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Utiliser DTS pour transférer des données entre SQL Server et l’AS/400

Utiliser DTS pour transférer des données entre SQL Server et l’AS/400

par Michael Otey - Mis en ligne le 20/10/2004 - Publié en Décembre 2003

Le transfert de données entre SQL Server et des plates-formes classiques comme l'IBM AS/400 a toujours été une opération laborieuse en plusieurs étapes. On commence par extraire les données de la base de données source pour les transférer dans un fichier plat, puis on les importe dans la base de données cible...Bien souvent, il faut sélectionner et prétraiter les données avant de les extraire, triturer le fichier plat pour le formater correctement, ou valider et manipuler les données avant de les charger dans la base de données cible - et, parfois, il faut faire les trois. Heureusement, l'utilitaire DTS (Data Transformation Services) de SQL Server résout ces problèmes en utilisant OLE DB et ODBC pour fournir un lien direct base de données/base de données permettant de transformer et de transférer des données entre deux bases de données conformes à  OLE DB.
Voyons comment utiliser DTS pour transférer des données entre SQL Server et la base de données DB2 UDB for iSeries d'IBM sur un système AS/400. Ensuite, nous verrons comment contourner certaines des principales différences de types de données et de plates-formes qui rendent ce processus plus compliqué qu'une simple navigation dans les wizards. (Bien qu'IBM ait changé le nom de l'AS/400 en iSeries, je conserve dans cet article l'ancien nom AS/400 plus familier.)

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SAN et NAS : Faits pour s’entendre

SAN et NAS : Faits pour s’entendre

Lorsqu’ils déploient des serveurs Windows, les administrateurs attachent généralement les disques directement à chaque serveur...Par exemple, l’environnement de la société B a plusieurs serveurs pour l’édition, la production, les ventes, les ressources humaines et les finances. Et chacun de ces serveurs a son propre stockage.
Mais avec cette méthode il est difficile de prévoir exactement la quantité de stockage nécessaire à chaque groupe d’utilisateurs. Par conséquent, les administrateurs commencent souvent par attacher 100 Go de stockage, par exemple, à chaque serveur. Mais, après un certain temps, il arrive qu’un département utilise 90 % de son stockage tandis qu’un autre n’en utilise que 20 %. Comme il est difficile de réallouer du stockage d’un département à un autre dans un environnement DAS (Direct Attached Storage), la plupart des services IT se contentent d’ajouter du stockage disque au fur et à mesure des besoins, aux serveurs en manque. Une vaste enquête révèle que 70 % environ du DAS sont généralement gaspillés parce qu’il est mal alloué et trop difficile à réallouer.
Aux problèmes de réallocation du DAS, s’en ajoute un autre : le logiciel de gestion des quotas qui accompagne Windows 2000 Server permet de contrôler la quantité de stockage par utilisateur mais pas le type de fichiers qu’un utilisateur peut stocker. Un groupe de participants à un récent Webcast de stockage a constaté que, le plus souvent, plus de 30 % des fichiers sauvegardés dans des environnements DAS étaient sans intérêt pour la gestion, du genre MP3. Autrement dit, presque un tiers de l’espace disque que l’IT d’entreprise achète et maintient est utilisé pour des fichiers étrangers à la gestion.
Les SAN (Storage Area Networks) et le NAS (Networked Attached Storage) permettent d’ajouter et de réallouer facilement du stockage et d’empêcher le stockage de types de fichiers non professionnels. Les SAN sont optimisés pour les transferts de données de type bloc à forts volumes qui caractérisent les bases de données et les serveurs d’applications. Le NAS est optimisé pour le service de fichiers. C’est pourquoi les SAN et le NAS sont souvent considérés comme des technologies mutuellement exclusives. Il n’en est rien et, en réalité, les SAN et le NAS se complètent à merveille et peuvent être combinés pour répondre à des besoins de stockage IT courants.

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Une solution de service client et e-business DPS Flash

Une solution de service client et e-business DPS Flash

Data Processing Services présente sa solution de service client et e-business DPS Flash qui offre une capacité de créer et publier des catalogues sur des CD Rom autonomes. 

DPS Flash 6.0 offre cette fonction catalogue avec des caractéristiques de configuration comme un prix spécifique client, des pages catalogues HTML personnalisées, la disponibilité du produit, des liens et documents DPS. 

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Les nouveautés de la semaine 19 – Windows 2000 et .Net – 2004

Les nouveautés de la semaine 19 – Windows 2000 et .Net – 2004

Tous les nouveaux produits du 03 au 09 Mai 2004

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Les nouveautés de la semaine 17 – Windows 2000 et .Net – 2004

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Tous les nouveaux produits du 19 au 25 Avril 2004

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IBM lance de nouveaux serveurs et repackage l’iSeries

IBM lance de nouveaux serveurs et repackage l’iSeries

par Cheryl Ross - Mis en ligne le 28/04/2004

En janvier, IBM a annoncé un toilettage de sa gamme matérielle iSeries, mais la grande nouvelle n'est pas les nouveaux processeurs intermédiaires basés sur Power4. C'est un nouveau packaging de la famille iSeries qu'IBM présente comme le plus grand changement du mode de vente de la plateforme depuis plus d'une décennie...Le nouveau packaging se débarrasse de fonctions interactives et diminue fortement le tri du logiciel sur de nombreux modèles. IBM a également annoncé de nouveaux serveurs Domino et une nouvelle technologie d'I/O PCI-X pour un stockage plus performant.

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Impression directe sur l’iSeries

Impression directe sur l’iSeries

par Saroj Bala Mishra - Mis en ligne le 08/09/2004 - Publié en Janvier 2004

Généralement, quand un utilisateur déclenche une requête d'impression ou exécute un programme, la requête ou le programme accède à  un fichier d'impression. Ce fichier génère ensuite un fichier spoule et l'envoie à  une file d'attente de sortie. Les fichiers d'impression décrivent la manière dont le système doit opérer sur les données au moment où il les transfère entre une application et une imprimante. Un fichier d'impression traite chaque requête d'impression.L'un des attributs du fichier d'impression détermine s'il faut générer un fichier spoule et envoyer les données à  une imprimante, ou simplement envoyer les données directement à  celle-ci sans créer un fichier spoule. Dans ce dernier cas, c'est une impression directe.
Pour comprendre le principe de fonctionnement de l'impression directe, il faut connaître les éléments qui interviennent pour imprimer des données sur une imprimante.

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Actualités Windows NT / 2000 – Semaine 26 – 2004

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Toutes les Actualités du 21 au 27 Juin 2004

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Virtual Disk Space et ses outils clients

Virtual Disk Space et ses outils clients

par Tim Huckaby et Keith Hageman - Mis en ligne le 16/06/2004 - Publié en Septembre 2003

VDS de Windows 2003 et ses outils client offrent une interface pour les unités de stockage

En avril 2002, Microsoft a nommé Bob Muglia au poste de vice-président sénior de l'Enterprise Storage Division, une toute nouvelle entité. Muglia a alors décrit les plans technologiques selon lesquels Windows se comporterait comme un hub pour gérer des données sur des PC, des serveurs et des systèmes de stockage.Il a aussi déclaré qu'il faudrait des années à  Microsoft pour développer sa technologie de gestion de données. Mais, à  peine une année plus tard, nous voyons les premiers fruits du travail se manifester dans Windows Server 2003.
Windows 2003 présente une infrastructure de système de fichiers améliorée ; l'un des principaux éléments de cette infrastructure est le VDS (Virtual Disk Service), conçu par Microsoft pour faciliter la gestion des disques et des données. En même temps que VDS, Microsoft offre dans Windows 2003 trois puissants outils de traitement des disques, provenant de divers fournisseurs : les outils de ligne de commande diskraid. exe et diskpart.exe et le snap-in Microsoft Management Console (MMC) Disk Management.

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Restreindre et améliorer System Request

Restreindre et améliorer System Request

par Ed Fishel - Mis en ligne le 19/05/2004

Améliorez la sécurité et l'intégrité de vos applications avec ces programmes de sortie des presystem request

System Request est une puissante fonction qui permet aux utilisateurs de suspendre le travail d'un job interactif. Mais il y a danger quand un utilisateur suspend ou annule un job interactif en un point où il ne devrait pas être interrompu.Au cours des ans, les administrateurs ont utilisé diverses méthodes pour restreindre ou améliorer la fonction System Request afin d'améliorer la sécurité et l'intégrité de leurs applications. Une méthode peu connue consiste à  utiliser les programmes de sortie des presystem request. Nous examinons ici deux exemples différents de ces programmes : un qui interdit l'utilisation de System Request et un qui lui ajoute des fonctions. Vous pouvez télécharger tous les programmes mentionnés dans cet article à  l'adresse www.itpro.fr, Club Abonnés.

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La consolidation des données offre de nouvelles perspectives

La consolidation des données offre de nouvelles perspectives

Découvrez les nouvelles possibilités qu'offre la consolidation des données au travers de ce White Paper exclusif de 20 pages rédigé en fançais.

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LXI Corp lance LXI Universal Client Backup

LXI Corp lance LXI Universal Client Backup

LXI Corp lance LXI Universal Client Backup qui contrôle, gère et effectue les sauvegardes pour plusieurs plates-formes dont l'iSeries, Unix, AIX, Linux fonctionnant avec MMS ou TMS/ix de LXI. 

MMS pour iSeries est une suite d'applications de gestion du stockage et TMS/ix est un outil de gestion de bandes pour Unix et Lunix. Avec Universal Client Backup, les travaux s'exécutent automatiquement .

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Le débogueur graphique rend le débogage de SQL Procédural encore plus facile

Le débogueur graphique rend le débogage de SQL Procédural encore plus facile

par Kent Milligan - Mis en ligne le 31/03/2004

La fonction V5R2 permet d'exterminer ces maudits bogues plus rapidement que jamais

DB2 UDB a simplifié le débogage des procédures de fonctions et triggers SQL en V5R2, avec la vue de débogage SQL *SOURCE...Mais vous pouvez simplifier encore davantage le débogage des procédures et triggers SQL à  l'aide d'une autre fonction V5R2, le Toolbox for Java iSeries System Debugger. Voyons ces deux nouvelles améliorations V5R2 (et le support équivalent en V5R1) et comment les utiliser ensemble.

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Modernisez votre impression Infoprint Designer

Modernisez votre impression Infoprint Designer

par Chip Milosch - Mis en ligne le 01/09/2004 - Publié en Janvier 2004

Ajoutez de la couleur, des graphiques et autres

Dans la plupart des sites informatiques, le scénario de sortie d'une application est le suivant : on a un carton de formulaires pré-imprimés pour chaque usage. Les programmes applicatifs regorgent de lignes de code chargées d'imprimer les données exactement au bon endroit sur chacun des formulaires. Quand un travail d'impression s'exécute, quelqu'un doit insérer le formulaire ad-hoc dans l'imprimante et répondre au message en provenance du fichier spoule en attente.Au fil du temps, ces formulaires ne correspondent plus exactement à  ce que l'utilisateur souhaite, mais le travail nécessaire pour remanier les formulaires et modifier les programmes applicatifs en conséquence, n'en vaut pas la peine. Ou bien, on ne peut pas changer de formulaires parce que quelqu'un a obtenu un prix canon pour un approvisionnement de trois ans et qu'il y a encore 18 mois de stock dans les placards.

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Les nouveautés de la semaine 26 – Windows 2000 et .Net – 2004

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Tous les nouveaux produits du 21 au 27 Juin 2004

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Actualités Windows NT / 2000 – Semaine 22 – 2004

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Toutes les Actualités du 24 au 30 Mai 2004

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Orientations futures : Et voici le Grid Computing

Orientations futures : Et voici le Grid Computing

par Frank G. Soltis - Mis en ligne le 19/05/2004

On n'a pas souvent entendu un telle clameur : vous allez l'adorer ou le détester

Le grid computing fait-il partie de votre avenir ? Au cours de ces dernières années, on a beaucoup discuté et débattu sur le grid computing (grille, quadrillage, ou maillage informatique) et son futur rôle dans les entreprises. L'idée est qu'un jour pas tellement lointain il existera un vaste réseau omniprésent constitué de tous les ordinateurs, applications, et données du monde.monde. Internet a déjà  relié la plus grande partie du monde informatique. Peut-être l'étape logique suivante consiste-t-elle à  utiliser Internet comme une plate-forme informatique distribuée.
The Grid, comme on appelle généralement ce réseau tentaculaire, serait capable de fournir toute la puissance informatique dont n'importe quelle entreprise a besoin. Au lieu de devoir acheter et supporter leurs propres systèmes informatiques, les sociétés pourraient acheter simplement des ressources informatiques illimitées auprès d'une compagnie « utility », de la même manière qu'elles achètent l'électricité aujourd'hui.
Sam Palmisano, chief executive d'IBM, a mis en émoi la communauté iSeries à  la fin de l'année dernière en expliquant comment IBM voyait l'avenir de l'informatique : un service de type utility que les entreprises peuvent acheter en fonction des besoins. Beaucoup de professionnels iSeries ont imaginé leur serveur bien-aimé remplacé par une prise murale. Rarement un modèle émergent d'informatique a soulevé un tel tollé. Le sujet de l'utility computing semble avoir polarisé de nombreux membres de cette communauté : on l'adore ou on le hait.
Nul ne sait encore si The Grid émergera un jour. Mais il est vrai que les technologies grid en sont arrivées au point où chaque constructeur informatique important, y compris IBM, est en train de les promouvoir. Certains voient le grid computing et particulièrement sous sa forme utility, comme la réponse aux problèmes actuels de l'informatique de gestion.
Les partisans d'un modèle utility y voient l'extension naturelle du modèle informatique d'aujourd'hui. La plupart des sociétés passent au e-business. Leurs processus de gestion sont intégrés d'un bout à  l'autre de la société et avec les principaux partenaires, fournisseurs et clients. Le grid computing peut contribuer au partage des ressources comme le World Wide Web contribue déjà  au le partage de l'information.
Les partisans du modèle utilitaire se plaisent aussi à  souligner que la plupart des sites IT ont beaucoup de mal - et dépensent beaucoup d'argent - pour gérer les divers systèmes acquis pendant la dernière décennie. Pourquoi, disent-ils, ne pas se débarrasser de ce coût et de cette complexité et se procurer simplement les les ressources informatiques nécessaires auprès d'un prestataire utility ? Après tout, combien de sociétés produisent leur propre électricité aujourd'hui ?
Malgré le poids de ces arguments, beaucoup de professionnels de l'informatique renâclent. Ils arguent que la technologie de l'information a fourni des avantages concurrentiels à  la plupart des entreprises. Le passage à  un modèle utility neutraliserait ou éliminerait ces avantages. Ils ont aussi tendance à  voir les grids et l'idée de l'informatique utility comme un désir de retour au bon vieux temps du timesharing des années 1960. Dans la foulée, ils prédisent que cette forme d'informatique de style utility échouera pour les mêmes raisons que le timesharing.
D'où la question : comment faut-il voir le grid et le utility computing ? Estce le sauveur de l'informatique de gestion que célèbrent certains, ou simplement un autre voeu pieux de certains constructeurs informatiques en quête d'une plus grande part des budgets IT ? Comme pour beaucoup de questions, ça dépend.
Dans cet article, le deuxième d'une série de trois qui examinent la manière dont IBM se prépare pour la structure IT de demain, nous analysons le rôle du grid computing et comment il s'inscrit dans la future stratégie de l'iSeries. Le utility computing est une partie du grid computing mais, comme nous le verrons bientôt, ce n'est pas la seule.

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La consolidation des données offres de nouvelles perspectives

La consolidation des données offres de nouvelles perspectives

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Actualités Windows NT / 2000 – Semaine 16 – 2004

Actualités Windows NT / 2000 – Semaine 16 – 2004

Toutes les Actualités du 12 au 18 Avril 2004

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Créer des types de données standard en RPG IV

Créer des types de données standard en RPG IV

par Paul Conte - Mis en ligne le 31/03/2004

Améliorez votre programmation RPG IV par cette simple technique

Ce que j'appelle des « Standard Data Types » (SDT) sont une petite technique RPG IV simple et intelligente qui permet de réduire les erreurs, d'améliorer l'intelligibilité des programmes, de rendre le code plus homogène et de faciliter les modifications des programmes. Essentiellement, les SDT permettent de définir des noms significatifs pour les types de données puis à  se référer à  ces noms quand on définit les variables d'application. J'expliquerai quelques améliorations de la technique fondamentale plus loin, mais, pour commencer, voyons le coding RPG IV de base pour définir et utiliser un SDT.

Tout d'abord, on utilise une carte D pour déclarer le SDT. L'exemple suivant déclare le SDT TypeTimestamp:

D TypeTimestamp S Z

Comme on le voit, sous sa forme la plus élémentaire, déclarer un SDT n'est rien de plus que déclarer un champ RPG IV. Il faut suivre une convention de noms pour les déclarations SDT, par exemple, commencer tous les noms SDT avec Type. Il est tout aussi simple d'utiliser un SDT dans une déclaration de champ d'application, comme le montre l'exemple suivant :

D RpcEndTime S
Like(TypeTimestamp)


Quand on utilise le mot-clé Like sur une carte D, le compilateur utilise simplement le type de données intégré (et la taille et les positions décimales le cas échéant) du champ référencé - TypeTimestamp, dans ce cas.

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