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40 ans de COMMON

40 ans de COMMON

par Benoît Herr
La 81ème conférence de COMMON US qui s'est tenue du 22 au 26 octobre dernier à  Baltimore, Maryland, a marqué l'entrée de l'association dans sa quarante et unième année. Un anniversaire fêté en grande pompe et marqué par une très forte présence d'IBM. Une fois n'est pas coutume : cette fois, ils étaient tous là . Depuis les experts techniques de Rochester jusqu'à  Bill Zeitler en passant par Tom Jarosh, Frank Soltis ou encore Malcolm Haines, à  qui l'on doit la chorégraphie du spectacle de gala commémoratif. Sans compter tous les participants non-IBM, anonymes ou moins anonymes, comme Al Barsa ou Rick Turner par exemple. Impossible bien sûr de nommer tous les 3000 participants à  cette 81ème conférence de COMMON US, mais l'ensemble de la communauté mondiale de l'AS/400 s'était donné rendez-vous à  Baltimore fin octobre. Fidèle au poste, notre ami de Suisse romande Samy Mosimann a même du faire les 250 derniers miles séparant Genève de Baltimore en bus au beau milieu de la nuit, pour s'entendre dire à  l'arrivée qu'il n'y avait pas de chambre pour lui…

L'ensemble de la communauté mondiale de l'AS/400 s'était donné rendez-vous à  Baltimore fin octobre

L'éternel second
En marge de la conférence COMMON, Kelly Schmotzer, iSeries Domino Marketing Manager nous a confirmé que l'AS/400 était et restait toujours la seconde plate-forme en termes de nombre d'installations de Domino, parmi les sept sur lesquelles tourne le logiciel. "Mais nous ne serons jamais numéro un", explique-t-elle, "et ceci pour une raison bien simple : nous remplaçons souvent 40 à  50 serveurs Windows NT par un seul serveur AS/400. La lutte est arithmétiquement inégale. Cela ne nous empêche pas, avec plus de 70.000 ventes aujourd'hui, d'avoir plus de parts de marché avec Lotus que AIX, Sun, et HP réunis."
Kelly Schmotzer nous confirme aussi que 25% des ventes actuelles d'AS/400 sont en rapport avec une installation de Domino, qu'il s'agisse de machines dédiées, de machines mixtes, hébergeant à  la fois Domino et des applications de gestion, ou d'upgrades commandés spécifiquement pour répondre aux besoins de Domino. "Mais il est vrai", ajoute-t-elle, "que Domino sur AS/400 se porte bien mieux en Amérique du Nord qu'en Europe. Cet état de fait est du à  un problème de ressources, que nous avons identifié et sur lequel nous sommes en train de nous pencher en ce moment même".
BH

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Cas concrets de modernisation d’applications

Cas concrets de modernisation d’applications

on Soule
Trois expériences concrètes démontrent qu'il est parfois préférable de rajeunir un code RPG existant que de le remplacer. L'ambiance était tendue, presque sinistre, quand le directeur informatique annonca la nouvelle. Le projet de remplacement de l'application RPG AS/400 par un nouveau système client/serveur Windows NT avait coûté plusieurs dizaines de millions de francs, pris un an et demi de retard, et semblait voué à  l'échec. Le moment était venu d'arrêter l'acharnement thérapeutique : continuer était trop risqué.
Cette mauvaise nouvelle entraînait bien sûr une question : que faire à  présent ? Comme consultant appelé pour recoller les morceaux, c'est à  moi que l'on posa la question.

Il s'agissait de remplacer une application de traitement transactionnel centralisée avec peu d'accès à  distance. L'information parvenait sous forme imprimée aux agences régionales pour être introduite dans le système AS/400 à  l'aide de terminaux 5250. Le nouveau système avait pour mission de distribuer les applications NT à  des centaines de sites.
Les utilisateurs finaux avaient beaucoup participé à  la conception d'une nouvelle interface Windows (implémentée en Visual Basic) et les chefs de projet souhaitaient que l'on puisse utiliser cette nouvelle interface.

Notre solution : conserver l'application AS/400 en la modernisant. Le projet NT prévoyait un serveur à  chaque site, mais nous avons écarté cette hypothèse trop chère et difficile à  gérer. Nous avons préféré utiliser l'AS/400 existant comme système central, relié aux sites par Internet ou par une liaison fixe, selon la taille et le volume du trafic de chaque site.
Pour faciliter la mise en place, limiter les coûts d'assistance, et offrir l'interface graphique, nous avons opté pour un outil frontal générateur d'applets Java. Nous avons utilisé les images déjà  réalisées en VB, comme modèle pour créer un nouveau frontal graphique en Java, pratiquement identique aux panneaux VB que les utilisateurs souhaitaient. Dupliquer le comportement non modal, orienté événements, de l'application VB, a été un peu plus difficile, mais nous y sommes parvenus en modifiant les programmes RPG de manière à  traiter et acheminer quelques nouvelles requêtes. Comme le frontal graphique fonctionne dans Windows ou dans un navigateur, le déploiement a été facile, quel que soit le type de connexion entre un site et l'AS/400.

Du point de vue gestion, la modernisation de l'application existante présentait plusieurs avantages, dont le plus important, dans le cas présent, était le risque minimum. Le projet NT était à  haut risque, avait utilisé la plus grande partie du temps et de l'argent alloués, et avait échoué. La direction ne voulait surtout pas entendre parler d'une autre proposition scabreuse.
Précisément, le choix de modernisation de l'application était rassurant puisqu'il permettait d'utiliser l'existant en matériel, logiciel et compétences. Il était facile d'estimer les coûts de création et de déploiement de l'application, puisqu'ils étaient fondés sur des technologies et des compétences confirmées. Et notre client dépendait de peu de consultants externes pour pallier des compétences maison absentes.
Résultat : un nouveau système en quelques mois, au lieu de quelques années, pour quelques milliers de dollars, au lieu de quelques millions.

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Ca roule pour MBK

Ca roule pour MBK

par Claire Rémy
MBK Industrie (Groupe Yamaha Motor) assure le passage à  l'an 2000 de ses applications AS/400 avec l'aide de la société Databorough et de son logiciel XAnalysis. MBK Industrie dispose d'applications de gestion commerciale (Andersen Consulting) et de gestion de production (Macpac) sur AS/400. Dès octobre 1995, l'entreprise commence à  se préoccuper du « problème » du changement de millénaire. « A l'époque, nous nous posions simplement la question: quel serait l'impact du passage à  l'an 2000 sur notre système informatique ? », rappelle Isabelle Aubert, Chef du Projet an 2000.
Les premières discussions déclenchent une série d'actions: étude d'impact, définition de solutions, et communication pour informer la Direction Générale des risques encourus, des diverses solutions envisageables et du coût de l'opération.

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EUMIS développe à  tout va !

EUMIS développe à  tout va !

par Sabine Terrey
Qui a dit que personne ne faisait plus de développements spécifiques ?La Société Playtex, spécialisée dans la fabrication de sous-vêtements féminins, fait partie du Groupe américain Sara Lee. Ce groupe comprend aussi des sociétés de l'alimentaire, du secteur vêtements de sport, etc.

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TOTAL gagne du temps

TOTAL gagne du temps

par François Rihen
TOTAL (Pétrole France) renforce sa collaboration avec CCMX. L'éditeur lui apporte son expertise dans la mise en oeuvre du module de gestion des temps de TIP400, pour ses raffineries, TOTALGAZ et le siège de la Défense. La direction des ressources humaines de TOTAL vient de relever un défi important. A l'heure où les préoccupations portent sur l'euro et le passage à  l'an 2000, son service informatique s'est imposé un troisième compte à  rebours.

Début janvier 1999, plus de 8000 bulletins de paye de quatre sociétés du groupe pétrolier, dont trois raffineries, ont été élaborés grâce au module de gestion des temps de TIP400.
Plus de 1300 règles dédiées à  la gestion des temps nourrissent désormais chaque mois trois cent rubriques du progiciel de paye de CCMX de quelque 20000 à  25000 variables de paie. TOTAL SA et l'éditeur ont travaillé conjointement sur le projet pendant un an…

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12 règles pour les gens ordinaires

12 règles pour les gens ordinaires

par Roger Pence Dans son nouveau livre, au titre résolument inspiré par le Web : Business@the Speed of Thought (Le travail à  la vitesse de la pensée, Robert Laffont, pour l'édition française), Bill Gates énonce ses 12 règles pour réussir à  l'âge du numérique. Quelqu'un qui possède 60 ou 70 milliards de dollars dans son escarcelle et élève ses propres saumons, peut-il fixer des règles pratiques utilisables par le reste d'entre nous ? Non, bien entendu. Permettez-moi d'énoncer modestement mes 12 règles pour les ateliers AS/400, à  l'approche de l'âge du numérique

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Demain l’Euro

Demain l’Euro

par Benoît Herr
Plus que 500 et quelques jours avant cette nouvelle échéance fatidique qu'est le 1er janvier 2002 pour l'Euro. Nombreux sont ceux qui n'ont encore rien fait.

Et vous, où en êtes-vous ? La pénétration de l'Euro dans les entreprises françaises et européennes reste très faible (seuls quelques pour cents de l'ensemble des transactions se font aujourd'hui dans la monnaie unique).

Pourtant, les monnaies nationales des pays "in" ne sont officiellement plus que des subdivisions de la monnaie unique et, à  bien y regarder, il ne reste plus beaucoup d'occasions pour basculer. Si l'échéance du 31 décembre 2001, où l'on attend un "grand embouteillage" est à  éviter à  tout prix, la bonne date de basculement, pour les entreprises clôturant au 31 décembre, reste le 31 décembre 2000.

Bien sûr, selon la loi, on peut basculer à  n'importe quel moment de l'exercice, et les entreprises ne sont en aucun cas obligées de se caler sur une fin d'exercice.

Mais cela oblige à  gérer des transactions en francs sur une certaine période, puis en Euros sur le reliquat du même exercice.

C'est ce qu'on appelle la rétropolation. Selon Annie-Claire Poisson, Expert Comptable, Commissaire aux comptes et membre du comité Euro du CSOEC (Conseil Supérieur de l'Ordre des Experts Comptables), "Il s'agit là  d'une possibilité extrêmement difficile à  mettre en pratique. Les logiciels sachant gérer une telle rétropolation sont en effet très peu nombreux sur le marché. Et quand bien même l'entreprise en serait équipée, le logiciel en question n'est en général pas installé isolément, et il y a de fortes chances pour que les logiciels avec lesquels il dialogue ne soient eux pas à  même de rétropoler. Le basculement à  l'Euro implique le changement du système de référence de toute l'entreprise."

Pour les entreprises clôturant à  une date différente du 31 décembre, la meilleure date de bascule est, comme cela a été le cas pour la société Calvet (cf. encadré "Le cas Calvet") la fin de l'avant-dernier exercice avant l'échéance. Au pire, il y a alors encore une "session de rattrapage", et on pourra toujours encore se caler sur la fin d'exercice suivante. Hélas, à  l'heure où vous lisez ces lignes, il est déjà  trop tard pour s'y prendre ainsi pour bon nombre d'entreprises.

Les monnaies nationales des pays "in" ne sont officiellement plus que des subdivisions de la monnaie unique

Le cas Calvet

Fondée en 1818, la maison Calvet fait véritablement partie du "paysage" bordelais. Elle produit trente millions de "cols" (comprenez "bouteilles") par an, pour un chiffre d'affaires de 400 MF en 1999 et un effectif de 113 personnes. 70% de cette production part à  l'exportation, dans quelque 110 pays du monde entier. Trois lignes d'embouteillage, alimentées par une cuverie de 80000 hl, conditionnent les produits livrés en 48h sur la France, et en 2 à  3 semaines au maximum partout ailleurs dans le monde.

Dès 1997 une réflexion sur ses systèmes d'information avait été initiée chez Calvet, et c'est finalement le progiciel Minos, édité par la société lyonnaise Ordirope, qui a été retenu et implémenté, pour assurer la gestion commerciale et de production de Calvet, en remplacement de développements spécifiques. Le démarrage en production est intervenu courant 1999. Parallèlement à  Minos, les progiciels Iris Finance et Iris Personnel de Viveo Entreprise (qui s'appelait alors encore Idsys) prennent en charge la gestion comptable et des ressources humaines de Calvet.
Dans la foulée de cette installation, et presque deux ans avant la date butoir du 1er janvier 2000, Calvet a trouvé suffisamment de motivation et de ressources pour basculer ses systèmes en Euro.

Comment cela se fait-il ? Tout a en fait démarré dès 1998, lorsqu'un rapport interne a mis en lumière les impacts colossaux d'un projet Euro sur l'ensemble des fonctions de l'entrepri

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Commerce Server 1.0

Commerce Server 1.0

par John Enck - Mis en ligne le 17/11/2003

On oublie facilement que les serveurs Web AS/400 ne se limitent pas à  HTTP Server for AS/400... De même qu'on ignore souvent les autres possibilités de serveur Web parce qu'on doit les installer distinctement du support OS/400 original. Il faut aussi parfois commander - et payer !—d'autres serveurs.

Pourquoi tout ce travail et cette dépense, alors qu'il existe un serveur Web gratuit dont le chargement sur l'AS/400 s'effectue simplement et rapidement ? Tout simplement parce que les produits gratuits comportent souvent des coûts cachés. Il se peut aussi que le produit gratuit possède moins de fonctionnalités que les autres, ne fonctionne pas aussi bien, ou ne marche pas sur telle ou telle version de l'OS/400. Dans de tels cas, un produit tiers peut s'avérer plus approprié. Si vous êtes dans ce cas, Commerce Server/400 d'I/Net peut offrir le produit et l'assistance recherchés.

Commerce Server/400 présente plusieurs caractéristiques intéressantes : administration depuis un "écran passif", cryptage et souplesse d'accès aux données AS/400. Avec Commerce Server/400, on peut créer des documents composites, publier des documents Web en plusieurs langues, et afficher des images sur un navigateur client.

Il se peut qu'un produit gratuit possède moins de fonctionnalités, ne fonctionne pas aussi bien, ou ne marche pas sur telle ou telle version

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Auspex : SAN et NAS sont complémentaires

Auspex : SAN et NAS sont complémentaires

Les données sont le nerf de la guerre : une ressource précieuse qu'il faut pouvoir partager lorsque nécessaire et le plus vite possible. Spécialiste du stockage et de l'accès aux données en réseau, Auspex a créé les premiers systèmes NAS.
Encore un nouvel acronyme ou une confusion avec le SAN ? Le Network Attached Storage est un système dédié au stockage qui se connecte sur le réseau, différent du réseau dédié au stockage que sous-tend le Storage Area Network (SAN). Explications de Jéronimo Munoz, Directeur Général d'Auspex France.

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De 1 MHz à  1 GHz

De 1 MHz à  1 GHz

Combien de transistors peuvent danser dans la tête d'une puce ? A chaque fois que je me penche sur les projets IBM concernant les futures technologies de semiconducteurs, il me revient à  l'esprit la question proverbiale : combien d'anges peuvent danser sur une tête d'épingle ? Si la question des anges a hanté les théologiens pendant des siècles, les ingénieurs ont les idées beaucoup plus claires en matière de technologie de microprocesseurs.

En 1979, Gordon Moore, l'un des fondateurs d'Intel, a risqué une prédiction : observant que, depuis 1971, le nombre de transistors présent sur une puce avait doublé tous les 18 à  24 mois, il a prédit que cette tendance continuerait.
D'où la fameuse “ Loi de Moore ”, qui a prévalu pendant les 20 dernières années et ne semble pas devoir devenir caduque de sitôt. Cette densité croissante de transistors sur une puce résulte de notre capacité à  fabriquer des transistors toujours plus petits. La diminution de taille des transistors permet bien sûr d'en mettre davantage sur une seule puce, mais améliore aussi les performances.
Plus le transistor est petit, plus la distance que le courant (qui approche la vitesse de la lumière) doit parcourir dans le transistor pour effectuer une opération donnée est courte. Donc, les performances sont d'autant plus grandes que les distances sont plus courtes.

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Des réseaux plus évolutifs grâce à  la simulation

Des réseaux plus évolutifs grâce à  la simulation

Autrefois, dans la plupart des réseaux, les partages de ressources étaient peu nombreux : accès aux serveurs de fichiers, aux imprimantes et, le cas échéant, à  une base de données. Aujourd'hui, en revanche, les entreprises distribuent informations et applications entre beaucoup d'utilisateurs. Les employés donc dépendent désormais du réseau pour faire leur travail, et, lorsqu'il tombe en panne, la perte d'accès pour les utilisateurs a des retombées l'entreprise ou ses clients. Pour éviter les pannes du réseau, il faut tester régulièrement les capacités de votre réseau et planifier les acquisitions qui lui permettront de satisfaire au fur et à  mesure aux besoins des applications. Sur de petits réseaux, vous pouvez utiliser des logiciels de surveillance de réseau et quelques formules simples pour diagnostiquer les problèmes ou prévoir la réaction du réseau aux ajouts de nouveaux matériels ou logiciels.
Cependant, au fur et à  mesure de la croissance d'un réseau, le nombre croissant de périphériques et de connexions rend impossible sa compréhension. Il se produit simultanément trop de conversations entre trop de périphériques via de trop nombreux acheminements, pour permettre de prévoir précisément comment la charge d'une application affectera une autre partie du réseau. Pour diagnostiquer les problèmes ou tester les nouvelles applications sur un réseau complexe, il faut simuler le réseau au moyen d'un programme de simulation, ou simulateur, afin de créer un modèle logiciel des éléments essentiels du réseau et de tester son fonctionnement avec différentes charges ou implémentations du réseau.
L'objectif de la modélisation du réseau étant de réduire les périphériques, les acheminements et les transactions d'un réseau pour obtenir un nombre gérable, le modèle doit comporter des simplifications et des hypothèses. L'astuce pour réussir la simulation d'un réseau est de savoir quels aspects du réseau on peut simplifier sans compromettre l'efficacité du modèle.
Pour simuler un réseau de production, il faut construire une représentation raisonnable de sa topologie, incluant les périphériques physiques et les paramètres logiques qui le composent. Il faut déterminer la quantité de trafic qui se trouve sur le réseau pendant la période que l'on souhaite émuler et spécifier une question à  laquelle la simulation devra répondre. Enfin, il faut exécuter le modèle au moyen d'un simulateur.

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Des projets au forfait pour RMH

Des projets au forfait pour RMH

Dès 1993, RMH a délocalisé … mais "au vert" et en France ! Dès 1993, RMH a délocalisé … mais

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JD. Edwards joue la carte de l’entreprise étendue

JD. Edwards joue la carte de l’entreprise étendue

La conférence des utilisateurs de logiciels JDE qui s'est récemment tenue à  Denver (Colorado) a permis de faire le point sur la nouvelle stratégie de l'éditeur ERP américain. Rachat de la société Numetrics Limited, investissement majeur sur l'e-business, multiplication des partenariats dans le domaine du Knowledge Management, la conférence utilisateurs JD.Edwards qui s'est tenue à  Denver (Colorado) au mois de mai dernier a permis de faire le point sur la nouvelle stratégie de l'éditeur ERP américain. Comme l'a souligné C. Edward Mc Vaney, directeur et cofondateur de JD.Edwards, lors de la session d'ouverture : “ L'e-business est véritablement la technologie d'avenir pour le marché des ERP.
Grâce aux technologies Java, XML et HTML, l'enjeu n'est plus simplement d'améliorer l'organisation interne de l'entreprise, mais d'améliorer les processus de l'entreprise étendue, les relations de l'entreprise avec ses partenaires, clients et fournisseurs externes. ” Si aujourd'hui le souhait majeur de l'éditeur est de “ devenir le leader mondial de la fourniture de solutions ERP ”, sa nouvelle stratégie s'oriente vers ce qu'IDC appelle l'XRP pour eXtended Resource Planning, c'est à  dire l'élargissement de la couverture fonctionnelle des ERP, vers la gestion externe des processus d'entreprise ( SCM, e-business …).

Ce nouveau positionnement marketing se traduit notamment par différentes opérations commerciales de poids, et notamment le rachat de Numetrics, l'éditeur canadien spécialisé dans la fourniture de solutions Supply Chain orientées Web. De cette acquisition d'un montant de 80 millions de dollars résultera l'intégration des produits Supply Chain de Numetrics dans l'offre ERP Oneworld. “ La solution de Numetrics permet de planifier, de synchroniser et d'optimiser la gestion des chaînes logistiques de manière intuitive sur Internet. Elle vient donc naturellement compléter nos propres efforts de développements dans le domaine des solutions e-business ” souligne ainsi Doug Massingill, CEO de JD.Edwards.
Une acquisition qui permettra non seulement à  l'éditeur d'ERP d'adresser le nouveau marché de l'Internet et du Business to Business, mais aussi d'attaquer plus facilement les grands comptes, cible privilégiée de Numetrics.

L'enjeu n'est plus simplement d'améliorer l'organisation interne de l'entreprise, mais d'améliorer les processus de l'entreprise étendue et les relations de l'entreprise avec ses partenaires

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Passer l’an 2000 sans souci avec JBA Presys

Passer l’an 2000 sans souci avec JBA Presys

Avec « 21 Online », JBA Presys aide les PME/PMI à  passer l'an 2000 et à  prendre en compte l'euro. Cette offre d'urgence, à  prix et délai réduits, est annoncée à  l'occasion de Progiforum. Installée dans l'entreprise avant la fin de l'année, elle peut être complétée par une deuxième phase plus complète, suivant une méthodologie classique. Diverses enquêtes ont montré que de nombreuses PME/PMI ne sont pas prêtes pour affronter l'an 2000. Outre les problèmes de date, pour la plupart d'entre elles, l'euro représente un souci supplémentaire, qu'elles ne savent pas comment résoudre. Ces entreprises se retrouvent souvent sans solution, car les prestataires leur ont fait faux bond pour cause de surcharge de travail. C'est pour ces PME/PMI, de 80 à  400 MF de chiffre d'affaires, que l'éditeur de progiciels de gestion, JBA Presys, a conçu son offre « 21 Online ».

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Focus : le grand jeu

Focus : le grand jeu

par Benoît Herr
Focus 2000 : une conférence des utilisateurs de JDEdwards placée sous le signe du foisonnement à  l'excès Comme nous vous l'annoncions déjà  dans notre éditorial de l'été, la conférence des utilisateurs de logiciels JDEdwards qui s'est tenue à  Denver (Colorado) du 19 au 22 juin dernier a été un franc succès. Il faut dire que l'association Quest, organisatrice de l'événement et largement épaulée par l'éditeur, avait déployé le grand jeu : introduction de la conférence appuyée par le Colorado Symphony Orchestra aux accents de ce cher Ludwig Van Beethoven (traîtreusement et à  maintes reprises interrompu d'ailleurs : une hérésie totale pour le mélomane que je suis.
Eh oui, c'est aussi cela, les Etats Unis !), intervention de Bill Gates en personne, plusieurs motos Harley Davidson et voitures Volvo à  gagner, et, en point d'orgue un gigantesque concert de la chanteuse de rock tendance Rythm'n Blues Bonnie Raitt. Si cette dernière n'est que peu connue en Europe, même si l'on commence à  voir apparaître certains de ses enregistrements dans les bacs, il en va tout autrement de l'autre côté de l'Atlantique, et plus particulièrement à  l'ouest des montagnes rocheuses, où elle bénéficie d'un renom important.

Au total, ce sont près de 8000 personnes qui avaient fait le déplacement de Denver, un chiffre jamais atteint auparavant.

L'assistance de cette conférence se composait quant à  elle de clients, de prospects (700 selon JDE), de partenaires, mais aussi d'investisseurs effectifs ou potentiels, d'analystes et de représentants des media. Au total, ce sont près de 8000 personnes qui avaient fait le déplacement de Denver, un chiffre jamais atteint auparavant. Les organisateurs de la manifestation sont contractuellement liés au centre de conférences de Denver pour encore deux ans, mais si le nombre des participants continue d'augmenter à  ce rythme, ils se verront contraints de quitter la ville natale de l'éditeur pour gagner l'une des rares villes des USA capables d'absorber des manifestations de grande envergure, comme CA World à  la Nouvelle Orléans, par exemple.
Outre les locaux de l'étape, il y avait là  des européens bien sûr, mais aussi des coréens, japonais, singapouriens, australiens, néo-zélandais, et des citoyens de plusieurs dizaines d'autres nations. L'exposition, indissociable de ce genre d'événement, comptait plus de 200 exposants, soit à  peu près le même nombre que les sessions de formation, qui se subdivisaient en douze filières.

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A la découverte des disques dynamiques

A la découverte des disques dynamiques

Le disque nouveau est arrivé. Il est temps de se préparer à cette nouvelle donne qui va tout changer. Tout le monde l'a bien compris, Windows 2000 regorge de nouveautés très séduisantes. Bien sûr, Active Directory et sa gamme de services attirent tout particulièrement l'attention, mais il ne faut pas pour autant négliger, parmi les caractéristiques les plus intéressantes de Windows 2000, la gestion du stockage.On a déjà évoqué dans ces colonnes les améliorations de la gestion du stockage du NTFS de Windows 2000. Mais les améliorations dans ce domaine ne s'arrêtent pas aux nouvelles fonctions de NTFS5. Windows 2000 apporte aussi tout un éventail de nouveautés - terminologie, outils et technologie - concernant le stockage, conçues par Microsoft pour répondre aux besoins de la clientèle d'entreprise.
Les nouveaux termes et les nouvelles fonctions de gestion de disque de Windows 2000 concernent les disques dynamiques, une nouvelle race de volume de disque donnant davantage de flexibilité et de fiabilité que Windows NT 4.0. Pour profiter au maximum des systèmes Windows 2000, il est indispensable de comprendre les fonctions, les avantages et les contraintes de cette nouvelle catégorie de volume de disque.

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Alpha 21264 : prenez des RISC

Alpha 21264 : prenez des RISC

Alors que tout le monde attend la puce Merced 64 bits d’Intel et la version 64 bits de Windows NT, Digital Equipment offre un avant-goût de la prochaine génération de l’informatique NT. L’Alpha 21264 est un processeur 64 bits supportant NT. C’est l’une des puces les plus rapides du monde. Et, qui plus est, déjà disponible aujourd’hui.Le 21264 est la toute dernière génération de l’architecture de microprocesseur Alpha. Selon Digital, il devrait dépasser des vitesses d’horloge supérieures à 700 MHz dès cette année, reprenant le leadership de la vitesse au 21164, déjà un Alpha.Alpha est la dernière architecture RISC pour laquelle Microsoft développe encore des versions futures de NT, alors qu’il cesse progressivement de supporter les puces MIPS Rx000 et que le PowerPC NT n’a jamais décollé. La seule autre architecture de CPU supportée par NT est, bien entendu, Intel x86. Malgré la domination du marché par ce dernier, l’Alpha possède un grand avantage sur le x86 : des performances supérieures, en particulier pour les calculs en virgule flottante.

Les systèmes Alpha sont plus rapides et excellent dans les applications d’ingénierie à forte proportion de calculs et les applications scientifiques.Pour dépasser les limites des performances de l’architecture x86, qui a déjà vingt ans, Intel a conclu un partenariat avec HP en 1994, afin de développer une nouvelle architecture de CPU : IA-64 (Intel Architecture-64). Selon Intel, les systèmes utilisant le processeur Merced, le premier processeur à implémenter IA-64, devraient sortir vers la mi 2000. Mais Merced pourrait ne pas être la puce la plus rapide du marché NT en 2000. Car à en croire Digital, au moment où Merced fera son apparition, le 21264 tournera à 1000 MHz (1 gigahertz, GHz). A cette vitesse, il sera nettement plus rapide que Merced, selon des estimations benchmarks de CPU.

Les premiers systèmes 21264 tournent et sont disponibles sous forme d’échantillons. La production en volume devrait commencer mi 99. Il n’y aura donc pas à attendre deux ans les performances 64 bits. Cependant, le 21264 n’atteindra son plein potentiel qu’à la sortie par Microsoft d’une version 64 bits à la fois pour les puces IA-64 et Alpha. (Microsoft espère sortir la version 64 bits de NT en 2000).

Le 21264 n’atteindra son plein potentiel qu’à la sortie par Microsoft d’une version 64 bits à la fois pour les puces IA-64 et AlphaOù est le RISC ?

La course que se livrent les processeurs 21264 et IA-64 n’est pas un simple sujet de bavardage stérile. L’enjeu est ni plus ni moins l’avenir du RISC - pour NT et tous les autres systèmes d’exploitation.En dehors du marché des applications intégrées très spécialisées, le RISC est en recul. Actuellement l’architecture RISC pour PC la plus répandue est la puce PowerPC développée conjointement par IBM, Apple et Motorola. Mais le plus gros client informatique des PowerPC est Apple dont le Macintosh n’a plus désormais que 4 % environ de part de marché des PC selon IDC.

En juin dernier, IBM et Motorola ont annoncé qu’ils mettaient un terme à leur partenariat de sept années et allaient développer séparément les futures puces PowerPC.L’autre architecture RISC d’IBM, la série Power, va fusionner avec le PowerPC. IBM retire progressivement la puce Power en tant qu’architecture distincte. La prochaine puce 64 bits, Power3, est le premier processeur qui unifiera les technologies Power et PowerPC.Pour stopper ses pertes récentes, Silicon Graphics abandonne ses processeurs RISC de la série MIPS Rx000. Le fabricant a annulé les projets de prochaines générations et MIPS Technologies, la structure de conception de Puces de SGI a récemment été &q

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Processeurs Alpha : une famille bien speed

Processeurs Alpha : une famille bien speed

Il y a deux ans, seuls quelques constructeurs produisaient des systèmes dotés de processeurs Alpha et les consommateurs n’avaient qu’un choix limité en matière de présentation, de caractéristiques et de prix. A présent il est facile de trouver un système Alpha. Applications, Entreprise, Processeurs, Performances, SystèmesBeaucoup de fabricants de clones, d’intégrateurs et de développeurs systèmes construisent désormais des machines dotées de processeurs Alpha - depuis ceux qui défendent Alpha depuis longtemps, comme Aspen Systems et Carrera Computers, jusqu’aux nouveaux venus sur le marché, comme CompuSys et Advanced Business Technology. Les puces Alpha sont produites par deux fabricants, auxquels devraient venir s’ajouter prochainement deux autres. Le nombre de distributeurs du marché est en augmentation et l’éventail de prix des systèmes Alpha va des cartes mères à 99 $ aux monstrueux multiprocesseurs à 100 000 $. Les systèmes Alpha couvrent trois générations et la tranche d’âge des systèmes Alpha existants va des systèmes annoncés récemment aux systèmes ayant déjà 5 années de vie. Etant donné la variété des systèmes Alpha disponibles actuellement, les consommateurs se demandent souvent comment distinguer les capacités d’une machine Alpha particulière de celles d’autres ordinateurs. Un aperçu des processeurs Alpha passés et futurs vous aidera à comprendre ce qui se trouve à l’intérieur des différents systèmes et ce que l’on a pour le prix.

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ERP et Intranet : le couplé gagnant de LRP

ERP et Intranet : le couplé gagnant de LRP

Spécialisée dans la restauration collective, la société LRP est une PME très réactive sur le plan informatique. Après une remise à  plat de ses processus métiers, elle a mis en oeuvre, avec la SSII Stratélia, un progiciel intégré et un intranet sous Windows NT. Résultat : Un gain de temps appréciable pour ses gérants de restaurants qui se consacrent désormais au management des équipes et à  la satisfaction des clients.La société LRP gère actuellement 140 restaurants dans le secteur de l'entreprise et du médico-social. Ses établissements sont géographiquement répartis en île de France et Rhône Alpes. " Nous subissons une forte concurrence. C'est la raison pour laquelle une entreprise de taille moyenne comme la nôtre se doit d'être innovante, performante, pour mieux se différencier " souligne Marie-Christine Fénard, directrice des services administratifs, du contrôle de gestion et de l'informatique chez LRP. Pour la PME, les deux points sensibles en matière de système d'information étaient d'améliorer la communication entre ses sites répartis en France et le siège social, et optimiser la gestion de ses établissements de restauration. L'objectif majeur étant pour les gérants de gagner du temps en matière de gestion pour se consacrer davantage aux besoins des clients. Trois solutions ont été retenues par LRP et le maître d'oeuvre Stratélia pour répondre à  l'ensemble des besoins exprimés : un progiciel ERP IFS Applications 99, un intranet baptisé Kiosque LRP et une messagerie de type Exchange." Nous souhaitions un système qui intègre de nouvelles technologies, tels que l'intranet, pour notamment changer le mode d'alimentation et de circulation de l'information entre les établissements. " commente Marie-Christine Fénard. En 1997, la PME confie donc à  Stratélia, une démarche de type Business reengineering. " Après identification de ces processus et analyse des flux d'informations de l'entreprise, nous avons élaboré un schéma directeur. Puis nous avons été chargés de la mise en oeuvre de l'architecture réseau complète (Lan, Wan et intranet) de LRP " précise Philippe Trichet de Stratélia.

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Le groupe Bastide externalise son ERP

Le groupe Bastide externalise son ERP

La branche Electronique et Mécanique du groupe Bastide a basculé son système d'information sous SAP/R3. Manque de ressources informatiques en interne, volonté de se reposer sur un prestataire de confiance : autant de raisons qui ont poussé la PME à  externaliser son projet ERP de bout en bout.

Société brestoise employant 850 personnes, le groupe Bastide exerce deux activités principales : la réparation navale et la construction industrielle. Pour s’ouvrir à  de nouveaux marchés, l’entreprise se devait de posséder un système d’information performant, permettant de répondre aux attentes de ses clients. C’est la raison pour laquelle elle a confié à  Syseca, filiale de Thomson-CSF, la refonte de son système d’informations autour du progiciel de gestion intégré (ERP pour Enterprise Resource Planning) SAP R/3. Au niveau de la division Electronique et mécanique du groupe, ce sont ainsi près de 40 personnes des services commerciaux, administratifs et de gestion de la production qui sont concernées par cette refonte informatique. A terme, le nombre d'utilisateurs potentiel devrait atteindre 250. Chez Bastide, le choix du progiciel SAP/R3 s’est effectué tant pour sa capacité à  répondre aux besoins de la PME que pour son fonctionnement intégré et modulaire. La nouvelle plate-forme sera déployée pour la comptabilité, le contrôle de gestion, les achats et stocks, la gestion de production et la gestion commerciale par projet. L'ensemble représente plusieurs milliers de références manipulées quotidiennement. " Entre la première étude réalisée au début de l’été 1998, et un démarrage de l’exploitation prévu pour l’été suivant, le projet est actuellement dans une phase de prototypage de la fonction finance " explique Christine Marias, contrôleur de gestion et responsable du projet. Et d’ajouter : " Nous n'avons pas encore pris le module de ressources humaines. Quant à  la gestion de la paie, elle sera basculée ultérieurement, certainement à  l'occasion de l'intégration de l'activité réparation navale.

Le groupe Bastide a souhaité se reposer au maximum sur des compétences extérieures pour l’implémentation du progiciel.

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