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Réunion du GUSS : SQL Server 2008, vers une amélioration de l’ergonomie !

Réunion du GUSS : SQL Server 2008, vers une amélioration de l’ergonomie !

En décembre dernier,  la réunion du groupe des utilisateurs francophone de SQL Server (le GUSS) s’est tenue dans les locaux de Microsoft France. Ce rendez-vous fut l’occasion d’une rencontre entre les membres du groupe, mais aussi de découvrir en avant-première, la version 2008 de Microsoft SQL Server. Cette preview était animée par Patrick Guimonet, et […]

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Actualité SQL server magazine- sem51

Actualité SQL server magazine- sem51

Quest Software a annoncé le lancement d’un programme, de bêta test de LiteSpeed 5.0, son logiciel de sauvegarde et de restauration des bases SQL Server. Ce programme est ouvert aux sociétés clientes des solutions Quest Software ainsi qu’aux sociétés équipées de SQL Server, désirant y participer. Les nouvelles fonctions de LiteSpeed 5, seront mises en […]

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L’extraction à  la volée

L’extraction à  la volée

Analysis Services a modifié le regard des entreprises sur leurs données. Bien qu’OLAP existait assurément avant que Microsoft ne propose Analysis Services avec SQL Server, le géant de Redmond l’a mis à la portée des entreprises de toutes tailles.Celles-ci peuvent désormais analyser leurs données afin de prendre des décisions plus rapidement, à partir d’informations plus pertinentes. Analysis Services inclut une fonctionnalité appelée « extraction » (ou drillthrough en anglais) qui, une fois activée par les concepteurs de cubes, fournit à l’analyste un moyen d’exploration partant des données du cube pour aller jusque dans les tables relationnelles sous-jacentes. Cette approche permet d’examiner les enregistrements sur lesquels reposent les données visibles dans le cube. Par exemple, si l’enregistrement de cube indique qu’un client a acheté pour 10 000 dollars d’un produit spécifique, vous pouvez effectuer une extraction sur cet enregistrement afin de savoir si le client a passé une seule commande d’un montant de 10 000 dollars ou 10 000 commandes d’un dollar chacune.

L’extraction fonctionne bien dans la majorité des cas, mais elle présente un défaut. Vous ne pouvez pas modifier une requête d’extraction à la volée. Le créateur du cube configure la requête une seule fois pour le cube et celle-ci devient statique. Si vous devez passer des paramètres dans la requête d’extraction, vous ne pouvez pas employer Analysis Services seul. En revanche, vous pouvez créer un rapport d’extraction dans Reporting Services, puis utiliser une action au niveau cellule dans Analysis Services pour appeler le rapport et passer les paramètres appropriés. Cette option est particulièrement utile pour passer un niveau parmi plusieurs d’une dimension en tant que paramètre à une requête d’extraction, sans connaître à l’avance le niveau concerné. Un rapport d’extraction fonctionne également lorsque vous effectuez des comptages et si le champ sur lequel porte l’opération dans la table de faits peut contenir des valeurs NULL.

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Créez votre propre bibliothèque de code

Créez votre propre bibliothèque de code

Les développeurs de base de données ADO.NET utilisent fréquemment les chaînes T-SQL afin de récupérer des données pour leurs applications. Si leur connaissance de la conception d’une base de données et/ou du langage T-SQL est insuffisante, le processus de création des chaînes pour leurs applications peut aboutir à des conceptions d’accès aux données inefficaces, voire à des ensembles de résultats présentant des valeurs erronées.Dans ce type de situation, la réutilisation du code T-SQL dans des objets de base de données tels que des procédures stockées et des fonctions définies par l’utilisateur (UDF) présente des avantages particuliers. Cette approche peut contribuer à simplifier la tâche d’accès aux données et sécuriser le schéma d’une base de données. Un développeur ou DBA confirmé peut préparer une bibliothèque de code T-SQL qui sera ensuite réutilisée par des développeurs débutants ou un peu aguerris pour de nombreuses tâches courantes d’accès aux données. Le développeur ou DBA peut en outre exiger que les applications client se connectent via des comptes de sécurité qui ont le droit d’appeler les procédures stockées et fonctions UDF de la bibliothèque, mais pas nécessairement les objets sous-jacents.

Dans cet article, nous allons étudier les techniques pour le traitement des procédures stockées et des fonctions UDF avec ADO.NET et Visual Basic .NET. Pour ce faire, nous allons utiliser deux exemples d’applications s’appuyant sur les tables Categories et Products de la base de données exemple Northwind. Vous pouvez réaliser une jointure entre ces deux tables sur les valeurs de la colonne CategoryID. Il est possible d’adapter les exemples de code présentés ici afin des les appliquer à toute paire de tables jointes sur une ou plusieurs paires de valeurs de colonne. Les exemples de code T-SQL sont également utiles à un autre titre : ils exposent les techniques pouvant servir à améliorer la réutilisabilité du code.

Ces techniques incluent l’utilisation de paramètres d’entrée, de paramètres de sortie et de valeurs d’état de retour avec des procédures stockées, ainsi que la mise en oeuvre de valeurs scalaires et de valeurs de type table retournées par les fonctions UDF. En apprenant ces techniques et en les appliquant dans vos applications, vous décuplerez la réutilisabilité du code T-SQL dans vos procédures stockées et fonctions UDF. (Vous pouvez cependant appliquer les techniques Visual Basic .NET présentées dans cet article avec n’importe quel langage .NET qui met en oeuvre la programmation ADO.NET, tel que C#).

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CLR : un potentiel à  découvrir

CLR : un potentiel à  découvrir

Dans l’article « SQL Server : retour vers le futur » (www.itpro.fr), j’explique que les données sont au coeur de la majorité des systèmes informatiques modernes et que SQL Server 2005 va estomper les frontières traditionnelles du modèle d’applications multiniveaux. L’un des facteurs clé du changement de notre vision des niveaux d’une architecture informatique est l’inclusion du Common Language Runtime (CLR) dans SQL Server 2005.Cette fonctionnalité est l’une des plus commentées du nouveau produit et les avis positifs ou négatifs à son sujet sont très marqués, allant des utilisateurs qui souhaitent la désactiver ad vitam aeternam aux utilisateurs qui veulent l’employer à toutes les sauces. Les réactions à l’intégration du CLR dans SQL Server 2005 sont intéressantes. Alors qu’un membre de l’équipe de développement SQL Server effectuait une présentation sur l’intégration du CLR, une personne de l’assistance s’est levée et a crié « T-SQL est-il mort ? ». Cette question nous a incité à mettre en place une session spécifique intitulée « Non, T-SQL n’est pas mort ! ». A l’inverse, j’ai eu une conversation avec un programmeur ASP qui venait de découvrir l’intégration du CLR SQL Server et a déclaré d’emblée qu’il constituerait un emplacement remarquable pour stocker tous les assemblys .NET destinés à son site Web.

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SSIS et la sécurité

SSIS et la sécurité

Comme toutes les autres fonctionnalités présentes dans SQL Server 2005 Integration Services (SSIS), les nouveautés du produit touchant à la sécurité diffèrent sensiblement de leurs homologues dans DTS. SSIS continue d’employer des mots de passe et crypte les données sensibles, mais l’approche a profondément changé et se traduit par une simplification de l’exécution, de la protection, de la planification et de la modification des lots automatisés.Les fonctionnalités de sécurité de SSIS se répartissent en cinq catégories fonctionnelles : le cryptage, pour la sécurité des lots ou de parties d’entre eux ; la protection des données sensibles, pour l’identification et la protection des mots de passe et autres données critiques ; les rôles SQL Server, pour le contrôle de l’accès aux lots stockés dans SQL Server ; la signature numérique du code, pour garantir qu’un lot n’a pas changé ; et, enfin, l’intégration des sous-systèmes de l’Agent SQL Server, pour le stockage et l’exécution sécurisée des lots. Le présent article examine en détail ces nouvelles fonctionnalités de sécurité et propose des conseils sur les modalités et les circonstances de leur mise en oeuvre. A cette occasion, j’aimerais remercier tout spécialement Sergei Ivanov, le développeur de l’équipe Integration Services qui a écrit ces fonctionnalités, pour ses réponses à toutes mes questions et pour s’être assuré que je comprenais parfaitement les moindres détails.

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Tous les actualités SQL Server de la semaine du 18 au 24 Juin 2007

Tous les actualités SQL Server de la semaine du 18 au 24 Juin 2007

Le prochain SQL Server connu sous le nom de Katmai est annoncé pour 2008 par Microsoft. Il est de plus disponible en CTP sur le site Connect de Microsoft : https://connect.microsoft.com/SQLServer . Les fonctionnalités seront ajoutées au fur et à mesure dans les CTP jusqu’à la sortie définitive prévue pour 2008. Plus d’informations sur Katmai

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ConvertU2 annonce 2SQL,

ConvertU2 annonce 2SQL,

ConvertU2 annonce 2SQL, logiciel qui convertit automatiquement les bases de données Access en SQL Server en utilisant le modèle Access Project.

2SQL convertit les requêtes Access en vues ou procédures stockées, les Data Access Objets (DAO) en ADO,  les fonctionnalités Access dans les équivalents SQL Server et les fonctions Access qui n’ont pas leur équivalents en UDF (user-defined functions).

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ADO.NET 2.0 plus intelligent, plus rapide et plus performant.

ADO.NET 2.0 plus intelligent, plus rapide et plus performant.

A l’occasion du cadre du lancement de Visual Studio 2005 et de SQL Server 2005, les fournisseurs de contenu nous inondent de cours, d’articles techniques et de documents marketing sur le sujet. Dans leur grande majorité, ces nouveaux contenus exaltent ouvertement les vertus de la nouvelle version d’ADO.NET et des outils permettant de créer des applications qui la référence.Nombreux sont les articles qui se contentent d’énumérer la longue liste de nouvelles fonctionnalités clinquantes d’ADO.NET 2.0, mais je crois que les développeurs se préoccupent plus de savoir comment ces fonctionnalités résoudront des défis de développement spécifiques. Par conséquent, cet article présente ADO.NET 2.0 en répertoriant certains problèmes importants et en expliquant comment cette nouvelle version les résout d’une manière à la fois plus intelligente, plus rapide et plus performante.

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Boostez les performances avec les connecteurs personnalisés

Boostez les performances avec les connecteurs personnalisés

Un des changements les plus spectaculaires dans SQL Server 2005 est la refonte de Data Transformation Services (DTS), rebaptisé en SQL Server 2005 Integration Services (SSIS). Ce nouvel outil constitue un produit d’extraction, de transformation et de chargement (ETL) offrant des performances incroyables, un catalogue de composants dynamiques bien fourni, un modèle de déploiement solide, ainsi que des qualités de flexibilité et d’extensibilité.Cette dernière qualité a toujours constitué un point fort des produits Microsoft et l’éditeur s’est concentré sur le développement de plates-formes robustes répondant aux besoins courants des clients, tout en permettant à ces derniers d’étendre ses solutions pour satisfaire des exigences spécifiques. Au moment de déterminer le rôle dévolu à SQL Server 2005 et, en particulier à SSIS, dans votre environnement, il est nécessaire de comprendre les possibilités d’extensibilité offertes par la plate-forme.

Cet article étudie les phases de création, d’installation et de test pour SSIS d’un exemple de composant de source personnalisé qui soit capable de lire et d’analyser des fichiers journaux Web IIS (Internet Information Server). Ce composant personnalisé permet à un lot SSIS d’utiliser un fichier journal IIS en tant que source de données, puis de transformer ce fichier et de le diriger vers un composant de destination. Cet article illustre la facilité avec laquelle vous pouvez créer un composant de source personnalisé simple.

Ayez à l’esprit que nous avons développé et testé cet exemple sur la version SQL Server bêta 2 October Community Technology Preview (IDW 9). A ce stade du développement du produit, les principaux éléments sont déjà bien finalisés, mais certains détails tels que les noms d’objet incluant l’ancien nom DTS peuvent encore changer d’ici la version définitive. Même si nous pensons que cet exemple pourra encore être compilé et fonctionner sur les futures bêtas et sur le produit final, Microsoft a modifié considérablement SSIS entre la bêta 1 et la bêta 2, et d’autres modifications de cette nature sont encore possibles.

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SQL Server Actualités – Semaine 48 – 2006

SQL Server Actualités – Semaine 48 – 2006

Les actualités SQL Server de la semaine du 27 Novembre au 3 Décembre 2006

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Double-Take Application Manager

Double-Take Application Manager

Double-Take Application Manager, qui supporte à la fois les environnements SQL Server et Exchange Server, gère la protection des applications à partir d’une interface d’administration centralisée, ce qui élève le degré d’automatisation et augmente la simplicité de configuration. 

La protection des données est ainsi améliorée, la reprise sur sinistre accélérée et le niveau de disponibilité des applications accru pour les utilisateurs de plates-formes Windows dont les systèmes critiques reposent sur SQL Server et Exchange Server.

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Liste de contrôle T-SQL

Liste de contrôle T-SQL

par Itzik Ben-Gan. Mise en ligne : 29 Novembre 2006, Parution SQL Magazine : Juin 2005

T-SQL est le langage principal pour l’accès aux données côté serveur et la manipulation de celles-ci dans SQL Server. L’application des meilleures pratiques vous aidera à exploiter au mieux ses possibilités. En vous appuyant sur la liste de contrôle suivante, vous serez certain d’avoir un code T-SQL performant et convivial en termes de maintenance.- Utilisez des solutions basées sur des ensembles. Ce type de solution est généralement plus rapide, plus simple et moins longue que des solutions à base de curseur. Les solutions basées sur des ensembles permettent à l’optimiseur SQL Server d’évaluer plusieurs plans d’exécution et de choisir le plus performant au lieu d’imposer une approche particulière. Les curseurs nécessitent beaucoup de temps de traitement et il vaut donc mieux les éviter dans la mesure du possible. Les solutions itératives sont appropriées dans quelques cas et il est important de les identifier au lieu d’envisager d’emblée ce type d’approche.

- Ecrivez plusieurs solutions. Ne vous contentez pas de la première solution qui marche. Elaborez systématiquement plusieurs solutions, comparez leurs performances, leur simplicité et leur évolutivité, puis choisissez celle qui répond le mieux à vos besoins.

- Privilégiez le code conforme ANSI. Utilisez autant que possible du code conforme à la norme ANSI. L’écriture de code standard présente de nombreux avantages : elle facilite le portage, pas seulement entre plates-formes de base de données, mais aussi vers de futures versions de SQL Server. De même, la signification du code standard est claire, à la différence de certaines constructions propriétaires, telles que *= ou =* pour des jointures externes. Envisagez d’employer du code non standard uniquement lorsque T-SQL fait appel à une fonction propriétaire extrêmement avantageuse en termes de performances ou une fonctionnalité qui n’a pas d’alternative standard.

- Employez les procédures stockées. Privilégiez cette approche au lieu de mettre en oeuvre toute la logique dans l’application. Les procédures stockées permettent de partager la logique applicative et fournissent un procédé d’encapsulation, de sorte que vous pouvez réviser leur implémentation sans affecter l’application tant que l’interface de la procédure reste inchangée. Les procédures stockées constituent un très bon outil pour contrôler la sécurité et l’intégrité des données, pour réduire le trafic réseau en évitant de multiples allers et retours entre le client et le serveur, et pour réutiliser les plans d’exécution.

- Spécifiez des noms de colonne dans la liste SELECT de votre requête. Spécifiez systématiquement une liste de colonnes explicite ; évitez le symbole * dans la liste SELECT de vos requêtes et expressions de table (par ex. vues, tables dérivées, fonctions inline). En indiquant uniquement les noms des colonnes nécessaires, vous laissez à l’optimiseur le soin d’envisager des index de couverture. Et vous n’avez pas de souci à vous faire en cas de changement du schéma des objets sous-jacents.

- Ne supposez jamais qu’il existe un ordre physique des données. Une erreur courante commise par les programmeurs T-SQL débutants est de s’appuyer sur un certain ordre physique des données. Souvenez-vous que ce langage repose sur le modèle relationnel, lequel est à son tour basé sur la théorie des ensembles. Une table (ensemble) n’a pas d’ordre prédéterminé de ses lignes. Lorsque vous devez trier les donnée

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Liste de contrôle des sauvegardes de journaux

Liste de contrôle des sauvegardes de journaux

par Kalen Delaney. Mise en ligne : 29 Novembre 2006, Parution SQL Magazine : Juin 2005

La sauvegarde de votre journal des transactions permet d’avoir un historique de tous les changements apportés à une base de données SQL Server, afin que vous puissiez restaurer cette dernière ultérieurement, si la situation l’exige. La liste suivante vous aidera à avoir en mémoire les fonctions clé des sauvegardes de journaux afin de les employer au mieux.- Utilisez le modèle de récupération complète ou journalisée en bloc. Si votre base de données applique le modèle de récupération simple, vous ne pouvez pas sauvegarder les journaux car SQL Server tronque votre journal régulièrement.

- Stockez votre journal des transactions sur un lecteur miroir. Même si vos fichiers de données sont endommagés et si la base de données est inutilisable, vous pouvez sauvegarder le journal des transactions si les fichiers journaux et le fichier de données principal sont disponibles. Utilisez un niveau RAID qui garantit la redondance, à savoir 1 ou 10, et vous serez en mesure de sauvegarder toutes les transactions jusqu’au point de défaillance, puis de les réappliquer vers la base de données restaurée.

 - Surveillez la taille du journal. Bien que la planification soigneuse de cette valeur soit vitale, ne partez pas du principe que la taille du journal n’excédera pas celle constatée pendant les tests. Utilisez les alertes de l’Agent SQL Server pour surveiller les compteurs de l’Analyseur de performances (Performance Monitor) servant à suivre la taille du fichier et dès que le journal franchit un seuil défini par vos soins, l’Agent SQL Server peut accomplir des actions prédéterminées telles que l’exécution d’un script d’augmentation de la taille du journal, l’envoi d’un e-mail à votre attention ou la réduction de la taille du fichier.

- Rappelez-vous que les sauvegardes de journal ne se chevauchent pas. Dans SQL Server 2000 et 7.0, chaque sauvegarde de journal contient toutes les transactions depuis la sauvegarde du journal précédente, de sorte qu’une transaction de longue durée peut s’étendre sur plusieurs sauvegardes. Par conséquent, lorsque vous restaurez des sauvegardes de journaux, n’utilisez pas l’option WITH RECOVER tant que vous n’avez pas appliqué le dernier journal. Des sauvegardes ultérieures peuvent contenir la suite de transactions présentes dans la sauvegarde de journal courante.

- Sachez faire la différence entre le terme « troncature » et « réduction de la taille ». La sauvegarde du journal exécute une opération de troncature, ce qui permet à des parties de celui-ci d’être disponibles pour être remplacées par de nouveaux enregistrements. Cela n’affecte pas la taille physique du fichier journal. Seule l’opération de réduction de la taille a une incidence sur celle-ci.

- Planifiez soigneusement la fréquence des sauvegardes de journal. Il n’existe pas de réponse standard et vous devrez systématiquement effectuer des compromis. Plus vos sauvegardes seront fréquentes, plus elles seront nombreuses à gérer et à restaurer, mais moins vous perdrez de transactions en cas de défaillance du système.

- La taille du journal ne reflète pas forcément la taille de la sauvegarde. Si votre base de données applique le modèle de récupération journalisée en bloc, les sauvegardes de journaux incluent toutes les données affectées par les opérations en bloc, de sorte que les sauvegardes en question peuvent représenter plusieurs fois la taille du fichier journal.

- Conservez des sauvegardes de jou

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Actu SQL – Semaine 15 : Business Intelligence / EMC développe l’interopérabilité / Service Client Collaboratif

Actu SQL – Semaine 15 : Business Intelligence / EMC développe l’interopérabilité / Service Client Collaboratif

Les actualités SQL Server de la semaine du 09 au 15 Avril 2007

- Business Intelligence avec SQL Server 2005
- EMC développe l’interopérabilité et les possibilités de ses infrastructures pour la plate-forme Microsoft
- Service Client Collaboratif

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SQL Server Actualités – Semaine 46 – 2006

SQL Server Actualités – Semaine 46 – 2006

Les actualités SQL Server de la semaine du 13 au 19 Novembre 2006

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Solution de gestion des actifs

Solution de gestion des actifs

Infor, fournisseur de logiciels d’entreprise, vient d’annoncer que la dernière version de son logiciel Infor EAM MP2, solution de gestion des actifs pour petites et moyennes entreprises, est désormais disponible au niveau mondial.

Des solutions de gestion des actifs, DataMirror dévoile la nouvelle version de sa solution d’intégration de données: Transformation Server 6.0, et d'autres solutions de stockage.

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SecureSphere Database Minitoring Gateway

SecureSphere Database Minitoring Gateway

Imperva annonce l’appliance SecureSphere Database Minitoring Gateway. SecureSphere journalise l’activité des bases de données, basée sur le login ID de l’utilisateur.

Le produit enregistre toute activité de la base de données et identifie toutes les utilisations de la base de données. SecureSphere DMG fonctionne indépendamment du serveur de la base de données.

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ANALYSIS SERVICES 2005 automatise l’analyse temporelle

ANALYSIS SERVICES 2005 automatise l’analyse temporelle

Dans SQL Server 2005, Analysis Services a été complètement remanié en vue de proposer la plate-forme d’analyse décisionnelle (en anglais BI, Business Intelligence) la plus performante au monde. Cette nouvelle version comporte une multitude de fonctionnalités et d’améliorations intégrées afin de fournir des solutions intelligentes et automatiques aux problèmes métiers courants. Il n’est plus besoin d’être un expert d’OLAP ou du codage MDX (Multidimensional Expressions) pour créer des applications analytiques riches en fonctionnalités.Les améliorations apportées à Analysis Services 2005 sur le plan de l’analyse temporelle (en anglais, Time Intelligence) permettent de créer facilement des calculs temporels. Cet article examine d’abord en quoi le nouvel assistant « Business Intelligence Wizard » facilite la mise en oeuvre de l’analyse temporelle. Il aborde ensuite les aspects « pourquoi » et « comment » sous-jacents au niveau de l’assistant. Enfin, l’article analyse les techniques de modélisation employées dans le domaine de l’analyse temporelle et examine le code généré par l’assistant afin de présenter plusieurs meilleures pratiques pour la modélisation des métadonnées et MDX. Comme le contenu exposé ici constitue un bref aperçu des possibilités du produit, ces informations acquérront toute leur utilité si vous êtes déjà familier de SQL Server 2000 Analysis Services.

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7 étapes pour le contrôle des changements de base de données.

7 étapes pour le contrôle des changements de base de données.

Par Michelle A. Poolet. Mise en ligne le 15 Novembre 2006, Publication SQLServer : Juin 2005

Maîtrisez facilement et efficacement la gestion des changements

Le contrôle des changements n’est pas réservé au seul développement d’applications. Les schémas de base de données, au même titre que tout autre composant de votre organisation informatique, ont besoin de cette fonctionnalité. En effet, ces schémas (tables, colonnes, types de données, fonctions, procédures stockées, vues, etc.) ne sont pas statiques et suivent tout naturellement l’évolution des besoins de l’organisation. Lorsqu’une entreprise doit s’attaquer à de nouveaux marchés, élargir sa mission ou modifier une activité, sa base de données doit être capable de soutenir ses efforts et être, le cas échéant, modifiée en conséquence. L’astuce consiste à gérer soigneusement ces changements.Si vous n’avez pas de méthodologie pour gérer les changements d’une base de données, vous risquez de dénormaliser le schéma de cette dernière, ce qui peut avoir un coût en termes d’espace disque et de performances. Il peut vous arriver de créer des déclencheurs et procédures qui interfèrent avec les processus existants, entraînant une corruption possible des données stockées et des rapports générés.

En règle générale, la gestion des changements du schéma incombe à l’administrateur de la base de données physique. Le fait de confier cette tâche à une personne ou un groupe est judicieux car celle-ci ou celui-ci a souvent la connaissance la plus intime de la base de données. Néanmoins, lorsque vous modifiez une ou plusieurs tables, il est très facile d’oublier quelque chose, de laisser un aspect de côté ou d’omettre l’incidence possible d’un changement apparemment mineur. Vous pouvez également sous-estimer le délai nécessaire à l’accomplissement du changement. En l’absence de logiciel spécialisé pour vous seconder, vous pouvez recourir à une liste de contrôle des demandes de changement au format feuille de calcul, telle que celle illustrée à la figure 1. 1 Dans ce formulaire, vous pouvez consigner les changements de base de données proposés avant de les appliquer, en utilisant un formulaire pour chaque table concernée par la demande. 2 Il est possible d’affecter une priorité à chaque changement en appliquant une échelle de A à F, la lettre A indiquant une importance immédiate et F signifiant un changement pouvant intervenir à n’importe quel moment.

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