inévitable. Tout le monde
a déjà passé des week-ends à supprimer et à recréer des fichiers logiques, à
" remapper " des données dans un fichier, à attendre que des index se reconstruisent,
et à réappliquer des contrainets d'intégrité des données comme la journalisation,
l'audit des objets et les contraintes référentielles, et tout cela à cause de
modifications mineures apportées à des fichiers physiques. Mais pourquoi faudrait-il
recréer tous les fichiers logiques dépendant d'un fichier physique quand on
modifie quelque chose qui n'affecte aucun de leurs index ?
La commande CHGPF (Change Physical File) et l'instruction SQL/400 Alter Table
peuvent accomplir ces tâches plutôt facilement. Il s'agit là de l'un des secrets
les mieux gardés de l'AS/400. Voir l'article " New Alter Table Command Eases
AS/400 File Changes " (NEWS/4000, Mark Anderson, septembre 1996) où l'instruction
Alter Table SQL est décrite. Nous nous concentrons ici sur la commande CHGPF.

Administrer Exchange 2000 (1ere partie)
par Tony Redmond
Le modèle d'administration de Microsoft Exchange Server 5.5 fonctionne bien depuis
sa sortie dans Exchange Server 4.0 en 1996. Mais l'approche intégrée du modèle
ne peut pas apporter la souplesse et la maîtrise indispensables aux grandes entreprises.
Ce modèle, qui n'est pas particulièrement ouvert, repose sur l'interface de programmation
MAPI (Messaging API), qui n'a pas réussi à s'attirer un large soutien dans la
sphère de l'administration de systèmes, notamment parce qu'elle ne concerne qu'Exchange
Server.Exchange 2000 Server diffère d'Exchange Server 5.5 pratiquement en tout. Je n'ai
donc pas été surpris de constater que son modèle d'administration n'a rien à voir
avec celui d'Exchange Server 5.5. Microsoft s'est efforcé d'ajouter la flexibilité
et de puissantes fonctions de programmation et d'intégrer plus étroitement l'administration
d'Exchange 2000 avec le framework d'administration de base de Windows 2000. La
nouvelle version d'Exchange Server essaie en même temps de s'approprier un énorme
marché, qui va du support de systèmes individuels à celui de milliers de clusters
multi-noeuds supportant des dizaines de milliers d'utilisateurs dans les environnements
de messagerie.
Ces divers objectifs représentent un gros effort et Microsoft n'a pas encore tout
à fait atteint ses objectifs, bien que les premiers signes soient prometteurs.
Pour gérer avec succès un déploiement d'Exchange 2000, les administrateurs ont
besoin de comprendre toutes les nouvelles fonctions, tant de Windows 2000 que
d'Exchange 2000. Pour vous aider dans cette tâche, je propose une série de trois
articles sur l'administration d'Exchange 2000, en commençant par les données de
base concernant les nouveaux objectifs de l'administration d'Exchange 2000, la
place du nouveau produit dans l'architecture de gestion de Windows 2000, et l'administration
d'Exchange Server pendant la transition à Exchange 2000.

Outlook 2000 – Comment effacer des rendez-vous récurrents
Par Sue Mosher
Nous allons voir dans cet article comment, dans Outlook, supprimer des rendez-vous,
notamment récurrents, et comment purger uniquement les événements qui se sont
produits avant une certaine date.Tout d'abord, on choisit une propriété de date, à partir de laquelle on va définir
un filtre. La propriété logique à utiliser pour un dossier de type calendrier
est End. Supposons qu'un dossier calendrier contienne un événement qui débute
le 25 Février 2001 et se termine le 4 Mars 2001. On souhaite supprimer tous les
événements antérieurs au 1er Mars. Si on utilise la date de début comme critère
pour le filtre, les évènements qui se déroulent sur huit jours vont aussi faire
partie des objets effacés puisque leur date de début se situe avant le 1er Mars.
Par contre, si on utilise la propriété End, ces éléments resteront dans le calendrier,
puisque leur date de fin est plus récente que la date limite du 1er Mars.
Si on utilise la propriété End, ces éléments resteront dans le calendrier, puisque
leur date de fin est plus récente que la date limite du 1er Mars
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