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Windows NT et VMS : de proches cousins

Windows NT et VMS : de proches cousins

Lors du lancement de la première version de Windows NT par Microsoft, en avril 1993, Microsoft a lourdement insisté sur le sigle " NT " (pour Nouvelle Technologie) du nom de l'OS. L'éditeur a présenté NT comme un système d'exploitation très en pointe, offrant toutes les caractéristiques que pouvaient attendre les utilisateurs d'un OS destiné aux stations de travail et aux serveurs de petite ou de moyenne taille. Windows NT était certes un nouveau système d'exploitation en 1993, avec une nouvelle API (Win32) et de nouveaux outils d'administration, mais les racines de l'architecture de base et l'implémentation de Windows NT remontent en fait au milieu des années soixante-dix. Partir à  la découverte des racines profondes de Windows NT mène rapidement à  Digital et à  son système d'exploitation VMS. Les principaux développeurs de Windows NT, dont son architecte en chef David Cutler, sont pour la plupart issus de Digital et leur passé a nettement joué sur le développement de l'OS. Après une rapide évocation de l'histoire de Windows NT, nous verrons les similitudes, loin d'être de pures coïncidences, entre Windows NT et VMS, ainsi que la réaction de Digital lors de la sortie du nouvel OS.

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Comment intégrer Windows NT dans un environnement Unix

Comment intégrer Windows NT dans un environnement Unix

Les serveurs Windows NT empiètent de plus en plus sur les environnements UNIX. Or, ni l'un ni l'autre des deux OS ne convient à  toutes les situations. Les tenants de Windows NT et d'UNIX préfèrent généralement que les réseaux se limitent à  leur solution respective, mais beaucoup de fournisseurs (dont Microsoft, HP, Compaq et SCO) ont adopté des programmes d'interopérabilité agressifs.
Au final, la plupart des entreprises exploitent à  la fois NT et UNIX, car chacun des OS offre des fonctionnalités propres. Avant de prendre la décision d'intégrer Windows NT dans une entreprise fortement engagée dans UNIX, il convient de répondre à  quelques questions fondamentales. Commencez par cerner quels sont les facteurs qui vous incitent à  ajouter NT à  votre réseau.
Avez-vous des raisons techniques ou professionnelles pressantes, ou bien suivez-vous simplement la tendance du secteur ?
Etudiez ensuite le coût des matériels et logiciels qu'exigerait un réseau mixte sur une période de cinq ans.
Troisièmement, pensez aux coûts cachés d'une telle intégration, y compris son effet sur les utilisateurs de votre réseau (par exemple la formation, le temps d'arrêt potentiel, la résistance au changement…).
Quatrièmement, assurez-vous que les applications sous Windows NT peuvent répondre aux exigences de votre organisation. Cinquièmement, déterminez si les avantages qui en découlent l'emportent sur le coût occasionné par l'intégration des deux OS.Pour associer NT et UNIX dans un réseau, il faut mettre sur pied un projet d'intégration adapté aux besoins de l'entreprise. Les administrateurs systèmes qui en sont chargés risquent facilement d'être submergés. Il n'est malheureusement pas possible d'utiliser de schéma clair pour mixer les deux OS. Il n'existe aucune solution convenant à  toutes les entreprises.

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Comment éditer le Registre de Windows NT

Comment éditer le Registre de Windows NT

Tôt ou tard tout administrateur Windows NT est amené à  éditer le Registre, que ce soit pour corriger un problème, améliorer les performances ou renforcer la sécurité. Cet article explique comment trouver et modifier en toute sécurité les paramètres du Registre et comment y ajouter de nouvelles valeurs. Dans de nombreux cas, la correction d'un problème via la modification du Registre de Windows NT s'accompagne d'avertissements sur les conséquences qu'auraient des modifications erronées.
Se pose alors la question du moindre mal - est-il préférable de vivre avec le problème ou vaut-il mieux appliquer la correction en risquant d'introduire une erreur dans le Registre ?
En fait, éditer le Registre n'est pas aussi risqué qu'on pourrait le penser, à  condition de prendre quelques précautions.

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Résoudre le casse-tête de la gestion des licences

Résoudre le casse-tête de la gestion des licences

Savez-vous combien de serveurs et d'applications sont supportés par votre service informatique ? Avez-vous des enregistrements précis des licences clients payées et surveillez-vous l'accès des clients à  vos logiciels ? Pourtant, vous ne pouvez ignorer que les violations du copyright des logiciels sont répréhensibles. Tout utilisateur qui réalise, acquiert ou utilise des copies non autorisées de logiciels, peut encourir une amende ou de la prison. L'attitude désinvolte d'un utilisateur vis-à -vis du partage des logiciels peut avoir des conséquences juridiques sérieuses pour votre entreprise. Le meilleur moyen de vous protéger est de veiller à  informer en permanence vos employés des risques associés aux copies non autorisées des logiciels. Vous devez créer et promouvoir une politique logicielle définissant des directives aux employés sur l'utilisation des logiciels en interne et sur l'Internet. La Software Publishers Association en propose un modèle sur son site Web à  l'adresse http://www.spa.org/piracy/empguide.htm.

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Le top 10 des raccourcis clavier

Le top 10 des raccourcis clavier

Même en cette époque triomphante de l'interface graphique, le clavier reste un outil essentiel. Souvent il est tout simplement plus rapide que la souris. Certains raccourcis clavier offrent des moyens plus rapides d'effectuer des actions qui s'effectuent normalement avec la souris, mais d'autres n'ont pas d'équivalent graphique. L'Explorateur Windows supporte tous ces raccourcis, on peut donc les utiliser aussi dans Windows 9x.

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A l’intérieur d’une procédure cataloguée SQL

A l’intérieur d’une procédure cataloguée SQL

Voici quelques techniques de programmation essentielles pour le coding de SPL, le nouveau langage SQL pour les procédures cataloguées Sur l'AS/400, une procédure cataloguée est un programme que l'on peut invoquer depuis un programme serveur ou client, au moyen d'une instruction SQL Call. Les procédures cataloguées ont pour principal avantage d'améliorer le niveau de performances et de sécurité des applications client/serveur. Une procédure cataloguée peut améliorer les performances en traitant les lignes (enregistrements) UDB/400 avant de transmettre les données au client. On peut aussi utiliser les droits adoptés par programme avec les procédures cataloguées pour mieux contrôler l'accès aux données UDB/400 et leur modification par les applications clients (pour en savoir plus sur les procédures cataloguées et leurs avantages, voir l'article “ Le client/serveur plus sûr et plus rapide avec les procédures stockées de DB2/400 ”, NEWSMAGAZINE, juin 1996).  Le principal mérite du langage SPL de SQL est sa portabilité
On peut écrire des procédures cataloguées en n'importe quel langage évolué (HLL : High-Level Language) AS/400 et, à  partir de la V4R2, avec des extensions ajoutées au langage SQL lui-même. Le principal mérite du langage de procédures cataloguées (SPL : Stored Procedure Language) SQL est sa portabilité : la même procédure cataloguée peut servir sur d'autres plates-formes UDB (AIX ou Windows NT par exemple) ainsi qu'avec Oracle et Microsoft SQL Server. Autre avantage non négligeable : un coding plus simple de certaines tâches, du fait que SPL est mieux adapté aux opérations base de données SQL.
Moyennant la prise en compte de quelques techniques, il est facile d'écrire des procédures cataloguées en SPL. Dans l'article “ Nouveau : des procédures cataloguées en SQL/400 ” (NEWSMAGAZINE, juin 1998), je décortique une procédure cataloguée complète et représentative écrite en SPL. Après cette “ visite ”, vous serez plus rapidement productif avec SPL.

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Voyage au coeur du Registre

Voyage au coeur du Registre

Le Registre est la base de données centralisée des configurations de Windows NT et des applications. Il stocke des informations sur les paramètres d'optimisation, la configuration des périphériques et les préférences des utilisateurs. Il existe de nombreux ouvrages et articles, utiles pour apprendre comment s'organise l'agencement logique du Registre, où sont stockés les paramètres de configuration spécifiques, quelles valeurs ces paramètres peuvent contenir et ce qui se passe quand on les modifie. Mais tous ces documents n'expliquent pas comment NT gère physiquement le Registre.
En d'autres termes comment NT et Windows 2000 organisent le Registre sur le disque, comment ils localisent et récupèrent les informations et quelles mesures ils emploient pour protéger cette base de données si vitale à  leur fonctionnement.Cet article va expliquer comment le Gestionnaire de configurations - le sous-système du kernel qui met en oeuvre le Registre - organise les fichiers du Registre sur le disque, comment il gère le Registre lorsque des applications ou d'autres composants de l'OS lisent et changent les clés et les valeurs du Registre.
Enfin, nous évoquerons les mécanismes dont le Gestionnaire de configurations se sert pour maintenir constamment le Registre dans un état récupérable, même en cas de crash du système pendant une modification. Pour tirer le plus grand parti de cet article, vous devez vous familiariser avec l'organisation logique du Registre, y compris les concepts de clé racine, sous-clé et valeurs. Si vous ne maîtrisez pas ces notions, je vous conseille de lire d'abord l'article " Entrez dans le Registre de Windows NT " de notre numéro de septembre 1997.

Sur le disque, le Registre n'est pas simplement un grand fichier, mais un ensemble discontinu de fichiers baptisés ruches

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A nouveau matériel, nouveaux logiciels

A nouveau matériel, nouveaux logiciels

L'achat d'un nouvel ordinateur peu parfois réserver des surprises. Première surprise : les gains de performances ne sont pas exceptionnels. En outre, il permet de découvrir des choses très intéressantes. J'ai acheté ce mois-ci un nouvel ordinateur Pentium II à  450 MHz comme poste de travail. L'arrivée du système m'a rappelé que quels que soient les chiffres, les ordinateurs ne donnent pas l'impression d'aller beaucoup plus vite à  chaque itération.
La différence de vitesse entre le nouvel ordinateur et mon système Pentium MMX à  166 MHz, âgé de deux ans, n'était pas aussi grande que ce que j'attendais. Cette mise à  niveau n'était pas, loin s'en faut, aussi enthousiasmante que celle d'un système 8088 4,77 MHz vers un 80286 à  6 MHz il y a quelques années.
En revanche, elle m'a permis de faire des découvertes captivantes.

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Par où commencer avec les jointures SQL/400

Par où commencer avec les jointures SQL/400

Le coding de base des jointures SQL est simple ; voici comment procéder Une opération de jointure sur la base de données combine des lignes (c'est-à -dire des enregistrements) provenant de deux ou plus tables (c'est-à -dire des fichiers) pour produire une table résultat utilisable ensuite pour d'autres opérations. DB2 Universal Database for AS/400 (UDB/400) permet les opérations jointes par l'intermédiaire de plusieurs mécanismes :

  • fichiers logiques joints définis en DDS
  • les paramètres FILE et FLD de la commande OPNQRYF (Open Query File)
  • les clauses FROM et WHERE d'une sous-selection SQL
Parmi toutes ces possibilités, c'est SQL qui offre le plus de souplesse et la syntaxe la plus simple. Et, comme SQL est aussi une interface base de données stratégique d'IBM pour UDB/400, il est d'autant plus intéressant de savoir coder une jointure SQL. Comme cet article le démontre, il est facile de démarrer avec des jointures.

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Les bonnes astuces de nos lecteurs

Les bonnes astuces de nos lecteurs

L'article " Le top 10 des raccourcis clavier " de septembre1999 ont incité plusieurs lecteurs à  nous soumettre leurs propres astuces de productivité. J'ai reçu tant de bonnes idées, que j'ai décidé de les partager avec vous. Dans cet article, j'énumère les 10 meilleurs raccourcis clavier suggérés par les lecteurs. Je remercie tous ceux qui m'ont aidé par leurs suggestions.

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Se familiariser avec l’instruction SQL

Se familiariser avec l’instruction SQL

L'instruction Select est incontournable… Pour exécuter une requête SQL, l'utilisation de l'instruction Select est incontournable. C'est pourquoi, j'entame cette série d'articles consacrée aux fondements du langage SQL par un article qui présente la syntaxe de l'instruction Select.

La plupart des exemples de déclarations ci-dessous proviennent et ont été testés en utilisant le SQL interactif (ISQL: Interactive SQL) de l'AS/400. ISQL est invoqué à  partir de la ligne de commande par la commande STRSQL (Start SQL). Pour obtenir de plus amples renseignements sur ISQL, consultez l'article "Interactive SQL", NEWS/400, août 1998.

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Les 8 notions à  suivre… ou à  éviter

Les 8 notions à  suivre… ou à  éviter

Dans mon article du mois dernier, j'ai résumé un certain nombre de conseils prodigués au fil des ans afin de mettre l'accent sur les pratiques recommandées pour installer, configurer et exécuter NT. Cette fois, je passe en revue 8 aspects de NT sous l'angle d'éditeurs, de produits, de fonctions et de ressources qui méritent une reconnaissance - bonne ou mauvaise. Certains des produits que nous allons évoquer vous paraîtront utiles, d'autres peut-être moins. J'attribue un pouce levé ou un pouce baissé pour les aspects importants de chaque sujet et, comme je n'ai collaboré avec personne pour cet article, le vote est unanime.

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Obtenir des ensembles de résultats d’une procédure cataloguée SQL

Obtenir des ensembles de résultats d’une procédure cataloguée SQL

Rajoutez de la puissance à  vos applications client/serveur avec cette procédure cataloguée SQL qui renvoie de multiples lignes de donnéesEn écrivant des procédures cataloguées avec le langage des procédures cataloguées (Stored Procedure Language ou SPL en anglais) SQL on pourra d'une part jouir d'une plus grande portabilité sur des plates-formes hétérogènes, et d'autre part simplifier le coding des bases de données. Par ailleurs, l'utilisation des procédures cataloguées peut également améliorer les performances et la sécurité des applications client/serveur. Le SPL peut être utilisé dans différents cas de figure, y compris pour récupérer un ensemble de résultats. Cet ensemble est constitué d'un ou plusieurs enregistrements de données, comme par exemple une liste des meilleurs ventes de livres classée par catégorie. Dans l'article "A l'intérieur d'une procédure cataloguée SQL", NEWSMAGAZINE, septembre 1999, nous avons fait un tour d'horizon des procédures cataloguées SQL. Nous avons également expliqué comment créer une procédure cataloguée utilisant des paramètres de sortie pour renvoyer des informations au programme appelant. Aujourd'hui, nous allons embarquer pour un autre voyage, au coeur d'une procédure cataloguée SPL. Mais cette fois, la procédure renvoie un ensemble de résultats. (Pour une présentation des concepts de base du SPL, consultez l'article "Des procédures cataloguées en SQL/400", NEWSMAGAZINE, juin 1998.

Nous allons embarquer pour un autre voyage, au coeur d'une procédure cataloguée SPL

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Architecture Profusion : la fin des limites ?

Architecture Profusion : la fin des limites ?

Un grand nombre d'entreprises exécutent NT Server sur processeurs Intel. Ce choix est intéressant à  plusieurs titres : le matériel est meilleur marché, l'éventail des constructeurs et très large, le catalogue applicatif est extrêmement important… mais les systèmes plafonnent à  4. La situation change avec la nouvelle architecture Profusion d'Intel. NT Server progresse fortement et les entreprises sont de plus en plus nombreuses à  déployer sur NT Server des applications telles que data mining, progiciels de gestion (ERP) et serveurs de terminaux, tournant sur des serveurs SMP à  architecture Intel. Parallèlement elles sont plus exigeantes sur les niveaux d'évolutivité des systèmes, en vue d'améliorer les performances. Or le serveur SMP à  quatre voies ne peut plus répondre à  ces besoins. Pour apporter une solution à  cette situation, Intel a donc mis au point un nouveau standard, le système SMP baptisé Profusion, une méthode standardisée permettant de placer huit processeurs dans une CPU. On trouve sur le marché quantité de machines à  4 voies et plus, mais elles utilisent des architectures propriétaires. Un serveur SMP à  8 voies vraiment évolutif permet aux applications comme SAP et SQL Server 7.0 d'atteindre de meilleures performances.Le support de huit processeurs par l'architecture Intel Profusion est unique et il est important de comprendre cette nouvelle architecture avant d'évaluer et d'acheter un nouveau serveur SMP à  8 voies. Quelle est donc cette nouvelle architecture, ses composants, ses perspectives ?

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Operations-Navigator passe la quatrième pour UDB/400

Operations-Navigator passe la quatrième pour UDB/400

La puissante combinaison d'OpNav et d'UDB/400 dans la V4R4 facilite la création d'objets SQL sur l'AS/400 Les dernières releases de l'OS/400 ont apporté des améliorations au répertoire Database d'Operations Navigator (OpNav), où l'on gère les objets DB2/400 de l'AS/400. En V4R4, IBM a encore amélioré l'aspect base de données d'OpNav grâce à  une interface graphique pour les fonctionnalités base de données relationnelle de type objet de DB2 UDB/400 (Universal Database for AS/400). La V4R4 permet de créer des types définis par l'utilisateur (UDT: User-Defined Types) et des fonctions définies par l'utilisateur (UDF: User-Defined Functions) dans OpNav. En outre, OpNav permet désormais de définir des tables en utilisant des UDT, des LOB (Large OBjects) et des types de colonnes datalink. (Pour plus d'informations sur ces types de données, voir l'article “ UDB devient universel sur l'AS/400 ”, NEWSMAGAZINE, mai 1999). Pour bénéficier des nouvelles fonctions base de données et du support OpNav correspondant, il faut posséder le V4R4 Database Enhance PAK et le dernier service pack pour Client Access Express.

L'interface graphique d'OpNav permet aux utilisateurs de créer et de travailler avec des objets base de données en utilisant SQL sur l'AS/400, tout en masquant certaines complexités de l'écriture d'instructions SQL. Je prolonge l'exemple d'application Corporate Data pour montrer comment on peut utiliser l'interface d'OpNav pour créer un UDT, une table et une UDF, avec très peu de code SQL.

L'interface graphique d'OpNav permet de manipuler des objets base de données avec SQL tout en masquant certaines complexités de l'écriture d'instructions SQL

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Au coeur du noyau de Windows 2000

Au coeur du noyau de Windows 2000

Microsoft a déclaré que Windows 2000 est la plus importante mise à  niveau de toute son histoire. Windows NT 4.0 est sorti mi-1996, et pour créer la nouvelle version Windows 2000, Microsoft a bénéficié de l'expérience des utilisateurs et de sa propre étude du système d'exploitation pendant trois années. Je voudrais dissiper le mythe selon lequel le kernel de Windows 2000 est une simple réécriture de celui de NT 4.0. Il s'agit, en réalité, d'une version tunée et peaufinée du noyau de NT 4.0, comportant certaines améliorations significatives de zones particulières et deux nouveaux sous-systèmes. Avec ces modifications, Microsoft a voulu améliorer l'évolutivité, la fiabilité et la sécurité du système d'exploitation par rapport à  NT 4.0, et permettre le support de nouvelles fonctions telles que Plug and Play (PnP) et la gestion de l'alimentation.
Dans cet article, je fais rapidement le tour des changements apportés au kernel dans Windows 2000. Je ne parle pas des composants Windows 2000 du mode utilisateur, comme Active Directory (AD) ou les interfaces d'administration, qui ne tirent pas parti des changements du kernel pour leur implémentation. Je n'ai pas suffisamment d'espace pour décrire une fonction particulière en détail, mais vous pouvez consulter d'autres articles spécifiquement consacrés aux fonctions internes de NT.

NT 4.0 a la réputation de ne pas supporter suffisamment les montées en charge sur les machines SMP, en particulier à  plus de quatre CPU

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Le PC doit-il faire sa révolution ?

Le PC doit-il faire sa révolution ?

Il semble évident que les PC sont là  pour toujours. Pourtant, on peut en douter. Lors du dernier Comdex, en voyant les derniers PC les plus puissants, il était étonnant de voir combien les nouveaux PC ressemblent à  ceux des années précédentes, y compris les premiers PC de 1981.Bien que l'industrie du PC donne l'image d'un marché en constante innovation, cette image est une illusion. Il stagne dans bien des domaines et cette stagnation pourrait bien annoncer de nombreux changements. Entre 1981 et 1987, les PC ont connu une évolution très rapide, passant de processeurs hybrides 8-bit et des 8088 16-bit aux processeurs 80386 pures 32-bit ; d'un affichage purement textuel à  VGA ; et du stockage sur des disquettes de 160 Ko au disques durs généralisés et aux disquettes 3,5" de 1,44 Mo. Mais bien peu de choses ont changé depuis 1987. La disquette standard est toujours de 1,44 Mo et VGA est toujours la base de l'affichage vidéo. Les processeurs Intel à  l'état de l'art(les Pentiums III) sont des 386 gonflés avec un jeu d'instruction amélioré. Intel a lancé les 386 32-bit en 1985 et, 15 ans plus tard, on attend toujours le processeur 64-bit que le fondeur avait promis avec la puce Itanium, (anciennement connue sous le nom de code Merced). Les vitesses d'horloge des processeurs ont certes augmenté considérablement, en apparence, mais en fait les apparences sont trompeuses. La vitesse d'horloge externe du 80386 atteignait 33 Mhz il y a 10 ans environ et le Pentium III, prétendument cadencé à  500 Mhz, n'offre en fait qu'une vitesse d'horloge externe de 100 Mhz, soit trois fois plus seulement.

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Linux : les mauvaises nouvelles …

Linux : les mauvaises nouvelles …

Comme nous l'avons vu dans l'article " NT versus Linux : les trois avantages de Linux " du mois dernier, Linux a des forces, mais essayez de l'utiliser et vous lui découvrirez également des faiblesses. Dans les recherches que j'ai eu l'occasion de faire sur Linux, j'ai découvert que la chose la plus redoutable de l'utilisation de l'OS est son installation. De nombreux utilisateurs m'ont dit qu'après avoir installé Linux, l'OS est stable et fiable et, dans une certaine mesure, mon expérience confirme cette impression. Mais ne vous y trompez pas : l'installation de Linux est un cauchemar ! J'ai installé cinq versions de distibution de Linux - SuSE Linux beta 6.3, Red Hat Linux 6.0, OpenLinux 2.3 de Cadera System's, Corel Linux et Slackware Linux 7.0 de LinuxMafia - sur plusieurs systèmes. Les cinq versions de distribution sont similaires mais ont des routines d'installation différentes. J'ai eu de nombreux problèmes en installant toutes les versions.

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Métadonnées : le trésor caché de la base de données AS/400

Métadonnées : le trésor caché de la base de données AS/400

Voici comment extraire les informations de votre base de données AS/400 et à  les utiliser dans vos applications Les entrailles de l'AS/400 contiennent une mine d'informations sur chaque fichier présent dans le système. En utilisant ces informations (appelées métadonnées) on peut découvrir le contenu détaillé de ces fichiers base de données. Les métadonnées sont "des données décrivant des données" : elles décrivent une base de données depuis ses noms de fichiers jusqu'aux codes de modification des champs numériques. Aussi ésotériques que puissent paraître les métadonnées, on compte sur elles chaque jour sans s'en rendre compte. Ainsi, le compilateur RPG IV utilise des métadonnées pour lier les fichiers décrits en externe aux programmes. Et la commande WRKQRY (Work with Queries) et le programme SQL interactif affichent des métadonnées qui serviront à  construire des requêtes. Les métadonnées sont indispensables aux utilitaires d'analyse d'impact sur les bases de données et de traitement de fichiers. De plus, leur compréhension permet d'écrire des applications de bases de données souples en Java. Voyons de plus près comment découvrir ce trésor caché, de quelles métadonnées dispose l'AS/400 et comment les utiliser efficacement.

Voyons de quelles métadonnées dispose l'AS/400 et comment les utiliser efficacement

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Quoi de neuf dans le SP6a ?

Quoi de neuf dans le SP6a ?

Beaucoup d'utilisateurs ont installé le SP6, puis l'ont supprimé quelques jours plus tard soit en raison de la mauvaise publicité, soit à  cause des problèmes découverts pendant les tests. C'est pourquoi beaucoup de serveurs NT 4.0 exécutent toujours le SP5 et les utilisateurs sont nombreux à  se poser des questions sur les SP6 et SP6a. Le moment est-il venu pour eux de mettre à  niveau les systèmes SP5 ? Microsoft a sorti le Service Pack 6 (SP6) pour le téléchargement public à  la fin d'octobre 1999. Dès la première semaine, plusieurs problèmes ennuyeux ont été signalés - une erreur Winsock qui a notamment empêché les utilisateurs d'accéder à  Lotus Notes sauf s'ils étaient connectés avec des droits d'administrateurs ; une erreur Appletalk qui a généré un écran bleu sur des systèmes connectés à  un serveur de réseau Appletalk ou à  un serveur d'impression Apple ; et un problème de date dans le convertisseur de journaux de Microsoft Internet Information Server (IIS) 3.0 qui a converti les années 2000 en 2028. Microsoft a corrigé ces problèmes dans le SP6a, y compris une mise à  jour de winver.exe (l'utilitaire de ligne de commande qui indique la version de l'OS en cours d'exécution) et a sorti le nouveau service pack à  la fin de novembre 1999. Le SP6a remplace et annule le SP6 et tous les service packs antérieurs. Alors, le moment est-il venu de mettre à  niveau les systèmes SP5 ? Les explications de cet article sur les correctifs du SP6a devraient apporter suffisamment d'informations techniques pour en décider.

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