2H30 Anatomie d’une construction Ant
Ant est intégré dans WDSc. Si WDSc trouve un fichier qui porte le nom de script Ant par défaut, c’est-à-dire build.xml, il placera une icône ant à côté de ce nom de fichier dans la vue du navigateur. Vous pouvez sélectionner le fichier build, faire un clic droit et choisir
Lire l'article2H00 Déployer à chaud les applications WAS
Mon client utilise un procédé de déploiement à chaud manuel qui consiste à glisser-déposer les fichiers d’applications de Windows Explorer dans un dossier associé à l’iSeries. Mais, trop souvent, ils déposent des fichiers aux mauvais endroits ou ratent quelques fichiers modifiés. (Pour plus d’informations, voir l’encadré « Associer le répertoire
Lire l'article1H30 WebSphere Express en déploiement à chaud
Ma sortie cyliste a été un peu plus longue que prévu, donc je réduis ma pause de quelques minutes. J’ai promis à mon client WebSphere que j’établirais un mécanisme pour déployer à chaud les changements d’application Web à la fin de la journée. La documentation IBM prescrit de déployer les
Lire l'article12H00 Se balader avec Apache
Tout en roulant, j’ai réfléchi à ce que mon client Tomcat pourrait me demander ensuite. Il y a de grandes chances pour qu’il me demande de mettre en place son application Web avec SSL (Secure Sockets Layer) de manière à crypter les données sensibles de l’application. Le serveur HTTP imbriqué
Lire l'article9H30 Tester Tomcat et déployer les applications Web
J’en est presque fini avec l’installation de Tomcat, il ne me reste plus qu’à tester son script startup.sh. S’il fonctionne, je peux déployer l’application Web de mon client. Comme les scripts shell s’exécutent à partir de l’environnement QShell, je démarre QShell, je navigue jusqu’au répertoire de script Tomcat et je
Lire l'article8H45 Modifier le script de démarrage de Tomcat
Le serveur d’application Web Tomcat est écrit entièrement en Java. La même base de code Java fonctionnera sur Windows, Unix et l’iSeries. Tomcat est lancé sur Windows via un fichier batch (.bat) et sur les platesformes Unix et iSeries avec un script shell (.sh). Mais, avant de pouvoir lancer Tomcat,
Lire l'article8H15 Transférer et extraire Tomcat
Mon répertoire home étant créé, je navigue avec mon navigateur jusqu’à jakarta. apache.org et je télécharge jakarta- tomcat-5.5.9.zip sur mon PC. Ensuite il me faut transférer le fichier zip sur l’IFS iSeries. A cet effet, je crée une connexion FTP à partir d’une fenêtre PC DOS (sélectionner Windows Start|Run|CMD|Enter) avec
Lire l'article8H00 Installation de Tomcat
Tomcat est un serveur d’applications Web entièrement Java. C’est-à-dire qu’il fonctionnera sur tout système possédant une JVM (Java Virtual Machine), y compris l’iSeries. L’iSeries dispose d’une installation automatisée pour Tomcat version 3.2.4, mais Tomcat en est maintenant au stade 5.5. Pour bénéficier de l’amélioration des fonctions et des performances, j’ai
Lire l'articleLe remède
A l’heure où nous écrivons ces lignes, le fournisseur commercial, Bytware, offre un scanner qui exploite les fonctions de validation antivirus de la V5R3. D’autres suivront – peut-être même une implémentation open-source, du genre ClamAV (clamav.net), un scanner antivirus open-source GPL (General Public License). Vous pourriez même écrire le vôtre.
Lire l'articleLe traitement
Pour voir comment un scanner antivirus agit sur un fichier, on peut examiner les attributs de ce dernier après qu’il ait été scanné. La figure 4 montre l’écran iSeries Navigator Properties du fichier oper après un scan de virus. La première information utile est l’ID utilisateur et groupe du programme
Lire l'articleDeux, deux et deux
En prenant deux par deux les composantes validées pour les virus, considérons d’abord les nouveaux attributs de fichier et de répertoire. Pour empêcher tout scanning redondant, le nouvel attribut de fichier, *SCAN, indique si un fichier doit être scanné et quand. L’attribut *SCAN est accompagné d’une information d’état de scan.
Lire l'articleRiches en fonctions et toujours puissants
Comme le montre cet article, PDM et SEU sont d’excellents outils pour maintenir le code source et soigner votre productivité. Prenez le temps d’examiner leurs nombreuses options : il vous restera plus de temps pour votre activité favorite : programmer !
Lire l'articleLa ligne de commande SEU
On l’a vu, la ligne de commande SEU sert à exécuter des commandes propres à SEU. Pour afficher une liste d’options, amenez le curseur dans la ligne de commande SEU et appuyez sur F1.
Les utilisations les plus courantes de la ligne de commande sont, pour ma part,
Commandes présentes dans la zone Line Sequence
On peut taper 78 options différentes dans la zone Line Sequence. On peut utiliser cette zone de diverses manières pour travailler sur le code source : C (copy) et D (delete) sont les plus courantes ; mais il y a aussi X, plus obscure, pour exclure une ligne. Accordez-vous une
Lire l'articleDes touches de commande bien commodes
Vous arrive-t-il d’oublier toutes les options sur une F-spec ? J’avoue que c’est mon cas ! Mais, si j’insère une nouvelle ligne, tape un F en colonne 6 puis appuie sur F4, toutes les options en format fixe me sont proposées. Pour vous aider à déterminer les invites nécessaires, appuyez
Lire l'articleAPI spéciales pour liens
Certaines API spéciales s’accommodent parfaitement des liens symboliques. L’API lstat() se comporte exactement comme l’API stat(), à un détail près. Si le nom de chemin d’accès fourni à l’API lstat() est un lien symbolique, l’API renvoie l’information à propos du lien lui-même, tandis que l’API stat() renvoie l’information à propos
Lire l'articleLiens symboliques
Un lien symbolique (« symlink » en abrégé) n’est pas un lien direct allant d’un répertoire aux données d’un fichier, comme l’est un lien dur. C’est plutôt un fichier stream spécial qui contient le nom de chemin d’accès d’un fichier différent. Quand on essaie d’accéder à un lien symbolique, il
Lire l'articleLimitation des liens durs
Notons que dans HELLOLINK (figure 1), les liens ne se trouvent pas tous dans le même répertoire. En fait, ils peuvent être dans n’importe quel répertoire – tant qu’ils font partie du même système de fichiers.
Par exemple, le code de la figure 3 ne fonctionnera pas !
Tests des partitions
Pour identifier les types de partitions qui évitent les analyses séquentielles, j’ai élaboré des tests qui s’appuient sur le listing 2 et le listing 3. Pour obtenir tous les détails sur mon environnement de test, le processus et les résultats, reportez- vous à l’encadré « Cube- Partitioning Tests » à
Lire l'articlePartitionnement fondé sur l’utilisation
Vous pouvez partitionner un cube en fonction de n’importe quel n-uplet de membres, à n’importe quel niveau d’une dimension quelconque.
Le Partition Wizard d’Analysis Services appelle ce type de n-uplet une tranche de données. Bien qu’Analysis Services puisse analyser une petite partition plus rapidement qu’une partition de grande
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