IBM organise un RoadShow à Lyon
IBM a invité tous ses partenaires à venir fêter les 20 ans de l’AS/400 et l’avènement du Power System le mardi 21 octobre à la Plateforme (péniche au cœur de Lyon).
Au programme : un pot d’accueil, une présentation de la nouvelle famille Power System, ainsi que des solutions de stockage et des méthodes pour rentabiliser les investissements. La soirée se terminera par un dîner concert.
Pour avoir plus de renseignements, vous pouvez contacter Gellia Liakataly par le biais de son adresse mail gellia.liakataly@fr.ibm.com
La communauté des utilisateurs Groove a le vent en poupe
Après 6 mois d’existence concrète, la jeune communauté francophone des utilisateurs d’Office Groove a fait sa première réunion. L’occasion pour le fondateur Fabrice Barbin, de rappeler la philosophie du groupe en prenant modèle sur l’Auberge Espagnole. Souhaitant une interactivité bonne enfant entre ses membres, Fabrice Barbin a voulu que cette rencontre ne ressemble pas à un cours magistral. Objectif accompli.
En première partie, le fondateur a fait un point sur l’actualité de Groove avec notamment la publication du premier livre en français traitant de cette solution. Il s’agit de Microsoft Office Groove de Frédéric Sitbon et Jean-Michel Davault aux éditions Lavoisier. Un évènement attendu puisque les autres ouvrages abordant Groove sont en Anglais et en Allemand. Toujours dans l’actualité, la solution de travail collaboratif a été intégrée avec Nabatzag, le « lapin » USB qui clignote et qui vous permet de rediriger vos alertes sur votre espace de travail. Enfin, d’autres développeurs travaillent sur des intégrations de jeux collaboratifs Silverlight avec Groove. Le but n’est pas jouer mais plutôt de réfléchir sur les différentes façons de mettre de l’interactivité dans un groupe de travail.
Jean-Marc Bondon, chef de projet innovation pour l’entreprise DCI, est ensuite intervenu. Cette société offre à travers le monde des prestations de services dans le domaine militaire (maintenance de chars d’assaut, formations…). Après 2 ans et demi d’expérience sur Groove, Jean-Marc Bondon explique en quoi la solution est le meilleur système de travail collaboratif : « Beaucoup de mes collègues sont situés dans des zones géographiques non couvertes par le web. Avec le mode synchrone et asynchrone de Groove, tous les collaborateurs du projet travaillent à leur rythme. » Outre cette fonction, il évoque aussi le déploiement et la prise en main simple ainsi que la gestion des règles de sécurité en temps réel. Autre avantage sur un concurrent gratuit comme Folder Share, Groove supporte l’upload d’un gros paquet de données, même si cette pratique n’est pas recommandée.
La réunion s’est terminée sur un exposé de Fabrice Barbin portant sur l’extension des fonctionnalités de Groove. Les membres de la communauté ont suivi plusieurs points comme les capacités de connexions et de synchronisation dans les deux sens de la solution avec Sharepoint, la customisation de page d’accueil ou encore la possibilité d’utiliser Messenger. Fabrice Barbin a pu faire la comparaison entre deux solutions formulaires, Groove InfoPath Form et Groove Forms Simple, pour collecter les données, uniformiser la saisie ou mettre en place des workflows simples. Concernant Groove Forms, il s’est étendu sur les capacités avancées et contournées de la solution, démontrant que l’on peut l’utiliser pour exploiter des flux RSS ou des cartes sur Virtual Earth. Web Services a aussi été évoqué pour enrichir les interfaces utilisateur, côté client, et intégré des usages ou des données, côté serveur.
Cette communauté va, bien entendu, continuer de « vivre » en dehors des réunions grâce à un futur espace de travail Groove dédié à ses membres. Alors aucune hésitation, rejoignez cet espace pour plus d’échanges d’idées et de res
La nouvelle version de BizTalk
La prochaine version de Biztalk ne s'appellera pas Biztalk Server 2006 R3 mais Biztalk Server 2009. Elle sera disponible le premier semestre 2009. Plus d'information sur le site.
Le GUE vous invite à son 19ème briefing
Windows Mobile 6.1 comme le HTC Diamond Touch et Touch Pro, ainsi que la disponibilité de l’iPhone 2.0 seront évoqué. La session permettra aussi de redécouvrir l’offre complète de Microsoft dans ce domaine, qui va de plateforme de la messagerie à l’intégration des périphériques mobiles dans la stratégie de l’entreprise.
En deuxième partie, le briefing portera sur deux solutions intégrées à la plateforme Exchange. Celle de Netsize qui vous permet de gérer les flux SMS/MMS au sein de votre organisation en maîtrisant le coût du service. Le logiciel de Coveo vous permet quant à lui, d’indexer des contenus composites ou bien, d’avoir accès aux informations de votre entreprise deouis votre Smartphone ou votre PC. Plus d’informations et inscriptions sur http://msexchange.fr/.
Les solutions de haute disponibilité avec Exchange 2007
les systèmes de messagerie par les entreprises de toute taille. Ce besoin est motivé par la criticité croissante de la messagerie électronique au sein des entreprises et des applications métier. Si la notion de disponibilité minimale varie selon les entreprises, tous les responsables informatiques souhaitent atteindre un niveau élevé de disponibilité. Les entités pour lesquelles la messagerie est critique choisissent souvent de concevoir un système de messagerie hautement disponible afin d'atteindre les objectifs définis dans le cadre du niveau de service requis (SLA). Il faut distinguer deux aspects différents qui sont la continuité de service et la reprise en cas d’incident. On y associe aussi souvent les notions de RTO (Recovery Time Objectives), c'est-à-dire de temps de récupération des données et de RPO (Recovery Point Objectives), c'est-à-dire l’impact sur les données et l’acceptation de retour en arrière et donc potentiellement la perte de données.
RA et PCA, deux aspects complémentaires La mise en place d’un plan de continuité d’activité (PCA) sous-entend une forte réduction de la durée d’indisponibilité, ce qui passe par des solutions de réplication en temps réel entre différents serveurs situés sur un même site ou sur des sites géographiques différents. Un plan de reprise d’activité (PRA) consiste à définir les procédures de retour à une situation acceptable en cas d’incident plus ou moins important sur un serveur, un ensemble matériel, voire un site géographique complet. Ces deux aspects sont complémentaires et le plus important dans tous les cas consiste à définir des procédures en cas d’incident. Ces procédures seront validées, jouées régulièrement et mises à jour en fonction des évolutions des plateformes ainsi que les évolutions des scénarios d’incident. Dans ce dossier, nous allons voir quelles sont les différentes solutions de base qui peuvent être mises en oeuvre dans ces processus de continuité et de reprise d’activité.
Contenu complémentaire : - Groupe utilisateur Exchange : http://msexchange.fr/ - Article de Pascal Creusot : La haute disponibilité au niveau de la messagerie Exchange |
Lire l'article
Optimisation des bases de données MS SQL Server : les requêtes
En théorie, quelle que soit la façon d'écrire une requête, le SGBDR doit être capable de trouver le moyen le plus efficace de traiter la demande, grâce à l'optimiseur. Mais parce qu'il y a loin de la théorie à la pratique, différentes écritures et différents styles de résolution, alliés à la qualité de l'indexation peuvent donner des temps d'exécution très variés.
C'est pourquoi la maîtrise de la conception de requêtes est un des points clefs de la performance d'une base de données bien conçue. Voyons quels en sont les principes basiques.
Dans un cours que je donne aux Arts & Métiers, je montre comment une bonne indexation alliée à la qualité de l'écriture des requêtes, peut faire varier dans une proportion de plus de 300 le temps d'exécution d'une requête. Je commence l'exercice par une demande simple : écrire une requête SQL permettant de répondre à une question basique, mais en prenant soin d'exprimer différentes solutions, même les plus bizarres.
Outre la solution simpliste, certains y arrivent par une union, d'autres avec des sous requêtes, d'autres encore avec des jeux de CASE... L'exécution brute de toutes ces solutions, donne un coût d'exécution allant du simple au triple. La pose d'un premier index trivial ne donne rien, par manque de sélectivité. Après élimination de cette première tentative, la pose d'un nouvel index montre que les requêtes les plus coûteuses au départ deviennent les plus rapides, alors que celles qui étaient les moins coûteuses à l'origine n'ont rien gagné. Un nouvel essai d'indexation remet toutes les requêtes au même rang qu'au départ, chacune gagnant dans la même proportion et plus que l'indexation précédente.
Enfin, la dernière tentative d'indexation étant la bonne, toutes les requêtes bénéficient d'un gain important, mais certaines bien plus que d'autres. Le clou est enfoncé lorsque l'on choisit de dénormaliser avec une vue. Là, le gain devient gigantesque. Il est voisin de 13 000. Mais il ne prend pas en compte l'effort supplémentaire à faire pour les mises à jour (INSERT, UPDATE, DELETE...).
Cet exercice nous apprend trois choses :
• différentes écritures d'une même requête ne donneront pas forcément les mêmes performances, bien que dans l’absolu, ce devrait être le cas [1]
• rien ne sert de poser un index s'il ne sert pas la requête
• une même requête écrite de différentes manières ne bénéficiera pas des mêmes gains lorsque l’on pose un index J’ajouterai que tout ceci évolue en fonction de la volumétrie des données et des données mêmes !
Tant est si bien qu’il est difficile de trouver de prime abord ce qu’est l’écriture d’une bonne requête. Affirmons cependant qu’une bonne requête est une requête qui sait tirer partie du moteur de requête pour le forcer à calculer un plan de requête dont les étapes sont les plus courtes à traiter.
[1] En fait, nous croyons souvent et naïvement que certaines écritures de requêtes sont identiques. Mais nous oublions souvent l’influence du marqueur NULL, dont le comportement particulier dans différents prédicats oblige le moteur SQL à des constructions parfois fort différentes.
Connexion sécurisé intersites
L’un des blogs d’ISAServer (celui de Thierry Nyembo) évoque les problèmes d’incompatibilité lors de la mise en place d’une connexion sécurisé intersites.
Lire l'articleWebcast consacré à la migration sur Exchange 2007
Le GU-CU vous propose d’assister à un webcast le jeudi 20 mars. Cette réunion web sera animée par le MVP Laurent Teruin qui reviendra sur la migration d'Exchange Server 2000 à Exchange Server 2007. Plus d’informations sur cette page
Lire l'articlePremière réunion de rentrée pour la communauté Groove
Prévue pour le 25 septembre à 14 h au 148 rue de l’université (Paris), cette rencontre sera l’occasion de partager le retour d’expérience de Jean-Marc Bondon (DCI) sur l’usage de Groove au sein de sa société. En deuxième partie, seront passées en revue les capacités pour étendre les fonctionnalités de Groove.
Enfin, la réunion se terminera sur une démonstration de contenu complémentaire.
Les inscriptions se passent ici : http://www.groovons.org
La CADIM prépare sa réunion de rentrée
Sans avoir encore fixé de date, la CADIM annonce sur son site l’ouverture des inscriptions pour la réunion de la rentrée. Au programme, les nouveautés sur le portail et le système de Workflow ILM V2 beta3, l’utilisation de Microsoft IAG avec OWA et MOSS 2007 pour renforcer la sécurité des données et un briefing sur les nouvelles fonctionnalités des GPOs sous Windows 2008 ainsi que différence d'administration et de gestion entre Windows 2003 et 2008.
Les préinscriptions se font à cette adresse.
Réunion du GUSS : le décisionnel à l’honneur !
Fin mai, s’est tenue la dernière réunion du GUSS (Groupe des utilisateurs de SQL Server) à Paris. Cette rencontre trimestrielle, qui est toujours l’occasion d’échange d’informations techniques, a rencontré un très vif succès, puisque plus de 50 personnes étaient présentes dans la salle.
Cette réunion a mis à l’honneur un sujet d’actualité : le décisionnel ! D’abord un petit retour sur le « pourquoi » du décisionnel, avant de s’engouffrer au fur et à mesure dans son évolution et l’offre de Microsoft. Cette session – panorama découverte de la Business Intelligence avec SQL Server - fut animée par Arian Papillon, président du GUSS et Sébastien Madar, Mcnext / GUSS.
L’offre décisionnelle de Microsoft s’est fortement développée dès 1999.
Les objectifs : mieux piloter l’activité en disposant d’une information simple, ciblée, pertinente, disponible, synthétique et détaillée ; répondre aux contraintes qualité en fournissant des indicateurs ; enfin, rendre l’information accessible grâce à des accès variés et en permettant une certaine autonomie !
Quant à son évolution, on peut parler de 3 générations. La 1ère génération, avec SQL Server 7.0, offre OLAP Services, un nouvel ETL (DTS) et une nouvelle philosophie « le décisionnel pour tous ». La 2ème génération, avec SQL Server 2000, s’améliore : OLAP Services devient Analysis Services (ajout du datamining) et Reporting Services (add-on) est téléchargeable. Enfin, la 3ème génération, avec SQL Server 2005 dans un premier temps, offre une refonte d’Analysis Services, plus de datamining, une nouvel ETL : SSIS, Reporting Services intégré désormais à l’offre, un nouvel environnement de développement (Visual Studio 2005) et de nouveaux outils de restitution. Avec l’arrivée de SQL Server 2008, cette génération se modifie, on parle de « continuité et amélioration » de SQL Server 2005 avec une amélioration des outils et des performances pour SSAS, SSRS, et une nouvelle interface orientée utilisateur.
Le décisionnel s’installe donc en force ! La business intelligence s’adapte ainsi aux rôles et aux missions des collaborateurs (contributeurs, analystes, management). Chacun a droit d’avoir des indicateurs (alertes). Pour cela, le reporting structuré a sa place et représente 80% des besoins d’accès à l’information dans l’entreprise. Les rapports sont donc constitués selon des règles et formats prédéfinis.
Enfin, il faut permettre aux utilisateurs de concevoir eux-mêmes des rapports simples. La navigation dans les données n’est pas en reste, grâce à OLAP, et les mesures (quantité, CA, marges, délais..) sont ainsi croisées avec les paramètres clients, temps, produits, géographie. La datamining prend également toute sa valeur : ce processus d’analyse d’un grand volume de données pour en extraire les tendances ou corrélations avec les différents algorithmes est primordial ! Quant aux tableaux de bord et portail décisionnel, le choix s’affine et est bien réel (indicateurs de performances, plusieurs sources, ERP, CRM, OLTP…).
Concevoir une base de données dédiée à l’analyse est essentielle ! La base de données OLTP est mal adaptée à l’analyse, e
Tout sur IE8
Le Guwiv propose de vous préparer à Internet Explorer 8 et vous donne un ensemble de liens pour tout savoir sur le prochain explorateur.
Dans les autres news, le site revient sur la journée du 26 mai dédiée à la « journée Windows » et présente la Beta de SysInternals Live qui permet d'exécuter les outils SysInternals directement depuis le Web.
Congrès européen du Common
Le congrès européen du Common s’est tenu à Barcelone du 17 au 20 mai 2008. Plus d’information sur cette page
Lire l'articleGUE : « faire tourner Exchange sur Windows Server 2008 » !
Le briefing d'été du L'article complet à cette adresse.
Lire l'articleDu nouveau pour le GuVirt !
Ouvert début juin, le site du GuVirt a pour objectif d’atteindre une centaine de membres d’ici un an. De plus, une réunion sera organisée à la rentrée prochaine et portera sur Hyper-V, l’hyperviseur de Microsoft.
Plus récemment, un guide sur les « Best Practices » pour la virtualisation avec Active Directory vient d’être mis en ligne sur le site.
Fonctionnalité SQL Server 2005 facilement ignorées
Tout le monde a entendu parler des grandes nouveautés de SQL Server 2005.
Lire l'article10 raisons pour passer à Windows Server 2008
L’objectif de cet article est de vous présenter quelles seront les nouveautés principales de ce produit et surtout comment va-t-il répondre à vos problématiques actuelles et futures. Le produit étant encore en phase de développement, des changements de spécification peuvent intervenir entre la rédaction de cet article et la sortie du produit. Les multiples axes d’évolution du produit comprennent actuellement les domaines de la mobilité, de la sécurité et de la gestion. Ces évolutions sont bien plus importantes que celles que l’on avait pu découvrir lors du passage de Windows 2000 Server à Windows Server 2003 ou de Windows Server 2003 à Windows Server 2003 R2. Pour vous en convaincre, nous allons vous faire découvrir 10 nouveautés à travers trois catégories qui amélioreront et faciliteront la production de votre infrastructure informatique.
Une gestion plus efficace !
• Management simplifié du serveur
• Windows Power Shell
• Internet Information Services 7.0
Sécurité renforcée
•Renforcement de la sécurité interne : Nouveau Noyau NT 6.0 !
• Server de base "Core"
• Failover Clustering
• Network Access Protection (NAP)
Une plus grande flexibilité
• Refonte du service Terminal Serveur
• Windows Serveur virtualisation
• Service d’infrastructure sur vos sites distants (AD)
Certificate Lifecycle Manager
de solutions d’authentification qui regroupent de multiples facteurs (comme connaissance d’un PIN ou d’un mot de passe, données biométriques du genre empreintes digitales, possession d’un certain appareil). Parmi les exemples d’authentification les plus connus, on retiendra les cartes intelligentes et les jetons USB. Si vous avez déjà essayé de déployer des cartes intelligentes ou des jetons USB dans un environnement PKI (public key infrastructure) Microsoft, vous savez que Windows manque de fonctions de déploiement, de gestion et de maintenance de ces deux dispositifs. Microsoft occupe désormais le terrain avec CLM (Certificate Lifecycle Manager), qui peut aussi ajouter de la valeur pour la gestion des certificats dans les déploiements PKI Windows qui n’utilisent pas de cartes intelligentes ou de jetons USB. Les caractéristiques les plus importantes de CLM sont sa capacité à faciliter le déploiement et l’administration des certificats, des cartes intelligentes et des jetons USB ; et aussi sa souplesse. Voyons d’abord comment CLM facilite l’administration et ce qui le rend aussi adaptable. Après quoi nous verrons les composantes et l’architecture CLM
Lire l'article