
Utilitaire ligne de commande de Windows Server 2003
par Sean Deuby - Mis en ligne le 31/03/2004
De nouveaux utilitaires facilitent le scripting
Les OS Windows de Microsoft doivent
beaucoup de leur succès initial à
leur GUI, qui s'éloignait radicalement
des OS orientés texte de l'époque...Je me souviens encore du sentiment que
j'ai éprouvé face à l'interface Windows
3.0 après des années d'utilisation de
systèmes à écran passif 24 x 80.
Toutefois, comme l'OS a mûri, Microsoft
a pris conscience qu'un utilitaire
ligne de commande est supérieur à son
homologue graphique dans de nombreux
cas. Le domaine le plus évident
est bien sûr l'automatisation. On peut
utiliser un petit nombre d'utilitaires
ligne de commande et un fichier batch
pour créer une tâche planifiée qu'il est
pratiquement impossible de créer au
moyen d'un snap-in Microsoft Management
Console (MMC). Un riche ensemble
de ressources de scripting, y
compris des langages comme VBScript
et des interfaces comme ADSI (Active
Directory Service Interfaces) et WMI
(Windows Management Instrumentation),
sont à la disposition de l'administrateur.
Malheureusement, l'administrateur
moyen n'a généralement pas le
temps d'apprendre suffisamment ces
outils pour construire des utilitaires
productifs. Il faut aux administrateurs
des utilitaires puissants, prêts à l'emploi,
qu'ils peuvent injecter dans un fichier
batch et, le plus souvent, il les
leur faut sur le champ. Comme les administrateurs
doivent pouvoir utiliser
les programmes rapidement, la documentation
doit être de bonne qualité.
Une syntaxe homogène dans tous les
utilitaires et des messages d'erreur informatifs,
tous deux cruellement absents
par le passé, sont nécessaires
pour que les administrateurs apprennent
les utilitaires rapidement.
Microsoft a mis au point Command
Line Management, un bureau de programme
distinct dans le projet de développement
Windows Server 2003,
pour répondre aux besoins de ces administrateurs.
Survolons neuf utilitaires
ligne de commande significatifs
pour Windows 2003 que l'équipe du
programme Command Line Management
a créé ou amélioré à partir des
outils existants.

Outlook 2003 : la révolution « cachée » de votre messagerie (première partie)
par Christophe Leroux - Mis en ligne le 24/03/2004
Une messagerie électronique ne peut se concevoir sans la prise en compte du réseau reliant les utilisateurs de la messagerie aux serveurs chargés de l'héberger.
Dans le domaine de la messagerie, Microsoft a mis sur le marché au cours du second semestre 2003 deux nouvelles versions de ses produits dédiés à la messagerie électronique : Microsoft Outlook 2003 et Microsoft Exchange Serveur 2003
Ces deux produits disposent d'une importante quantité de nouveautés qui ont commencé à être détaillées dans les précédents numéros du magazine Exchange et qui, bien entendu, le seront par la suite tant le sujet est vaste. Au cours de cette nouvelle série d'articles, nous allons nous focaliser sur un ensemble d'innovations invisible ou très discret pour les utilisateurs mais indispensable à prendre en compte lors du déploiement d'une messagerie : l'optimisation de la bande passante reliant les utilisateurs à leur boîte aux lettres, ainsi que la perception de la qualité du réseau par ces utilisateurs.
Ces deux premier articles vont présenter le fonctionnement du nouveau mode d'accès d'Outlook 2003 : le mode « cache Exchange ». Nous y verrons entre autres comment s'effectuent la synchronisation des messages et du carnet d'adresse ainsi que la prise en compte automatique du débit réseau disponible.

7 étapes pour le cryptage SSL
par Gary Zaika - Mis en ligne le 21/01/2004
Instaurez le cryptage automatique dans un environnement SQL Server 2000 en cluster
Dans SQL Server 2000, Microsoft a
introduit de nouvelles fonctions pour
apporter toujours plus à ses clients en
matière de sécurité des données. A cet
égard, il existe une fonction peu comprise
: le support automatique du trafic
de réseau crypté par SSL ( Secure
Sockets Layer) entre les clients et le
serveur.
Dans SQL Server 2000, Microsoft a
introduit de nouvelles fonctions pour
apporter toujours plus à ses clients en
matière de sécurité des données. A cet
égard, il existe une fonction peu comprise
: le support automatique du trafic
de réseau crypté par SSL ( Secure
Sockets Layer) entre les clients et le
serveur. Certes, le cryptage ralentit légèrement
la performance parce qu'il
demande des actions supplémentaires
des deux côtés de la connexion réseau.
Mais, pour les utilisateurs soucieux de
sécuriser leurs communications en
réseau, les avantages du cryptage l'emportent
largement sur ce léger ralentissement.
Le cryptage est particulièrement
utile quand les clients se
connectent au SQL Server par Internet
et que les données empruntent des réseaux
publics.
Le cryptage SSL est devenu un
standard : c'est celui que la plupart des
entreprises utilisent pour leurs applications
Internet et e-commerce. Il existe
deux niveaux de cryptage SSL, 40 bits
et 128 bits, qui offrent différents types
de protection. SQL Server 2000 gère
les deux niveaux de cryptage. Pour
faire fonctionner le cryptage SSL, vous
devez obtenir une clé (ou certificat) valide
auprès d'une CA (Certificate
Authority) de confiance ou trusted.
Après avoir installé le certificat sur un
système qui utilise SQL Server 2000,
vous pouvez configurer SQL Server
pour qu'il impose le cryptage entre les
clients et le serveur. Windows 2000 est
livré avec son propre CA utilisable pour
des applications intranet. La plupart
des sociétés utilisent des CA tierce partie
pour les applications Internet. (Pour plus d'informations sur les CA,
voir l'encadré « Principes de base du
CA », ci-après).
Le cryptage SSL est différent du
cryptage Multiprotocol Net-Library que
l'on trouve dans les releases SQL
Server antérieures à SQL Server 2000.
Le cryptage SSL supporte toutes les bibliothèques
et protocoles de réseau, y
compris les types les plus répandus :
TCP/IP et Name Pipes (pour des installations
en cluster, seules ces deux bibliothèques
de réseau sont disponibles).
Vous pouvez aussi utiliser le
cryptage SSL pour des instances multiples
de SQL Server, alors que le
cryptage Multiprotocol Net-Library qui
utilise l'API de cryptage Windows RPC,
ne reconnaît que l'instance par défaut
de SQL Server 2000. Le client ou le
serveur (mais pas les deux) peut demander le cryptage SSL. Le cryptage
demandé par le client précise que
toutes les communications allant de ce
client à tous les serveurs connectés seront
cryptées. Le cryptage demandé
par le serveur stipule que toutes les
connexions entrant dans le serveur seront cryptées puis décryptées sur
celui-ci.
Il est plus difficile de configurer le
cryptage pour des instructions en cluster
que pour un serveur autonome.
Beaucoup de sources expliquent comment
installer le cryptage SSL sur une seule boîte, mais il est plus difficile de
trouver des informations sur l'installation
du cryptage SSL dans un environnement
en cluster. Malheureusement,
SQL Server Books Online (BOL) ne
renseigne pas beaucoup sur la manière
de configurer le cryptage SSL et ne fait
qu'effleurer les exigences de configuration
pour un environnement en cluster.
Il faut aussi chercher à l'extérieur
de BOL pour obtenir des informations
sur la manière d'installer les certificats
d'authentification appropriés. Mais,
avec des instructions claires, la mise en
place du cryptage SSL s'effectue sans
mal. Voyons en détail comment installer
le cryptage SSL dans un environnement
en cluster pour une société fictive
appelée IDM.

Testez par unités vos procédures stockées
par Dan Sawyer - Mis en ligne le 21/01/2004
Mettez en forme votre code de procédure
Imaginez ceci : vous venez juste de finir
le débogage de la dernière procédure
stockée pour la dernière application
SQL Server du département.
Etes-vous satisfait de votre travail ? Etesvous
certain que votre code T-SQL sera
à la hauteur des attentes des utilisateurs
? Quid des fonctionnalités que
vous avez placées dans le code ? ...
Imaginez ceci : vous venez juste de finir le débogage de la dernière procédure stockée pour la dernière application SQL Server du département. Etes-vous satisfait de votre travail ? Etesvous certain que votre code T-SQL sera à la hauteur des attentes des utilisateurs ? Quid des fonctionnalités que vous avez placées dans le code ? Avezvous couvert tous les aspects de la gestion ? Chaque fonction tient-elle ses promesses comme prévu dans tous les scénarios d'exploitation normaux?
Même si vous pouvez répondre par
oui à toutes ces questions, le moment
de relâcher votre effort n'est pas encore
venu. Qu'en est-il des suites possibles
? Avez-vous testé les conditions
d'erreur courantes qui ont causé des
problèmes par le passé ? Et qu'en est-il
des gestionnaires d'erreurs ? Sont-ils eux-mêmes impeccables ? Si vous vous
sentez faiblards dans l'un de ces domaines,
il vaut peut-être mieux réévaluer
la manière dont vos procédures
stockées sont testées par unités.
Contrairement aux tests système
que les testeurs professionnels effectuent
après qu'une application ait été
entièrement codée, le test par unités
recherche les erreurs dans des modules
individuels, comme les procédures
stockées, tout au long du développement
de ces modules. Le test par
unités n'est pas difficile mais, pour être
efficace, il exige du planning, de la documentation
et, par-dessus tout, une
compréhension partagée de certains
principes de base. Donc, avant de plonger
dans le processus de test, commençons
par dissiper quelques préjugés
courants sur le test par unités, qui nuisent
souvent à son efficacité.


Gestion de configuration logicielle
ARCAD Software ouvre sa suite de gestion de configuration logicielle ‘ARCAD Skipper' aux composants multi plates-formes.
Le nouveau module Changer Client permet aux clients iSeries de centraliser l'ensemble de leur patrimoine applicatif sur la plate-forme au travers de l'IFS (Integrated File System).
Lire l'article
Actualités Windows NT / 2000 – Semaine 03 – 2004
Toutes les Actualités du 12 au 18 Janvier 2004
Lire l'article
Les nouveautés de la semaine 03 – Windows 2000 & .Net – 2003
Tous les nouveaux produits du 12 au 18 Janvier 2004
Lire l'article
Topologie de l’authentification
par Gil Kirkpatrick - Mis en ligne le 15/01/2004
Configurez les enregistrements SRV DNS pour accélérer l'authentification
Vous êtes chargé de concevoir un
nouveau déploiement d'AD (Active
Directory) Windows 2000 pour un réseau
de plus de 10 000 utilisateurs et
plus de 300 serveurs répartis sur 30
emplacements physiques, reliés par
des lignes T1 parfois surchargées. Quel
est votre plus gros souci ?Vous êtes chargé de concevoir un
nouveau déploiement d'AD (Active
Directory) Windows 2000 pour un réseau
de plus de 10 000 utilisateurs et
plus de 300 serveurs répartis sur 30
emplacements physiques, reliés par
des lignes T1 parfois surchargées. Quel
est votre plus gros souci ? Si vous êtes
comme la plupart des concepteurs
d'AD, la réplication est ce qui vous réveille
à 3 heures du matin et continue à
vous préoccuper après votre quatrième
tasse de café de 10 heures.
Pourtant, aussi importante soit-elle,
votre topologie de réplication n'est
probablement pas ce qui devrait vous
mobiliser le plus. En exploitation classique,
la réplication ne représente
qu'une partie relativement petite du trafic réseau qu'AD génère et une latence
de réplication de bout en bout,
même de quelques heures, ne gêne
pas vraiment les utilisateurs. Mais si
vous laissez le temps d'authentification
d'AD, même d'un seul utilisateur, dépasser
20 secondes environ, vous pouvez
parier que le téléphone du Help
desk va sonner. Quand vous comprendrez
la manière dont les clients AD localisent
un DC (domain controller) visà -
vis duquel ils pourront s'authentifier,
vous pourrez configurer vos clients et
DC pour réduire le temps d'authentification
et améliorer la performance globale.

Gestion des performances dans Windows
par Darren Mar-Elia - Mis en ligne le 15/01/2004
Maîtrisez les anciens et nouveaux outils de supervision
des performances
En matière de gestion des performances
dans un environnement
Windows, la première chose qui vient à
l'esprit pourrait bien être l'outil
Performance Monitor...En matière de gestion des performances
dans un environnement
Windows, la première chose qui vient à
l'esprit pourrait bien être l'outil
Performance Monitor. Il a été le principal
outil d'information sur les performances
depuis les premiers jours de
Windows NT. Vous pourriez aussi choisir
Task Manager ou WMI (Windows
Management Instrumentation) qui exposent
les données de Performance
Monitor, et offrent un modèle permettant
d'exposer d'autres types d'informations
de gestion concernant les performances.
Je donne ici quelques
conseils sur la manière d'utiliser
au mieux certains amis, anciens
mais actualisés - comme Performance
Monitor et WMI - et je mets en lumière
quelques nouveaux outils Windows XP
et explique comment les utiliser.

Trucs & Astuces : gestion des profils, .Net & IIS, IE
Special trucs & Astuces sur Windows XP
Retrouvez une sélection des meilleurs Trucs & Astuces concernant Windows XP : La gestion des profils itinérants, l'option "Save for web" d'IE, la gestion des miniatures, la planification des tâches ...

Article 1558
|
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
Les nouveautés de la semaine 49 – Windows 2000 & .Net – 2003
Tous les nouveaux produits du 01 au 08 Décembre 2003
Lire l'article
Actualités Windows NT / 2000 – Semaine 49- 2003
Toutes les Actualités du 01 au 08 Décembre 2003
Lire l'article
Le wizard Compare and Update Fixes s’améliore en V5R2
par Kent Milligan - Mis en ligne le 15/01/2004
Utilisez la collection d'inventaire de Management Central pour comparer les correctifs
logiciels respectifs de vos systèmes
Dans la V4R4, IBM a ajouté le wizard
Compare and Update Fixes à
Management Central pour permettre
aux utilisateurs de garder les systèmes
synchronisés dans leurs réseaux, du
point de vue des PTF installés. En
V5R2, IBM a amélioré considérablement
le wizard Compare and Update
Fixes. Voyons quelques généralités sur
le wizard et les nouveautés et changements
de la V5R2...Dans la V4R4, IBM a ajouté le wizard
Compare and Update Fixes à
Management Central pour permettre
aux utilisateurs de garder les systèmes
synchronisés dans leurs réseaux, du
point de vue des PTF installés. En
V5R2, IBM a amélioré considérablement
le wizard Compare and Update
Fixes. Voyons quelques généralités sur
le wizard et les nouveautés et changements
de la V5R2.

Suivez le traffic Web avec l’iSeries HTTP Server
par Sanjay Lavakare - Mis en ligne le 15/01/2004
Comme IBM fait jouer à l'iSeries un
rôle important dans le domaine des
serveurs Web, les utilisateurs ont commencé
— bon gré mal gré — à héberger
leur contenu Web sur la black box.
Comme cette tendance se poursuit, on
devrait bientôt s'interroger sur l'administration
Web et son entourage. Dans
le cas d'un intranet hébergé sur un
iSeries, on pourrait, par exemple, vouloir
superviser l'utilisation du site Web.
Autrement dit, quand le contenu du
Web sert à disséminer l'information
d'entreprise dans la société, les développeurs
doivent connaître l'utilité du
contenu...Comme IBM fait jouer à l'iSeries un
rôle important dans le domaine des
serveurs Web, les utilisateurs ont commencé
— bon gré mal gré — à héberger
leur contenu Web sur la black box.
Comme cette tendance se poursuit, on
devrait bientôt s'interroger sur l'administration
Web et son entourage. Dans
le cas d'un intranet hébergé sur un
iSeries, on pourrait, par exemple, vouloir
superviser l'utilisation du site Web.
Autrement dit, quand le contenu du
Web sert à disséminer l'information
d'entreprise dans la société, les développeurs
doivent connaître l'utilité du
contenu. Les utilisateurs se servent-ils
vraiment de l'information ? Accède-ton
plus fréquemment à certaines
pages qu'à d'autres ? Y a-t-il des tentatives
non autorisées ?
Pour répondre à ces questions, certains
experts recommanderaient volontiers
un analyseur de site. Mais, si
vous ne voulez pas recourir à un outil
aussi élaboré, pourquoi ne pas chercher
les réponses dans la boîte au trésor
de l'OS/400 ? Croyez-moi, c'est le
meilleur moyen d'obtenir la réponse à
vos questions de base. Il vous suffit de
mettre en place les fonctions de logging
du serveur HTTP. Bien entendu,
pour cela, vous devez d'abord installer
le serveur HTTP sur l'iSeries. Cet article
vous montre d'abord la préparation
initiale puis décrit la manière d'activer
le logging d'utilisation.

Programmer avec PHP sur l’iSeries
par Tim Massaro et Davis Larson - Mis en ligne le 21/01/2004
Avec ce code PHP open-source, réalisez rapidement votre projet Web
HYPERTEXT PREPROCESSOR LANGUAGE
(PHP) est un puissant langage
script côté serveur, pour la création de
pages Web. Langage script signifie que
PHP n'a pas besoin de compilation, façon
Perl ou Rexx. Comme PHP est un
langage côté serveur, on peut l'inclure
directement dans HTML, et il est reconnu
et traité par un serveur Web...
HYPERTEXT PREPROCESSOR LANGUAGE
(PHP) est un puissant langage
script côté serveur, pour la création de
pages Web. Langage script signifie que
PHP n'a pas besoin de compilation, façon
Perl ou Rexx. Comme PHP est un
langage côté serveur, on peut l'inclure
directement dans HTML, et il est reconnu
et traité par un serveur Web.
Le premier P dans PHP est un vestige
du sigle original de Personalized
Home Page, terme forgé par le créateur
de PHP, Rasmus Lerdorf, quand il
utilisa pour la première fois un ensemble
de scripts Perl pour superviser
l'accès à son CV en ligne. Depuis lors,
PHP est devenu le modèle facultatif le
plus répandu configuré sur les serveurs
Web (voir http://www.netcraft.
com/s_survey et http://www.securityspace.
com/s_survey/data/man.20024/
apachemods.html).
Ici, nous présentons le langage
PHP et nous vous montrons pas à pas
comment configurer PHP pour accéder
à DB2 UDB à partir de votre serveur
Apache Web. Ensuite, nous fournissons
des exemples montrant
comment les sites iSeries peuvent utiliser
PHP pour créer des pages Web dynamiques d'après des bases de données
DB2 UDB iSeries nouvelles ou
existantes.

Intégrer RPG et Java avec JNI
par Gary Guthrie et Brian Farrar - Mis en ligne le 21/01/2004
Cette série traite de l'intégration de Java dans vos applications RPG - voici comment
préparer votre environnement
Le plus souvent, les applications
iSeries ne sont constituées que de programmes
RPG et de routines CL. Mais
Java s'y faufile de plus en plus. N'en déplaise
aux inconditionnels du RPG,
Java lui dame le pion pour certaines
fonctions...
Le plus souvent, les applications iSeries ne sont constituées que de programmes RPG et de routines CL. Mais Java s'y faufile de plus en plus. N'en déplaise aux inconditionnels du RPG, Java lui dame le pion pour certaines fonctions.
Si vous vous demandez en quoi
Java est préférable pour une application
iSeries, prenez le cas d'une application
dotée d'une interface navigateur
vers des processus RPG d'arrière
plan. Pour une telle interface, Java
convient plus naturellement que RPG.
Autre exemple : Java possède déjà de
robustes routines socket ; alors pourquoi
écrire des serveurs et des clients
socket basés sur RPG ? En vérité, vos
applications devraient simplement fournir une interface entre RPG et les
routines socket Java.
La force des applications qui utilisent
le couple RPG/Java ne réside pas
dans la supériorité supposée de l'un
des langages par rapport à l'autre, mais
à la manière dont les applications intègrent les deux. Quand vous intègrerez
RPG et Java, vous devrez choisir
entre plusieurs possibilités quant aux
techniques à utiliser pour les divers aspects
des applications. Par exemple,
comment devriez-vous invoquer Java à
partir de RPG ? Devriez-vous accéder
aux données en utilisant JDBC (Java
Database Connectivity), des routines
de Toolbox for Java d'IBM, ou des routines
d'I/O natives ?
Dans cette série sur l'intégration
RPG/Java, vous vous mettrez dans la
peau d'un développeur RPG et d'un
développeur Java, dont aucun n'est familiarisé
avec le domaine de l'autre
avant de travailler ensemble sur un
projet. Nous montrerons aux développeurs
comment instaurer et utiliser un
environnement Java sur l'iSeries. Les développeurs RPG apprendront à
écrire des programmes RPG qui utilisent
JNI (Java Native Interface) pour invoquer
les programmes Java et interagir
avec eux. De même, nous
montrerons aux développeurs Java
comment utiliser JNI pour communiquer
avec les procédures des programmes
de service RPG.
Avant de parler de JNI, nous nous
assurerons que vous êtes prêt pour
Java. Nous passons donc en revue le
logiciel nécessaire, nous préparons un
environnement pour Java, et nous
compilons et exécutons le programme
Java.

Faciliter les appels de programme à partir de java
L’excellente interface de PCML simplifie la conversion de paramètres lors de l’appel de programmes iSeries à partir de JavaLa plupart des développeurs iSeries qui s’intéressent à Java n’envisagent pas de remplacer leurs applications RPG par Java : ils songent plutôt à intégrer Java dans leur outil de développement. Plus particulièrement, les développeurs iSeries veulent créer des applications Java capables d’utiliser les données et la logique de gestion iSeries. Bien qu’une application Java puisse accéder aux données iSeries directement en utilisant l’accès au niveau enregistrement ou JDBC, il vaut souvent mieux appeler un programme RPG ou Cobol en utilisant Java. C’est pour faciliter cette manœuvre qu’IBM a créé PCML (Program Call Markup Language) – un dialecte XML spécialisé qui permet de définir les paramètres de l’appel de programme par la terminologie iSeries familière.
Nous verrons comment développer et utiliser un document PCML pour appeler un programme iSeries à partir d’une application Java. Mais voyons d’abord quand une telle approche est intéressante.

Audit des bases de données MS SQL Server 7 et 2000
iNetsoft propose un outil pour l'audit des bases de données MS SQL Server 7 et 2000 : OmniAudit de l'éditeur américain Krell Software.
OmniAudit permet d'identifier de manière automatique et transparente toutes les modifications apportées aux données dans vos bases de données Microsoft SQL Server 7.0 ou 2000.
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