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Le nouveau Power5

Le nouveau Power5

par Cheryl Ross - Mis en ligne le 30/08/2005 - Publié en Novembre 2004

En mai, IBM a dévoilé un nouvel attelage matériel et système d'exploitation pour l'iSeries, dont Rochester espère qu'il rassurera ceux qui redoutent que l'iSeries ne soit pas une plate-forme stratégique pour IBM - ou qu'il pourrait s'abaisser au niveau de la gamme pSeries. En vedette, on trouve les nouveaux serveurs montés en rack basés sur le tout récent serveur Power5 : une minuscule dynamo qui est plus petite, plus rapide, et qui contient davantage de fonctions processeur et mémoire que Power4, son prédécesseur.L'iSeries est la première plateforme à  obtenir le nouveau processeur. C'est bien la preuve, selon IBM, que l'iSeries peut encore montrer la voie. En fait, Rochester semble tellement éprise du processeur Power5 qu'elle a nommé en son honneur la dernière génération de serveurs iSeries.

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Externaliser les touches de fonctions

Externaliser les touches de fonctions

par Jeff Yanoviak - Mis en ligne le 20/07/2005 - Publié en Novembre 2004

Excepté les îles Galapagos, peu de choses démontrent autant la diversité de l'évolution que les techniques de coding rencontrées en visitant des sites en Europe. La boîtes à  outils de programmation de l'iSeries offre pléthore d'outils nous permettant de réaliser le même travail de plusieurs manières, plus ou moins élégantes. Depuis l'origine d'ILE, les pointeurs de procédure nous accompagnent. Ils sont un peu comme le mouton noir de la famille : on ne les voit pas souvent. C'est dommage car ils ont beaucoup à  offrir sur le plan de la dynamique et de la souplesse ...Cet article donne un exemple pratique d'utilisation des pointeurs de procédure. Il contient aussi des éléments applicables dans de plus grandes applications. Mon exemple présente les pointeurs de procédure, démontre leur souplesse et stocke nettement tout le code de touches de fonction dans un bloc de code visible, accessible, facile à  maintenir, à  la fin du module. De sorte que les procédures n'encombrent pas le corps du module principal.

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L’évolution de LPAR continue

L’évolution de LPAR continue

par Jeff Yanoviak - Mis en ligne le 13/07/2005 - Publié en Novembre 2004

Au début (ou, plus exactement, il y a cinq ans avec la release de la V4R4), Big Blue a créé le partitionnement logique (LPAR, logical partitioning) pour l'iSeries. Et il fallait attribuer au moins un processeur statique pour chaque partition. Big Blue a alors dit : il y aura des partitions multiples pour chaque processeur et le partitionnement dynamique permettra la réallocation des ressources. Et Big Blue a constaté que cela était bien ...Et le « peuple » iSeries a lui aussi vu que c'était bien - après un certain temps. Reconnaissons que LPAR ne fut pas parfait d'emblée. La première adoption se cantonnait à  de gros sites iSeries aux infrastructures complexes. Mais Brad Kimball, vice-président de solutions management chez Vision Solutions, décrit ce calme initial comme une « période de transition » révolue. Durant les deux dernières années, il a vu de plus en plus d'acheteurs de la solution de disponibilité Orion de Vision demander des LPAR. Avec environ 50 % de toutes les licences présentes aujourd'hui sur des boîtes partitionnées.
L'amélioration différée est probablement due moins à  une période de transition notable qu'à  l'amélioration. Le partitionnement dynamique est apparu avec la V5R1 : il permettait de diviser les processeurs entre des partitions et de réallouer les ressources à  la volée. Une véritable aubaine pour les clients qui répugnaient à  arrêter leurs systèmes chaque fois qu'ils voulaient ajouter ou déplacer des ressources.

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LPAR : la solution à  vos besoins de consolidation ?

LPAR : la solution à  vos besoins de consolidation ?

par Jeff Yanoviak - Mis en ligne le 13/07/2005 - Publié en Octobre 2004

Le partitionnement logique (LPAR, logical partitioning) se prête naturellement à  la consolidation. En effet, il permet d'isoler les charges de travail, mais aussi d'utiliser différents langages primaires, fuseaux horaires et versions OS/400, sur un seul iSeries physique. Mais, pour prendre des décisions en matière de consolidation, il faut prendre en compte d'importants facteurs sur le plan économique, performance et disponibilité. Voyons donc quelques points à  considérer si vous envisagez d'utiliser LPAR dans un projet de consolidation ...Le partitionnement logique (LPAR, logical partitioning) se prête naturellement à  la consolidation. En effet, il permet d'isoler les charges de travail, mais aussi d'utiliser différents langages primaires, fuseaux horaires et versions OS/400, sur un seul iSeries physique. Mais, pour prendre des décisions en matière de consolidation, il faut prendre en compte d'importants facteurs sur le plan économique, performance et disponibilité. Voyons donc quelques points à  considérer si vous envisagez d'utiliser LPAR dans un projet de consolidation.

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Le Power Play d’IBM

Le Power Play d’IBM

par Frank G. Soltis - Mis en ligne le 13/07/2005 - Publié en Octobre 2004

Connaissez-vous la différence entre les processeurs POWER et PowerPC ?

En hockey, il y a power play quand une équipe a un ou deux joueurs de plus à  cause des sanctions infligées à  l'adversaire. La possibilité qu'a l'équipe avantagée de marquer est bien supérieure pendant un power play. Peut-être « power play » est aussi un bon moyen de décrire la récente promotion par IBM de son processeur Power. Alors que tant d'autres fournisseurs s'efforcent d'imposer leurs nouvelles technologies processeur sur le marché, IBM démontre qu'elle est encore le premier fournisseur en la matière ...Pendant de nombreuses années, IBM a fabriqué des processeurs de pointe pour ses propres produits. Cette technologie propriétaire n'était partagée avec personne en dehors d'IBM. Cela a commencé à  changer au début des années 90 quand IBM a collaboré avec Motorola et Apple pour créer un nouveau processeur RISC à  un seul chip qu'on appellerait PowerPC. Depuis lors, de plus en plus de produits de multiples fournisseurs ont commencé à  utiliser la technologie Power. Ainsi, en 2002, ce sont plus de 18 millions de processeurs Power qui ont été livrés. Et pas seulement pour des serveurs IBM.
Aujourd'hui, on trouve deux variantes du nom Power : POWER (comme dans POWER4 et POWER5) et PowerPC. Des deux, le nom PowerPC est de loin le plus connu à  cause de l'utilisation généralisée des chips PowerPC dans toutes sortes d'appareils : téléphones cellulaires, PDA, stations de travail et serveurs d'entrée de gamme. Le nom Power, quoi que beaucoup moins connu en dehors d'IBM, est en train de gagner ses galons de meilleure architecture processeur pour des serveurs haut de gamme. Récemment IBM a commencé à  promouvoir POWER comme nom de famille général.
La relation entre POWER et PowerPC est pourtant simple. La définition de l'architecture de base est la même pour les deux. Ils ne diffèrent que par les extensions apportées à  cette architecture pour des processeurs spécifiques. Par exemple, l'architecture POWER est principalement destinée aux serveurs, c'est pourquoi de récentes moutures des processeurs POWER contiennent des extensions favorisant les fonctions serveur, comme le partitionnement logique. En revanche, un processeur PowerPC destiné à  un téléphone cellulaire n'a nul besoin du partitionnement logique, mais il appréciera certaines extensions à  caractère téléphonique.Ils se distinguent aussi par le niveau de disponibilité. La technologie PowerPC est à  l'entière disposition des OEM. Ouverte et extensible, on peut la personnaliser pour les applications les plus diverses. Il s'en suit que différentes implémentations des processeurs PowerPC contiennent souvent différentes extensions selon la destination du processeur. De plus, les processeurs d'architecture PowerPC sont proposés par de multiples sources autres qu'IBM.
IBM l'offre. S'il est vrai que les processeurs POWER étaient, à  l'origine, destinés aux seuls serveurs IBM, cela aussi a commencé à  changer. Dans un futur très proche, on commencera à  voir les tout derniers processeurs POWER dans des produits proposés par d'autres fournisseurs. Ensemble, ces deux architectures processeur couvrent tout l'éventail de l'informatique, des appareils manuels les plus petits jusqu'aux plus puissants superordinateurs du monde.
Les perspectives des processeurs PowerPC et POWER d'IBM vont désormais bien au-delà  de la décennie. Comme il y a encore beaucoup de confusion dans l'esprit de nombreux clients OS/400 à  propos des similitudes et des différences entre ces deux architectures (voir l'encadré « La vérité au sujet de la PlayStation 3 et de l'OS/400 » pour un exemple), il est instructif d'y regarder de plus près. Sans rentrer dans des détails fastidieux, nous allons voir comment ces deux architectures ont été développées et quelle est leur relation réciproque.

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Travailler avec des API, deuxième partie

Travailler avec des API, deuxième partie

par Paul Morris - Mis en ligne le 6/07/2005 - Publié en Octobre 2004

Apprenez à  utiliser un espace utilisateur, à  le remplir de données, à  extraire des enregistrements, et bien plus

Dans la 1ère partie de cet article (iSeries News février 2004 ou www.itpro. fr), nous avons examiné deux programmes ILE RPG - un qui appelait des API en utilisant une PLIST et un qui les appelait en utilisant des appels prototypés - pour voir en quoi les programmes différaient. Dans cette 2e partie, nous continuons à  nous intéresser aux API. Nous verrons comment employer un espace utilisateur, le remplir avec des données, en extraire des enregistrements, et utiliser d'autres API ...

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DB2 UDB simplifie l’administration et le développement d’application

DB2 UDB simplifie l’administration et le développement d’application

par Kent Milligan - Mis en ligne le 6/07/2005 - Publié en Octobre 2004

C'est un défi sans cesse renouvelé que d'adapter vos solutions iSeries aux exigences toujours plus grandes de la communauté utilisatrice. Les utilisateurs exigent des fonctions plus élaborées de leurs applications et veulent accéder aux données provenant de diverses unités et interfaces. Pour se tenir à  flot, les développeurs d'applications ont besoin d'une boîte à  outils très étoffée. DB2 UDB pour iSeries en V5R3 ajoute beaucoup de nouvelles options au kit base de données qu'utilisent les programmeurs iSeries, administrateurs et autres DBA (database administrators) de data warehouse ...

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Pagination côté serveur avec SQL Server

Pagination côté serveur avec SQL Server

par Andrew Rosca - Mis en ligne le 6/07/2005 - Publié en Octobre 2004

Une procédure stockée simple vous permet de contrôler les flux de données et d'accéder à  des millions d'enregistrements

Les applications Web utilisent fréquemment la pagination d'enregistrements afin de présenter de très grandes quantités de données aux utilisateurs. Par exemple, il n'est pas rare qu'un moteur de recherche Internet retourne des dizaines de milliers de résultats en réponse à  une requête d'un utilisateur. Si le moteur renvoyait l'ensemble des résultats en une seule fois, le système destinataire serait complètement saturé. C'est pourquoi la pagination décompose les données en blocs de taille fixe rendant possible la gestion des résultats et réduisant la quantité d'informations transférées en une seule fois du serveur vers le client ...L'application ne propose que quelques enregistrements à  la fois aux utilisateurs, en commençant de préférence par les informations les plus pertinentes. Non seulement la pagination facilite la compréhension et la consultation des données, mais elle améliore également les performances de l'application, car la récupération et l'affichage de volumes élevés d'informations créent une charge inutile qui peut ralentir votre système. Si ce dernier pagine les enregistrements correctement, les utilisateurs d'un moteur de recherche n'auront vraisemblablement pas besoin de consulter plus d'une ou deux pages de résultats.
Malheureusement, de nombreux programmeurs n'ont pas conscience de certains aspects importants de la pagination sur le plan des performances. Dans un environnement IIS et SQL Server classique, la méthode la plus fréquente de mise en oeuvre de la pagination consiste à  utiliser les fonctionnalités de pagination de l'objet ADO Recordset standard, notamment les propriétés AbsolutePage, PageSize et PageCount. Pour les volumes de données relativement faibles (entre quelques dizaines et quelques centaines d'enregistrements), ces fonctionnalités sont parfaitement appropriées et la charge qu'elles génèrent n'affecte pas sensiblement les performances. Toutefois, à  mesure que le nombre d'enregistrements augmente, cette technique perd en efficacité et entraîne une baisse sensible des performances de l'application.
Dans les applications gérant des volumes importants de données, par exemple une application d'approvisionnement qui affiche des nombres élevés de commandes, un site de rencontres gérant des milliers d'utilisateurs ou un site de commerce électronique qui affiche des centaines de produits en réponse à  une recherche d'un utilisateur, vous avez besoin de techniques de pagination côté serveur sophistiquées. Cet article présente un exemple simple de technique de codage que j'utilise pour des tables contenant plusieurs millions d'enregistrements.

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Les files d’attente

Les files d’attente

par Sameer Dandage - Mis en ligne le 6/07/2005 - Publié en Octobre 2004

Si une légère attente n'est pas critique, la solution de réplication TRQU est faite pour vous

Aujourd'hui, de plus en plus d'entreprises doivent rendre leurs données disponibles sur de multiples serveurs et sur des sites distants, en préservant une synchronisation la plus étroite possible entre les données de chacun des sites. Dès lors qu'il existe plusieurs copies des données stratégiques, la disponibilité de ces dernières s'en trouve améliorée. Par exemple, en cas de défaillance d'un site, vous pouvez dévier le trafic vers un autre site ou serveur ...Par ailleurs, les administrateurs de base de données (DBA) peuvent répartir la charge sur plusieurs serveurs, afin d'éviter la surcharge de l'un deux et améliorer les temps de réponse aux requêtes des utilisateurs, en particulier si le serveur est situé à  proximité de ceux-ci. Envisageons quelques instants un scénario illustrant les besoins de failover et de répartition de la charge pour un système de base de données qui inclut une application à  trois niveaux sur deux sites géographiquement distincts. Chaque site utilise un serveur Web, un serveur d'applications et un serveur de base de données. Lorsque le fonctionnement du système est optimum, le serveur Web et le serveur d'applications de chaque site distribuent leurs requêtes utilisateur entre les deux serveurs de base de données afin qu'ils puissent se répartir la charge de travail. Toutefois, en cas d'indisponibilité d'un des deux serveurs de base de données ou d'une des bases de données, les serveurs Web et d'applications peuvent basculer toutes leurs requêtes vers le serveur de base de données de l'autre site. Dès que le premier serveur de base de données est de nouveau opérationnel, le processus de répartition des requêtes utilisateur entre les deux est rétabli.
Lorsqu'une organisation utilise un site actif et maintient l'autre en lecture seule, les tâches du DBA sont relativement simples. En revanche, son travail devient très vite complexe si l'organisation décide de placer plusieurs sites en mode actif et de synchroniser les données entre eux. Pour répondre à  ce cas de figure, SQL Server propose une option : la réplication transactionnelle. L'objet de cet article n'étant pas d'expliquer les fondements de ce mécanisme, vous trouverez plus d'informations sur le sujet en lisant la rubrique « Réplication transactionnelle » de la documentation en ligne de SQL Server.
SQL Server 2000 propose deux options de réplication transactionnelle permettant d'actualiser les données au niveau de l'abonné (Subscriber). Pour la première, intitulée « Réplication transactionnelle avec mise à  jour immédiate des Subscribers », SQL Server utilise une validation à  deux phases afin de mettre à  jour simultanément dans la même transaction l'éditeur (Publisher) et le Subscriber. La validation à  deux phases verrouille la ligne concernée sur tous les sites participant à  la réplication lorsqu'une mise à  jour est effectuée sur l'un d'eux. Ce mécanisme de verrouillage élimine toute latence entre le moment où un Subscriber est mis à  jour et le moment où le Publisher reflète la mise à  jour en question. Pour que cette option fonctionne, le Publisher et le Subscriber doivent toutefois être en cours d'exécution et connectés en permanence, faute de quoi les utilisateurs ne peuvent pas effectuer de mises à  jour sur le Subscriber.
La deuxième option est la « Réplication transactionnelle avec mises à  jour en file d'attente », que j'abrégerai en TRQU (Transactional Replication with Queued Updates) dans cet article. A la différence de la première option, la solution TRQU requiert une certaine latence entre le moment d'une mise à  jour sur le Subscriber et le moment où celle-ci est répercutée sur le Publisher. Mais cette approche présente un inconvénient : une ligne peut être mise à  jour avec des données différentes sur plusieurs sites simultanément et la cohérence des données entre les sites ne sera pas assurée tant qu'un mécanisme de résolution des conflits n'aura pas éliminé cette incohérence. Vous définissez des règles de résolution, telles que « l'éditeur gagne » (Publisher wins) ou « l'abonné gagne » (Subscriber wins), dans la configuration TRQU. En conséquence de quoi, les mises à  jour sur un site peuvent remplacer celles effectuées sur un autre. L'approche TRQU présente l'avantage suivant : le Publisher et le Subscriber ne doivent pas être connectés en permanence et le Publisher peut être arrêté pendant la mise à  jour d'un Subscriber. Par conséquent, la réplication TRQU garantit aux utilisateurs une disponibilité plus élevée d

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Sécuriser les flux de messagerie avec ISA 2004

Sécuriser les flux de messagerie avec ISA 2004

par Pascal Creusot - Mis en ligne le 29/06/2005 - Publié en Septembre 2004

La publication vers Internet d'un serveur Exchange au travers du firewall ISA de Microsoft se simplifie au fil des évolutions et des versions de ce produit au point que ces deux produits en deviennent complémentaires. Avec la première version de ISA 2000, il était possible de configurer manuellement la publication d'un serveur Exchange pour permettre un accès avec Outlook Web Access depuis Internet. Ce mode de fonctionnement avait été intégré au sein du service Pack 1 de ISA 2000. ISA 2004 va encore plus loin avec les assistants dédiés à  la publication du serveur de messagerie Exchange ...

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Matérialisez vos vues

Matérialisez vos vues

par Michelle A. Poolet - Mis en ligne le 22/06/2005 - Publié en Octobre 2004

Si vous êtes prêt à  mettre le prix, les vues indexées peuvent dynamiser vos requêtes

SQL Server 2005, la prochaine version du système de base de données de Microsoft, inclura de nombreuses fonctions et extensions destinées à  accroître votre productivité, en particulier si vous développez des applications Web orientées base de données. Toutefois, Microsoft a retardé la sortie de la version définitive du produit jusqu'au premier semestre de l'année prochaine et il faudra encore attendre au moins un an après le lancement pour voir de nombreux services de production migrer vers cette nouvelle mouture. Entre temps, vous pouvez faire beaucoup en vue d'optimiser vos bases de données SQL Server 2000 ...En tant que modéliseur de données et architecte de conception, mon instinct me pousse à  examiner et optimiser le schéma des tables. Vous savez que je plaide en faveur d'une normalisation poussée des tables, une démarche essentielle pour préserver l'intégrité des données au cours des activités d'insertion et de gestion. Les avantages de la normalisation sont supérieurs au surcroît de travail généré par les jointures multitables nécessaires à  l'extraction des données. Il est néanmoins possible de réduire sensiblement le temps système consacré à  la création d'une jointure entre quatre ou cinq tables en vue d'extraire des données d'une base de données fortement normalisée ou lié à  l'agrégation de quantités importantes de données dans un rapport récapitulatif. Pour cela, vous pouvez créer une vue et, au lieu de laisser au moteur SQL Server le soin de la reconstruire dynamiquement chaque fois qu'elle est utilisée dans une requête, vous pouvez la « matérialiser ». Dans ce cas, il ne s'agit plus d'une table virtuelle, mais d'une table physique.

Une vue constitue assurément une table virtuelle dérivée. Son objet est d'améliorer la visibilité des données en les présentant dans un contexte plus informatif et de contrôler l'accès auxdites données en empêchant les utilisateurs non concernés de visualiser celles ayant un caractère critique ou sensible. SQL Server « matérialise » ou rend réel une vue en créant un index ordonné en clusters unique sur celle-ci. C'est pourquoi ce type de vue est parfois appelé vues indexées. Comme pour un index ordonné en clusters, des données sont associées à  une vue matérialisée.

Les vues matérialisées ne constituent pas une nouveauté dans le monde des bases de données. Même si les vues indexées faisaient figure de nouveauté dans SQL Server 2000, elles existent depuis des années dans d'autres systèmes de gestion de base de données (SGBD), notamment dans les systèmes Oracle et DB2 d'IBM. Les fournisseurs de SGBD destinés aux grandes plates-formes ont développé les vues matérialisées en vue d'améliorer leurs systèmes de data warehousing. Un data warehouse regroupe dans un même référentiel de grande taille des données techniques que vous avez intégrées à  partir de sources multiples. Ce référentiel peut héberger des données détaillées d'applications opérationnelles, des données récapitulatives de systèmes d'aide à  la décision ou une combinaison des deux. Dans un data warehouse, les données sont généralement synthétisées selon plusieurs dimensions (par ex., date, emplacement, produit), puis stockées pour les interrogations agrégées par OLAP et les applications d'aide à  la décision. Nous allons maintenant examiner l'utilité d'une vue matérialisée dans d'autres environnements que les data warehouse.

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Des richesses insoupçonnées à  portée de la main

Des richesses insoupçonnées à  portée de la main

par Brian Lawton - Mis en ligne le 22/06/2005 - Publié en Octobre 2004

SQL Server 2000 est en service depuis déjà  4 ans. Avec cette version, Microsoft a apporté un ensemble d'outils puissant, mais souvent sous-employé. Réfléchissez quelques instants à  votre environnement d'entreprise. Votre logiciel SQL Server sert-il à  d'autres tâches plus créatives que des sauvegardes occasionnelles ou encore des opérations basiques de lecture et d'écriture de données ? Selon Microsoft, la prochaine version majeure de SQL Server ne devrait pas être commercialisée avant le milieu de l'année 2005. Si l'on ajoute à  ce retard le temps de latence fréquent nécessaire aux clients avant qu'ils adoptent le nouveau produit, SQL Server 2000 a encore de beaux jours devant lui, au moins jusqu'en 2007. En attendant la prochaine version, examinons donc sept fonctionnalités souvent ignorées proposées par SQL Server 2000 et la manière dont elles peuvent vous aider dans vos tâches d'administration et de développement, afin d'accroître le retour sur vos investissements logiciels existants ...

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La temporisation appliquée aux sockets

La temporisation appliquée aux sockets

par Chris Woodhead et Morgan Wadsworth - Mis en ligne le 29/06/2005 - Publié en Octobre 2004

Pour que vos fonctions socket ne soient plus bloquées

Les sockets permettent à  un programme de communiquer avec un autre - sur la même machine ou une différente - en utilisant TCP/IP, même si les détails de ce protocole vous sont cachés quand vous utilisez des sockets. En substance, les sockets permettent à  un programme applicatif d'établir une connexion puis d'échanger des données. C'est une méthode standard de communication entre plates-formes ...Généralement, les sockets permettent à  un client et à  un serveur de se parler. Pour programmer l'utilisation de sockets, on crée un serveur chargé d'écouter et de traiter les requêtes provenant d'un ou plusieurs clients. Il n'y a pas de restriction à  la fonction du client et du serveur : c'est à  l'initiative du concepteur de l'application. Citons quelques exemples simples : un client qui envoie des transactions comptables à  un serveur, lequel les enregistre en comptabilité, ou un client qui envoie une requête à  un serveur qui effectue la consultation ou la recherche puis renvoie le résultat. Les messages échangés entre le client et le serveur sont eux aussi sans restriction aucune. Ce peut être du texte, un format propriétaire, XML, ou autre chose.
Il existe trois types de sockets : raw (brut), datagram et stream (flux). On utilise des sockets stream quand il faut établir une connexion préalable entre des systèmes en situation d'échange, afin que les données (un flux d'octets) puissent être reçues sans perte, erreur ou duplication, dans l'ordre où elles ont été envoyées. Une connexion de sockets stream offre des flux d'entrée et de sortie, qui permettent de lire et d'écrire facilement des données entre des systèmes, tout comme on les lirait et les écrirait au moyen de fichiers stream IFS.
L'article « SCKTPROC Eases RPG Socket Programming » (www.itpro.fr Club abonnés) contient un programme de service ILE RPG très utile permettant d'appeler directement des fonctions socket stream et d'effectuer des tâches liées aux sockets. Nous allons voir comment ajouter la temporisation à  cet utilitaire. L'explication de cette amélioration suppose que vous avez déjà  utilisé des sockets. Pour vous documenter sur ce sujet, voir l'encadré Autres Ressources.

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De meilleurs outils de développement DB2 UDB

De meilleurs outils de développement DB2 UDB

par Paul Conte - Mis en ligne le 29/06/2005 - Publié en Octobre 2004

Depuis de nombreuses années, la plupart des développeurs iSeries utilisent des outils de type écran passif ou écran vert, comme SEU. Aujourd'hui, il existe de nouveaux outils : WDSc (WebSphere Development Studio client), basé sur Windows et Linux, et d'excellents outils d'édition et de débogage graphique dans RSE (Remote System Explorer). Ces mêmes développeurs disposent donc d'un environnement moderne pour la programmation classique en RPG et Cobol, ainsi que pour le développement Java ...Mais qu'en est-il des tâches de développement en base de données ? Dans cet article, je présente quelques nouveaux outils d'IBM basés sur le client, y compris ceux de WDSc et d'iSeries Navigator.

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Le travail collaboratif avec Exchange

Le travail collaboratif avec Exchange

par Pascal Creusot - Mis en ligne le 15/06/2005 - Publié en Septembre 2004

Exchange n'est pas simplement un serveur de messagerie, mais c'est aussi une plateforme conçue pour le travail collaboratif en entreprise. Contrairement à  de nombreux autres logiciels uniquement dédiés à  la messagerie, Microsoft Exchange intègre de manière native des outils et fonctions de travail en groupe comme la délégation, la mise en place de règles, le partage des objets Exchange tels que les contacts ou les calendriers. On trouve aussi au sein d'Exchange avec la mise en place des dossiers publics, une véritable infrastructure dédiée au partage des informations pour l'ensemble de l'entreprise. Tous ces éléments sont autant de composants qui apportent une dimension de travail collaboratif à  cette plateforme de messagerie ...

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Résoudre les problèmes Web dans iSeries Access

Résoudre les problèmes Web dans iSeries Access

par Carole A. Miner - Mis en ligne le 22/06/2005 - Publié en Septembre 2004

Le meilleur conseil : lisez bien toute la documentation

iSeries Access for Web (numéro de produit 5722-XH2; souvent appelé simplement Access for Web dans cet article) est une application Java qui tourne sur l'iSeries versions V5R1 et V5R2 dans un serveur d'applications Web (comme WebSphere Application Server, Apache Software Foundation Tomcat). Comme le produit ne demande aucune installation de code PC, le dépannage se borne généralement à  vérifier que l'utilisateur du navigateur peut se connecter au serveur iSeries et à  l'application Access for Web ...Pour installer et configurer Access for Web sur votre serveur iSeries, il faut d'abord télécharger le iSeries Access for Web Installation and Users Guide (SC41-5518) à  partir de la page Access for Web à  www.ibm.com/eserver/iseries/ access/web. Si vous utilisez la liste ainsi obtenue et si vous suivez la documentation, Access for Web sera vite opérationnel. Autre bonne source d'informations : un nouveau Redbook, iSeries Access for Web ans HATS Limited Edition : V5R2 Hot Topics for iSeries Browser Users (SG24-7005), dont une copie téléchargeable se trouve aussi sur la page iSeries Access for Web.

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Vos profils utilisateur sont-ils vulnérables ?

Vos profils utilisateur sont-ils vulnérables ?

par Dan Riehl - Mis en ligne le 15/06/2005 - Publié en Septembre 2004

En tant que conseiller en sécurité OS/400, j'aide les entreprises à  déceler les failles dans leur système de sécurité et à  déterminer les meilleurs moyens d'y remédier. L'un des principaux risques que j'observe le plus souvent dans des entreprises de toutes tailles est celui des objets profil utilisateur non sécurisés. Le but de cet article est d'expliquer ce risque et comment l'éliminer ...Supposons un instant que je sois un programmeur ou un sous-traitant inquisiteur dans vos bureaux. Je veux examiner des objets ou conduire des actions que la sécurité OS/400 m'interdit normalement, comme examiner le fichier de paye ou, pis encore, modifier ses enregistrements. Comme mon profil utilisateur n'a même pas le droit d'examiner le fichier, je dois trouver un moyen d'obtenir un haut niveau d'autorité afin qu'OS/400 me permette d'accéder au fichier. Un moyen particulièrement facile de faire cela, dans la plupart des installations OS/400, consiste à  usurper les autorités d'un profil utilisateur plus puissant que le mien, comme QSECOFR.
Pouvoir élever ma propre autorité au moyen de ce que j'appelle « l'usurpation de profil » est facile au niveau de sécurité système 30. Même au niveau 40, c'est probablement faisable. Dès lors que j'ai usurpé un profil plus puissant, j'ai élevé mon autorité et peux, par conséquent, accéder au fichier de paye.

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4 conseils pour le travail en réseau

4 conseils pour le travail en réseau

par Mel Beckman - Mis en ligne le 15/06/2005 - Publié en Septembre 2004

Ce n'est pas une mince affaire que de tirer le meilleur parti d'un réseau. Pour vous y aider, je propose quatre conseils.

Ping pour l'utile et l'agréable
Le court délai d'attention du Ping Windows
La curieuse façon pour Windows de traiter les serveurs DNS
Le monstre MTU

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Choisir une GUI en frontal

Choisir une GUI en frontal

Mis en ligne le 8/06/2005 - Publié en Septembre 2004

Trois experts nous parlent de leurs meilleures solutions...

Pour les nouvelles applications Web, les développeurs iSeries sont confrontés à  plusieurs décisions en matière de mise en oeuvre d'interface utilisateur (UI, user interface). En premier lieu, le « client léger », par opposition au « client lourd ».

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Utiliser des files d’attente de données DDM

Utiliser des files d’attente de données DDM

par Kaushik Dutta - Mis en ligne le 8/06/2005 - Publié en Septembre 2004

De nombreuses entreprises ont plus d'un iSeries. Il faut donc que ces machines communiquent entre elles pour mieux utiliser les ressources. Voici quelques méthodes permettant à  deux machines iSeries d'interagir ...

  • Fonctionnalité MQ Series
  • Un déclencheur associé à  un fichier physique, qui invoque RUNRMTCMD
  • Une file d'attente de données dans un iSeries, avec une file d'attente de données DDM dans le second iSeries
  • Une file d'attente de données dans un iSeries, en utilisant RCVDTAQ pour invoquer RUNRMTCMD
  • Un fichier physique dans un iSeries, avec un fichier DDMF dans le second iSeries
  • Utiliser les commandes SNDNETF (Send Network File) et RCVNETF (Receive Network File) sur les deux machines

  • Parmi ces méthodes, la fonctionnalité MQ Series et les files d'attente de données DDM sont les plus fiables. Cependant, la fonctionnalité MQ Series a pour inconvénient de demander beaucoup de préparation pour un simple job par rapport aux files d'attente de données DDM.
    Les files d'attente de données DDM vous permettent d'accéder aux données distantes à  partir des files d'attente de données d'un autre système. J'explique ici les fonctions des files d'attente de données DDM interagissant entre deux machines iSeries.

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