Diviser et conquérir
par Edward Whalen, Geoff Langos et Alexander Stamenkovich - Mis en ligne le 26/11/2003
Reconception architecturale + réplication transactionnelle = performance écrasante
Les DBA savent que le premier pas,
pour déterminer la viabilité et la capacité
à long terme d'un système, consiste à effectuer
des mesures de supervision des
performancesLes DBA savent que le premier pas,
pour déterminer la viabilité et la capacité
à long terme d'un système, consiste à effectuer
des mesures de supervision des
performances. C'est dans cet esprit que,
voilà plusieurs années, nous avons conçu un programme chargé de suivre les variations
des performances dans le système
de traitement d'un centre d'appel
sous Windows NT et SQL Server 7.0. Au
début, nous avons constaté que le
Performance Monitor nous donnait bien un programme chargé de suivre les variations
des performances dans le système
de traitement d'un centre d'appel
sous Windows NT et SQL Server 7.0. Au
début, nous avons constaté que le
Performance Monitor nous donnait bien long terme en prenant des instantanés
chaque demi-heure de certaines mesures
comme l'utilisation de la CPU et
des I/O, le nombre d'utilisateurs et de
processus, les traitements de commandes,
et les transactions. Nous avons
rangé ces mesures dans une base de
données SQL Server. L'année où nous
avons commencé notre programme de
supervision, nous n'avons recueilli les
données que pour quelques mois consécutifs.
Et constaté ainsi que les données
glanées pendant une période aussi
courte ne produisaient que des informations
à court terme: trop peu de points
de données pour dessiner une tendance.
En revanche, l'année suivante, quand nous avons supervisé des tranches de
temps plus longues, les données recueillies
ont révélé des tendances significatives.
En une année, nous avons observé
une hausse inquiétante de
l'utilisation de la CPU que nous avons attribuée
à une augmentation des fonctions
applicatives personnalisées dans le
centre et à l'ajout de nombreux utilisateurs
du système.
WINSIGHT, pour le décisionnel
WINSIGHT, spécialiste français du Décisionnel en environnement Microsoft, annonce ReportSmith.Net.
WINSIGHT a obtenu la certification Microsoft Gold Certified Partner for Business Intelligence en France. La société ajoute un nouveau produit à sa gamme de logiciels OLAP WEBHOUSE : ReportSmith. Net.
Lire l'articlePlongez au coeur de « BizTalk Server 2004 » avec ce White Paper exclusif de Chappell & Associates !
"Comprendre BizTalk Server 2004" est un White Paper en Français signé de David CHAPPELL de Chappell & Associates, San Francisco, Californie. Son tout dernier ouvrage de référence, Understanding .NET, a été publié par Addison-Wesley en 2002. Découvrez maintenant ce White Paper !
Lire l'articleFaire dialoguer ses applications avec BizTalk Server
SPECIAL REPORT : MICROSOFT BizTalk Server
Automatiser ses processus métier, fiabiliser ses échanges applicatifs, ouvrir son système d’information vers l’extérieur : Microsoft BizTalk Server tient toutes les promesses de l’EAI en jouant le rôle de chef d’orchestre des échanges inter applicatifs de l’entreprise et des partenaires extérieurs.Le système d’information des entreprises est constitué de nombreuses applications « spécifiques » ou progiciels de gestion intégrés (ERPs) bâtis sur des technologies disparates. Dans le passé, lors d’un développement d’une nouvelle application, une grande partie du travail des services informatiques consistait à développer des interfaces pour soutenir l’échange des informations entre applications. En permettant de faire communiquer ces applications entre elles, l’EAI -Intégration des Applications d'Entreprise- a totalement changé la donne. Mais pourquoi faire communiquer les applications ? Tout simplement parce qu’elles sont excessivement liées entre elles. Si une application de CRM répond à un besoin fonctionnel précis lié à la relation client, elle nécessite cependant des informations générées par d’autres applications, comme la comptabilité client, la gestion des stocks, le support technique.
Dans un contexte de réseau local, cette communication inter applicative peut se gérer plus ou moins facilement. Mais dès que le système d’information s’ouvre sur l’extérieur, vers les partenaires commerciaux (BtoB) ou qu’il est réparti sur de multiples sites, le problème se corse.
Pilote automatique
par Herts Chen - Mis en ligne le 18/02/2004
Raccourcissez le temps de réplication instantanée et de configuration avec
cet outil d'automatisation
Quand vous appliquez la réplication
instantanée à de grandes bases de données,
l'étape qui supprime les enregistrements
cibles et celle qui copie en
bloc les données sources dans des
tables cibles indexées peuvent créer
deux goulets d'étranglement des performances...Quand vous appliquez la réplication
instantanée à de grandes bases de données,
l'étape qui supprime les enregistrements
cibles et celle qui copie en
bloc les données sources dans des
tables cibles indexées peuvent créer
deux goulets d'étranglement des performances.
Pour éliminer ces goulets d'étranglement - et donc optimiser la
réplication - vous pouvez ajouter des
étapes personnalisées aux jobs
Snapshot and Distribution Agent. Dans
le premier article de cette série en trois
parties, « Ouvrez la voie à la réplication
snapshot à grande échelle », octobre
2002, (ou sur www.itpro.fr), j'analysais la performance d'une réplication
instantanée et introduisais les
étapes personnalisées. Le deuxième article,
« Personnalisez votre réplication
instantanée à la main », janvier 2003,
(ou sur www.itpro.fr), détaillait l'implémentation
manuelle complète de ces
étapes. Dans cet article de conclusion,
voyons comment réaliser une personnalisation
rapide, fiable et reproductible
en utilisant SQL-DMO (SQL
Distributed Management Objects)
pour automatiser le processus de personnalisation.
Article 1575
SQL Server Magazine s'enrichit de nouveaux contenus, conciliant « dossiers stratégiques & technologiques », au sein d'une tout nouvelle maquette, découvrez ici en exclusivité le sommaire de l'édition de Février 2004 consacrée à Reporting Services et bénéficiez d'une offre d'abonnement unique ... |
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Au sommaire de l'édition de Février 2004 de SQL Server Magazine : deux dossiers consacrés à Reporting Services, la plate forme globale de reporting d'entreprise + le CD Rom d'évaluation de Reporting Services, un dossier spécial sur les DTS Package Logs, le contrôle de la réplication avec Active X, le .Net connection Pool, Blob dans ado.net ...
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L’outil Database Hammer
par Joseph Isaac Sack - Mis en ligne le 19/05/2003
Je travaille comme administrateur
de base de données (DBA) sous
contrat dans une grande société de
recherche et de fabrication. Mon
manager m'a récemment demandé
de trouver la meilleure configuration
de base de données pour notre
nouveau grand SAN (Storage Area
Network) RAID 5. Le fournisseur du
SAN n'avait pas de documentation
quant aux recommandations de placement
de fichiers base de données
SQL Server 2000 ou aux meilleures
pratiques. Il fallait donc faire un test
pour voir si en plaçant les fichiers de
données et les fichiers log sur des
partitions SAN RAID 5 séparées, les
performances étaient meilleures
qu'en plaçant les deux fichiers sur
une partition SAN RAID 5 unique.
En règle générale, le fait de placer
les fichiers base de données et log
sur des matrices séparées (RAID 5
ou RAID 10 pour les données et
RAID 1 pour le log) améliore la performance.
Comme SQL Server écrit
séquentiellement dans le fichier log
de transactions, et aléatoirement
dans les fichiers de données, la séparation
des fichiers réduit le risque
de contention de lecture ou d'écriture
simultanée.
Evitez la zone rouge
par Gregory A. Larsen - Mis en ligne le 26/11/2003
Suivez ce processus en 2 étapes pour suivre et surveiller l'utilisation des disques
Vos clients ou managers vous ont-ils
jamais demandé de combien leurs
bases de données avaient grandi au
cours de l'année écoulée ? Avez-vous
dû prévoir la capacité disque nécessaire
pour la prochaine année d'après
le taux de croissance moyen de la base
de données au cours des 12 derniers
mois ?Vos clients ou managers vous ont-ils
jamais demandé de combien leurs
bases de données avaient grandi au
cours de l'année écoulée ? Avez-vous
dû prévoir la capacité disque nécessaire
pour la prochaine année d'après
le taux de croissance moyen de la base
de données au cours des 12 derniers
mois ? Compte tenu du présent taux de
croissance, combien de temps durera
votre espace disque non alloué actuel ?
Pour répondre à ce genre de questions
sur la croissance de la base de données
ou sur l'espace disque, il faut disposer
d'un historique de l'utilisation de l'espace
touchant à vos bases de données.
J'ai créé un processus qui vous permettra
de collecter automatiquement
des statistiques d'utilisation de l'espace
pour chacune de vos bases de
données. Muni de ces chiffres, il vous
sera facile d'effectuer un simple calcul
de taux de croissance.
Voilà quelques mois, j'ai décidé
d'élaborer un processus de capture
d'informations sur l'utilisation de l'espace
disque pour chaque base de données
d'un système, afin d'en suivre la
consommation au fil du temps. Je voulais
connaître la quantité d'espace allouée
et utilisée pour les fichiers de
données et de journalisation. En fait, je
recherchais la même information que
celle que l'on voit dans le panneau
Database Details d'Enterprise Manager
quand on consulte l'information Space
Allocated, mais il me fallait cette information
en code T-SQL. En utilisant
SQL Server Profiler, j'ai constaté
qu'Enterprise Manager obtient des informations
sur l'espace alloué en utilisant
deux instructions DBCC. La première,
SQLPERF, est documentée ; la
seconde, SHOWFILESTATS, ne l'est
pas. En exécutant manuellement
DBCC SHOWFILESTATS sur chaque base de données et en comparant la
sortie obtenue avec celle qu'Enterprise
Manager affichait, j'ai vu que cette
commande me fournirait l'information
sur l'espace disque par base de données.
SQL Server 2000 et SQL Server 7.0
utilisent tous deux ces instructions
DBCC pour peupler l'écran Space
Allocated d'Enterprise Manager.
L'instruction DBCC SQLPERF(LOGSPACE)
renvoie des informations sur
l'espace de journalisation des transactions
- la taille du journal allouée pour
chaque base de données en méga-octets
et le pourcentage d'espace de
journalisation utilisé pour chaque base
de données - et ce pour toutes les
bases de données. Un simple calcul
permet de convertir facilement le
pourcentage de l'espace journal utilisé,
en méga-octets. Cette instruction
DBCC m'a aidé à connaître l'espace de
fichier log que je voulais suivre.
J'ai utilisé l'instruction DBCC
SHOWFILESTATS non documentée
qui donne des informations sur l'utilisation
de l'espace pour les données
d'une base de données, pour obtenir
le reste des statistiques d'espace
disque souhaité. Cette instruction renvoie
un enregistrement par fichier de
données physique. Chaque enregistrement
statistique ainsi obtenu occupe
six colonnes : Fileid, FileGroup,
TotalExtents, UsedExtends, Name et
FileName. On peut utiliser la colonne
TotalExtents pour déterminer l'espace
total alloué aux données et la colonne
UsedExtents pour déterminer l'espacetotal utilisé pour les données. En additionnant
les valeurs TotalExtents et
UsedExtents de tous les fichiers d'une
base de données, puis en convertissant
le nombre d'extensions en méga-octets,
j'ai calculé l'espace total alloué
aux données et l'espace total utilisé
pour elles. Ces calculs m'ont fourni
l'information d'utilisation de l'espace
que je voulais suivre dans le temps. La
figure 1 montre un exemple de sortie
de la commande DBCC SHOWFILESTATS
après qu'on l'aie appliquée à la
base de données maîtresse.
J'ai intégré ces deux instructions
DBCC dans un processus qui collecte
l'information d'espace par base de
données. Il s'exécute périodiquement
et enregistre les statistiques sur l'utilisation
de l'espace dans une table de
base de données. Le processus est
constitué d'un job SQL Server Agent
qui contient deux étapes. La première
exécute une procédure stockée nommée
u
SQL Server Magazine : Offre spéciale de lancement
Il y a quelques jours, est paru le dernier numéro gratuit de SQL Server Magazine.
DBA, DBM, Responsables Bases de données, nous vous avons réservé une offre d'abonnement spéciale.
Certains de votre participation, nous vous donnons rendez-vous pour la prochaine édition de SQL Server Magazine, à paraître fin Septembre 2003.
Dans l'attente de vous compter parmi nos premiers abonnés, transformez l'essai !
Réponses rapides
par William R. Vaughn - Mis en ligne le 24/06/2003
Quand vous voulez consulter votre
base de données, vous commencez par
coder une instruction SELECT qui renverra
une ou plusieurs lignes - un ensemble de lignes - contenant la réponse
à votre question. Parfois, vous
voulez une information exhaustive,
mais parfois, une simple réponse par oui ou non. Si vous demandez « Y a-t-il des places disponibles sur le prochain
vol pour Cleveland ? », vous ne demandez
pas la liste de ces places - mais seulement
s'il y en a de disponibles. Dans
certains cas, vous voulez obtenir un
nombre en réponse à une requête.
Toujours dans notre exemple, vous
pourriez demander le nombre de
places libres sur cet avion pour
Cleveland, parce que vous voulez faire
voyager une équipe de football. Là encore,
une telle réponse n'a pas besoin
de SQL Server pour renvoyer un ensemble
de lignes. Bien entendu, ces requêtes
sont bien incapables de juger
de la pertinence d'aller à Cleveland : il
faudrait pour cela un système bien plus
sophistiqué que tout SGBD connu.
Droit au but avec ADO .Net
par Burton Roberts - Mis en ligne le 24/06/2003
Un rapport tabulaire, ou en colonnes,
présente l'information dans
des lignes, comme celles d'une base de
données. Les en-têtes de colonnes
d'un rapport tabulaire correspondent
aux noms des colonnes de la table. Un
rapport à tabulation croisée (crosstab
en raccourci) est une matrice ou une
feuille de calcul à deux dimensions qui
a des critères de recherche horizontaux
dans les en-têtes de colonnes et
verticaux dans les en-têtes de lignes, à
gauche. Les données que vous recherchez
- généralement résumées par
une fonction d'agrégation comme
SUM(), AVERAGE() ou COUNT() - occupent
les cellules intérieures de la matrice.
myLittleTools.net lance la version 2.0 de myLittleAdmin
myLittleTools.net lance la version 2.0 de myLittleAdmin, outil d'administration en ligne de bases de données SQL Server et MSDE.
Cette nouvelle version a été entièrement ré-écrite.
Lire l'articleOutils client pour Analysis Services
par l'équipe OLAP d'ASPIRITY - mis en ligne le 19/05/2003
En 1996, Microsoft a fait son entrée
dans le monde de l'analyse online en
acquérant la technologie de la société
israélienne Panorama Software. Sous le
nom d'OLAP Services, cette technologie
est devenue partie intégrante de
SQL Server 7.0 en 1999. Dans SQL
Server 2000, le produit a été étendu et
rebaptisé Analysis Services. Le dernier produit d'analyse est un puissant fournisseur
d'OLAP (online analytical processing),
mais dépourvu d'un outil
client pour consulter, présenter ou
analyser des données. Les clients qui
veulent utiliser Analysis Services sans
écrire un navigateur client maison doivent
par conséquent trouver une application
client du commerce adéquate.
Pour aider les lecteurs à choisir l'application
client la mieux adaptée à leurs
besoins, nous avons comparé cinq de
ces produits. Après qu'au moins deux
consultants aient évalué chaque outil,
nous avons rapproché et récapitulé les
conclusions. Nous nous sommes aussi
assurés qu'au moins l'un des examinateurs
de chaque outil l'avait utilisé dans
un vrai contexte client.
DbPAL supporte SQL Server
IT-Map annonce dbPAL, suite de modules intégrés destinés à aider les développeurs système et les DBA à gérer leurs bases de données.
La fonction Schema Editor permet aux utilisateurs de créer et maintenir le concept schema de la base de données et d'afficher de multiples vues de type DBMS. DbPAL supporte SQL Server. Il est possible d'utiliser dbPAL pour synchroniser le contenu de la base de données.
Lire l'articleAppDancer/FA
AppDancer Networks présente AppDancer/FA, logiciel d'analyse et de flux d'applications réseau. Cette version permet de surveiller les transactions SQL Server et Exchange Server en temps réel.
AppDancer/FA ne contrôle pas seulement les unités, les applications et tous les flux IP associés mais il permet également de comprendre les travaux internes du réseau.
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