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Le Service Pack 1 de Windows 2000

Le Service Pack 1 de Windows 2000

par Paul Thurrott
Microsoft a récemment sorti le Service Pack 1 de Windows 2000, une première collection complète (63 Mo de données) de correctifs de bugs pour Windows 2000 Professionnel, Windows 2000 Server, et Windows 2000 Advanced Server. La version Datacenter Server, sortie quant à  elle en même temps que le SP1, intègre déjà  les correctifs de ce dernier. Compte tenu de l'attention des entreprises pour le Service Pack 1 et du nombre de clients qui attendent le premier Service Pack pour upgrader vers Windows 2000, la sortie de cette mise à  jour devrait provoquer une nouvelle vague d'adoptions de Windows 2000 par les entreprises.

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Objectif: 100% Linux en 2005

Objectif: 100% Linux en 2005

par Isabelle Nougier
Linux constitue aujourd'hui une priorité au sein du département Informatique du Ministère de la Culture, le DOSI (Département de l'Organisation et des Systèmes d'Information). En effet, l'objectif fixé à  l'horizon 2005 vise l'intégration de Linux à  l'ensemble de tous les serveurs de ses 200 sites.

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De gré ou de force, les constructeurs adoptent une stratégie Linux

De gré ou de force, les constructeurs adoptent une stratégie Linux

par René Beretz
A l'heure de l'adoption de Linux en entreprise, la stratégie des constructeurs informatiques évolue considérablement. La stratégie des constructeurs informatiques envers les systèmes d'exploitation a changé. Les systèmes propriétaires n'ont plus le vent en poupe et la plupart des sociétés vantent les standards. Mais du discours à  la réalité, il reste du chemin à  parcourir. Ne serait-ce que dans le monde Unix, il reste des différences bien réelles et une concurrence effective entre AIX d'IBM, HP-UX de Hewlett-Packard ou Solaris de Sun. Les constructeurs ont cependant sauté sans trop d'états d'âme sur la vague Linux qui a rattrapé également les groupes de travail qui se préoccupent de convergence d'Unix. Il est fort probable que l'avenir des différents Unix va donc dépendre de cet outsider.
De fait, poussés par l'engouement des développeurs, les entreprises commencent à  adopter Linux et il devient donc essentiel pour les constructeurs d'être présents sur ce créneau. En outre, il leur offre l'opportunité de se repositionner sur le marché de l'éducation et sur certains marchés étrangers.

Les constructeurs ont cependant sauté sans trop d'états d'âme sur la vague Linux

L'attitude des constructeurs oscille entre deux extrêmes : certains ont élaboré une vraie stratégie Linux : ils ont adopté une attitude dynamique qui devance le marché : c'est le cas, en particulier, d'IBM, de Hewlett-Packard et de Silicon Graphics.
D'autres sociétés se contentent de proposer des solutions Linux pour répondre aux attentes de leurs clients : c'est le cas de Compaq ou de Dell. Entre les deux, Sun accompagne le mouvement tout en protégeant ses acquis.

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HPRIM-NET : le premier Intranet  médical  développé sous Linux

HPRIM-NET : le premier Intranet médical développé sous Linux

par Catherine China
Intranet privé de transmission de résultats médicaux, HPRIM-NET est destiné aux médecins et laboratoires d'analyses. Souplesse des développements, réduction des coûts, fiabilité du système d'exploitation : autant d'arguments qui ont joué en faveur de l'adoption de Linux par Nagora Communication, la Web agency , chargée de sa mise en oeuvre. Epaulé par l'association HPRIM , le corps médical oeuvre en faveur du développement d'intranets de santé privés, pour choisir librement son système de transmissions de FSE (Feuilles de Soins Electroniques).
C'est ainsi, qu'est né en 1998, le projet de serveur HPRIM-NET du groupe Expand Santé. "Le Réseau Santé Social, intranet d'état, ne disposait pas d'outil de diffusion de résultats d'analyses médicales. Notre objectif était, via cet intranet privé, de permettre aux médecins de récupérer des résultats d'analyses de manière souple, tout en assurant le support du protocole de transmission Kermit utilisé par les laboratoires d'analyses." explique Kevin de Beil, chef de projet chez Nagora Communication, société chargée du développement de la solution. En mai 1998, une première maquette de l'application voit le jour sous Linux.

Un an plus tard, cette maquette est testée avec la participation d'une vingtaine d'éditeurs de logiciels de gestion de cabinet médicaux (Coccilog, Apsisanté…) "Nous avons ensuite développé une nouvelle maquette du serveur HPRIM à  grande échelle, avant de rentrer en phase d'exploitation en janvier 2000." assure Kévin de Beil.

Objectif du projet.
Développement d'une application d'intranet médical sous Linux respectant les spécificités des télétransmissions aux normes Kermit/HPRIM.

Grâce à  la souplesse de Linux et à  la disponibilité gratuite de tous les protocoles de communication, nous avons pu partir sur une maquette technique, l'arrêter en cours de route, repartir sur une autre alternative

Coûts et bénéfices de la solution

Coûts :
Le coût de développement de la solution (y compris le support hot line des éditeurs de logiciels médicaux) a été d'environ 600 kF, soit l'équivalent d'une année-homme.
Coût de la formation Linux par Erian- Concept : environ 45.000 Francs.

Bénéfices :
- Souplesse de développement grâce à  la disponibilité gratuite des codes sources et des protocoles de communications
- Réduction des coûts de développements.
- Simplicité de l'administration.

Nagora Communication : fiche d'identité
Agence Internet spécialisée dans la communication multimédia et la création de sites Web, appartenant au groupe Nagora.

Effectif groupe 1999 : 85 personnes
Siège à  Paris et support de production à  Nice

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Jeune et déterminée

Jeune et déterminée

par Isabelle Nougier
Le marché des logiciels libres croit évidemment de façon vertigineuse ces derniers temps, et des sociétés comme IdealX apparaissent aujourd'hui sur le devant de la scène pour promouvoir ces logiciels libres et accompagner les entreprises dans leurs projets Open Source

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Linux : anatomie

Linux : anatomie

par Xavier Facélina
Cet article aborde le système Linux non pas par son histoire ou par son positionnement philosophique, politique ou économique, mais par sa structure technique. En traitant différents aspects de Linux, en allant du plus proche de la machine au plus éloigné, nous devrions arriver à  une compréhension globale de ce qu'est réellement Linux. Au coeur du système : un noyau (kernel). Tout est là . Linux s'articule tout entier autour de ce noyau dont le développement est réalisé par la communauté des kernel-developers, sous l'oeil vigilant de Linus Torvald en personne.

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Virus : éduquez les utilisateurs

Virus : éduquez les utilisateurs

par David Chernicoff
Depuis le début de l'année, ma boîte de réception d'e-mails semble devoir contenir chaque jour un message de mon fournisseur d'antivirus. Ces messages contiennent des alertes à  propos de nouveaux virus et comportent des liens vers des sites Web d'où l'on peut télécharger des fichiers permettant de protéger mon réseau contre ces programmes malins. La majorité de ces messages concernent des alertes et mises à  jour concernent des formes diverses de virus macro qui ciblent en priorité Microsoft Word ou Excel. Comme tout bon administrateur réseau responsable, je télécharge toujours les mises à  jour des applications antivirus et les applique aussi bien sur les serveurs que sur les clients. Je n'informe pas les utilisateurs de ces mises à  jour : je les mets en oeuvre, simplement. Or, je suis convaincu que la plupart des administrateurs systèmes appliquent la même méthode et c'est là  que réside le problème.

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Peut-on vivre sans Active Directory ?

Peut-on vivre sans Active Directory ?

par Mark Minasi
Si vous n'avez pas encore entamé votre migration vers Active Directory (AD), vous n'êtes pas seuls. Les entreprises semblent actuellement se poser la question suivante : « Nous voulons bénéficier de toutes les fonctions améliorées de Windows 2000, et nous irons vers AD, mais la mise en oeuvre d'Active Directory semble être une première marche bien haute à  franchir dans le déploiement de Windows 2000. Que se passerait-il si nous procédions au déploiement de Windows 2000 sur les postes de travail et sur les serveurs membres et que nous attendions pour déployer AD plus tard ? Que perdrions-nous à  cela ? »

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Les solutions de clustering de Microsoft

Les solutions de clustering de Microsoft

par Greg Todd
Au fil des ans Microsoft s'est efforcé d'étendre la capacité de montée en charge, la disponibilité et la fiabilité de ses solutions serveurs. Le clustering est un moyen éprouvé d'atteindre cet objectif et Microsoft l'a adopté en vue d'en faire un élément à  part entière de ses systèmes d'exploitation et de ses offres produits. Avec la sortie de Windows 2000, les solutions de clustering de Microsoft ont fait un bond en avant considérable vers la maturité.

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SMP et traitements parallèles sur AS/400

SMP et traitements parallèles sur AS/400

par James Steward et Dan Cruikshank
Le parallélisme donne un réel coup de pouce aux performances. Certes, mais est-ce toujours dans la bonne direction ? Peu après les problèmes systèmes survenus chez e-Gads (voir l'article "The Case of the Missing Index", NEWS/400, août 2000), nous avons discuté, Dan et moi-même, la nécessité de publier quelques informations de base à  propos du parallélisme sur AS/400. Il faut se souvenir que les dysfonctionnements d'e-Gads étaient provoqués (en partie) par le parallélisme des requêtes. La valeur système QQRYDEGREE était définie pour utiliser le parallélisme des I/O (*IO). La requête à  problème tournait en haute priorité et le gros fichier d'historique financier détaillé existait sur la plupart (si ce n'est sur tous) des bras disque. Ainsi, la mise en oeuvre de la requête de l'optimiseur des requêtes lisait de manière dynamique depuis ces bras en parallèle, et provoquait la dégradation des autres travaux du système. La situation d'e-Gads est un parfait exemple de la manière dont le parallélisme peut entraîner des difficultés si on ne prend aucune précaution.
La stratégie de croissance d'IBM pour les AS/400 haut de gamme a été de mettre en place des systèmes plus grands, utilisant plusieurs processeurs. Cette approche améliore considérablement le traitement interactif et les taux de transmission des transactions associés. En revanche, pour les traitements classiques des travaux par lot à  une seule unité de traitement, cela signifie des systèmes largement sous-utilisés.

Le parallélisme peut entraîner des difficultés si on ne prend aucune précaution

Lorsque les systèmes bi-processeurs sont apparus, Dan et moi avons commencé à  répondre à  des questions du genre : "Pourquoi ne puis-je pas exploiter mon système à  plus de 50 % d'utilisation de CPU pendant les heures creuses ?" Nous avons encouragé les traitements parallèles et nos analyses sur la conception d'applications étaient centrées sur l'utilisation de cette fonctionnalité. Avec des systèmes à  4, 8 et 12 processeurs, les traitements parallèles deviennent encore plus judicieux. Nous recevons encore des appels mais, aujourd'hui, avec un système à  12 processeurs, les questions ressemblent à  ceci : "Pourquoi ne puis-je pas exploiter mon système à  plus de 10 % d'utilisation de CPU pendant les heures creuses ?"
Les demandes des requêtes impliquent en général, le traitement de gros volumes d'I/O. Ainsi, le parallélisme, tout comme les traitements par lot, profite du traitement des requêtes sur AS/400. Les améliorations récentes apportées au système ont été centrées sur les traitements parallèles ; il existe même une fonction OS/400 téléchargeable permettant d'étendre l'utilisation du parallélisme du système. Si elle est installée, la fonction SMP (Symmetrical Multiprocessing) permet de diviser automatiquement certains travaux de requête en plusieurs tâches pouvant être traitées simultanément par plusieurs processeurs. J'entends, par travaux de requête, toutes les requêtes utilisant l'optimiseur de requêtes. Par conséquent, SQL, Query/400, OPNQRYF, ODBC, l'API de requêtes, DRDA (Distributed Relational Database Architecture) et JDBC figurent parmi les interfaces tirant profit de SMP.


Méthodes d'accès utilisant le parallélisme
Méthodes d'accès aux données sans clés
Parallel table scan
Parallel skip sequential
Parallel pre-fetch
Parallel table pre-load

Méthodes d'accès aux données avec clé
Key positionning and parallel key positionning
Key selection and parallel key selection
Parallel index pre-load
Parallélisme
SMP
SMP
I/O
I/O

Parallélisme
SMP
SMP
I/O

La tâche de l'optimiseur de requêtes consiste à  développer l

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RPG IV : format libre et bien plus encore

RPG IV : format libre et bien plus encore

par George N. Farr
Le RPG a un brillant avenir dans des applications e-business Dans les discussions avec des programmeurs AS/400 rencontrés au cours de mes voyages autour du monde, la plupart des questions tournent autour du même thème. Par exemple :
· " Le RPG IV est-il destiné à  durer, ou IBM essaie-t-elle de le tuer ? "
· " La V4R5 ne comporte aucune amélioration du RPG IV. Serait-ce qu'IBM n'envisage plus d'améliorations du RPG ? "
· " IBM est-elle en train de remplacer le RPG en transformant l'AS/400 en une machine Java ? "
· " Java est-il le seul moyen d'écrire des applications e-business sur l'AS/400 ? "

Ces questions témoignent des inquiétudes sur l'avenir de l'AS/400, et du RPG en particulier, j'aimerais y répondre dans cet article.
Il ne faut pas non plus, à  moins d'avoir une bonne raison, plonger complètement dans Java

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JDBC 2.0 : les nouveautés

JDBC 2.0 : les nouveautés

par Richard Dettinger
Le JDBC 2.0 comprend plusieurs nouvelles méthodes, une fonction de mise à  jour batch et la prise en charge de types de données SQL3 Face à  l'expansion de l'univers Java, il est de plus en plus difficile de connaître toutes les nouvelles fonctions. La release de JDBC (Java Database Connectivity) 2.0 (qui est un élément standard de JDK (Java Development Kit) 1.2, ou Java 2) illustre bien cette rapide croissance des fonctionnalités. JDBC 2.0 offre de nouvelles fonctions intéressantes. En avant-première, cet article vous apprend à  utiliser ces nouvelles fonctions sur AS/400 en évitant les pièges. Sauf indication contraire, les exemples et les diverses méthodes de cet article s'appliquent également aux drivers JDBC natifs et AS/400 for Java Toolbox. (Pour plus d'informations sur JDBC et ses drivers, voir la bibliographie)
Avant de pouvoir utiliser JDBC 2.0, il faut bien sûr l'installer sur l'AS/400. Pour utiliser JDBC 2.0 avec le driver JDBC natif, il faut être en V4R4. On peut également l'obtenir sous la forme de la PTF 5769JV1 SF55645. Le support de JDBC 2.0 est standard sur l'OS/400 à  partir de la V4R5. L'utilisation de JDBC 2.0 avec le driver JDBC Toolbox est possible à  partie de la release Mod 2. Pour apprendre à  utiliser les nouvelles fonctions dans les releases JDK précédentes, voir l'encadré " Utiliser la fonctionnalité JDBC 2.0 dans JDK 1.1 ". Voyons maintenant de plus près comment fonctionne le JDBC 2.0.

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Tirer toute la puissance de la console d’administration de Windows 2000 <br>2ème Partie

Tirer toute la puissance de la console d’administration de Windows 2000
2ème Partie

par Kathy Ivens
Dans la première partie de cet article parue le mois dernier, nos avons vu les bases de la MMC (Microsoft Management Console). Voici les meilleures surprises que vous réserve la MMC. Il y a trop de fonctions sympathiques dans la MMC pour toutes les faire tenir dans cet article. J'ai donc sélectionné mes favorites.

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Connecter votre petit réseau à  l’Internet

Connecter votre petit réseau à  l’Internet

par Mark Minasi
Un des principaux problèmes que rencontrent les administrateurs de réseaux est la connexion des LAN à  l'Internet. Ce mois-ci, nous allons donc voir quelles sont les dernières méthodes pour cela et nous comparerons certaines des nouvelles possibilités de routage qu'offrent, aux petits groupes, les fonctions ICS (Internet Sharing Connexion) et NAT (Network Address Translation) de Windows 2000.

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Faciliter la migration vers Windows 2000 avec ADMT

Faciliter la migration vers Windows 2000 avec ADMT

par Martin McClean
Au fur et à  mesure que Windows 2000 s'affirme sur le marché informatique, les entreprises sont de plus en plus nombreuses à  envisager la migration de leurs environnements Windows NT 4.0. Pour migrer un réseau de Windows NT 4.0 vers Windows 2000 (en effectuant une migration des forêts entre elles), il existe deux choix possibles : mettre à  niveau les domaines ou les restructurer. Une mise à  niveau des domaines, ou mise à  niveau sur place, consiste à  migrer le PDC et les BDC d'un domaine Windows NT 4.0 vers Windows 2000 Server. C'est la méthode de migration la plus commune et la voie la plus directe, la moins risquée à  suivre.
Une restructuration, ou consolidation de domaines, consiste à  créer une forêt Windows 2000 et à  y migrer les domaines Windows NT 4.0 existants. Cette méthode permet de concevoir une forêt idéale et de consolider ou de fusionner des domaines NT 4.0, si nécessaire. Elle permet aussi de revenir à  l'environnement Windows NT existant à  tout moment, puisqu'elle établit un environnement parallèle pour migrer le réseau. Elle permet donc un développement permanent de la structure Windows 2000, tout en préservant l'ancien environnement de production Windows NT.
Jusqu'à  récemment, la majorité des migrations étaient des mises à  niveau sur place. L'autre méthode, à  savoir la restructuration des domaines, posait souvent des problèmes pour réaliser une migration en douceur des utilisateurs et des groupes entre les domaines. Pour les résoudre, Microsoft a sorti l'outil AMDT (Active Directory Migration Tool). Il s'agit d'un ensemble d'assistants de migration faciles à  utiliser, prenant chacun en charge une tâche distincte. Avec eux, la mise en oeuvre d'une restructuration de domaines devient un jeu d'enfant.

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Les composants d’un système à  haute disponibilité

Les composants d’un système à  haute disponibilité

par David Chernicoff
Les médias foisonnent d'informations sur les technologies matérielles et logicielles permettant aux serveurs d'atteindre les tout derniers progrès en matière de performances - à  savoir 99,999 pour cent de temps de bon fonctionnement du matériel et des applications, ce qui n'est pas rien. Car passer ne serait-ce que de 98 à  99 pour cent de temps de bon fonctionnement implique déjà  un accroissement important des coûts de matériels et de logiciels. C'est dire si ce cinquième neuf en plus va occasionner une augmentation de coût exponentielle ! Fort heureusement, rares sont les applications nécessitant un tel pourcentage (cinq neuf) de bon fonctionnement. La plupart des administrateurs réseaux se contenteraient de deux neuf (c'est-à -dire 99 pour cent de temps de bon fonctionnement), ce qui est beaucoup plus facile à  atteindre. Dans tous les cas, qu'il s'agisse d'une plate-forme serveur Windows 2000 ou Windows NT 4.0, il faut, pour mettre en place une base solide pour des serveurs fiables prendre un certain nombre de décisions spécifiques sur les logiciels serveurs, et sur l'achat et le déploiement des matériels serveurs.

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Les 4 facteurs clés des performances d’Exchange Server

Les 4 facteurs clés des performances d’Exchange Server

par Paul Robichaux
Dans les chaînes de restauration rapide, il est généralement possible de commander un menu « plus ». Le principe est simple : vous obtenez plus de nourriture pour une somme supplémentaire symbolique. Pourquoi ne pas appliquer cette logique à  notre marché ? Imaginez la conversation suivante entre vous et votre fournisseur de systèmes :

Vous : " J'aimerais acquérir un serveur bi-processeur Pentium III Xeon avec 512 Mo de RAM et un disque de 9 Go s'il vous plait. "

Le constructeur : " Désirez-vous essayer notre serveur super spécial de la semaine ? Pour seulement 100 Francs de plus, vous obtenez une grappe RAID 5 de 3 disques de 18 Go et une copie gratuite de Quake III ? "

Si seulement il était possible d'acquérir des systèmes Exchange Server de cette façon… Une des raisons pour lesquelles il est si difficile de maximiser les performances d'Exchange Server, est qu'il est très difficile d'isoler un unique facteur qui, à  lui seul, est en mesure de modifier sensiblement les performances. De nombreuses personnes pensent que les performances d'un ordinateur dépendent exclusivement de la vitesse d'horloge de son processeur ? à  l'ancienne époque, lorsqu'un processeur 8086 cadencé à  4 MHz était considéré comme puissant, cette conviction était peut-être vraie. Mais avec les ordinateurs et les systèmes d'exploitation actuels, les performances dépendent généralement de 4 ressources - la CPU, la mémoire, le sous-système de disques et le réseau - et de la façon dont les applications d'un ordinateur cible utilisent ces ressources. En comprenant ces ressources et processus, on peut apprendre comment booster chacune des ressources (et donc les performances qu'on peut en obtenir) pour en tirer l'efficacité maximum.

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La sécurité de Windows 2000 et d’Exchange 2000

La sécurité de Windows 2000 et d’Exchange 2000

par Jan De Clercq
Du fait de son étroite intégration avec Active Directory (AD) de Windows 2000, Exchange 2000 Server profite non seulement des fonctions de sécurité de ce dernier, mais bénéficie aussi d'autres améliorations de la sécurité Windows 2000, notamment en matière d'authentification, de contrôle d'accès et d'audit.

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Mettre en place des stratégies d’accès distant

Mettre en place des stratégies d’accès distant

par Douglas Toombs
Il y a 5 ou 6 ans, deux grands acteurs s'affrontaient autour d'une proie alléchante, baptisée « part de marché ». Celle qui remporterait la plus grosse part serait adorée par les richissimes habitants consensuels d'un pays mystique répondant au nom implacable de Wall Street. A l'époque cette part était entre les griffes de Novell et Microsoft la convoitait. Ceux de nos lecteurs qui fréquentent l'univers de l'informatique depuis suffisamment longtemps pour se rappeler les premiers pas de Windows NT, savent que si Microsoft a pu glisser un pied dans la porte (y compris de certains comptes Novell purs et durs), c'est grâce à  l'ajout à  NT de services inexistants sur les autres plates-formes. A l'époque, un de ces cadeaux gratuits les plus connus fut le service d'accès à  distance RAS. Ses concurrents les plus acharnés étaient les périphériques matériels propriétaires et Novell NetWare Connect, mais leurs coûts de licences par port étaient très élevés.
Windows NT s'est lentement infiltré dans les organisations en introduisant l'un après l'autre des services gratuits répondant à  des besoins spécifiques des consommateurs. Malheureusement, bon nombre de ces " plus " n'ont pas atteint la même maturité que Windows NT au fil des ans. Malgré quelques améliorations à  chaque révision du système d'exploitation, RAS s'est avéré insuffisant dans certains domaines importants pour entreprises, en particulier pour ce qui est de gérer quel utilisateur peut se connecter à  un serveur RAS et à  quel moment. Le RAS de NT n'est pas étranger à  la sécurité des domaines et aux stratégies de comptes, mais les administrateurs veulent souvent pouvoir contrôler davantage les utilisateurs appelant de l'extérieur. Pour répondre à  leurs attentes, Microsoft a ajouté à  Windows 2000 Server des stratégies d'accès à  distance que RAS peut appliquer aux connexions entrantes.

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Une introduction aux vues indexées

Une introduction aux vues indexées

par Karen Delaney
SQL Server 2000 ouvre une voie alternative pour atteindre des performances maximales


Remarque : Les auteurs ont basé leurs articles SQL Server 2000 sur des versions antérieures à  la Bêta 2. Aussi, il se peut que vous remarquiez quelques différences entre la Bêta 2 et le comportement ou les interfaces décrits dans cet article. En particulier, veuillez noter que la fonction vues indexées ne sera disponible que dans SQL Server 2000 Enterprise Edition. Toutefois, on peut installer Entreprise Edition sur un serveur NT 4 ou Windows 2000 (W2K). On n'est pas obligé d'utiliser NT 4.0 Enterprise ou W2K Advanced Server.

Le puissant et récent support de SQL Server 2000 des vues indexées promet de nous faciliter la tâche tout en exécutant les applications et requêtes plus rapidement. Cela vous semble trop beau pour être vrai ? Les vues indexées permettent de précalculer toutes sortes de jointures, agrégations et formules pour que l'on n'ait plus à  écrire ces conditions dans chaque requête. De plus, Microsoft déclare obtenir des gains de performance de 10 à  100 fois supérieurs au sein des applications et requêtes accédant aux vues indexées par rapport aux tables de base. Bien qu'Oracle supporte une fonctionnalité similaire, appelée vues matérialisées, les nouvelles vues indexées de SQL Server vont bien au-delà  de ce qu'offre la concurrence.

Les nouvelles vues indexées de SQL Server vont bien au-delà  de ce qu'offre la concurrence


Vues indexées ou vues matérialisées ?

Vous avez peut-être entendu parler du concours doté d'un prix d'un million de dollars organisé par Oracle lorsque Microsoft a lancé SQL Server 7.0. Ce concours a été modifié trois fois, mais la version finale ressemble à  ceci :
"Oracle Corp. versera la somme d'un million de dollars à  la première personne capable de démontrer que SQL Server 7.0, avec une base de données TPC-D d'un Tera-octets peut se rapprocher à  1/100 près des meilleures performances publiées à  ce jour par Oracle pour la requête n°5 du standard TPC-D actuel (version 1.3.1). Pour être éligible, le candidat doit réaliser un test TPC-D sur 1 To complet, répondant à  toutes les contraintes de chargement, de mise à  jour et de recherche des données, et publier un rapport intégral de toutes les mesures de performances. Le candidat peut utiliser n'importe quelle plate-forme habilitée à  héberger SQL Server 7.0. Les tests doivent être validés par un organisme certifié TPC".

Oracle était sûr de son fait, car son système prenait déjà  en charge une fonctionnalité appelée "Vues matérialisées". Etant donné que le TPC (Transaction Processing Performance Council) documente de manière exhaustive les spécifications de ses benchmarks, Oracle a été en mesure de créer des vues matérialisées correspondant aux requêtes exécutées au cours du benchmark. Ainsi, il suffit à  la base de données de lire les résultats pré-calculés depuis le disque, sans avoir à  effectuer aucun traitement. Si SQL Server 7.0 avait pris en charge les vues indexées, Oracle n'aurait jamais organisé ce concours.
Les vues indexées de SQL Server 2000 présentent plusieurs avantages par rapport aux vues matérialisées d'Oracle. Tout d'abord, les vues matérialisées ne sont pas dynamiques. Il faut les rafraîchir manuellement pour prendre en compte les modifications intervenues dans les données. Ensuite, l'optimiseur de requêtes d'Oracle ne prévoit pas de façon automatique l'utilisation d'une vue matérialisée si on ne précise pas directement le nom de la vue dans la clause FROM de la requête.

Qu'on utilise des vues indexées ou matérialisées, dans les deux cas, il faut con

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