> Renaud ROSSET
Solution intégrée de déduplication, de sauvegarde et de restauration pour Acronis !

Solution intégrée de déduplication, de sauvegarde et de restauration pour Acronis !

Acronis annonce ces toutes nouvelles solutions de déduplication, de sauvegarde et de restauration de système et de données.
Laurent Dedenis, Directeur des Ventes Internationales d’Acronis, présente la nouvelle gamme de solutions de backup et de recovery.

Lire l'article
Christian Robert : l’administration du serveur est facile avec SQL Server2008

Christian Robert : l’administration du serveur est facile avec SQL Server2008


Christian Robert, MVP SQL Server Secrétaire du Groupe des Utilisateurs francophones de SQL Server

Lire l'article
Interview de laurent Miltgen Delinchamp sur les Microsoft TechDays 2009

Interview de laurent Miltgen Delinchamp sur les Microsoft TechDays 2009


Laurent Miltgen, MVP Windows Desktop Experience, fondateur du Groupe utilisateur de Windows Server et du Groupe Utilisateur de Windows Vista

Lire l'article
Réunion du Groupe des Utilisateurs d’Exchange Server : Exchange Server 2007 et OCS 2007 R2 font leur show !

Réunion du Groupe des Utilisateurs d’Exchange Server : Exchange Server 2007 et OCS 2007 R2 font leur show !

Le GUE (Groupe des Utilisateurs francophones de Microsoft Exchange Server) s’est réuni mi décembre à Paris. Occasion de faire le point sur Exchange Server et sur OCS 2007 R2, version très attendue !

Un agenda très complet pour la dernière réunion de l’année 2008 !
Une vue d’ensemble de OCS 2007 R2, proposée par Damien Caro, Architecture Infrastructure Microsoft France, a débuté cette réunion. Petit rappel utile de dates, sortie de OCS 2007 le 29 juillet 2007, du SP1 d’Exchange Server 2007 le 29 novembre 2007 (support de Windows 2008, intégration avec OCS 2007) et septembre 2008 : Management Pack OCS pour SCOM.

L’intégration avec OCS 2007 est bien réelle : de la notification du transfert d’appel lors du dépôt d’un message vocal, à l’intégration des appels manqués par OCS et SM, en passant par le support du Codec RT-Audio et l’association de sujets aux messages vocaux. Quelle en est l’évolution ?
Pour les administrateurs, celle-ci est essentielle. Les particularités d’OCS 2007 R2 : 64 bits seulement et Active Directory (niveau de domaine et forêts 2003 et 2008), bases de données (SQL Server 2005 SP2 et SQL Server 2008). Une évolution d’architecture est également à noter : approche consolidée préconisée, chemins de migration « side by side » recommandés, migration par export/import autorisée.

Un point sur l’aspect des rôles : certains sont repris et ont évolué (Communicator Web Access, le serveur de supervision), d’autres sont nouveaux comme le group chat, le serveur de partage d’applications, Unified Communications Applications Server, les composants web.
Quant aux utilisateurs, l’évolution est certaine : gestion de la messagerie vocale, pont de conférence, partage d’applications, appels d’équipe et délégation, groupe de réponse, gestion déléguée des appels, groupes permanents de discussion. Enfin, côté mobilité et interopérabilité, les changements sont bien là. Pour exemple, Communicator mobile a son lot de nouveautés (Single Number Reach, une seule messagerie vocale pour toutes les communications professionnelles..), avec une amélioration des performances, un état de présence mobile et une évolution de l’ergonomie.

Que dévoiler de plus si ce n’est la date de sortie de OCS 2007 R2… à priori le rendez-vous est pris pour début janvier 2009 ! Quant aux axes de développement : voix et téléphonie sont à l’honneur avec l’intéropérabilité.
Pour information, des sessions auront lieu sur le sujet au cours des Microsoft TechDays 2009 (10, 11 et 12 février 2009), alors restez connectés !


La 2ème session, animée par Laurent Teruin, Consultant Communications Unifiées, MVP Exchange, fit en quelque sorte le bilan d’Exchange Server 2007. Des aspects positifs aux nouvelles contraintes, les apports sont réels. Commençons par la sécurisation et le rappel des 4 modes de sécurisation de l’infrastructure : LCR, CCR, SCR, SCC. Le couple gagnant qui se démarque est sans aucun doute CCR/SCR (réduction des contraintes matérielles, suppression des points de rupture, adéquation aux besoins et contraintes, modèle d’implantation typ

Lire l'article
20e briefing du GUE

20e briefing du GUE

Le groupe des utilisateurs de Microsoft Exchange va se réunir le 15 Décembre 2008 à partir de 9h pour son 20e briefing. Le GUE veut profiter de la fin de l’année pour revenir sur les nouveautés et les évolutions d’Exchange. Une démonstration et une présentation de OCS 2007 R2 sera proposé en partenariat avec Microsoft France. Enfin, deux éditeurs présenteront leurs  solutions : les logiciels Quest, autour d'Exchange et les technologies de restauration Ontrack.

Le briefing a lieu chez Microsoft France, 148, rue de l'université, 75007 Paris

Les inscriptions se font sur le portail www.msexchange.fr.

Lire l'article
Présentation du cubim

Présentation du cubim


Lire l'article
Réunion du GUSS : Sécurité, PowerShell et langages de scripts font leur show !

Réunion du GUSS : Sécurité, PowerShell et langages de scripts font leur show !

Début octobre s’est tenue la dernière réunion du GUSS (Groupe des utilisateurs de SQL Server) à Paris. Cette rencontre trimestrielle, qui est toujours l’occasion d’échange d’informations techniques, a rencontré un vif succès. D’autant que le GUSS a aujourd’hui bien d’autres projets en tête comme la tenue de tables rondes et la diffusion de webcasts. A suivre donc de très près …

Cette réunion a débuté par un exposé sur les solutions d’audit de sécurité pour SQL Server, animé par Christian Robert, MVP SQL Server et secrétaire du GUSS.
Aujourd’hui, les défis de la sécurité sont nombreux et il convient de bien les identifier et de composer avec eux : restreindre les accès au serveur, maîtriser l’identité des utilisateurs connectés, appliquer une stratégie de sécurité globale, identifier les accès aux données, gérer les données mobiles, déterminer la confidentialité des données, sensibiliser les utilisateurs.
Quel comportement faut-il réellement adopter ?
Côté matériel ! Il s’agit de mettre en place des contrôle d’accès au serveur (salle blanche sécurisée), contrôler les données mobiles, et sécuriser les sauvegardes, export de données.
Côté logiciel ! il faut sécuriser Windows (appliquer des correctifs, donner des privilèges minimaux SQL Server), installer un firewall sur le serveur de base de données, sans oublier un antivirus.
Et côté utilisateur, sensibiliser reste le maître mot ! Il convient également de s’assurer de l’identité de l’utilisateur, d’identifier les accès aux données et de séparer les rôles.
Les niveaux de sécurité sous Windows sont privilégiés à savoir les firewall, antivirus, Ipsec, authentification via Kerberos, comptes de services et Group Policy Object.

La sécurité optimale SQL Server se réalise d’abord au niveau du serveur et se compose de plusieurs éléments qu’il ne faut pas négliger. Du type de connexion (TCP/IP, canaux nommés…) aux comptes de connexion au serveur en passant pas le rôle, les permissions de niveau serveur jusqu’aux  credentials/ proxy, et la Surface Area Configuration (SAC), le programme est vaste.
Qu’en est-il au niveau base de données ? Des utilisateurs de base de données aux rôles de bases de données en passant par le chiffrage transparent de bases de données et le chiffrage via EFS (Encrypted File System), tout y est.
Au niveau des objets, la réponse est simple. Il faut prendre en compte les droits d’accès ou d’exécution, le chaînage de propriétés, la signature de code ou de données, le chiffrage des données.
Si l’audit s’installe en force, pourquoi auditer ? En raison d’impératifs légaux (loi Sarbanes-Oxley…) du suivi des comptes membres des rôles sysadmin, de la prévention plutôt que de la restriction ! Mais comment auditer ? Les données d’audit doivent être situées hors du serveur audité et le processus doit être le plus transparent possible pour le serveur de bases de données. Les avantages s’appliquent ainsi à tous les comptes.
Revenons un instant sur les principales méthodes. Quelles sont-elles ? L’utilisation de Trigger DMC, la mise en place de trace avec SQL Trace, l’outil de lecture du journal de transaction

Lire l'article
Le Salon Serveurs et Applications met le Power System à  l’honneur

Le Salon Serveurs et Applications met le Power System à  l’honneur

Retrouvez l'article sur l'anniversaire de l'AS 400 sur cette page.

Lire l'article
IBM organise un RoadShow à  Lyon

IBM organise un RoadShow à  Lyon

IBM a invité tous ses partenaires à venir fêter les 20 ans de l’AS/400 et l’avènement du Power System le mardi 21 octobre à la Plateforme (péniche au cœur de Lyon).

Au programme : un pot d’accueil, une présentation de la nouvelle famille Power System, ainsi que des solutions de stockage et des méthodes pour rentabiliser les investissements. La soirée se terminera par un dîner concert.

Pour avoir plus de renseignements, vous pouvez contacter Gellia Liakataly par le biais de son adresse mail gellia.liakataly@fr.ibm.com

Lire l'article
La communauté des utilisateurs Groove a le vent en poupe

La communauté des utilisateurs Groove a le vent en poupe

Après 6 mois d’existence concrète, la jeune communauté francophone des utilisateurs d’Office Groove a fait sa première réunion. L’occasion pour le fondateur Fabrice Barbin, de rappeler la philosophie du groupe en prenant modèle sur l’Auberge Espagnole. Souhaitant une interactivité bonne enfant entre ses membres, Fabrice Barbin a voulu que cette rencontre ne ressemble pas à un cours magistral. Objectif accompli.

En première partie, le fondateur a fait un point sur l’actualité de Groove avec notamment la publication du premier livre en français traitant de cette solution. Il s’agit de Microsoft Office Groove de Frédéric Sitbon et Jean-Michel Davault aux éditions Lavoisier. Un évènement attendu puisque les autres ouvrages abordant Groove sont en Anglais et en Allemand. Toujours dans l’actualité, la solution de travail collaboratif a été intégrée avec Nabatzag, le « lapin » USB qui clignote et qui vous permet de rediriger vos alertes sur votre espace de travail. Enfin, d’autres développeurs travaillent sur des intégrations de jeux collaboratifs Silverlight avec Groove. Le but n’est pas jouer mais plutôt de réfléchir sur les différentes façons de mettre de l’interactivité dans un groupe de travail.

Jean-Marc Bondon, chef de projet innovation pour l’entreprise DCI, est ensuite intervenu. Cette société offre à travers le monde des prestations de services dans le domaine militaire (maintenance de chars d’assaut, formations…). Après 2 ans et demi d’expérience sur Groove, Jean-Marc Bondon explique en quoi la solution est le meilleur système de travail collaboratif : «  Beaucoup de mes collègues sont situés dans des zones géographiques non couvertes par le web. Avec le mode synchrone et asynchrone de Groove, tous les collaborateurs du projet travaillent à leur rythme. » Outre cette fonction, il évoque aussi le déploiement et la prise en main simple ainsi que la gestion des règles de sécurité en temps réel. Autre avantage sur un concurrent gratuit comme Folder Share, Groove supporte l’upload d’un gros paquet de données, même si cette pratique n’est pas recommandée.

La réunion s’est terminée sur un exposé de Fabrice Barbin portant sur l’extension des fonctionnalités de Groove. Les membres de la communauté ont  suivi plusieurs points comme les capacités de connexions et de synchronisation dans les deux sens de la solution avec Sharepoint, la customisation de page d’accueil ou encore la possibilité d’utiliser Messenger. Fabrice Barbin a pu faire la comparaison entre deux solutions formulaires, Groove InfoPath Form et Groove Forms Simple, pour collecter les données, uniformiser la saisie ou mettre en place des workflows simples. Concernant Groove Forms, il s’est étendu sur les capacités avancées et contournées  de la solution, démontrant que l’on peut l’utiliser pour exploiter des flux RSS ou des cartes sur Virtual Earth. Web Services a aussi été évoqué pour enrichir les interfaces utilisateur, côté client, et intégré des usages ou des données, côté serveur.

Cette communauté va, bien entendu, continuer de « vivre » en dehors des réunions grâce à un futur espace de travail Groove dédié à ses membres. Alors aucune hésitation, rejoignez cet espace pour plus d’échanges d’idées et de res

Lire l'article
La nouvelle version de BizTalk

La nouvelle version de BizTalk

La prochaine version de Biztalk ne s'appellera pas Biztalk Server 2006 R3 mais Biztalk Server 2009. Elle sera disponible le premier semestre 2009. Plus d'information sur le site.

Lire l'article
actu Windows semaine 38

actu Windows semaine 38



Lire l'article
La CADIM prépare sa réunion de rentrée

La CADIM prépare sa réunion de rentrée

Sans avoir encore fixé de date, la CADIM annonce sur son site l’ouverture des inscriptions pour la réunion de la rentrée. Au programme, les nouveautés sur le portail et le système de Workflow ILM V2 beta3, l’utilisation de Microsoft IAG avec OWA et MOSS 2007 pour renforcer la sécurité des données et un briefing sur les nouvelles fonctionnalités des GPOs sous Windows 2008 ainsi que différence d'administration et de gestion entre Windows 2003 et 2008.

Les préinscriptions se font à cette adresse.

Lire l'article
Première réunion de rentrée pour la communauté Groove

Première réunion de rentrée pour la communauté Groove

Prévue pour le 25 septembre à 14 h au 148 rue de l’université (Paris), cette rencontre sera l’occasion de partager le retour d’expérience de Jean-Marc Bondon (DCI) sur l’usage de Groove au sein de sa société. En deuxième partie, seront passées en revue les capacités pour étendre les fonctionnalités de Groove.

Enfin, la réunion se terminera sur une démonstration de contenu complémentaire.

Les inscriptions se passent ici : http://www.groovons.org

 

Lire l'article
Le GUE vous invite à  son 19ème briefing

Le GUE vous invite à  son 19ème briefing

Windows Mobile 6.1 comme le HTC Diamond Touch et Touch Pro, ainsi que la disponibilité de l’iPhone 2.0 seront évoqué. La session permettra aussi de redécouvrir l’offre complète de Microsoft dans ce domaine, qui va de plateforme de la messagerie à l’intégration des périphériques mobiles dans la stratégie de l’entreprise.

En deuxième partie, le briefing portera sur deux solutions intégrées à la plateforme Exchange. Celle de Netsize  qui vous permet de gérer les flux SMS/MMS au sein de votre organisation en maîtrisant le coût du service. Le logiciel de Coveo vous permet quant à lui, d’indexer des contenus composites ou bien, d’avoir accès aux informations de votre entreprise deouis votre Smartphone ou votre PC. Plus d’informations et  inscriptions sur  http://msexchange.fr/.

Lire l'article
Les solutions de haute disponibilité avec Exchange 2007

Les solutions de haute disponibilité avec Exchange 2007

les systèmes de messagerie par les entreprises de toute taille. Ce besoin est motivé par la criticité croissante de la messagerie électronique au sein des entreprises et des applications métier. Si la notion de disponibilité minimale varie selon les entreprises, tous les responsables informatiques souhaitent atteindre un niveau élevé de disponibilité. Les entités pour lesquelles la messagerie est critique choisissent souvent de concevoir un système de messagerie hautement disponible afin d'atteindre les objectifs définis dans le cadre du niveau de service requis (SLA). Il faut distinguer deux aspects différents qui sont la continuité de service et la reprise en cas d’incident. On y associe aussi souvent les notions de RTO (Recovery Time Objectives), c'est-à-dire de temps de récupération des données et de RPO (Recovery Point Objectives), c'est-à-dire l’impact sur les données et l’acceptation de retour en arrière et donc potentiellement la perte de données.
RA et PCA, deux aspects complémentaires La mise en place d’un plan de continuité d’activité (PCA) sous-entend une forte réduction de la durée d’indisponibilité, ce qui passe par des solutions de réplication en temps réel entre différents serveurs situés sur un même site ou sur des sites géographiques différents. Un plan de reprise d’activité (PRA) consiste à définir les procédures de retour à une situation acceptable en cas d’incident plus ou moins important sur un serveur, un ensemble matériel, voire un site géographique complet. Ces deux aspects sont complémentaires et le plus important dans tous les cas consiste à définir des procédures en cas d’incident. Ces procédures seront validées, jouées régulièrement et mises à jour en fonction des évolutions des plateformes ainsi que les évolutions des scénarios d’incident. Dans ce dossier, nous allons voir quelles sont les différentes solutions de base qui peuvent être mises en oeuvre dans ces processus de continuité et de reprise d’activité.

Contenu complémentaire :

- Groupe utilisateur Exchange : http://msexchange.fr/
- Article de Pascal Creusot :
La haute disponibilité au niveau de la messagerie Exchange

Lire l'article
Optimisation des bases de données MS SQL Server : les requêtes

Optimisation des bases de données MS SQL Server : les requêtes

En théorie, quelle que soit la façon d'écrire une requête, le SGBDR doit être capable de trouver le moyen le plus efficace de traiter la demande, grâce à l'optimiseur. Mais parce qu'il y a loin de la théorie à la pratique, différentes écritures et différents styles de résolution, alliés à la qualité de l'indexation peuvent donner des temps d'exécution très variés.
C'est pourquoi la maîtrise de la conception de requêtes est un des points clefs de la performance d'une base de données bien conçue. Voyons quels en sont les principes basiques.
Dans un cours que je donne aux Arts & Métiers, je montre comment une bonne indexation alliée à la qualité de l'écriture des requêtes, peut faire varier dans une proportion de plus de 300 le temps d'exécution d'une requête. Je commence l'exercice par une demande simple : écrire une requête SQL permettant de répondre à une question basique, mais en prenant soin d'exprimer différentes solutions, même les plus bizarres.

Outre la solution simpliste, certains y arrivent par une union, d'autres avec des sous requêtes, d'autres encore avec des jeux de CASE... L'exécution brute de toutes ces solutions, donne un coût d'exécution allant du simple au triple. La pose d'un premier index trivial ne donne rien, par manque de sélectivité. Après élimination de cette première tentative, la pose d'un nouvel index montre que les requêtes les plus coûteuses au départ deviennent les plus rapides, alors que celles qui étaient les moins coûteuses à l'origine n'ont rien gagné. Un nouvel essai d'indexation remet toutes les requêtes au même rang qu'au départ, chacune gagnant dans la même proportion et plus que l'indexation précédente.

Enfin, la dernière tentative d'indexation étant la bonne, toutes les requêtes bénéficient d'un gain important, mais certaines bien plus que d'autres. Le clou est enfoncé lorsque l'on choisit de dénormaliser avec une vue. Là, le gain devient gigantesque. Il est voisin de 13 000. Mais il ne prend pas en compte l'effort supplémentaire à faire pour les mises à jour (INSERT, UPDATE, DELETE...).

Cet exercice nous apprend trois choses :
• différentes écritures d'une même requête ne donneront pas forcément les mêmes performances, bien que dans l’absolu, ce devrait être le cas [1]
• rien ne sert de poser un index s'il ne sert pas la requête
• une même requête écrite de différentes manières ne bénéficiera pas des mêmes gains lorsque l’on pose un index J’ajouterai que tout ceci évolue en fonction de la volumétrie des données et des données mêmes !

Tant est si bien qu’il est difficile de trouver de prime abord ce qu’est l’écriture d’une bonne requête. Affirmons cependant qu’une bonne requête est une requête qui sait tirer partie du moteur de requête pour le forcer à calculer un plan de requête dont les étapes sont les plus courtes à traiter.

[1] En fait, nous croyons souvent et naïvement que certaines écritures de requêtes sont identiques. Mais nous oublions souvent l’influence du marqueur NULL, dont le comportement particulier dans différents prédicats oblige le moteur SQL à des constructions parfois fort différentes.

Lire l'article
Actu Windows Semaine 29

Actu Windows Semaine 29



Lire l'article
XML et SQL SERVER

XML et SQL SERVER

Les informations échangées entre les différents systèmes, les différentes applications le sont de plus en plus auSQL Server, se sont adaptées. En effet, SQL Server à, entre autre, pour objectif de faciliter le travail avec les données. Pour cela, SQL Server dispose d'un ensemble d'instructions pour extraire des informations relationnelles au format XML ou bien l'opération inverse qui consiste à lire des données au format XML afin de stocker les informations dans une structure relationnelle classique.

Ces 2 étapes sont nécessaires et permettent de confier au moteur de base de données la plupart des transformations depuis ou vers le format XML à SQL Server. Mais SQL Server propose plus en offrant la possibilité de créer des colonnes de type XML. En intégrant directement les informations XML dans la structure relationnelle classique, SQL Server offre plus de souplesse en terme de stockage. Ce type XML est bien plus qu'un simple champ texte car SQL Server rend possible l'indexation des colonnes de type XML mais également la mise à jour, l'ajout et la suppression de données dans le document XML lui-même.

Ce sont ces trois fonctionnalités (extraire les informations au format XML, importer des données XML, stocker des données au format XML) de SQL Server qui sont exposées ci-dessous.

Lire l'article