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L'e-business entraîne l'explosion des données. La capacité de stockage doit être prise très au sérieux. Il faut donc aborder les problèmes de sauvegarde, de protection des données, SAN, NAS et de partage de données. L'e-business entraîne l'explosion des données. Le besoin d'une capacité de stockage
- accessible immédiatement,
- toujours disponible,
- hautement fonctionnelle,
connaît une croissance exponentielle.

Dans notre monde e-centré, la demande en informatique, c'est comme l'électricité : il suffit de se brancher pour l'avoir. Le stockage intelligent pour les applications est nécessaire pour pouvoir présenter l'informatique comme une utilité.

Le stockage présente plusieurs aspects mais trois d'entre-deux sont véritablement importants : abordez ces trois aspects, et vos problèmes de stockage pourront être résolus.

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Comment personnaliser les installations automatiques de Windows 2000

Comment personnaliser les installations automatiques de Windows 2000

par Sean Daily
Le fléau de l'existence de tout administrateur système est l'intervention sur les postes des utilisateurs. Non pas que ces utilisateurs soient terribles ou indignes d'une visite, mais ces interventions durent longtemps et sont coûteuses pour l'entreprise. Dans beaucoup de sociétés, l'installation et la configuration des OS sur les postes clients est souvent l'un des postes les plus significatifs sur le budget du département.Windows 2000 offre plusieurs fonctions de déploiement qui peuvent aider à  gérer le chaos inhérent à  l'installation et la configuration des OS des postes clients sur les consoles du réseau. Bien que Windows NT offre des utilitaires pratiques pour l'assistance à  l'automatisation de l'installation et à  la personnalisation des systèmes d'exploitation, Windows 2000 améliore beaucoup ces offres. Windows 2000 comporte en effet des versions améliorées des " musts " de Windows NT tels que les CD-ROM bootable d'installation, les installations par le réseau, les installations automatiques, les fichiers de réponse, Setup Manager, Sysdiff ou Sysprep. En particulier, Microsoft inclut une version améliorée pour Windows 2000 de Sysprep (Sysprep 1.1) dans les outils de support du CD-ROM de Windows 2000 ainsi que sur le serveur Windows 2000 et dans les kits Windows 2000 Professionnels.

Parmi toutes les méthodes de déploiement disponibles sous Windows 2000, les installations automatiques restent les préférées de beaucoup d'administrateurs. Comme sous Windows NT, Windows 2000 offre la possibilité de lancer des installations automatiques depuis une invite de commande avec un commutateur /U, que l'utilisateur passe aux programmes d'installation winnt.exe ou winnt32.exe. Les installations automatiques de Windows 2000 et de Windows NT sont similaires, et l'on peut utiliser les fonctionnalités d'installation automatique de Windows 2000 pour déployer des nouveautés sous Windows 2000 ou upgrader celles de Windows NT et de Windows 9x. Windows 2000 inclut également quelques fonctionnalités ayant été améliorées et qui rendent les installations automatiques plus puissantes et conviviales que leurs prédécesseurs sous NT. Il est possible d'utiliser ces fonctionnalités pour personnaliser intégralement les installations automatiques afin de les rendre plus utiles et de gagner un temps précieux.

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Les disques commutés arrivent sur l’iSeries

Les disques commutés arrivent sur l’iSeries

Par Chuck Stupca - N°11 Septembre 2001
Les disques commutés sont une nouvelle fonction du cluster iSeries pour fournir des informations toujours disponibles pour certains types d'objets dans l'OS/400.
Dans cet article : le matériel qu'exigent les disques commutés et les étapes à  suivre pour les mettre en oeuvre sur le cluster iSeries, les extensions disponibles quand les disques commutés sont utilisés dans un environnement de partitions logiques (LPA, Logical Partition).

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Nouveau support d’autocommit pour DB2 UDB

Nouveau support d’autocommit pour DB2 UDB

par Mark Megerian et Kent Milligan
Sur l'iSeries, une transaction de base de données commence implicitement dès l'instant où une donnée quelconque est lue ou écrite, et elle se termine par une demande de commit ou de rollback ultérieure. Ceux qui ont déjà  utilisé l'un des jeux API de type SQL (ODBC, JDBC, CLI) pour la programmation de base de données, ont certainement remarqué un mode appelé autocommit ou automatic commit...

Cette option était destinée aux programmeurs qui ne veulent pas écrire du code pour émettre des commits, mais préfèrent laisser à  la base de données le soin de faire un commit automatique des modifications apportées à  la base de données.

L'utilisation d'autocommit présente des risques parce que l'on n'obtient pas la protection « tout ou rien » du commitment control ou la possibilité de recourir à  des niveaux d'isolation de transactions plus élevés. De plus, un nouveau programmeur peut fort bien ajouter une nouvelle modification de base de données à  une application existante, sans espérer que cette modification sera « committed » automatiquement.

Heureusement, des améliorations récentes de l'option autocommit dans les versions V4R4 et V4R5 règlent ces problèmes ainsi que d'autres lacunes des versions d'autocommit antérieures. Nous verrons ces améliorations dans un moment. Pour l'instant, voyons pourquoi elles sont nécessaires

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Progression des produits IBM

Progression des produits IBM

par Carson Soule

IBM affiche des progrès dans trois secteurs cruciaux : WebSphere, Domino et DB2. Plus que n'importe lequel des produits logiciels IBM, ce sont les fers de lance de la stratégie inter-plate-forme et standard ouvert d'IBM.Tous trois fonctionnent sur l'ensemble de la gamme eServer ainsi que sur les systèmes des concurrents. Et tous trois évoluent dans des marchés chauds et concurrentiels qu'IBM essaie de dominer.

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Tips de programmation sur AS/400

Tips de programmation sur AS/400

Ajoutez ces astuces de spécialistes à  votre panoplie de développement applicatif ...
- comment spécifier SRCDBG comme option PDM
- utiliser une ligne squelette pour accélérer le coding en SEU
- ...

En matière de stratégies concurrentielles pour systèmes de gestion, les programmeurs jouent un rôle prépondérant. En analysant soigneusement les transactions de gestion quotidennnes, un programmeur avisé peut beaucoup contribuer à  l'efficacité de l'environnement, voire influer sur la réussite ou l'échec de l'entreprise.

La suite des tips de programmation AS/400 ci-après propose plusieurs “ scénarios ” intéressants pour un site donné. On y verra comment spécifier SRCDBG comme option PDM définie par l'utilisateur, utiliser une ligne squelette pour accélérer le coding en SEU, et bien d'autres. En enrichissant la programmation à  l'aide de ces astuces, on augmentera l'efficacité de l'équipe.

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Demain l’Euro

Demain l’Euro

par Benoît Herr
Plus que 500 et quelques jours avant cette nouvelle échéance fatidique qu'est le 1er janvier 2002 pour l'Euro. Nombreux sont ceux qui n'ont encore rien fait.

Et vous, où en êtes-vous ? La pénétration de l'Euro dans les entreprises françaises et européennes reste très faible (seuls quelques pour cents de l'ensemble des transactions se font aujourd'hui dans la monnaie unique).

Pourtant, les monnaies nationales des pays "in" ne sont officiellement plus que des subdivisions de la monnaie unique et, à  bien y regarder, il ne reste plus beaucoup d'occasions pour basculer. Si l'échéance du 31 décembre 2001, où l'on attend un "grand embouteillage" est à  éviter à  tout prix, la bonne date de basculement, pour les entreprises clôturant au 31 décembre, reste le 31 décembre 2000.

Bien sûr, selon la loi, on peut basculer à  n'importe quel moment de l'exercice, et les entreprises ne sont en aucun cas obligées de se caler sur une fin d'exercice.

Mais cela oblige à  gérer des transactions en francs sur une certaine période, puis en Euros sur le reliquat du même exercice.

C'est ce qu'on appelle la rétropolation. Selon Annie-Claire Poisson, Expert Comptable, Commissaire aux comptes et membre du comité Euro du CSOEC (Conseil Supérieur de l'Ordre des Experts Comptables), "Il s'agit là  d'une possibilité extrêmement difficile à  mettre en pratique. Les logiciels sachant gérer une telle rétropolation sont en effet très peu nombreux sur le marché. Et quand bien même l'entreprise en serait équipée, le logiciel en question n'est en général pas installé isolément, et il y a de fortes chances pour que les logiciels avec lesquels il dialogue ne soient eux pas à  même de rétropoler. Le basculement à  l'Euro implique le changement du système de référence de toute l'entreprise."

Pour les entreprises clôturant à  une date différente du 31 décembre, la meilleure date de bascule est, comme cela a été le cas pour la société Calvet (cf. encadré "Le cas Calvet") la fin de l'avant-dernier exercice avant l'échéance. Au pire, il y a alors encore une "session de rattrapage", et on pourra toujours encore se caler sur la fin d'exercice suivante. Hélas, à  l'heure où vous lisez ces lignes, il est déjà  trop tard pour s'y prendre ainsi pour bon nombre d'entreprises.

Les monnaies nationales des pays "in" ne sont officiellement plus que des subdivisions de la monnaie unique

Le cas Calvet

Fondée en 1818, la maison Calvet fait véritablement partie du "paysage" bordelais. Elle produit trente millions de "cols" (comprenez "bouteilles") par an, pour un chiffre d'affaires de 400 MF en 1999 et un effectif de 113 personnes. 70% de cette production part à  l'exportation, dans quelque 110 pays du monde entier. Trois lignes d'embouteillage, alimentées par une cuverie de 80000 hl, conditionnent les produits livrés en 48h sur la France, et en 2 à  3 semaines au maximum partout ailleurs dans le monde.

Dès 1997 une réflexion sur ses systèmes d'information avait été initiée chez Calvet, et c'est finalement le progiciel Minos, édité par la société lyonnaise Ordirope, qui a été retenu et implémenté, pour assurer la gestion commerciale et de production de Calvet, en remplacement de développements spécifiques. Le démarrage en production est intervenu courant 1999. Parallèlement à  Minos, les progiciels Iris Finance et Iris Personnel de Viveo Entreprise (qui s'appelait alors encore Idsys) prennent en charge la gestion comptable et des ressources humaines de Calvet.
Dans la foulée de cette installation, et presque deux ans avant la date butoir du 1er janvier 2000, Calvet a trouvé suffisamment de motivation et de ressources pour basculer ses systèmes en Euro.

Comment cela se fait-il ? Tout a en fait démarré dès 1998, lorsqu'un rapport interne a mis en lumière les impacts colossaux d'un projet Euro sur l'ensemble des fonctions de l'entrepri

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Tricks & Traps – Windows 2000

Tricks & Traps – Windows 2000

par Olivier Nguyen
Les réponses aux questions essentielles que vous vous posez.

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Simplifier les signons avec Client Access Express et Windows<BR>

Simplifier les signons avec Client Access Express et Windows

par Carole Miner
Trop de mots de passe ? Ces quelques conseils utiles permettront de réduire le nombre de signons qu'exige l'accès multi-plates-formes.

L'un des moyens par lesquels l'AS/400 protège ses ressources et ses données, consiste à  demander à  celui qui tente de se connecter au système une ID utilisateur et un mot de passe valides, avant d'autoriser l'accès. C'est aussi ce que font la plupart des autres plates-formes serveurs et systèmes d'exploitation desktop. Une telle sécurité est indispensable pour protéger les informations de l'ordinateur et du serveur, mais elle peut ennuyer l'utilisateur final, obligé de mémoriser de nombreux mots de passe différents. D'autre part, la multiplication des mots de passe peut affaiblir la sécurité plutôt que de la renforcer. Les utilisateurs notent en effet souvent leurs mots de passe (et vont même jusqu'à  les coller sur leurs écrans avec des Post-It) ou alors ils choisissent des mots de passe faciles à  mémoriser, et donc tout aussi faciles à  deviner par des intrus.

Client Access offre plusieurs fonctions aidant les administrateurs AS/400 à  instaurer une sécurité par mots de passe multi-systèmes tout en simplifiant au maximum l'accès aux mots de passe par l'utilisateur final. Nous allons analyser les techniques proposées par Client Access, Windows, Domino et quelques autres produits, visant à  simplifier la sécurité par mot de passe.

La multiplication des mots de passe peut affaiblir la sécurité plutôt que de la renforcer

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Gérer les serveurs Windows 2000 à  distance

Gérer les serveurs Windows 2000 à  distance

par Sean Daily
L'administration à  distance est depuis longtemps un défi pour les administrateurs de réseaux Windows. Windows NT et ses différents kits de ressources fournissent un certain nombre d'outils limités pour effectuer l'administration à  distance et les outils inclus n'offrent pas beaucoup de fonctionnalité ou ne sont pas complètement sécurisés (le service Telnet de NT, par exemple).S'il est difficile d'administrer les environnements Windows à  distance, ce ne sont pas forcément les outils qui posent des problèmes, c'est plutôt le support insuffisant de l'administration à  distance inhérent à  l'OS sous-jacent et ses services et composants. Quant aux outils de contrôle à  distance graphiques, tels que pcAnywhere32 de Symantec, ils offrent bien une solution, mais cette dernière est entachée par le coût supplémentaire encouru pour chaque serveur et par la quantité importante de bande passante nécessaire à  l'interface graphique de Windows.

Outre son instabilité et l'obligation de réinitialiser, ce que j'ai le plus souvent entendu reprocher à  Windows NT est l'absence d'outils d'invite de commande, et de support de l'administration à  distance intégrée. Mark Minasi, journaliste à  Windows 2000 Magazine, résume avec humour cette situation difficile lors des conférences qu'il donne : comment administre-t-on un serveur Unix à  distance ? Avec Telnet. Comment administre-t-on un serveur Windows NT à  distance ? Avec un billet d'avion.

Bien que le contraste entre les systèmes d'exploitation Windows et ceux qui utilisent des invites de commandes, tels que Unix, soit amusant à  observer, la nécessité d'améliorer l'administration à  distance des serveurs Windows est une question sérieuse. Heureusement, la pression des utilisateurs clients reprochant le médiocre support de l'administration à  distance dans Windows NT a conduit Microsoft à  traiter ce problème dans Windows 2000.

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La formation dirigée

La formation dirigée

par Kalen Delaney
Les informaticiens professionnels devant apprendre à  utiliser SQL Server 7.0, Microsoft IIS ou un autre logiciel, ont à  leur disposition plusieurs possibilités de formation : acheter des livres et pratiquer l'autoformation, se former sur le tas, en se faisant aider par des collaborateurs, fréquenter des groupes de discussion publics sur le Web (où les utilisateurs expérimentés aident les utilisateurs non expérimentés), utiliser des magazines ou des bandes vidéo de formation. Mais, quand on peut se le permettre, la formation dispensée dans des cours par un professeur est souvent le meilleur moyen d'acquérir des bases solides pour l'utilisation des logiciels.
Tout le monde ne peut pas se permettre de "perdre" 3 à  5 jours de travail, ou ne dispose pas du budget pour suivre une formation à  l'utilisation de logiciels. Mais pour beaucoup d'utilisateurs, il n'y a pas d'environnement d'apprentissage plus efficace que de se concentrer pendant plusieurs jours sur l'acquisition d'une nouvelle compétence, avec un professeur qualifié. Il existe plusieurs possibilités pour les étudiants souhaitant apprendre à  utiliser des produits Microsoft par la formation dirigée. L'une des possibilités les plus largement utilisées est les centres de formation technique agréés Microsoft, la formation dirigée de son programme de formation et de certification. Les centres de formation techniques ont reçu ce nouveau nom pour s'aligner sur d'autres programmes partenaires de Microsoft, tels que le programme MCSP (Microsoft Certified Solution Provider), qui a porté pendant longtemps le nom Microsoft Solution Provider. Le terme agréé (certified) signifie que ce sont des personnes agréées par Microsoft qui sont chargées des programmes.

Dans cet article, nous verrons donc ce qu'on peut attendre d'un environnement de formation en Centre de Formation Technique Agréé, les impératifs auxquels doivent répondre les centres agréés Microsoft et nous indiquerons brièvement les autres possibilités de formation dirigée.

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Sommet européen des développeurs Open Source<BR>

Sommet européen des développeurs Open Source

par François Tonic
Les 3 et 4 février dernier s'est déroulé à  Bruxelles le premier sommet européen des développeurs Open Source et des Logiciels Libres. Durant deux jours, les conférences se sont succédées. Compte-rendu des temps fort et des grandes interrogations.

Le choix de Bruxelles n'est pas dû au hasard mais à  une démarché stratégique. Bruxelles, ne l'oublions pas, est le siège de la Commission Européenne, cette même Commission devant statuer sur les brevets logiciels. Les mondes Linux, Open Source et Logiciels Libres sont résolument contre tout brevet logiciel. Pour Richard Stallman, gourou du Free Software, ce sommet fut une excellente occasion pour accélérer et renforcer la diffusion des Logiciels Libres en Europe.
Cette rencontre a surtout été l'occasion pour les développeurs de découvrir un certain nombre de projets, plus ou moins connus et de faire un point technique sur chacun d'eux. Les six cent développeurs avaient le choix entre la sécurité, les réseaux, les interfaces graphiques, Mozilla ou encore les annuaires LDAP.

Les mondes Linux, Open Source et Logiciels Libres sont résolument contre tout brevet logiciel

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WebSphere Application Server et IFS

WebSphere Application Server et IFS

Par Jay Kelley et Vinny Luc - n°11 octobre 2001
WAS (WebSphere Application Server) d'IBM fait de l'iSeries un excellent outil pour servir des pages Web dynamiques. Pour mieux gérer les ressources Web, il faut bien com-prendre la manière dont WAS est organisé dans IFS (Integrated File System). Nous expliquons dans cet article la structure de répertoires de WAS.

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Au coeur d’IFS

Au coeur d’IFS

Ces deux dernières années ont vu croître l'intérêt et l'utilisation d'IFS (Integrated File System). Son utilisation s'étend parce que les sites iSeries combinent de plus en plus des applications diverses créées à  l'aide d'ou-tils comme Domino et Java, gros utilisateurs d'IFS. En outre, de nombreuses appli-cations iSeries modernes, quel que soit leur mode d'écriture, doivent accéder à  des fichiers stream, comme des fichiers HTML, des images .GIF et des documents de traitement de texte.

IBM a spécialement conçu IFS pour gérer des données de fichiers stream et des structures de répertoires hiérarchiques. Techniquement parlant, tous les éléments - fichiers physiques AS/400, bibliothèques, l'OS/400 lui même, fichiers PC et fichiers Unix - sont stockés dans IFS parce que, de son point de vue, l'AS/400 et les objets iSeries font partie du système de fichiers QSYS.LIB (bibliothèques, fichiers, par exemple) ou QDLS (documents, dossiers, par exemple).

Toutefois, quand nous faisons référence à  IFS, nous entendons généralement les systèmes de fichiers « racine » (/) et QOpenSys, qui sont les parties d'IFS utilisées pour stocker les informations de PC (essentiellement Windows) et d'Unix. Ces systèmes d'exploitation utilisent des systèmes de fichiers très différents de l'architecture à  base d'objets de l'iSeries. Par conséquent, pour pouvoir traiter leurs informations, IBM a dû créer IFS. Depuis son introduction avec la V3R1, IFS a été lentement et continuellement amélioré. C'est ainsi que la V5R1 contient des améliorations à  la journalisation IFS et la possibilité de switcher des IASP (Independent Auxiliary Storage Pools) contenant des données IFS entre des partitions logiques ou des serveurs iSeries physiques.

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Vitalité technique de la V5

Vitalité technique de la V5

par Carson Soule

Au stade V5, la gamme de serveurs iSeries gère une plus grande variété de débits de processeurs que toute autre plate-forme, avec un système d'exploitation unique.

L'éventail de possibilités de cet gamme serveur est étonnant et n'est pas sans rappeler la gamme d'ordinateurs System/360 d'IBM, révolutionnaire en son temps.

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Fonction d’intégration de données

Fonction d’intégration de données

Nouveaux produits Systemi  : focus sur Winsurf Mainframe Studio 5250.

ICOM Informatique, éditeur de logiciels d'e-connectivité site central annonce la disponibilité d'une solution de publication des données sur le Web, exclusivement dédiée aux environnements IBM AS/400 : Winsurf Mainframe Studio 5250.

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Commerce Server 1.0

Commerce Server 1.0

par John Enck - Mis en ligne le 17/11/2003

On oublie facilement que les serveurs Web AS/400 ne se limitent pas à  HTTP Server for AS/400... De même qu'on ignore souvent les autres possibilités de serveur Web parce qu'on doit les installer distinctement du support OS/400 original. Il faut aussi parfois commander - et payer !—d'autres serveurs.

Pourquoi tout ce travail et cette dépense, alors qu'il existe un serveur Web gratuit dont le chargement sur l'AS/400 s'effectue simplement et rapidement ? Tout simplement parce que les produits gratuits comportent souvent des coûts cachés. Il se peut aussi que le produit gratuit possède moins de fonctionnalités que les autres, ne fonctionne pas aussi bien, ou ne marche pas sur telle ou telle version de l'OS/400. Dans de tels cas, un produit tiers peut s'avérer plus approprié. Si vous êtes dans ce cas, Commerce Server/400 d'I/Net peut offrir le produit et l'assistance recherchés.

Commerce Server/400 présente plusieurs caractéristiques intéressantes : administration depuis un "écran passif", cryptage et souplesse d'accès aux données AS/400. Avec Commerce Server/400, on peut créer des documents composites, publier des documents Web en plusieurs langues, et afficher des images sur un navigateur client.

Il se peut qu'un produit gratuit possède moins de fonctionnalités, ne fonctionne pas aussi bien, ou ne marche pas sur telle ou telle version

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Banque CPR : un help desk sous contrôle grâce à  Support Magic

Banque CPR : un help desk sous contrôle grâce à  Support Magic

Depuis un an, la banque CPR s'est dotée d'un nouveau help desk micro et télécoms basé sur Support Magic. Outre la gestion totale du parc informatique, cette solution, basée sur NT, permet au contrôle de gestion d'effectuer la refacturation des matériels." Auparavant, nous ne disposions d'aucun outil informatique pour notre centre d'assistance technique, et nous devions travailler avec des fichiers Excel et un produit développé en interne afin de gérer le minimum vital. En tant que banque et compte tenu de l'activité des salles de marché, nous sommes obligés d'avoir une réactivité importante, et d'offrir une véritable qualité de service à  nos utilisateurs finaux. " confie Raphaà«l Benaroch, responsable micro-informatique à  la banque CPR.

Le choix de la solution Support Magic, de Network Associates, s'est effectué pour plusieurs raisons. " C'est un produit complètement paramétrable qui répondait à  nos besoins de gestion. Par ailleurs, nous avions déjà  eu l'opportunité d'utiliser la précédente version Betrieve, et il nous était plus facile de travailler avec un produit que nous connaissions déjà  " explique Patrick Béjean, responsable de l'administration des outils de gestion du parc. Opérationnel depuis un an, le help desk de la banque CPR a connu une mise en place progressive, depuis la gestion du matériel, en passant par celle des incidents, puis par la mise en service des demandes de travaux, pour finir par l'implémentation des fonctionnalités de statistiques. Actuellement, les opérateurs de la cellules d'assistance micro ont à  gérer près de 700 appels par mois, dont la moitié pour des demandes de travaux. Bien au-delà  des fonctions classiques de gestion, Support Magic permet également au contrôle de gestion de la banque CPR d'effectuer la refacturation des matériels. " Nous avons développé en interne un module qui permet d'importer les données de notre base centrale utilisateurs vers le référentiel Support Magic. Lors de l'attribution d'un matériel, les codes analytiques correspondants aux services demandeurs sont utilisés dans Support Magic, permettant ainsi au contrôle de gestion d'établir la refacturation. " souligne Raphaà«l Benaroch.

Les opérateurs peuvent déterminer les incidents récurrents, sur quels types de matériels et les ressources les plus sollicitées

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L’art de la réconciliation selon Whistler

L’art de la réconciliation selon Whistler

par Michael Otey
La prochaine release majeure de Windows2000, qui porte le nom de code Whistler, promet d'être une mise à  niveau significative pour les clients et les serveurs Windows. Tout en apportant nombre de changements conséquents côté serveur, c'est surtout côté client que Whistler est important : c'est, en effet, la première version dans laquelle convergent les codes de Windows 2000, Windows NT et Windows 9x.

Microsoft prévoit de sortir deux versions client de Whistler : Windows XP Home Edition et Windows XP Professional Edition. La version Home Edition sera une mise à  niveau de la gamme Win9x. La Professional Edition, version élaborée de la première, mettra à  niveau Windows 2000 Professional et Windows NT Workstation 4.0. Le côte serveur bénéficiera des versions Server, Advanced Server, Datacenter Server et Embedded La version Server remplacera Windows 2000 Server et Windows NT Server 4.0. Advanced Server remplacera Windows 2000 Advanced Server et Datacenter remplacera Windows 2000 Datacenter Server et NTS/E (Windows NT Server, Enterprise Edition). Whistler Embedded mettra à  niveau Windows NT 4.0 Embedded.

Tableau 1 Configuration système requise pour les clients Windows
Version Windows XP
Nombre maximum de CPU
CPU minimum (MHz)
CPU recommandée (MHz)
RAM minimum (Mo)
RAM recommandée (Mo)
Home Edition
1
233
300
64
128
Professional Edition
2
233
300
64
128

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Tips & Techniques

Tips & Techniques

Trucs et astuces utiles en environnement i-series et AS/400

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Tableau 2 Configuration système requise pour les serveurs Windows
Version de Windows Nombre maximum de CPU CPU minimum (MHz) CPU recommandée (MHz) RAM minimum (Mo)