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Comment diviser la charge de ses projets par trois

Comment diviser la charge de ses projets par trois

par François Rihen
Paul Dequidt Torréfacteur solde sa mise en conformité AN 2000 avec les briques logicielles de F.I-T, tout en réduisant les charges initialement prévues et en identifiant des solutions d'avenir. Vendre à  distance ? La Société Paul Dequidt Torréfacteur n'a pas attendu Internet pour promouvoir ses produits. Depuis le début des années 80, Paul Dequidt parcourt sans cesse le monde à  la recherche d'arabicas précieux et de mokas rares, issus des meilleures plantations de caféiers. Oui, c'est bien de café dont on parle. Et désormais, l'entreprise fait chaque jour le bonheur de milliers de clients ; les paquets rouge et or de Paul Dequidt Torréfacteur sont distribués à  travers tout l'hexagone.

La vente par correspondance a depuis bien longtemps dompté l'énergie informatique pour utiliser au mieux les informations dont on dispose, et ce sont des milliers de courriers qui partent régulièrement de Wormhout (59), siège de l'entreprise. Comme beaucoup d'entreprises, Paul Dequidt Torréfacteur a été atteint par le virus de ces derniers mois : l'AN 2000, bien sûr.

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Comment utiliser SAP R/3 quand on ne pèse que 300 MF de CA

Comment utiliser SAP R/3 quand on ne pèse que 300 MF de CA

par Benoît Herr
Premier à  utiliser la méthodologie ASAP en France, Takasago Europe Perfumery Laboratory (TEPL), la filiale européenne du groupe japonais Takasago est aujourd'hui équipé de SAP R/3 sur AS/400. Il y a à  peine deux ans, la filiale française du groupe japonais Takasago prenait la décision d'installer SAP R/3. Et à  l'heure où vous lisez ces lignes, ils ont déjà  un an d'expérience d'utilisation de six modules de R/3 sur AS/400!
Le secret de cette implémentation rapide et couronnée de succès ? ASAP, qui veut dire Accelerated SAP. Il s'agit d'une méthodologie d'implémentation rapide de R/3 mise au point par la filiale américaine de SAP. Le client signe pour une mise en place en six ou neuf mois, et SAP et son DVA (Distributeur à  Valeur Ajoutée) fait le reste… ou presque! Non, pas vraiment, car l'implication du client doit également être très grande, mais le support DVA, assuré dans le cas de Takasago par la société Excelsius, filiale du groupe IBS, est essentiel. La méthodologie va d'une simple check-list des éléments à  mettre en place à  une suivi extrêmement étroit et précis de l'avancement des travaux en passant par un planning rigoureux et méticuleux, faisant parfois apparaître très tôt des choses auxquelles on aurait beaucoup plus tard, comme la formation par exemple. Sans oublier les fameux "accélérateurs", qui font partie intégrante de la méthodologie: il s'agit de simples documents Word ou Excel par exemple, mais préformatés pour des besoins tels que suivi du budget, compte-rendus de réunions ou guides uutilisateurs. Il ne restait plus à  Takasago qu'à  apposer son logo sur les documents… et à  les remplir, bien sûr. Cependant, ASAP "mâche" considérablement le travail, par rapport à  une conduite de projet classique.

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Virgin: sur la trace des NS

Virgin: sur la trace des NS

Par Sabine Terrey
Virgin Megastore s'est lancé dans une gestion centralisée du système d'information de ses magasins européens, depuis son site de Paris. Virgin Megastore, maison de disques bien connue créée par Richard Branson dans les années 70, a ouvert son premier magasin en France en 1988 sur les Champs-Elysées.
Aujourd'hui, avec une activité de distribution débordant largement celle du disque puisque Virgin Mégastore propose également par exemple des livres ou du matériel électronique et informatique, le groupe compte 28 magasins en Europe continentale, répartis dans six pays (Italie, Portugal, Autriche, Belgique, Pays Bas et France). L'objectif de Virgin : tout magasin se doit avant tout d'être un « lieu de vie » avec une ambiance bien particulière que les clients aiment retrouver. Le groupe Virgin s'attaque également à  d'autres marchés, aussi divers que l'aviation (BA AA, no way!), le train, les assurances, « Virgin cola », « Virgin Vie »…toutes activités qui représentent désormais 200 sociétés de par le monde.
Quant à  l'activité des Mégastores, elle est représentée par VEG (Virgin Entertainment Group).

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Ils ont osé… et ils ont bien fait

Ils ont osé… et ils ont bien fait

par Dominique Douchet
Si le choix était à  refaire 8 ans après, c'est encore à  l'AS/400 en mode client/serveur (choix audacieux pour l'époque) que Messieurs Reitz et Dutsh feraient confiance. Ce qui pouvait sembler être un pari en 1992 s'est avéré être un choix stratégique et une réussite pour la caisse Nationale des Entrepreneurs des Travaux publics (CNETP).
Cet organisme, chargé de gérer les congés payés et le paiement des salariés privés d'emploi du fait des intempéries dans le secteur des Travaux Publics a une tâche de grande envergure puisqu'avec 130 employés, il gère 220000 salariés et 5500 entreprises cotisantes. Un système informatique performant est donc un élément déterminant pour son bon fonctionnement.
Ce système informatique, qui datait des années 70, devenait alors obsolète, et de moins en moins fiable, d'autant que de nombreux développements périphériques s'étaient avérés nécessaires au cours des années pour s'adapter aux évolutions du métier et aux exigences des utilisateurs. D'autre part, les échéances de l'an 2000 et du passage à  l'Euro approchaient; il fallait donc repenser le système d'information.
En 1991, la CNETP décide de la refonte totale du système. Il lui fallait alors un système pouvant s'adapter très facilement aux diverses et nombreuses évolutions législatives et professionnelles, un système qui s'adapte aux adhérents (et surtout pas le contraire), et il lui fallait également aller plus loin dans les automatismes, en privilégiant un faible coût de fonctionnement, même si l'investissement de départ s'avérait un peu élevé, le système étant destiné à  être exploité longtemps (au final, le montant global du projet évoqué ici se situera tout de même aux alentours de 60 à  70MF).

La dissociation de la conception et de la réalisation paraît indispensable pour conserver une plus grande indépendance
Monsieur Reitz, Directeur Informatique de la CNETP

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8 sites compatibles Euro en 6 mois et demi

8 sites compatibles Euro en 6 mois et demi

par Dominique Douchet
Un outil adapté et une grande motivation de toute l'équipe projet ont permis à  Landis & Staefa de mener à  bien son projet Euro dans des temps records. L'équipe informatique de Landis & Staefa venait de travailler pendant 9 mois à  la personnalisation et à  l'implémentation de la V4.05 CD de BPCS, sur les 17 sites européens du groupe. Les utilisateurs et la Direction de l'entreprise se félicitaient du succès de ce projet de mise en conformité an 2000, réalisé dans des délais et avec des coûts maîtrisés. L'introduction imminente de la monnaie unique européenne a poussé Siemens à  s'engager auprès de ses partenaires commerciaux et de ses actionnaires pour effectuer ses échanges en Euro à  partir du 1er janvier 1999, et à  convertir les divers systèmes comptables des pays concernés dès le 1er octobre 1999. Un nouveau grand chantier informatique venait d'être identifié : rendre rapidement les systèmes compatibles Euro. Géry Gedlek, Directeur Informatique de Landis & Staefa, était toutefois confiant; l'éditeur, SSA proposait la V4.05 CD de BPCS, compatible an 2000, et s'employait à  terminer la mise au point de la V4.05 CDE, compatible Euro. Géry Gedlek se tenait constamment informé des délais de disponibilité de cette dernière version. En novembre 1998, tout semblait indiquer que la V4.05 CDE et les programmes de conversion associés seraient livrés dans les temps. Géry Gedlek et son équipe disposaient alors d'un délai suffisant pour réaliser les tests d'assurance qualité et la mise en place complexe de la nouvelle version sur les 8 sites européens avant la date butoir. Le projet concernait les pays suivants : Belgique, France, Espagne, Finlande, Italie, Autriche, Portugal et Hollande.

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Dilemme : augmenter les effectifs ou les performances machine ?

Dilemme : augmenter les effectifs ou les performances machine ?

par Isabelle Nougier
La société Maurin ne pourrait aujourd'hui plus se passer des produits qui lui ont permis d'absorber un doublement de ses effectifs globaux sans avoir à  augmenter les effectifs de son Service Informatique.Créé en 1871 par Emile Maurin et implanté à  Lyon depuis cette même date, le Groupe Maurin est aujourd'hui l'un des plus grands fournisseurs industriels du pays. Il est dirigé aujourd'hui par la 4ème et la 5ème génération de Maurin (ce qui constitue l'une des fiertés du Groupe), et s'organise autour de 2 sociétés d'exploitation, Emile Maurin et Michaud Chailly, réparties sur 18 sites dispersés sur tout le territoire français.
Le service informatique est quant à  lui centralisé à  Lyon. Il jouit d'une forte culture IBM, et les S/36 des débuts n'ont été remplacés par un AS/400 unique qu'en 1994. Actuellement le matériel se compose d'un AS/400 modèle 620 avec plus de 250 terminaux et une centaine de PC. N'ayant pas succombé aux sirènes des ERP, qu'elle n'exclut toutefois pas d'adopter un jour, la société utilise aujourd'hui un logiciel de gestion issu de l'IBM S/36, développé en interne et modifié pour le passage à  l'an 2000. On notera au passage que la société est déjà  prête pour l'Euro !
40000 dossiers clients et 23000 factures sont traités par mois, 300 personnes sont connectées en permanence , 6 jours sur 7, autant dire que l'informatique est un élément vital pour la société qui se verrait paralysée en cas de rupture de service.

La société ayant doublé ses effectifs et son chiffre d'affaire, il fallait optimiser les performances de l'existant

La société ayant doublé ses effectifs et son chiffre d'affaire en 4 ans, il fallait, pour que l'informatique s'adapte à  cette montée en charge, soit envisager une augmentation de ses propres effectifs (qui étaient et sont toujours de 10 personnes dont 7 au développement, une à  l'exploitation, une pour la micro et une assistante), soit adopter des solutions permettant d'optimiser les performances du matériel existant. C'est la deuxième solution qui a été retenue.
Il fallait donc limiter les pertes de temps dues à  d'éventuels bogues, optimiser les performances de la machine, gérer les pointes d'activité, et assister 2 fois plus d'utilisateurs qu'auparavant ; l'ensemble de ce cahier des charges paraissait satisfait par les solutions logicielles de la société Tango/04. Le Groupe Maurin s'est alors muni de plusieurs modules de la solution VISUAL Control Center de chez Tango/04, à  savoir VISUAL Support Pro, VISUAL Control for Windows, VISUAL Control for pools et VISUAL Control for jobs. Ces modules ont permis d'augmenter considérablement l'efficacité de la gestion de tous les problèmes utilisateurs, et ont permis de d'optimiser les performances de l'AS/400. L'ensemble de ces modules a très vite été complété par Bug Detector, un autre produit Tango/04, permettant le monitoring automatique des messages.

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Pour un management informatique efficace

Pour un management informatique efficace

par Jeremy Likness
Apprenez à  constituer une équipe et à  maintenir sa productivité Dans l'univers sportif, les entraîneurs de football mettent à  la disposition de leurs joueurs d'une part des séances d'entraînement et une équipe d'encadrement, et d'autre part, ils leurs communiquent des stratégies ciblant l'objectif ultime, à  savoir : remporter la victoire.

Pour atteindre cet objectif, les joueurs assument leurs rôles respectifs, marquant des points ou bloquant les avancées de l'équipe adverse.

En raison des changements rapides dans les technologies de l'information, une équipe compétente et motivée est essentielle au succès et à  la croissance d'une entreprise. Aussi, les directeurs informatiques (entraîneurs dans l'univers informatique) doivent encourager leurs équipes afin de travailler à  un niveau optimal. Mais comment motiver une équipe pour qu'elle donne le meilleur d'elle-même ?

Voici quelques stratégies clés pouvant contribuer à  vous aider à  devenir un meilleur chef d'équipe informatique.

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Plus de sang neuf – moins de lunettes à  double-foyer

Plus de sang neuf – moins de lunettes à  double-foyer

par Robert Tipton
A quelles "tranches d'âge" vous et vos collègues AS/400 appartenez-vous ? Faites-vous partie du Baby-boom ou de la Generation X ? Quels sont vos chanteurs préférés ? : Les trois ténors, Elton John ou Metallica ? Si votre analyse corrobore la mienne, vous constaterez qu'environ 99% de vos collègues AS/400 sont nés avant 1970. Et c'est un sacré problème !

Où sont les jeunes enthousiastes sur le marché de l'AS/400 ? Et en quoi cela vous concerne-t-il ?

Récemment, un client AS/400 de longue date m'a brutalement posé ce problème. Alors qu'il envisageait d'installer un nouveau serveur pour supporter Domino, il a décidé de s'intéresser à  NT pour une raison simple : le recrutement de nouvelles compétences AS/400 était difficile et coûteux. Pour aggraver son problème, le CEO était convaincu que les ressources NT étaient “ abondantes ” et bien meilleur marché. Ce client a donc choisi NT — et pour de mauvaises raisons.

Par rapport au nombre des systèmes vendus, l'offre de spécialistes AS/400 s'amenuise. Les ventes record d'AS/400 en 1998 ont été acclamées — sauf quand il a fallu trouver des gens pour travailler sur les nouveaux systèmes. Et ne nous attendons pas à  ce que ce fort rythme de ventes continue si la prochaine génération informatique ne connaît pas l'AS/400.

Sans injection de sang neuf dans les rangs de l'AS/400, le marché se tarira tout seul. Triste perspective.

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Le test d’applications : un art méconnu

Le test d’applications : un art méconnu

par Colin Armitage
Les tests systématiques devraient être placés en haute priorité dans votre service informatique. Combien de temps votre département informatique passe-t-il à  corriger des erreurs et à  effectuer des modifications que vous auriez dû réaliser avant de déployer une application ? Si votre réponse est "beaucoup", alors vous devriez vous appesantir à  nouveau sur un aspect souvent négligé du développement d'applications : les tests.L'année dernière, à  l'occasion du lancement du produit TestBench400, mis sur le marché par mon entreprise, nous avons eu l'occasion de discuter des techniques de test applicatifs en environnement AS/400, avec plusieurs entreprises informatiques basées en Amérique du Nord et en Europe.

Cette expérience nous a permis d'acquérir une perspicacité unique dans les approches de tests en vigueur et dans la manière dont les techniciens professionnels perçoivent généralement l'équilibre indispensable coût/bénéfice quand il s'agit de tests.
La première chose dont nous nous sommes aperçus est le sérieux problème d'image dont souffre l'art de tester les logiciels.

En effet, ce domaine est largement perçu comme étant plus qu'obscur. Aussi, personne ne souhaite s'y investir. De plus, ceux qui acceptent de le faire, voudraient en finir le plus tôt possible. Considérez les scénarii de tests suivants :

La première chose dont nous nous sommes aperçus est le sérieux problème d'image dont souffre l'art de tester les logicielsTests unitaires.

Si vous travaillez sur un site où les développeurs ne sont pas responsables de leurs propres tests unitaires, alors félicitations. Le reste du monde doit avoir perdu la tête.

Après tout, pourquoi se donner tant de peine à  demander aux développeurs d'assurer le bon fonctionnent de leurs propres programmes ? D'une manière générale, les développeurs adorent développer mais ils ont horreur de tester. Seuls de rares et précieux développeurs essaient véritablement de tester les failles potentielles de leurs propre code de manière imaginative. Il ne faut que deux développeurs pour mettre en place une politique de vérification croisée.

En revanche, si on ne peut pas se le permettre, il faut se résigner à  accepter les tests unitaires réalisés par le programmeur ayant conçu le code tels qu'ils sont, c'est-à -dire, incertains.

Cependant, ces tests peuvent avoir un intérêt si vous fournissez des fiches de test prédéfinies et qui attesteront de l'adhésion à  des standards de conception (par exemple pour la présentation de rapports, les couleurs et la disposition des écrans), et de la fiabilité de tous les embranchements à  travers le programme.

Tests des systèmes.


Les tests des systèmes sont souvent réalisés par les membres seniors d'une équipe. Responsables de la livraison de systèmes dans leur ensemble, ces derniers sont généralement motivés pour réaliser les tests nécessaires.

Cependant, il y a deux obstacles majeurs à  la réalisation des tests de systèmes. En effet, les responsables informatiques planifient souvent les tests comme étant la dernière activité importante à  réaliser dans un cycle de développement. D'autre part, ces tests sont généralement programmés alors qu'une date de mise en production du logiciel a déjà  été fixée.

Aussi, lorsque les autres tâches du cycle de développement prennent du retard, le temps disponible pour effectuer les tests s'en trouvent réduits d'autant. Voilà  comment finalement on ne teste que ce que l'on peut, au lieu tester tout ce dont on a besoin.

Par ailleurs, la mauvaise qualité des tests unitaires oblige souvent les testeurs à  reprendre plusieurs fois une même série de tests des systèmes. Après le troisième ou quatrième cycle de tests, même le testeur le plus consciencieux ne testera plus que les corrections. C'est précisément à  ces moments là  que les bogues en profitent pour passer à  travers les mailles du filet.

Tests d'acceptation.

Dans certaines entreprises, les tests

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Consolidation de serveurs: pour quoi faire ?

Consolidation de serveurs: pour quoi faire ?

par Sharon Hoffman
Tirez parti de la technologie AS/400 pour réduire les coûts induits d'administration des serveurs et améliorez par la même occasion l'efficacité de la gestion de vos systèmes. La consolidation de serveurs englobe toutes les stratégies et technologies capables de réduire le nombre ou la répartition géographique des serveurs que possède et gère une entreprise. Lorsqu'on minimise le nombre de serveurs et les connexions entre eux, les systèmes d'information fonctionnent de façon plus limpide.

Bien que le principal intérêt de la consolidation de serveurs soit de simplifier l'administration des systèmes, cette démarche peut également induire d'autres avantages allant de la réduction des coûts salariaux associés au personnel informatique à  une amélioration de la disponibilité des systèmes.

Bien que le principal intérêt de la consolidation de serveurs soit la simplification de l'administration, elle peut aussi induire d'autres avantage.

La consolidation des serveurs est un sujet d'actualité au sein de l'ensemble de la communauté informatique. Une rapide recherche sur Internet indique qu'IBM, Hewlett-Packard, Sun et Unisys plaident tous en sa faveur. Au départ, ces constructeurs utilisent tous le même raisonnement de base pour promouvoir leurs solutions de consolidation, à  savoir : la consolidation des serveurs contribue à  réduire le coût de revient global des systèmes.

L'AS/400 est une cible intéressante pour la consolidation des serveurs parce que ses points forts classiques, notamment un potentiel d'évolutivité et une fiabilité très élevés, sont essentiels pour la réussite de tout projet de consolidation de serveurs. Les fonctions d'administration système intégrées à  l'AS/400 contribuent également à  faire de cette plate-forme un concurrent efficace sur le marché de la consolidation des serveurs. Ces atouts, qui ont fait leur preuve depuis longtemps, sont désormais secondés par plusieurs nouvelles technologies AS/400, notamment le partitionnement logique, le clustering, le serveur NetFinity intégré, l'AS/400 NetServer et Domino for AS/400. Ces technologies améliorent d'autant le positionnement de l'AS/400 dans l'arène de la consolidation des serveurs.

Faut-il se lancer dans cette voie ? En fait, la réponse à  cette question dépend d'une corrélation complexe entre plusieurs facteurs dont les coûts et la fiabilité des communications, les prix des licences d'utilisation des logiciels, les possibilités d'évolution du matériel et l'attitude des utilisateurs.

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XML: langage d’avenir du commerce électronique

XML: langage d’avenir du commerce électronique

XML fait actuellement son apparition dans de nombreux projets de commerce électronique XML (Extensible Markup Language) jouera probablement un rôle primordial dans le développement du commerce électronique. Sa capacité à  décrire les données dans un format ouvert standard aidera les consommateurs à  rechercher des informations produits sur le Web et simplifiera les échanges de données interentreprises par Internet. A n'en pas douter, XML transformera radicalement la manière d'acheter des consommateurs et, plus particulièrement pour les entreprises, celle d'acheter et de vendre des biens.

Dans cet article, nous allons examiner l'impact de XML sur le e-commerce.
Pourquoi suscite-t-il autant d'intérêt ?
Comment s'assurer de participer au devenir de XML et du commerce électronique ?
Les entreprises qui sont actuellement en train de mettre sur pied des transactions HTML devraient commencer sans tarder à  envisager XML.

A n'en pas douter, XML transformera radicalement la manière d'acheter des consommateurs

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Windows 2000 et le TCO : les chiffres

Windows 2000 et le TCO : les chiffres

par Barrie Sosinsky
Des études récentes d'analystes sur le coût total de possession de Windows 2000 ont fait couler beaucoup d'encre. Le Gartner Group affirme que Windows 2000 est trop cher, tandis que le Giga Information Group prétend que c'est un investissement rentable. Les différences d'appréciation tiennent à  l'étude elle-même.

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Un regard neuf sur CODE/400

Un regard neuf sur CODE/400

par Sharon L. Hoffman
CODE/400 a évolué tranquillement, pour devenir un puissant outil de développement AS/400 La plupart des programmeurs AS/400 continue de développer du code en se servant d'outils conçus pour les écrans passifs, notamment SEU et SDA.
Ces outils leurs sont familiers; ils sont disponibles sur tous les systèmes de développement, et ils remplissent parfaitement bien leur rôle. Même si
l'affirmation est exacte, la recherche d'autres outils peut s'avérer judicieuse. En 1988, lorsque IBM a lancé l'AS/400, ses outils de programmation
destinés à  des écrans passifs faisaient partie du haut de gamme. Mais les temps changent. Les programmeurs AS/400 se tournant vers de nouvelles
méthodes de développement comme Java, de nouveaux outils de programmation deviennent indispensables. Ce besoin débouche sur la motivation de
réévaluer également les outils de programmation utilisés pour les développements classiques.
Lorsque j'ai commencé à  travailler fréquemment avec Java, j'ai décidé d'utiliser un simple éditeur de texte plutôt que l'un des IDE (Integrated
Development Environments), comme JBuilder d'Inprise ou VisualAge for Java d'IBM. Un candidat évident m'est immédiatement venu à  l'esprit :
CODE/400 d'IBM (parmi les alternatives possibles, citons entre autres Flex/Edit d'Aldon).
CODE/400 présente de nombreux avantages par rapport à  un éditeur de texte générique pour PC, tel que le Bloc Notes. En effet, CODE/400 inclut des
fonctions de suggestion et de vérification syntaxique pour tous les langages qu'one st susceptible d'utiliser. De ce fait, il n'y a pas besoin d'apprendre à 
utiliser plusieurs outils. Il prend également en charge les lignes de commande SEU, ce qui raccourcit la courbe d'apprentissage. En outre, IBM fournit
gracieusement une version de démonstration avec des restrictions minimes et pouvant être téléchargée, ce qui permet de tester soigneusement CODE/400 avant d'acheter la version complète. (Pour de plus amples informations sur les restrictions de la version de démo et les sites de téléchargement, voir l'encadré "Démo CODE/400").
Lorsqu'IBM a lancé CODE/400, en 1992, j'ai étudié le produit et en l'ai plutôt écarté.
En effet, bien que surprenante, la version initiale de CODE/400 avait deux défauts majeurs : elle n'était disponible que sous OS/2 et elle était excessivement onéreuse. Lorsque la version Windows a été mise sur le marché, quelques années plus tard, ces défauts étaient toujours présents : trop cher et bien que tournant sous Windows, toujours le "look and feel" OS/2.
Cependant, lorsqu'à  la mi-97 j'ai assisté à  une démonstration des nouvelles possibilités du produit, j'ai dû revoir ma première impression. Depuis lors, IBM a même rajouté de nouvelles fonctions à  CODE/400. En outre, une nouvelle version est attendue au courant de cette année.

Si vous n'avez pas suivi l'évolution de CODE/400 récemment, vous y trouverez un intérêt. Pour vous aider à  le maîtriser, j'en présente ici brièvement les fonctions et les caractéristiques, et signale également certaines astuces permettant de gagner du temps, et les défauts que j'ai découvert.
Je vous recommande vivement d'assister à  une démonstration ou à  un atelier CODE/400 si vous en avez l'opportunité. CODE/400 est si différent des outils pour écrans passifs bien connus de la majorité des programmeurs AS/400 qu'il faut le voir en action pour se rendre compte de ses qualités. (Pour une la liste des ressources complémentaires traitant de CODE/400, consultez l'encadré "Autres ressources").

Lorsqu'à  la mi-97 j'ai assisté à  une démonstration du produit, j'ai dû revoir ma première impression

Démo CODE/400

On peut télécharger des versions d'évaluation de VisualAge RPG (VARPG) et de CODE/400 ainsi que les instructions sur le téléchargement et l'installation du code depuis le site Web d'IBM, à  l'adresse http://www

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Le modèle ASP convient-il à  votre entreprise ?

Le modèle ASP convient-il à  votre entreprise ?

par Pam Jones
Les coûts de maintenance élevés des systèmes d'informations conduisent de nombreuses entreprises à  s'intéresser au modèle ASP. Il est de retour ! Le bon vieux modèle "service bureau" refait surface, sous la forme cette fois des ASP (Applications Service Providers). Des services bureaux comme la "Service Bureau Corporation" d'IBM ont connu leur heure de gloire du milieu des années 60 et au début des années 70.

A cette époque, la force motrice qui justifiait ce modèle était le coût des équipements informatiques. Les petites et moyennes entreprises, qui ne pouvaient pas se permettre de posséder leurs propres machines, étaient contraintes de les louer. Vers le milieu des années 70, IBM, Digital et d'autres constructeurs ont commencé à  proposer des mini-ordinateurs à  un prix abordable, à  commencer par les System/3 et System/32 d'IBM. Cette offre a été à  l'origine de plus de 20 ans d'investissements informatiques internes.
Aujourd'hui, une multitude de facteurs convergent pour ressusciter le modèle des applications louées comme alternative aux systèmes internes.

Une fois de plus, les coûts de possession élevés des systèmes informatiques constituent le facteur le plus important contribuant à  la résurgence du modèle de la location.
Désormais, il n'y a pas que le matériel dont le prix soit élevé, mais également les mises à  jour des logiciels, le personnel chargé de la maintenance du parc informatique et les logiciels installés. "De nos jours, les dépenses les plus élevées sont liées aux personnes chargées d'assurer le bon fonctionnement des systèmes, la maintenance des logiciels, etc...
Il est beaucoup plus simple de répartir les coûts entre plusieurs entreprises utilisatrices et de demander à  un expert de s'en occuper sur un site à  distance plutôt que d'essayer de recruter et de former le personnel soi-même. Le coût et la commodité conduisent les entreprises à  adopter le modèle ASP", déclare Dan Barrow, Président de Data Processing Services, un ASP basé à  Indianapolis et qui propose une application de gestion des ventes en gros.
Par ailleurs, le temps est également approprié en termes de technologie pour un retour vers l'hébergement des systèmes informatiques sur des sites distants. L'avancée technologique la plus importante, et qui a contribué au retour des ASP, est le succès de l'Internet et la popularité des interfaces utilisateur de type navigateurs.
L'Internet et le Web ont considérablement popularisé le modèle de l'informatique distribuée. La popularisation des accès Internet, tant en entreprise qu'à  domicile, fait que les utilisateurs sont de plus en plus à  l'aise avec l'idée d'accéder à  des applications à  distance. Les performances pures du matériel ainsi que les
technologies avancées de développement d'applications Web d'aujourd'hui représentent
également des contributions majeures à  la montée en puissance des ASP.

Les coûts de possession élevés des systèmes informatiques constituent le facteur le plus important contribuant à  la résurgence du modèle de la location

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XML : au delà  des frontières

XML : au delà  des frontières

par Sharon L. Hoffman
Comment étendre les possibilités de description de fichiers des DDS aux environnements hétérogènes Les développeurs AS/400 se passionnent pour XML (Extensible Markup Language) parce que ce langage promet de régler deux problèmes pressants : échanger des informations entre applications disparates, et insérer des données complexes dans des pages Web. Comme l'AS/400 est avant tout un moteur de base de données, ces problèmes intéressent tout particulièrement les développeurs AS/400.

Certes, le problème de l'échange d'informations n'est pas nouveau. Mais il s'accentue dès lors qu'on partage de plus en plus de données avec ses clients et fournisseurs. La prolifération des bases de données internes et des applications (depuis les répertoires d'adresses sur chaque PC jusqu'aux applications de business intelligence complexes), suscite de nouvelles demandes pour l'échange de données entre programmes.

La nécessité d'insérer des données complexes dans des pages Web est le corollaire de la large utilisation d'Internet et, plus particulièrement, du développement d'applications de e-commerce.
Au fur et à  mesure que les sites Web deviennent plus sophistiqués, les pages HTML statiques sont de moins en moins pratiques. Les développeurs Web adoptent des outils comme Java et XML pour rendre les pages Web plus dynamiques et pour limiter les traitements manuels nécessaires pour des transactions Web, comme des demandes d'informations et des achats en ligne.

Plutôt que d'expliquer dans le détail les techniques et standards de coding XML, voyons plutôt la relation entre XML et les langages de définition de données, comme SQL et DDS, et les outils et technologies nécessaires pour utiliser XML efficacement. (Pour avoir un bref aperçu de XML, voir l'encadré " XML : Vue d'avion ".)

A la base de toute discussion sur l'échange de données, on trouve l'encodage des métadonnées

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iSeries : déjà  de retour

iSeries : déjà  de retour

par Benoît Herr
Le point et quelques précisions sur les annonces IBM du 3 octobre, dont le dernier numéro de NEWSMAGAZINE se faisait déjà  l'écho Quelle meilleure transition entre NEWSMAGAZINE et SYSTEMS Journal que cette annonce Serveurs IBM du 3 octobre dernier ! Et pourtant, il n'y a eu aucune concertation entre Big Blue et l'organe de Presse indépendant que nous sommes.

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Style RPG IV : même l’inattendu peut arriver !

Style RPG IV : même l’inattendu peut arriver !

par Julian Monypenny
Comment repérer les bogues potentiels dans des expressions arithmétiques, en écrivant des programmes "blindés" Je ne me lasse pas des films La Panthère Rose de Blake Ewards. J'aime tout particulièrement l'obsession qu'a l'inspecteur Clouseau de se perfectionner sans cesse dans les arts martiaux. C'est dans ce but que son acolyte, Cato, l'attaque à  l'improviste au moment le plus inattendu. Clouseau estime que pour dominer la situation, il faut apprendre à  "s'attendre à  l'inattendu".
Les programmeurs que nous sommes doivent aussi s'attendre à  l'inattendu. Dans l'article "Style RPG IV : pour écrire un code sain", NEWSMAGAZINE, septembre 2000, nous avons vu comment écrire un code solide en nous concentrant sur le traitement des erreurs renvoyées par les opérations d'I/O. Les erreurs d'I/O sont faciles à  piéger grâce aux indicateurs résultants ou aux fonctions intégrées comme %Error et %Found. Mais certaines erreurs de programmation sont bien plus insidieuses que celles d'I/O. Les erreurs les plus courantes rencontrées dans des programmes RPG IV sont dues à  des expressions arithmétiques associées à  l'opération Eval.
Nous allons donc évaluer des expressions arithmétiques en décrivant les erreurs auxquelles on peut s'attendre et en expliquant comment les contrôler fermement.

Certaines erreurs de programmation sont bien plus insidieuses que celles d'I/O

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Rationaliser les processus de Change Management

Rationaliser les processus de Change Management

par Paul Schlieben
Une stratégie de workflow efficace et une communication fluide sont les garants d'un système de Change Management bien intégréLorsqu'un système fonctionne 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, et que l'on veut préserver ses week-ends, il faut mettre l'accent sur la haute disponibilité du matériel et de la base de données. Sans oublier que même le matériel le plus fiable ne peut rien si les modifications logicielles sont mal effectuées. Et la modification des logiciels met en péril la disponibilité. C'est pourquoi, face à  une modification logicielle touchant directement des opérations de gestion critiques, il faut disposer d'un excellent système de Change Management. De même qu'une équipe informatique est plus qu'un simple groupe d'individus, un système de Change Management est plus qu'un ensemble d'utilitaires. L'équipe fonctionnera d'autant plus efficacement et intelligemment que les gens communiqueront mieux entre eux. Cela est aussi valable pour un bon système de Change Management. Il y a une nette différence entre un simple ensemble d'utilitaires et un système de Change Management complet mettant en oeuvre une stratégie de workflow efficace. Le workflow est essentiel. Entre le moment où une demande arrive et celui où une modification est déployée, il existe des dizaines de points de communication critiques pour attribuer une tâche, résoudre un conflit de développement, demander un test de code, alerter la direction pour qu'elle examine une requête ou approuve une modification, et autres. Dans un Système Informatique, les messages sont comme des synapses se déclenchant dans le cerveau, plus ils se déclenchent de façon fiable, plus le QI informatique est élevé. Voyons quelques exemples de points de communication critiques dans un bon système de Change Management.
Il faut disposer d'un système de suivi efficace

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